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Aeries


Alestan
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Bonjour à tous !

 

Sa fait un moment que j'ai pas posté sur le forum ^^. J'ai choisis cette section, car entre la musique et les petits boulot, je m'amuse parfois à écrire un bout de nouvelle. Et il se trouve qu'en ce moment je suis tombé sur une idée qui m'a bien plus et j'aimerai avoir votre avis sur l'histoire et la manière dont commence celle-ci.

 

Alors le roman se nommerait Aeries. L'histoire se déroule vers 2312. La Terre à alors subit un cataclysme qui à complètement changé la face du monde. On découvre qu'il existe depuis ce sombre évènement une guerre qui n'en finit pas entre trois camps. Dans celle-ci est impliqué un jeune homme, Peter, et trois autres compagnons. Le jeune héro ( 18ans) découvre qu'il possède d'étrange capacité et l'explication se révèle être une histoire fantastique basé sur la légende de l'Atlantis et de nombreuses autre légende des hommes; Que je redéfinis comme étant le peuple des Aeries dans le roman.

Les thèmes que je développe sont le non-respect de l'homme et leur ignorance ainsi que les thèmes classiques que l'on retrouve dans toutes les histoires : L'amitié, le courage, l'amour, le sacrifice, etc.....

 

Alors je peut pas tout dévoilé et les idées sont encore des brouillons dans ma tête. Cependant Peter rejoindra ces compagnons dans une lutte se ralliant à une cause appelé l'Organisation. Cette dernière contrôle une partie Nord et Ouest du Monde, et elle est en lutte constante avec le grand méchant de l'histoire, Azaël, le prince déchu ou roi immortel qui aura un passé lié à tout les évènements que l'ont découvre dans l'histoire. Enfin le troisième camp est celui des "rebelles", (j'ai pas trouvé de nom encore), et ces derniers auront une incidence très importance sur le court de l'histoire. J'ai choisis également de mettre en avant  le désespoir car je compte en faire bavé aux héros et à leurs alliés.

Enfin bref je m'avance et pour l'instant ce n'est qu'un projet ^^. Donc voici le début, j'aimerai avoir vos critiques et surtout si vous seriez prêt à connaître la suite.

 

PROLOGUE

 

Le vent soufflait dans la plaine enneigée. Tout autour, un paysage blanc s’étendait à perte de vue, uniquement troublé par les deux silhouettes qui s’avançait à travers la tempête de neige.

Les empreintes de pas qu’ils laissaient derrière eux disparaissaient petit à petit sous les flocons, empêchant quiconque de les suivre.

 

En se rapprochant des deux voyageurs, on pouvait distinguer un homme et une femme. Bien qu’il était difficile de voir leurs visages, on devinait assez facilement qu’il s’agissait de gens assez jeune, de part leur apparence et leur fougue presque palpable.

Ils étaient étrangement accoutré, dans des tenues légères et souples qui n’étaient pourtant pas adapté pour un tel périple, ou un homme normalement constitué aurait depuis longtemps souffert du froid.

Cependant les deux voyageurs ne semblaient pas se soucier de la température ni de la neige.

 

Le garçon était entièrement vêtu de noir, ces cheveux de la même couleur se plaquait contre son visage sous la force du vent. Rangé dans un fourreau en cuir, une épée était retenu à sa ceinture, se balançant au rythme ces pas.

Celle qui l’accompagnait était également vêtu d’une tenue souple et teinté de noir, sauf que de nombreux motifs blancs et bleus la rendait moins sombre que celle de son compagnon. La jeune femme portait en plus une petite veste qui la protégeait plus ou moins du vent glacial.

Ces cheveux bruns était retenu par une broche d’argent et une lame assez courte était visible dans son dos.

