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Arsène

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  1. Arsène

    Le Vagabond du Désert

    Salutation à toi ! Oui, j'ai remarqué cela, notamment lorsqu'Alestan demanda si le peuple ne pouvait pas se diriger lui-même. À ce moment, j'y ai vu une légère critique de la démocratie et du peuple. L'un n'allant pas sans l'autre. Quant à la suite, ce fut un chapitre plutôt calme, mais bourré d'informations ! Je comprends mieux comment fonctionnent les Jelakas, maintenant. C'était sympa de découvrir Osira, à travers Alestan et ton nouveau personnage Oriana. Cette dernière m'a faite bonne impression, que ce soit au niveau de son caractère, de ses manières, ou de ses techniques de combat. D'ailleurs, j'aime la garde à mains nu d'Alestan dans ce chapitre. Son style me faisait penser aux arts martiaux asiatiques, je me demande si Maëda lui aurait enseigné à se battre au corps-à-corps. À l'inverse, celui d'Oriana ressemblait clairement à de la boxe. Ça tranche avec la première impression tirée de son apparence qu'on pourrait facilement avoir. Une certaine alchimie se dégage entre eux, j'apprécie leurs interactions. Oriana ne le juge pas, tente de le comprendre et ne s'immisce pas dans ses maux, attendant peut-être qu'il en parle de lui-même plutôt que de lui poser indiscrètement la question. Et Alestan... C'est Al, quoi ! Ça fait un moment que je le suis, et je ne m'en lasse toujours pas. Les personnages sont vraiment la clé d'une histoire, à mon sens. Couplé à ton univers, c'est vraiment plaisant de les « voir » vivre à travers un tel monde. Mais honnêtement, tu pourrais m'emmener dans un univers entièrement différent avec d'autres personnages, j’apprécierais toujours autant de te suivre. Pour revenir au fonctionnement des Jelakas, on sent l'implication du peuple, qui a droit à la parole et peut réellement s'exprimer, avec la politique menée par les rois du royaume. Le problème, je dirais, c'est de s'assurer de la fidélité des tribus. Mais rien n'est parfait. J'imagine que le dicton « garde tes amis près de toi, mais tes ennemies encore plus » doit bien marcher là-bas. Le passage avec le feu éternel m'a fait remarquer à quel point les fils du ciel laissèrent leur empreinte à Alesta. Toutefois, je me demande s'ils auraient apprécié d'être considérés comme des dieux. Peut-être que leur extinction sur le continent fut une bonne chose. Cela aurait apporté son lot de problèmes, sinon. Par contre, tous ces noms quand Alestan raconta brièvement ses destinations ! J'en ai reconnu quelque-uns, le reste m'était inconnu. Tout comme Oriana, ça m'a fait rêver. Maintenant le plan fixé, grâce aux propositions folles du vagabond, jusqu'où marchera-t-il ? Eliad l'a dit : il faudrait être un fou ou avoir une âme damnée pour songer à ça. C'est pour ça qu'il peut marcher, justement. Les ennemies ne s'y attendront pas. Et si... Et s'il y avait parmi l'ennemi quelqu'un d'aussi fou que lui ? Que se passerait-il ? J'ai hâte de découvrir les autres personnes qui se trouvent derrière tout ça, les principaux antagonistes de l'arc. Au fait, ce passage... Il est entièrement goldé ! Je ne m'y attendais pas aussi. Si je l'aurais lu avec une boisson, j'aurais été à deux doigts de la recracher ! Sacré Al.
  2. Arsène

    Le Vagabond du Désert

    Ah, te voilà, et pas seul ! Armé une nouvelle fois d'un nouveau chapitre sur les péripéties d'Alestan, je replonge dans ton univers, toujours en évolution. L'histoire commence avec ce bon vieux Al', qui, comme à son habitude, se retrouve en galère d'une manière ou d'une autre. Cette fois-ci, il ne supporte pas la chaleur du désert, et sans eau ni provision, cela se comprend. Cela ne s'est pas toujours passé comme ça (par exemple lorsqu'on quittait un arc pour rentrer dans un autre qui en était la continuité direct), mais j'aime la façon dont débute chaque premier chapitre d'un de tes arcs avec Alestan, qu'on suit soit dès le début ou via les yeux de quelqu'un d'autre, généralement important pour la suite. Ça renforce le côté vagabond un peu paumé du protagoniste qui arrive de nulle part, et je me sens directement accroché dedans, car je n'ai qu'une envie : connaître la destination ! Quel plaisir de constater que ce pan de l'histoire se déroule à Jelaka, un royaume qui n'avait hélas pas encore été abordé en détail. J'ai hâte d'en apprendre plus sur les lieux, de mieux découvrir ses habitants et sa culture. J'ai pu déjà voir leur langue ainsi que faire connaissant avec Eliad. Un prince sans trône qui n'aspire qu'à le récupérer dans le but de restaurer la paix au sein de de son peuple, ceux qui n'ont rien demandé et qui souffrent de la situation. Je le sens fier de son héritage et prêt à endosser son rôle. Il semble s'investir beaucoup dans sa cause, mais n'a-t-il pas été forcé de récupérer un lourd fardeau (bien que préparé depuis sa plus tendre enfance) trop tôt, dans les pires conditions possibles ? La route pour redresser la situation du royaume risque d'être longue et pavée de sacrifices.Ça promet ! J'ai bien envie de voir l'évolution du prince tout au long de l'arc. J'y pense, mais c'est drôle de savoir qu'après chaque aventure, Alestan me reste encore si mystérieux. Il est comme un ami que je chéris alors que je ne sais pas grand-choses de lui, parce qu'à travers ses actes et ses valeurs, j'ai y vu une personne bien, aux milles nuances, digne de confiance. Ha, ha ! J'ai l'impression de me sentir comme tous ceux dont les destins se sont emmêlés un jour avec le sien l'espace d'une petite aventure. C'était sympa aussi de découvrir un côté plus diplomatique de lui, bien qu'il garde son franc-parler, c'est rare ! En tout cas, je me demande quelles sont les forces extérieures qui poussent la reine Yilda à faire appel à Alestan. L'un des Sept fera-t-il son apparition, leurs chemins étant étroitement liés ? Au fait, « radia » veut-il dire « étranger » ? J'essaie de comprendre le langage de ton monde via les gestes et la façon dont est employé chaque mot, et c'est qu'il m'a sonné le plus juste vis-à-vis d'Alestan. Comme « Kalda ! » qui doit certainement signifier « Halte ! » ou quelque chose dans le genre.
