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Tournoi des morceaux de musique classique célèbres [Victoire de Tchaïkovski]


Silesius
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Des musiques de 3 minutes, je préfère ça.  9_9

 

+1 Fauré  8)  8)

 

Bizet j'ai pas aimé, pourtant y'avait des boobs.

 

J'ai pas voté Mozart même si j'aurais pu vu l'ultime classique, disons que j'ai plus apprécier que celle de fauré et vu que j'ai pas spécialement peur pour cette musique.

Les deux premières étaient sympa sans plus.

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Je continue de donner un avis un brin détaillé car la musique est un sujet qui me tient à coeur. Avec un petit peu de chance quelqu'un y trouvera quelque intérêt que ce soit. Parler de goût peut relever de davantage de choses que de cliquer sur un ou deux boutons, j'aime éclaircir le fond de mes choix :

 

  • [Georg Friedrich Haendel] Air "Ombra mai fu", extrait de l'opéra Serse (acte I) HWV 40

Le charme Handelien dans toute sa splendeur ... On peut comprendre, avec ce genre de passages, pourquoi Handel est resté dans la postérité, mais aussi et surtout pourquoi il n'a jamais quitté l'histoire, que de sa mort à aujourd'hui toujours il a été aimé, écouté, et que bien des compositeurs louaient sa grandeur, notamment Beethoven qui le considérait comme le plus grand compositeur qui fut jamais.

Mozart, qui lui-même l'appréciait beaucoup, m'évite d'avoir à chercher très loin pour qualifier la musique de Handel, il disait en effet de lui qu'il est : « celui d'entre nous qui sait le mieux ce qui fait grand effet [...]. Quand il le veut, il frappe comme le tonnerre ».

Handel manie le spectacle et la scène, il comprend comment faire beaucoup avec une forme de simplicité élégante, qu'il l'exploite dans la tendresse comme dans cette déclaration d'amour à un arbre (le biologiste que je suis y est particulièrement sensible !) qui ouvre l'opéra Serse ou dans l'apothéose, la gloire, l'extase comme dans d'autres choeurs d'oratorio tels que l'Halluljah ou autre ... Il ne se perd pas dans un contrepoint excessif au détriment, parfois, de l'expressivité comme chez Bach, il cherche toujours un équilibre et une mesure entre les idées, le spectacle, le charme auditif et une base technique solide. À bien des égards c'est Handel qui préfigure Mozart et Rossini en matière d'opéra.

En fin de compte pratiquement tout oppose Bach et Handel dans leur manière de composer, et c'est sûrement pour ça que ces deux génies d'une égale grandeur sont probablement les grands maîtres de leur époque, égalés certainement uniquement par Rameau qu'on laisse trop souvent de côté. Bach est le maître du contrepoint, Rameau celui de l'harmonie, quant à Handel il est le maître de la voix, de la mélodie ...

 

  • [Claude Debussy] "La fille aux cheveux de lin", huitième prélude du premier livre des Préludes pour piano

 

Ah Debussy, le compositeur qu'on a toujours voulu me forcer à jouer et à qui j'ai pourtant bien souvent réussi à échapper ... Enfin demeure que c'est un grande de son époque, et qu'à bien des égards il a transformé la façon dont on comprend le piano et dont on pratique l'instrument (pas autant que Ravel cela dit ...).

Est-ce que la petite fille aux cheveux de lin est une pièce réellement marquante ? Certainement pas, c'est un petit prélude sympathique et mélodieux, dans une ambiance typique de Debussy, mais qui reste assez commun. Debussy a écrit des choses beaucoup plus intéressantes et pointues, beaucoup plus originales, étranges ou simplement envoûtantes ...

Au fond c'est un morceau assez quelconque du répertoire Debussien (qui doit aussi sûrement sa notoriété au fait que de nombreux jeunes pianistes sont obligés de passer par là), qui est de base un compositeur que j'écoute et apprécie relativement peu. Autant dire que ça n'attire pas franchement mon attention.

