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Bleach: Des Espadas capitaines (pour public averti)


Jojo MIB
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Résumé: Après qu'Aizen soit parti en retrait, Yamamoto décide d'engager des Espadas comme capitaines. Mais lesquelles? Neliel et Grimmjow, bien sûr!

Cette fanfic est pour public averti car,dans certains chapitres, il y a des allusions perverses!

 

Voici le prologue:

Attention : Spoil jusqu’au chapitre 366

Prologue

La bataille de l’hiver de Karakura faisait rage. Les combats contre les Espadas allaient continuer. Alors que Wonderweiss apparut et blessa au ventre Ukitake, Halibel réussit à se libérer alors qu’elle était enfermée dans la glace par Hitsugaya. Barragan survit à l’attaque du Bankai de Soi Fon. Et Stark a attaqué Kyôraku avec ses pistolets qui lancent des celos. Contre toute attente, Aizen, Tôsen et Gin furent libérés de leur prison de feu dressée par Yamamoto. Et la plupart des shinigamis présent sont dans un état grave. Tout sembla perdu. C’est alors que les Vizards apparurent pour les aider. Ils ont réussit à achever tout les Gilians que l’énorme Hollow (Superchuncky) avait lâché en ayant mis leurs masques, ce qui surprit les autres, et surtout le capitaine-commandant. Les vrais combats des Vizards allaient commencer. Shinji s’est décidé de combattre pour lui tout seul Aizen.

Shinji : Ca va être entre nous, Aizen. Mon détestable ex-vice capitaine de la 5e division.

Les deux hommes se regardèrent. Le blond sembla sûr de lui, et Aizen n’est pas du tout surpris de voir les anciens shnigamis devenus Vizards ici. Cependant, cet homme, méprisé de tous, va faire quelque chose d’inattendu.

Aizen : Mes chers petits Espadas.

Les concernés, ayant entendu son appel se retournèrent vers leurs maître, bien qu’ils soient plus ou moins éloignés de lui.

Aizen : Vous vous êtes bien battus. Je suis persuadé que vous vous voulez achever vos adversaires actuels. Mais… Nous partons en retrait.

Ces simples mots scotchèrent tout le monde, que ce soit du côté des ennemis, des shinigamis ou des Vizards. Tous sauf cet idiot de Wonderweiss, avec sa tête d’ahuri.

Wonderweiss : Oooooooooooooooooohhh !

Shinji: Quoi? Comment ça?

Aizen: C’est simple, non ?  Nous rentrons au Hueco Mundo.

Tôsen : Mais enfin, seigneur Aizen, nous sommes si près du but ! Cela ne vous ressemble pas !

Gin : Moi, je n’ai rien contre. J’avais la flemme de me battre !

Aizen : Voyons, mon cher Kaname. Qu’il y a-t-il de bizarre à cela ? De toute façon, le Hôgyoku n’est pas totalement éveillé pour l’accomplissement de ce plan. Comprends-tu ?

Tôsen : O-oui, seigneur Aizen.

Halibel a arrêté sa ressurecion et, après avoir fermé son haut qui cachait son masque de hollow, sa poitrine et son numéro (il est sur son sein droit), elle se dirigea tranquillement vers Aizen, mais Hitsugaya ne l’entends pas de cette oreille.

Hitsugaya : Attends, espada ! Où vas-tu ?

La tercera s’arrêta, puis se retourna vers le petit capitaine.

Halibel : Où je vais ? Mais auprès du seigneur Aizen, bien sûr !

Hitsugaya : Mais notre combat n’est pas fini !

Halibel : Et alors ? De toute façon, c’est mieux pour toi.

Hitsugaya : Quoi ?

Halibel : Regarde-toi : tu es exténué. Je suppose que tu as utilisé tes dernières forces pour m’enfermé dans la glace. Si on avait continué, tu mourras. Tu devrais plutôt t’occuper de l’état de ta vice-capitaine.

Elle lui tourna le dos, puis partit en faisant un sonido. Barragan aussi a arrêté sa ressurecion, mais il ne sembla pas content.

Barragan : Et zut ! J’aurai bien voulu voir la chinoise et le gros devenir un tas d’os !

Il s’en alla les mains dans les poches en bougonnant. Stark, lui, a fini sa fusion avec Lylinette. Cela sembla l’arranger.

Stark : Ouf ! Heureusement que le seigneur Aizen a décidé cela, j’avais plutôt envie de dormir un peu. Cette fusion est si fatigante. Bon, tu viens, Lyilin-

Il n’a pas eu le temps de finir sa phrase car cette dernière lui a sauté dessus pour qu’il fassa le cheval.

