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caymjan

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  1. Volume 2 regardé et ça fait 8 perles de plus au collier. 😎 Cela dit, ça était vite à regarder; probablement la véritable déception: à peine commencer et c'est déjà fini. Bien sur, le propos est pour chipoter un peu.^^ Toujours aussi caustique, avec parfois un style graphique bien trouvé, une animation toujours au top d'autres part, de bons acteurs n'empêche par ci, bref; du bon quoi. Comme il y a pas beaucoup d'épisodes, ça va être rapide de mettre un petit mot à chacun. - La vieille et le robot: graphiquement particulier mais drôle, avoir vécu oisivement pour ensuite être attaquer par le domestique métallique. Quand même ça doit être rageant quand cela arrive. - Ice: un dessin proche de Zima, son principal point fort. - Groupe d'intervention: qualités très nombreuses, un de mes préférés, prêt à parier que c'est une histoire inspiré d'un livre car des réminiscences d'une lecture lointaine ont resurgit suite au visionnage. - Snow et le désert: un sacré veinard le Snow dans son malheur. SF à fond en fait, cet épisode pourrait faire naître une série à part entière. Comme G d'I et Module de secours à bien y regarder. - De si Hautes Herbes: excellents graphiques, histoire: curiosité pas bien 🙊 Par contre, ce ne serait pas inspirer d'un film qui est aussi sur la plateforme de streaming? N'ayant pas vu mais remarquer le titre aussi du film, ça paraissait gros. - La surprise de Noel: c'était dégueulasse mais en fait à mourir de rire Celui qui a pensé à ça, doit être bien perché mais pour le coup ça frise le génie. - Module de secours: un type avec un faciès de clown résumerait très bien ce qui arrive au protagoniste ici: "j'ai passé une journée pourrie". De quoi bien rager en fait. - Le géant noyé: le moins préféré du lot, attention il y a de l'idée, mais pour le coup l'attitude à ça, m'est apparu comme improbable. A la rigueur, la destinée de l'attribut du truc est une probabilité assez forte en étant pourtant glauque d'arrivée mais le reste... Plutôt bizarre pour moi l'idée mais soit. En bref, Love, Death + Robot est juste génialissime si un artiste, un studio peut exprimer librement et pleinement une idée avec une imagination débordante. Tant que ça continue, cette licence est fabuleuse.
  2. caymjan

    Castlevania ( Netflix )

    Saison 4 vu et tout de suite à chaud, tout bonnement excellent. Certes ce n'est pas toujours parfait, le potentiel est bien plus, que dis-je, enfin exploité mais pas encore totalement. Mais au moins, cette saison dite la dernière, fait le taf comme il faut. Pour le coup, elle en est même trop rapide: elle est un condensé des 3 précédentes saisons en une fois, à chose près. Mais avec un rythme mieux géré, sans longueur et avec le bon dosage action/développement/histoire tout du long, et ce à chaque épisode mine de rien. Et c'est ce dosage qui faisait défaut à la série depuis la saison 2. Dommage que ce soit la dernière mais le côté positif à tout ça, est que la série pose de bonnes bases à l'avenir en cas de réexploiter de la licence (comme cela n'empêcherait pas de mauvaises adaptations), mais pourquoi pas après tout comme exemple. Techniquement, le style de l'animé fonctionne à merveille encore une fois, du moment qu'on aime un univers fantastique avec l'influence vampirique (enfin je dis ça pour le style mais le fait est que le chara design est vraiment réussi pour la plupart des personnages: des capes, une armure, un style ). , or comme il y a plus d'actions et que c'est irréprochable, ça aide à contribuer à l'approche envers la série et sa trame finale. D'ailleurs, la trame, rapidement, il y a que la fin qui peut décevoir; perso pas de problèmes parce que la saison dans sa globalité y préparait à ça et que comme elle était vraiment bonne mais bon, en gros il aurait très bien pu faire en sorte que les choses soient plus grises, donc reproches possibles qui selon l'exigence et la sensibilité de chacun sont compréhensibles. Le point le plus important: les personnages. Franchement encore du osef ( et du bien osef en plus) fort heureusement très peu, du bon par ci et là, à encore du très bon. Tout de suite le osef pour moi: - Les soeurs de Carmilla ( je crois que j'écorche son nom...): c'en est même assez violent en fait, il y en a une dont j'ai simplement zappé le nom tellement elle est pitoyable dans l'histoire; Striga on va la retenir, est bien que pour deux raisons: son armure pour le