 

  • [Gabriel Fauré] Sicilienne extraite de la musique de scène Pelléas et Mélisande, opus 80, dans une version pour flûte et harpe

 

Ici on entre dans un répertoire très "cinématographique" (avec Fauré et Saint-Saëns notamment), c'est charmant pour les oreilles, une mélodie qui reste en tête et une ambiance tendre, magique, un brin mystérieuse ... Fauré est un compositeur rassurant et facile à écouter, mais qui ne m'a jamais énormément intéressé, mes périodes musicales de prédilections étant antérieures, je n'ai donc pas grand chose à dire à son sujet ...

 

  • [Georges Bizet] Habanera "L'amour est un oiseau rebelle" de l'opéra-comique Carmen (acte I, scène 5)

 

Carmen est certainement l'opéra le plus joué au monde ... on peut sérieusement se demander pourquoi mais bon, nombre de succès planétaires peuvent me sembler un petit peu curieux.

Bizet est un maître de la musique légère et de la mélodie, c'est une musique qui préfigure la comédie musicale en un sens, qui est plutôt simple à écouter et qui est très efficace. C'est de la musique d'opéra très agréable mais que je ne qualifierais pas de grandiose, à la longue ça peut aussi être assez lassant car très peu varié dans le traitement musical. A vrai dire je lui préfère son homologue autrichien : à choisir entre Die Fleudermaus de Strauss et Carmen le choix ne tourne pas en faveur du français (après tout quand on écouter Carmen parfois on se dit que tant qu'à faire autant sombrer dans l'opérette : c'est plus divertissant). Demeure que l'opéra de cette époque me touche quoi qu'il arrive bien moins que l'opéra baroque ou classique. L'Habanera est un thème marquant mais bon, je ne trouve pas ça transcendant de manière générale, bien que ça ait un certain charme de "chanson populaire", comme une comptine que tout le monde connaît.

 

  • [Wolfgang Amadeus Mozart] Premier mouvement "Molto allegro" de la symphonie n°40 en sol mineur KV 550

 

Oui bon et bien là définitivement on tombe dans du très très lourd ... C'est bien évident que ce mouvement extraordinaire se démarque dans ce tour-ci, il y a un tel génie, un tel savoir faire dans cette symphonie (qui n'a rien d'une évidence car Mozart a mis longtemps à devenir un très grand symphoniste) qu'on pourrait facilement la classer parmi les oeuvres le plus remarquables de toute l'histoire, et certainement parmi les plus influentes compte tenu du fanatisme des romantiques envers cette réalisation. Tout est sublime dès le premier mouvement, tout y est d'ailleurs tourné vers l'avenir : de l'anapeste initiale qui annonce Beethoven au caractère romantique et tourmenté global qui servira de référence pendant longtemps aux nouvelles générations de compositeurs soucieux de sortir du classicisme (avec le concerto pour piano N°20 qui est certainement le plus apprécié des romantiques).

Mozart est probablement légèrement divinisé par les gens au détriment de quelques grands noms de son époque (Haydn notamment qui n'a pas grand chose à lui envier à bien des égards), mais de manière générale on dira que sa popularité et sa réputation est légitimée par son génie incontestable (le souci n'est pas tant l'amour porté à Mozart que le désamour qui en découle pour d'autres qui devraient être autant vénérés), sa polyvalence et sa constante qualité qui est à la limite du surhumain. Parmi les oeuvres de Mozart celle-ci est sans conteste l'une des plus abouties et marquantes, on est dans le très haut de gamme d'un homme dont le plus claire des compositions sont naturellement remarquables ...

Les dernières symphonies de Mozart sont un testament tourné vers le romantisme à venir sans avoir les défauts et excès de ce-même romantisme, et qui resteront des références musicales évidentes, incontestables et incontournables probablement tant que l'homme existera, ou tant qu'il prendra le temps d'écouter. À ce stade ne pas défendre la 40ème symphonie relève du crime !

 

 

Mon vote est donc le suivant, et il est sans surprise :

[Wolfgang Amadeus Mozart] Premier mouvement "Molto allegro" de la symphonie n°40 en sol mineur KV 550

&

[Georg Friedrich Haendel] Air "Ombra mai fu", extrait de l'opéra Serse (acte I) HWV 40

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A de rares exceptions, je n'ai que peu d'amour pour les œuvres lyriques classiques, du coup Carmen et Ombra Mai Fu ne m'intéressent guère.