  3. Alors, ça y est. Enfin. Félicitations ! C'est mérité, mais le plus dur reste à venir, ne te relâche surtout pas !
  4. Alors, te revoilà avec une toute nouvelle histoire, celle qui était oubliée, ou plus précisément, l'origine d'Alesta. Je ne pensais pas voir aborder ce point prochainement, mais on dirait que tu en avais beaucoup envie. Voici donc ce que tu cachais sous ta manche ! Et ce n'est pas tout ! Je comprends pourquoi tu as certainement voulu en dévoiler plus. Dans ce premier chapitre, on découvre un peuple vivant une utopie : les Aërim. Pour les lecteurs du premier livre d'Alestan, il est facile de faire le lien avec plusieurs éléments de Les enfants Du ciel. Le premier qui m'a immédiatement percuté est Alkaëst, cette pierre dont parla Maëda à Jin aux pouvoirs incommensurables, aujourd'hui divisée en sept. Elle a un nom ! Ensuite, l'avènement du mal aimé qui fait directement référence à Hekaïm. Ah, et je comprends enfin d'où proviennent les noms le nom des sept lames qui furent forgées par le vieux sage. Ce dernier est littéralement le livre, le préquel, qui lie Alesta aux anciens temps. Sa mort marquera le monde. Donc, pour revenir à ce que je disais, les noms des sept sabre sont hérités de ces sept Dieux, Teomë, Etëmi, Miwanë, Helfaïr, Atëa, Nemihel, Aomë. Seulement, on dirait que qu'ils ne sont pas qu'au nombre de sept, comme tu le laisses sous-entendre à ce moment : « Grand est leur pouvoir ! s'écria-t-il devant l'assemblée, un feu ardent dans le regard. Mon esprit les a défié dans leur royaume et je suis revenu ici-bas. Affaiblis certes... Mais le combat a porté ses fruits ! Parmi eux, sept ont accepté de nous venir en aide. ». En tout cas, ils ne semblent plus priés. Non, en fait, je pense qu'il serait plus juste de dire qu'ils ont été oublié. Triste fin pour le roi Arnelion qui sombra dans la folie, créant avec lui la source de nombreux futurs malheurs... La préservation du statu quo et la peur de l'inconnu auront eu raison de lui et de ses suivants. Vouloir éviter l'inévitable peut paraître noble, en fonction du point de vue, mais au final, rien ne changea. Du coup, le même scénario ne se répéterait-il pas avec Alesta ? Je doute que les Hommes de cette époque acceptent ce sombre destin sagement. Ils se battront désespérément... et mourront. Il me semble clair que rien ne pourra empêcher la fin d'Alesta, toutefois tout comme les enfants du ciel avant eux, ils peuvent être porteur d'espoir. La vie ne s'éteindra pas pour autant, et qui sait, trouveront-ils le bonheur sur un nouveau continent. Pourquoi pas ces fameuses terres à l'Ouest où vivent peut-être encore des Aërim ? Quand je pense que les Siècles Obscurs me paraissent tellement loin... Découvrir ce qui se passa encore avant jusqu'à en arriver là me surprend. Ça me prend de court, et ça ne me déplaît pas, car c'est très intéressant ! Sinon, je parle beaucoup des liens qui unissent Les Enfant Du ciel avec ton univers, mais je ne discute pas de l'histoire en elle-même. J'aime beaucoup la narration, ce choix d'alterner entre Firalfyn et Vaënor est plaisant. On suit deux aventures dans une même histoire, deux points de vue, et deux destins liés à jamais. C'est très plaisant de découvrir Alesta sous « ses premiers jours », avant qu'elle ne soit celle que je connais, au point que ce fut un peu difficile de me repérer au début. J'étais complètement désorienté ( bon, un peu encore ) ! Et c'est parfait justement quand ceux qui le découvrent ne savent également rien du monde. Un sentiment d'inconnu et de curiosité s’est instauré en moi, et j'ai eu envie d'en découvrir plus. J'apprécie aussi la différence avec Alestan. Ici, tout est un peu plus direct, et ce parce qu'un chapitre = un événement grosso modo. Sauf si je me trompe plus tard ! Si ce n'est pas le cas, je peux au moins dire que je sens que ce n'est pas construit pareil. Ça lui fait son charme et le rend différent également d'Alestan qui se veut beaucoup plus long, que ce soit dans l'intrigue, le développement des personnages, etc... Pourtant, ça ne veut pas dire que cette structure lui fait du tort. Du coup, je me demande jusqu'où ira Les Enfant Du ciel. Tu comptes continuer jusqu'à la fin de la première génération d'Aërim à Alesta ou, au contraire, t'enfoncer jusqu'à la naissance d'Hekaïm ( et dans ce cas, je te tirai mon chapeau parce que vingt générations avec un background approfondi, ça a dû demander énormément de travail ! ) ? PS : Avec les informations que tu as livrées dès le premier chapitre et la ressemblance de Maëda jeune avec les Varaïm est troublante. C'en est la description parfaite. Serait-il un descendant des Aërim ? Ça expliquerait sa longue longévité, bien qu'elle ne vaille plus celle de ses ancêtres, certainement à cause des métissages. L’œil argenté d'Alestan voit aussi son origine expliquée indirectement dans Les Enfants Du ciel. Il a été dit que Nemihel possède l'esprit d'Hekaïm. Jusqu'à preuve du contraire, car c'est fortement sous-entendu par les paroles de Maëda, tous ses utilisateurs ont hérité de cet œil argenté, propre aux Aërim. Ça prouve que l'âme de l'utilisateur de Nemihel est lié jusqu'à la fin avec celle qui habite le sabre noir. Ça tombe sous le sens !
