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Halloween façon Seven


Mr0
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Texte pour fêter Halloween lourdingue et tordu, mais j'l'aime bien quand même parce que ça veut strictement rien dire du début à la fin  ;D

 

La neige recouvrait de son blanc manteau la ville. Les cloches sonnaient. Les gens riaient gaiement en essayant de s'étrangler. Bref, vous l'aurez compris, il était Halloween. Mais alors vous vous demandez sûrement, et vous avez raison de vous le demander, mais pourquoi moi alors que les chevaux sont bien plus difficile à discerner dans la brume ?  Et bien je vous répondrais que cela n'a absolument rien à voir et que de toute façon tout ceci n'a absolument aucun sens après tout. Je recommence donc, la ville était joyeuse, les têtes de morts étaient plus vivantes que jamais, ce qui en soit est un paradoxe assez inquiétant pour ma santé mentale et pour la future votre. Donc la ville était joyeuse car en fait Halloween était la fête préférée en ces lieux.

En fait, l'explication tenait simplement dans le fait que le maire n'était autre que Zéro, descendant de Zéro et arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-arrière grand-père de Zéro. Oui, je ne suis pas très imaginatif mais en même temps je vous demanderais, qu'est-ce que l'imagination à part une vague idée illusoire de notre vie qui passe trop vite pour les trains à haute vitesse et trop lentement pour les monosyllabes. Une histoire tragique.

Bon, j'aimerais bien pouvoir commencer mon histoire quand même. Heureusement, c'est à ce moment là que débarqua Zéro, le taré psychopathe que je n'avais pas utilisé depuis pas mal de temps, et qui était donc le maire. Enfin le tyran, parce que bon, faut pas déconner quand même si il était gentil ça se saurait. Donc bon, Zéro débarqua, vous l'avez compris si vous avez suivi l'histoire, et dieu sait ce que c'est simple pourtant, ce n'est pas comme si je partais dans des élucubrations à tout bout de chant. Donc Zéro débarqua, mais de toutes façons, même si je partais dans des élucubrations, ce serais entièrement voulu pour combler le manque de scénario dû au fait que je m'y prend un peu en retard et au fait que ce n'est qu'un one shoot sans lien avec la véritable histoire. Véritable histoire que je construit au fur et à mesure grâce à des inspirations diverses.

Donc Zéro débarqua dans la clinique des Anges Perdus. En parlant d'ange ça me rappelle cette pub insupportable sur Batman qui passe à la télé alors que j'essaye de rire un peu devant une série d'animation dessinée par Matt Groening et dont je ne citerais pas le nom. Oui, ça n'a aucun rapport et c'est pour cela que je tenais à le dire pour mettre des lignes de plus.

Je disais donc que Zéro débarqua dans la clinique des Anges Perdus avec une cheville fracturée. Enfin fracturée n'était pas le mot, car cela impliquait qu'il se la soit fracturé. Or c'était exactement cela, donc oui il se l'était fracturée. Donc sa jambe était fracturée, à moins que ce ne soit sa cheville. Peu importe de toutes façons. L'important était qu'il ne pouvait plus marcher. Ce qui impliquait donc qu'il était une parfaite victime pour un film d'horreur de seconde zone. Ce que sera ce one shoot si ne vous l'avez pas compris malgré toutes mes précisions dans les lignes superflus et inutiles qui se trouvant avant cette phrase. Et avant cette phrase aussi. Mais en même temps, comme la deuxième phrase se trouve après la première, il est donc normal qu'elle se trouve aussi après celle avant la première et qui sont donc, par extension, des phrases à valeur négatives puisque l'on doit partir d'un zéro, non pas celui avec le pouce fracturé, le zéro naturel inventé pour désigner une quantité nulle, ce qui est une invention assez fascinante quand on y repense bien.

Donc Zéro débarqua à la clinique au nom qui m'échappe maintenant avec quelque chose de fracturé mais personne ne savait quoi même pas l'auteur à cause de ces rallonges qui venaient sans cesse couper le récit. Franchement, ça m'énerve, à croire que je ne le fait pas exprès. Donc Zéro, le héros et non l'entier naturel, essayez de suivre un peu, débarqua dans la clinique. On l'installa dans une chambre avec vue sur la ruelle sombre et flippante. Le soir tombait tout doucement. Enfin question de parler, parce que le soir étant une entité non matérielle, il ne peut décemment pas tomber. Le crépuscule s'installait doucement. C'est à ce moment là, ou un peu plus tard, je ne sais pas avec précision car c'est une histoire d'horreur et ces détails sont toujours flous pour cause de m'enfoutisme primaire à propos de ces détails insignifiants qui me font quand même gagner quelques lignes que je vais perdre ensuite à cause de mon obsession de la feuille blanche et mon complexe d'Oedipe à circulation alternée. Donc la pluie tomba à ce moment là et des éclairs commencèrent à zébrer le ciel. On se serait donc cru dans la savane si il n'y avait eu ce maudit rhinocéros volant qui gâcha ce paysage dépaysant.