 

Alors que les détails de leur apparence se faisait de plus en plus net, la jeune femme s’arrêta soudain et se retourna. Son visage était d’une grande beauté et ces yeux avaient l’éclat d’un saphir dans lequel se reflétait la lueur des étoiles. Puis le jeune homme s’arrêta à son tour et attendit silencieusement. Au bout d’un instant, les deux voyageurs reprirent la route et pressèrent le pas à travers la neige. Leurs silhouettes s’éloignèrent et devinrent flou à mesure qu’ils avançaient à travers les flocons.

 

 

1

LE COMTE MEINDOV

 

 

-Peter ! Dit une voix.

 

Deux paupières s’ouvrirent sur le monde. Les yeux qui étaient plongés dans le sommeil et la nuit se laissèrent éblouire par une lumière éclatante qui se dégageait de l’unique lampe pendu tristement au plafond. Après cette première agression, les yeux se refermèrent et l’obscurité retomba. Des images d’un rêve revinrent en mémoire et le jeune homme qui venait de se réveiller à l’appel de son nom se retrouva de nouveau sous la neige, à suivre deux inconnus vers une destination qu’il ignorait.

 

-Peter réveil toi ! Reprit la voix en le secouant légèrement.

-J’ai fait un rêve… Répondit le jeune homme en baillant.

 

Puis il ouvrit de nouveaux les yeux et tourna la tête vers celui qui l’avait tiré du sommeil. C’était Davy, un grand blond efflanqué qui le regardait à présent d’un air exaspéré. Peter le connaissait depuis son enfance, cela faisait presque dix ans à présent. A l’époque, il était âgé de huit ans et venait d’entré au service du Comte Meindov. En tant qu’esclave.

 

Depuis toutes ces années, Peter partageait la même chambre que Davy. Cette dernière était meublé d’un lit double et d’une vieille commode en piteuse état, le tout coincé entre quatre murs gris et sans fenêtre. Voyant que son ami s’apprêtait à l’appeler de nouveau, Peter se leva.

 

-Je suis prêt, Dit-il. Tu es levé depuis longtemps ?

-Tu aurais du commencé de travailler il y a une demi-heure déjà, soupira Davy. Le Comte rentre aujourd’hui, et c’est toi qui est chargé de le servir pour le déjeuner… Si jamais tu arrives en retard, tu risques de t’attirer des ennuis.

 

Pour toute réponse, Peter écarta une mèche de cheveux qui tombait devant ces yeux gris et fit un clin d’œil à son ami dans le but de l’exaspérer un peu plus. Bien qu’il considérait Davy comme un frère, Peter trouvait se dernier un peu trop soumis à ses maîtres. Ce qui était parfois un sujet de dispute entre les deux jeunes hommes.

Après s’être étiré, Peter enfila sa tenue d’esclave : Un pantalon gris troué par endroit et une veste aux manches courtes de la même couleur sur laquelle était inscrit au dos le signe des esclaves de la demeure de Meindov : Un trait verticale barré d’un second trait en son centre et d’un autre plus petit au dessus de ce dernier. Le même symbole était tatoué sur la nuque de Peter et des autres esclaves, c’est pourquoi il avait laissé poussé ces cheveux noir jusqu’au niveau des épaules, bien que ce soit une pratique illégale chez les esclaves.

 

Une fois qu’il fut changé, Peter suivit Davy hors de la chambre et se retrouva dans un grand couloir ou de nombreuses portes débouchaient sur des chambres semblables à la sienne. C’était ce que les maîtres du lieu appelaient le quartier des esclaves, et l’endroit était le plus insalubre du manoir, situé au sous-sol, non loin des caves de la demeure du Comte.

 

 

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Salut à toi.

 

Bien je te souhaite la bien venue dans la partie FanFic de ce forum. Un peu de sang frais ne fait pas de mal.

 

Je me présente Hitsugaya Tôshirô, rédacteur du FanFic "Ange". N'hesite pas à aller le voir surtout.

 

Parlons peu, parlons bien. Ton projet semble intéressant et il semble avoir une structure ce qui lui donne plus de crédit. Ton idée n'est pas si mal. Ton récit est quasi parfait à ceci près que je trouve bizarre que ton Prologue ne précède pas le début de ton histoire mais cela doit avoir une raison je pense.