  5. Voilà fini ! Le premier arc aka le livre un se termine d'une très bonne manière, que ce soit dans son déroulement ou dans sa fin. Des questions ont été répondu, d'autres demeurent en suspens, attendant le moment venue, et des éléments de réponse se forgent également. On commence avec Ren qui s'occupe du cas d'Haruda, impassible dans sa tâche sans pour autant montrer signe d'inhumanité. En effet, le capitaine Raigin ne joue pas avec sa cible et le termine bien rapidement. C'est peut-être son sérieux qui veut ça, mais ses paroles qui semblent laisser paraître un guerrier au lourd sens du devoir et d'application dans sa tâche me font penser le contraire. Le dernier puzzle concernant ce qu'avait Alestan en tête complète les autres parties pour dévoiler ses intentions. Grâce à cela, le royaume d'Elnath possède une infime chance d'en sortir face aux futurs événements, cependant on peut dire qu'Alestan n'a pas fait dans la dentelle, et comme tu l'as dit, c'est un grand calculateur. Rien n'a été laissé au hasard et tout s'est déroulé plus ou moins comme prévu. Tu as laissé plein d'éléments très importants, dès lors où on est un peu minutieux au niveau des détails. Je me rends compte que ton histoire, semblable à la philosophie de Maëda, est un tout. Le premier livre en fait partie. Sans lui, tout s'écroule. On a besoin de lui, et à mon avis, il introduit parfaitement l'univers, mieux encore que l'ancienne version. De plus, tu y as ajouté une pincée de nuance pour tes antagonistes, ce qui renforce la saveur déjà bonne du « prototype ». Les deux derniers chapitres concluent en beauté l'arc, au point que je n'ai pratiquement rien à ajouter... J'ai aimé chaque instant, chaque interaction entre les personnages, le tout dans une atmosphère naturelle et authentique, particulièrement apaisante. Une journée qui s'annonçait mélancolique finit dans la joie, comme le veut la coutume en Daër. Ce fut une excellente idée, une bonne façon de terminer l'arc avec un point positif pour Jin, et bien qu'une mort reste une mort. Oui, rien n'est joli chez le décès de quelqu'un. Toutefois, ce fut raconté d'une façon que je qualifierai de poétique. Le chapitre est vite passé. Si l'âme de Sorina a pu assister à son enterrement, je pense que cette dernière est en paix. Elle peut partir sans regret, car sa petite sœur est entre les mains de bonnes personnes, libérée de ses démons. Maintenant, elle peut avancer. D'ailleurs, le passage où ils se mirent à jouer de la musique, les rimes juste après, les dossiers sur Alestan étaient excellents ! On se croirait presque à leurs côtés. La fin, tout comme le titre du chapitre, définit symbolique ce qu'est le héros : un vagabond qui va et vient selon le vent et son gré. Il ne pouvait pas rester et elle s'en doutait. Ce n'est néanmoins pas un adieu ! Désormais, direction Hekario ! J'ai hâte ! Sinon, je me demande... « Que sa lumière repaisse les étoiles et que ses ombres retournent au néant. » Quelle était cette voix, ce murmure qu'il a entendu alors qu'il mourrait ? Hmm, serait-ce le signe d'une divinité d'Alestan qui s'occuperait des morts ? Je sais que tu caches des choses sur eux ! J'espère qu'on en entendra parler plus tard. « - Des sept sabres, Nemihel est de loin la plus incontrôlable, confirma Maëda. Elle est également la seule qui nécessite une restriction chez son utilisateur. Plus le temps passe, et plus le sceau a besoin d'être renforcé. Je suis sûr que tu avais remarqué l'état de plus en plus instable d'Alestan. Il faisait tout pour le cacher, et je n'ose imaginer depuis combien de jours il a été privé de sommeil. » Enfin ! Je comprends désormais de quoi voulait parler le vieux Maëda lors du quatrième arc à propos de ce qu'il avait scellé chez le sabreur noir. Je l'avais compris lors du chapitre 18, mais ça fait plaisir de le savoir officiellement par la bouche de l'une des figures les plus emblématiques d'Alesta. Question très importante, qui dépasse bien toutes les autres en rapport avec l'intrigue. Tu dois y répondre, c'est une question de vie ou de mort... Voilà. Jin va-t-elle se laisser pousser les cheveux après le commentaire d'Alestan ? Le monde DOIT savoir ! Merci pour ces informations ! Je comprends mieux certaines choses sous un angle différent. La relation entre Nehimel et Alestan m'intéressement beaucoup. J'ai l'impression, qu'ironiquement, qu'elle soit celle qui possède la relation la plus intime avec ce dernier que toutes les personnes qu'il a rencontré et rencontrera dans sa vie. « En tout cas, je suis beaucoup plus attaché à Jin fille que mon premier Jin garçon ^^. Vraiment, j'ai envie de la faire intervenir plus souvent. Donc on va certainement la retrouver un peu plus dans le prochain livre. Ren aussi, qui a eut droit à son introduction dès le tome I ! Je vais donc devoir apporter de nombreux changements pour le deuxième livre... Sans compter qu'il connait désormais Alestan depuis un baille. Qu'ils ne s'entendent pas si bien. Je sens un beau bordel plein d'émotions à venir » C'est bon à savoir. J'ai aussi envie de la revoir et d'assister à son évolution. Tu fais bien de parler de Ren, j'en attends beaucoup de lui. C'est un personnage que je n'ai fait qu'apprécier de plus en plus alors qu'au départ il ne semblait pas bien sympathique. J'ai beaucoup aimé les interactions entre Ren et Alestan, avec leurs caractères bien forgés et très opposés. Ce sera un plaisir de les revoir ensemble pour le deuxième livre ! Allez, bonne chance avec ces deux-là !
  6. J'ai fini le chapitre 18, et je me sens obligé d'abord d'exposer ce que j'ai ressenti avant de continuer... Il s'est passé beaucoup de choses, j'en ressors surpris d'une manière très positive. En commençant avec Sorina et sa trahison inattendue, mais pas imprévisible comme je m'en doutais. Ces années d'asservissement l'ont taché à jamais. Son âme enchaînée, elle finit par retourner vers son maître, Yuzan. C'était assez déchirant, je m'étais dit : « Non ! Impossible... Mais ça change tout ! Comment va réagir Jin ? Qu'est-ce qui va se passer ? ». Au début, je ne savais pas comment réagir. Je pense avoir autant été chamboulé que lorsque Jin l'a apprise au chapitre suivant, néanmoins je ne pouvais la détester. Ou plutôt, je n'y arrivais pas. Tout simplement grâce à mon point de vue de lecteur qui m'offre une vue d'ensemble. J'ai pu savoir ce que pense Sorina, j'ai pu apprendre à la connaître, peut-être pas totalement mais même un peu fut suffisant, et j'ai pu m'attacher à elle. Elle aime sa sœur, c'est un point à n'en pas douter. Je la trouve même admirable. Et comme tout humain, elle a ses défauts et elle fait des erreurs. Pourtant, j'ai l'impression que c'était son destin... À ce moment, Yuzan a dû penser détenir complètement le contrôle de la situation. Sa confiance n'a fait que s’amplifier. Cette dernière phase de l'arc possède une lourde ambiance. L'atmosphère monte encore d'un cran et le ton en devient encore plus sérieux qu'il ne l'était, atteignant son paroxysme. Il n'y a aucune forme d'humour, des situations dures à encaisser pour les protagonistes se suivent les uns après les autres, je n'ai pu sentir qu'un peu d'apaisement en suivant les premières pensées de Jin au début du dix-septième chapitre. Dès lors où le chef du clan Sonata rentre en scène, la réalité m'a rapidement rattrapé... Sorina avait trahi la confiance de sa sœur en choisissant de retourner avec Yuzan, et pendant ce temps, Jin endurait cet enfer dans l'espoir de la libérer. Si je devais exprimer ce que j'ai ressenti en un seul mot, je dirais : « pesant » ou bien « amer ». Après ça, il était facile de sentir que quelque chose allait