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Smokey

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  1. Smokey

    Wonder Woman

    Ouais c'est ce que j'essayais de dire aussi, mais je savais pas vraiment comment traduire le concept de ''weekend drop'' proprement. ^^' (désolé s'il y en a qui ont compris autre chose) merci à toi @goon pour l'avoir mieux expliqué. Il y a un autre graphique dispo qui comparent les nombres des différents films de la DCU, j'ai trouvé ça plutôt intéressant:
  2. Smokey

    Wonder Woman

    Pourtant, dans ce que je vois dans les news, Wonder Woman rentre dans l'histoire comme le film qui fait le plus d'argent au box office domestique par rapport à son opening weekend de l'histoire des films de superhéros moderne (en tous cas dans les 10 dernières années): Si on compare à BvS, un exemple parfait de pétard mouillé, c'est tout de même impressionnant. Il faudra donc attendre avant de jauger le total dans le box office, j'imagine. Mais avec les records que le film a déjà brisé ainsi que l'impact culturelle qu'il est en train de créer (en tout cas dans mon coin au Canada les gens ont pété un câble et les enfants cherchent un Dieu de la Guerre à terrasser) DC cinematic universe peut déjà se féliciter d'avoir enfin réussi à faire un truc qui est généralement vu comme bien par la majorité des gens. Ça n'arrange pas tout, loin de là. Mais les fans le voient comme un pas vers la bonne direction.
  3. Smokey

    Wonder Woman

    Date de sortie : 2 juin aux U-S, le 7 juin en France. Réalisatrice : Patty Jenkins Genre : Superhéros, Action, Aventure et Science fiction Casting : Gal Gadot dans le rôle de Diana Prince/Wonder Woman et Chris Pine dans le rôle de Steve Trevor, les deux personnages principaux. Le reste du casting inclue Robin Wright (la fameuse Claire Underwood) , Danny Huston, David Thewlis, Connie Nielsen, Elena Anaya, Saïd Taghmaoui et Eugene Brave Rock Distribution : Warner Brothers (DC Cinematic Universe) Inspiré de : Wonder Woman (les comics) trailer : Quelques posters. (Parce que je les trouve super sympa) Avis perso' : honnêtement, je ne pensais pas que j'allais avoir quelque chose à foutre de Wonder Woman avant hier, car je suis allée le voir avec des amis. J'ai été agréablement surprise de la qualité du film. La music déchire ( ) , l'histoire est plutôt bien ficelée, les personnages sont attachants et charmants. Le film était très beau visuellement (des couleurs dans un film DC, quelle surprise) et c'est aussi très drôle et léger par moment sans être forcé (ça aussi c'était surprenant). Les scènes de combats étaient selon moi très impressionnants. Il y a eu des moments où j'avais peur qu'ils abusent avec le slow motion, mais ça passait assez bien en fait. C'était comme regarder des scènes de combats dans les jeux vidéos (la force de DC). Les acteurs sont extrêmement bien choisis. Gal Gadot elle-même incarne le personnage avec une élégance et une humilité qui semble presque aisé. J'avais l'impression en entrant dans le film que j'allais passer deux heures à regarder une Mary Sue défoncer tout sur son passage, mais c'était bien plus que ça. Le film est rempli de moment plus silencieux, et laisse place au développement des personnages. Wonder Woman évolue énormément au travers du film, et en tant que spectateur, j'ai suivi son évolution avec beaucoup de plaisir. L'alchimie entre Gadot et Pine est excellente, et est une des grandes forces du film. C'était très intéressant de voir la dynamique changer entre les deux personnages, puisque Steve fut le premier à se trouver dans un monde inconnu, puis vers la seconde moitié du film les rôles s'inversent et c'est Diana qui se retrouve en dehors de sa zone de confort, dans le monde des hommes. Une chose qui m'a particulièrement plu a aussi été le côté plus classic du film. Certaines scènes semblent tout droit sorti d'un film des années 1950. C'était un peu les décors et les costumes, un peu la manière dont certain scènes ont été filmés. C'était très intéressant. Le gros point noir, cependant, serait les antagonistes de l'histoire. On est loin de Heath Ledger dans cette catégorie. Ce qui fait que le film n'est pas mon film préféré de DC, mais of course il se trouve au-dessus de ceux qui sont sorti dernièrement. Je donnerais au film un bon 17/20.
  4. Woah cet épisode 22 je m'y attendais pas du tout. Pauvre Akko. Quand on y pense, c'est probablement pour cette raison que Diana a failli perdre ses pouvoirs quand elle était jeune. Après tout, elle était au spectacle elle aussi: Cette expérience a été un sacré traumatisme pour elle, selon sa servante. Bon Dieu Chariot, traumatiser des enfants et leurs voler leurs avenir. Faut le faire quand même.
  5. Smokey

