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Ange


Hitsugaya Tôshirô
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Bonjour deidara.

 

Non, tu as raison c'est bien un chapitre de transition mais maintenant que j'ai posé les bases du monde de "Angel" je vais pouvoir axer mon FanFic vers quelques choses que tu aimes: les combats.

 

Bon pour faire directement le tri afin d'éviter toute confusion, la jeune fille qui rêve c'est mon fil rouge donc il y aura des apparitions et des fois on ne parlera que d'elle enfin c'est moi qui vais en décider donc à tous merci de me lire et accessoirement de laisser un petit post.

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salut.

Alors j'avais raison. mais c'est bien de commencer comme ca je préfére ^^.

 

Bon la suite les combat (ALLELUIA mdr :D ) j'espère qu'il seront acharné et même peut etre des mort surprise car pour l'instant il n'y en a pas eu beaucoup c'est dommage :'( lol.

 

Tu as introduit cette fille ce n'est pas pour rien j'aimerai bien voir se qu'elle peut faire, elle peut peut etre changé le monde je sais pas.

 

Donc j'attend la suite de tes chapitres previens moi ok merci, allé cyao continu comme ca.

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  • 2 weeks later...

  Oyo !

  Une saison 2 qui commence là où la première s'était achevée, à savoir sur le début de l'apprentissage de Florian dans le but de matérialiser Seigi. Avec, en prime, l'introduction d'une mystérieuse jeune fille faisant des "rêves" (je dirais plus des visions, même ^^) mettant en scène... Mettant en scène qui, d'ailleurs ? Un membre de la confrérie du Mal cherchant de nouvelles recrues ? Ou alors quelqu'un d'autre ? Mystère pour l'instant ^^

  Et tu nous promets des combats dans quelques temps, voilà qui est parfait  :D

  Voilà voilà, malgré quelques maladresses au niveau du style, des temps et de l'orthographe, ça continue de s'améliorer. J'attends de voir si tu vas poursuivre cette améliroation dans tes prochains chapitres... Bon courage !

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  • 2 weeks later...

Bien voila 2 chapitres que je mis beaucoup de temps à confectionner et avec toutes mes exscuses pour cette attente sans plus attendre les stars :

 

 

III) Patient et dur

 

Florian était toujours assis. Mais à chaque fois un insecte ou des fourmis dans le corps venait le déranger dans son exercice. Et le vent ne l’aidait dans sa recherche de calme et de sérénité. Nicolas le regardait, caché derrière un arbre quand même assez loin. Il pensa :

 

« - Alalala sa va être difficile, voir très difficile. Bon il serait temps de reprendre ma surveillance. »

 

Il partit en marchant, tranquillement, les mains coinçaient dans son jean un peu trop court pour lui. Florian souffla de dépit, rechercher le calme absolue et l’immobilité parfaite s’avère très difficile. Puis lui vint une idée, il prononça : Seigi. Il put voir devant lui une hombre prendre des traits humains, il semblait un peu plus vieux, ces cheveux étaient plus longs.

 

-«  Tu vieillit mon gars ! Dit Florian un peu maladroitement.

- Que me veux-tu Florian ? Répondit Seigi d’une voix rauque

- Je voudrais des conseils pour maîtriser la Terre.

- Bien pour maîtriser il faut être comme la Terre, celui-ci perdure depuis des siècles donc tu devras être patient. Cette même Terre est robuste donc tu devras être aussi dur qu’elle.

- Patience et dureté, ok c’est noté.

- Et puis, la Terre, c’est une façon de penser. Cette façon de penser c’est rentrer dedans sans poser de question ; un problème ? Tu le défonces ! Faire face au problème même les plus durs.

- D’accord Seigi.

- Bien. »

 

Florian se leva, se dégourdit les jambes ainsi que les bras. Après quelques minutes d’étirements il se rassit, ferma les yeux et se répéta les paroles de Seigi : « Patience et dureté ». Heureusement que le karaté l’avait rendu calme et patient bien avant ce qui la l’aide un peu. Il resta assis pendant une bonne vingtaine de minute mais rien ne se passa. Il se releva se dégourdit un peu sur un son de Madcon qu’une bande de jeune faisait chanter d’un volume assez élevait ce qui ne pouvait que le déranger dans sa tentative de calme et de patience. Une bonne heure se passa sans résultat. Après les jeunes ce fut au tour des cyclistes et de leurs sonnettes aux sonorités aigus, après ce fut les voitures et leurs klaxons ainsi que leurs bruits moteur effrayant. Ca y est l’heure de pointe, 11 heures à partir de maintenant le lac deviendrai trop bruyant. Il se releva et repartit chez lui. Une fois chez lui il mangea en compagnie de sa famille, au moins il lui restera l’après-midi pour se reposer et demain matin il faudra absolument faire des progrès sinon il lui faudra faire ça en même temps que ces heures de lycées. Il passa l’après-midi a regarder la télévision en faisant des tours sur Internet et sur différent forum et site. Il reçut un appel téléphonique de Nicolas :

 

«-  Alors tu es où Florian ? Demanda Nicolas assez inquiet.

