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Rise of an Elder God of Death


Midnite
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Bien le bonjour à vous.

Encouragé par l'ami Gunter, à la lecture de vos critiques positives sur sa fic "alienation", je viens poster ma collection, dans un univers familer à la sienne, assez éloignée "manga" mais plus proche s-f, car dans l'univers "Predator"( pas le film "blasphème " avp). En espérant que cela vous plaisee, je vous mets donc en ligne les 3 premiers chapitres. Enjoy.

 

 

Chapitre 1 : prologue d’une vie faite de hauts et de bas

 

Son nom est DeathMask, fils de Reaper l’exalté, son père et de Scythe sa mère et la seule femelle de notre espèce à avoir eu le privilège de chasser avec plus de talent et d’hardiesse que la plupart d’entre nous, frère de DeathSoul aux 1000 trophées, et qui fut durant les 15 premières année de sa vie la honte de sa famille et du clan Soul Reaver.

 

Ceci est le récit de toute son existence longue de 9 siècles de gloires et de chutes, de haine et de morts, de chasses et de fuites. Bien que son nom soit maintenant ancré dans toutes les mémoires et gravé dans la légende, bien que le vaisseau mère nous transportant porte à présent son nom, que qu’il porte le titre honorifique d’Elder exalté, et que d’autres que lui conteront les récits de ses nombreux exploits et innombrables chasses à vos oreilles, je préfère devancer les bavards et vous faire moi-même le récit de sa vie, dans un soucis d’authenticité. Si je prends cette initiative, c’est pour vous montrer à quel point son parcours fut long et difficile et surtout que son titre est bien mérité. Par mes paroles, je vous ferais parcourir des sensations comme la joie, la haine, la souffrance, la fureur, l’excitation de la chasse du meurtre, la tristesse, de la mort.

 

Le besoin de communiquer se fait pressant car je vis à présent mes 10 dernières années, et que j’ai besoin de prouver à notre espèce une dernière chose : que même ceux partant de la classe la plus basse, en s’armant de courage, de patience et de persévérance, que la chasse est possible pour tous, car il en est le parfait exemple,et moi aussi bien que je me sois hissé à ma position actuelle non sans souffrances aussi bien psychologiques que physiques ... tout comme lui. Rien n’est impossible à celui qui sait s’armer d’assez de culot et d’audace, rien.

 

Installez vous confortablement et armez vous de patience, car son (notre) histoire n’est pas des plus courtes. Maintenant ouvrez grand vos oreilles car nous allons commencer. 

 

 

......

 

1re PARTIE : JEUNESSE

Chapitre 1 : un peu d’Histoire

 

Le clan Soul Reaver était connu pour être le clan le plus violent et le plus déterminé lors des chasses, et chaque membre du clan devait veiller à ce que cette réputation reste intacte, voire qu’elle grandisse. Ce qui le rendait encore plus cruel, c’est le traitement qu’il réservait aux Eta, les Intouchables, si vous voulez. Pour les jeunes chasseurs, ce que je vous explique est encore compliqué, donc je vais vous décrire basiquement notre hiérarchie :

Notre rêve à tous est de finir en tant qu’ELDER, c’est-à-dire un exalté, un Yautja aux mille trophées, donc un PAYA, c'est-à-dire un grand guerrier … comme mon frère. Enfin bref, je m’égare.

 

Le problème (si cela est vu comme) est que pour devenir Elder, il faut préalable être considéré à la base comme un UNBLOODED, ce qui n’est hélas pas donné à tout le monde : certains, parce qu’ils ne sont pas apte à se battre, ou bien qu’ils n’ont pas été jugé assez vaillant, voire carrément lâche et couard, ne pourront jamais voir ce rêve se concrétiser un jour car ils sont directement relayé comme étant des ETA. C’est ce qui peut arriver de pire en plus d’être un Bad Bloods, mais je reviendrai sur cette caste de dégénérés plus tard. Les eta sont considérés comme étant des moins que rien, de véritables esclaves, ne servant qu’à préparer les repas, et servir de crachoir et de d’urinoir pour les moins chanceux.

 

Pour en revenir aux Unbloodeds, ce sont les jeunes d’entre nous qui n’ont pas encore eu le plaisir de chasser un amedha (une proie si vous voulez), et qui doivent s’affronter en duel pour prouver leur valeur.

 

Une fois ceci fait, ils passent au rang de YOUNG BLOOD qui sont des Blooded tout frais, tout jeunes, et prêt à en découdre, mais n’ayant encore aucune expérience de la chasse et ne demandant qu’à apprendre.

 

La seule différence qu’il y a entre un Young Blood et un BLOODED, qui est le stade suivant, est que ce dernier a un peu plus d’expérience au niveau de la chasse. Alors que les Young Blood représentent environ 30 % de la population guerrière Yautja, les Blooded eux en représentent 20 %.

 

Puis vient enfin le début du sacre, lorsque l’on est considéré comme étant WARRIOR : violents, respectés et ayant le droit de se servir de nos plus hautes technologies, et ayant le droit de chasser des proies honorable en solitaire dans tout l’Univers. Mais ça ne s’arrête pas là, car l’ascension peut continuer pour les plus vaillants : on peut prétendre au titre d’HONORED, ce qui veut dire faire partie des 10 % de l’élite actuelle. Cela veut dire aussi que l’on possède des capacités hors normes et un palmarès impressionnant de trophés, ce que l’on sait d’une difficulté titanesque quand au ombre d’amedhas honorable que l’on doit traquer, tout en pensant aux Kiande amedhas … ceux là …

 

Puis quand on a enfin réussit à survivre assez longtemps pour accumuler les « 1000 trophées », la canonisation en Elder vous est acquise. C’est généralement grace à eux que nous avons la plupart des techniques de combat actuelles, car ce sont des génies du pugilat, ds enfants du meurtre, la représentation de l’art silencieux de l’assassinat et de duel, en bref, les dignes représentations de Cetanu, le Guerrier Noir, le Dieu de la Mort. Les seuls aptes à traquer et éxécuter les BAD BLOODS.

 

Ce sont les parias de notre société, les sauvages d’une espèce déjà assez violente comme ça. S’ils sont pourchassés de la sorte, c’est pour avoir franchi le tabou ultime : le meurtre d’un semblable. Heureusement, les Elders Arbitres se chargent de leur cas. Il est très important pour moi de vous présenter notre pyramide sociale pour vous expliquer à quel point les Etas sont maltraités. Vous pourrez me demander par la suite : « mais en quoi le sort des eta vous concerne-t-il, vu que vous êtes un Elder ? » … et à votre avis, quel était le sort réservé aux Yautja nés aveugle ?

 

 

..........

 

 

Le destin n'éxiste pas : Ce sont nos actions qui nous mènent où nous en sommes, qu'elle qu'en soit la tournure. Et rien d'autre, rien ...

Chapitre 2

 

 

Ma cécité n’a jamais été une gêne, contrairement à ce que l’on peut penser. Être aveugle ne comporte pas que des défauts : ma sensibilité aux choses vivantes qui m’entourent est considérablement accrue. Mon ouïe me permet d’entendre ce que même un kainde amedha n’entend pas : le bruit que fait vos articulations et vos muscles lorsqu’un être vivant se déplace, sa respiration, de la plus douce à la plus saccadée. Avec ma peau, je peux sentir le moindre déplacement d’air, car j’entends et surtout je ressens les tubes et courants d’air, donc lorsqu’un obstacle ou une fluctuation se produit, je la capte immédiatement, ce qui me permet d’anticiper les mouvements de toute chose ou presque. Mon odorat me permet aussi quelques prouesses, ainsi que mon toucher. Je ne me suis donc jamais plains de mon sort, me sentant même privilégié que ce monde de sensation accrue ne soit ouvert qu’à moi dans tout le clan Soul Reaver. Mais malgré tout ce que je viens d’énoncer, je reste techniquement aveugle, car il y a autre chose encore …

 

Je ne perçois pas les spectres de chaleur comme ceux de ma race, je perçois autre chose que qui me vaut de passer pour un dément mythomane car cette capacité est selon les dires des Elders exclusive à Cetanu : celle de voir les âmes. De ce fait il est impossible de me cacher votre véritable nature, quelle qu’elle soit, ni vos intentions, car votre esprit définit vos intentions. Personne n’avait entrevue mon potentiel, pas même moi. Jusqu’à ce jour …

 

J’étais donc condamné à rester un eta à cause de ce « handicap », la honte de ma famille et du clan entier. Pour vous dire, même les etas me traitaient comme quelqu’un à part, mais cela je ne leur en veut pas, car ils ne se sentaient jamais supérieurs envers les autres qui leur crachaient au visage, les souillaient d’urine, les frappaient. Il fallait donc bien qu’ils se défoulent. Cela ne voulait pas dire que je me laissais faire, loin de là.