arriver, mais quoi ? En tout cas, je voyais mal cette histoire facilement se terminer avec un mec comme Yuzan, et ce malgré le plan du vagabond. C'est bizarre, car quand l'histoire était encore près de lui via Jin, je me sentais comme elle : en sécurité, comme si la confiance en soi d'Alestan m'avait directement atteint. Cependant, je n'ai plus retrouvé cette sensation lors de son retour fracassant au Vermeil. Une certaine folie avait envahi notre héros. Ce sentiment désagréable autour de son aura se dévoila pleinement lors de ce chapitre. Le violent combat qui s'ensuivit ne fit que confirmer cette sombre atmosphère. Dans la confusion de ce spectacle macabre, les mots justes et sincères de Jin permirent à sa grande sœur d'obtenir le courage de sauter vers l'autre côté du pont. La balance commençait à pencher vers le côté du vagabond... Et pourtant. Je pense que la situation n'a jamais autant échappé à Alestan. Le choc, la colère, et aussi l'impuissance face à la cruauté du chef du clan Sonata le brisa, perdant ainsi le contrôle de la terrible lame noir. La suite fut, en effet, une vraie boucherie. Et là, en comparant à l'ancien passage, la situation devint plus chaotique qu'il ne l'était à ce moment. Avant, Alestan avait encore le contrôle, et malgré la peur qu'il inspirait et l'horreur qu'il provoqua, les événements ne prirent pas autant une tournure de carnage. Ici, Nemihel se présenta sous un jour encore plus dangereux. Son ombre plane complètement au-dessus de son porteur, l'engloutissant littéralement de sa sombre conscience. Porter une de ces lames est une malédiction. Je n'ose pas imaginer les siècles obscurs en assistant à ce qu'est capable Hekaïm ( qui fut d'ailleurs un peu influencé par Alestan ? Jusqu'où peut-t-il le retenir ? ). Bref, j'ai adoré la fin de cet affrontement. Difficile de dire par contre si je préfère celle-ci ou l'autre. C'est surtout parce que les deux sont très bien adaptés à leurs contextes respectifs, pourtant si proches et si différents dans le déroulement, que je ne peux pas les comparer à ce niveau. Ça ne me fait qu'apprécier ce que tu nous a servi encore plus ! Je reviens donc sur ce que je disais à propos de Sorina. Le destin, « l'imprévisible », a encore frappé. Cette dernière devait retourner vers Yuzan pour la sauver. Car, oui, que se serait-il passé si Sorina aurait trouvé la force de partir chez Maëda, laissant le reste à Alestan et Jin ? Ce soir-là, ils auraient dû pleurer la mort de sa petite sœur. Yuzan a sous-estimé les liens familiaux. Peut-être pensait-il qu'elle était trop lâche pour sacrifier la flamme de sa vie ou peut-être avait-il prévu cette conclusion, croyant ainsi briser son adversaire. À la place, il libéra un monstre. Sur ce, je m'en vais lire la suite... Ah non ? Mon corps m'en interdit et me crie de dormir... Bon, ça sera pour plus tard !
  7. Tout commence enfin à se mettre en place, petit à petit, et j'ai l'impression que nous approchons grandement du climax de l'arc ! De ce fait, je n'ai pas grand-chose à dire, je me laisse porter par le flot de l'histoire, impatient d'assister au final. Le chapitre 13 installe de la tension en montrant la menace qu'est Yuzan. Il possède une grande emprise sur Sorina, et par extension sa sœur, jouant là-dessus pour mener la danse. C'est normal que la grande soeur finisse par se retrouver dans un tel état, surtout après tant d'années d'asservissement. Les liens unissant les membres de la même famille, de sang ou non, sont très forts. Connaissant ces deux femmes et de ce qu'il était capable de faire à travers leurs actes ( Sorina qui se sacrifia pour le futur de Jin, et cette dernière qui tente tant bien que de mal de racheter sa liberté ), il croit savoir sur quels pieds danser. Pour l'instant, dans sa façon de bouger, d'agir, Yuzan déborde de confiance. L'affaire semble presque pliée, et cela n'aurait pas été faux si... Il aurait pris en compte l'avertissement ( plus sérieusement ?) dans ses plans : « Les hommes n'ont pas été les seuls à fouler les terres d'Alesta. Il y a une sorte... Comme une sombre magie à l’œuvre. Notre cible est liée à ces choses-là. ». Je pense qu'il a dû prendre en compte le fait que Jin puisse demander de l'aide à Alestan. Cette dernière soutenait son regard et n'avait pas capitulé devant lui. Elle ne donnait pas l'air d'être désespérée contrairement à Sorina, qui était brisée. Ce fut une épreuve difficile pour la forgeronne. Le chapitre suivant se déroule plus loin dans le futur et intrigue ( ce qui bien évidemment le but ). Alestan a été capturé. Haruda en est même étonné, car ce fut une chose que lui-même ne réussit pas malgré ses ressources. Pensant déjà à l'avenir et de ce qui l'attendait, un nuage sombre enveloppa Shura. Tout cela ne fait penser qu'à une chose, notre vagabond favori a usé de son sabre, mais dans quelles circonstances ? Combien de vies furent arrachés durant ce face à face ? Et surtout, que se passe-t-il ? L'affrontement semble avoir été court, car ce sombre présage se dissipa bien assez vite, signe que le responsable de tout ceci en avait terminé avec le clan Sonata. Sannan risque de tomber sur une vision inoubliable, troublante, et effrayante. Le quinzième chapitre apporta un bon lot d'informations. Il confirme une fois de plus que l'univers est dense. « Les sources d'Alsvior », « Les tisserands d'Iryi », « l'ombre des Chaînes d'Helka ». Des noms de lieux ou de personnes, ce genre de chose que j'aime mémoriser pour plus tard, le jour où ça sera mentionné ! C'est toujours intéressant de lire diverses informations, ça montre que le monde est vivant et ça donne une identité aux objets ( comme ici avec le vêtement ). Outre cela, Gaëlios se montra un peu bavard et parla de la mère adoptive du héros se nommant Elya. Alestan fut un esclave, mais les circonstances de sa rencontre avec cette dernière restent emplies de mystère, tout comme son meurtre. La meilleure sabreuse de sa génération, porteuse de la lame noir, assassinée ? Cela cache quelque chose. Enfin, un Alestan parcourant le monde avec Elya et Nëa en flashback, ça doit être très sympa à lire. En plus, ça permettrait de voir des lieux que tu n'aurais pas pu dévoiler durant le parcours du vagabond qu'on sera amené à suivre. Et comme l'a fait remarquer Kyojin, nous l'avions appris par le passé bien plus tard, lors du quatrième arc, même s'il y avait quelques informations par-ci par-là subtilement cachées. De même pour les sabres et ses possesseurs. Mais pourtant, ça n'enlève en rien le mystère. J'ai plutôt envie de dire que ça l'épaissit. Il y a beaucoup d'éléments, mais compléter le puzzle est impossible avec seulement quelques pièces. Toutes ces pièces se rejoindront en temps et en heure, il ne faut pas juste pas les perdre de vue ! D'ailleurs, je suis heureux de constater le changement de nom des sabres. « Aomë », « Teoma » , « Atëa », « Nëmihel ». Pas que les anciens étaient nuls, peu original. Au contraire, ils faisaient référence à plusieurs éléments de notre monde. C'était sympa. Mais là, c'est encore mieux, car comme je l'ai souligné plus tôt, ça renforce encore plus l'identité de ton univers, de ton appartenance à ce dernier. Je n'ai qu'une chose à dire pour la fin : Alestan. Al est confiant, très confiant. Le doute ne se sent pas, et il ne semble pas du tout contrarié par l'issue. Quel est donc son plan ? PS : Tu es revenu deux fois sur les effets secondaires que Nëmihel procure sur Alestan : l'insistance sur son œil argenté puis ce « autre ». L'autre ferait-elle allusion à cette voix ? Ou bien... à l'âme d'Hekaïm que seul le maître de la lame ténébreuse pourrait entendre ? Mystère, mystère.
