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Bad Goku [Fanfic DB]


Jean-Gunter
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Une fan-fiction qu'on a commencé à écrire moi et deux autres auteurs, dont Midnite que vous connaissez pour son Rise of an Elder God of Death (j'espère ne pas avoir fait de faute, t'avais qu'à trouver plus court !).

On a écrit que 3 chapitres pour l'instant, un chacun, mais il faudrait qu'on s'y remette...

 

Donc le premier chapitre est de Midnite (J'suis pressé de mettre le mien donc j'attends pas qu'il pointe son naseau ^^).

 

Chapitre 1

 

Il avait tellement de mal à respirer. Un de ses poumons était perforé, il le savait il le sentait, car à travers sa cuirasse percée, il pouvait presque le toucher. Il avait du mal à voler car il était terriblement blessé : la quasi-totalité de ses côtes étaient brisées, réduites en miettes, et son bras gauche avait subit le même sort. Sa vue était teintée de rouge, sûrement à cause d’un vaisseau sanguin qui avait explosé près de globe oculaire droit. Du sang collait à ses cheveux cause de son cuir chevelu qui était déchiré à la base du crâne. De nombreuses plaies béantes étaient apparentes sur la quasi-totalité de son corps, tellement nombreuses qu l’on aurait pu les confondre avec des tatouages. Ses muscles déchirés, ou ce qu’il en restait le torturait impitoyablement, mais c’était la seule chose qui lui permettait de rester conscient, en plus de la pluie froide et torrentielle qui frappait son corps musclé et meurtri. Un fauve qui se serait attaqué à lui n’aurait pas fait mieux.

 

La bête qui était en lui ricanait de toutes ses forces de le voir dans cet état et lui martelait l’esprit de ses paroles :

- REGARDES TOI PITOYABLE TAS DE CHAIR !! !! JAMAIS TU NE POURRAS DEVENIR COMME MOI, JAMAIS TU NE M’EGALERAS. TU ES ET RESTERAS UN TAS DE MERDE TOUTE TON EXISTENCE QUI VA BIENTÔT PRENDRE FIN !! ET MÊME SI JE DOIS FINIR MON EXISTENCE AVEC TOI, JE SUIS HEUREUX DE TE MONTRER A QUEL POINT TU AVAIS TORD, TORD DE CROIRE QUE LE MONDE ETAIT TIEN, TORD DE PENSER NE POUVOIR APPRENDRE DE PLUS PARCE QUE TU TE CROYAIS LE PLUS PUISSANT, TORD DE CROIRE QUE TU POUVAIS Y ARRIVER SEUL SANS MOI !! !

 

Il lui était tellement difficile de faire le vide dans sa tête et d’essayer penser rationnellement, d’essayer de le faire taire, de trouver un moyen de s’en sortir. Pour la première fois de son existence, il éprouvait de la peur, cette peur indicible et primaire, la terreur. En pensant cela il se dégoûtait ; un sayen ne devait pas être lâche, un super sayen ne pouvait pas être lâche. Et pourtant, il le sentait de cette façon ce moment précis. Il aurait pu en pleurer si son œil ne lui faisait pas aussi mal. Et cette pensée le torturait, plus que sa mort imminente.

- MAIS NOOOOON !! !!! RASSURES TOI, CE N’EST RIEN : PESONNE N’EST COURAGEUX DEVANT LA MORT, ALORS POURQUOI LE SERAIS-TU ?? ? APRES TOUT ? TU VIENS DE ME PROUVER QUE TU NE VALAIS PAS MIEUX QUE L’UNE DES NOMBREUSES PERSONNES QUE TU AS TUE ASASSINE, DE SES FEMMES QUE TU AS ABUSE. TU ES COMME SES DECHETS …

 

Finalement, à bout de force, il décida de se poser pour se cacher, et la grotte qui était à 200 mètres devant lui ferait parfaitement l’affaire. L’espoir lui revint car il se disait qu’une fois à l’intérieur il pourrait enfin se reposer, sombrer dans le coma qu’il attendait tant. L’espoir lui vint hélas trop vite, en plus d’une horrible douleur au niveau de sa nuque.

 

Il se rapprochait du sol à grande vitesse et le choc allait être rude, mais cela aurait été mieux ainsi, car son adversaire se téléporta juste en dessous de lui et lui assena un terrible coup de pied dans le bassin, qui le refit décoller en direction des nuages, puis un coup de coude dans le dos qui le fit suffoquer. Il percutât de plein fout le sol rocailleux. A présent il rampait dans la boue, comme le pire des vauriens. Il ne sentait plus ses jambes, et le peu de force qui lui restait l’abandonnait. Sa tension chuta, et ses cheveux dressés et jaunes redevinrent noir.

 

Il entendait les pas de son adversaire, et en relevant la tête il pu voir son sourire. Il sentit une main se resserrer sur son coup et le soulever au dessus du sol. Il lui adressa ses quelques paroles :

- Enfin la délivrance pas vraie ! Enfin bref … le Roi est mort, vive le Roi !