 

 

Alors que nous préparions les repas pour les habitants du vaisseau mère « Gry’sui-bpe », ils passèrent.

 

- Décris-les moi s’il te plait Guan, encore une fois.

- Tu me fatigues Deathmask, dépêche toi de terminer ce que tu as à faire.

- Tu te débrouilleras tout seul dans ce cas.

- Puisque tu le prends comme ça … le premier, le plus à gauche, est petit et trapu, porte un masque dont les rebords sont incrustés de minéraux. Sa main gauche est tranchée, mais remplacée par un lanceur de fléchettes soniques modèle réduit dont la contenance maximum est de 22 fléchettes en adamantium. Il est sanglé d’un chapelet d’ossements divers … il n’y a pas dire, Cinok fait toujours aussi peur !

- …

- Je continue avec celui de droite : lui, son casque il l’a sous le bras. Il est orné de 2 cornes prises sur un bratak. Son canon d’épaule est ancré dans un crâne d’Ooman, l’extrémité du canon lui servant de langue. Une balafre lui traverse le visage du front au menton, un verticale parfaite. Tu sais qu’il se l’ai faite en se battant contre un kainde amedha qui a failli lui fendre le crâne avec son dard ... enfin, bien sur que tu le sais. A chaque poignet, des griffes rétractables à 2 tailles, avec éjecteur à air comprimé pour plus de force. On dit que des 3, Gismor est le plus sadique. Il parait même qu’il aurait des penchants pour la chasse disons, plus que douteux …

- Le dernier …

- Arrêtes de te faire du mal de cette façon, ce n’est pas en bavant devant lui que ...

- Un masque où est gravé sur le coté gauche son nom, 3 têtes de kainde amedha dans un filet tenu par la main gauche, une lance fait du meilleur adamantium, une armure intégrale faite à partir de silicate, un canon modifié, des griffes rétractables à écartement et taille réglable …

- Et tu serais aveugle ?

- Oui, mais ce n’est pas ce que je vois.

 

Je sentais le regard de Guan me percer à chaque fois que je sortais cette phrase, comme si il cherchait si c’était une plaisanterie. Car effectivement, je percevais autre chose : 3 brasiers d’une intensité hors du commun, dont l’envie de tuer dépassait l’entendement. Et plus que tout cela, les 3 feux qui s’illuminaient devant mes pupilles dégageaient de la fierté. Cette fierté de fin de chasse, de célébrité, de reconnaissance ... la fierté, cette notion inconnue de nous autres.

 

Soudain je sentais que le brasero du milieu me fixait furtivement, puis lorsqu’il vit que je m’en rendis compte, fit comme s’il ne m’avait jamais vu, et continua sa route dans la coursive avec les 2 autres de chaque coté, allant se faire acclamer dans la salle des trophées. Rien que pour cela je haïssais Deathsoul et le reste de ma famille. Mais il le faisait tout le temps. En me prenant par l’épaule, Guan me dit de ne pas m’en faire et que malgré les acclamations, mon frère restait un Yautja comme les autres. Ce n’était pas ce que moi je voyais.

 

- Si ça peut te rassurer, tu vivras sûrement plus longtemps que lui ! Notre condition n’a pas que du mauvais après tout.

 

Guan était mon ami, un des seuls, mais lorsqu’il s’exprimait de cette manière, la seule chose qui me venait à l’esprit était de lui trancher net les cordes vocales qui prenaient de désagréables vibrations lors de propos aussi lâche que maintenant. Et il l’était, lâche. Sa renommée s’était étendu dans tout le vaisseau mère lorsque Violator, un Blooded, l’avait mis à terre et lui avait pissé dessus avec d’autres Blooded du nom de Curse et Venom. Le pire dans tout ça étant que lorsque tous les yautjas présents à ce moment hurlaient de rire, il fit de même !

 

Je n’étais pas faible, je ne voulais pas être considéré comme un faible, et plus que tout, je ne voulais pas terminer comme lui, en me complaisant dans mon malheur. Je détestais cette période de ma vie, et il fallait que ça s’arrête immédiatement. Donc après la fin de préparation des repas, et après mûre réflexion je décidais de partir pour le cercle de combat des initiés.

 

C’état une habitude que j’avais depuis mon plus jeune âge « d’analyser » les combats qui s’y déroulaient, d’une façon dont je pense être seul capable. C’est aussi ici que je vis le premier combat de mon frère, un violent combat qui dura près de 15 minutes, et dont mon frère en sortit exténué, son adversaire gisant inconscient, se noyant dans son propre sang. Ce fut d’ailleurs la première occasion d’assister à une mort, de voir le feu s’éteindre, et celui de mon frère grandir.

 

Ce jour là, Violator était dans l’arène avec ses deux comparses Curse et Venom. Ce denier venait d’ailleurs de sortir du cercle de combat, en ayant au préalable fracturé la clavicule de son adversaire. Alors que je les sentais m’observer et se moquer de moi en criant à tue-tête le surnom dont ils m’avaient affublé (« l’Erreur »), je fus satisfait par leur réaction suivante ma nouvelle action, c'est-à-dire rentrer dans le cercle et montrer du doigt Curse.

J’allais leur prouver à ce moment là que le destin d’un Yautja ne se joue pas à la naissance …

 

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Quelle histoire trés chére!

 

Une premiére partie explicative, assez dure a lire ou a retenir (lu par 2 fois ^^), mais une partie trés sérviable pour la suite de

l'histoire apparement. Bien que tu aurais peut être put nous l'expliquer au fur et a mesure de ton histoire.

Mais bon, une trés bonne premiére partie.

 

Pis on a le début de l'histoire... ENORME. J'adore et j'adére trop.

Ca sent le sang a plein nez  ;D

 

Coté écriture, tes descriptions sont nickel, bien que de temps en temps il faudrait penser a raccoursir tes phrases peut être.

 

Deathmask VS Curse: premier combat, premier round, tu nous a promis du sang, ca a interet de saigner.

[sort une hache d'un poids certain... (merci Miss pour le prés ^^) et prend la pose sadique  >:( ]

 

J'ai vraiment hate de voir la suite.

 

Tu a déja écrit la suite ou tu improvise quelque peut?

 

PS: Un petit croquis des rangs ne serait pas de refu... ^^

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Oui, il y a une suite, il ne faut pas s'en inquieter !!! Ravi que cela vous plaise en tout cas. Pour le croquis, voilà comment ça se présente (je commence par la classe la plus basse.) :

 

- Eta

 

- Unblooded

 

- Youngblood

 

- Blooded

 

- Warrior

 

- Honored

 

- Elder / Arbitre

 

Ensuite, la classe "outsider", parce que hors-la-loi : Bad Blood.

 

 

Vous voulez la suite ? Et bien voilà un chapitre de plus :

 

« Les conséquences de la colère sont beaucoup plus grave que ses causes »

 

 

 

- Par Cetanu, c’est incroyable, par Cetanu, Paya Cetanu … Si je ne retrouve pas Death, nous allons nous faire crever la gueule ouverte, et on est bon pour la pisse …

Guan était paniqué : quand un eta dérogeait à son poste, le contrecoup n’était que plus douloureux. Guan avait l’habitude d’être frappé pour un rien, et s’avouait aisément lâche devant les autres si ça pouvait lui permettre de baisser son ratio de lynchage journalier. En courant dans les coursives du vaisseau, il remarqua une agitation inhabituelle autours de l’arène. Il se dit que peut être, des Warriors se battaient pour savoir lequel allait prendre le commandement de la prochaine escouade partant en chasse ainsi que sa destination. Se disant que foutu pour foutu, autant profiter de la tumulte générale pour se faufiler dans un coin et assister audit combat. Il trouva une place, près de l’interface de sélection des terrains de chasse.