 

Sinon il m'est difficile de te dire plus au vue de ce que tu nous a donné.

 

Je serait curieux de savoir ce que font ces 2 personnes dans ce froid polaire.

 

 

En attendant la suite, A+

 

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  • 1 month later...
  • 3 weeks later...

THE SUITE :

 

Les deux garçons avancèrent le long du couloir mal éclairé et finirent par arriver devant une porte. Davy poussa cette dernière, révélant un escalier de pierre qui remontait jusqu’au rez-de-chaussée. Lorsqu’ils arrivèrent en haut des marches, une nouvelle porte, plus massive en fer forgée, se dressa devant eux.

 

Peter s’avança mais Davy lui barra le chemin de son bras.

 

- Peter tu devrais faire plus attention à ton attitude, dit-il. La dernière fois qu’un esclave a été insolent on ne la plus revu.

 

Peter acquiesça sans dire un mot. Il sentait que Davy l’observait mais au bout d’un moment se dernier finit par retirer son bras. Peter savait que son ami se souciait pour lui. A plusieurs reprises, il lui était arriver d’être sévèrement punis pour avoir fait preuve d’insolence envers ses maîtres.

 

Les deux compagnons, passèrent la porte et débouchèrent dans un nouveau couloir très différents de celui qu’ils venaient de quitter. Le sol était en marbre blanc et des lustres en cristal brillaient au plafond. Des tableaux et des tapisseries de grandes valeurs décoraient les murs. Lorsqu’ils arrivèrent au bout du couloir, une grande pièce arrondie se présenta devant eux, une statue représentant un homme assez corpulent était ériger au centre et plusieurs ouvertures dans le mur menaient vers les différentes pièces du manoir. Peter contemplait la statue de l’homme qui représentait le maître de la maison, et une vague expression de dégoût passa sur son visage.

 

- Je te laisse ici, dit Davy. Rejoins Tom aux cuisines, il t’attend depuis un petit moment déjà.

- Et toi tu ne viens pas ? Demanda Peter.

 

Davy resta silencieux un instant avant de répondre.

- J’ai d’autres tâches qui m’attendent.

 

Sur ces mots, il se dirigea vers l’une des ouvertures de la pièce et disparut à travers cette dernière. Peter se retrouva seul. Il soupira et prit la direction des cuisines du manoir, qui se situait du côté Est de la bâtisse lorsque l’on arrivait du quartier des esclaves. Après avoir marché sur une distance aussi longue que celle qu’il avait déjà parcouru depuis sa chambre, Peter arriva enfin devant la porte blanche des cuisines.

 

De l’extérieur, ou pouvait entendre le bruit des casseroles et des consignes criés aux travailleurs. Peter entra dans la pièce rempli de table en inox, de plats divers et variés et de personnes en train de s’activer derrière les fourneaux. La cuisine du manoir nourrissait plus d’une centaine de personnes par repas.

Peter enfila un tablier blanc et s’avança vers le plan de travail le plus proche ou des légumes attendaient à être découper. Alors qu’il s’apprêtait à abaisser son couteau, une voix l’interpella.

 

- Vous là-bas ! lança une voix grave. Qu’est ce que vous faite en tablier ? On a besoin d’un serveur pour le comte dans dix minutes.

 

Peter se retourna et reconnu le chef cuisinier, Thomas Feigman, que tout le monde appelait Tom. C’était un personnage prompt à l’embonpoint, qui perdait ces cheveux et qui avait un air sévère, son œil gauche était caché derrière un bandeau noir. Lorsque ce dernier reconnu Peter, son expression changea et il parla d’un ton joyeux.

 

- Peter ! Je croyais que tu n’allais jamais arriver. Puis son visage se durcit, tu n’es pas allé t’attirer des ennuies j’espère ?

