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Le Sabre de Bartellemy


Malcolm Merlyn
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Salut tout le monde !

 

Je reviens avec une fanfic sur le thème des pirates. J'avais commencé il y a un moment une fanfic mais après un chapitre je l'avais laissé de côté pour la simple raison que je me voyais pas aller plus loin. Entre temps j'ai eu pas mal de temps libre et je me suis énormément intéressé au monde des pirates et corsaires. Ça m'a donné envie de commencer à écrire quelques choses et j'aimerais partager avec vous ce début. Je précise que je détail pas trop au début, j'avais envie d'aller pour ce prologue à l'essentiel et pas se perdre dans des pages et des pages de détails sur les bateaux ou les uniformes.

 

C'est assez long mais c'est pour gentiment lancer l'intrigue et voir de quoi il en sera. En espérant que vous apprécierez  ;)

 


 

Prologue

 

Il n'était pas loin du milieu de la nuit lorsque l'Amiral Anglais Joseph Philips poussa la porte de la "Garganta", célèbre taverne connu pour être un repère de pirate. Débarqué quelques heures plus tôt sur le sable doux de Santa Clara une petite île géographiquement bien placé au milieu des routes Pirates et de réputation solide pour pouvoir ravitailler les pirates, Philips avait prit quelques précautions au préalable. Il était seul, il avait troqué sa veste ample traditionnelle Rouge et Or ainsi que sa perruque pour utiliser lors de cette expédition quelques vêtements plus adéquat. Une tunique sale et troué d'un blanc nacre, ainsi qu'une veste noir délabré qui laisser entrevoir la vieillesse de l'habit. Quant à sa peau, l'Amiral Philips avait été jusqu'à s'enduire la visage de boue et s'essuyer à peine afin d’imité au mieux la saleté dont pouvait être affublé les pirates.

Mon Dieu qu'elle horreur ! Pensa t-il. J’espère que ce Fibustier de bas-étage ne m'a pas raconté de mensonge, sinon son fils et lui sont bons pour la corde !

 

C'est alors qu'il se souvent. Quelques jours auparavant, à bord de sa corvette de combat le Wrath, l'Amiral était tombé sur une belle surprise. Alors qu'à l’horizon tout semblait calme, la vigie avait subitement crié à l'alerte.

 

- Bâtiment à l’horizon ! Avait alors crié l'homme. Il est pirate Capitaine ! Il ... Il a hissé son pavillon rouge !

 

Philips regarda pensif le sloop se dirigeait vers eux. Le pavillon rouge hein ? Marmonna t-il. Pour les pirates, le célèbre pavillon rouge anonçait la clairement la couleur à son adversaire. Sa signification était des plus clair : pas de pitié. Aucun prisonnié, aucun survivant, un carnage pur et simple était annoncé par le bateau adverse.

L'Amiral resta cependant pensif. Sérieusement ? Ne voit-il pas qui nous sommes ? Pensa Joseph Philips en levant les yeux vers le pavillons blanc floqué de la croix rouge représentative de la puissance de St.George. Mon Dieu, depuis que Teach s'est parmi d'attaqué Le Concorde pour en faire le Qeen's Anne Revenge tout le monde pense que l'on peut s'en prendre impunément à nous.

 

Il regarda alors son Second et lui adressa quelques mots :

 

- Lieutenant James, feinter une tentative d'évasion. Ils n'ont pas l'air de savoir qui nous sommes, laissez les canons ranger pour pas leurs donnés d'indications. Une fois à notre porté partez à l'abordage avant qu'ils n'aient eu le temps de comprendre ce qu'il se passe. Éradiquez les tous mais gardez-moi le misérable qui se dit Capitaine et qui se permet de tel acte.