Il sentit la pression caractéristique à la formation des vagues d’énergie, et entendit la voix dans sa tête rire aux abois en lui hurlant comme il savait si bien le faire :

- TU VAS MOURIR, KAKAROT !! ! ET ENFIN JE SERAIS LIBRE !! ! TU VAS ENFIN TROUVER LA PLACE QUI TE CONVIENT AUX ENFERS !! !

 

Une dernière pensée lui vint à l’esprit avant de sombrer dans l’inconscience :

- Comment diable ais-je pu me foutre dans une MERDE PAREILLE ?

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- Comment diable ais-je pu me foutre dans une MERDE PAREILLE ?

 

en effet, on se le demande xD

en tout cas, on reconnait le style...je dois dire que ça surprend. Les sayens ont toujours eu l'air d'être tellement gonflés aux amphèt' qu'on avais l'impression qu'ils ne ressentent plus rien.

ce texte n'en est que plus interressant. Ca redonne une humanité à des persos qui semblaient si surhumain. J'aime !

Pour quelqun qui, comme moi, n'a jamais pu aller au delà des premiers tomes de dbz parceque je trouvais les persos trop 'super balaise'...bah ça me réconcilierais presque avec le manga !

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Han ! T'as répondu c'est bon j'ai le droit de mettre le chap' 2, c'est plus considéré comme du double post =P

 

Retour en arrière pour savoir comment cela a t-il pu en arriver là ... Après si vous êtes toujours d'attaque je mets le chapitre 3, d'un autre auteur que vous ne connaissez point.

 

 

Chapitre 2 - L'arrivée

 

Mon premier souvenir, je crois que c'était de la haine. C'est assez flou, mais ça me rongeait de l'intérieur. L'impression d'être abandonné, rejeté de tous. Il ne me reste que des sentiments de cette jeunesse, mais déjà aussi noirs que la nuit.

 

Une capsule spatiale traversait l'espace lourd de silence. La faible lueur d'une étoile proche se reflétait sur sa coque usée, dont la couleur blanche d’origine était maintenant parsemée de rayures et tâches de rouilles. L’image d’une planète commençait à se dessiner sur le hublot principal. Ses teintes bleues apaisèrent un moment les pleures de l’enfant qui avait tout juste été réveillé. La haine héréditaire qui coulait dans ses veines ne pouvait être contenue.

La faim le tenaillait alors qu’il avait été plongé dans un profond sommeil pendant tout le voyage. Mais il pourrait bientôt manger en abondance sur ce monde encore plein de vie.

Le petit vaisseau pénétra l’atmosphère en s’enflammant. L’autopilote n’était pas aussi performant qu’un être de chair et de sang, son programme assurait une trajectoire sûre bien que chaotique. Chacun des composant de la capsule frémissait, bousculé par la rapidité et la violence du contact avec ce nouvel environnement.

 

La terre vola soudain en éclat à quelques mètres d’ici. Le vieil homme qui se tenait là, avait bien cru apercevoir un objet en flamme se précipiter vers le sol. De quoi pouvait-il bien s’agir ?

En quelques sauts rapides, l’homme fut au bord d’un cratère. Un objet rond, très étrange s’y tenait au fond. Il semblait encore incroyablement intact après une telle chute. D’où cela pouvait-il provenir ?

Il eu un soubresaut, puis une porte s’ouvrit largement, laissant apercevoir un être endormi.

Un très jeune enfant s’y tenait, endormi, occupé à sucer son pouce. Le vieillard le trouva très étrange, en effet sa coiffure était déjà très épaisse et désordonnée pour son âge, mais plus étonnant encore, une queue de singe lui sortait du bas du dos.

Il sortit délicatement le petit être à l’air libre, et le portant dans ses bras, déclara à voix basse :

- Tu m’as l’air abandonné, mais n’ai crainte je vais prendre soin de toi. Je te donne le nom de Sangoku, j’espère que tu en seras digne.

 

Ce vieil homme, Sangohan, m’avait recueillit et avait osé me donner ce nom ridicule de Sangoku. Je m’appelle Kakarot, c’était pourtant écrit dans la capsule qui m’avait mené jusqu’à cette vulgaire Terre. Mais bien sûr cet ignare ne connaissait pas le sayen.

J’étais trop jeune à l’époque pour m’en souvenir maintenant, mais d’après les allusions qu’il m’en fit plus tard, ce Sangohan tentait vainement de me discipliner. Ce vieux débris avait subi un entraînement plutôt rudimentaire, mais qui lui permettait de survivre à mes attaques incessantes. Il s’entêtait à vouloir m’inculquer ses bons sentiments, et persistait à croire que je m’abandonnerais un jour à de telles niaiseries… Mais ma rancœur ne faisait que croître. Chaque jour je le détestais davantage, n’attendant qu’une opportunité pour lui arracher le cœur de mes mains !

Je ne pouvais fuir. Ce vieux sénile avait trouvé mon point faible, ma queue. C’était comme si toute ma force et ma volonté me quittait lorsqu’il la serrait.

