Days [MAPPA]

[Andrea]

Putain de purge !

Mais le pire c'est que je la regarde depuis 15 épisodes ! Et que j'irais probablement jusqu'au bout ! Pour la science !

 

Ce perso principal  fonctionne comme un électro aimant alternatif  : un moment ça va aller super et il va "imprimer" deux trois trucs, l'instant d'après la tendance change, il replonge dans son comportement de débile profond.

Et encore lui, ça va, il a bon fond le bougre. C'est une enclume gentille.

 

Mais je crois que ce qui me fait le plus bondir dans cet animé, c'est que sa réa est correcte. C'est d'autant plus dommage de voir le gâchis autour. 

[Crocodile]

Voyant haar défoncer cet animé et pourtant continuer a le regarder ça ma donné envie de reprendre  J'en suis a l'épisode 11 et dommage cette défaite bête en finale. Tsukamoto un boulet jusqu’à bout alors qu'il avait moyen d'adoucir cette sale image. Je m’arrête là, ça fait une belle fin de finir sur une défaite 

[Haar]

Faut pas croire que c'est simple d'être constant dans sa nullité.

C'est même plutôt compliqué, mais encore une fois Days réussi à la faire avec maestria dans son 18é épisode.

 

Un concentré de prévisibilité en boite déjà. Chaque action est prévisible, on en va à se demander que fait l'équipe de l'auteur.

On a le départ de Kazama et le couillon de l'équipe d'en face qui marque 2 buts en dix minutes sans soucis.

Donc ils font un camp d'entraînement mais régressent défensivement au point de pas savoir marquer un joueur au sein même du stage. GG !

 

Ah et la CGI est atroce, c'est tellement laid que ça devrait finir au musée de l'animation aux côtés du culte Mars of Destruction.

Le passage ou Kimishita regarde son capitaine ses mouvements par ordinateur sont tellement mal foutu que l'on dirait une sorte de danse de la pluie. C'est assez fascinant à regarder. J'ai connu plusieurs phase en voyant ça, le dénie, la colère, le dégoût, l'acceptation.

Ce sont d'ailleurs les stades traversés quand on est voué à mourir d'une maladie et qu'on le sait à l'avance. Days, le début de la fin ?

Et dire que ça c'est au bout de 11 minutes d'épisode !

Tsukamidiot qui rate un but tout fait à un moment, jamais il arrêtera lui. 

Crise de foie sur la dernière action aussi, c'était trop ridicule.

 

Seul point intéressant de l'épisode, la remise en question de Kimishita. Ah et le manque de tact de Mizuki aussi, ça m'a fait rire. 

 

 

 

Episode 19 vu

Dès le départ l'attaquant de génie qui pense qu'ils ont perdu par sa faute parce qu'il a juste mit un hat trick et pas 5 buts. 

Et puis son constats trois secondes après "je vois la soif de victoire de leur équipe est supérieure à la notre" lol.

Ils peuvent pas nous mettre 1 ou 2 personnages intelligents, histoire de ?

"Mé c mn maieur ami" j'ai pleure de honte pour Kazama lorsqu'il dit ça. 

Dire qu'ils ont fait carton plein sur les matchs. M'enfin techniquement Seiseki est sensée être une très bonne équipe. Même s'ils prennent des triplé en 5 minutes à chaque fois qu'il y a de bons attaquants en face. 

 

J'ai l'impression que l'auteur du manga a pas assimilé ce qu'était un "championnat" au passage, il devrait regarder Fune wo Amu qui passe aussi cette saison pour apprendre de nouveaux mots. 

 

On a droit au fameux passage habituel dans les mangas de sport avec l'explication des équipes qui se démarquent, ici les 4 grandes équipes de Tokyo, énoncés maladroitement mais c'est Days, normal.

Donc Sakuragi qui les avait battu en finale est dans l'autre bloc avec une autre équipe des 4 qui va sûrement perdre en finale face à eux.

Du côté de Seiseki ils sont tombés sur la meilleure des 4 surnommés de manière originale ( ) les rois absolus.

Mais bon ils vont gagner donc osef.

Leur capitaine sur son plan d'introduction ressemble sacrément à Rukawa de Slam Dunk.

Et leur vice capitaine (sûrement) qui sort la punchline "rien ne nous dit qu'ils arriveront en finale" soit, il y a une autre équipe assez forte dans leur partie du tableau avant nous c'est dit, c'est introduit. Original. 