 

Le Lieutenant James écouta religieusement les ordres, et une fois la tactique expliqué il s'empressa de donner les ordres à l'équipage Anglais. Le Lieutenant Blake James connaissait bien son capitaine. Cela faisait prêt de 5ans que les deux hommes navigués ensemble, et durant ce temps James Blake avait eu le temps de cerné l'Amiral. Ses méthodes, et plus précisément ses talents de stratège en avait fait le numéro un de la marine royal Anglaise. Ses manœuvres proche du génie avaient permis la capture de plus d'un pirate. 31 si le compte que tenait le Lieutenant était juste. Nul ne savait comment l'Amiral faisait pour établir ses tactiques de combat, on aurait dit qu'il arrivait à entrer dans la tête des pirates pour tant anticiper à l'avance les mouvements ennemis. Des rumeurs circulaient bon train sur Joseph Philips. Certaines disaient qu'enfant il aurait aimé être pirate et les avaient étudié de prêt, mais faute de pouvoir s'engager à cause de son physique fragile due à une maladie lorsqu'il était plus jeune, il était partie dans la Royal Navy du Roi George d'Angleterre.

D'autres rumeurs encore racontaient que l'homme avait vu enfant le massacre de ses parents sous ses yeux lors d'un abordage pirate sur un navire de commerce Anglais. Seul survivant du massacre, il aurait des lors choisis de ce vengé le plus possible des pirates et en aurait fait son obscésion. Quoi qu'il en soit, l'Amiral Joseph Philips était un génie de la navigation.

 

Le Sloop adverse, bateau à un mât comportant qu'une voile principal, bateau le plus souvent utilisé par les pirates à cause de sa légèreté et sa rapidité se rapproché de plus en plus du navire Anglais, le Wrath. Le sloop était floqué en haut de son mat d'un pavillon inconnu à l'Amiral. Le drapeau rouge était annonciateur d'un combat sans merci, ça il le savait mais le symbole sur celui-ci n'appartenait à personne de connu de Philips. Il s'agissait du squelette d'un Aigle ayant une tête de mort en guise de bec. Un Aigle ? Ce dit-il aussitôt. Ce fut confirmé par un canonnier présent sur le pont.

 

- Pourquoi un Aigle ? C'est un symbole stupide ! Cria alors l'homme non loin de son capitaine.

 

- Voir un aigle voler annonce gains et triomphe prochain répliqua sèchement l'Amiral. Ces brigands des mers pense avoir la chance de leurs côtés, mais ils ne savent pas ce qu'il les attendent. Tout le monde en place pour la manœuvre. Pas de quartier monsieur.

 

A bord du Sloop, le Flibustier John Carters regardait la scène qui se déroulé sous ses yeux.

Parfait. Réfléchit-il. Nous avons réussi à les rattrapés, pensait il vraiment pouvoir nous échappé avec leur fuite ? Nous sommes pourtant bien plus rapide ! Moi aussi je vais entrer dans la légende en réussissant cette prise gigantesque ! Après tout, ce n'est qu'un gros bateau de transport d'esclave ! Que risquons nous ? Rien !

 

- Repliez les voiles, laissez l'inertie du bateau finir de nous rapproché d'eux ! Hurla Carters à ses moussaillons. Tous les hommes prêts à ce battre ! Aujourd'hui c'est l'heure de la victoire les amis ! Aujourd'hui nous entrons dans la légende des Pirates !

 

Mais alors que tout ce passé selon ses plan, John Carters se retrouva en enfer en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Des dizaines d'Anglais surgissement de nul part décimant ses hommes les uns à la suite des autres. Qu'ai-je fais ? Ce lamenta immédiatement John. 10 minutes, c'est le temps qu'il aura fallu aux hommes de l'Amiral Philips pour prendre possession du navire Flibustier. Sur le pont,  les cadavres des pirates étaient entassés les uns sur les autres. John Carters fut transféré sur le Wrath et l'Amiral en personne vain l'interrogé.

 

- Je suis l'Amiral Anglais, Joseph Philips capitaine du Gallion Le Wrath. Pensiez-vous vraiment pouvoir nous prendre et vous en sortir ? Vous serez pendu haut et cour à Londres. Je vous conseil de vous préparer à mourir.

 

- Non attendez ! Répliqua Carters dans un ultime espoir d'échapper à son triste sort. Je peux vous êtes utiles si vous le souhaitez ! Je vous laisse de précieux renseignements contre ma vie !

 

Ces paroles titilla l'esprit de Philips qui n'était pas insensible. Mais le laissé libre plus tard ? Cette idée lui déplaisait fortement. C'est alors que le destin lui donna un coup de main inattendu.