 

Alors qu’il s’en approchait, il constata avec horreur que Venom et Violator étaient présent. Ces 2 là le terrifiait, mais chaque jour il se vengeait discrètement, en urinant dans leur nourriture. Une façon de se venger de l’affront qui avait été commit 3 ans plus tôt, alors que son existence n’était déjà pas des plus agréable. Ces deux-là, ou plutôt ces trois là étaient des habitués de l’arène. Il se demandait où pouvait biens se trouver Curse. Alors qu’il cherchait, il sentit une présence près de lui, une présence qui le terrifiait, pas parce qu’il était un lâche, mais parce que sa présence en ce lieu ne signifiait jamais rien de bon, et qu’elle terrifiait tout le monde. Il se retourna doucement, espérant que ce ne fut pas elle, mais il se trompa, et voulu pleurer d’effroi car il savait qu’il ne devait pas se trouver ici. Elle qui d’habitude était de chasse seule, dans sa recherche perpétuelle de la proie idéale, celle qui lui donnerait du fil à retordre, elle qui ne voulait pas se mêler aux autres. Elle qui évitait même sa propre famille, Elle qui était respectée et crainte de tous les chasseurs, quel que soit son clan, elle qui fut la première femelle Elder, Scythe, la terrible et apocalyptique Scythe, la mère de Deathmask.

 

« Mais pourquoi était-elle là ? Que fait la Matriarche déchue ici ? Cela ne peut être pour Death, elle le hait, elle l’ignore …» Toutes ces questions lui torturait l’esprit. Mais à se perdre dans ses pensées, il remarqua trop tard que celle-ci l’avait remarqué. Se résignant à son triste sort, il ferma les yeux, et s’attendit à se faire frapper. Il attendit, et attendit, et entendit quelqu’un hurler, et la foule autours de l’arène où se déroulait le Jedhin-Jedhin crier d’excitation. Il ouvrit les yeux et vit qu’elle ne s’occupait pas de lui. Mais çà ne l’empêchait de frémir de sa présence : elle regardais en direction du jedhin, avec un regard dur … et son canon d’épaule en marche ! Mais que visait-elle ? « Il est vrai qu’une personne comme elle est au dessus de nos lois, mais de là à tuer une personne en publique ! ». Alors qu’il s’écartait d’elle, et qu’il tentait de prendre de la hauteur, il constata avec surprise que la puanteur de la sueur disparaissait avec l’altitude. Mais en fixant l’arène, la surprise ne s’arrêta pas là …

 

« J’ai honte », pensait-elle. Honte d’avoir engendré une chose pareille, qui en plus d’être un exclu, ne veut pas rester à sa place. Honte de le voir se faire frapper ainsi, sans chercher à riposter. Honte que rien que par le fait de vivre, il salisse le nom du clan de cette façon, et pour finir, elle avait honte d’elle-même parce que Deathmask, était en quelque sorte une partie d’elle. Ce spectacle était nauséabond, et il ne fallait pas que Reaper le découvre. Il fallait étouffer le problème, le régler au plus vite Si la nouvelle qu’un intouchable était monté dans l’arène du clan Soul Reaver, la crédibilité de tout le groupe allait voler en éclat. « Ce n’est pas mon fils, c’est un eta », se persuadait-elle, alors qu’elle activait son canon à épaule. Alors que le canon chargeait, et qu’elle le calibrait en direction de son fils, elle s’étonna d’éprouver une sorte de soulagement, comme si un poid trop longtemps logé dans sa poitrine commençait à se désagréger lentement. Mais au moment de passer à l’action, elle se stoppa de frayeur : rien au monde ne l’aurait préparée à une telle chose …

 

Le spectacle qui s’offrait aux yeux de DeathSoul était d’une violence et d’une rapidité inouïe Mais le combat était unilatéral : bien qu’il n’arrivait pas à distinguer clairement celui qui se faisait frapper, il remarqua que celui-ci ne faisait pratiquement rien pour se défendre. Il se contentait d’encaisser. L’autre, qu’il reconnut comme étant Curse, était déchaîné : il frappait au niveau du foie pour que son adversaire baisse sa garde, ce qu’il fit, et comme récompense il écopa d’un crochet du droit bien appuyé, qui manqua de lui déchirer la peau de la partie gauche de son visage. Ce visage … Paya Cetanu : Deathmask !

 

Death sur l’aire de combat rituelle, c’était un véritable blasphème ! La correction qu’il prenait n’était que le juste châtiment pour son culot, son irrespect des traditions. Après le coup de poing, DeathMask se retrouva à terre, sonné. Son adversaire, pour la suite, fut des plus cruel : il prit le bras gauche de son adversaire et le leva à auteur de ses épaules, dans le but de soulever le haut du corps et la tête à quelques centimètres du sol. Dans cette pose, il fit crier le public de joie, qui se moquait de DeathMask. Sa famille s’en trouvait déshonorée par autant de faiblesse. Et à ce moment là, la sentence tomba : quand on cherche à briser un objet de la main, il est toujours plus facile de le soulever à environ 2 centimètres du sol, car le choc causé par le brusque contact avec le sol suffit à briser n’importe quel objet, si on y met la force nécessaire. Curse utilisait exactement le même procédé, avec son pied, la tête du frère de DeathSoul, et le sol. Le bruit que cela produisait était tout bonnement insoutenable. Ce bruit sourd, si caractéristique d’un crâne rentrant violemment en contact avec le sol, elle pouvait être comparée avec une mortelle symphonie : régulière, violente, intense. DeathSoul sentit son estomac se nouer de honte. La seule pensée rassurante fut me fugace instant où il planifia la façon dont il allait faire souffrir Curse pour avoir touché à son frère, d’avoir salit le nom de sa famille. Il ne pouvait plus supporter de voir autant de barbarie, venant en plus d’un unblooded. Il remarqua que son frère avait sombré dans l’inconscience. Il tourna le dos et s’apprêta à s’en aller, quand un rugissement pousser avec une rage et une intensité hors du commun venant de son dos faillit lui faire exploser le cœur.

 

J’ai … si mal. PaS ... BonNe iDeE …FairE ça … J’eN PeUX plus. Dormir, JE ..DoRMiR…….Sens plus RiEN Plus deee doouleUR tuer, BiEN, me SEENS BIEn tuer, SI Bon tuer … tuer teur teurteurtuertuertuerteurtuertuertuerTUERTUERTUERTEURTUER TUER TUER TUER TUER TUERRRRRRRRRR, JE VAIS TE TUER !

 

Il était là, à l’écart de la foule. Son dahdtoudi dans sa main droite, et son camouflage activé. Il était assit sur l’écran de sélection, et regardait ce spectacle d’une barbarie inimitable. Il se demandait comment DeathMask avait put supporter un traitement pareil : une analyse faite grâce à son casque lui révéla les multiples blessures qu’il avait : 4 cotes brisées, muscles déchirés à divers endroits, fractures multiples au niveau du crâne, mais ce n’était pas tout. Il venait de se relever, mais le yautja captait ses ondes cérébrales : il était dans un état de semi inconscience plus qu’étrange, comme une sorte de transe … ou de rage primale. Il remarqua aussi que Scythe était présente. « Étrange », pensa-t-il. La clé que passa Death par la suite était étonnante de rapidité : alors que Curse sembla abasourdi par se revirement de situation, il retenta de passer son coup de poing foudroyant qu’il avait placé précédement, Mais Death, au dernier moment, pivota vers la droite, de façon à amortir le coup de poing. Tout de suite après, alors que le bras était encore tendu, il le saisit et le verrouilla. Dans cette position, il était impossible pour Curse de tenter le moindre sans se déboîter le bras au niveau de l’épaule. Alors il tenta le tout pour le tout : frapper avec son autre main. Le résultat fut prévisible : son second bras fut bloqué par le bras libre de DeathMask. Curse était maintenant totalement bloqué, son regard terrifié à l’idée de perdre ses deux bras croisa celui de Death. A ce moment là, Curse devint perdit ses couleurs, et s’apprêta à hurler, mais il n’en n’eu pas le temps car un violent coup de tête interféra dans son entreprise. Celui-ci fut si violent qu’il le fit chanceler, mais il ne put tomber car son adversaire ne desserra pas son étreinte. Il en prit un deuxième, puis un troisième, puis encore un, pendant près d’une minute. Après cela, le visage de Curse ruisselait de sang, et celui-ci commença à tourner de l’œil.