- Moi, je suis chez moi depuis 3 bonnes heures.

- Tu aurais put me prévenir au moins ! Dit Nicolas sur un ton d’agacement.

- J’ai ton numéro de téléphone ?

- HeuHeuHeu…Dit Nicolas d’un air imbécile

- Non. Coupa net Florian.

- D’accord, bon maintenant tu l’as alors plus d’excuse.

- Il est enregistré.

- A demain matin et en pleine forme.

- D’accord. »

 

 

IV) Recherche de la solution

 

Ce soir là Florian se coucha très tôt pour être en forme le lendemain pour réussir ce fichu exercice de merde. Dans son rêve, il se trouva à nouveau dans cette pièce mi-sombre mi-éclairée. Il y avait Seigi qui attendait face à lui, survolant, les traits de son visage indiquaient une certaine contrariété.

 

« - Tu veux le pouvoir de la Terre, Florian.

- Je veux la maîtriser Seigi. Tous deux semblaient ne pas vouloir perdre leurs temps en politesse.

- Je vais t’aider alors, car c’est ce que m’incombe mon rôle d’Ange. Il faut que tu cherches dans tes souvenirs le moment où toi tu étais fort, dur, patient, combatif. Lorsque tu l’auras retrouvé essaie de ressentir à nouveau cette sensation, ceci te permettra de maîtriser la Terre.

- Merci Seigi.

- Fort, patient, robuste, combatif ; voila ce que tu dois être ! Florian ! Hurla Seigi »

 

La suite de la nuit se passa très bien, le matin il se leva en sautant du lit avec un bond d’au moins 1 mètre. Comment j’ai fais ça, se demanda t-il en se regardant les pieds et les mains. Bon pas le temps de rêvasser, il faut que je réussisse à tout prix. Il avala son bol de céréales à une vitesse incroyable, pris 2 Kinders au chocolat puis une part du croquant aux pommes préparées par sa mère hier soir. Il préféra descendre les escaliers plus tôt que d’attendre l’ascenseur après tout il faudra être « dur » pour réussir cet exercice. En sortant de chez lui il vît deux personnes se tenant debout en face de chez lui à une bonne quinzaine de mètres ils étaient habillés d’un long manteau de cuir de couleur noir, ils portaient tous les deux un chapeau noir ainsi qu’une paire de gants en cuir, un pantalon en toile noir assez souple, en enfin des lunettes noires sur leurs visages. Néanmoins l’un des deux était plus petit d’une dizaine de centimètre en tout cas Florian en pensa que si ils voulaient se faire remarquer ils s’y étaient pris de la bonne manière. Bref il était pressé et de toute façon si ils lui voulaient du mal il y avait toujours Seigi. Il courut en direction du lac, une fois arrivée il vît Nicolas debout Habillé d’une veste blanche ainsi que d’un jean délavé.

 

« - Je suis prêt pour l’exercice. Dit Florian sur un ton solennel

- Bien, alors entraîne toi durement.

- Bien sur ! Dit Florian en hochant la tête. »

 

Pendant ce temps toujours en face de l’immeuble, le plus petit des deux hommes dit :

 

« - Tu es bien pressé aujourd’hui, pourquoi cette précipitation ?

- Mêles toi de ce qui te regarde mon vieux, ce sont mes affaires et pas les tiennes.

- Très bien monsieur fait ce qu’il veut, et bien fait ce que tu veux alors ! C’est toi qui as voulut venir ici pour…

- Tais-toi ! Coupa le plus grand. La prochaine fois que tu penses à nouveau à parler de nos plans en place publique, je te châtie aussi sec. C’est clair ! Dit il en regardant son comparse dans les yeux.

- Très clair. Dit le petit d’un souffle et d’une petite voix pour ne pas risquer d’énerver son compagnon.

- Ravie de voir que nous sommes sur la même longueur d’onde. Maintenant allons à l’endroit suivant si tu veux bien. »

Il se retourna et petit lui emboîta le pas.

 

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  • 1 month later...

Voici le chapitre suivant. Maintenant je ne posterai que 1 chapitre car les études avant tous désolé pour mes fans.

 

 

V) Se surpasser

 

Florian alla se poser sur le sommet de la colline qui surplombait le lac. Il faisait un peu frais, avec un léger vent qui balayait le lac de toute sa longueur, vu le temps maussade personne ne viendrait le déranger. Bon maintenant il était l’heure de se mettre à cet exercice. Il s’assit en tailleur, les deux poings fermaient se touchés, le dos droit, la tête relevé. Il fallait fouiller dans sa mémoire l’instant où il était fort, patient, dur comme la terre. Il se retrouva dans la pièce mi-éclairée, mi-obscure. Seigi l’attendait :

 

« - Te voila enfin Florian, nous allons pouvoir commencer à chercher. Pour cela il faut que tu penses à ce souvenir et cette pièce ferra le reste. »

 