Lylinette : Allez, Stark ! Fais le cheval !

Stark : Pff… C’est d’un fatigant !

Lylinette : Tu le fais sinon gare à tes boules !

Le primera obéit tout de suite car il n’a pas en vie de perdre ses bijoux de famille ! Les 3 espadas, Wonderweiss et Superchuncky sont aux côtés des 3 ex-capitaines.

Aizen : Kaname. Ouvre un garganta.

Tôsen : Bien.

L’aveugle fit ce qu’Aizen lui demanda. Un Garganta s’ouvrit derrière eux.

Aizen : Mes chers shinigamis. Je vais même être clément avec vous : les Gargantas qui ont été ouverts pour que certains d’entres vous puisse entrer dans Las Noches vont être ré-ouverts.

Yamamoto : Aizen ! Nous ne voulons pas de ta clémence ! Nous allons en finir tout de suite !

Aizen : Soyez raisonnable, mon cher : Presque tous les capitaines et vice-capitaines ici présents sont blessés. Vous devriez profiter du fait que je m’en aille et de ma clémence pour ne pas perdre trop d’hommes, vous ne croyez pas ? Vous ferez mieux de vous préparer au cas où l’on reviendra, puisque ce sera le cas. A plus tard, shinigamis.

Le vieux n’osa répondre.

Aizen : Bien. Mes Espadas, Kaname, Gin, partons.

Les ennemis entrent dans le portail. Lorsque le Garganta se ferme, on entendit Wonderweiss.

Wonderweiss: Youhouhoooooou!

Plus aucune trace des méchants. Cela pouvait rassurer certains. Mais pour les Vizards, pas vraiment car ils ne se sont battus qu’avec de ridicules Gilians. Shinji resta dans ces pensées.

Shinji : Aizen…

Quand soudain, il reçut une tong en plein dans la tronche, il retomba un peu plus loin. C’est cette sale peste d’Hiyori.

Hiyori : T’es con ou quoi, crétinus ! Tu aurais pu les empêcher de partir !

Shinji : Mais Hiyory !

Hiyori : Tu crains un max, crétinus !

Tous les autres Vizards sont avec elle, du même avis.

Love : C’est vrai. Tu crains, mec !

Kensei : Tout ce qu’on a eu, c’est des Gilians de merde ! Si tu les avais empêchés de partir, j’aurais pu donner une leçon à ce sale traître de Tôsen !

Mashiro : Moi aussi, je voulais me battre !

Rose : Il est vrai que tu aurais pu faire quelque chose.

Hachi : Euh, moi de toute façon, je n’aime pas trop me battre.

Il ne restait plus que Lisa pour donner son avis, mais elle est plus occupée à lire un magazine cochon.

Kensei : Hé, l’obsédée ! C’est à toi !

Lisa : Hé ho ! Déjà que j’ai revu mon ancien capitaine toujours aussi ridicule, alors laisse-moi lire !

Kensei : QUOI ! Tu as amené une de tes revues pornos !

Lisa : Ben quoi ? Faut bien que je m’instruis, non ? Déjà que je vous les prête à toi et à Rose !

Les deux concernés rougissent, surtout Kensei.

Kensei : M-mais non !

Mashiro : Kensei se branle devant du porno !

Kensei : Toi, la ferme !

Hiyori : Ce qu’on veut te dire, crétinus, c’est que…

Tous pointent Shinji du doigt. Lisa le fais en même temps de lire.

Tous : Tu crains !

Allons voir du côté des shinigamis, où la bonne humeur n’est pas là. Kyôraku ramassa Ukitake, blessé au ventre par Wonderweiss. Il se releva très difficilement.

Kyôraku : Ca va aller, Jûshiro ?

Ukitake : O-oui, Shunsui.

Ils virent le Capitaine-commandant. Il ne bougea point.

Kyôraku : Houlà ! Papi Yamamoto à l’air d’être dans une colère noire !

Plus loin, Soi Fon n’a plus son Bankai, et a l’air de ne pas être de bonne humeur. En plus elle a un bras en moins.

Omaeda : C-capitaine.

Soi fon : Quoi encore, Omaeda ?

Omaeda : Eh bien, comment allez-vous faire sans votre bras perdu dans la bataille ?

Soi fon : Idiot. C’est toi qui me l’as coupé. Comment ça ?