 

Mozart... je ne nie pas le talent et le génie, mais j'ai toujours eu un mal fou à apprécier ses pièces. Qui à l'image de beaucoup d’œuvres de son époque me donnent un sentiment de rondeur et d'emphase. C'est "trop". Dans le mauvais sens du terme.

 

Au contraire, j'ai beaucoup plus d'attrait pour les oeuvres plus légères, et donc souvent postérieures, comme ici pour les morceaux de Fauré et de Debussy. Du coup je vote pour ces deux là.

 

[Claude Debussy] "La fille aux cheveux de lin", huitième prélude du premier livre des Préludes pour piano

 

[Gabriel Fauré] Sicilienne extraite de la musique de scène Pelléas et Mélisande, opus 80, dans une version pour flûte et harpe

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Dans un premier temps, j'ai voté pour la sicilienne de Fauré. J'aime énormément Fauré, c'est un superbe mélodiste et sa musique est pleine de finesse et d'élégance. Ce genre de pièces, comme la pavane (qui est dans le tournoi) ou le

(composé à l'âge de 19 ans !) me parlent immédiatement. Par contre, le fait que ces pièces soit faciles à écouter, comme le dit Konan, ne veut pas dire que tout Fauré est facile à écouter. Sa musique de chambre, notamment ses quintettes, c'est une autre paire de manches. Fauré est d'ailleurs jugé trop complexe (surtout en comparaison de Wagner son contemporain) et de ce fait pas tellement joué dans le monde.

 

J'ai ensuite voté pour le premier mouvement de la symphonie n°40 de Mozart. Je n'apprécie pas énormément Mozart, ou plutôt je n'en goûte qu'un nombre restreint de pièces bien précises ; ce mouvement de la symphonie n°40 en fait partie. On sent que c'est un morceau composé après la trentaine, loin de la musique légère (et souvent superficielle à mes yeux) composée plus jeune par Mozart.

 

Debussy je l'écoute peu, car je l'écoute lorsque j'en ressens un besoin bien précis. Sa musique pour piano, comme ici "La fille aux cheveux de lin", est excellente pour se détendre, pour rêver, pour laisser aller son esprit. Mais souvent, je préfère de la musique plus "cadrée", avec une structure plus "charpentée" (je sais pas si ça a du sens ce que je dis -_-').

 

Haendel, honnêtement je préfère ses choeurs lorsqu'il s'agit de musique vocale. Dans sa musique vocale pour soliste, ses grands airs pour castrats notamment, il est trop italien. Je veux dire par là qu'il a tendance à en faire trop. Il préfigure bien les romantiques sous cet aspect d'ailleurs. Je lui préfère Bach, moins immédiat mais plus riche, et Rameau, que j'écoute de plus en plus. Haendel est pour moi beaucoup trop mondain, il a trop le souci de plaire au plus grand nombre. Lorsque j'écoute trop sa musique, j'en viens à la trouver pleine d'artifices. À pas trop forte dose Haendel pour moi, donc.

 

La Habanera de Bizet est un bon air populaire. J'aime bien l'écouter de temps en temps, elle est amusante. Mais elle ne fait pas le poids pour moi à côté des autres morceaux du groupe, qui sont traversés d'une autre dimension artistique que celle du divertissement populaire un brin facile. ^^

 

 

 

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Gros groupe !

 

J'ai eu du mal à me décider.

 

[Claude Debussy] "La fille aux cheveux de lin", huitième prélude du premier livre des Préludes pour piano

[Georges Bizet] Habanera "L'amour est un oiseau rebelle" de l'opéra-comique Carmen (acte I, scène 5)

 

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Ce boulet, j'ai oublié de voter au groupe 1. :o

Je l'ai préféré à celui-là, et en plus, j'avais une bonne blague à lâcher sur Papy. :-\8)

 

[Georg Friedrich Haendel] Air "Ombra mai fu", extrait de l'opéra Serse (acte I) HWV 40 : pas fan. Comme Red Hood, je ne suis pas particulièrement attiré par ce genre de musique.

 

[Claude Debussy] "La fille aux cheveux de lin", huitième prélude du premier livre des Préludes pour piano : sympathique mais sans plus pour ma part.