C’est à ce moment là que le coup de grâce vint : ne relâchent toujours pas Curse, Deathmask attrapa son coup avec ses mains qui étaient au niveau de sa gorge : un grand silence ce fit, et Le yautja camouflé comprit de suite ce qui allait se passer.

 

Violator n’en pouvait plus de crier : il essayait en vain de redonner confiance en son ami, de lui redonner conscience, mais c’était trop tard. Il ne put que regarder de ses yeux horrifiés son ami qui venait de subir une souplesse avant, le visage littéralement agencé dans le sol, une auréole de sang posé dessus. DeathMask tenait cette position depuis maintenant 2 secondes : alors que Curse était retourné, les jambes tendues vers le ciel, raidies par de violents spasmes, DeathMask lui était presque couché sur le sol, en position perpendiculaire par rapport à Curse. Il le relâchait enfin. Il s releva aussitôt, et attrapa Curse par les nattes. Une pluie de coups de genou s’abattit sur le ce que l’on pouvait tenter de qualifier de reste de visage. Il frappa encore, et encore, et encore … Puis s’arrêta, et laissa tomber ce pauvre Curse, qui pensait en avoir finit avec l’Enfer qui venait de vivre. Violator allait se remettre à hurler pour que l’arbitre stoppe le jedhin. Il hurla une seconde trop tard pour s’apercevoir que DeathMask venait d’écraser de toute sa force la tête de Curse. Sous le choc, celui-ci urina sans s’en rendre compte, car sûrement plongé dans un coma. DeathMask attrapa alors attrapa alors la jambe de son ancien adversaire, le traîna près du bord ou se trouvait Violator et Venom, et fit tomber son corps inerte. C’était plus que Venom pouvait en supporter : il s’apprêta à sauter dans l’arène, quant il croisa le regard de DeathMask. Il s’arrêta net, tel une statue. Il était terrifié.

 

-Ce n’est pas mon fils, C’EST UN MONSTRE ! Ce regard, pourquoi avait-il ce regard … il ne peut pas avoir ce regard, il ne peux pas avoir de regard ! On aurait dut le supprimer à la naissance, on aurait dut … C’jit ! Reaper va être au courant, il va l’apprendre, et quant il saura que telle engeance est nôtre, il me tuera. Scythe était paniquée, ce qu’elle venait de voir dépassait son entendement : un ETA à la condition physique largement inférieure à celle d’un blooded, son bon à rien de fils, tenait ce regard, cette aura malsaine de rage, de colère, de meurtre émanait de lui. Il venait de terrasser son adversaire devant témoins.

 

Guan était abasourdi. Son ami qu’il connaissait depuis maintenant 20 ans, venait d’accomplir un miracle, et de commettre l’impardonnable : il allait être maintenant exécuté. Il venait de faire preuve d’une telle violence, d’une telle rage de vaincre ! Guan se sentit mal d’être aussi lâche.

 

L’arbitre monta sur le ring, et se plaça face à Death. Il tourna la tête un moment pour regarder Curse, puis fixa intensément DeathMask. Celui-ci semblait porter maintenant un poid sur les épaules, mais ne disait rien. Sa fatigue se ressentait, mais il tenait encore debout. L’expression de ses yeux était de nouveau morte. Un silence pesant fit place Plus personne ne bougeait. Des gardes firent bientôt leur entrée dans la salle. Le yautja camouflé, sortie de la salle, et une fois dans le couloir, celui-ci revint à la vue de tous. Ses longues nattes lui arrivaient presque dans le bas du dos. Reaper était abordait une expression machiavélique et dit tout bas : « maintenant, on va bien s’amuser ». Il continua sa marche. L’arbitre se décida enfin à dire quelque chose, mais à la surprise des gardes, ce n’était pas l’ordre d’exécution tant attendue :

 

- Que veux-tu, eta ?

- Simplement sa place, dit DeathMask, en montrant l’endroit où gisait Curse du doigt, sans tourner là tête.

 

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J'ADOOOOOOOOOOOOOOOOOORE!

 

J'ai vraiment adoraé lire ce chapitre, ca fait vraiment du bien. Je dirais même que ca soulage énormément. ^^

Un combat énorme, Deathmask qui nous sort une rage de fou.

Un violence inouie. (pffff.... J'en reveus!!!!!)

 

Je souris rien que d'imaginer la stupeur du publique.

Et quand je me fait l'image de Deathmask en mode rage, je l'imagine superstylé.

 

J'éspére que tes prochains chapitres seront du même aquabi.

 

Qu'elle va être la réaction de Venom?

De la famille de Deathmask?

 

J'en veus plus.....!

[Mode hysteria/psychopathe activé... plus rien ne peut l'arrêter ^^]

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Oui, mais pas ce soir ^^. A mon reveil ^^

 

edit neji: Aurais je la patience d'attendre... [Commence a se ronger les ongles... qu'il n'a plus depuis que la Miss a commencé sa fic'... commence a marmoner... violence violence violence violence  :P]

 

Edit:

 

Je me tâte ...

 

Allez, un dernier pour la route. Mais c'est le dernier pour ce soir (dis à tes camarades  de venir plus nombreux. Mince, c'est vrai qu'il est tard ...) :

 

Chapitre 4 : Avant que l'escalade de Violence ne commence

Le feu qui semble éteint souvent dort sous la cendre

 

 

- GUAN, QUE FAIS-TU ICI ? SORS IMMEDIATEMENT, TU N’AS AUCUNS …

- Laissez arbitre, c’est son « ami », il est venu observer son état de santé, n’est-ce pas Guan ?

 

Celui-ci ne répondit rien, mais resta la tête baissée en signe de soumission – et de confirmation - . Lorsque le préposé aux soins fut sorti de la salle, en ayant au préalable vérifié que tout était en ordre, Guan osa enfin poser son regard vers le tube de restructuration cellulaire et organique dans lequel était plongé Deathmask. Ses blessures n’étaient déjà plus apparentes ; par contre ses yeux étaient revenus à la normale, c’est-à-dire morts. Mais il avait quand même l’air de se remettre, ce qui n’était -« heureusement »se disait-t-il – pas le cas de Curse : on avait du renforcer sa colonne vertébrale par des implants fabriqués de manière artificielle, s’il voulait remarcher un jour. L’opération s’était bien déroulé lui avait-on dit, mais ce n’était pas le seul problème : mâchoire défoncée, fractures au niveau du crâne, avec possibilités de lésions au cerveau. «Je sens que Curse va se retrouver à éplucher des ignacos à coté de moi » s’était-il surpris à penser, ce qui le fit rire un bon moment.

 

Puis il cessa, mais pour se laisser aller à une nostalgie anticipée, imprégnée de tristesse : nostalgie où Death était son compagnon d’infortune. Car maintenant, celui-ci n’appartenait plus à la caste des etas, mais était devenu un unblooded, un jeune guerrier inexpérimenté qui devait participer à sa première chasse pour passer au rang de youngblood, un jeune sang. Il allait se retrouver maintenant seul, et plus détesté que jamais maintenant, car sans défenses après le départ de Deathmask. Mais ce n’était pas plus mal pensait-il, car son ami l’effrayait à présent. Son regard, durant le combat, avait croisé celui de Death, et rien que cela paraissait étrange.

 

« Il m’aurait menti, il aurait menti à tout le monde quand à son état ? » … cela paraissait vraiment trop gros. Puis il se rappela d’un détail à propos de ce regard : que celui-ci l’avait remplit d’effroi, sans pouvoir se rappeler pourquoi. Ce regard terrifiant, qu’il ne voulait plus jamais croiser … Tout à coup il eu une étrange sensation, comme si quelque chose dans la salle avait changé. Il sentit comme un souffle glacé, morbide, effrayant, ressentit comme une peur primale, une peur d'enfant. Il se retourna, de peur que quelque chose ne se tenait derrière lui, mais il se trompait ; il n'y avait rien, et se rendit compte en se retournant de nouveau que ce qui l'effrayait ne se tenait pas derrière lui, mais devant lui en train de flotter : DeathMask le regardait. Ce fut alors une véritable décharge de terreur qui parcourut sa colonne vertébrale.