Omaeda : Et bien par exemple, comment vous allez écrire, vu qu’il me semble que vous étiez gauchère, non ?

Sans prévenir, la capitaine frappa son vice-capitaine sans hésitation, ce qui le fait voler plus loin. Elle se retourna.

Soi fon : Espèce d’idiot ! Je suis droitière ! Sinon je ne porterai pas mon shikai sur mon majeur droit si j’étais gauchère, non ?

Omaeda : Je-je vous prie de m’excuser, capitaine !

Soi fon : De toute façon, vu que j’ai perdu un bras, je me débrouillerai ! Bon, je ne vais pas te faire encore la morale, tu vas oublier. Allons vers le capitaine-commandant, Omaeda.

Omaeda : B-bien, capitaine !

Toshirô Hitsugaya, lui, est auprès de sa vice-capitaine, Rangiku Matsumoto, et de son amie d’enfance, Momo Hinamori, toutes deux dans un état grave : La première a un trou sur le côté droit de son ventre, et la deuxième a des côtes brisées. Elles sont toutes les deux victimes du monstre Ayon. Elles dormaient. Kira, le vice-capitaine de la 3e division, leur a donné les premiers soins. Le petit capitaine, en voyant leur état, s’en voulait beaucoup. Il frappa au sol avec son poing.

Hitsugaya : Et merde ! J’étais juste à côté et je n’ai rien pu faire !

Kira : Allons, capitaine Hitsugaya. Ce n’est pas de votre faute.

Hitsugaya : En tout cas, tu a fais ce que tu as pu pour les soigner. Merci, Kira.

Kira : Merci.

Hitsugaya : Il nous faudrait l’aide d’Orihime Inoue pour les soins. J’espère qu’ichigo Kurosaki l’a sauvée.

Au Hueco Mundo, Las Noches

Ici, tout se passe bien.Apparemment, nos amis ont réussis à tuer l’espada n°0, Yammi, Mais on ne sait pas comment. Je ne peux pas être partout à la fois, moi ! Quoi qu’il en soit, les gargantas on été ré ouvert. Au début, cela a surpris tout le monde, mais mieux vaut en profiter. Le capitaine Mayuri Kurostuchi, accompagné de Nemu, sont face à l’un d’eux.

Mayuri : Allons-y, Nemu.

Nemu : Maître Mayuri, que fait-on de celui-là ?

Elle pointa Szayel Aporro Grantz, le 8e Espada, toujours dans sa position fixe avec le regard vide dû à la drogue que lui a transmis le savant fou.

Mayuri : Ah oui ! Prends-le avec nous, Nemu. Je vais pouvoir faire quelques expériences pour l’étudier. Et en arrivant, on le mettra tout de suite dans un bocal. Hihi !

Il fit son énorme sourire de dégénéré, rien qu’à cette idée.

Nemu : Bien, maître Mayuri.

Elle s’avança vers le rose, puis le porta sur son épaule. Ce dernier ne bougea point, tel une poupée. Le capitaine Kuchiki et Unohana rentrent aussi. En ce qui concerne Ichigo, il s’est remis de son combat contre Ulquiorra. Inoue a soignée tout le monde : Chad, Ishida de sa blessure au ventre, Rukia et Renji. Ils étaient tous devant un garganta. Il y a aussi Pesche, Dondochakka et Nell. Cette dernière, toujours sous sa forme d’enfant, dormait, le rouquin la portant avec son bras.

Ichigo : Alors, Inoue, tu as hâte de rentrer ?

Inoue : Oui, Kurosaki-kun.

Ils s’apprêtent à rentrer dans le Garganta pour rentrer sur Terre lorsque quelqu’un les interpella. Ils se retournèrent tous. C’est le capitaine Zaraki Kenpachi.

Kenpachi : Ichigo ! Battons-nous !

Ichigo : Désolé, Kenpachi, mais pas maintenant !

Kenpachi : Pff ! Tu n’es qu’une lopette !

Et là, on voit Yachiru sortir sa tête au dessus des épaules du capitaine vu qu’elle est accrochée à son haori.

Yachiru : T’es méchant, Ichigo ! Tu veux même pas jouer avec Ken !

Inoue : Voulez-vous que je vous soigne, monsieur Zaraki ?

Kenpachi : Pas la peine, femme. J’e n’ai pas besoin de toi pour guérir ! Hé, vous deux !

Il s’adresse à Renji et Rukia. Ils s’avancent vers lui.

Renji : Oui, Capitaine Zaraki ?

Kenpachi : Vous venez avec moi. Vous rentrez directement à la soul Society !

