Ouvrir une maison d'édition ?

[Strawberry115]

Comme vous le savez surement, il y a déjà beaucoup de maison d'édition de manga en France. Mais ces dernier ne font que reprendre ce qui se trouve sur le territoire nippon pour le sortir en France (au passage avec trois ans de retard, une traduction et un doublage de m.... lorsque les anime sortent en France mais bon passons sur ce détail).

Ce que je voudrait savoir, c'est si il est possible d'ouvrir une maison d’édition de magazine hebdomadaire dans le style du Jump (plus précisément le Shonen Jump). Pour ceux qui ne connaissent pas, les Jump sont là où sont édité les plus grand manga (comme Naruto, Bleach ect...) qui sortent chaque semaine par chapitre. C'est un concept intéressant je trouve que nous n'avons pas en France(ou du moins j'en ai pas la connaissance). Pour être plus précis un mangaka, lorsqu'il débutent, est encadré par un éditeur (celui qui s'occupent aussi de certain frais de la série, de la recherchent des assistants ect...) travaillant pour le Jump (environ une dizaine il me semble) à qui le mangaka remet chaque semaine son chapitre terminé. Ensuite lorsque le Jump sort, les chapitre sont soumis au votent des lecteurs. Enfin bon je suppose que tout connait le principe.

Je pense pouvoir prochainement rentrer dans le milieu de l'édition et je voulais savoir si ouvrir une maison d'édition de ce genre était possible. Je trouve que ce serait la chose la plus génial qui existent en France car mangaka est un véritable travail et qui peut être une porte de secours à ceux qui ne savent pas quoi faire dans le vie.  Il n'y a pas beaucoup de travaille qui nous laisse la possibilité de faire ce qu'on veux, où qui nous plait à long terme. Je pense que beaucoup de jeune comme moi rêverais de pouvoir tenter leur chance et de pouvoir présenter leur histoire et leur talent, mais pour cela il n'y a pas d'autre solution que d'aller directement au Japon.

[Chuck]

Moi je voudrai ouvrir une fabrique de slips type old school, écologique made in France.

Genre kangourou en matière naturelle recyclée. Plus besoin de pantalons "taille basse" pour montrer son caleçon, le slobar monte au dessus du nombril (faut juste prévoir des tee-shirts plus courts).

Bon les premiers essais ont montré qu'après l'ingestion d'un cassoulet ou d'une soupe de haricots ça peut poser problème.

Mais je reste confiant dans l'idée que ce concept peut créer des emplois, lancer une nouvelle mode, sauver notre planète et éviter aux petits enfants chinois d'être forcés à confectionner des produits qu'ils n'auront jamais.