jour () et le passage face aux fermiers sinon comme pour l'autre, oubliable. Et en plus elles sont celles qui sont ensemble. Lénore est une déception alors qu'elle sortait du lot largement à la saison précédente, le pire étant qu'elle annonce la couleur dés le début de la saison. - Zamfir: un des nouveaux personnages qu'on rencontre, elle s'est bien se servir des dagues mais pas particulièrement du propos autour d'elle. Question de feeling pour la peine. Les bons (question traitement): - Hector: c'est correct, il est remonté dans l'estime quand même, c'est déjà bien. - Isaac: j'en attendais beaucoup plus, loin d'être mauvais ( bien au contraire) mais on comprend comme pour certaines choses, c'est parce que c'est la dernière saison. - Les 2 vampires: des nouveaux dont un pas n'importe qui . Ont parfaitement fait le taf qu'on attendait d'eux. - Getra: bien envie de dire qu'elle est excellente, une femme forte avec de la répartie, elle en fera craquer plus d'un. ( avec de tels yeux aussi...) Et les très bons: - Belmont & Sipha: un couple de duo d'enfer, juste parfait. - Alucard: oh non un Belmont Blond. Plus sérieusement, plus rien à voir avec précédemment qui était clairement une erreur scénaristique. - Saint-Germain qui n'a pas fait de bons paris: un personnage plus touchant que jamais, qui dans sa quête connaîtra une évolution plus sombre, presque une réalité dans l'obtention et l'accomplissement d'un objectif. La parfaite description de la tragédie. - Carmilla: franchement l'épisode 6 une boss, une vraie; dans un environnement à la hauteur de sa légende. Rien à redire. En clair, une excellente saison pour clôturer la série mais qui démontre les faiblesses dû aux précédentes dans l'exploitation de la licence, notamment le rythme adopté jusque là. Je maintiens encore que le potentiel n'a pas été correctement exploité, la saison 2 & 3 aurait pu en faire qu'une seule, et celle-ci aurait pu avoir un peu plus d'épisodes que cela aurait été parfait au vu de la qualité présentée bien sur.
  3. caymjan

    Lupin III (2015)

    Un an et demi après le visionnage de l'aventure italienne, force est de se rendre compte qu'après voir fait le dernier Cold Steel concluant cet arc en Erebonia; c'est assez ironique que la situation soit similaire puisque la dernière fois c'était suite à la complétion des deux premiers Cold Steel qu'il fallait un anime "détente" par après et que Lupin III en Italie avait tapé dans l'oeil. Or le rapport justement, par pur hasard, en cherchant dans le replay parce que l'ultime aventure en Erebonia est une page difficile à tourner comme ça et qu'une flemme totale d'autre chose fut grande; c'est avec stupéfaction que je tombe sur la part 5 de Lupin III. Et là, joie. ❤️ Retrouvé ce graphisme et cette animation propre à la licence est un agréable, serait-ce si exagéré de dire que ça a un côté rétro/ traditionnel mais c'est tellement bien géré que le fait qu'il soit un peu plus moderne (du point de vue thématique qu'il propose et pas des moindres) le rend tout simplement intemporel? Il y a toujours autant de charmes et de charismes que dans l'arc précédent, cela dit peut-être un bémol du côté des personnages tertiaires comme les tueurs aux trousses de Lupin en début de saison, ce qui est largement dommageable mais il y a cet effet perceptible de la japanimation grossie qui a pourtant habituer à mieux. Et il s'agit probablement d'un des rares points noirs pour le coup. L'autre étant certains scénarios d'épisodes particuliers, ce qui de ce côté là; sera plus en fonction de la sensibilité de chacun à prendre comme tel ou à relativiser comme purement de l'humour japonais. Bref, à partir du moment où on est en terrain connu, c'est du très très bon quoiqu'il arrive. Et comme le style est maîtrisé, plus que jamais dans sa structure narrative, c'est franchement génial à suivre. D'ailleurs son histoire, découpée en arc très différents et pourtant qui se rejoignent dû à un fort point commun: le progrès technologique en rapport avec les réseaux sociaux. Balèze Monkey Punch, parce que sans du tout forcer le trait malgré qu'on évolue dans une histoire fantasmée, c'est une vision d'avenir en peu plus vrai et très révélatrice. Moi qui suis du genre assez ( plutôt beaucoup) pas très sociale de base () , cette partie là fut très effrayante parce que réaliste au possible sur le fait que ce soit incroyable possible au delà du probable. Chapeau. Et l'anime vit avec son temps encore plus, parfois avec subtilités et parfois sans concessions; parce