Renji : Bien, capitaine.

Rukia s’avança, vers Ichigo.

Rukia : Ichigo, On a finalement réussi notre but. Je suis contente de voir que tu vas bien, Inoue.

Inoue : Merci, Kuchiki.

Rukia : Mais dis-moi, Ichigo. /regarde les 3 arrancars/ Pourquoi tu amène avec toi ces 3 là ?

Ichigo : Et bien, on ne va pas les laisser tout seuls ici, surtout Nell.

Rukia : Hum ! C’est tout toi, Ichigo, toujours à s’inquiéter pour les autres.

Kenpachi : Hé, la petite femme ! Ramène ton cul ici, on n’a pas que ça à faire !

Rukia : Bon, à une autre fois Ichigo.

Ichigo : A plus Rukia.

Ils restent là à regarder les shinigamis partir. Puis toute la bande rentra dans le garganta pour retourner sur Terre. Mais au moment où le portail va se refermer, quelque chose y entra. Une bête, peut-être ?

Retour sur Terre.

Les Vizards sont déjà partis. Tous les shinigamis venus sont rassemblés devant le portail menant à la soul society, Yamamoto en tête. Les blessés sont portés. Ukitake s’approcha de lui.

Ukitake : Euh, Capitaine-commandant ?

Yamamoto : HmmmMMm !?

Le vieux sembla un peu sur les nerfs : Aizen leur a échappé, il trouve qu’ils sont que des bons à rien. Ben t’avais qu’à faire quelque chose, Sale vieux !

Ukitake : Pardon de vous déranger en ce temps difficile, mais je pense qu’il faudrait renforcer l’armée en trouvant de nouveaux capitaines, vous ne croyez pas ?

Yamamoto : … J’y réfléchirai. Rentrons.

Tous : Oui, Capitaine-commandant.

Ils rentrèrent tous dans le portail, puis il disparaît. Soudain, les 4 piliers faisant apparâitre la fausse Karakura se désintégrèrent subitement pour laisser place à la vraie ville.

A suivre…

Le chapitre un sera envoyé la semaine prochaine. A plus et evoyez des commentaires pour donner votre avis.

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Ce n'est pas grave si tu ne peux pas me critiquer. De toute façon, ce n'est que le prologue.

 

Voici le premier chapitre:

Chap 1 : Retour à la normale (enfin, presque)

La ville de Karakura est revenue dans le monde réel. Les habitants ne sont pas encore réveillés. Il fait nuit, tout est calme. Quand soudain, dans le ciel, un Garganta s’ouvrit. Encore une attaque d’Aizen, qui profite du retour de la ville pour accomplir son plan de créer un ôken ? Non. Il s’agit de non amis qui reviennent du Hueco Mundo : Ichigo, Orihime, Chad et Ishida.Ils n’ont plus de blessures grâce au pouvoir d’Inoue.  Renji et Rukia sont rentrés à la Soul Society avec les capitaines venus en renfort. Il y a aussi 3 autres personnes venues avec nos 4 héros : Pesche, Dondochakka, et Nell, toujours sous sa forme d’enfant, endormie. Ichigo la portait avec son bras gauche. De l’autre il portait Inoue en la mettant sur son épaule droite. Ils atterrissaient tout en douceur dans une rue, vide. Le rouquin déposa Inoue sur le sol.

Ichigo : Aah, qu’il est bon de rentrer chez soi, après tous ces combats.

Inoue: Pardon, vous tous.

Ichigo est assez surpris par cette phrase de son amie, alors qu’elle n’a rien fait de mal.

Ichigo : Mais pourquoi t’excuses-tu ?

Inoue : C’est que… A cause de moi, vous avez été blessés et failli mourir.

Ichigo : Ce n’est pas ta faute, Inoue. Si on est venus au Hueco Mundo, c’était pour te sauver, non ? Il était obligé que, avec tous ces combats, on se blesse. Alors ne t’inquiète pas.

Inoue : Merci, Kurosaki-kun.

Le rouquin se tourna vers les deux autres, mais Ishida n’est plus là. Il a disparu.

Ichigo : Chad, où est Ishida ?

Chad : Et bien, il est parti tout de suite après qu’on soit arrivés.

Ichigo : Bah pourquoi ?

Inoue : Il doit être encore en colère contre toi, Kurosaki-kun.

Ichigo : Qu’est ce que je lui ai fait ?

Inoue : Tu ne te souviens pas ? Tu as failli le tuer, Kurosaki-kun.