  8. Chapitre 11, nous revoilà en présence de Maëda, là où tu nous avais laissés. Jin est sous le choque, c'est compréhensible, tout le monde le serait à sa place. Qui aurait pu imaginer que ce manoir puisse renfermer autant de mystère ? Il était là depuis sa tendre enfance, mais elle n'a jamais soupçonné de telles choses à l'intérieur. Le miroir du chapitre précédent montre donc l'envers de la réalité, ce qui confirme mes propos sur Jin, mais Alestan ? Cette ombre reflète le sabre ou plutôt la volonté qui s'y cache profondément... Dans ce cas, comment peut-elle communiquer avec son créateur ? Le vagabond lui a clairement adressé la parole pour qu'elle aille prévenir Maëda de leur arrivée. Serait-ce justement à cause de ce fait, qu'il soit son créateur, ou y a-t-il une autre explication ? Enfin, tu introduis ensuite un personnage victime d'une malédiction ; Gaëlios, au passé très intéressant. L'exploration des Terres Extérieures, de gigantesques reptiles volants ? Les dinosaures ? C'est là une grande référence à notre monde. Non, les Terres Extérieures sont notre monde à l'époque de la préhistoire... Ce qui veut dire qu'Alesta, le continent oublié, date d'une très lointaine époque. J'ai beaucoup aimé ce détail. Ça nous permet de mieux cerner l'univers, et malheureusement de comprendre son triste destin. Une légende, des contes, voire l'oubli. Une brume entourerait Alesta ? La magie des Anciens Jours ? C'est mystérieux, mais je ne peux pas en demander plus à l'heure actuelle. Tu en reparleras certainement plus tard. Le capitaine Reis Wigbold, j'ai hâte de le revoir et le voir en action pour ainsi apprendre à le connaître ! La guerre des Cent Jours au contexte intrigant est aussi un bon moyen de nous donner des informations sur la relation et les tensions qu'entretiennent ( ou ont entretenu ? ) le royaume d'Albieros et d'Ademar. Il y a un aussi un début de réponse sur le coup d'état qu'à tenter Alestan à Jelaka. Si coup d'État il y a eu là-bas, ce fut évidemment pour renverser le régime actuel de la région. Comment se débrouillent-ils d'ailleurs ? Si je me souviens bien, et si c'est toujours d'actualité, le peuple est divisé en sorte de « clan ». Il n'y a pas de roi ou de reine pour les diriger, personne au pouvoir. Ça semble difficile de s'allier avec eux dans de telles conditions. Le royaume est livré à lui-même. L’étendard sanglant de la guerre se trouve au-dessus de la tête du royaume d'Elnaë, et en plus du ton de la discussion, on sent que la situation est critique. Et de ce que je comprends, Ren est avec eux, obliger le duc à partir à la recherche d'Alestan fait partie d'un plan. Mais en quoi consiste-t-il ? Diviser ses forces, mais pourquoi ? De plus, le capitaine Raigin souhaite la mort d'Alestan. Ils semblent avoir un passé qui se croisa à un moment de leur vie. Que s'est-il passé entre eux ? Savoir que sa cible soit le petit-fils adoptif de Maëda ne semble pas l'empêcher de vouloir le tuer. Hekaïm, la légende du royaume des Yeux d'Argents, Ephaïr du Rocher de l'Aigle, Lëome aux cheveux ardents, Halfael des Rivages Blancs, Agata du Croissant de Lune, Gildaë des Landes du Tigre,Maëda et son frère Apolys, chevaliers d'Aënor. Ces guerriers légendaires ont existé et ont laissé derrière eux un énorme fardeau, ces sept sabres, fragment du cœur d'un esprit d'antan qui ne faudrait absolument pas réveiller, lui et les autres monstres encore endormis. La victoire sur ce dernier ne fut absolument pas sans difficulté, au contraire, et non sans d'énormes pertes. Je suis impatient de voir leur héritage au fil de l'histoire et d'en apprendre plus sur chacun d'entre eux. Et qui sait ? Peut-être qu'à l'instar de Maëda, certains sont encore vivants, quelque part en Alesta. Mais le parallèle avec la première image et la seconde me fait penser le contraire. Je reconnais l'illustre forgeron dans sa jeunesse ( ça se voit grâce aux vêtements et ses sourcils ), accompagné de ses compagnons. L'autre, il est seul, plus vieux et serrant dans sa main gauche leur fardeau. Aussi, Alestan l'a décrit comme le dernier Novaë avant d'entrer au manoir. On ne les verra donc pas physiquement, mais durant un flashback ou en tant que fantôme, pourquoi pas ? Petit détail qui me chiffonne et qui m'avait déjà chiffonné lorsque j'ai lu le premier arc, Maëda peut retirer de son fourreau le sabre d'Alestan. Ça m'intrigue, serait-ce parce qu'il aurait déjà dû quitter ce monde ? Parce qu'il n'est qu'un « fantôme vivant » ? Ou tout simplement parce qu'il fut son ancien porteur, son créateur ? Le douzième chapitre fait souffler autant le lecteur que Jin qui ne peut que subir les événements. Après avoir enregistré toutes ces informations et y avoir réfléchi, son échange avec Alestan fut rafraîchissant et bien choisi. Plus d'informations nous auraient surchargé plus qu'autre chose, sans nous laisser le temps de les apprécier convenablement. Son côté taquin toujours aussi appréciable ressort ici, durant tout le chapitre, mais son côté effrayant s'affirme de plus en plus également comme on peut le constater à la bibliothèque. En tant que l'un des Sept, il possède un côté sauvage et « monstrueux » qu'il cache au plus profond de lui. Comme son irritation l'a montré durant son échange avec son grand-père adoptif, porter ce fardeau n'est pas de tout repos. En fait, lorsqu'elle surnomme de fou, elle n'est pas si loin de la vérité. J'imagine qu'il doit faire beaucoup d'efforts pour rester sain d'esprit auprès de ce sabre. Bref, il est temps d'aller retrouver Sorina. Comme le temps qui tombe sur Shura, les deux derniers chapitres furent le calme avant la tempête. Désormais, c'est l'heure de la tempête. Jin et Alestan quitte le manoir, abandonnant avec eux les songes pour récupérer la réalité.