qu'il est plutôt cru dans son univers. Disons sans concessions, plus de chichi en fait, Lupin qui se déguise en femme pour obtenir de l'adn ou des infos: faut dire c'est efficace auprès des hommes ( ben oui face à l'autre sexe on est faible c'est bien connu et vais pas dire le contraire) si on veut faire les choses bien, mais l'univers vidéoludique c'est franchement pas donné à tout le monde de se payer un culot pareil! Le sang qui coule plus que d'habitude est perceptible aussi, Lupin et ses compères cherche pas ou plus à faire dans la dentelle si nécessité oblige. Surprenamment, c'est pas plus mal, alors qu'il y a toujours cette ambiance, cette humour pour détendre l'atmosphère ou traiter des sujets sensibles un peu plus agréablement. Plus vraiment cette fois, et cela donne une maturité à l'univers Lupin qui sonne presque comme un rappel, bravo. Pour ce qui est des nouveaux personnages, après Rebecca il y a maintenant Ami la hackeuse ( sur le principe, comment un gamer fan de J-rpg comme ici peut ne pas penser à Futaba de Persona 5?) et donc, comme personnage féminin c'est tout simplement encore une fois du haut niveau. Elle est inspiré tout du long de ce périple et son chara design sort des chantier battues ( par ailleurs, elle me fait penser à quelqu'un de visage mais impossible de me dire à qui? C'est assez troublant car son style est quelque part unique mais pas moyens de trouver ne serait-ce qu'un souvenir). Elle représente en somme la modernité et maturité de la série et la réalité de certaines choses ( et pas jojo encore une fois). L'antagoniste est dans cette lignée aussi, quoique sur la conclusion plus sceptique mais l'idée est vraiment là et en soit, il est crédible puisque parfaitement possible dans notre monde. Mais les relations de Lupin envers ses partenaires est et restera le point le plus important à n'en pas douter: il y a de l'acquis, il y a de l'évolution puis des croisements pour mieux réévoluer pour terminer sur du acquis pourtant évident, de la profondeur quand on s'y attend pas c'est que du bonheur. Le meilleur pour la fin: l'ending. FUJIKO-CHAN Cette divinité, cette personnalité, ce corps (ahem), ce style, cette femme par excellence qu'on suit avec des références plus qu'évidentes dans Paris dans ce qui est une histoire romantique, c'est juste magnifique. N'importe quel homme digne de ce nom ne saurait dire non à un verre de cette barwoman de choc. Le coeur ne peut se remettre d'un charme absolu pareil, pas comme si elle savait en jouer de toute manière. Donc voila 24 épisodes qui furent dévorer comme une galette dans un cadre paisible sans touristes ou presque; cette aventure s'est dégustée comme un bon verre avec un glaçon qu'on se délecte tranquillement, comme avec les bonnes choses. Et bon sang que ça fait du bien ces petits bijoux d'animes qui au delà des apparences font un travail énorme bourré de passions et de cultures. Edit: @Crimson Rain Papy merci d'avoir prévenue, ça pouvait paraître complètement déplacé de ma part, et ce même en ignorant totalement ce qu'il en était réellement. Du coup, depuis le quasi-début c'est un énorme respect envers Monkey Punch et un amour profond de leur oeuvre que les équipes en charge de l'anime ne cessent d'exprimer. Un regard nouveau vers Lupin III à présent. Et Vive les Gentlemen Cambrioleurs!
  4. Détention cette fois-ci et quelque part finir l'année 2020 de: - Final Fantasy 7 Remake: faisant preuve d'une patience méritante avant de l'acquérir, enfin mis les mains dessus pour voir ce que valait le remake pour redorer le blason de Square et force est d'admettre: ils ont fait fort! sans en faire des tonnes sur ce qui a pu déjà être dit, il a remporté pas mal de louanges tant il arrive à surprendre en étant pourtant extrêmement fidèle à l'oeuvre d'origine (ou du moins au pan de l'histoire d'origine ce à quoi il correspond) mais justement cela a été comme si je refaisais le jeu de base comme si de rien n'était, une incroyable plongée familière ; à part un graphisme de fou et un gameplay plus malin qu'il n'y paraît, quoique un peu lourd. Vivement la suite qui promet vraiment du lourd. Comme en plus ça se termine au moment même où le jeu de base démarre vraiment dans son histoire et exploration; si on part sur l'hypothèse que le remake se composera de 3 parts en tout, le résultat n'en sera pas mien en principe, ultime. - 13 sentinels aegis rim: une galère à avoir tant le nouveau jeu de Vanillaware fait vraiment jeu de niche au possible, mais une fois en main et une fois