Ichigo : J’ai failli… le tuer ?

Rappelons qu’Ichigo, sous un niveau évolué de sa forme d’hollow, allait tuer Ishida avec un Celo. Mais il a été arrêté par Ulquiorra, qui lui est mort. Chad est parti. Il ne reste plus dans la ville qu’Ichigo, Inoue, les deux idiots de service et Nell, toujours endormie. Ichigo se tourna vers les deux arrancars.

Ichigo : Bon, qu’est-ce qu’on fait de vous deux ?

Pesche : Comment ça, « nous deux » ? Et Nell, alors ?

Dondochakka : Oui, pourquoi, pour sûr ?

Ichigo : C’est évident, non ? Je la prends avec moi.

Pesche : Hmm… Ce n’est pas pour profiter d’elle ?

Ichigo : Non mais ça ne va pas ? Je pense juste qu’elle sera plus en sécurité auprès de moi.

Pesche : /prit un ton sérieux/ Oui, tu as raison. Ichigo, je vais te demander une faveur.

Ichigo : Oui, quoi ?

Pesche : Ne parle jamais à Nell de sa véritable identité.

Inoue : Tu veux parler de la grande Nell ?

Pesche : Oui. Dondochakka et moi, nous avons jurés de la protéger, de lui cacher la vérité, pour ne plus qu’elle souffre. Donc, peux-tu reprendre le flambeau ?

Ichigo : Ne t’iquiète pas. De toute façon, je n’ai jamais eu l’intention de lui révéler quoi que ce soit.

Pesche : Merci. Mais…/panique/ Où va-t-on dormir ? Je n’ai pas envie de dormir dans la rue !

Dondochakka:/panique/ Oui, surtout que j’ai peur du noir, pour sûr !

Ichigo : Pfff, vous êtes vraiment des froussards ! On ne va pas vous laisser tous seuls ! Inoue.

Inoue : Oui, Kurosaki-kun ?

Ichigo : Peux-tu les héberger chez toi ?

Inoue : M-mais bien sûr.

Les 2 arrancars se rangèrent aux côtés de la rouquine. L’insecte lui tapote le bras avec l’épaule

Pesche : Alors, on a envie d’un peu de compagnie masculine ?

Inoue se sens un peu gênée

Inoue : Euuuuh….

Ichigo : Laisse-la tranquille ! Bon, on se retrouve demain en cours, Inoue.

Inoue : Ah oui, c’est vrai qu’on a cours, demain. A demain, Kurosaki-kun.

La jeune fille rentra chez elle, accompagnée des deux arrancars. Ichigo partit avec Nell sous le bras en faisant un shunpo. La rue est vide. Le Garganta par où sont sortis nos amis commença à se refermer. Mais Soudain, une forme en sortit avant que le portail ne se referme. Cette chose atterrit en faisant une grosse marque d’écrasement sur le sol. Cela sembla être un arrancar. C’est un homme, il est blessé et essouflé. Il parla faiblement comme si il agonisait mais on peut entendre ce qu’il dit.

? : Ichigo…. Kurosaki….

 

A la maison des Kurosakis, tout le monde dormait. Ichigo rentre dans sa chambre par la fenêtre en douce, même si personne ne l’entendrait vu qu’il est en shinigami. Il voulait déposer Nell sur le lit, mais quelqu’un le squattait déjà : Kon. Il était dans le corps d’Ichigo, entrain de dormir. Il semblait faire un rêve obscène d’après ce qu’il dit en dormant.

Kon : Aah, Inoue. Ta vallée de dieux est si confortable ! C’est trop le pied !

Pour Kon, la « vallée des dieux », c’est entre les seins d’une fille, de préférence bien gros comme ceux d’Inoue !

Ichigo, préférant ignorer ce qu’il vient d’entendre, mit son pied sous le dos de Kon, puis le fit tomber du lit. Forcément, cette chute réveilla ce dernier.

Kon : Hé ! Qui c’est le connard qui m’a fait tomber ? Je faisais un super rêve !

Ichigo : Tais-toi, Kon!

Kon : I-ichigo ? T’est déjà revenu ?

Le rouquin, maintenant que le lit est libre, déposa doucement la petite arrancar.

Kon : Hé, c’est qui cette gamine ?

Le héros regarda le possesseur de son corps, puis, sans raison apparente, il lui donna un bon coup de poing dans le bide ! De ce fait, La pilule où se trouve l’âme de Kon sortit du corps. Ensuite, Ichigo réintégra son corps d’origine. Il ramassa la pilule couverte de bave, pour la mettre dans la peluche du lion. Kon, revenu dans son « corps de rêve », commeça à crier sur Ichigo qui le tenait dans la main.