Guan se figea, et cru qu’une bête sauvage allait lui sauter dessus. Puis le regard s’éteignit. Il n’avait durée qu’une fraction de seconde. Et Death semblait encore plongé dans l’inconscience totale.Cette aura malsaine disparu aussi. L’eta s’en alla en vitesse de la pièce, sans se retourner.

 

Sur son chemin, il repassa devant l’arène, ou les blooded avaient repris leur entraînement quotidien. Là aussi, il regretta rapidement son escale : Violator et Venom, qui se trouvaient derrière lui, l’attrapèrent, et le jetèrent au beau milieu de l’arène. 9a se présentait très mal pour lui : Violator le blooded et son comparse Venom n’avaient aucun autre moyen de faire payer à DeathMask l’humiliation qu’il avait infligé à Curse sur le moment à part bien sur de s’en prendre à Guan. L’arène se vida immédiatement de ses occupants à part eux trois, et de toute façon, cela n’aurait rien changé qu’il y ait du monde, car personne n’aurait daigné aider un eta, et encore moins Guan.

 

Alors que Venom l’empêchait fermement de bouger et que Violator lui explosait le visage à coup de bâton d’entraînement, Guan, au bord du gouffre, se rappela alors pourquoi le regard de Death l’avait terrorisé : ce n’était pas des yeux de yautja qu’il avait entrevue. C’était autre chose …

Mais quoi ?

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T'inquiet pas pour le anque de lecteurs, demain il y aura foule et j'en connais quelques un(e)s quine se feront pas

attendre... ^^

J'ai modifié ton post car il est interdit de faire des doubles post (option modifier en hat a gauche de tes posts  ;) )

 

Je sens que Guan va passer un salle quart d'heure et j'éspére qu'il va se deffendre quand même (qu'il prenne exemple sur Deathmask)

Je crois que Deathmask a frappé un grand coup (si je puis me permettre ^^).

 

Je trouve que l'histoire se lit de mieu en mieu.

 

Est ce que Deathmask peut controler son regard?

Sera t il aussi agressif aprés?

Va t il sincerer facilement parmis l'expédition des Unblood?

Comment vont être les futurs réunions de famille?

 

 

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Oui come l'a dit Neji hier soir je n'étais déjà plus là. Il ne devait pas y avoir foule à l'heure où tu as posté ^^"

 

Alors alors...

Je le dis tout de suite, je n'y connais pas grand chose en S-F.

 

L'histoire en elle-même me semble tout à fait intéressante, mais le début paraît long, ou plutôt "lourd". Ta façon de présenter le clan -certes indispensable pour la suite- est difficile à suivre. (d'ailleurs merci pour le schéma c'est plus simple comme çà)

Neji te l'a dit tu gagnerais à faire des phrases un peu moins longues. Il y a quelques maladresses et même des répititions facilement corrigeables.

Je dis tout çà d'entrée mais ne t'inquiète pas, tu devrais y remédier sans trop de problèmes.  ;)

 

Le pauvre Guan va s'en prendre plein la tête ! ^^"

Va-t-il au moins y survivre ?

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Il est vrai que le chapître explicatif est une véritable maladresse de ma part, mais étant une de mes premières fics, j'avais décidé de la laisser telle qu'elle. Mais à la vue de l'éxaspération générale quant à ce début lourdeau, va falloir y remédier ^^.

 

 

C'est aussi un de mes premiers récits (les premiers chapitres dumoins). Mais enfin un public avec une critique constructive !!! çà change ...

 

Le reste des erreurs est dû à mon emballement à écrire. Je suis lent à me lancer, mais une fois dedans, j'écris d'une traite. Vous voyez le soucis ! Avec cette autre tare de mal me relire pour corriger les fautes restantes ...

 

Sinon, pour clarifier les choses : mes fics se situent dans l'univers des films "Predator", et "Alien"(pas de "Alien versus Predator", cet étron). M'nsirant des comics, et inventant ou remaniant certains points, nous en somme donc à ce que vous venez de lire : un univers violent, âpre, où les faibles n'ont pas de place au soleil. Le début du récit (ce que vous venez de lire) se situe sur un énorme vaisseau. Je chérie les décors éxotiques, étouffants, claustro (d'ailleurs, si vous avez vu les saga Alien, et les 2 predator, vous pouvez aisément comprenre pourquoi).

 

Sinon, je ne pense pas que ce soit la peine de vous expliquez ce qu'est un yautja (predator). Je me trompe .

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Je ne suis malheureusement pas familière de tes univers, mais je l'avais compris come çà !^^

 

C'est aussi un de mes premiers récits (les premiers chapitres du moins). Mais enfin un public avec une critique constructive !!! çà change ...

 

Le reste des erreurs est dû à mon emballement à écrire. Je suis lent à me lancer, mais une fois dedans, j'écris d'une traite. Vous voyez le soucis ! Avec cette autre tare de mal me relire pour corriger les fautes restantes ...

 

Je te rassure tout de suite, tout le monde passe par là !

Ma première je l'ai aussi écrite comme çà. Je ne te dis pas le nombre de fois que j'ai réécrit le début, parce que mon style change, ou je n'aimais pas ma façon de faire une description... J'ai discuté avec des auteurs, et ayant eux aussi vécu çà j'ai été ravie !  :D

 

Donc je crois ne pouvoir te dire qu'une seule chose : continue d'écrire aussi rapidement que tu le fais, mais lorsque tu peux prend le temps de revoir le début au bout de quelques jours. Tu auras un regard neuf et verras mieux tes quelques erreurs !  ;)

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As-tu tout lu ? Car voici la suite. Je publierai le prochain chapitre un peu plus tard, car il représente une sorte de "cassure" qui est volontaire de ma part :

 

 

 

PARTIE 2 : PREMIERS SANG Chapitre 1 : une question de bon sens ...

"Se faire tuer ne prouve rien; sinon qu'on n'est pas le plus fort."

 

 

 

4h. Cela faisait 4 heures qu'Arkon fuyait à en perdre haleine. Jamais de son existence, non jamais il n'avait éprouvé une telle terreur. Il courait, hurlait, et pleurait comme un enfant. Non, les enfants de son espèce de s'abaissaient même pas à pleurer de peur. Mais c'est qu'ils n'avaient jamais été confrontés à "çà".

Son casque était à moitié brisé, son armure lourde littéralement déchiquetée. il ne lui restait en tout et pour tout qu'un canon à plasma, et sa lance. Son unité d'énergie était complètement out. En gros, les dernières décharges qu'il allait balancer allait sceller son existence. Et à cause de cette pluie torrentielle, son camouflage était inefficace. A y repenser, il se dit que venir sur ce caillou avait été la plus grosse connerie du monde, et que la vie ne tenait qu'à une succession de choix.

 

 

Oui, tout cela avait été une succession de choix : le choix de devenir chasseur, celui de tuer pour la première fois, d'y prendre goût, celui de passer warrior par la suite, de partir seul par la suite sur cette planète humanoïde, celui de tuer encore et toujours parce qu'il aimait ça, mais aussi celui de massacrer les enfants, de violer ces femmes, sans que cela ne se sache. Le choix par la suite d'en parler à d'autres qui avaient aimer ça, tout comme lui, et encore celui de tuer, et non plus chasser, en groupe. Le choix de se délecter de cette violence.

Le choix de se laisser attraper ou non par cette arbitre, le choix ou on de l'attaquer à plusieurs; celui ou non de lui accorder une mort rapide ou lente et pleine de souffrance. Il avait eu le choix.