- Non pas cette fois Tom, répondit Peter un sourire aux lèvres, Davy à prit soin de me briffé avant de venir ici.

- Sacré Peter ! s’écria le chef en lui tapotant l’épaule.

 

De tout les chefs du manoir, Tom était le plus sympathique et le plus juste. Contrairement à ces collègues, il ne s’amusait pas à maltraiter les esclaves dans le but de paraître plus digne aux yeux du comte. Cependant il pouvait paraître sévère et colérique aux yeux des plus jeunes esclaves, mais Peter entretenait depuis son enfance une relation très amical avec le chef cuisinier.

 

- On a besoin d’un serveur en plus pour l’arriver du Comte. Rappela Tom, soit prêt dans cinq minutes.

 

Peter reposa son tablier et partit enfilé une tenue de serveur à l’entrée des cuisines, un pantalon noir et un maillot blanc simple. Lorsqu’il revînt vers Tom, se dernier lui déposa un plateau dans les mains. Celui-ci contenait des morceaux de viandes appétissants accompagner de fruits confits et de divers ingrédients, tous provenant d’une serre situé à quelques centaines de mètres de la demeure.

 

Une fois prêt, Peter se dirigea vers le salon ou attendait le Comte et une dizaines d’invités. Une entrée se situait tout au bout des cuisines, lorsqu’il la franchit, Peter arriva dans une salle majestueuse. Les murs étaient en pierre et des poutres en bois étaient visible au plafond. Une cheminé ronflait au fond de la salle et de grandes fenêtres laissaient entrée une pâle lumière. A travers celles-ci ,on pouvait apercevoir la neige tomber continuellement. Au milieu de la pièce, assis autour d’une grande table en chêne, se tenait le Comte Meindov et divers personnalités qui possédaient de grand domaines dans la région ou qui étaient capitaine d’une quelconque branche de l’armée du pays.

 

Lorsque Peter entra, le Comte, un homme bien en chair qui avait un visage grossier, était en pleine discussion avec l’un de ses invités, un grand personnage à l’air menaçant, les cheveux rasés court, une partie du visage balafré. Il était vêtu de la tenue des officiers de l’armée du seigneur Azaël, un costume noir élégant, agrémenté de décorations sur la poitrine. Le roi Azaël contrôlait tous les territoires Nord Est du Monde, et de sombres rumeurs circulait à son sujet.

Si Peter se rappelait bien les rares leçons de géographie que lui avait donnée Tom, le monde c’était métamorphosé il y a plusieurs siècles, à la suite d’un grand cataclysme. Les océans et les mers ont recouvert une grande partie des Terres, et la période de froid qui suivit recouvrit les régions restantes de neige et de glaces.

Il existait à présent deux continents, celui de l’Ouest, ou les conditions de vie étaient si difficile qu’il fut en grande partie abandonnée (et aucune nouvelle de ceux qui y sont resté ne sont parvenue depuis) et celui de l’Est, l’ancien Monde. Un grand continent diminué en taille depuis la montée des eaux, et a présent déchiré par la guerre. Enfin il existait d’autres régions plus petites et des îles, mais Tom n’en savait pas plus à ce sujet.

 

Peter s’approcha de la table et posa son plateau sur la table. Il fut ignoré, ce qui était chose normal pour un esclave. Tandis qu’il servit chaque invité selon leur besoin, Peter entendait parfois des brides de conversation du Comte et de son invité peu rassurant.

 

- Les territoires près du fleuve à l’Ouest seront bientôt sous notre contrôle. Déclara ce dernier. Les armées de l’Union ne tiendront plus très longtemps.

- Et qu’en ait-il de la menace au Sud ? Demanda le Comte.

- Nous ne parvenons toujours pas à retrouver leur campement, répondit l’officier, mais d’après nos informations, ils ne s’attaquent pas uniquement au seigneur Azaël. l’Union se fait également attaquer lorsque son armée descend trop au Sud. Mais notre seigneur ne se formel pas de cette menace, notre ennemi se situe à l’Ouest.