    SnK Chapitre 93

    Chapitre plein de surprises. En parlant de ça. Je trouve au contraire la mort du personnage de Ymir complètement incompréhensible. Littéralement, j'y comprends rien. Pas parce que c'était imprévisible, loin de là. Les personnages de snk ont un historique de mourir sans que leurs objectifs ni leurs rêves soient achevés. Ce que je ne comprends pas, c'est comment Ymir ait pu partir avec Reiner et Berthold sachant que c'était spécifiquement cette mort qui l'attendait. Comment elle a fini me semble complètement à l'ouest par rapport à ce qu'on connaît de sa personnalité. La narration établie par le personnage jusqu'à présent la dépeint comme un individu ne pensant qu'à elle-même et choisissant d'être égoïste : Cependant, contre toute attente, tout semble porter à croire que le personnage ait choisi de mourir de cette manière (si je me souviens bien, pour sauver Reiner et Berthold?). Que l'indomptable Ymir, qui a crié à Historia de vivre pour elle-même et pour personne d'autre, ai décidé de faire le parfait contraire ? Elle semble également avoir abandonné Historia dans le processus, alors qu'elle a failli se faire dévorer (et a risqué ses secrets) simplement pour la sauver. C'en est presque incohérent. Toutes les bases qui ont construit l'écriture du personnage d'Ymir sont jetées par la fenêtre dans ce chapitre. C'est peut-être pour cette raison que la manière dont elle clamse me semble aussi étrange. Généralement dans snk, la mort des personnages sert souvent à choquer les lecteurs. Ce qui me laisse perplexe dans ce cas-ci, c'est que la fin de ce personnage en particulier, qui semblait vital à l'histoire à cause des secrets qu'elle garde, n'ait rien de choquant en soi. C'est simplement très déboussolant et semble, ma foi, vaguement bâclé (ce qui n'est pas habituel de la part de l'auteur). Quel a été le but de la mort d'Ymir? Est-ce que c'est de la paresse dans l'écriture du récit ? L'auteur a-t-il sacrifié la caractérisation d'un personnage afin de faire avancer l'Histoire ou est-ce que davantage reste à venir ? À voir pour la suite.
  6. Épisode 14 vu. La seule chose que je retiens: camarade Akko.
  7. Smokey