Kon : Connard ! Tu as ramené cette gamine pour me remplacer, c’est ça ?

Ichigo : Arrête de remuer ! J’ai envie de me reposer, alors tais-toi !

Kon : Toi, tu la ferme ! J’étais entrain de rêver de mon plus grand fantasme et toi tu l’interromps ? Briseur de rêve !

Ichigo : Arrête de te plaindre ! J’ai risqué ma vie au Hueco Mundo, j’ai le droit à un peu de repos !

Tout ce vacarme réveilla la petite Nell. Elle se frotte les yeux, mal réveillé.

Nell : I-Itsigo. Où on est ?

Kon essaye de se dégager de la main d’Ichigo en gigotant.

Ichigo : Hé, arrête de bouger !

Kon: Lâche-moi ! Je veux lui causer et lui monter qui fait la loi, ici !

La peluche réussit à se dégager de l’emprise d’Ichigo et se mit devant Nell.

Nell : T-t’es qui ?

Kon : Moi ? Je suis le grand Kon !

Nell : Kon ? Hihi ! C’est rigolo, comme prénom !

Kon : Te fous pas de moi ! Maintenant, tu dois m’obéir !

Ichigo : Kon, laisse- la tranquille, s’il te plaît.

Kon : Et toi, tu ne pouvais pas plutôt ramener une fille très belle avec une superbe poitrine au lieu de cette gamine ?!

Notre héros vient de penser qu’il ne vaux mieux pas dire à Kon que Nell est en réalité une femme comme il l’a décrite. Sinon, cette sale âme artificielle obsédée pourrait essayer par tous les moyens de la faire retrouver sa forme originelle. Il prit Kon dans sa main.

Kon : Hé, qu’est ce que tu fais ?

Il ouvra le tiroir de sa table de nuit. Là la peluche commença à paniquer.

Kon : N-non ! Pas dans le tiroir !

Ichigo ne l’écoute pas et balança cette sale peluche dans le tiroir et le ferma.

Ichigo : Ouf, enfin tranquille.

Ichigo alla ensuite s’asseoir sur le lit à côté de la petite arrancar, un peu perdue.

Nell : Itsigo, où on est ?

Ichigo : Dans mon monde. Je ne pouvais pas te laisser toute seule dans le désert dans l’enceinte de Las Noches avec tous ces Hollows et arrancars qui rôdaient.

Nell : Et où sont Pesche et Dondochakka ? Tu ne les as pas laissés là bas ?

Ichigo : Non, en fait-

Nell :Tu-tu veux dire qu’ils sont morts ? /commença à pleurer/

Ichigo : Mais non, ne pleures pas, ils-

Nell : OUIIIIIIIIIIIIIIIN ! Ils sont morts ! Nell va être toute seule !

Ichigo : Arrête de pleurer ! Ils sont chez Inoue.

Nell : C-c’est vrai ? Super ! Mais, qu’est ce qui s’est passé ?

Ichigo : Tu ne te souviens de rien ?

Nell : Et bien, lorsque Nell a vu le méchant monsieur te faire mal en te tordant ton poignet, Nell a pleuré en criant ton prénom, après plus rien. Ensuite, Nell se retrouve dans le sable sans savoir ce qu’elle fait là. Et le même méchant monsieur, qui est moche en plus, a donné un coup de pied à Nell, encore plus rien aussi ! Et Nell s’est réveillé ici.

(Le méchant monsieur dont Nell parle, c’est Nnoitra)Cela rassure Ichigo de constater que, lorsque Nell est enfant, elle ne se souvient pas de ce qu’elle a fait lorsqu’elle a retrouvée sa véritable apparence. Fort excitante, d’ailleurs ! Mais là, on entendit quelque chose gargouiller.

Nell: Itsigo ?

Ichigo: Oui, Nell?

Nell: Nell a faim.

Ichigo : QUOI ? A cette heure-ci ?

Nell : Voui !

Le rouquin se demanda qu’est ce qu’il pourrait bien lui donner à manger, lorsqu’il vit sur la table de nuit un reste de tablette de chocolat. Il allait la prendre lorsque Kon sortit brusquement du tiroir.

Kon : Hé ! Ne touche pas à ça ! C’est MON chocolat !