fait dans son ensemble en une trentaine d'heures, la conclusion à avoir sur le jeu globalement est très simple: faites-le! Si on aime les animes japonais traitant sur la science-fiction, il faut le faire! Si on aime les jeux avec un style rétro manga ou une 2D bien faite avec un graphisme envoûtant et une animation simple et efficace, faut pas hésiter! Si on aime la science-fiction tout court, le jeu est juste un condensé incroyable de ce qui a pu se faire dans ce domaine avec un brio rarement vu, foncez! Après c'est sûr que c'est pas un jeu que l'on pourrait qualifier de très grand parce que justement comme jeu on le fait avant tout pour son histoire, il est très proche d'un visual novel et les combats au niveau du gameplay, sont presque autant un mini-jeu pour se détendre qu'autre chose, sauf qu'à ce niveau là la personnalisation des personnages (ou plutôt leurs robots) n'en reste pas moins bien fichue. Mais son scénario et ses personnages; waouh vraiment. Du très grand Vanillaware même si globalement Odin Sphère reste un cran au dessus pour justement du point de vue d'un jeu vidéo. Et aussi que d'un premier temps, quand on est encore au stade de décortiquer la trame c'est un sacré b....l Mais à la fin, on est heureux d'avoir connu ça; en tout cas perso c'est un grand jeu pour son histoire et les personnages et sa cohérence au sein de son univers qui force vraiment le respect tant il est complet dans le domaine S-F. - The Last of Us 2: très abordable et en plus très propre pour une occaz, l'un des jeux de l'année enfin là, après connaissant déjà les grandes lignes ( pas scénaristiques heureusement juste le jeu global) et sa mécanique; ça n'empêchera en rien de prendre un pied monstrueux dessus, tout simplement me laisser prendre au jeu et sachant pertinemment qu'il laissera un souvenir imperméable. A voir le moment idéal cet hiver pour le commencer. Edit: ayé fait: . Il laisse mais alors pas du tout indifférent, c'est indescriptible en état parce que sur certaines choses il donne un sentiment assez dubitatif sur l'intérêt (rien de bien méchant, pour ma part, c'était des trucs pas obligés ou alors trop faciles sans subtilités chose auxquels le 1 n'avait pas fait d'erreurs) mais de l'autre c'est tout bonnement monstrueux, particulièrement couillu même pour reprendre un propos d'Ellie. Si The Last of Us était un jeu qui se suffisait à lui-même pourtant vu sa fin, si suite y avait c'était obligé qui ait quelque chose de fort pour ainsi dire, ce qu'à fait la partie 2. En plus on peut être encore assez partagé sur le jeu que néanmoins, on ressent d'emblée qu'avec le temps c'est un jeu qui va encore se voir embellir lors d'une partie étalée dans le temps. Sinon si partie 3 y a à l'avenir, le(s) thème(s) est tout trouvé: solitude et rédemption. - Ghost of tsushima: qu'est ce qu'il pouvait faire de l'oeil celui-là! Pareil que TLOU, à voir cet hiver pour le commencer surtout que là ce sera vraiment en terrain inconnu mais vu les descriptions globales dessus, impossible d'être déçu, obligé. Edit: ❤️ Ce jeu est tout simplement un orgasme visuel tout du long, l'un des plus beaux jeux (probablement le plus beau de cette génération de console) qui soit tant il est agréable non seulement à faire mais qui pousse l'envie instinctive d'explorer d'une manière spontanée: un vrai coup de coeur mais à un point... C'en ait en fait assez inattendue, de là à dire jeu de l'année? Il est agréable à l'oeil, il est génial à jouer, il est fait avec passion littéralement, un vrai cri d'amour pour le Japon, sa tournure est accomplie avec justesse, ces quêtes non rien de bien folichon mais font étonnamment le taf quand on se rend compte que certaines situations ne sont pas jojo; il continu aussi d'être mis à jour donc mon expérience dessus fut sans bugs quelconque. Non vraiment le jeu est une réussite à beaucoup d'égards. Donc oui, on est pas loin du jeu de l'année pour la ps4 avec Ghost of Tsushima, un jeu qui dégage d'une ferveur pour le jeu vidéo de la part de sucker punch tout bonnement extraordinaire. - The Legend of Heroes Trails of Cold Steel 4: sort que dans moins de 2 semaines mais pris déjà les dispositions qu'il faut pour être sûr de l'avoir et de plonger tête la première sur la suite de cette série de j-rpg tout bonnement excellente. Parfait pour finir l'automne et débuter l'hiver quoi. Edit: Finie la quadrilogie des Cold Steel en long et en large avec ce quatrième épisode à présent. Ben qu'une envie maintenant: avoir Hajimari no kiseki le plus vite