    Les news du cinéma

    eh bien ce nouveau film death note a l'air d'une tuerie j'en ai l'eau à la bouche.
  8. Okay, je viens de finir la série. _______ _______ Ça fait une semaine que j'entends les critiques écraser le truc, donc je suis allé regarder par moi-même pour voir l'étendu de la catastrophe. Le verdict : c'est (vraiment) moins pire que je pensais. En même temps, je m'attendais à de la bouse de vache à ce stade, donc ce n'est pas comme si mes standards étaient impossible à atteindre. Je suppose que ça m'a permis d'être agréablement surprise. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les critiques rabaissent avec autant d'abandon cette série, surtout les critiques américains: premièrement et avant tout, c'est une histoire de race. Les Américains sont extraordinairement sensibles à ce sujet, surtout depuis ces derniers temps. Pour la plupart des gens, Iron Fist c'est l'histoire d'un blanc qui va en Asie apprendre des trucs asiatiques et qui devient meilleurs qu'eux dans le processus, le tout baigné dans l'appropriation culturelle et un vague manque de respect. Plusieurs demandaient donc un acteur asio-américain (une minorité visible importante des États-Unis) pour jouer le rôle de Danny, quelque chose qui aiderait à faire avaler la pillule et rendre le tout un peu plus respectueux disons. (Exemple ici http://www.vulture.com/2016/02/why-should-iron-fist-be-asian-american.html Il y a aussi une bonne explications des pours et pourquoi, je conseilles la lecture, ça permet de comprendre la situation américaine tout du moins) Bref, tout ça pour dire, même avant la série, il y avait une déception sur le plan du choix des acteurs, ce qui justifie en partie la colère actuelle. La plupart des gens ont regardé cette série prêts à ne pas l'aimer je pense. C'est vrai que pour le coup, voir un 18 % donné à cette série peut paraître incroyablement erroné, et accuser les critiques semble être sensé. Mais il faut comprendre l'aspect culturel de l'histoire. Après tout, nous savons tous qu'Hollywood a des antécédents d'appropriations de cultures pour les rendre ''occidentaux''. (Voilà une bonne vidéo qui explique bien le concept de whitewashing, si ça vous tente ) Bref, voilà pour l'aspect politique. De ce qui est de mon point de vu personnel, je ne pense pas que ce show mérite 18%. J'ai quand même été divertie pendant mon visionnage. Malheureusement, je dois dire qu'il y a rien de révolutionnaire non plus à la série, que ce soit des niveaux des performances dans les fights scenes ou encore l'histoire en générale. Tant que je suis divertie, je suis satisfaite. Mais il ne faut pas nier non plus que ce show aurait pu être meilleur, il y a place à l'amélioration. Je suis ouverte à une saison 2. Cependant, mon top ressemble quand même à ça : Daredevil Jessica Jones Luke Cage Iron fist Pourquoi ? Pour plusieurs raisons : premièrement, l'aspect du scénario. Les trois premiers shows de l'univers marvel de Netflix traitaient d'aspects qui me semblaient plus réels. Comme tout œuvre artistique, ils semblaient porter un message. Il y a également le fait que chaque série avec un but évident, une intention si on veut. Dans le cas de Daredevil, c'était que le système judiciaire décevait et abandonnait ceux qui en avaient le plus besoin, ainsi que la ligne de moralité pour le héros et ce qu'il peut et ne peut franchir. Dans le cas de Jessica Jones, c'est l'abus et le syndrome post-traumatique et ses effets sur un individu (ainsi qu'un commentaire social assez poignant sur le consentement et le viol). Luke Cage était que le racisme encore omniprésent dans la société américaine. Iron Fist? Je ne sais pas trop. On dirait que le show lui-même ne le sait pas vraiment. Il s'agit là purement de mon opinion personnelle. La plupart des gens regardent ces shows purement pour le côté divertissant après tout, et je comprends et respecte ça parfaitement. Moi-même, j'ai été divertie. Cependant, je pense que considérant les antécédents que Iron Fist a eu, le fait qu'il soit uniquement divertissant n'est pas suffisant. Mais plus que ça, les trois autres shows m'ont tout simplement davantage captivée. Que ce soit dans Dd, JJ ou LC, il y a eu plusieurs moments wow ou j'ai eu le souffle coupé et je regardais mon écran avec anticipation. (Le légendaire hallway fight dans Daredevil, les performances de David Tennant dans JJ, la séquence Bulletproof Love de Method Man qui était un holy shit pour moi dans Luke Cage) et je n'ai pas eu ce moment clé dans mon visionnage de Iron Fist. Pour les points positifs à présent : j'ai beaucoup aimé l'acteur de Danny Rand, et le personnage surtout qui a quelque chose de charmant. J'ai aussi adoré Colleen ( ), une vrai révélation pour le coup. Les antagonistes ont aussi été badass. C'est vers le sixième épisode que la série prend vraiment un souffle personnel selon moi. Les quatre premiers, surtout, étaient frustrants, mais le sixième apporte un genre esthétique intriguant et à ce point de l'histoire essentiel. C'est à ce moment-là que j'ai accroché personnellement. Je pense que cette série est surtout victime des hauts standards par rapport à ce qui l'a précédée. Prise à part, cette série n'est vraiment pas si mal. Comparé à Daredevil par contre, et c'est là que le débat s'enflamme. Bref, ça fait le tour pour moi et cette série. Désolé pour le pavé indigérable. ^^
  9. Le soir dans la nuit bleu, deux filles cherchent des réponses. Hop. Beaucoup aimé l'épisode 11. Le parallèle présenté entre Diana et Akko était assez interessant. Mine de rien, la lune leur a tout les deux révélé quelque chose, bien que dans le cas de Akko c'était ''légèrement'' plus spectaculaire. Animation toujours impec. Et Akko est toujours égale à elle-même.
  10. Smokey