Mon souvenir le plus clair de cette période est celui de ma première métamorphose en gorille géant. Ce deuxième être résidant en moi, appelant au sang et à la destruction. Ce sentiment de force fut si jouissif la première fois. Mais une amère frustration me rongeait, mes actes devenaient incontrôlables, ma conduite était entièrement dictée par ce monstre, mais une telle puissance émanait de moi. Le vieux Sangohan n’avait pas été dupe, et avait bien compris que la Lune déclenchait cette transformation incontrôlable. C’est la première fois que je le voyais en difficulté dans un combat, la première fois qu’il reculait face à un adversaire. Il n’abandonna pas, et me ramena une fois la Lune couchée, après une longue nuit mouvementée.

C’est à partir de ce jour que je commençai réellement à me reprendre en main. Plus fort. Je devais m’endurcir, améliorer mes réflexes pour parvenir à maîtriser cette puissance que j’avais au fond de moi.

Quand je ne tentais pas de l’affronter, ou de fuir au plus loin, je martelais ma queue de coup de poings, endurant un peu mieux la souffrance et l’impuissance qu’elle apportait. Je voulais l’user, le rendre fou.

Il m’attacha d’abord les mains pour me punir. Mais aucune corde n’était assez solide pour résister à des heures de torsions. Je fuyais toujours un peu plus loin, le forçant à s’éloigner un peu plus de chez lui.

Un jour enfin, je fus assez fort pour surpasser ma douleur, et lui envoyer un coup de poing alors qu’il m’écrasait la queue entre ses mains. Il fut si surpris qu’il ne parvint pas à esquiver. J’avais enfin réussi à le frapper. Mais il perdit sa patience et m’assomma.

Je repris conscience, enchaîné, lesté par de gros poids. S’il pensait pouvoir m’arrêter avec ça ! Il allait perdre la tête avant que je ne m’épuise !

Je démoli facilement la porte de la cabane dans laquelle il m’avait enfermé, et couru. Je courrais aussi vite et aussi loin que je pouvais. Il faisait nuit, et l’obscurité me rendait la tache plus difficile, percutant un arbre, un rocher. Mais la rage et la haine me remplissaient d’énergie, j’avançais toujours plus vite, me voyant peut-être enfin libéré de ce vieux fou.

Franchissant les rivières d’un bond, traversant les épais feuillages griffus et dévalant les falaises escarpées, je ne percevais plus mon corps endolori. Le jour pointait quand je pressentis cette présence familière derrière moi. Ce vieux bouc m’avait déjà rattrapé. Moi qui pensait l’avoir finalement distancé après tout ce temps…

Dans ma précipitation, les poids se traînant dans mon dos n’avaient pas été ma priorité. Je ne les  sentais même plus.

Je bouillais intérieurement, que devais-je donc faire pour qu’il m’oublie. Lui avais-je demandé de l’aide !? Pour qui se prenait-il à vouloir prêcher  sa bonne conduite et ses préceptes si sains ! Si j’avais été plus fort je lui aurais fait ravaler ses sentiments si répugnants à coups de poings. Je ne voulais pas de sa compassion, ou de son prétendu amour ! Tout ce que je voulais c’était le voir mort !

Je stoppai ma course dans une clairière dégagée. Je comptais l’affronter et m’en débarrasser une bonne fois pour toute, ou perdre la vie. Cette comédie devait cesser !

Il me rejoignit aussitôt, s’arrêtant à quelques pas derrière mon dos tourné.

- Ainsi tu te résignes petit diable ! lança t-il essoufflé. Tu m’auras bien fait courir, cela faisait longtemps… Mais sois un gentil garçon Sangoku, rentre sans histoire. Je sais que tu as bon cœur au fond…

Les yeux pleins de haine, je me retournai, les poings si serrés qu’ils en tremblaient. Un sourire se dessina sur mon visage égratigné. L’espoir se levait à l’horizon derrière ce vieillard sénile. Je sautai bras ouverts, prêts à étreindre, affichant une parodie de sourire que j’exécrais.

- Grand-père, je … je suis si désolé … articulai-je.

Je cru vomir ces mots. Appeler cet homme grand-père, il l’aurait probablement désiré, et il sembla y croire quand il me prit dans ces bras.

Mes yeux n’avaient pas quitté leur cible. Mon cœur bondit soudain dans ma poitrine comme s’il avait voulut la crever. Je frissonnai. Pas de fatigue, mais de peine à supporter la force vicieuse qui voulait s’insinuer en moi.

Le tuer. Je devais le tuer. Je ne devais pas perdre cette idée. Imaginer son sang couler sur ma langue.

Les battements de mon cœur se firent plus violent encore. Dans un cri inhumain, je serrais mes mains autour du cou de cet imbécile. Mort. Je voulais le voir mort ! Des poils drus poussèrent aussitôt sur tout mon corps alors que je grandissais, brisant sans peine les chaînes qui m’entravaient. Mon museau s’allongea, faisant apparaître de longs crocs.