 

[Gabriel Fauré] Sicilienne extraite de la musique de scène Pelléas et Mélisande, opus 80, dans une version pour flûte et harpe : ah oui, là c'est bien. Vraiment belle comme musique.

 

[Georges Bizet] Habanera "L'amour est un oiseau rebelle" de l'opéra-comique Carmen (acte I, scène 5) : culte. 8) J'aime assez.

 

[Wolfgang Amadeus Mozart] Premier mouvement "Molto allegro" de la symphonie n°40 en sol mineur KV 550 : re-culte. 8) Et là, j'adore. Les cordes. 8)

 

Je vote sans surprise au vu de mon commentaire pour [Wolfgang Amadeus Mozart] Premier mouvement "Molto allegro" de la symphonie n°40 en sol mineur KV 550 et [Gabriel Fauré] Sicilienne extraite de la musique de scène Pelléas et Mélisande, opus 80, dans une version pour flûte et harpe.

 

Cédric Fauré. 8)

Mathieu Debuchy. 8)

 

Allez, je m'arrache :

 

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Les morceaux suivants se qualifient pour le prochain tour :

- [Wolfgang Amadeus Mozart] Premier mouvement "Molto allegro" de la symphonie n°40 en sol mineur KV 550

- [Gabriel Fauré] Sicilienne extraite de la musique de scène Pelléas et Mélisande, opus 80, dans une version pour flûte et harpe

 

Le morceau suivant entre dans le classement des pourcentages de votes :

- [Georg Friedrich Haendel] Air "Ombra mai fu", extrait de l'opéra Serse (acte I) HWV 40

 

Les morceaux suivants entrent dans le classement des commentaires :

- [Claude Debussy] "La fille aux cheveux de lin", huitième prélude du premier livre des Préludes pour piano

- [Georges Bizet] Habanera "L'amour est un oiseau rebelle" de l'opéra-comique Carmen (acte I, scène 5)

 

Groupe n°2

12 (36.4%) [Wolfgang Amadeus Mozart]

(8 commentaires)

11 (33.3%) [Gabriel Fauré]

(10 commentaires)

4 (12.1%) [Georg Friedrich Haendel]

(3 commentaires)

3 (9.1%) [Claude Debussy]

(2 commentaires)

2 (6.1%) [Georges Bizet]

(2 commentaires)

1 (3%) Vote blanc (0 commentaire)

Nombre de votants : 19

 


 

On enchaîne avec le groupe n°3.

 

Groupe n°3

[Félix Mendelssohn]

[Johannes Brahms]

[sergueï Rachmaninov]

(1:09)

[Richard Strauss]

[Antonio Vivaldi]

 

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Gros groupe  :o.

A part Mendelssohn qui est en dessous, les quatre autres se tiennent dans un mouchoir de poche à mes yeux et le choix n'est vraiment pas simple.

Je retire vivaldi, préférant l'été et l'hiver dans ses quatre saisons.

En troisième Brahms.

Du coup les votes pour :

- +1 Richard Strauss "Introduction" du poème symphonique Ainsi parlait Zarathoustra, opus 30.

- +1 Sergueï Rachmaninov Deuxième mouvement "Adagio sostenuto" du concerto pour piano n°2 en do mineur, opus 18 (1:09). Mon compositeur russe préféré.

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[Félix Mendelssohn] "Marche nuptiale", extraite de la musique de scène Le Songe d'une nuit d'été, opus 61 : c'est tellement connu et ancré dans la culture d'à peu près tout le monde que je n'arrive pas à juger (objectivement et subjectivement). Ce n'est même plus de la musique à ce niveau. C'est un son de la vie de tous les jours. Ce que j'ai dit n'est ni positif, ni négatif. Mais ça va plutôt jouer en sa défaveur du coup, c'est logique.