Ichigo : Tais-toi ! T’as mangé plus de la moitié ! Il ne reste que deux barres. Tu peux partager, tout de même ! Et puis elle n’a sûrement jamais mangé de chocolat de sa vie !

Kon : Na ! Ce n’est pas une raison !

Comme la peluche énervait notre héros, celui-ci ferma le tiroir avec Kon dedans, puis mit une chaise contre le tiroir pour le bloquer.

Kon : Hé qu’est-ce que t’as fais ? Libère-moi !

Ichigo cassa un carré de la tablette de chocolat pour vérifier si la fillette aime ça. Il le lu donna. Nell regarda le bout d’un air fasciné.

Nell : C’est quoi, Itsigo ?

Ichigo : Du chocolat. C’est très bon.

Nell : C’est à manger ?

Ichigo : Oui. Vas-y, goûte.

La petite fille mit le carré de chocolat dans sa bouche, à peine elle croqua dedans qu’elle avait un regard vide, comme si elle était dans un autre monde. Ichigo passa sa main devant les yeux de Nell, puis celle-ci retrouva ses esprits.

Nell : Whaou ! C’est super bon ! Nell en veut encore !

Ichigo : Tu ne préfères pas en garder pour demain ?

Nell : Non ! Nell veut du chocolat tout de suite !

Ichigo : C’est que… moi aussi, j’en veux.

Nell : S’il te plaît, Itsigooooo !

Nell fit un regard de chien battu, comme celui du chat potté dans Shrek. Forcément, le rouquin ne peut résister à ce regard.

Ichigo : Bon, j’ai compris ! Prends tout !

A peine le rouquin tendit le reste de chocolat à Nell qu’elle lui arracha des mains. Elle engloutit la tablette en à peine 10 secondes ! Ichigo regarda ce spectacle en bavant car il aurait bien voulu en avoir, aussi.

Ichigo : Bon, vu que tu as fini, on va pouvoir dormir.

Nell : Mais Nell n’a pas envie de dormir !

Le shinigami remplaçant doit penser « dis donc tu n’es pas la fille à chiante ? ». Mais il ne va tout de même pas la jeter dehors, toute seule dans le noir.

Ichigo : Ecoute, Nell. Il fait nuit, alors il faut dormir, tu comprends ?

Nell : Pff, bon, d’accord. Je peux dormir avec toi, Itsigo ?

Ichigo : Oui, mais que pour cette fois.

Nell : Super !

Nos deux amis vont donc passer la nuit ensemble dans le même lit.  Euh, ça ne fait pas un peu pédophile, ça !?

Le lendemain matin, chez Orihime

La rouquine et les 2 arrancars qu’elle héberge chez elle prennent un petit déjeuner « normal ». Dondochakka n’arrive pas à prendre la tasse par la boucle à cause de ses énormes mains.

Dondochakka : Pesche. Je n’arrive pas à prendre la tasse, pour sûr !

Pesche : Débrouille-toi ! Tu es grand, tout de même !

Inoue : Tu n’as qu’à la prendre avec une main sans utiliser la boucle.

Le gros essaya et… miracle ! Il réussit à soulever la tasse. Aaaaaléluia ! Il remercia la fille.

Pesche : J’espère que Nell va bien.

Inoue : Ne t’inquiète pas. Kurosaki-kun a dit qu’elle sera en sécurité auprès de lui.

Pesche : On peut vraiment lui faire confiance ?

Inoue : Bien sûr. Kurosaki-kun est fort. Si elle est en danger, il saura la protéger.

Pesche : J’espère.

Inoue prit la tasse et alla boire son thé. Mais à peine que la boisson toucha ses lèvres qu’elle sentit que c’était bouillant, tellement qu’elle lâche la tasse et s’en mit sur son haut de pyjama.

Inoue : Ho non ! Je me suis tachée ! En plus c’est chaud !

Elle enleva son haut, et donc se retrouva avec juste son soutien-gorge. Lorsqu’elle leva les yeux, elle remarqua que Pesche et Dondochakka ont les yeux rivés sur elle.

Inoue : P-pourquoi vous me regardez comme ça ?

Elle s’aperçut que, selon la direction de leur regard, ce n’était pas elle qu’ils regardent, mais plutôt sa poitrine ! Elle la tout de suite avec ses bras.

Inoue : Hiiii ! Mas arrêtez de regarder !

Pesche : Désolé, mais ta poitrine nous rappelle tant celle de dame Nell, hein Dondochakka ?

Dondochakka : Oh oui, pour sûr !

Inoue : Vous… Vous avez vus la grande Nell toute nue ?