    Kuzu No Honkai (Lerche)

    Okay, si je comprends bien, cet anime c'est l'histoire de personnages incroyablement tordus, chacun d'une manière richement distinctive, dans des relations tordues et qui créent un bordel pas possible entre eux dans le processus. L'animation est magnifique, la musique est géniale, l'opening et l'ending très beaux à écouter. Pour ce qui est de l'histoire par contre, je ne sais pas trop quoi en conclure. D'une part, Hanabi est une héroine très interessante. De l'autre j'ai vaguement envie de lui booker un psychologue à cet instant et honnêtement le seul couple que j'aimerais voir aboutir pour le moment ce serait Hanabi x une relation saine avec elle-même. Ecchan me met super mal à l'aise. J'veux dire, il y a manipuler les sentiments de quelqu'un pour obtenir ce qu'on veut, et il y a littéralement se forcer sexuellement sur quelqu'un qui ne peut pas dire non. Elle est carrément dans la deuxième catégorie. Hanabi avait plus ou moins dit clairement à Ecchan qu'elle ne voulait pas. Le fait qu'elle ai tout de même forcé Hanabi à l'avoir me rendais suuuper inconfortable. Je me demande si elle va réapparaître ou si sa narration se conclue avec l'épisode 9. Mugi est peut-être celui qui ressemble le plus à Hanabi sur de nombreux plans. Ils sont complémentaires et ils vont probablement finir ensemble, une fois qu'il aura assortie le bordel qu'il a créé avec sa prof. Je ne comprends pas vraiment pourquoi il l'aime autant, d'ailleurs. Il l'aime au point où il se promène le soir dans la rue et se met à pleurer à l'idée que peut-être elle se sent seule. C'est intense son truc. D'un côté l'amour de Hanabi pour quelqu'un qui s'est toujours occupé d'elle et qui la faisait sentir bien était compréhensive, de l'autre la prof est une catastrophe ambulante. Il y a quand même une limite au masochisme mon garçon. En parlant de la prof, c'est un phénomène quand même. Quel genre d'enseignante s'investit avec autant d'abandon dans la destruction émotionnelle de ses élèves pour son plaisir personnel était ma première question quand j'ai vu. Maintenant je me demande si elle n'est pas juste une enfant. Elle est très immature, mais à chaque fois qu'elle apparaît on sait que quelque chose de divertissant va arriver et pour le moment elle n'a pas déçue. Elle est aussi étonnement drôle, à sa manière enfantine. Je suis surprise d'ailleurs que sa narration ai fini par être aussi positive. Au début je croyais que c'était l'antagoniste, maintenant c'est la course pour la faire tomber en amour. C'est le suspense entre Mugi et le Prof. EN PARLANT du prof. Ça peut paraître étrange, mais il est celui qui me met le plus mal à l'aise. Il est carrément étrange. Je veux dire, il n'a presque montré aucune émotion négative depuis le début de la série. Colère, jalousie, malveillance? Il ne semble pas posséder ces sentiments. La prof lui dit ouais je couche avec la planète entière pendant que je te fréquente il cligne des yeux et dit ah ok. Sérieusement est-ce qu'il va bien. C'est quoi son deal. Il est encore plus tordu que les autres. Est-ce que c'est un sociopathe qui mimique astucieusement les émotions humaines là est la question à part ça y a la loli, mais osef. Ça fait pas mal le tour de ce clusterfuck amoureux je pense. Si j'ai oublié quelqu'un bah. Bref, hâte de voir comment tout ça va conclure. Mon guess c'est que les deux profs tordues vont finir ensemble. Ils se complémentent bien aussi, je pense. Y'en a pas un pour rattraper l'autre.
  11. Smokey