  9. Je commence mieux à comprendre tes changements, particulièrement ceux de Jin et le personnage de Sorina. Bien que le rôle de ces deux derniers soient rester le même, cette complexité et leur lien familiaux nous permettent de découvrir plus sur ce qui se passe à l'intérieur du clan Sonata. Là où ce n'était pas possible avec Sora ( on remarqua que sans le « in » Sorina devient Sora, belle continuité, ça fait plaisir à relever ), car sa situation était plus compliquée. Jin ne pouvait pas s'approcher, alors on ne pouvait qu'avoir difficilement un point de vue de l'intérieur ( même si faisable, j'imagine ) et les prochaines scènes, comme celle du dernier chapitre. Et ce chapitre 7 nous permet justement de voir en partie la vie de la grande sœur de Jin et sa triste vie, apportant en plus son lot de tensions quant à la suite. La forgeronne se retrouve impliqué dans une histoire inimaginable, mais ce fut un pari qu'elle décida de jouer. Cependant... Sorina risque gros en essayant de la prévenir. Comment vont-elles s'en sortir ? J'y reviens juste après. Oh, alors le sénateur est passé chez Haruda ? Ayame parle-t-elle du seul et l'unique ? Si oui, pourquoi ? Tu y reviendras dessus, j'en suis sûr. Comme à son habitude, Alestan prend vite ses habitudes chez les gens, et il détient cette aura, ce quelque chose de spécial, dont j'ai parlé lors de mon dernier commentaire qui charme les gens. Jin ne fut pas l’exception qui confirme la règle, ayant l'impression de vivre avec lui déjà depuis quelques jours. Un détail intéressant à noter, le vagabond cicatrise plutôt vite pour quelqu'un qui avait encore des blessures assez sérieuses... La veille. Je crois que c'est assez pour se poser beaucoup de questions à son sujet, mais j'ai déjà ma réponse. Il est de même avec d'autres informations ! En tout cas, la prime d'Alestan a de quoi donner l'eau à la bouche à n'importe qui. 150 000 x 100... On monte à 15 000 000 ! Et encore, selon ses dires, celle-ci a probablement augmenté. Avec une somme d'argent pour sa capturer, on comprend facilement pourquoi il siège dans le top 10 des criminels les plus recherchés de l'Union. Mais ça reste beaucoup. Il a quelque chose derrière. Ceci, on l'apprend dans le chapitre qui suit, et ce n'est pas la seule chose. Riche en description, comme l'a commenté Kyojin, on peut constater que les légendes sur le légendaire Maëda ne sont pas du vent. Ce dernier semble carrément vivre dans un autre monde, au point que tout le monde de Jin soit remis en cause par la présence de toutes ces choses surnaturelles. Elle s'en retrouve dépaysée. Une réaction logique, et comme les lecteurs, elle se pose plein de questions sans réponses. Qu'est-ce qu'est l'instrument de la fin des temps ? Les Siècles Obscurs ? Que veut dire Alestan par « la Lame Morte, la Septième et dernière Clef du Cœur d'Hekaïm » ? Et surtout, qu'est qu'un Novaë ? Ce sont vraisemblablement des gardians, mais quand agissent-ils ? En quoi consistent-ils ? De quoi doivent-ils protéger Alesta ? Il y a de quoi réfléchir. C'est pour cela que couplé avec cette atmosphère mystique, à la fois intrigante et effrayante, je n'ai pas pu m'empêcher de me repasser mentalement l'OST que tu avais créé. Elle va encore mieux qu'avant à ce passage. La dernière scène, celle du miroir, est aussi très étrange concernant Alestan. Pour Jin, c'est très logique. Ses rêves d'enfance viennent de devenir réalité, et face à ce lot d'information, ses yeux et son esprit sont en train de tout redécouvrir, de tout voir, comme ceux d'un enfant. Mais concernant l'autre, je commence à croire, grâce à toutes les petites indications par-ci par-là, que cet œil ne lui appartenait pas. J'y crois de plus en plus au fil des chapitres. Aussi, quelle est cette ombre ? La fin du chapitre se conclut avec l'arrivée de Maëda qui les accueille pour le thé. Décidément, le monde de Jin n'a pas fini d'être chamboulé. Je plains le moment où elle devra quitter cet endroit pour faire face à la réalité de ses problèmes : Haruda. Je l'ai sous-estimé légèrement. À la fin du chapitre 7, il avait remarqué que quelque chose n'allait pas, mais je pensais que l'excuse de Sorina passerait sans problème. Peut-être se serait-il douté de rien si elle n'avait pas fait de fausse note au pire moment. Ça + la description du Duc, il ne faut pas plus pour quelqu'un comme lui qui connaît les deux sœurs pour faire le rapprochement. Désormais, le maître du clan Sonata détient une arme de taille. Ce dernier sera prêt à tout pour obtenir un rang de haute noblesse. Pas sûr qu'il tient parole. Au début, je pense, mais si tout ne se passe pas comme prévu, il n'hésitera pas à revenir sur ses mots. C'est l'impression qu'il me laisse. La situation se complique.
  10. Tu es donc sur un projet d'animation ? Mais c'est cool ! Bon courage ! C'est avec enthousiasme que j'attendrai et regarderai le fruit de ton travail. Attends, une vidéo d'animation sur la légende des sept sabres et une autre sur la première minute de l'histoire ? Ça veut dire... Qu'Alestan aura une voix ! Alors, là, je dis « oui » ! Je veux l'entendre. Concernant les chapitres, On reste dans la continuité des trois autres dans laquelle tu installes parfaitement le décor où se déroule l'arc, la ville de Shura, distillant deux trois informations sur l'univers qui peuvent parfois passer à la trappe si on n'est pas habitué à porter la moindre attention au détail. Des informations très importantes. Je pense notamment au dernier chapitre où nous suivons un souvenir de Jin, le jour où elle assista à un maigre cours du grand Maëda. Une personne aux connaissances innombrables qui n'ont d'égales que sa sagesse, et dont le voile mystérieux l'entourant semble difficilement perméable. Un tel personnage ne pouvait que susciter l'intérêt aux yeux d'un enfant tel qu'elle, tout comme il suscite encore et toujours le mien. J'aime beaucoup ce passage parce qu'il présente une certaine innocence qui avait commencé à disparaître petit à petit, exactement comme un adulte qui perçoit les simples faits de la vie d'une manière « blasée », ce qu'elle a fini par devenir, avant de revenir à l'idée de rencontrer la personne qu'elle admire le plus. Mais je m'égare, là ! Je veux venir aux faits les plus importants : cette démonstration sur le stade ultime de la perfection. L'or, la lumière et les ténèbres. Connaissant la légende avant de potentiels nouveaux lecteurs de cette aventure, je ne peux que dire qu'une chose. Il faut retenir les paroles de Maëda, car comme sous-entendu, elles détiennent un lourd sens. Quoi qu'il en soit, de ses grandes connaissances, de ses prises de positions politiques, ou des légendes autour de lui, personne ne reste indifférent face à lui. Ah, on y est bientôt ! C'est un personnage très important qui m'avait manqué, qui est la clé même de cette histoire, et pour tout te dire, je ne suis pas toujours rassasié au niveau des révélations