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Le peuple du ciel, l'héritage céleste!


Licran
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Salut à tous mon deuxième poste dans le forum et sur une fanfic, c'est ma première fic donc j'ai surement de gros lacune dans certain domaine. J'attends de vous toute les critiques possibles et imaginables afin de m'améliorer...

 

Ca se passe pendant l'entrainement de jiraya avec naruto, les deux ans et demi, de "joli" moment entre prof et élève, vous découvrirez!

 

Merci et bonne lecture!

 

Sa devait être un one shot mais bon, il prend trop de page pour, alors je vais essayer de le poster en trois partie...

 

 

Le peuple du ciel, l’héritage céleste !

 

L’histoire se déroule pendant les deux ans et demi où Jiraya, le grand ermite du myoboku, l’un des sannins légendaires, a pris sous son aile l’enfant au kyubi, le démon renard à neuf queues, Naruto Uzumaki…

Après une longue journée à marcher dans une forêt aussi étrange que féérique, Naruto et Jiraya finirent par tombaient sur une petite auberge à source chaude.

- Naruto ! On passera un jour ou deux ici…

- Ero sennin ! Pourquoi avoir choisis cette forêt bizarre pour rejoindre konoha ?

- …C’est pour mes recherches bien sur les filles de cette région sont reconnues pour avoir un teint de couleur exceptionnelle !

- Encore c’est truc de vieux pervers, pff !   

- Ces investigations sont très importantes pour mes sublimes romans, rétorqua Jiraya…

- Quoi ces livres obscur et incompréhensible, ils sont invendables, je vous l’ai déjà dis plusieurs fois et ne me ressortez pas votre discours sur quand vous seriez célèbre, je m’en fous !

-   Bon d’accord attends moi je vais prendre une chambre et on pourra aller prendre un bain dans les sources chaudes !

- Pff …

 

Naruto seul, le regard perdu dans cette sublime forêt de glace, pensait à son retour à konoha, il avait hâte de retrouver ces amis, de manger un bol de  ramen chez Ichiraku…

Perdu dans ces pensées, il commença à s’intéresser au bruit particulier qu’émettait la forêt. Une mélodie triste provenant de la chute d’une multitude de cristaux de glace à travers les branches des différents arbres. Plus on l’écoutait, plus le bruit ressemblait à des grelots entrain de tinter à l’unisson. Alors le jeune blond se demanda à voix haute :

- Comment j’ai pu traverser pendant toute la journée cette forêt sans remarquer cela ? Je dois vraiment être pressé de rentrer, faut dire qu’on aurait pu traverser le pays du vent ça aurait été plu rapide et on aurait rencontré Gaara…

Alors il s’avança un peu dans les bois afin de mieux observer le phénomène. En observant les profondeurs des bois, on dirait presque que le bruit proviendrait de ces petites lumières brillantes qui sont entrain de tomber du haut des arbres, telle des lucioles mourant en gémissant de leur dernier souffle. Plus elle se rapprochait du sol plus les lueurs devenaient blafardes.

- Je ne sais pourquoi mais je ressens de la tristesse en regardant ce spectacle…

Alors à ce moment là son vieux maitre de l’auberge, se mit à crier :

- Naruto ramène toi, c’est réglée, il y a un festin qui nous attend !!

- Ossu !! Je commençais à avoir faim …

- Nan, désolé mais on ne mange pas avant d’avoir prix un bain !

Nos deux héros s’installèrent dans leur chambre et se dirigèrent dans le bassin d’eau chaude après s’être préparés.

- Tu as intérêt à m’écouter car je vais t’enseigner une grande leçon de vie !

- A bon ? C’est du ninjutsu ?

- Jeune ignare, j’ai dit « leçon sur la vie » …

- Pff ! alors si c’est encore vos trucs pervers…

- Non là c’est sérieux et il y aura peut-être des trucs à apprendre sur le ninjutsu en général, tout dépend de ton attention, ha, ha, ha !

Perplexe notre jeune héro acquiesça de la tête tout en rejoignant son vieux maître dans l’onsen. D’une oreille attentive, il commença à écouter son mentor délicatement calé entre deux pierres.

Jiraya voyant son jeune élève totalement charmé et déjà conquis, il put à son tour se détendre et laisser couler son récit dans cette ambiance décontracté…

- Cette histoire est contée de seinse à élève avant même que konoha ne soit fondé par le premier hokage, moi-même elle me vient de vieux Sandaime, qui lui vient des deux premiers hokages et …

- A bon ? Elle parle du premier hokage ? Sa me plait de plus en plus cette histoire, interpela Naruto tout plein d’enthousiaste.