La pièce se transforma en tourbillon, Florian se retrouva dans une salle pas trop grande, sur un tatami et puis la salle s’éclairait et il se vît en train de combattre. C’était ce souvenir où il se sentait le plus fort. Florian avait à peu près deux ans de moins, il bougeait autour d’un mec plus grand que lui et plus large. D’un coup Florian avec sa jambe arrière droite alla le frapper dans le bas de l’abdomen avec un coup de pied circulaire, puis avec sa jambe gauche, celle d’appui il se décala sur sa droite et avec sa jambe droite, celle qui a frappée, toujours en l’air il la leva au niveau de la tête et grâce au genou il contourna la tête de son adversaire par sa droite pour, avec son talon, lui frapper derrière la tête. Puis il la ramena à terre, puis il se désaxa pour éviter une possible contre-attaque, maintenant qu’il l’avait énervé il fallait rester mobile et patient pour pouvoir le sécher en un seul coup. Ils bougeaient autour de la salle tout en se défiant du regard. Florian vît le géant avançait vers lui et à ce moment il décala sa jambe gauche qui était devant sur la gauche, il fléchît sa jambe droite, qui était en arrière, il tourna ses hanches pour envoyer son poing droit, qui était en retrait, tous en déployant son bras. Le choc fût terrible et l’adversaire de Florian partit en arrière, atterrit sur les fesses avant de s’étaler les bras en croix sur le tatami. Il avait gagné ! Après avoir vu cet épisode Florian qui survolé dans la salle vit un halo de couleur vert l’envelopper puis ce halo apparut sur lui. Seigi parla :

 

« - Maintenant tu n’as plus d’excuse. »

 

Lorsque Florian revient à lui, sur la colline, il sentit une force incommensurable l’envahir, une lumière verte dansait dans ces yeux puis avec son poing droit il frappa la Terre qui s’ouvrit sur une trentaine de centimètre devant lui. Il se releva, toujours avec cette lumière et cette puissance, il serra ces deux poings devant lui puis les leva tous les deux au-dessus de sa tête. Il décala sa jambe gauche, pour bien la fléchir, il tendit la droite, le bras gauche était replié devant son front, le bras droit était tendu devant lui. Et là, la force de la Terre entra en lui. Des lumières vertes sortirent de la craquelure et l’enveloppèrent puis elles rentrèrent par sa bouche, ses yeux, ses oreilles, son nez, Florian était toujours en position. Puis il revint debout, il possédait maintenant la puissance de la Terre. Nicolas qui était adossé à un arbre à une vingtaine de mètre avait observé toute la scène, il souri et il pensa « Il a réussi, il a un bon héritage faut dire. Je pourrai lui apprendre beaucoup de chose. » Puis il s’en va. Florian, quant a lui, tout content d’avoir réussi rentra chez lui. Puis les deux hommes de noir vêtu arrivèrent, le plus petit dit

« - Bien joué ! Chapeau.

- Je sais répondu, celui qui devrait être le chef

- Quelle est la prochaine destination ?

- Chez nous.

- Bien. »

 

Ils marchèrent tous les deux droit devant eux et ils disparurent soudainement formant des cercles concentriques dans l’air.

 

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A croire que je suis en pleine bourre niveau imagination :

 

VI) Visite fructueuse

 

 

Deux personnes, une femme et sa fille, attendaient dans une salle assez petite. Il y avait quatre fauteuils et trois chaises, la seule fenêtre était cachée par un rideau gris qui laissé passer très peu de rayon de lumière. Elles entendaient le tic-tac de l’horloge de la pièce qui se trouvait en haut de la porte. Aucune des deux personnes ne se parlaient, ne se regardaient. Quelques instants plus tard, une dame en chemise d’infirmière vint les chercher :

 

« -Kaïla ? Demanda l’infirmière

- Oui, répondit la jeune fille

- Par ici, mesdames. Dit l’infirmière en faisant un signe de la main. »

 

L’infirmière les conduit à un bureau, il était assez encombré. La moindre parcelle de mur était recouverte par une bibliothèque avec divers ouvrages qui à leur tranche venaient de différente époque, un bureau en bois massif était posé au milieu de la pièce, le fauteuil qui était derrière était retourné. L’infirmière indiqua le nom de la patiente et s’en alla. Une fois la porte fermée une voix grave se fit entendre :

 

« - Bonjour.

- Bonjour, répondirent la femme et  la fille un peu surprise.

- Alors comme ça vous voulez une consultation ? Dit-il d’un ton intéressé.

- Oui dit la mère, nous la voulons. En tout cas moi je la veux car ma fille n’a pas l’air de se rendre compte.

- D’accord, interrompit le professeur avec la main toujours sur son fauteuil, dos au patient.

- Que pouvez-vous me dire à ce sujet. Toujours avec ce ton, on dirait qu’il est obsédé et surtout il laisse sa voix en suspens à chaque fin de phrase.

- Ma fille fait régulièrement des cauchemars, la dernière fois elle s’est même évanouit !

- Bien, bien, très bien même…

- Je ne trouve pas ça bien, moi. Rétorqua la mère.

- Mais cela m’aidera beaucoup dans mon investigation voyez-vous. De quoi rêvez-vous jeune fille, Kaïla c’est ça.