Même si on sait tous qu'elle va se faire rétamer.

[Haar]

Episode 20 vu.

Pas aussi dégueu' que d'hab mais ça reste longuet pour rien et no comment les mecs qui se tapent un dialogue en plein match alors que l'un d'eux avait la balle. Le gars a confondu Kimishita avec sa grand mère lors d'un marché aux puces.

Par contre j'aime l'idée de jouer sans les trois flèches, mais se reposer sur Tsukamoto c'est la déchéance d'un des 4 grands clubs régionaux.

Il arrivera jamais à être classe d'ailleurs, quelque soit le plan du coup c'est à la fois drôle et ridicule les plans sensé être badass comme celui montré en fin de match.

 

 

Episode 21 et 22 vu.

 

Episode 21

Pour changer de d'hab' je vais carrément partir dans l'analyse histoire de m'amuser un peu, c'est la moindre des choses après avoir visionné ce machin.

 

 

"Le foot c'est fun", quand tu vois que c'est le titre d'un épisode tu sais que tu as touché les bas-fonds de la japanimation.

Les plans sur la tête de Tsukamoto, le "roi de l'indifférence", toujours aussi triste à voir.

N'empêche c'est ouf comment les matchs sont prévisibles dans ce manga, ok c'est dur de surprendre aux niveau des résultat finaux dans les mangas de sport. Assez souvent il y a des contraintes pour poursuivre la compètition etc...

Mais là même en match, on peut prévoir les prochaines actions. Et vient que je t'encense une équipe quand l'autre va contre-attaquer, le "il vont jamais revenir" et la seconde d'après t'as une action de but etc.. c'est ça à chaque match.

 

Ensuite les remarques de génie de Tsukamoto qui comprend enfin après des heures d'entraînement et de matchs quand on peut récupérer le ballon attention sacrée découverte :

Lors des erreurs adverses.

Il cite aussi les défenses collectives, une image ou ils sont à cinq sur un joueur et Tsukamoto récupère la balle à la fin.

Depuis quand on est cinq sur un seul DEFENSEUR adverse dans leur moitié de terrain ?

Si jamais il y a contre ? Et puis même ça diminu les possibilités de passes directe, le terrain aura des zones innocuppés pas les joueurs de Seiseki. Sans parler que là c'était du viol à 5v1, t'as 90% de chance de finir sur une faute.

 

D'ailleurs la contre attaque après le corner montre qu'il y avait aucun joueur dans leur moitié de terrain, ce genre d'attaque est impossible à ce moment là d'un match.

On est dans un anime, mais jamais on verra ça dans autre chose qu'Inazuma Eleven.

Le tournant du match pénalty + carton rouge parce que le même tombe dans la surface alors qu'il se fait mal tout seul, ce Deus Ex Machina. C'est tellement ridicule p'tain. x)

Au passage que le péno soit arrêté derrière même ça je m'y attendais et le seul bon coup de l'auteur là de dans c'est l'idée en elle même, même si elle est mal utilisée, parce que ça permet au joueur exclu de jeter des fleurs à Tsukamoto. :')

 

Episode 22

"Envoie un cachou"

Le retour des expression perdu, c'est bien le seul truc qui me plaisait dans Days même si je n'ai personnellement jamais dit ça donc ça fait plaisir. Une phrase suffit à rendre l'épisode 22 mieux que le 21, c'est dire le niveau.

 

Les passages en CGI sont toujours aussi dégueulasse c'est assez ouf, on en parlait déjà pour Arslan mais on dirait une erreur de production à ce niveau.

J'aime déjà pas MAPPA de base, mais arriver à rendre un manga aussi naze, encore plus nul c'est une performance.

Les joueurs sont désarticulés, c'est moche mais en plus sur l'instant l'action est largement ralenti par rapport aux plans normaux. Pour un rendu toujours plus affreux. Ils ont du allé pêcher les animateurs 3D dans l'école qui a former l'équipe de Mars of Destruction j'imagine.

 

Et les défenseurs débiles qui engueulent leur camarade parce qu'ils font un repli défensif. J'en peux plus en voyant ça. x)

Cette fierté à deux balles "si vous défendez, c'est la honte pour nous", c'est sûr que c'est mieux s'ils prenaient un but.

 

C'est ouf comment l'auteur nous pond des perles toutes les trois minutes. Cela dit celle-ci est clairement pardonnable puisque ça a un aspect très shonen et qu'on regarde quand même un anime pas un vrai match.