La douleur était insoutenable, ma tête me brûlait et une plainte assourdissante y bourdonnait. Mais je ne lâchai pas prise, je l’avais à ma merci. Je ne pouvais pas flancher si près du but. Si près de voir ce sang couler de son corps broyé. Sa force me paraissait ridicule. Ses efforts étaient si pitoyables. Le sol s’éloignait à mesure que je me métamorphosais.

La souffrance le fit hurler quand les premiers os se brisèrent. Une joie sadique apaisa un moment mon propre supplice.

Ma transformation fut enfin terminée. Un instant soulagé, j’en profitai pour broyer la tête de ce vieux cinglé entre mes canines avides de sang. Mais aussitôt tout se brouilla dans mon esprit, un rire dément vrillait mon cerveau. Ne maîtrisant plus ma force, le corps de ma proie tomba au sol, inerte. Un voile noir s’épaississait lentement devant mes yeux.

Je… j’étais allongé dans l’herbe, nu. Le soleil se levait à nouveau, mais le paysage avait sensiblement changé autour de moi. Tous les arbres étaient déracinés, broyés. Les rocher retournés ou pulvérisés. La terre labourée, probablement à coups de poings.

A quelques mètres de là, le corps piétiné de Sangohan séchait au soleil, recouvert d’un matelas vivant d’insecte. Encore épuisé, je me levai pourtant pour admirer de plus près le cadavre en décomposition. Enfin je ne dépendais plus de ce vieux fou et de sa gentillesse maladive. Je souri péniblement tout en toussant, et donnai un dernier coup de pied dans le tas de chair informe qui en se démembrant fit craquer les plaques de sang séché.

J’avais si faim …

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Un trés bon debut. J'aime beaucoup le genre.

Sachant qui est Kakarot et qui est la seul personne a l'appeler ainsi (et qui veut sa mort en plus), je suppose que votre

histoire commence (ou finis qui sait? ^^) par un combat: Goku vs Vegeta.

 

Comme dit précédement, j'éspére que l'on va avoir droit a un Flashback (genre Fight club et plein d'autre film d'ailleur, mais pourquoi j'ai

cité celui la...^^)

 

Sinon comme l'a dit la Miss, Midnite a reussi a rendre un peut plus humain les sayens dans ce début d'histoire.

 

Rien a redire au niveau de l'écriture. Mais au niveau de l'édit, je n'est pas trop aimé les majuscule pour les conversation.

Tu devrais essayer l'italique... Enfin je dit ca... je dit rien... ^^

 

edit chap 2:

C'est bien ce que j'imaginé, d'ailleur je me suis souvent posé la question:

Et si Sangoku n'avait pas perdu la mémoire? Et si il avait suivi sa vie de Sayen?

 

En plus je trouve que ton chapitre est trés plaisant a lire.

De plus tes descriptions du meurtre de Sangohan sont magnifiques.

Que va t il advenir de notre petit Kakarot (ben vi ce n'est pas Sangoku)?

 

J'ai hate de voir la suite...

Vous avez fait combien de chapitres pour l'instant?

 

 

 

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@Miss Uchiwa: A la base, on ne modifie dans l'histoire que le fait que bébé Goku ne se cogne pas la tête sur un rocher, ce qui le rend tout gentil et un peu idiot-bête dans le manga ^^ Donc là il conserve son côté Sayen vilain avide de sang ... huhuhu

@Neji: Seulement 3, mais j'ai une furieuse envie de m'y remettre là. Et je vais communiquer cette envie aux co-auteurs de cette histoire qu'ils le veuillent ou non :P

 

Et le 3e, écrit par un certain Yuto si vous voulez lui donner un nom ^^

 

 

 

Chapitre 3

 

Libre ! J’étais enfin libre ! Débarrassé de ce vieux fou qui m’avait gardé cloîtré dans ces montagnes, j’allais pouvoir découvrir ce monde, et le nettoyer de ses habitants. J’étais animé par une envie meurtrière et dévastatrice. Mon instinct me poussait à ravager cet endroit, à laisser échapper ma fureur sur les personnes qui croiseraient mon chemin. Etait-ce pour me venger d’avoir été séquestré si longtemps ou parce qu’ainsi libéré, plus aucune barrière ne se dressait sur mon chemin ? A l’époque, je n’en avais aucune idée. Je ne découvris l’origine de ma motivation que bien des années plus tard. Pour l’heure, je délaissais la dépouille de Sangohan sans plus de cérémonie, pour retourner là où nous vivions. Je rassemblais quelques affaires, des provisions, de quoi faire face à la plupart des scénarios catastrophes qui pourraient m’arriver dans ce monde inconnu. Enfin prêt, je me mis en route, suivant un sentier de terre semblant traverser et dépasser les montagnes où j’avais évolué depuis tout ce temps.