Il avait aussi eu le choix d'infiltrer cette planète en ou ce jeune yautja était en train de passer premier rite de passage dans une foret luxuriante. Il aurait put choisir entre partir car si il y avait rite de passage, il y avait aussi arbitres et examinateurs. Ecouter la voix de la raisonou celle de sa démence avait aussi fait partie des possibilités à prendre. Il l'avait eu aussi entre écouter ses compagnons d'infortune qui lui disaient de venir avec lui et de rester. Entre celui de se laisser convaincre, ou de les convaincre de rester, car ils pensaient s'amuser, il l'avait fait aussi. Et eux avaient eu le choix entre écouter ou non. Il aurait pu envoyer Cyrus plutôt que Flesh en premier. Si seulement dans sa vie il avait pensé ne serait-ce qu'une microte à faire le bon choix, il n'en serait peut être pas là aujourd'hui.

 

 

 

Quand il s'était montré à ce jeune,le tableau qu'il avait eu devant lui lui rappela le bon vieux temps : un pagne, une lance faite de manière artisanale, et grossièrement taillée, pas de masque, pas de canons. Il avait commencé à s'approcher de lui.

"Salut petit, ça va ? La chasse est bonne ? Cela te dirait de t'amuser un peu avec mes compagnons derrière ainsi que moi même ? On va t'entraîner un peu, tu vas voir" ... ça, c'est ce qu'il avait voulu dire : avant même le premier mot, la lance fusait en direction de sa tête dans une trajectoire parfaitement droite, et une vitesse hallucinante. Il n'avait pourtant vu aucuns mouvements, ni même position de lancer. Il n'avait pas eu le temps de l'esquiver, et la lance frôla sa jugulaire, sans pour autant la toucher. Il n'avait même pas eu le temps d'avoir peur. "Je suis vivant", furent les seuls mots qui lui vinrent en tête. Oui il était vivant, mais il aurait pu mourir ... s'il avait été sa cible immédiate. La lance avait transpercée la gorge Flesh, et celui ci se noyait dans son casque remplie de sang. Il mourut dans un gargouillement horrible. En y repensant, il aurait peut être aimer se tenir à la place de ce pauvre Flesh, car l'enfer n'avait même pas encore commencé pour les survivants.

 

 

 

Il restait dubitatif devant le corps de son ami, tout comme Cyrus, puis l'envie de tuer l'envahit. Il se retourna, chargea son canon et se préparait à verrouiller le jeune yautja. Et c'est en admirant le spectacle qui se tenait devant, à travers son casque, qu'il eu peur : devant lui, à travers le spectre predtek, se tenait le jeune yautja, et monté sur ses épaule, comme un buste sombre et noir qui ricanait. Il changea de vision et passa en infrarouge,rien. Il enleva son casque ; rien. Il ne savait pas quoi faire. Mais il était sur d'une chose : par le second cycle du cadran yautja, c'est à dire aujourd'hui, il allait mourir.

 

 

 

Ce qui était sur aussi, c'est que Cyrus avait vu la même chose que lui, sinon il ne se serait pas mis à fuir de cette façon si pitoyable, en hurlant "pardonnez moi, pardonnez moi paya". Quoi que cette chose fut, elle ne lui pardonna pas : à une vitesse frôlant l'hallucination, ça lui sauta sur ses épaules, et lui brisa la nuque dans un bruit sec. Il avait n'en croyait pas ses yeux : il avait sauté tellement vite, qu'une image rémanente persistait encore quelques microtes devant lui.

 

 

 

Immédiatement, Arkon activa son camouflage et s'éloigna un peu. Il observait ce monstre qui était en train de déshabiller Cyrus de son équipement, et le vit prendre son bracelet lance fléchettes électriques ainsi que son maul.

Son canon était toujours chargé, il ne lui restait plus qu'à appuyer sur la touche de lancement sur son bracelet. Mais la chose étrange dans cette histoire est qu'il ne parvenait plus à locker cette bête. Cette même horreur qui était en train de charger le bracelet au maximum de sa capacité. Non, pas le charger, mais le surcharger.

Arkon décida de jouer le tout pour le tout ; alors que le jeune était encore en position accroupie, il bondit d'un coup, toujours camouflé. En l'air, il saisit sa lance, la déplia, et la pointa sur le yautja. Il allait lui transpercer le coeur. Puis la douleur, allongé sur le dos, en train de suffoquer tellement le choc avait été violent.

Il se revit la scène au ralenti : il était encore en l'air, levant la lance très haut au dessus de sa tête, la tenant avec ses deux bras pour mettre plus de force dans le coup. Il devait à 3 mètres au dessus de sa cible, quand il le vit lancer dans sa direction le bracelet ... saturé d'énergie. Il eu l'effet 'une grenade plasma. Et s'il n'avait pas eu son armure, on pourrait voir à travers son torse à l'harn qu'il est. IIl se mit alors à pleuvoir à pleuvoir. Les gouttes d'au tombant sur son corps endolori, sur son torse partiellement brûlé, lui rappelèrent qu'il était toujours sur ce plan de l'existence. Il avait voulu se relever, quand il vit que son bourreau se tenait au dessus de lui, brandissant le maul. Il fut sauvé de justesse par son casque. Instinctivement, il se dit par la suite qu'il ne pourrait pas le rater à cette distance : il déchargea son canon en plein sur le monstre. Celui ci fut éjecté sur près de 10 mètres.

 

Pour Cyrus, c'était la fin du cauchemar : il se leva péniblement, toussa, et se dit qu'après ça, c'en était finie des tueries arbitraires, qu'il resterait terré dans un coin plus profond que le cul de la plus vieille matriarche de son ancien clan.

 

 

 

Quand on vous dit que tout n'est qu'histoire de choix, ce n'est pas pour rien, et lui aurait due faire ce choix depuis bien longtemps déjà. Là, il l'a fait trop tard, quelques heures trop tard. Il aurait due le faire avant de ce poser sur cette planète. En tout cas, il eu conscience de ce manque de bon sens, quand il vit l'être se relever comme si de rien était ...

 

 

 

C'était à n'y rien comprendre : personne ne pouvait survivre à une telle chose. Le monstre ricana avec un bruit qui n'avait strictement rien de yautja. Il se mit à courir à se moment là. Jamais de sa vie il n'avait couru sur une telle distance, autant de temps, sans ressentir la fatigue. Jamais de sa vie il n'avait eu le souvenir d'avoir pleurer un jour. Il voulait courir jusqu'à son vaisseau, mais il ne savait plus où celui-ci se trouvait. Il courait comme si Cetanu en avait après lui. Il courait ... encore et encore. Puis il s'arrêta, sans comprendre pourquoi. Il était au sol. Il entrevit la cause : un harpon planté dans son tibia droit. Il n'avait pas mal : l'information avait du mal à remonter son cerveau, tellement celui-ci avait eu du mal à s'alimenter durant sa folle course.

 

 

 

Le coupable se tenait devant lui, ou disons les coupables : un groupe de yautas, grands, visiblement adultes, et lourdement armés se tenaient devant lui.

 

Des Arbitres

 

Il entendit un bruit derrière lui. Il se retourna, pour voir avec le plus grand effroi le jeune homme en train de courir."Ne me laissez pas avec lui ! Tuez moi, vite, tuez moi, par Vengar tuez moi!" hurlait-il. Il eu pour seule réponse les rires de ses opposants.

 

 

 

"Doucement Death, calme toi, ou tu vas finir par nous tuer ... belle prise pour une première chasse. Tu as réussi ton premier rite de passage avc succès : félicitations." dit l'un des Arbitres. "N'oublie pas de prendre ton trophée avant de partir, histoire de montrer au reste du clan quelle prison non conventionnelle tu as fait aujourd'hui".

 

 

 

A genou les yeux dans la vague, Arkon ne s'attendait pas à finir comme le premier trophée d'un unblooded. Alors que la lame lui du maul lui traversa la nuque, sa dernière pensée fut un souvenir d'entrainement; lorsqu'il avait posé une question à l'elder les accompagnant, et dont il ne comprenait la réponse que maintenant :

 

 

- Pourquoi est-il déconseillé de devenir bad blood Elder ?

- Quand on voit ce qu'est leur vie, on se dit que c'est juste une question de bon sens.

 

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Eh ben...c'est hachement sympa, tout ça...

bon, y'a quelques lourdeurs d'écritures par çi, par là...(en particulier au début, "Que qu'il porte le nom honorifique de..."...je mettrait bien "qu'il" tout court^^)

 

mais on sent que tu ecris avec tes tripes (pardonnes-moi l'expression^^)

et franchement, y'a du bon !

vivement la suite^^

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Voici mon ptit dernier : un spécial. (des fautes, des fautes .. que je n'ai pas toute corriger je pense)

 

 

Il aurait suffit de ne pas mentir sur le formulaire ...