- Oui monsieur, et bien je rêve de deux personnes qui se tiennent debout sur un pont face à face et il parle d’un groupe Maître Elémentaire et Gardien et ils ont l’air de vouloir se battre.

- Bien, très bien… Nous progressons. Pour la prochaine séance je voudrai que tu dessines ton rêve, ce pont, les deux personne enfin tout ce que tu pourras. Et pour l’heure voyez avec l’une de mes assistantes.

- Bien, monsieur, au revoir, dirent les deux femmes.

- Au revoir, Kaïla. »

 

Elles sortirent de l’hôpital, et entreprirent une discussion :

 

« - Tu l’as dégotté où ce médecin ? demanda la fille

- On s’en fiche du moment qu’il te guérisse, répondit froidement la mère. »

 

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  Yo, comme demandé me voici pour un petit commentaire ^^

  Bien, l'apprentissage de Florian semble prendre un coup d'accélérateur, il est arrivé facilement à s'approprier le pouvoir de la terre... D'ailleurs la remarque de Nicolas "il a un bon héritage", n'est surement pas là pour rien. Est-ce qu'il parle de Seigi, ou bien d'autre chose que nous ne savons pas encore ? ^^

  Ces deux types en noir, dont on ne sait rien pour l'instant, sont assez intriguant. Ils semblent surveiller Florian, mais pourquoi, pour qui ? Mystère, pour le moment.

    Sinon tu continues sur cette jeune fille qui a des visions dans son sommeil... Son médecin à l'air un peu trop excité par cette histoire. Serait-il de mèche avec les vilains ?  :D

 

  Que de questions. D'un point de vue purement formel, maintenant, tu continues petit à petit à t'améliorer, mais il y a toujours des fautes de conjugaison par ci par là, et certains descriptions sont un peu fouillies (notamment quand Florian se remémore son combat de Karate). Pense à ne pas faire de phrases trop longues, quitte à faire des pauses entre chaque action.

Par exemple, je prend cette phrase :

D’un coup Florian avec sa jambe arrière droite alla le frapper dans le bas de l’abdomen avec un coup de pied circulaire, puis avec sa jambe gauche, celle d’appui il se décala sur sa droite et avec sa jambe droite, celle qui a frappée, toujours en l’air il la leva au niveau de la tête et grâce au genou il contourna la tête de son adversaire par sa droite pour, avec son talon, lui frapper derrière la tête.

 

En travaillant un peu, on peut arriver à ça :

Brusquement, Florian lui frappa le bas de l'abdomen d'un coup de pied circulaire droit, puis se décala en pivotant sur sa jambre d'appui. Sa jambe droite, toujours en l'air, se porta au niveau de la tête de son adversaire et, d'une flexion du genou, la contourna. Son talon alla ainsi lui heurter l'arrière du crâne.

Par exemple ^^ Il y a plein de façon de l'écrire, à toi de trouver celle qui te plait, l'important étant que ça reste lisible et clair. Essaye également d'éviter les répétitions (ici, jambe et tête).

 

Voilà, en éspérant d'une part que ça t'aide, et d'autre part que ça te donne toujours autant envie d'écrire, je te dis à bientôt  ;)

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  • 2 weeks later...

Voila la suite en espérant qu'elle vous plaise (spécial dédicace à deidara)  ;D

 

 

VII) Le deuxième élément

 

 

Après une bonne nuit de sommeil Florian revint sur les lieux de son exploit et y vis Nicolas qui entama la conversation :

 

« - Bien dormit ? Demanda t-il en faisant un signe avec ses sourcils

- Assez bien répondu Florian en haussant les épaules.

- Très bien tu as maîtrisé la Terre, maintenant passons au deuxième élément : l’Eau. Pour cet exercice il te faut un point d’eau plus ou moins proche. Il se tourna vers le lac. Et en voici un, d’abord il faut être gracieux puis fluide et enfin concentré, désolé je ne peut te faire une démonstration alors bonne chance il faut que je me sauve, dit-il en regardant sa montre. »

 

Et il partit en courant, « bon, et bien allons y ! » se dit Florian. Il s’accroupi et respira lentement. En faisant ainsi il se retrouva dans cette pièce mi-obscure mi-éclairée et cette fin sur la ligne qui sépare c’est 2 partit il vit une émeraude verte avec un halo de 2 couleurs qui l’entouraient l’un noir et l’autre blanc et chacune de c’est couleur était dans sa partie opposé. Seigi apparut derrière ce joyau et parla :

 

« - Voila l’émeraude verte de la force, Florian. Dit-il d’une voix grave.

- Ha répondit-il d’un air dubitatif

- Chaque capacité ou élément que tu arriveras à maîtriser te ramènera 1 joyaux de ce genre et c’est joyaux me donneront leurs pouvoirs lors de mes prochains affrontements.

- Ok, tu sais pourquoi je suis ici non ?

- Tu veux voir tes souvenirs pour acquérir une maîtrise. Suis moi »

 

La pièce se mit à tournoyer, à tournoyer, à tournoyer et elle finit par s’arrêter.