Bref, il était là dans sa chambre, tranquille, sans se douter que quelqu'un le regardait. Enfin si, il s'en doutait puisqu'il s'agissait de Siegfried, qu'il était assis dans un fauteuil à côté de lui et qu'ils étaient en pleine discussion. Donc oui, il ne pouvait que se douter que quelqu'un l'observait puisqu'il observait lui-même celui qui l'observait. Réflexion intéressant tout compte fait sur la nécessité de connaître son cogito de son for intérieur sans essayer de faire la distinction avec les croquettes pour chien. Mais alors que personne ne pensait à cela, et ça se comprend tellement c'est idiot, trois coups sourds furent frappés à la porte. Trois coups infernaux.

Un éclair fusa dans le ciel. Une immense lumière emplit la pièce puis les plombs sautèrent et tout fut plongé dans le noir. Car oui, ils avaient oubliés d'installer un paratonnerre, Zéro n'avait heureusement pas peur du noir car en fait, enfin en même temps un paratonnerre si on ne se fait jamais frapper par la foudre ce n'était pas très utile,  il n'aimait pas vraiment le chou à la crème, mais en même temps qui ne s'est jamais fait frappé par la foudre je vous le demande, donc c'est pour ça que seul Siegfried cria. C'est alors que la lumière se ralluma en clignotant légèrement. Zéro cria à son tour. Sur tous les murs étaient marqués : Je sais ce que tu as fait ! Trois coups sourds furent frappés à la porte. Zéro se leva donc, l'angoisse montant, et ouvrit délicatement. De l'autre côté se trouvait Léo.

 

Zéro : Salut Léo, quoi de neuf ?

Léo : J'ai neuf nains.

Zéro : Super ! Entre !... Hey attend... J'ai l'impression d'avoir déjà vécu cette scène !

Léo : Tu te fais des idées sûrement.

 

Léo entra dans la pièce et s'assit en lévitation dans les airs. Zéro retourna s'allonger dans son lit, lit le lit et non pas le nombre rationnel bien évidement, puisqu'on ne peut pas faire l'erreur étant donné qu'aucun nombre rationnel ne se nomme lit. Bien qu'il soit rassuré parce que c'était Halloween, il se posait tout de même la question suivante : qui avait bien pu marquer Je sais ce que tu as fait ! Sur les murs de sa chambre d'hôpital ?

« Mais qui a pu marquer Je sais ce que tu as fait ! Sur les murs de ma chambre d'hôpital ?

-Ça ? Ah c'est moi, répondit Léo

-Mais... Qu'est-ce que j'ai fait ?

-Tu t'es fracturé la colonne vertébrale non ?

-Ah oui, c'est vrai. Mais comment as-tu pu le marquer sur les murs alors que tu étais dehors ?

-Je sais jouer de la mandoline. »

Ah mais oui ! Tout s'expliquait maintenant. Après avoir traité Siegfried de Herman, par respect pour la tradition paraissait-il, ils décidèrent d'avoir peur sans d'autres raisons que le fait qu'ils étaient dans un one shoot sans idées qui menaçaient de s'effondrer à n'importe quel moment. C'est alors que tous les personnages inintéressants et secondaires de mes anciennes fictions décidèrent de débarquer pour fêter Halloween avec eux.

Mais le téléphone sonna, pas le nombre entier négatif mais l'objet servant à téléphoner car plus simple, moins c'est cher. Les invités de turent tous, sans exception. Enfin si, il y avait quand même Dora l'exploratrice mais encore c'était compréhensible car elle n'avait rien à faire là, n'étant apparu que sporadiquement et encore de manière totalement involontaire à cause d'un manifeste pour les coussins écrit par un homme totalement inconnu. Donc le téléphone sonna. Mais en même temps, qui a bien pu inviter Dora ici sachant qu'aucun personnage n'aurait pu la prévenir. Donc il sonna. Sauf peut-être Herm... Siegfried qui l'a connu, un peu, vers la fin de l'aventure. Donc le téléphone sonna. Mais en même temps leur relation a été très conflictuelle du peu que je m'en souvienne. Donc le téléphone sonna et Zéro décrocha. Le silence s'était installé, car oui, finalement, Dora ne pouvant décemment pas être là, plus personne ne parlait. De l'autre côté du fil on entendait une voix rauque dire doucement :

« Je suis dans la penderie... »

Oh non ! Zéro s'en était douté ! Le méchant boucher à la voix rauque ne pouvait être... que son écharpe rose bonbon spécial Halloween qu'il avait oublié le matin même dans la penderie et qui l'appelait pour lui rappeler ce problème ! C'est donc ainsi qu'il alla prendre son écharpe rose bonbon et qu'ils firent la fête. The end !

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