 

Après de longues heures de marche, et tandis que la plus grande partie des massifs étaient derrière moi, des appareils vrombissants vinrent à ma rencontre. Ces tas de métaux se déplaçaient bien plus vite que moi lorsque je courais. Ils flottaient légèrement dans les airs, et lorsqu’ils furent à ma portée, j’aperçus des hommes étrangement vêtus dessus. Très vite, je fus encerclé. Les appareils cessèrent leur cacophonie, et les hommes en descendirent pour s’approcher de moi. Des objets noirs, reposant sur leur nez et leurs oreilles, leur cachaient les yeux. Je me demandais bien comment ils pouvaient avancer sans se tromper avec ça sur la figure ! En plus de leurs vêtements, ils étaient affublés d’une veste, noire également, qui semblait rigide et pesante. Comment pouvait-on se battre ainsi entravé ? Cela devait sûrement être des poids d’entraînement, le vieux sénile m’en avait parlé une fois, au moins il m’avait apprit quelque chose. L’un d’eux s’adressa finalement à moi. Il m’ordonna de leur donner tout ce que je possédais, sous peine qu’ils ne se servent eux-mêmes. Je sentis l’excitation grandir en moi. Ils étaient cinq au total à m’encercler, et ils étaient bien plus jeunes que ne l’était Sangohan. Si ce vieux fou, à la fin de sa vie, m’avait donné tant de fil à retordre pour le battre, qu’allait-il en être avec eux qui étaient au summum de leurs capacités physique ? J’aurai du être effrayé, vouloir fuir loin d’ici ou leur obéir sagement pour ne pas subir de représailles, mais il n’en était rien. Au contraire, face à ce défi insurmontable, l’envie de les affronter était la plus forte. Peut-être étais-je fou ? Quoiqu’il en soit, pour toute réponse, j’attachais le baluchon dans lequel était rassemblées mes affaires dans mon dos, et me mis en garde, les défiant du regard. Ils rirent à pleines dents, me demandant si j’étais réellement sérieux, puis, voyant que je ne démordais pas, ils se jetèrent sur moi. Etrangement, je les trouvais très lent. J’esquivais leurs attaques avec une facilité déconcertante, et, lorsque je voulus répliquer à mon tour, ils succombèrent au premier coup. Quelle déception ! Etait-ce là l’étendue de leur force ? Je n’arrivais pas à expliquer comment ils pouvaient être aussi faibles, alors qu’un vieillard m’avait donné tant de difficultés. J’avais du tomber sur les plus mauvais d’entre eux, il ne pouvait pas en être autrement. La suite de mon périple me prouva toutefois le contraire.

 

Laissant derrière moi les corps inanimés de mes « assaillants », je continuais mon chemin. La nuit était sur le point de tomber lorsqu’un petit village pointa à l’horizon. Je pressais le pas, l’idée de dormir au chaud après m’être débarrassé des habitants du village au prix d’un long combat me mettais en joie. Il n’était pas très grand, à peine une dizaine de chaumières le constituait. La première personne que je croisais était un vieillard, assis sur un banc, contemplant les étoiles. Lorsqu’il me vit, il adopta le même ton mielleux que Sangohan. « Tu t’es perdu mon petit ? Tu as besoin d’aide ? » Ses paroles résonnèrent en moi, me remémorant le souvenir des années passées avec le vieux fou. Je sentis la haine monter en moi, mon désir de massacre n’en était que plus grand. Ne lui laissant pas le temps de proférer d’autres niaiseries, je me précipitais sur lui pour l’étrangler, comme je l’avais fait avec Sangohan. Il n’offrit aucune résistance. Je sentis même sa nuque craquer entre mes mains, alors que je n’y avais pas mis toute ma force. Je n’eus pas le temps de m’interroger sur sa faiblesse que le cri d’un homme ayant aperçu la scène me tira de mes pensées. Je courus vers lui, me faufilais derrière son dos tandis qu’il restait bouché bée sur place, et, d’un revers de main, lui brisais également la nuque. Il tomba net. Ce coup, le vieux fou en avait reçu des dizaines de ma part. Jamais il n’avait vacillé pour autant ! Etait-il finalement plus fort que les autres habitants de cette planète ? Un grand sentiment de frustration s’empara alors de moi, tandis que d’autres villageois sortirent en hâte de leur demeure. Rageant intérieurement, je poussais un hurlement de rage avant de m’attaquer à eux, telle une bête. Tout se passa très vite, et les cris qu’ils poussaient se turent bientôt. Des dizaines de corps inertes gisaient à présent autour de moi, je n’étais même pas fatigué. Je pensais en avoir finit, mais un autre homme sortit encore d’une maison. Il portait dans ses mains un étrange objet qu’il pointa dans ma direction. Intrigué, je me demandais à quoi pouvait bien lui servir un tel ustensile. Lorsqu’il en pressa la détente, et que, dans un bruit d’enfer, un projectile lancé à si grande vitesse que mes yeux ne purent le voir sur le coup me frappa à la tête, j’obtins ma réponse. La douleur qui résultait du choc était enfin à la hauteur de ce que j’attendais, mais il en aurait fallu bien plus pour me tuer. L’homme semblait abasourdi de me voir encore debout. Ainsi tétanisé par la peur, je n’eus pas de mal à m’en débarrasser. Inspectant son arme, j’eus le loisir de la tester sur des gamins qui tentaient de fuir. Elle était assez pratique, mais elle se cassa bien vite. Après quelques coups seulement, il ne se passa plus rien lorsque je pressais la détente. Je l’abandonnais donc, préférant mes poings à n’importe quel ustensile pour me battre, car eux ne m’avaient jamais fait défaut.