M'enfin venant de randoms de l’infinie ça reste assez peu crédible.

Suite à ça on a un magnifique plan ou six joueurs de Seiseki sont tous sur un plan d'environ 4 ou 5m² pour défendre et ne marquent même pas les joueurs.

Sachant qu'il y a un exclu et le goal on a 6 joueurs sur 9 (donc les deux tiers) au même endroit laissant le champ libre partout ailleurs, sauf que quand tu cherches à relancer en avant c'est certes pour éloigner le danger mais s'il reste plus que trois joueurs de champ ça va être dur de récupérer la balle et la situation reviendra à l'identique. Heureusement que les verts ne sont pas des génies non plus.

 

En fait Days est mauvais tout court, c'est naïf, mal écrit, prévisible, Tsukamoto est une horreur, mais le plus gros défaut c'est bien la mise en pratique du foot qui est ridicule là où d'autres réussisse un minimum à aménager l'action pour que ça ait de la gueule tout en restant plus ou moins plausible. Bien sûr je parle pas des mangas pour enfants à la captain tsubasa. ^^

 

Bon l'égalisation on la sentait venir, l'auteur a eu le mérite de développer un peu les adversaires, sauf que dans son développement comme à chaque fois il met encore trop les choses en évidence rendant le tout prévisible.

Les gars ont fait venir les premiers joueurs dans l'équipe en leur disant qu'ils allaient marquer et c'est plusieurs fois évoqué, évidemment que ça allait rentrer dans les 2-3 prochaines actions.

 

Au fait, a un moment il y a eu une belle scène en 3D j'ai été surpris. Je déconne bien sûr, c'était juste moins moche que d'hab'. Aaaah les piques faciles.. ça fait plaisir d'en lâcher de temps à autres.

 

Mine de rien Usui brille vraiment dans ce match, il est partout et joue bien son rôle. Le personnage est globalement assez sympa, ça se note mine de rien, c'est pas simple de se faire apprécier dans Days.

Sympa le discours classique typiquement sorti de shonen sportif pour ramener l'équipe à la réalite. Encore plus sympa quand ça nous permet d'apercevoir des joueurs dont on était même pas au courant de leur existence tellement ils ont pas eu de temps d'antenne.

 

Doublé de Kimishita sur coup franc, vu qu'il s'est passé son autobiographie dans sa tête à ce moment là heureusement qu'il a marqué. Après le passage était pas mauvais.

D'ailleurs ce match est de loin le meilleur depuis le début, car l'auteur a des idées pas trop mauvaises bien que très maladroite pour ce qui est des rebondissement, le fait d'être privé du trio de buteur habituel est d'ailleurs la meilleure idée qu'il a eu depuis le début du manga, bien qu'en soit ça ne soit pas extraordinaire, pour Days c'est plus que notable.

 

Du coup fin du match dans le prochain épisode, on sait déjà qui va gagner de toute façon.

 

 

[Princess-Hedoro]

Passer après les posts de Haar, qui a vraiment saisi l'essence de Days, ce n'est pas facile, mais je me lance.

 

Que dire, ou plutôt, par ou commencer, tellement il y a de chose à dire?

 

Action:

 

Tout d'abord, les personnages. Avec un héros charismatique tel que tsukamoto, l'auteur à parfaitement saisi quel type de personnages accroche le lecteur. Kenshiro ou Jotaro peuvent aller ce coucher face à tsukamoto 

 

La bande qui accompagne tsukamoto ne fait qu'embellir le tout. Un beau gosse blond aux cheveux longs devant lequel n'importe quel fille devant son écran doit craquer, les 3ème et 2ème années tous plus badass les uns que les autres, et des premières années qui dans le sillage de tsukamoto progresse pour mener leurs équipes vers le sommet. N'oublions pas les magnifiques flashback qui donnent à chaque personnages un carrure et un développement rarement vu et aussi bien fait dans ce genre d'anime.

Mention spéciale pour le génialissime Tsukamoto, qui en plus d'être badass, à chaque fois va culpabiliser de faire perdre l'adversaire 

 

 

Stratégie:

 

Passons ensuite à la tactique développé dans Days, qui atteint le sommet du réalisme.