possible! La suite qui n'est que sortie au Japon cet été donc au temps dire pas avant 2022 chez nous si pas de chances! En soi, il s'agit juste du contrecoup d'avoir fini une histoire alors que la série continue plus que jamais dans son développement de son univers, Parce que malgré des défauts dans sa narration (pas des moindres, notamment un truc bien violent (plus dans le sens mauvais) qui "gâche" l'histoire tant ça débarque de nul part, un ressort scénaristique plus que jamais dispensable alors qu'on attaque la dernière phase de la narration), de rythme dans la progression alors que le contexte dans lequel on évolue demande plus de percutions; des défauts qui font que c'était une maladresse total de l'avoir vendue avec le sous-titre "end of the saga" alors que la série se poursuit, complètement saugrenue. Le côté harem de ce ultime opus de Cold Steel est assez abusé aussi, même si il y a matière à relativiser avec la plupart des filles, montrant que Nihon Falcom sait ce qu'il fait, il y a un tel déséquilibre avec certaines ou plutôt de la gratuité limite incohérente juste pour dire de faire la romance ( qui a dit Alisa et Juna? faisant passer le héros pour un chaud lapin pour la première alors qu'il n'y a pas du tout encore du développement de crédibiliser entre eux depuis le 1! et juste un effet hormonal pour la seconde) alors qu'avec entre autre Emma et Laura on est sur une montée en puissance depuis le 1 plus crédible et mieux écrite qui lors des événements ultimes sont de loin les plus cohérentes avec leurs évolutions. Fin bref... Mais il en reste pas moins prenant tout du long, c'est un vrai crève coeur de quitter la classe 7 après les avoir vu progresser et évoluer au bout de 4 jeux entiers de j-rpg avec également leurs alliés. Cela fait quelque chose et définitivement une licence, pour tout fan du genre qui se respecte ne peut que se lancer dans l'aventure sans problème. Cela dit, en prenant quand même connaissance des anciens opus, perso il y a pas eu de problèmes dans la compréhension au vu des nombreux références des précédentes aventures au cours de Cold Steel mais c'est clairement un plus de vivre les histoires de Trails of in the Sky, Ao et Azur (il me semble pour les noms de titres). Une sacrée fin d'année quoi. Et à moins de tomber sur de bonnes surprises le reste attendra, notamment Cyberpunk20177 auquel aussi tentant qu'il est, il peut justement attendre la nouvelle année il va pas devenir une rareté du jour au lendemain. et toute façon faut finir ce qu'il y a déjà! Et se remettre de bien des émotions au préalable, puisque si les jeux savent se montrer poignants, le contrecoup est vite assommant le lendemain matin pour se lever. Edit: Deux bonnes surprises, pile à la fin de l'année; assez inattendue: - Shining Resonance Refrain dans son édition limitée (nickel comme neuve), pas forcément un j-rpg qui casse la baraque ( voire ultra basique) mais il est suffisamment rare et qui plus est, de tomber dessus comme ça en occaz (quasi donné). Qu'à la limite pourquoi pas., histoire de se détendre sans trop se prendre la tête quand les gros jeux verront leurs tours arrivés. ( Y's IX, Persona 5 strikers et Mass Effect Trilogy étant déjà commandés, la fin de l'hiver et le début du printemps risquent d'être très palpitant). - Tokyo Xanadu Ex+: carte psn offert à Noël et étant en promo sur le store, c'était l'occasion de profiter du jeu de Nihon Falcom (TLOH, Y's) (n'arrivant plus à trouver sa version physique) et il y a pas à dire: comme les autres licences ça n'a pas l'air ouf graphiquement et techniquement et pourtant il y a ce charme indéniable au delà du côté japanimation pourtant prononcé, qui le démarque et ça opère dans la foulée. Seul point noir de cette fin d'année: passé à côté de la version physique de FF8 remastérisée, certainement en nombre trop limité pour la vente. Cela aurait marqué le coup sentimentalement parlant puisque cela fait pile 21 ans que j'ai connu le jeu sur PS1, donc l'avoir sur ps4 en CD plutôt qu'en dématérialisé aurait été pas mal. Tant pis, ce n'est que partie remise. Edit: ça fait un bail ici. Bah alors? Personne qui fait des jeux en dehors du manga? Personne pour m'arrêter de monopoliser le coin? Aucun héros pour stopper le mastermind en puissance? Ok Alors cette année 2021, il y a eu: - Dragon Quest 11 S édition complète: ayant fait la version de base à sa sortie, les ajouts de la version switch me tentait trop et qui plus est cela faisait un moment que l'envie de refaire une aventure avec