 

- Amiral Philips ! Hurla le Lieutenant James. Nous avons trouvé un enfant qui tenté de ce caché ! Et devinez quoi, il ce dit être le fils du Capitaine ! Rien que ça !

 

- Vous voulez marchander Capitaine Carters ? Que dite vous de ça : ou vous nous révélés vos informations et votre fils est libre de partir et vivre, ou nous tuons votre fils sous vos yeux, attachons sa tête décapité à votre corps, et vous laissons comme ça jusqu'à Londres où vous serez pendu. Choisissez.

 

Le Flibustier John regarda son jeune fils. A peine 11 ans, à quoi ai-je pensé quand je lui ai dit de venir avec nous en mer ? Je peux pas le laissé mourir !

 

- Bien, repris alors Carters. Il y a quelques jours j'ai entendu une rumeur. On dit que sur l'Ile de Santa Clara se trouve un homme. Il aurait en sa possession une carte, une sorte d'indice vers la cachette du ... Il hésita à continuer, mais la pensé de son fils en vie lui donna du courage. Vers la cachette du sabre de Bartellemy le Rouge.

 

Tous les hommes échangèrent des regards perplexe entre eux. Était-ce seulement possible ? La légende voulait que Bartellemy le Rouge fut le 1er pirate reconnu, et que sa puissance lui venait de son sabre qu'on disait qu'il lui procuré une force sans pareil et en prime quelques pouvoirs occulte. Cette relique avait disparu avec le Capitaine Bartellemy qu'on dit mort lors d'une tempête. Philips ne pouvait pas laissé passer cette occasion. Avec ce sabre, il serait en mesure une fois pour toute de porter un coup fatal aux pirates ! Il avait du mal à cacher son excitation suite à cette révélation.

 

- Lieutenant, ordonnez tout de suite de changer notre trajectoire vers Santa Clara. Brulez également le Sloop après avoir récupéré tout ce qui peut être utilise. Mettez en prison le fils de Monsieur Carters. Il sera libre des le moment où j'aurais la carte entre les mains. Quant à vous, donnez moi immédiatement toutes les informations à propos de l'endroit où se cache cet homme et le marché sera conclu définitivement.

 

Le bruit de la porte d'entrée de la Garganta chassa les pensées de l'esprit de l'Amiral Philips. Cela faisait 6 jours qu'il préparait l’opération du mieux possible. John Carters avait donné toutes les indications possibles, du moins toutes celle en sa possession. La Garganta était un petit bar où les pirates aimés se retrouvé lors de leurs escales. Le lieu mal famé était d'une saleté incroyable. Les quelques bougies allumés arrivaient à peine à éclair la veste pièce où les pirates étaient tous réuni. Le parquet en bois grinça sous les bottes de l'Amiral qui avança petit à petit observant la taverne. A sa droite une scène accueillé un spectacle, quelques pirates jouaient d'un air joyeux quelques chants pirates à l'aide d'instrument de musique. Un attroupement était alors autour d'eux. Au fond de la pièce se trouvé le comptoir du bar avec derrière celui-ci le Barman, homme assez âgé et gras-souillé. A gauche du comptoir monter un escalier en colimaçon, nul doute sur ce qu'il y avait en haut. Des chambres avec des filles de joies. La prostitution était monnaie courante dans ce genre d'établissement où les hommes payés cher pour pouvoir passer du temps avec des femmes, dont certains n'en avaient pas vu une seule depuis des mois.

 

Puis à gauche, il vit quelques tables où des pirates étaient assis en train de boire quelques boissons local. Puis, à l'angle de la pièce, dans l'obscurité quasi total il vit un homme âgé, à moitié endormi par l'alcool ou la fatigue, il n'en menait pas large. Parfait pensa alors l'Amiral Philips. Il alla trouver le barman et lui commanda deux Grog, boisseau chaude qui avait entre autres de l'eau, du Rhum, du citron et du sucre. Il prit les deux verres avec lui et prit le chemin jusqu'à la table de l'homme mystérieux qu'il convoité tant.

 

- Mon brave ! Lança t-il. Il est encore trop tôt pour dormir ! Que diriez vous de partager un Grog avec moi !

 

- Qui êtes-vous ? Demanda intrigué l'homme.