 

« - Que se passe t-il demanda Florian ?

- Aucun souvenir ne correspond à ton souhait. Dit gravement Seigi

- Quoi ! Mais comment je vais faire moi !

- Invente le tout seul. Et il partit»

 

Florian se réveilla brusquement et rumina, comment pourrait-il être gracieux lui qui est fort, rigide et puissant. Il fallait trouver quelque chose et vite ! Il retourna chez lui et visionna sur Internet des heures de films et démonstrations de comédie musicale ou ballet. Au bout de 3 heures il avait sa dose de classique pour toute sa vie. Nicolas qui faisait sa ronde dans un quartier assez chique se disait « Sa va être dur mais on y verra plus clair après ! » Puis des cercles concentriques apparurent devant lui et en une fraction de seconde 2 hommes de noir vêtu étaient apparu. Nicolas les regardait stupéfait :

 

« - Je peux vous aidez messieurs ? Demanda t-il d’un air désintéresser

- Assurément Nicolas, répondit le chef d’une voix assuré

- En quoi alors ? Demanda Nicolas »

 

Le chef de 2 hommes tendit la main et une boule de feu se forma dessus et son acolyte joigna les deux mains paume contre paume et un tourbillon de vent l’enveloppa.

 

« - Va y avoir du sport ! Dit d’un air jouissif Nicolas

- Commençons ! crièrent les 3 protagonistes »

 

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Sa sent les vacances non ? Et bien en voila la preuve un chapitre tout beau tout chaud !

 

 

VIII) Affrontement

 

Le chef lança sa boule de feu, Nicolas esquiva en se déplaçant sur sa droite. Le deuxième homme lui fonça dessus avec toujours sa sphère de vent, il rentra en collision avec Nicolas avec une force impressionnante, il fut projeté à cinq mètres, allongé de tout son long. Nicolas était déjà mal en point ses vêtements était déjà déchirer avec des trous partout. Il se mit sur un genou et posa ses deux mains sur le sol, une fissure en résulta et alla en direction des deux hommes, ces derniers esquivèrent de chaque côté. Nicolas surgit dans les airs devant le plus petit de ses adversaires, qui avait toujours sa sphère et le frappa avec un gant de terre se qui transperça sa protection. L’adversaire avec ses boules de feu coura dans sa direction en lui envoyant mais Nicolas se protégea ave son gant, ils finirent au corps à corps Nicolas avec son gant se retrouva inefficace car bien trop lent alors que son adversaire était vif et rapide. Nicolas, d’un saut d’une demi-douzaine de mètre, recula pour reprendre son souffle. Pendant cela le chef releva son acolyte blessé, presque inconscient sur le sol. Nicolas réfléchi pendant cette accalmie « Bon y en a un qui maîtrise le vent et l’autre le feu, il combine parfaitement bien. Pendant que le type au feu m’attaque avec des attaques assez lente l’autre m’attaque a grande vitesse pour me déstabilisé mais j’arriverai bien a les contrer il faut que je m’occupe du petit avant, il m’a l’air plus faible. A deux contre un je ne tiendrait pas longtemps. »

« - C’est bon ? Tu as analysé notre tactique ? On peut y aller ? Demanda le chef en maintenant assis son compère.

- Que veux-tu dire ? Demanda Nicolas.

- Allons pas de cachotterie avec moi Nicolas. Nous savons très bien que c’est yeux sont capable d’analyser chaque stratégie et d’en trouver la faille et ce cerveau ingénieux et astucieux te permet de trouver une tactique pour battre n’importe quel adversaire. Dit calmement et tranquillement le chef.

- Je ne vois pas ce que tu veux dire ! Répondit d’une voix forte Nicolas.

- A bon ? Alors pourquoi as-tu concentré la Foudre dans tes pieds pour nous attaquer avec ton gant de Terre ? Pour pouvoir mesurer notre capacité de réaction n’est ce pas ? Tu as bien vu que mon camarade n’est pas vif donc tu n’as pas utiliser la Foudre mais avec moi tu l’as rapidement utilisé, et que dire de ce gilet de Terre sous tes vêtement comme pour voir la puissance de nos attaques.

- D’accord tu as lu en moi, je le reconnais. Coupa Nicolas sur un ton un peu désespéré.

- Pas grave mais continuons alors mais toi contre moi. Suggéra le chef

- Très bien. Dit Nicolas sur de lui, avec une lumière jaunâtre dans ses yeux »

 

Nicolas tendit ses deux bras en direction de son unique adversaire et deux éclairs sortirent de ses mains, son adversaire frappa avec sa jambe gauche sur le sol et un mur de Terre s’érigea devant lui. Les éclairs cognèrent le mur en le craquelant mais sans l’abattre, c’était sans compter Nicolas qui le frappa avec son pied chargé de Foudre ce qui détruisit le mur cette fois il avait sa revanche au corps à corps avec le chef et cette fois il se battait avec la Foudre et non la Terre ce qui est bien plus rapide. Coup de pied circulaire en l’air raté enchaînait avec un coup d’avant-bras esquivé puis un balayage et un direct du droit tous contrer ou esquivé par son adversaire qui n’a porté aucune technique. Chacun reculèrent.