- Calme toi, je te la raconte si tu me promets qu’à partir de maintenant tu ne m’interromps plus…

- D’accord, d’accord ! Ero sennin !

 

"A une époque où le monde n’était pas comme l’on peut l’apercevoir de nos jours, les shinobis agissaient plus en terme de mercenaire, armée privée que de citoyens protégeant leurs pays et villages, comme c’est le cas de nos jours. Les conflits se faisaient récurrent, les villages cachés n’existaient pas encore, konoha y compris. Les différents clans de ninjas étant en perpétuelle missions, ils ne pouvaient s’installer à un endroit durablement sous peine d’être détruit par leur adversaire du moment.

Et dans ce monde de souffrance, n’acquit l’une des femmes les plus belles qu’il est été de rencontrer, elle se nommait Yoruichi, l’histoire ne dit pas dans quelle région elle est née ou dans quelle clan. Elle voyageait avec un groupe de commerçant nomade à travers le monde ninja. Ayant perdu ces parents à un très jeune âge, elle détestait plus que tout la guerre et par-dessus tout les ninjas. Pour elle, ils signifiaient la mort, plus terrifiant que les shinigamis. Yoruichi était du genre pacifiste, mignonne, ce genre de femme qui évoque facilement des désirs charnels… »

 

- Ero sennin !! Coupa nette Naruto.

- D’accord je vais zapper cette partie là, haha ! répondit-il l’air gêné…

 

« Un jour dans une région très éloignée, la caravane accompagnant Yoruichi s’arrêta dans un petit village rural afin de faire ses achats. Yoruichi alors s’éloigna un peu dans les maquis aux abords du village  car elle ne supportait pas le brouhaha du marché. Le maquis était un maquis comme les autres, composé de petits arbustes épineux, il y régnait un silence glaçant. Aucun animal, pas de vent, aucun bruit, ce silence ne pouvait être naturel en déduisait elle. Intriguée par cette bizarrerie, la jeune femme décida d’aller voir derrière l’une des collines  et s’éloigna encore plus de la caravane et du village.

 

Arrivée en haut de la colline, elle se retrouva nez à nez devant un shinobi ! Habillait en noir, masque cachant son visage, tout l’équipement du ninja laissait croire à un ninja en mission. Un peu plus loin derrière le shinobi, une trentaine de ninjas se préparaient à se qui semblait être à un  prochain assaut, surement sur le village.

 

Surpris, désemparée, elle se mit à reculer d’un pas hésitant puis dans la panique, elle se retourna brusquement et se mit à courir vers le village. Le ninja étant largement plus rapide qu’elle, il la rattrapa et l’agrippa par la main.

- Plus un mot ou c’est la fin pour toi ! menaça avec vigueur le ninja.

- …

Prisonnière par les êtres qu’elle craignait le plus, elle restait tétanisée devant ses séquestreurs. Ligotée, bâillonnée, elle ne pouvait que les écouter préparer un futur massacre. Ils ont été engagés afin de détruire le petit village car il commençait à faire de l’ombre aux villages voisins. Cette raison absurde changeait le désarroi de Yoruichi en haine et colère. Elle se mit à maudire sa faiblesse, elle qui descendait de parents érudits dans l’art de combattre, mort pour protéger les leurs, elle qui s’est jamais intéressée au combat, qui n’a pu acquérir la connaissance de ses parents.

 

Le groupe d’homme arriva au bout de leurs préparatifs, l’attaque fut décidée pour la nuit tombée, il ne devait rester aucun témoin du massacre telle était la loi des ninjas et cela commencerait forcement par elle qui a failli faire tomber à l’eau leur plan.

Celui qui semblait être le chef du clan de par son âge, son expérience, son élocution, son visage marquait par les années de conflits répétés (balafre en tout genre sur le visage, ride prononcées…), finit par donner l’ordre que Yoruichi craignait le plus…

- Supprimez là ! déclara froidement le patriarche du clan.

- Compris ! répondirent-ils

Alors l’un deux sortis du rang et se dirigeait dangereusement vers la jeune femme. Elle avait fini par se rendre à l’évidence, s’en était fini de sa personne, dans un dernier élan de courage, elle releva la tête afin d’essayer de voir les yeux de son bourreau mais en vain, le shinobi portait un masque cachant jusqu’à ses yeux. Il l’attrapa par sa longue et soyeuse chevelure noirâtre puis il sortit de son fourreau une courte lame bien aiguisée. Posant délicatement la lame sur le coup de Yoruichi, elle s’arrêta de respiré d’effroi, elle pouvait sentir la froideur du métal entrain de pénétrer délicatement dans sa chaire. Le shinobi n’étant aucunement pressé, il prenait son temps, se délectant de se moment de totale domination sur sa prise. Yoruichi commença à saigner du coup, bien qu’elle aurait voulu crier, elle ne le pouvait pas, étant bâillonnée. Elle devrait pleurer mais aucune larme ne se manifestait. Dans ce moment de totale soumission, elle ne voulait pas offrir à son futur assassin la dernière chose qui lui appartenait encore, sa fierté !