    Top Oricon des Animes

    holy shit. yuuri on ice. C'est quand même dingue qu'en si peu de temps l'anime soit monté aussi haut. Je pense qu'il va facilement atteindre le top 3. Ce qui en dit gros sur le publique cible qui peut être exploité par l'industrie d'animation japonaise ici. Je pense que les animes comme Yuuri on Ice ont pas fini d'apparaître. Ça fait sacrément d'argent ce truc.
  12. Smokey

    Yuri!!! on ICE [MAPPA]

    Bon, j'y ai mis le temps, mais j'ai enfin fini la saison de Yuri On Ice. Avec tous les débats, j'étais quand même bien curieuse. Bon, commençons par le négatif: - Premièrement, et c'est le plus gros point noir selon moi: la qualité de l'animation. Yuri On Ice est vraiment un exemple flagrant des difficultés que peuvent rencontrer un anime face aux deadlines et aux difficultés de diffusion dans les chaînes de télévision. C'est triste, mais c'en ai aussi presque une expérience éducative du coup. Déjà, c'était de notoriété publique que la série avait des problèmes du côté de la production avant même que l'anime ne soit officiellement diffusé. C'est pour cette raison que certains épisodes semblent presque rugueux, à peine édités. Un seul épisode peut prendre des mois de production, et même là, les deadlines arrivent parfois trop tôt. Une journée peut faire une énorme différence, et dépasser les dates limites est une possibilité, mais ça apporte en soi toute une autre série de problèmes. C'est pour cette raison que quand une date est définie plus tôt que les autres (par exemple, les plateformes officielles comme Crunchyroll qui ont besoin de temps pour traduire l'épisode, et qui demandent donc de les recevoir en avance) il arrive que le studio envoi des épisodes pas tout à fait terminés. Parfois, c'était évident que la version diffusée à la télé soit largement, largement mieux animé que celle sur Crunchyroll. (Un exemple, si vous voyez pas ce que je veux dire): Ici on peut voir un exemple flagrant des modifications apportées entre les deadlines. Les raisons des changements sont diverses, mais dans ce gif il semblerait qu'ils aient redessinés tout le plan pour que les personnages se rapprochent davantage à leurs design initial, ainsi que pour leur donner plus de caractère. Les changements ont probablement été effectués par Tadashi Hiramatsu pour donner de l'homogénéité au style de l'animation. Au final, même si la version de télé est loin d'être parfaite, elle est quand même moins saccadée et incohérente. Toutefois, on peut tout de même dire que malgré les difficultés, le studio est tombé sur une vraie mine d'or ce coup-ci. Espérons que la saison 2 soit mieux structurée. Après, il y a eu des moments clé où la réalisation était très soignée. Notamment durant le patinage en couple de Yuuri et Victor, mais j'y reviendrais après. - Si je devais nommer un deuxième point négatif, ce serait le rythme de l'histoire, que j'ai trouvé parfois erratique, irrégulier et capricieux. Tout allait souvent très vite, et ça me laissait peu de temps pour respirer. Mais à partir de là ça peut être une question de goût de ma part. - Encore une opinion personnelle, mais le fanservice était parfois too much. J'espère que je n'aurais plus jamais à voir un shoot des fesses du mec suisse. Bon dieu. (son corps était tordu de manière presque inhumaine. J'avais plus peur qu'autre chose) Ça s'arrête ici