 

Déçu par la découverte de la faiblesse physique des hommes, je pénétrais dans une des chaumières pour y prendre un repas avant de dormir. Par chance, le repas ici était encore servit, j’avais du les interrompre pendant qu’ils mangeaient. Me mettant à table, j’entamais un festin comme je n’en avais pas eu depuis longtemps. J’étais presque rassasié lorsque j’entendis des gémissements provenir d’un placard. D’un bond, je me rendais à côté et la renversais au sol. Un humain s’y était caché, sanglotant, me priant de ne pas lui faire de mal. J’étais sur le point de mettre fin à ses tourments lorsque plusieurs détails m’interpellèrent. Cet être semblait beaucoup plus fragile que les autres, plus frêle. Je me demandais bien comment cela pouvait-être possible. De plus, sa chemise à moitié arrachée laissait transparaître deux protubérances au niveau de sa poitrine. Son corps entier était différent, plus fin, mais plus gracieux aussi. Intrigué, et également énervé par ses cris, je lui arrachais ses vêtements. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que cet être était dépourvu de sexe ! Comment pouvait-on vivre sans ? Etait-ce un des monstres qui peuplaient les montagnes, comme me le racontait Sangohan pour tenter de me faire peur et me dissuader de fuir ? Etrangement, mon envie de tuer s’amenuisait. Un sentiment inconnu s’emparait de moi, un désir improbable me parcourait. J’avais envie de découvrir davantage cet être, de le toucher, de le sentir, de le serrer contre moi. M’agenouillant pour être à son niveau, j’approchais ma main de son visage pour le caresser. Il poussa alors de nouveau cris suraigus qui me donnèrent aussitôt une migraine atroce. D’un revers de main, je les fis taire. N’ayant pas encore l’habitude de contrôler ma force, l’être fut tué sur le coup. Dommage. Je restais un instant au sol, perdu dans mes pensées, avant de me relever pour terminer mon repas. Je ne dormis que très peu durant la nuit qui suivit, à la fois perturbé par ce désir incompréhensible que j’avais ressentis, et déçu de n’avoir eu aucun adversaire à ma hauteur ce jour-là.

 

Le lendemain, je poursuivis ma route. L’endroit n’avait plus aucun attrait à présent. Plusieurs jours de marche me séparèrent de mon nouveau point de chute. C’est un peu avant midi, l’estomac dans les talons, que j’arrivais dans ce qu’ils appelaient une ville. C’était le rassemblement d’un grand nombre d’humains dans un espace très limité. Pour ce faire, ils avaient érigé de grandes tours où ils vivaient par centaines. Le résultat était moche et franchement déplaisant. Ce fut pour moi l’occasion d’en apprendre davantage sur eux. Sangohan avait décidément omis de me parler de tout ça. Je pris sur moi pour ne pas laisser éclater mes plus bas instincts et tous les tuer, et entreprit de visiter ce lieu désagréable. J’appris que les amas de métaux vrombissants était en fait des véhicules utilisés pour se déplacer plus vite, et que les êtres dépourvus de sexe étaient appelés « femmes ». Je découvris des capsules dans lesquelles on pouvait enfermer presque n’importe quoi, et peu à peu compris comment vivaient les hommes dans leur quotidien. Ces quelques heures passées à les observer, bien que fructueuses, furent des plus pénibles. Il régnait ici une cacophonie incessante, et l’air ambiant sentait mauvais. Je n’en pouvais plus de me retenir de tous les tuer et de les faire taire. C’est alors que j’aperçus au loin, au centre d’une place, la seule chose qui me fit oublier ma faim, un ring. Un homme torse nu, très musclé, se trouvant en son centre. Un autre homme, plus frêle, se tenait à ses côtés et proposait à qui voulait de défier l’homme musclé, le vainqueur du match remportant une grosse somme d’argent. Beaucoup s’y risquèrent, mais aucun ne réussit ne serait-ce qu’à le toucher. La vue de cet homme me donna un regain d’intérêt pour cette ville. Enfin un adversaire à ma hauteur ! J’accourus aussitôt pour me présenter, mais on me demanda de l’argent pour participer. Je déballais mes affaires devant celui qui me l’avait demandé, mais visiblement, je n’avais pas d’argent, et aucun des objets que j’avais apportés avec moi ne lui convint. Je voulus le tuer sur le coup pour partir affronter le lutteur, mais je ne voulais pas créer de panique au sein des hommes rassemblés là. Ils se seraient mis à hurler encore une fois, et je crois que je ne l’aurai pas supporté. Qu’importe ! Il me suffisait d’en tuer un dans un recoin pour lui voler son argent et revenir ici. Ce n’était qu’un petit contretemps fâcheux, mais le combat futur n’en aurait que plus de valeur. Descendant du ring, je remballais mes affaires et partit accomplir mes vils desseins. J’étais sur le point les accomplir, lorsqu’un individu me stoppa.