Chapitre 2 : Le bonheur était à portée de main

 

 

 

 

 

- Puis-je le voir ?

 

- Enfin, monsieur ... mon général, il est sous calmants, cela ne servira à rie...

 

- "ça n'était pas une vrai question, ouvrez sa cellule" ... venait de couper l'homme.

 

Le docteur Jesper n'était pas vraiment à l'aise : le patient HS847 était un de ses favoris, ou plutôt sa plus grande réussite. Il l'avait accueilli au sein de son établissement voilà 7 mois, celui-ci alors en pleine crise de démence. Il faisait maintenant partie de ses pensionnaires les plus calmes et agréables, bien que chaque nuit soit pour celui-ci un sempiternel cauchemar, qu'il allait surement devoir revivre très bientôt. Qu'il devrait ...

 

 

..........

 

 

Avant de devenir militaire de carrière, Torque vivait sur la colonie d'Alios, qui se trouvait sur un satellite de LV-426. Les formulaires à remplir pour s'y installer avaient été longs et fastidieux, mais il ne le regrettait pas. cette colonie avaient pour lui un avant-gout de paradis, comparé aux township de New-Africa sur Zabilon. Seulement, Il ne se faisait pas trop d'illusions : Alios était avant tout un centre de recherche, et les conditions d'accès étaient très srictes : ainsi, sa santé devait être parfaite, être diplomé, et avoir quelque chose à apporter à la Compagnie. La couleur de peau n'était pas un facteur d'emploi, et il en était heureux.

 

Torque, bien que venant des bas quartiers, étaient l'exemple type du self-made-man. Il avait eu un parcours à faire palir Cendrillon, et avait fini par s'en sortir. Il ne lui restait plus qu'à avoir une maison digne de ce nom pour que lui et Ororo, puissent avoir la vie rêvée des anges.

 

Ils étaient mariés depuis plus de 2 ans. Celle ci était d'ailleurs sublime,sa peau d'ébène contrastant avec la blancheur de sa longue chevelure. Elle-même était déjà chercheuse en bio-organismes et clonage lorsqu'ils s'étaient rencontrés. Lui, l'ingénieur en armement fraichement diplomé, avait eu de suite le coup de foudre pour elle. Et celui-ci eut l'air dêtre réciproque.

 

Mais Torque avait eu trop honte de lui avouer son passée, sa jeunesse. Aussi éludait-il volontairement la question lorsqu'elle arrivait, ce qui ne manquait jamais de creer des conflits se terminant irrémédiablement par une étreinte charnelle des plus sauvages dans le meilleur des cas, ou sur le canapé pour Torque quand son charme n'agissait pas. Aussi, quand l'occasion de quitter Zabilon pour un monde meilleur s'était offerte à eux, ils n'hésitèrent pas l'ombre d'une seconde.

 

Une fois posé sur Alios, dans leur logement de fonction - si l'on peut appeler une villa une logement de fonction - la vie n'avait jamais semblée aussi belle pour le couple : d'office, ils étaient engagés par la Compagnie. La rénumération de chacuns leur permettrait de ne pas mourir de faim même après trois vies. Le seul point noir, sans mauvais jeux, de ce tableau est en fait une évidence : tous les rêves prennent fin. C'est la dure réalité.

 

 

Une semaine seulement après avoir emménagé, Torque fut appelé à rejoindre l'U.S.M., la multispatiale des Marines, pour y mettre à profit son savoir-faire. Bien que cela l'inquiéta un peu, il finit par accepter, ne se doutant pas du pourquoi de la chose. Ororo, elle, n'était pas rassurée du tout. Elle lui apprit ces temps-ci que beaucoup de marines partent vers Lv-426, et ne reviennent pas forcément. De plus, elle devait, sur ordre de la Weiland-Yutanie, accueillir certains de ses marines d'ici 3 jours, au centre de recherche.

 

Mais Torque parvint à contaminer sa bien-aimée par son enthousiasme à servir la Companie qui leur avait tant donné.Il lui fournit, avant de partir, un nano-transmetteur, qu'ils se firent implanter la veille de départ. Comme ça, ils resteraient en permanence en contact quasi télépathique. Ils firent l'amour une dernière fois avant de se séparer, et comme tous les soldats bien naïfs, promit à sa chère et tendre de revenir bientôt. ...

 

 

..........

 

 

Tout ce qu'il voyait et entendait dans ses cauchemars, c'était les cris, les hurlements, ce paysage dévasté, son foyer infesté par cette mort vicieuse, silencieuse et rampante. Il pouvait encore sentir cette odeur acre qu'à le sang coagulé, la puanteur des cadavres dans un état de décomposition avancée. Il pouvait se revoir en train de courir comme jamais un homme n'avait couru, guidé par ces hurlements et ces supplications incessantes dans sa tête, ces appels au secours, et cette phrase qui revenait sans cesse, ne faisant que grossir encore plus ces horribles boules dans sa poitrine et sa gorge nommées angoisse et culpabilité. Cete phrase .. il ne pouvait plus l'entendre. Il fallait qu'il la sauve, et au plus vite.

 

Il pouvait se voir une fois de plus en train de voler cette navette de transport pour foncer sur Alios, quand il avait apprit que Lv n'était pas la seule planète infestée, et que son satellite l'avait aussi été. Il passerait sûrement en cours martiale,et serait éxécuté pour avoir blessé par balle son supérieur, mais il n'en avait que faire en ce moment. Il ne pensait qu'à Ororo. Ororo qui hurlait dans sa tête. Une simple phrase, toute smple.

 

Il revoit pour la énième fois le compteur de son fusil à impulsion tomber à zéro quand celui-ci cracha ses dernières décharges infernales, et qu'il ne se saisisse de son pistolet M4A3. Entendre ces créatures tomber dans un cris aigu, sourire aux lèvres, ainsi que ces lourds bruit respiration d'une énorme créature trop omniprésente. Il peut encore ressentir cette bouffée de chaleur à l'entrée du bloc bio-médical. Et ces visions d'horreur : Cette architecture infernale et chaotique formée de corps accrochés aux murs par cette matière s'apparentant à de la colle très forte et d' os ... ces hommes et femmes aux rictus figés par la douleur au moment d'éxpirer, un trou béant dans la poitrine.

 

Et Ororo

 

Elle ne semblait rien avoir aux premiers abords ... mais ses cris avaient cessé, et ce depuis bien longtemps. Elle semblait légèrement inconsciente et reprenait son souffle. Torque tenta de la liberer, quand il l'apperçu : cette dépouille d'araignée en forme de main. Cette dépouille qu'il n'avait que trop vu ces 2 dernières semaines. Lorsque ces yeux se fixèrent sur Ororo, celle-ci venait de se reveiller, et fondit en larmes : elle lui dit que cette chose lui avait bondie dessus, puis plus rien. Il lui dit alors qu'il était désolé, tellement désolé, mais qu'il ne laisserait jamais ces aliens les avoir. Il lui promit de la rejoindre bientôt, comme le soldat naïf qu'il était. A ce moment, il lui demanda une fois de plus de lui pardonner, car il savait ce qu'il avait à faire.

Quand elle comprit, elle se voulu se mettre à le supplier, mais trop tard. Torque venait de braquer son arme sur le front de sa femme, et d'appuyer sur la détente.

 

 

Le temps s'arreta alors pour lui : il ne s'entendit pas tomber à genoux, ni hurler, les larmes aux yeux. Il pleurait de toute ses forces. tout en faisant celà, il se mit le canon dans la bouche, et s'appreta à tirer. Quand il sentit une étreinte sur son poignet. Une main, il en était sur. Une main, ou plutôt, un étau, qui lui brisa le poignet net, pour lui faire lacher son arme. Une main qu'il ne voyait pas.