pour le négatif. __________________ Bon maintenant pour le positif: - L'atmosphère généralement très agréable. - Le ton de l'anime léger et sympa à suivre. - La musique est excellente. Non seulement l'opening ou l'ending, mais aussi les thèmes des patineurs. (King JJ's theme ) - Tout le monde l'a déjà dit celle-là, mais le fait que l'anime soit à jour niveau réseau sociaux rend le tout plus réaliste. Des gens comme Phichit, il y en a partout. Le fait que la vidéo de Yuuri ai fait le buzz était une très bonne idée. Il y a l'équivalent de facebook, Instagram etc. C'est étrange que les animes de collégiens ne soient pas plus à jour sur ce plan-là. C'est peut-être une incohérence dans Haikyuu, ne pas les voir scotché à leurs téléphones cellulaire. - Le fait que l'histoire ne soit pas alourdie de faux drama est un gros plus. Dieu merci la scénariste n'est pas allée dans les clichés. Par exemple, ils auraient pu faire un Viktor Nikiforov antagoniste et imbus de ses victoires, et Yuuri se serait placé pour objectif de le faire descendre de son piédestal. Mais ici on a eu tout le contraire. De la même manière, il y avait de la compétition amicale et bon enfant entre les patineurs, contrairement à d'habitude. Yuuri acclamait Yuri et Phichit pendant leurs performances, l'admiration qu'ils ressentent les uns envers les autres était super sympa, l'idée que la compétion maladive soit quelque chose de positif (très engrené dans les valeurs japonaises) n'était pour une fois pas omniprésente. Yuuri ne devait pas absolument être numéro 1 juste pour être numéro 1. C'est tout de même rafraichissant. - L'évolution de Yuuri Katsuki était intéressante dans un aspect: le personnage semble avoir de l'anxiété. C'est remarquable dans le sens où il a commencé l'histoire handicapé par celle-ci mais qu'il ai évolué en réalisant que bien que son anxiété restera toujours une partie de lui-même, il peut apprendre à vivre avec et à ne pas la laisser le bloquer dans ses objectifs. C'est beaucoup plus réaliste que dans certains animes ou l'anxiété du personnage disparaît tout simplement sans laisser de traces. - Les personnages sont charmants (Viktor Nikiforov notamment), et surtout diverse. C'est un des aspects qui m'a le plus plu dans l'anime. On a ici des gens de partout dans le monde, avec des ethnies et des backgrounds différents. Cet aspect semble très apprécié par les fans internationaux de Yuri On Ice, parce que ça reflète davantage notre monde actuel. Par ailleurs, ce détail qui peut sembler insignifiant, est en réalité très politique. En effet, le racisme est encore très présent au Japon. (Stupeurs et Tremblement donne une bonne idée, bien que le livre commence un peu à dater) Rien que la présence d'un patineur coréen est d'un sacré culot. 2016 était plein de protestations anti-coréen de l'extrême droite au Japon. Les tensions sont très fortes entre les deux pays. - En parlant de politique: la relation entre Yuuri Katsuki et Viktor Nikiforov, peut-être l'aspect le plus populaire de l'anime. Plus que du Yaoi, les deux personnages s'aiment de manière romantique, et l'ont publiquement déclaré. En soit, cet aspect est hors du commun. @Haar a dit que si ça avait été un garçon et une fille on en aurait eu rien à faire, avec des scènes similaires, mais c'est là la nuance. Dans une romance entre gars et fille, ça a été