 

- Un ami tout simplement. Je vous ai vu seul, nul personne ne devrait le rester devant une table ! Buvons !

 

Les deux personnes échangéres alors quelques paroles, ils burent ensemble pendant une bonne partie de la nuit. Philips le savait, avant d'aborder le sujet de la carte il devait en premier lieu gagner sa confiance. Les Grogs s'enchainant, le mystérieux homme devenait de plus en plus bavard et de moins en moins maitre de lui-même. Le moment parfait ! Songea Philips.

 

- Vous savez qu'on raconte qu'un homme aurait trouvé le sabre de Bartellemy le Rouge ! Vous vous en rendez compte ! C'est merveilleux !

 

- Comment !? S’insurgea alors l'homme saoul. Cela est impossible ! Moi seul est la carte en ma possession et je l'ai sur moi en ce moment même ! Regardez !

 

L'homme tira de sa poche un vieux parchemin, même si il ne la vu que quelques secondes l'Amiral savait que c'était l'objet dont lui avait parlé John Carters. C'est presque trop facile.

 

- Oula l'ami! Ne vous mettez pas dans de tel état ! Ce sont juste des rumeurs ! Laissez moi commander encore une dernière tournée de Grog !

 

L'homme complétement saoul fit un geste qui ressembla à une approbation. Difficile de voir vraiment ce que c'était tant le malheureux avait bu et avait l'air d'une épave. Philips se leva, alla commander les Grogs et revenu. Les deux hommes trinquèrent ensemble et burent le verre.

 

- Voyez-vous, commença l'Amiral en parlant doucement, je ne suis pas pirate ni même votre ami. Je suis un Amiral Anglais et je vous remercie d'avoir été aussi coopératif. Quoi ? Vous voulez parler ? Ne vous fatiguez pas, j'ai glissé dans votre verre le venin d'un serpent particulièrement rare et dangereux. A l'heure où je vous parle le venin agit dans votre corps. Vous devez normalement commencer à sentir votre respiration faiblir. Vous poumons vont s’arrêter, puis vos yeux ainsi que votre cœur vont lâcher avant que votre cerveau dans une immense douleur décide à son tour de mettre fin à vos tourments. Mais merci de votre aide, grâce à vous je vais une bonne fois pour toute décimer tous les pirates de ce monde !

 

L'homme mourra dans bruit, sans tentative de révolte, de survie. Il mourut seul et faible pensa Philips.  L'Amiral récupéra discrètement la carte dans la veste du décédé et prit le chemin du retour.

 

Le lendemain à bord de son navire, le Wrath, Joseph Philips convoqua dans son bureau le Lieutenant James, ainsi que le Flibustier John Carters et son fils escortés par quelques gardes.

 

- Et bien, je dois avouer que vous aviez raison Capitaine Carters ! Lança l'Amiral. J'ai bien trouvé l'homme et la carte. Je vous remercie pour vos précieuses indications.

 

- Bien, maintenant s-il vous plait libérez mon fils comme promis lui répliqua le Flibustier.

 

- Je n'ai qu'une parole. Cependant, sachez une chose mon ami. Je ne négocie pas avec les pirates.

 

Philips sortie alors son pistolet et tira sur l'enfant. Un bang retentissant ce fit entendre. Carters n'eu pas le temps de réagir. A ses pied gisait son fils mort dans une immense flaque de sang, une balle logé entre les deux yeux. Il tomba à genou, mais c'était trop tard. Il prit son fils dans ses bras et pleura toutes les larmes de son corps.

 

- Que c'est touchant ! Ricana l'Amiral. Ne vous inquiétez pas vous allez rester ensemble. Vous ! Désigna Philips à l'encontre d'un des gardes présent. Couper la tête du gosse, et faite un jolie collier à notre ami vous voulez bien ! Il aura besoin de compagnie jusqu'à Londres !

 

J'ai enfin la carte ! Jubila Joseph Philips. Oui ! Maintenant plus aucun pirate n'osera me défié lorsque que j'aurais en ma possession le sabre de Bartellemy le Rouge !

 


 

Merci d'avoir lu ce texte assez long ! N'hésitez pas à dire ce que vous en pensez que sa soit bon ou mauvais !  ;)

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