et de son rôle dans l'histoire qui n'avait pas encore atteint son point culminant dans la précédente « interprétation ». Il restait encore beaucoup de choses, j'en suis sûr, et je sais qu'il en reste beaucoup plus à cause de tes ajouts. J'ai hâte de tous les découvrir. N'oublierai-je pas quelque chose, moi ? Ah... Bien sûr... Je n'ai pas parlé de ce cher Alestan. Un personnage, encore une fois, empli de mystère à l'image des griffes du destin qu'il semble prisonnier. Cependant, n'est-ce pas logique pour un être comme lui ? Le doute et la suspicion attendent les vagabonds, une chose que notre héros ne peut se défaire en rencontrant un inconnu. Seulement, il a toujours quelque chose de spécial en lui, un courant qui finit toujours par généralement passer, et ceux qui l'ont rencontré et côtoyé se surprennent à chaque fois de beaucoup l'apprécier alors qu'ils n'ont rien vécu avec lui, seulement échanger quelques paroles ou passer plusieurs jours à ses côtés tout au plus. Et ça ne se limite pas là ! Cette façon de n'être jamais dans la peau d'Alestan, de découvrir à chaque fois de nouvelles choses au moment où on croit commencer à le cerner. Je ne peux parler au nom de ceux qui te lisent et de ceux qui te liront, mais Alestan charme tout autant le monde que lecteur. Ou bien... J'aime juste un peu trop les personnages décalés aux actions imprédictibles, accompagné d'une grande courbe d'évolution. Le genre incontrôlable même auprès de l'auteur qui est pourtant l'inévitable « imprévisible », destinée, abattant lourdement sa plume sans état d'âme, peu importe les circonstances. En tout cas, c'est mon ressenti, peut-être exagéré à cause de ma trop grande affection envers lui, mais je le pense. Puisqu'on est dans le sujet, j'aimerais terminer en basculant sur un détail que j'ai vu revenir. Jin et Sorina ont remarqué toutes les deux qu'Alestan possédait un genre de don pour facilement mettre à nu les gens, ou du moins percer leurs défenses jusqu'au point qu'ils se confient souvent naturellement, se surprenant eux-même. J'avoue que dans le cas de Sorina, l'ambiance s'y prêtait drôlement bien. Il y avait plusieurs facteurs, comme l'alcool. Toutefois, ça recommence dans le chapitre 6, avec une légère insistance sur son regard argenté. Une description qui revient également dans le quatrième chapitre. J'avais déjà soupçonné cette particularité, terriblement bien caché, mais j'ai toujours assimilé cela grâce à sa sociabilité. Mais en y réfléchissant, quelque chose se cache derrière tout ça. C'était comme s'il arrivait à sonder leurs âmes, de voir directement ce que les gens peuvent cacher au plus profond de leurs cœurs. Alestan n'est pas de ce monde, et ça ne me surprendrait pas si cela était possible. D'autant plus que tu m'as déjà dévoilé que cet oeil n'est pas anodin et détient son importance.
  11. Eh bien, il y a une chose que je dois souligner avant de commenter les petits changements... C'est toujours aussi propre ! Vraiment, ton style se lit toujours tranquillement, sans qu'on ait forcément besoin de se relire pour comprendre. On ressent ce qui se passe, et je trouve toujours tes dialogues très naturels. En plus, il y a une très bonne harmonie avec la description. Je note aussi de l'amélioration au niveau de ton coup de crayon ! Alestan dont le regard est toujours aussi perçant, on sent bien ton style, surtout au niveau des couleurs. Et ce paysage avec la brume noire au loin du vagabond, avec ce coucher de soleil, dégageait un certain charme. Une image de Shura pour le prochain chapitre puisqu'on s'y dirige ? Maintenant, passons à l'histoire. Je reconnais Alestan, avec son humour et ses répliques qui marchent à chaque fois, la ville de Shura et sa notoriété pour ses sabres, mais aussi le fait qu'elle abrite le légendaire Masamune, le prénom de Jin, etc... Pourtant, je ne lis pas la même chose. La légende reste inchangée, seuls les détails la parsemant le sont. C'est fou ! Pour être honnête, c'est un peu excitant de se demander : « Mais qu'est qu'il me réserve encore ? ». Tout est en mouvement, et pendant que moi je vis ma vie, je réalise pleinement maintenant que ton histoire continue de s’enrichir, encore et encore ! J'ai l'impression de tout savoir, mais aussi de rien connaître. Je ne sais pas ce qui peut se passer, et j'ai vraiment hâte de connaître la suite. Le fait que Jin ne soit plus un homme mais une femme, ça change vraiment beaucoup de choses. À moins que tu sois en train de nous prendre tous à revers, et que le personnage de Jin existe encore, quelque part. Je te vois venir, là ! Cependant, le destin fait que ces deux personnages se croisent encore, sur un pont, dans des circonstances liées au hasard. Il était là quand Jin passait par là, ni plus ni moins. C'est ainsi que commence cette histoire. Je ne pensais pas revoir le capitaine Ren Raigin aussi rapidement. Son arrivée introduit plus rapidement l'union des Cinq Royaumes et son influence, nous livrant avec lui des informations géopolitique sur le monde d'Alesta qui auront leur importance. Avec toi, il faut toujours prendre conscience des détails, parfois flagrant, d'autres beaucoup moins, à relier tôt ou tard à un moment de l'histoire. Là, il y a deux nouvelles informations qui m'ont particulièrement retenu l'esprit. Premièrement, Alestan appartiendrait à un monde depuis longtemps oublié ? Que cela veut-il dire ? Fait-il référence au fait qu'il soit l'un des Sept, et par conséquent, de la légende longtemps oublié et de sa destinée ? Deuxièmement, il souhaiterait aussi le rencontrer, mais pourquoi ? Je n'ai pas de réponse, bien que j'aie ma petite idée. J'attendrai plus d'informations. Donc, il existe dix criminels très recherchés par l'Union... Je me demande si nous croiserons l'un d'eux au fil de l'aventure. Ah, j'ai aussi appris quelque chose d'intéressant sur mon vagabond favori ! Son coup d'état sur le territoire de Jelaka. C'est la première fois que je lis ceci, et ça m'intéresse beaucoup, tout comme son crime envers la royauté d'Ademar dont tu n'en as pas dévoilé plus auparavant. Je ne peux qu'attendre de recevoir des informations, mais comme c'est le passé du personnage principal, je peux encore patienter un bout de temps. Enfin, je sais que ça viendra en temps et en heure, et l'importance d'y revenir avec. Pour l'instant, nous sommes à Shura, concentrons sur ce qui va suivre. En tout cas, ça fait plaisir de le revoir Ren. Un personnage que j'ai beaucoup aimé suivre durant le deuxième arc, et même plus tard, de par son charisme, son sang-froid, de son caractère qui donne de drôle de situation face à des personnages qui lui sont totalement opposés, et de ses interactions. Les Sept font toujours ressentir toujours autant de crainte et de mystère dès lors qu'on croise leur route. Ils sont à l'image de leur sabre, ils semblent faire partie d'un grand tout qui dépasse l'entendement. En attente du prochain chapitre !