 

Il pensait déjà être devenu fou, que ses yeux lui jouait u mauvais tour au plus mauvais des moments, puis leva la tête. Il n'entrevit que deux fentes rouges, comme deux yeux incandescents. Il était à genoux, le bras encore tendu en l'air, soutenu par une force invisible, en train de trembler comme une feuille. A ce moment précis du cauchemar, Torque voulait toujours se reveiller, mais n'y arrivait pas, la fautes aux calmants qu'on le contraignait à ingurgiter sans cesse. Ce moment était le plus désagréable : quand une voix, sortie d'outre tombe, imitait grossièrement celle de sa femme en train de répéter la phrase qu'hurlait sa femme pour que quelqu'un vienne à son secours, comme pour le narguer de ne pas avoir cocher la bonne case du questionnaire sur l'état de santé d'Ororo, pour être sur d'avoir ce poste et cet emploi, et pour lequel il allait s'en mordre les doigts jusqu'à la fin de son éxistence :

 

"je suis enceinte".

 

 

..........

 

 

Le général Blackmore s'était assit près du lit où se retrouvait sanglé Torque, regardant celui-ci pleurer en silence dans son sommeil. Malgré le fait que celui-ci avait tirer sur un de ses supérieurs hiérarchiques, il avait quand même accompli un exploit, celui d'infiltrer Alios seul, alors que celle-ci était transformée en ruche xénomorphe.

 

Mais plus curieux encore : il avait établi un contact avec autre chose. Cette "autre chose" interessait la Weiland-Yutani, l'USM, la Walmart ... donc tout le monde. Blackmore avait un coup d'avance dans son jeu, qui pouvait faire gagner l'U.S.M : Torque, et un formulaire synonyme de rédemption pour lui. Et il comptait s'en servir dans un futur très proch

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Oulaa...ça c'est du changement de décors...

Bon, si j'ai bien compris, les humains sont mal barrés...et le pov' Torque en particulier...

est-ce que l'étrange bestiole qui l'a empèché de se suicider était un prédateur comme DeathMask ?

ptèt deathmask lui-même, d'ailleurs ?

raah, quel suspense...

vivement la suite^^

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On passe a l'histoire du coté des "humains". Interessant! ^^

 

Tu a cité Alien et prédator comme inspiration, je pense que tu connais Halo!

Ne t'en serais tu pas inspiré aussi?

 

Ton histoire commence a vraiment bien prendre place.

Vivement une suite.

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Au fait, tu écris au fur et a mesure ou a tu déja un peut d'avance?

 

Par contre j'aime beaucoup l'aspect Alien vs Humain.

Mais je me demande si il  aura aliance ou opposition?

Pour le moment l'opposition semble être plus proche mais bon, on ne sais jamais.

 

 

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Il faut que j'écrive la suite, que j'ai déjà en tête. Pour ce qui est de l'intrigue, je préfère ne pas donner de détails ^^.

Avant le chapitre, il faut que je pense ce soir à terminer un mémoire de psycho que je dois rendre demain. Donc ...

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Voilà un rapide et court chapitre. La suite vient demain. Ne vous en fait pas; le fantastique, la sf et l'horreur seront TRÈS bientôt de retours :

 

 

L'antre de la folie.

 

 

Les cris le réveillèrent pour la troisième fois ce soir. Comme d'habitude, le type de la chambre voisine hurlait comme un fou, sanglotait, dans un bruit étouffé, comme s'il était bailloné. Et pourtant, sa cellule était capitonnée. À y réfléchir, Torque aurait préféré rester sous l'égide du docteur Jesper.

 

 

...

 

 

Il se rappelait encore la dernière discution qu'il avait eu avec celui-ci :

 

- C'est ... sérieux ? Je vais vraiment pouvoir m'en sortir ?

 

- Évidemment ! Je ne suis pas du genre à plaisanter de ces choses, vous devez le savoir.

 

Torque n'en croyait pas ses oreilles : il n'allait pas passer en cours martial !!! Il allait échapper à la mort ... Mais ce, à une condition :

 

 

- Mais ceci ne se fait pas par pur bonté d'âme vous savez (Hank Jesper essuyait nerveusement les verres de ses lunettes à ce moment là, et évitait de regarder Torque dans les yeux) : Vous allez devoir integrer un centre de détention d'échelon 7. Mais pour une courte période : 2 mois.

 

La nouvelle était dure à encaisser.

 

- ... et lequel de ces hotels 7 étoiles va m'accueillir ?

 

- New Butcher Bay.

 

 

Torque palit d'un coup. 15 coups de masse dans les testicules n'aurait pas eu autant d'effets : il allait retourner à New Africa, sur Zabilon, et en plus à Butcher Bay, la prison la plus violente du système 4, si ce n'est des 14 systèmes existants.

Plus relâchée que la jadis Fiorina 161 : les prisonnier édictant leurs propres lois à l'intérieur. Elle était aussi plus sur que Celcius, car personne n'ayant réussit (ou tenté) de s'en échappé. Mais Torque avait ses propres raisons de ne pas y mettre les pieds, réminiscences d'un passé qu'il aurait tant aimer pouvoir effacer ...

 

 

- Et pourquoi dois-je aller là-bas ?

 

- On m'a dit que c'était pour des test. Je .. je n'en sais pas plus, je suis sincèrement désolé.

 

- Des test ! En prison !

 

Torque se mit à rire.

 

- Cela vous fait rire ? Je pensais que vous seriez peiné.

 

- Je me demandais juste s'il fallait que je me coupe la langue maintenant, ou si je laisse les pensionnaires de ce lieu si particulier s'en charger ...

 

Il avait donc accepter, bien qu'encourant un risque certain, ni à qui il devait cette acte si "bienveillant". Cette personne devait sacrement lui en vouloir en tout cas. Et si cette personne n'avait pas Torque en grippe, et ne connaissait rien de son passé, alors il venait de commettre une gaffe monumentale, car sans le savoir, il allait de causer la mort d'un homme.

 

 

...

 

 

Torque était angoissé : l'univers carcéral lui avait un temps été familier, et il savait comment il fonctionnait : toute nouvelle personne était immédiatement repérée, et jaugée par les pensionnaires plus vieux. Torque savait ne pas passer inaperçu, et pour cause : il était quasiment chez lui." L'homme qui disait que l'on est jamais mieux chez soit mérite de mourir" pensa-t-il.

 

Tout s'était bien passé dans la matinée : petit déjeuner à 7 heures, douche à 9 heures. C'est au début de l'après-midi que les choses se corsent : à 13h, dans la cantine, il se sent observé. Alors qu'il se retourne, la vision qu'il a l'étonne : au fond de la salle, derrière une vitre blindée, il aperçoit un militaire. Il est trop loin pour le reconnaître, mais reste quand même fixée sur la scène : cet homme, visiblement général aux galons qu'il porte, parle au directeur, de la prison. Puis les 2 se mettent à regarder dans la direction de Torque.

 

Et c'est à ce moment précis, que pour lui la scène semble irréelle : le militaire qui sourit, ce militaire chauve, avec une cicatrice, dûe à une ancienne brulure qui lui a mangé la moitié du visage, l'obligeant à remplacer un de ses yeux par une bille de verre, il venait de le reconnaitre : ce monstre, qui avait laissé le carnage d'Alios sans pour autant réagir, ce monstre qui était le chef des " Hellraisers", le gang rival de celui de Torque, le "Blood Pack". Ce monstre qui avait été autrefois son mentor. Ce monstre qu'il pensait avoir tué, et qui lui faisait maintenant un "coucou" de la main :  Blackmore ...

 

 

Maintenant, le puzzle dans sa tête se formait petit à petit : il comprenait le cas Alios, et il comprenait aussi sa venue en ce lieu sinistre, après un rapide coup d'oeil dans la salle. Il y avait des Hellraisers.

 

 

 

Partout.

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Han ! C'était donc un coup fourré cette attaque d'alien !

Il va faire du ramassage de savonnette maintenant ? ^^

 

Sinon quelques remarques :P

Il avait donc accepter, bien qu'encourant un risque certain, ni à qui il devait cette acte si "bienveillant".

Plutôt "accepté", et la proposition commençant par "ni" n'a pas trop de sens vu qu'il n'y a aps de négation avant dans la phrase.

 

ce monstre, qui avait laissé le carnage d'Alios sans pour autant réagir

Tu as oublié un mot, ou la phrase devait être telle quel ?

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