 

[Johannes Brahms] Danse hongroise n°5 en fa dièse mineur : j'adore ces espèces de petites danses. Surtout quand c'est culte comme ça. 8) Ce qui est marrant, c'est que je dis ça avant d'avoir lu le titre. Comme quoi, il colle bien à la musique. Les cordes, encore une fois. 8)

 

[sergueï Rachmaninov] Deuxième mouvement "Adagio sostenuto" du concerto pour piano n°2 en do mineur, opus 18 : le piano. 8) J'aime énormément d'instruments et il y en a même que je vénère vraiment, mais il n'y a pas à chier : le piano, c'est le meilleur instrument. 8) Sinon, sympa' cette musique douce et mélancolique. Ça fait remonter des souvenirs aucunement liés à cette musique, qui n'ont aucun rapport et qui n'existent même pas pour certains, mais avec cette ambiance.

 

[Richard Strauss] "Introduction" du poème symphonique Ainsi parlait Zarathoustra, opus 30 : j'ai joui. 8) Tellement énorme cette musique. 8) L'une des musiques les plus épiques de tous les temps. 8) Trois notes, grosso modo. 8)

 

[Antonio Vivaldi] Premier mouvement "Allegro" du concerto pour violon n°1 en mi majeur Le Printemps (La Primavera), opus 8, RV 269 : 8) 8) 8) Là, c'est un vote purement nostalgique, "dans les veines". J'ai tellement écouté cette musique étant gosse. Les quatre saisons de Vivaldi sont sûrement les quatre morceaux que j'ai le plus écoutés de toute ma vie. Et celui-là en est potentiellement le plus culte et mon préféré (avec l'été bien sûr). J'aime. L'un de mes favoris du tournoi sans doute. Les cordes. 8) Je ne l'avais pas dit assez. 8)

 

Compliqué ce groupe du coup. :o

 

Mais je vote sans trop d'hésitation pour [Richard Strauss] "Introduction" du poème symphonique Ainsi parlait Zarathoustra, opus 30 et [Antonio Vivaldi] Premier mouvement "Allegro" du concerto pour violon n°1 en mi majeur Le Printemps (La Primavera), opus 8, RV 269 . Bien dommage pour le deuxième morceau.

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Tellement entendu la marche nuptiale que comme erza j'ai du mal à juger.

Mais globalement j'ai pas l'impression d'aimer tant que ça, disons qu'il y a probablement de plus beaux morceaux.

 

Celle de Brahms aussi est culte même pour un non connaisseur comme moi mais j'ai déjà plus. Je la trouve amusante en quelque sorte.

 

J'ai bien aimé la compo' de Rachmaninov aussi.

Strauss j'aime pas particulièrement ça reste simple efficace mais ça ne me transporte en rien. Après mise dans un film ça passe mieux. 9_9

 

+1 Brahms

 

Ah et Vivaldi c'est trop pour moi.  :'(

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J'ai donné mon premier vote à la marche nuptiale de Mendelssohn. En lui-même, le morceau ne me plaît pas tant que ça, mais son contexte, son histoire, m'amusent. Alors qu'il est surtout connu pour accompagner, comme une musique bien sérieuse, l'événement en principe solennel et important qu'est le mariage, en réalité ce n'est pas du tout une musique composée à l'origine pour cela (pour célébrer des mariages dans le monde réel, j'entends). La marche nuptiale de Mendelssohn est une pièce composée pour la musique de scène Le songe d'une nuit d'été qui a pour sujet la pièce éponyme de Shakespeare, et elle se fait entendre pour célébrer le mariage de la reine des fées avec un tisserand dont elle est tombée amoureuse à cause d'un philtre d'amour, et ledit tisserand est à ce moment-là transformé en... âne. Ce n'est pas du tout une musique sérieuse en fait, mais une grosse musique parodique !

 

J'ai donné mon second vote au deuxième mouvement du concerto pour piano n°2 de Rachmaninov, un compositeur que j'écoute assez peu finalement.

 

Les Danses hongroises ne sont pas les pièces de Brahms que je préfère.

 

L'introduction du poème symphonique Ainsi parlait Zarathoustra de Strauss, si elle est assez sympa à écouter dans le cadre d'un film (les cinéphiles auront reconnu la musique de 2001, l'Odyssée de l'espace de Kubrick), ne me dit trop rien hors de ce contexte.

 

Le Printemps de Vivaldi n'est pas mon concerto préféré des Quatre saisons. Je lui préfère l'Hiver surtout, et l'Été.

 

Quelle bouffé d'air pur ce tournoi  :-* Silesius est un génie.

Merci ;D

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