 

Peter, qui ignorait tout de la guerre qui déchirait le monde depuis des années, écoutait avec tant d’attention qu’il renversa quelques fruits confits à côté de l’assiette de l’un des invités. Il s’excusa et ramassa les fruits mais le comte s’interrompit soudain.

 

- Incapable ! S’écria-t-il. Un esclave qui ne sait pas servir correctement ne mérite pas sa place dans ma demeure !

 

Autour de la table, certains invités regardèrent Peter d’un air méprisant. Le comte aimait humilié ses esclaves devant des convives. Peter baissa la tête et s’excusa de nouveau, il sentait la colère monté en lui mais se retînt de répondre quoi que ce soit. Le comte le regarda encore plusieurs secondes, attendant une réaction de la part de Peter, mais celle-ci ne vînt pas. Lorsque la conversation reprit, Peter s’éclipsa dans les cuisines.

Tom l’attendait et Peter lui raconta la conversation qu’il avait entendu et les brimades du Comte.

 

- Ne fait pas attention à sa Peter, dit-il, ceux qui se rebelle ne font jamais de vieux os par ici.

- Tom… commença Peter, tu penses qu’il y a un moyen de fuir cet endroit ?

 

Peter repensait au propos tenu par l’officier sur l’Union de l’Ouest et la mystérieuse menace au Sud. Le cuisinier le regarda dans les yeux. Au bout d’un instant, un sourire triste apparu sur son visage.

 

- En quarante ans ce n’est arrivé qu’une seule fois. Dit-il, mais le jeune garçon, à l’époque, avait été retrouvé avant de sortir de la ville et sévèrement punis. Depuis il est resté ici et ces talents de cuisinier l’ont permis d’amélioré un peu son statut.

 

Peter regarda le bandeau qui cachait l’œil gauche de son ami et comprit avec colère le prix de la tentative. Cependant Tom lui souriait à présent et lorsqu’il parla son ton était aussi joyeux que d’habitude.

 

- Mais personne ne peut dire ce qui arrivera dans plusieurs années ou même plusieurs jours, peut-être serons-nous tous libre en nous levant demain matin.

 

Peter sourit au chef et reprit le service. A la fin du repas, le comte et ses convives l’avaient de nouveau ignoré et toutes les discussions de la table portèrent sur les allés-venues de l’Union et de l’agrandissement des fortunes personnels. Lorsque tout les invités furent sortit de table, Peter alla se changer en cuisine et remis ses vêtements d’esclaves. Lorsqu’il fut changé, il demanda à Tom si il avait l’autorisation de quitter les cuisines.

 

- Bien sûr que tu peux t’en allé ! D’ailleurs je vais t’accompagné, je dois sortir acheté quelques courses pour le repas du soir… Puis il grommela ; Ces imbéciles n’ont jamais aucunes épices en stock.

Peter se dirigea vers la sortie des cuisines en compagnie du chef cuisinier. Lorsqu’ils arrivèrent dans la pièce arrondie, des éclats de voix les stoppèrent net. Peter s’approcha lentement et la scène qu’il vit à ce moment là le mit hors de lui.

 

Davy était allongé sur le sol, le contenu d’un sac de provision éparpillé un peu partout. Le grand homme au crâne rasé qui siégeait à la table du  Comte le toisait de haut. Lorsqu’il parla, sa voix était glacial.

 

- La prochaine fois tu regarderas ou tu met les pieds esclave !

 

Puis il donna un coup de pied dans l’estomac de Davy qui se recroquevilla en gémissant sous le choc.

 

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Très , très bonne suiteje me languis déjà la suite en esperant ne pas attendre un deux mois  ;D .J'aime bcp comment tu maintient ton intrigues , je sens qu'on va avoir un gros changement dans les prochains chapitres ( déjà en train e spéculer alors que je viens à peine de finir de lire ^^ ) .

Continue comme ça !

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