fait, refait, mâché, digéré, chié et remâché encore. Mais dans ce cas-ci la clé réside dans le fait que justement il s'agit d'une relation homosexuelle. On ne va pas se mentir, beaucoup de personnes pensent encore que l'amour entre deux personnes du même sexe est fondamentalement mauvais. Au Japon, le mariage de même sexe est encore illégale. Donc quitte à ne pas trouver ça suffisamment romantique, il faut avouer que leurs relation est quand même sacrément politique. Le personnage principal a crié live en télévision japonaise qu'il allait montrer au monde le pouvoir de l'amour. Une sacré déclaration dans un pays où sa relation est fondamentalement interdite. En prenant en compte cela, c'est tout à fait normal que leurs amour suscite autant d'émotions. Papy appelle ça un bol d'aire frai justement parce que ce type de relation est jamais officiel, car c'est trop ''dangereux'' pour les animateurs. L'auteure elle-même a déclaré par tweet que dans son univers, la liberté d'aimer était universelle et elle ne laisserait rien le ternir. Rien que pour ça, je lève mon verre à Yuri On Ice. Il va de soi que bien sûre, il y a des homophobes qui ne sont pas contents. D'ailleurs, leurs chorégraphie de patinage en couple était un autre message en soi. Dans ce sport, le patinage en couple de personne du même sexe est formellement interdit en compétition (c'est presque écrit noir sur blanc dans les règles) Bref, quitte à ce qu'un anime explose en popularité, je préfère que ce soi Yuri On Ice, qui malgré ses défauts est progressiste, plutôt que quelque chose de juste purement fanservice. (C'est intéressant que personne n'ai un mot à dire sur les animes comme Keijo quand même. ) Bref, en relisant mon pavé, je trouve que le positif dépasse largement le négatif, bien que le négatif ne soit pas à ignorer. Je mettrais un bon 8 sur 10 à l'anime. Ouh la la. Faut faire attention au phrasing mon vieux. Je vois ce que tu veux dire, mais le message passe pas vraiment. Pour le mettre sous un autre contexte, c'est comme si t'avais dis: ''J'aurais pris peur là ! Et puis ça aurait été triste pour l'image des patineurs, tous noirs. (J'me fous gentiment de toi ici. Faut pas le prendre mal.^^)
  13. Les deux premiers épisodes étaient super sympa. Cet anime est un vrai petit bijou d'animation. Ça donne envie de revoir encore et encore chaque petite séquence de mouvements. On voit vraiment que l'attention est dans les détails, la signature de Trigger. Quel plaisir. D'ailleurs, +1 au studio pour inspirer autant d'originalité. Chaque personnage est différent. Leurs design, leurs mouvements, leurs manérisme est unique et c'est là qu'on voit à quel point il y a du travail derrière tout ça. L'animation donne vraiment vie aux personnages du coup. Mention spéciale à Akko, qui a juste les meilleures expressions à chaque fois. J'ai entendu de super bonnes pistes aussi, surtout dans le premier épisode. Hâte d'entendre l'album au complet. Donc, pour le moment nous avons une excellente animation, de la bonne musique (ce qui est déjà amplement suffisant pour suivre l'anime) des personnages attachants, pas de fanservice inutile, un vrai respect et amour derrière la création des épisodes, et hé, un poulet géant dragon. Hâte à la suite! P.S. Je parie mon petit orteil que c'est Diana qui a la carte super rare manquante que Akko n'a jamais pu obtenir.
  14. Smokey