un grand A me taraudait, surtout si on rajoute le doublage japonais dans les possibilités (nettement plus agréable à entendre) là où le doublage anglais avait tendance à me donner des envies de meurtres avec certains personnages. Et comme quoi, toute l'histoire, cette fois-ci, fut plus appréciée qu'à la première expérience. Une sensation que certains dialogues furent réécrites dans la dernière phase de la trame, faisant que l'intention passait mieux. Ou alors il s'agit juste de recul dû au temps s'écoulant, mais quoi qu'il en soit, classique j-rpg mais incroyablement efficace. - Final Fantasy VIII remastered: je voulais sa version physique, et quand gamer veut gamer obtient. Et que dire? il s'agit du tout premier jeu Playstation étant gosse, donc oui il y a des choses qui ont vieilli mais en fait, non pas tant que ça; il est bel et bien un précurseur de tant de choses qui font partie de la pop-culture ou du monde vidéoludique que c'en est impressionnant. Une aventure toujours aussi magique. - Persona 5 Strikers: évoquer dans le topic de Persona. - Shining Resonance Refrain: Très plaisant à regarder (Filles de rêve donc boobs et etc...), à faire correct (gameplay simple et efficace), à écouter niveau dialogues et histoire hmmm euh bon ben... Euh voila quoi. - Y's IX: Après Dana dans le VIII, ici c'est Aprilis et elle est . Une nouvelle aventure d'Adol Christin tout simplement maîtrisée, franchement je kiffe toujours autant. Si on a aimé le précédent opus ( ou même les précédents tout court) foncez pour celui-ci, c'est aussi simple que cela. - Tokyo Xanadu ex+: jeu fait aussi, la troisième licence de Nihon Falcom m'a moins pris aux tripes que The legend of heroes ou Y's; il y a un côté vraiment japonisant faisant trop shonen nekketsu, trop spin-off d'un spin-off en quelque sorte sans réussir à s'en démarquer tant l'empreinte de Legend of Heroes est trop forte. Pas mauvais du tout mais faut encore que ça puisse décoller. - Nier Replicant: ayant la version occidentale du titre sur PS3 (gestalt donc), cela paraissant être un impératif d'avoir son remaster alors qu'il s'agit de la version jap avec le frère et non avec le père comme on avait eu. Encore à le faire mais le connaissant, facile à dire droit dans les yeux: c'est un must. A tous les niveaux. Vraiment. Un doute? Ecouter la bande-son. - Mass Effect Trilogy: connaissant la licence depuis le 2 mais n'ayant jamais fait le 1, ni les dlc sortis sur les opus, et il va s'en dire que la licence est excellente donc ça sonne comme une évidence de l'acquérir. Surtout si on aime la science-fiction. - Shin Megami Tensei III HD Remaster: Fan d'Atlus depuis la découverte de Catherine et de Persona, spin-off de Shin Megami Tensei, en gros ça devient une obligation à ce stade. - Prochainement Legend of Mana: ayant fait Secret et Trials, l'expression jamais deux sans trois va se vérifier une nouvelle fois. ^^ Pour ce qui touche aux jeux PS5, ce sera quand ça sera moins cher pour commencer. Rien que le cas Demon's Souls me désole au possible, en plus faut encore que la console soit dispo. Donc du moment qu'il y a de quoi faire sur la quatrième du nom, ça peut attendre.
  5. L'été se termine avec de bonnes températures mais la saison n'a pas empêché pour autant de geeker à l'occasion, profitant même de plonger dans des univers sortis au cours du printemps auquel il y a eu d'autres priorités. Cela dit, faut dire aussi quelle année qu'est 2020, qu'elle continue d'être d'ailleurs, à tout point de vue. Donc les titres concernés sont: - Resident Evil 3 Remake: pris mon mal en patience avant de l'acquérir car les échos de sa durée de vie avaient calmer mes ardeurs alors que fan de la licence et puis surtout et avant tout, il s'agit du remake de mon tout premier resident, mon premier traumatisme même puisque c'était la toute première expérience avec les morts-vivants et la première fois que je "le" rencontrais. Ah lorsqu'on est jeune et naïf, ça me paraît bien loin maintenant. 