 

- Hey, toi, petit ! Attends !

 

Me retournant, j’aperçus un être de la taille d’un enfant, habillé comme un clown, le visage ridé et possédant un teint bleuté. Il était entouré par une jeune femme au visage sévère, et un monstre-renard déguisé en ninja. Je laissais filer l’homme que j’avais attrapé, préférant les tuer eux, qui m’avaient interrompu, plutôt que lui.

 

- Tu veux de l’argent, c’est ça ? Continua t-il. Il y a un objet que tu possèdes qui m’intéresse, je t’en donnerai le prix que tu voudras.

 

- Ah oui ? Lequel ? Demandais-je intrigué.

 

Je déballais devant lui le contenu de mon baluchon. Ses yeux s’écarquillèrent devant un globe en cristal orangé, dans lequel on pouvait distinguer quatre petites étoiles rouges. Cette babiole appartenait à Sangohan. Il l’a chérissait comme un trésor, et je l’avais prit avec moi pensant qu’elle pouvait être utile. Si cet être ridicule la voulait, tant mieux !

 

- Un … un dragon ball ! Balbutia t-il.

 

- Je te la donne contre le prix d’un combat contre l’autre là-bas.

 

Il accepta sans négocier. Il semblait même ravi par cette offre. Peut-être que ce « dragon ball » avait plus de valeur que je ne le pensais ? Peu m’importe ! Il me débarrassait d’un poids inutile, et j’avais enfin la somme voulue, tout le monde était satisfait. Je m’empressais de retourner sur le ring et donnais la somme convenue. L’homme qui me faisait face refusa tout d’abord de lutter contre un enfant, mais sous l’assistance de son acolyte, il accepta. C’était une montagne de muscles au moins deux fois plus grande que moi que j’allais affronter, j’en étais tout excité. Voulant lui montrer ce qu’un enfant comme moi était capable, je me jetais sur lui. Je fus accueillis par un coup de poing à l’estomac suivit dans second au menton qui me couchèrent. Il était bien plus fort que ceux que j’avais affronté jusque là, mais ce qui m’avait fait manquer cette attaque, c’était ma condition physique. La faim me tenaillait, et dans ces conditions, je n’avais presque plus de forces. Dans ma précipitation, j’avais complètement oublié ce détail. Je me relevais avec peine, et repartis au combat. Le résultat fut inchangé. Il repoussa chacune de mes attaques sans que je puisse le toucher. Il était pourtant plus faible que moi, j’avais pu évaluer son niveau, mais dans mon état, il me dominait sans mal. Lorsque enfin je ne pus tenir sur mes jambes, il m’éjecta du ring sans plus de cérémonie. La foule était hilare. « Reviens dans dix ans petit ! » « Retournes chez ta mère manger de la soupe ! » Tous se moquaient de moi et de ma prestation. J’enrageais, je bouillais intérieurement, je voulus les tuer sur le moment, mais je n’en étais plus capable. Sortant de la ville, j’allais me réfugier dans un bois pour me reposer, et surtout : me rassasier. Après avoir chassé quelques animaux sauvages, je les fit cuire dans un feu de bois et les dévorais en vitesse. Repu, je m’endormis dans les herbes.

 