    Yuri!!! on ICE [MAPPA]

    En même temps, il y a tellement à dire sur le cadeau qu'est cet anime. oui la fujoshi en moi s'est réveillée et festoie devant le magnifique spectacle qu'offrent victor et yuri D'ailleurs dans les news, de nombreux patineurs artistiques médaillés à travers le monde auraient tweeté/commenté sur Yuri on Ice. Notamment Evgeni Plushenko, double champion olympique en 2006 et 2014 (ainsi que 3x champion du monde, 7x champion européen, 4x Grand Prix Final champion, 10x champion national Russe, bref.) Également Kenji Miyamoto, un danseur sur glace et entraîneur en patinage artistique, ainsi que chorégraphe des séquences de Yuri on Ice. Voici une photo récente de lui avec Plushenko. Evgenia Medvedeva, une patineuse artistique de 16 ans qui a été médaillée d'or des jeux olympiques de Sochi: Tarah Kayne, la championne nationale américaine de patinage artistique dans la catégorie couple: Donc apparement, la réponse à la question ''que font les athlètes de jeux olympique d'hiver pendant l'été'' est : ils regardent des animes de sport. Je me demande si les champions renommés de volley regardent Haikyuu?
  15. eeeeeeeeeeeeeeeeeh, l'épisode 5 Qu'est-ce que c'est que ce changement de qualité? Une épisode absolument magnifique! Ah mes enfants, mais c'est un cadeau de noël en avance. L'animation, la performance, la musique, la tension tout particulièrement. C'était sublime. Au moment où le maestro a baisser la baguette pour entamer le morceau, c'était comme si le temps s'arrêtait. Assez littéralement même. Le silence que les animateurs ont choisi de présenter à ce moment-là était un coup de génie. J'en ai retenu mon souffle. Déjà, les élèves ont honnêtement fait honneur à la pièce choisie. J'avoue avoir ressentie au début une certaine nervosité, avec l'expression tendue et défiguré par la concentration qu'arborait Taki-sensei. Mais vers la fin je comprenais mieux. Cette pièce explosive, puissante nécessite presque une intensité fiévreuse de la part du chef d'orchestre. Et avec intensité il a dirigé. Comme quoi, ça prouve que Taki-sensei est aussi investie dans cette performance que ses élèves, qu'il a fermement (mais pas sans gentillesse) guidés jusqu'à ce moment clé de leur expérience musicale depuis le début de la première saison. Ça fait plaisir quand même. La pression était vraiment palpable pour le coup. On la sentait comme une présence tangible dans la salle, et pourtant. Ce qui a été une surprise, c'est que les élèves aient joués avec une ferveur aussi incroyable, mais sans cependant se dépriver de plaisir. Au contraire, il m'a semblé qu'ils s'amusaient honnêtement. Une sorte d'euphorie timide. Je n'ai pas imaginé les demi-sourires que certains étudiants arboraient en présentant le fruit de leur travail acharné. Je pense qu'ils méritent cette place pour les nationales. D'ailleurs cette performance de Reina. Je peux dire qu'elle a dépassé toutes mes espérances. Elle a joué de manière assez agressive, sans faire le sforzando, une démonstration typique d'une trompettiste en fait. Et jouée pour Nulle Autre que la chère Kumiko. Pour le coup, cette gamine est chanceuse. Une relation comme ça, c'est tellement unique. Et pendant que Reina jouait pour elle, Kumiko a pensé aux moments les plus intimes qu'elles ont partagés, de la première fois qu'elles ont joués ensemble dans la saison 1 jusqu'aux feux d'artifice. J'en reviens à penser exactement la même chose que dans la saison 1: ils n'ont pas intérêt à balancer cette relation par la fenêtre pour l'autre mec. J'veux dire, je n'arrivais même pas à le replacer dans l'épisode! C'est incroyable comment il est quelconque. À ce stade il faudrait un miracle pour que sa relation avec Kumiko ai un dixième de la beauté de ce qu'elle partage avec Reina. Si au moins j'arrivais à me souvenir de son nom...
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