  12. Un chapitre très intriguant, dans la continuité du précédent, j'ai envie de dire. Alors voici où atterrit Xeronas en traversant cette mystérieuse porte : le jardin des secrets. Un lieu étrange à la frontière du rêve et de la réalité qui représente le cœur et les secrets d'une personne, en l'occurrence Aurore. Son hôte, un personnage atypique, n'est pas étonné de la visite d'un humain, et selon ses paroles, ce ne serait pas la première fois que ça arrive. Du coup, je me demande bien qui a bien pu contrôler Aurore pour l'y emmener. D'ailleurs, première question, pourquoi ici, à Lansnord ? J'ai remarqué que tu fais référence au design sur la porte des maisons... Les fumerolles se retrouvent à Lansnord et sur les portes fermées des souvenirs d'Aurore. Sans aucun doute, ce village cache bien quelque chose, on ne risque pas de vite en terminer avec ces mystères. Une chose qui se confirme de plus en plus avec la tragédie que Xeronas entrevit, et puisqu'il se trouve dans le jardin des secrets de son amie, quel lien ce fragment d'histoire a-t-il avec Aurore ? Inutile de se tracasser la tête, les réponses vont venir d'elle-même, j'imagine. Le contexte se présente vite : Xeronas doit retrouver sa compagne au cœur de son âme, un moyen souligné par Bloody qui lui permettrait d'en apprendre plus sur elle. Je pense aussi que cela les se rapprochera dans un certain sens. Elle ne semble pas être quelqu'un qui se confie facilement en révélant ses terribles regrets. De plus, notre héros n'est pas du genre bavard. Peut-être que cette expérience lui donnera également envie de lui raconter quelques bribes de son passé, ou du moins d'être plus détendu, naturel, moins « sur ses gardes à ses côtés ». Mais attention... Les secrets ne le sont pas par hasard, il y a souvent une raison. Que ce soit un moment douloureux qu'on ne souhaite pas partager, un moment de honte auquel on tient absolument à garder au fond de nous, ou bien quelque chose qu'aucun ne doit savoir. Bref, il aura bien de la peine à traverser toutes ces portes qui peuvent le conduire tout droit vers sa propre mort. Y arrivera-t-il ou sera-t-il interrompu durant sa quête ? C'est ce qu'on dirait au vu de la fin de chapitre. Cet inconnu connaît Fardor et inversement, d'après sa remarque qui me semble sur un ton familier. Il a réussi à rentrer dans ce monde, mais comment ? La porte qui a attiré nos jeunes Heartseeker est-elle toujours ouverte ? A-t-il un moyen d'y pénétrer à volonté selon son envie grâce sa relation avec le lutin des nuits ? Que de questions !
  13. Jimbox, te revoilà de retour... Avec un prologue bien intriguant ! Et ce, pour deux choses à mes yeux : le titre qui est cité à l'intérieur et cette voix qu'entend ce mystérieux inconnu. *clin d’œil* J'ai reconnu tous les éléments que tu présentes. Je sais ce que tout ce que cela représente, en particulier ce pont. Ah oui, là où tout a commencé, là où la vie d'un jeune homme en ressortit changée à jamais... À moins que je n'aie rêvé ce jour-là ? Qu'est-ce qui est différent, qu'est-ce qui ne l'est pas ? Vers où nous conduiras-tu, nous, lecteurs, pauvres témoins impuissants de cette histoire ? Quant à ce je ne connais pas, j'ai bien une première idée en ce qui concerne ce murmure au pouvoir de prédiction, mais il est trop tôt ! Hélas ! Les pièces du puzzle sont encore incomplètes. Il manque encore des éléments. En attente du grand commencement de cette aventure !
  14. Me voilà, je ne t'ai pas oublié ! En fait, j'ai lu tout ça le jour où tu l'as posté, mais je voulais donner mon avis seulement après avoir bouclé le premier chapitre de mon histoire ( seulement à l'écrit pour l'instant ! ) que je risque de poster ici lorsque je serai assez confiant et satisfait. Sauf que, eh, eh, ça fait déjà trois semaines, j'ai eu plusieurs complications, alors je me suis dit que je vais finalement te répondre. Mieux vaut tard que jamais. Assez parler de moi, passons à la suite. Donc, j'ai lu l'interview et le chapitre, et je n'ai qu'une chose à dire : bon travail. C'est admirable, courageux et encourageant. Concernant l'histoire, tu connais mon avis. Je note juste quelques légères différences et l'ajout de quelque scène humoristique. Sur ce format, ça rend très bien. Je souris toujours autant face aux répliques d'Alestan. Mais comme tu t'y attends ( et surtout c'est que tu recherches), venons aux critiques. Je crois qu'on a dû te le répéter souvent dans les commentaires, mais tu vas devoir travailler le corps humain, les plis des vêtements ainsi que la perspective mais pas au niveau du décor. Car même si tes scènes d'action possèdent un certain dynamisme, c'est le point faible de ton dessin. Je dirais même de tout dessinateur débutant. Une fois maîtrisé, tu auras l'impression d'avoir compris le monde. Selon moi, c'est les gros points à améliorer. S'entraîner, s'entraîner encore et encore, tu finiras un moment par voir de toi-même les améliorations. L'anatomie peut en décourager plus d'un, il faudra s'armer de courage. Un petit conseil, n'hésite pas à utiliser des références pour étudier notre corps. Le meilleur sujet au début, toujours disponible et sous la main, c'est nous-même. Je comprends à quel point ce sera difficile, étant moi-même débutant. La route sera longue et périlleuse. Parfois, ma motivation baisse pour X raisons, c'est le genre de chose qui arrive. C'est pourquoi il faut s'accrocher. En tout cas, je te souhaite bon courage, tu as mon soutien ! Sinon, juste une petite chose, je suis jaloux de tes décors, particulièrement de la case consacrée à Shura. Là, je me dis qu'il me reste encore beaucoup de travail. Ça fait toujours plaisir de voir les autres se démener sur ses projets. En quelque sorte, ça attise une braise en moi, et une voix me chuchote dans la tête : " tu ne dois pas perdre ". Concernant l'interview, c'est toujours intéressant d'en apprendre plus sur toi, tes inspirations, et les thèmes de l'histoire. Personnellement, j'ai adoré. La mise en scène qui nous plonge en plein cœur du combat à venir, très bonne idée ! Mais... Tu n'as pas le droit de tease la suite de l'arc de cette façon ! Bon sang, mais qu'est-ce qu'il s'annonce épique et mémorable. Cette bataille surpassera celle du deuxième, c'est sûr. Les flammes de William qui prennent la forme de Neriamar. Du coup, après avoir terminé les pages restantes, tu comptes reprendre et finir le quatrième arc à l'écrit ou bien comptes-tu concentrer tous tes efforts à améliorer ton coup de crayon ?
  15. Mais c'est une très bonne nouvelle ! Je suis content pour toi que le projet ne soit plus au point mort. Les dessinateurs ne courent pas les rues comme on dit, et ça a dû être difficile d'en retrouver un autre. En attente des prochaines nouvelles désormais !
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