Ma sieste dura plus longtemps que je l’avais envisagé. Lorsque je rouvris les yeux, le soleil se couchait et l’obscurité commença à nous envelopper de son voile sombre. J’espérais retrouver l’homme qui m’avait battu, mais je n’avais guère espoir. Depuis tout ce temps, il avait du partir. Je me pressais tout de même, et courus jusque la ville. Mes craintes se révélèrent exactes, le ring était vide. Fou de rage, je poussais un hurlement qui effraya les humains passant autour de moi. Certains poussèrent des cris, encore. Trop de bruit, s’en était trop. Libérant toute la rage que j’avais contenu jusque là, je frappais au ventre le premier homme à ma portée. Y ayant mis toute ma puissance, mon poing transperça son abdomen, et son sang se répandît au sol lorsque d’un geste je retirais mon bras. D’autres cris. Les humains, paniqués, commencèrent à pousser des cris de terreur, tout en fuyant les lieux. Imbéciles ! Un à un je les massacrais, brisant des nuques, cassant des membres pour les empêcher de courir, piétinant des têtes, frappant à des endroits sensibles les mettant KO sur le coup. Personne n’était en mesure de m’arrêter. J’agissais guidé par mon instinct, mon cerveau s’était mis en veille. Je tuais à tour de bras, et chaque flot de sang versé me mettait d’autant plus en joie. Très vite, j’entendis le bruit de multiples sirènes se rapprocher de moi. Des hommes descendirent nombreux de véhicules, armés du même outil que le fermier du précédent village. Ils firent feu sur moi, et plusieurs de leurs balles ricochèrent sur ma peau, provoquant à chaque fois une douleur insoutenable. Le challenge devenait plus grand. Je bondis pour atterrir à leur côté et en tuer plusieurs. Mais ils étaient bien trop nombreux, et leurs armes finissaient par devenir réellement handicapantes. Le tas de cadavres jonchés au sol ne cessait de grandir, mais venant à chaque fois plus nombreux, je ne pus en venir à bout. M’épuisant petit à petit, je finis par m’écrouler au sol, les membres endoloris par les multiples impacts que j’avais reçus. Le regard perdu dans la nuit, j’aperçus du coin de l’œil la lune qui venait de se lever. Elle était pleine. Aussitôt je sentis une force prodigieuse me revenir. Une force bestiale, surgit du plus profond de mon être, celle que j’avais déjà connu en de rares occasions auparavant. Mon corps enfla, mes muscles grossirent. Ma pilosité se développa, recouvrant mon corps mis à nu, mes vêtements s’étant déchirés lors de ma croissance. Ma bouche s’allongea pour former un museau pourvus de dents pointues. Lorsque ma transformation fut complète, je poussais un hurlement de rage qui du s’entendre dans toute la ville, battant de mes poings mon poitrail. Les hommes qui m’entouraient, d‘abord tétanisés, se remirent de plus belle à faire feu sur moi. Mais à présent les balles ne représentaient à peine plus que des piqûres d’insecte sur ma peau devenue plus dur que du cuir. D’un geste, je balayais des dizaines d’hommes se trouvant devant moi. Un coup de poing me suffisait à faire effondrer les tours où s’étaient réfugiés les plus peureux. J’étais devenu invincible, et ce sentiment de puissance, plus que jouissif, éveillait en moi un désir encore plus grand de détruire tout ce qui m’entourait. Peu à peu, la bête sommeillant en moi prit le contrôle de mon corps et continua le travail tandis que je sombrais dans l´inconscience.

 

Lorsque je repris connaissance, le jour s’était levé, éclairant les ruines de ce qui fut autrefois une ville. Il ne restait plus rien à présent, j’avais tout détruit pendant la nuit, même si je n’en conservais que de vagues souvenirs. Voyant le résultat de mon œuvre, je fus pris d’une irrésistible envie de rire, et, rassemblant mes affaires, je repartis en quête d’un nouveau lieu où déverser ma rage.

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Hein! Hein!

Donc vous avez revisité toute l'histoire de Dragon Ball, enfin pour les 3 premier chapitres.

On va donc devoir attendre trés longtemps avant qu'il ne soit grand... (Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa! ^^)

 

Par contre lorsque vous avez écris vos chapitre respectif, vous vous êtes conserté pour savoir ce qu'il fallait mettre dedans,

ou avez vous juste écrit a la suite du précédant?

 

Dit! Dit! Le gars qui chope Kakarot au début c'est bien Vegeta?

Je dit ca parce que dans le manga d'origine, on sait que si Sangoku est si supérieur a tous le monde

c'est parce qu'il aime se battre, mais surtout parce qu'il veut protéger ses amis.

Et comme dans votre histoire, il n'aura apparement pas d'amis parmis ceux qu'il pocéde normalement, je me disais

que Vegeta pourrait lui être supérieur... ^^

Alors?

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@la Miss: Ben en fait dans l'original, Sangoku n'est pas méchant.

Là, il n'a pas un bon fond parcequ'il ne sait pas congné la tête en arrivant sur Terre et donc

il n'a pas perdu la mémoire. Par conséquant il reste comme un Sayen pure souche (arrogant,

suffisant, avide, combattant, courageux... et tant d'autres défaut, qui n'en sont peut être pas. ^^)

 

PS: vous aviez convenu de quoi au début?

      et vous l'avez commencé quand?

 

Bienvenue parmis nous. ^^

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Enfin on s'était quand même mis d'accord sur les grande lignes. Goku méchant, et récit assez sombre et sanglant, rien a voir avec l'esprit gentillet et plein d'humour.

 

Quant à ta question Neji, ça pourrait être végéta comme ça pourrait être n'importe quel Sayen connaissant son nom, ou autre peuple en relation avec les Sayens. Même nous on est pas fixé sur la fin (du début) (qui ne mettra pas forcément un terme au récit ...:P).

Et on l'a commencé il y a un peu moins d'un an. Et oui, trop longtemps sans un nouveau chapitre !

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Il n'y a pas un monde que je connaisse mieu que celui de DB (vous aussi je pense^^).

Et quand on voit tous l'univers de Dragon Ball, vous pouvez vraiment faire tous ce que vous voulez, il y a de quoi faire.

 

Les Sayen, les Terriens, les Nameks, les Cyborgs... et tous les autres "peuples", votre histoire peut durer un moment

si Kakarot ne se fait pas tuer dans cette scene d'intro...

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