 

« - Tu es très fort ! S’exclama Nicolas.

- Toi aussi. Dit son adversaire.

- Même avec la Foudre je n’arrive pas à te toucher, quel exploit !

- Merci mais tes attaques sont trop rapide je ne peut pas riposter. Répondit le chef.

- Match nul ? Proposa Nicolas.

- Non on continu je finirais par te vaincre. »

 

Et le chef fonça droit sur Nicolas, il était trop rapide ! Nicolas se prit son coup de poing en plein dans le visage, il fut envoyer dans un mur derrière lui à une bonne dizaine de mètre et son adversaire tendit son bras gauche et envoya des flammes qui brûlèrent les décombres sous lequel se trouver Nicolas.

 

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  • 2 weeks later...

Voila la suite du combat ! Et un joyeux Noël en retard et un bon réveillon de fin d'année ! J'éspère que ce chapitre vous réjouira !

 

 

IX) Combat !

 

Le chef se retourna et marcha en direction de son acolyte toujours en souffrance sur le sol. La terre se mit à trembler et des pics de terre en sortirent immobilisant le chef, ce dernier vit Nicolas un peu plus loin les deux mains plaquées sur le sol. Nicolas se rapprocha et lui parla :

 

« - Enfin je te tiens ! Dit Nicolas sur un ton jouissif.

- J’ai baissé ma garde trop vite n’est ce pas ? Demanda le chef.

- Effectivement, lorsque que tu m’as projeté sur le mur j’ai utilisé la Terre pour me frayer un chemin à travers sa structure tout ça dissimulé par les gravats qui tombaient.

- Et il ne te restait plus qu’à m’attaquer une fois que je m’étais retourné.

- Absolument. Dit Nicolas. Maintenant tu vas répondre à mes questions. Qui es-tu ? Que fais-tu là ?

- Tu peux m’appeler Hope et mes intentions ne te concernent en rien.

- Bien Hope, crache le morceau tu fais quoi ici avec ton compagnon ?

- Sa ne te regarde pas je te l’ai déjà dit !

- Très bien alors adieu »

 

Nicolas joigna les deux mains et les pics de Terre qui bloquaient Hope se rapprochèrent de lui en le comprimant. Un jet d’eau vint arroser ces pics et le chef en profita pour utiliser la Foudre et tous les briser. Nicolas recula d’une demi-douzaine de mètre et tourna la tête pour voir qui avait lancé cette attaque. C’était son acolyte ! Toujours blessé et haletant. La situation se présente mal, Hope est extrêmement puissant et en plus son compagnon est toujours vivant et près à se battre. « Va falloir se battre se dit Nicolas », sa main droite se mit à briller, il concentrait la Foudre dans le tranchant de sa main et avec celle-ci il coupa une arrivée d’eau qui inonda la zone de combat. Nicolas se réfugia en hauteur tandis que ses adversaires recevaient de l’eau.

 

« - Tu crois nous avoir avec ça ? Demanda Hope.

- Mauvaise idée. Hurla son camarade. »

 

Il ferma son poing gauche et le recouvra de sa main droite horizontalement, un dragon eau se forma avec deux ailes et une gueule béante.

 

« - Non avec ça. Répondit Nicolas »

 

Avec son index droit il désigna l’eau et un éclair en sortit frappant l’eau et électrisant toute sa surface. Ses deux opposants trempaient reçurent le choc avec une grande violence.

 

-«  C’est fini ! Dit Nicolas »

 

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Merci pour ton commentaire deidara !

 

Comme je l'ai écrit chaque personne du Cercle des Braves à un secteur bien à lui et ils ne sont pas beaucoup pour couvrir une grande ville et n'oublie pas qu'ils sont censé être fort alors si au moindre bruit ils acourent aider c'est pas vraiment ça tu ne trouves ?

 

Et puis comme tu le remarque Nicolas et assez fort et comme dans Bleach il y a un classement donc attends de voir sa place !

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Heureuse coincidence avec les fêtes de Noël ? Oui !

Voici en exclu avant la fin de 2008 et le début de 2009 un tout beau, tout chaud, il sent la bûche de Noël, à arrosé avec du vin et du champagne (avec modération tout de même) un nouveau chapitre avec la suite du combat de Nicolas !!!

 

X) Nicolas en pleine rage !

 

 

L’éclair qu’avait lancé Nicolas s’arrêta ce dernier descendit de son perchoir. Il vit ces deux adversaires gisant sur le sol, sans souffle ou presque. Il remit une mèche rebelle et dépoussiéra sa veste, mis ses mains dans ses poches et repartit. Une bourrasque de vent lui frappa le visage, il se retourna aussitôt pour voir ces adversaires. Ils n’étaient plus là ! « Merde ! » Se dit Nicolas, il courut à la place qui était la leur avant, il toucha le sol « Pas de trou », il regarda le ciel « Personne » il regarda autour de lui « Où sont-ils ? ». Une voix forte s’éleva :

 

« - Tu nous cherche ?