On sent vraiment une étude poussé par l'auteur, qui à chaque match, veut nous proposer un nouveau scénario pour permettre à seiseki (FIGHT !!!  )de gagner. Marre de voir un simple 4-3-3 dans les matchs de foot? Days, c'est la révolution stratégique. Il va sans dire qu'Emery par exemple (ou guardiola, pour ne pas citer les plus grand) commence à s'en insipré par exemple. J'en veux pour preuve les derniers golrieux résultats du PSG (et ça marche aussi pour city  )

Hors, seiseki, même à 10, et face aux ingénieuses tactiques des équipes adverse pour les faire perdre (j'en veux pour preuve le fameux : "si vous défendez, c'est la honte pour nous" ) parvient à résister.

 

On retiendra particulièrement les tactiques:

"Tous sur un joueur pour lui prendre la balle"

"sa nullité est un problème" (pour l'équipe adverse bien entendu)

et enfin, l'image qui illustre le tout:

 

 

 

Action:

 

Days, ce n'est pas seulement de la tactique, mais c'est aussi de l'action.

Comme tout bon anime d'action, nous avons des personnages versant sang et larmes pour ce en quoi ils croient, le tout mis en scène via une animation d'une grande fluidité (dont nous reparlerons plus tard, il va sans dire )

 

Attention, l'action ne ce limite pas qu'au match, mais aussi à la vie de tout les jours. Voir tsukamoto interagir avec son environnement, c'est déja quelque chose que l'on peut appeler de l'action 

Ainsi, il nous aura gratifié d'énormes moments. Son cri Seiseki Fight, ses entraînements nocturne, sa relation avec la manager, .... 

 

Déja dans les premiers épisodes, nous pouvions sentir un énorme potentiel dans l'anime, et nous ne pouvons nous montrer déçu, avec le héros qui a appris à courir à peu près normalement en une dizaine d'épisodes. Comme tout bon anime d'action, nous avons donc les phrases qui vont avec, tel que: "Mon foot, c'est de courir pour l'équipe" (C'est Bô  :'( )

Et il ce trouve qu'au bout de 20 épisodes, ce retrouvant seul face à un but vide, arrive enfin le moment ou il marque. Que d'émotion. C'est comme si on passait du CE1 au CE2

 

 

La mise en scène:

Sans doute le point le plus réussi , mais aussi celui sur lequel il y a le plus de choses à dire.

La mise en scène passe par plusieurs points:

-Les dialogues

-Les ost

-L'animation

 

Je vais donc commencer par les dialogues.

Pour ce qui est des dialogues, on retiendra particulièrement le capitaine, qui nous sors de phrases et mots digne du niveau de l'anime, tel que kalokemo. Ne me demandez pas ce que cela veut dire, je viens de l'inventer 

En dehors du capitaine, on remarquera également la bonne appréciation de l'auteur du niveau linguistique des footballeurs. C'étant sans aucun doute basé sur ribéry, les personnages sont ainsi proche du poétique, ce parlant à coup de "j'en suis fort aise", et autres phrases très footballistique.

Les "wesh wesh" et autre "jespère que la routourne va tourner" ne sont bien évidemment que des légendes urbaines

 

Passons ensuite aux ost. C'était tellement impressionnant que je ne m'en souviens pas  .

 

Et je finis donc sur l'animation. Comme tout anime qui ce respecte, days contient bon nombre de plan fixe, suivi par d'autres plan fixe (afin de bien fixer l'émotion du spectateur  ), le tout agrémenter de quelques plans 3D de grande envergure, avec plusieurs joueurs ce passant le ballon.

Bon, je reconnais que je médis,  de temps en temps, on peut aussi voir des plans 2d avec des personnages qui bougent à l'intérieur, et pourquoi pas le ballon !

L'animation de days, c'est un peu la quintessence de ce qu'on voit sur certains anime. Toei n'a qu'a bien ce tenir 

 

 

Conclusion :

Durant 2 saisons, days nous a ému, fait pleurer, et bien heureusement, il revient pour une s2, que nous attendons tous impatiemment 

 

 

 

 

[Haar]

Bon j'ai fini la série et que dire à part que j'ai rarement quelque chose d'aussi mauvais.

C'est une blague et ça a de quoi faire vomir tous les fans d'animes sportifs. Tsukamoto est probablement le pire héros de shonen sportif d'ailleurs.

J'ai assez fait de pavés pour les épisodes, pas besoin d'en dire plus.

 

Maintenant on va sur la finale de leur partie de tableau. Pour la prochaine saison, je vais me précommander des cachés pour 'être moins impatient comme dirait Prinprin.