'fin bref... Autant dire que les attentes étaient juste énormes concernant cet opus après un remake du 2 tout bonnement monstrueux (dans le bon sens du terme) même si il y avait des choses qui faisaient que c'était pas non plus la perfection mais le résultat était largement à la hauteur et cela fait que le potentiel que pouvait avoir un remake du 3 de ce fait, tout bonnement énorme. Resident Evil 3 Original avait beau être targué à l'époque et encore aujourd'hui, de l'opus étant le plus action de la trilogie (de la première saga tout court), il n'en restait pas moins un survival à de très nombreux égards; ce qui le rendait action étaient les évolutions de gameplay dont l'esquive et un rythme du jeu dont le ton est donné par "lui" mais même en facile avec plus de matos il ne se faisait pas comme ça finger in the noise, pas avec "lui" dans les parages. L'atmosphère dans Raccoon City était vraiment anxiogène, et ce tout du long de la progression, un des rares jeu pouvant mettre encore mal à l'aise malgré le fait de le connaître après toutes ces années ( Dead Space premier du nom en fait également partie); dû au fait qu'il s'agissait de sa première fois sur du survival? Possible on connaît tous l'adage sur les premières fois. Bon alors ce Remake alors? Perso? Oui il est très bon, oui c'est un très bon jeu vidéo clairement, oui il est bien fait et quelque part bien pensé; mais non il ne veut pas l'original, pas du tout; son potentiel aurait pu être infiniment plus exploité et pourtant c'est un bon remake en état qui s'inscrit bien au sein de la trilogie. Le choix de Capcom a été d'en faire un titre dynamique, celui qui avait réputation d'être le plus action à la base à l'époque, soit si on regarde bien Rebirth= Survival pur; le 2 oscillait déjà entre les genres, le 3=action. Dans le cadre des remakes et dans la volonté de surprendre, il y a une logique, le parti pris est pleinement assumé. Et puis, assez surprenant malgré une certaine déception au fur et à mesure (surtout quand on a connu le jeu original), ça n'empêche pas de prendre son pied à le faire, à poursuivre pour débloquer les bonus et à insister jusqu'à complétion total. Mais pour pas se gâcher l'expérience, la première partie en normal, parce que lors des affrontements "il" se montre déjà coriace dans ce mode que si les gens le font en facile ben après c'est évident que les critiques vont pleuvoir, tant ça devient juste risible alors que le rythme du jeu est d'un speed ce qui fait que si c'est fait la première fois en facile ça va pas aider. Certes ouah on s'ennuie pas c'est sûr; mais pas le temps de dire ouf qu'on sent qu'on arrive déjà à la fin. Que l'original faut y compter le double avec une progression beaucoup moins soutenue, c'est définitivement un survival lorsqu'on compare avec son remake. Et "lui" alors? terrible mais pas terrifiant dû au rythme du jeu comparé à son ancienne version, puisqu'il rôdait vraiment dans la ville quand on devait faire des aller-retour pour tel ou tel truc et poursuivait sa cible avec plus de hargne que là. Mais faut pas se leurrer, si tout le système de jeu avait été fidèle à l'original, il aurait été trop compliqué à gérer, à fuir ou à lutter en dehors des affrontements scénaristiques. Et terrible est un mot faible pour le décrire car sa version remake n'en reste pas moins fidèle sur un point capital qui faisait sa réputation dans la licence: il est increvable sauf dans des conditions à la fin qui n'en reste pas moins exceptionnelles, presque uniques pour l'abattre définitivement dans l'histoire de la licence. Et après des évolutions cela va sans dire. Même si dans l e remake ça n'a pas le même effet que dans l'original (forcément mais il y a le mérite d'avoir de l'idée), c'est très bien retranscrit. En soi, rien de surprenant à ce qu'il divise, c'est surtout pour ma part vis à vis du potentiel qu'avait le jeu étant donné que les choses se passent dan une ville et qu'il y avait des spin-off se passant dans la ville justement auparavant. Mais en rien cela n'empêche d'être un très bon jeu faisant parfaitement le taff comme rarement, si vous voulez des étoiles pleins les yeux vous en aurez, c'est pas Jill qui dira le contraire. - Persona 3 Dancing in moonlight: tombé dessus par le plus grand des hasards, et comme la licence Persona est devenu, en quelque sorte, incontournable; ben j'étais bien content de trouver le spin-off exploitant l'opus 3 et en l'occurrence découvrir ce groupe particulier. Avec en plus la réhausse graphique que bénéficient les personnages, rendant plus beaux leurs modélisations et animations, alors que le jeu d'origine a pris un sacré coup de vieux; il y a pas de secret c'est agréable au possible, quelque part c'était déjà le cas pour le 5 mais forcément vu que ce dernier a bénéficié d'un style plus moderne et affiné de base, la différence n'était pas non plus énorme que pour le groupe du 3 ça a fait du bien. En revanche pour les choix de remixes et autres variétés ça vaut pas ce qui a été fait sur le 5, il y a quelque chose de moins inspiré mais après