Nicolas tourna la tête lentement, les yeux grands ouverts

- Tu nous croyais mort ? Et bien non ! Cria Hope.

- Impossible ! Tu ne respirais plus et ton acolyte était dans un état critique ! Il y est toujours d’ailleurs ! Dit Nicolas d’une voix désabusait en montrant ce dernier du doigt.

- Tu as fait la même erreur que moi, Tu t’es retourné beaucoup trop tôt !

- J’y vais à fond ! Hurla Nicolas ! »

 

Des éclairs jaillirent de son corps, une tornade de vent faisait battre ses cheveux et ses habits, des morceaux de terre éclatèrent autour de lui. On voyait dans ces yeux une terrible colère. Hope et son compagnon toujours dans ses bras étaient sur un immeuble de sept étages. Nicolas sauta sur le toit et avec une vitesse et une force surhumaine donna un coup de poing droit en plein dans la mâchoire de Hope qui s’envola littéralement dans les airs avant de s’écraser sur le sol au même titre que son compère. Nicolas ouvrit la bouche et un oiseau de feu en sortit et vient carboniser les deux hommes en noirs. Nicolas sauta pour se retrouver juste devant eux il enfonça ses deux mains dans le sol. Il les releva en soulevant deux gros blocs de béton et il les écrasa sur ces deux adversaires. « Enfin fini » se dit-il.

 

« - Tu me fais rire

- Quoi tu es encore en vie ? Nicolas souleva les deux blocs, personne !

- Derrière toi. »

 

Nicolas reçut un coup de pied dans son dos et fut projeter au sol, il se releva en se retournant. Il prit une grande inspiration et souffla sur le sol et du feu sortit à nouveau de sa bouche et il enflamma toute la zone, les rares endroits où il restait de l’eau furent submergés. Hope eu juste le temps de dresser un mur de terre et de s’y cacher derrière. Mais à cette chaleur la roche fonda comme neige au soleil. Hope prit une impulsion pour se retrouver sur un toit. Cette fois il était essoufflé, il déposa son comparse et jeta en direction de Nicolas de multiple boule de feu qu’il souffla grâce à sa maîtrise du Vent.

 

« - Comment est-ce possible ? Demanda Hope

- Si le Vent est assez brutale il peut souffler une flamme. A ce niveau les forces et faiblesse de chaque élément ne rentre plus en compte, seul la puissance et l’intelligence de les utiliser compte. Dit Nicolas le regard noir.

- Tu es donc si fort, je ne m’en étais pas rendu compte. Dit Hope.

- C’est fini. Dis Nicolas d’un ton solennel

- Pour qu ? Demanda Hope. »

 

Nicolas se retrouva devant lui en une fraction de seconde, il n’a pas pu finir sa phrase et il lui envoya un coup de pied circulaire dans sa tête qui tourna à une grande vitesse, enchaîné d’un uppercut du gauche dans l’abdomen Hope était plié en avant et pour finir un coup de coude du droit dans sa nuque. Hope s’étala sur le toit et Nicolas fit de même quelques instants plus tard.

 

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salut. Donc a se que je voit la fin du combat.

 

Nicolas et très puissant je pense qu'il est le plus puissant. Mais j'espère qu'il y aura un méchant a sa hauteur.

 

Bon moi je suis plus pour les méchant dans les histoire mais bon cela c'est la tienne et tu fait se que tu veux.

 

En tous cas tu avance très bien et tu met en ligne tes chapitres de plus en plus vite, continu comme ça, aller cyao ;)

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  • 4 weeks later...

Voila, voila après avoir mis de l'ordre dans mes idées j'ai enfin écrit la suite et la voici.

 

 

 

XI) A la rescousse de Nicolas !

 

Les deux combattants étaient inertes sur le sol, on pouvait à peine deviner leurs respirations. Le camarade de Hope arriva tant bien que mal à se mettre debout, il tituba en direction de ce dernier. Il se mit à genou devant Hope et le secoua pour le réveiller :

 

« -Dis, tu va bien ? Il n’eut pour réponse qu’un toussotement.

Désolé je n’ai pas assez de force pour le faire mais je viens d’avoir une idée. »

 

Il se releva et marcha en direction de Nicolas. Une fois à sa hauteur il mit le genou gauche à terre et il ouvra sa main droite, un tourbillon de vent de forme sphérique vint se former dans celle-ci. Puis la boule pri la forme d’un bâton dont l’extrémité inférieure était pointue. Il referma sa main sur ce piquet de vent et le plaça juste au-dessus de la tête de Nicolas, à plat ventre, les yeux fermés et toujours inconscient.

 

« - Désolé mais je dois le faire, tu as était un vaillant combattant mais malheureusement pour toi j’étais bel et bien présent. »

 

Il leva son bras le plus haut possible, on devina une larme dans ses yeux. Il abattit son piquet sur notre vaillant professeur. Son tueur, qui avait fermé les yeux durant son attaque les rouvrit et il constata qu’un filet d’eau retenait son arme. Puis une flaque vint se glisser sous Nicolas et l’éleva dans les airs, le compagnon de Hope se redressa et tenta de le rattraper mais des piques de glace tombèrent du ciel et se plantèrent devant lui et sa main. La flaque d’eau amena Nicolas sur le sol au pied d’une ravissante blonde avec de l’eau en lévitation autour d’elle.