 

Alors le regard perçant elle se mit à fixer le masque de son ravisseur afin de montrer que sa détermination et sa volonté ne seraient pas ébranlées même dans la mort. Le ravisseur décontenancé se mit à montrer des signes d’énervements.

Alors qu’il décida d’en finir avec cette prisonnière qui révèle un état d’esprit méprisant et orgueilleux, un bruit assourdissant jaillit de toute part du camp !

 

L’extermination de Yoruichi devenant secondaire, il abandonna sa victime gisant à même le sol dans une mare de sang.

Dehors la bataille faisait rage, la disparition de la jeune femme avait amenée les gens de la caravane et le village à la rechercher, tombant par hasard sur le camp des ninjas étrangers la déduction à était rapide. La victoire de cette bataille ne tenait en faite qu’à celui qui attaquerait en premier. La faible défense allier avec les rares combattants parmi les commerçants étaient suffisant pour tenir tête au ninja, le nombre de combattant palliant leurs faiblesses, mais de là espérer une victoire…

 

Le chef du clan ninja sortit de sa tente en tenu de combat et commença son jeu de massacre. Il était très rapide, expert en maniement du sabre, il coupait tête après tête, personne n’avait l’air de pouvoir l’arrêter du coté des villageois. La trentaine de shinobi est presque décimée, ne restant que le chef et un de ses adjoints, mais en contre parti, ils ont réussi à battre quasiment toute la défense du village et la totalité des caravaniers qui ont participé à la bataille sauf un. Le plus fort de son groupe toujours debout face au deux shinobis. Alors un combat décisif allait se dérouler entre ces trois hommes.

 

Soudainement, le patriarche du clan de shinobi se précipita vers le commerçant, d’un signe de la tête à son compère, l’autre rétorqua :

- Doton, escalier impériale !

Un immense escalier jaillit du sol, le chef  gravit les marches en un éclair et se retrouva au sommet des marches à plus de cent mètre au dessus du sol. De son perchoir, il plongea vers le commerçant tout en sortant un mini parchemin de son dos.

- Ninpo, pluie infinie de katana ! s’écria-t-il d’une voix ogre.

Alors une multitude de katanas apparurent autour de lui, alors tout en tombant à grande vitesse sur sa proie, il en profitait pour préparer son attaque finale. Le commerçant se rendant compte qu’il ne pouvait échapper à l’attaque en cours vu qu’elle provenait du ciel, il se mit à composer des mudras.

- Suiton, geyser d’eau froide ! murmura-t-il.

Alors un grondement émanant du sol commença à se faire attendre et d’un coup un torrent sortit du sol en direction du ciel. La situation se retournant contre l’assaillant, il lui faut réagir et vite. L’adjoint étant placé à bonne distance à une bonne vision de la situation, c’est à son tour de faire des signes incantatoires.

- Doton, éboulement de terrain !

 

Alors la base de l’escalier s’effondra sur le trou du geyser et obstrua l’orifice. Mais l’attaque était déjà lançait sur ce coup là, son supérieur devra s’en sortir tout seul. Ce vieux bougre en a vu beaucoup le long de ces nombreuses batailles. Agrippant l’une des épées tout en se rapprochant dangereusement de l’attaque de son adversaire, il tourna autour et se balançant hors de porté de l’attaque. Le jet éparpilla les katanas autours de deux adversaires, maintenant au même niveau du sol. Chacun guettant le prochain mouvement de l’autre, alors le commerçant fit le premier pas, bien que n’ayant aucune prédisposition à l’attaque, son métier ne nécessitant pas de lui d’être offensif, seul la défense primé jusqu’à ce moment ! Se précipitant vers son adversaire pensant qu’un bretteur sans épée à la main était surement amoindri, il s’écria :

- Suiton, Hurlement de l’hydre des mers !

- Pauvre fou tu viens de signer ton arrêt de mort ! s’exclama le chef du clan déchut.

 

Alors qu’une forte bourrasque accompagnée de trompe d’eau se déversait vers le patriarche, les épées dispersaient jusque maintenant retournée vers leur propriétaire. Dés qu’il put en saisir deux dans chaque main, il exécuta une technique de substitution avec un clone de boue crée par son adjoint. Utilisant sa grande vitesse il réapparut dans le dos de son adversaire. Son adjoint se prit l’attaque combinée avec le reste des katanas…

- Je te l’avais dit non, tu es fini !  "

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