ça reste personnel; quoiqu'il arrive c'est du fan-service et c'est ce qui résume totalement ce genre de jeu. - Nioh 2: le souls-like de Team ninja a largement trouvé sa formule pour ne plus avoir droit à ce genre d'appellation, si quelque part c'était déjà le cas avec le premier Nioh; il avait cependant des défauts qui donnaient l'impression qu'en voulant se démarquer de Fromsoftware, ça en reprenait pourtant le principe. Question de dosage dans la difficulté ou dans le fait de faire évoluer son équipement, à mon sens, il y avait un truc qui allait pas. Mais cela va de soi, qu'en rien il était mauvais bien au contraire sinon le 2 ne serait pas aussi jouissif à faire. Carrément. Sans que globalement la formule ait changé, le principe est le même et la mécanique demande toujours de faire attention et de bien gérer; tout y est tellement plus agréable à faire qu'il y a pas cette sensation de devoir refaire pour être à un meilleur niveau avec un meilleur équipement pour être sûr de faire le suivant sans encombres, tout se fait avec une certaine continuité alors qu'avec le jeu précédent fallait pas hésiter à davantage faire dans le farm pour être sûr. C'est le sentiment d'une meilleur accessibilité qui s'en dégage avec ce deuxième opus, toujours exigeant mais pas punitif de façon abusif comme le premier. Son dynamisme fait à cet égard mouche et nul doute que cela lui a permit de trouver une direction propre et aboutie, le démarquant définitivement. Cela dit, ça prête à sourire lorsqu'on reconnait bien des environnements du 1, être rééxploiter dans celui-ci même si le graphisme est affiné. Par contre, bon point que le ou la protagoniste que l'on se crée est parfaitement retranscrite lors des cinématiques, si on se fait une waifu, nul doute qu'avec la combinaison d'un background à la fois classique mais crédible pour le gameplay peut la rendre plus intéressante que William, pas très compliqué en même temps. Plus accessible, mieux maîtrisé dans ses mécaniques, plus sympa à suivre, ceux qui ont fait le 1 ne seront pas dépaysé mais pour autant la conquête ne se fera pas comme ça, mais l'équilibre dans la progression et dans les affrontements exploitant au mieux les compétences est là. Perso il y a eu qu'un seul combat bien galère au cours de partie mais uniquement parce que n'ayant pas pensé à utiliser ce qui était pourtant sous le nez comme un débutant. Dire après qu'il est plus facile que le 1, spontanément c'est sûr c'est l'impression, mais après il y a difficulté et difficultés.
  6. Groupe 7: The Dark Knight mais vraiment de peu avec Berserk...mais bon quitte à choisir, Batman quoi. Groupe 8: Dragon Ball parce que malgré tout, le manga de l'enfance qui avait bien marqué son temps.
  7. Groupe 4: Shingeki no Kyojin Groupe 5: Pirates des Caraïbes Groupe 6: Star Wars
  8. Groupe 1: Breaking Bad Bryan Cranston est tout bonnement énorme, au temps au début un peu de mal de lui enlever son rôle d'Hal dans Malcom mais après, terrible. Groupe 2: Kingdom la lecture se poursuit, que c'est bon Groupe 3: Le Seigneur des Anneaux personnellement la longueur n'a jamais été un problème, possédant encore les dvd versions longues répartissant chaque film sur 2 cd; c'est comme avoir 6 films au lieu de 3 et c'est nettement plus digeste. Gommant au passage le défaut de la longueur et pour le retour du roi, que du bonheur. Le Hobbit est très bon sur les 2 premiers films mais le dernier (avec certains choix du deuxième impactant la conclusion) est justement trop grandiloquent et incompréhensible d'avoir sorti le film ainsi au cinéma, une fois visualisées les scènes coupées dans sa version longue ( faudrait que je revois l'explication dans les bonus...), une prélogie qui a fait l'erreur de trop en faire, en même temps le Hobbit ne se compose que d'un seul livre de base mais tout de même.
  9. Groupe 11: - Naruto - Gunnm Groupe 12: - Shingeki no Kyojin - One Punch Man
  10. Groupe 9: - Pirate des Caraïbes - Pulp Fiction Groupe 10: - Death Note - Kingdom
  11. Groupe 7: - Jurassic Park - The Dark Night Groupe 8: - Game of Throne - Malcom
  12. Groupe 5: - MCU - Fight Club Groupe 6: - Monster - Star Wars
  13. Groupe 3: - Le Seigneur des Anneaux - Berserk Groupe 4: - FullMetal Alchemist - Dragon Ball
  14. Groupe 1: Breaking Bad Kaamelot Groupe 2: Harry Potter GTO
  15. Groupe 17: - Indiana Jones - The Witcher Groupe 18: - Star Wars ( pour tout ce qui s'y trouve d'avant cette trilogie de Disney) - Final Fantasy
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