 

« - Aurélie, maîtresse de la glace.

- Enchanté, et toi qui es-tu ? Demanda Aurélie.

- Tu peux m’appeler Passanger.

- Tu vas mourir Passanger.

- Vu mon niveau je pourrai me défendre contre vous. »

 

On entendit un fracas énorme derrière eux, une sorte de bête de couleur vert pâle avez sauté de l’immeuble d’en face directement sur le sol. Cette bête est un fait un ogre avec une grosse massue sur son épaule droite et sur sa tête un type assez bien fringué.

 

« - Maintenant tu as deux adversaires. Dis cette personne

- Je ne t’ai pas demandé ton aide Quentin. Répliqua Aurélie.

- Je venais juste voir tu sais.

- Arrête de mentir tu veux bien. Dit furieuse Aurélie. »

 

Passanger utilisa se moment de répit pour briser avec sa maîtrise du vent les piques de glace qui l’entouraient. Il se jeta sur Hope et ils disparurent dans une tempête de vent.

 

« - Voila à cause de toi il a filé. Dit Aurélie outré.

- Du calme on va quand même pouvoir ramener notre camarade.

- Oui tu as raison.

- J’ai toujours raison. Dit Quentin avec un grand sourire.

- Je vais te dépouiller sale frimeur. »

 

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Et voila la suite avec cette fois un moment de trêve.

 

 

XII) Que faire ?

 

Quentin amena Nicolas sur ses épaules jusqu’au manoir de Didier en compagnie d’Aurélie. Une fois arriver Didier donna ces instructions :

 

« - Alex des draps propres et une chambre, Quentin allonge le sur le canapé, Aurélie ramène des bandages et dépêchez-vous un peu.

-Bien ! Répondirent-ils tous en cœur. »

 

Aurélie revint avec des bandages, elle entoura le torse de Nicolas avec ainsi que ces bras et sa cuisse droite. Alex avait préparé une chambre aux deuxième étages, Quentin prit Nicolas dans ses bras et le monta doucement jusque dans son lit. Une fois la haut Didier alluma sur ces cinq doigts une boule de feu qui grossi rapidement et il les fit gravité dans la chambre.

 

« -Je trouve qu’il fait frisquer dans cette chambre. Pas vous ? Alex, Aurélie et Quentin acquiescèrent de la tête.

- N’en fait pas toute une histoire Didier. Dit Nicolas d’une faible voix.

- Et toi, tu as vu dans quel état tu es. Tu es complètement vidait, si Aurélie n’était pas intervenue tu serais mort.

- Je sais mais je suis tombé sur deux adversaires vraiment, vraiment fort.

- Je confirme. Dit Aurélie.

- Que peux-tu me dire sur eux ?

- Ils étaient deux. L’un maîtrisaient la Terre, la Foudre et le Feu, l’autre le Vent. Ils faisaient des attaques combinées d’une grande intensité. Leur chef se prénomme Hope. Dit Nicolas.

- Son compagnon lui s’appelle Passanger. Ajouta Aurélie.

- Bien. Dit Didier l’air pensif. Une petite description physique maintenant.

- Ils portaient tous les deux un manteau noir, lunette noire, chapeau noir. Expliqua Nicolas

- Sa ne nous aide pas trop. Dit calmement Didier.

- Sa fait un peu organisation secrète votre truc là. Des noms bizarres, des costumes pour passer inaperçu. Fit remarquer Quentin.

- Merci, Aurélie. De m’avoir sauvé la vie, je veux dire. Dit Nicolas en ignorant la remarque de Quentin.

- De rien Nicolas. Répondit-elle.

- Je peux te demander un service Aurélie.

- Demande toujours.

- Mon élève, Florian. Il essaie d’apprendre à maîtriser l’Eau. Pourrais-tu lui donner un coup de main s’il te plaît. Après tout tu es la « Reine des Glaces » non ?

- En effet je le suis. C’est d’accord, pendant ta convalescence je prendrai ton élève.

- Merci. Dit Nicolas soulagé. »

 

Didier, Quentin et Aurélie sortirent de la pièce. Et se dirigèrent vers le rez-de-chaussée. Pendant ce temps Florian était tranquillement chez lui a regarder la télévision. Dans une ruelle sombre Passanger était au petit soin pour Hope. Il était à demi conscient, il baragouinait des paroles incompréhensibles. Passanger non plus n’était pas au mieux de sa forme :

 

« - Nous vaincrons Hope, ne t’inquiète pas. Nous allons soigner nos blessures et après nous allons faire ce pourquoi on est venu ici.

- Oui. Dit Hope d’une voix quasiment inaudible. »

Tous les deux étaient planqués derrière une beine à ordure. Ils entendirent un bruit de pas et une voix s’éleva :

 

« - Vous aurez besoin de mon aide. »

 

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