Pesche : Bien sûr ! Vu que nous étions sa fraccion, elle nous demandait des fois de lui faire des… attouchements ?

Inoue : Comment ça des attouchements ?

Pesche : Et bien, Dondochakka lui caressait les seins et moi le la doigtais !

Inoue : La-la doigter ? Comment ça?

Pesche : Ben, lui mettre mes doigts dans son (bip), bien sûr !

Inoue : Mais elle n’avait pas mal ?

Pesche : Oh que non ! Elle adorait ça, au contraire ! Mais on n’allait pas jusqu’à lui faire (bip), tout de même ! On la respectait trop !

Dondochakka : Oui, mais moi je ne l’ai jamais doigté, pour sûr !

Pesche : Si, tu as déjà essayé, mais tes doigts sont trop gros pour rentrer dans son (bip) ! Et puis tes mains sont assez grosses pour bien prendre ses seins !

Dondochakka : Ah oui, c’est vrai !

La pauvre Orihime se sentit invisible : les 2 arrancars continuent à parler de trucs cochons sans prêter attention à elle. Mais maintenant elle se posa des questions sur la masturbation et tout ce qui va avec !

Maison des Kurosakis, chambre d’Ichigo.

Ichigo s’est déjà levé, vu qu’il a cours. Nell dort toujours. Là, elle se réveille. Elle se frotta les yeux et s’etira.

Nell : Hmmm… Nell a très bien dormi. Et toi, Itsi-

Elle tourna la tête, mais elle ne vit personne dans le lit.

Nell : Itsigo ? T’es où ?

Elle descend du lit puis sortit de la chambre pour chercher Ichigo dans la maison. Ce dernier est dans la salle de bain entrain de prendre sa douche. Elle passe devant la cuisine et quelque chose attire son attention. En haut du frigo se trouvait un bocal rempli de cookies au chocolat. Elle en bave.

Nell : Hmmmm… Chocolat…

Ichigo, lui, vient de sortir de la salle de bain torse-nu avec une serviette autour de lui. Il rentre dans sa chambre pour mettre son uniforme. Mais là, il vit que Nell n’était plus là. Il commença à paniquer, cherche dans tous les endroits de sa chambre où elle aurait pu se cacher pour lui faire une surprise. Nulle part. Il ouvra le tiroir de la table de nuit, prit Kon par le pied et le secoua.

Kon : Hé ! On a plus le droit de pioncer tranquille, maintenant !?

Ichigo : Où est Nell ?

Kon : La gamine ? Mais je n’en sais rien, moi ! J’étais enfermé, j’te signale !

Ichigo : Et merde !

Le rouquin, sur ces mots, balança la peluche sur le mur, pour ensuite retomber sur le lit, puis l’autre partit en courant.

Kon : Et merci, c’est pour les chiens ?

Ichigo se mit à chercher la petite dans la maison sans faire trop de bruit. Lorsqu’il entra dans la cuisine, qu’est-ce qu’il voit ? Nell, sur le rebord du frigo, essayant d’attraper le bocal. Elle a utilisé les tiroirs d’un meuble et empilé plusieurs objets pour y arriver. Le rouquin fut surprit.

Ichigo : N-Nell ?

La concerné remarqua son interlocuteur.

Nell : Salut, Itsigo !

Ichigo : Mais enfin, qu’est-ce que tu fais ? C’est dangereux !

Il se précipita pour attraper Nell pour la mettre hors de danger. Cela ne plaît pas à cette dernière.

Nell : Mais Nell voulait des cookies !

Ichigo : Tu aurais pu m’attendre.

?: Ichigo ?

Il se retourna, et vit Karin, une de ses petites sœurs. Elle a été réveillée par le bruit. Elle semble surprise.

Ichigo : Karin, tu es déjà réveillée ?

Karin : /pointe Nell/Qu-qui est cette petite fille que tu tiens ?

Notre héros vient de se rappeler que sa petite sœur Karin peut voir les esprits tout comme lui, donc Nell. Il est un peu embêté.

Karin : Et aussi… Pourquoi tu es nu ?

Ichigo : Hein ?

Il baissa son regard et vit que, effectivement, il est à poil ! Pendant sa précipitation pour rattraper Nell, sa serviette est tombée. Il est mort de honte. Sa sœur commença à paniquer.

Karin : Oh mon dieu. Ichigo. Tu es un pédophile ?

C’est sûr que, avec une petite dans les bras et en étant nu, on peut croire qu’il est pédophile ! Elle commença à reculer, puis se sauva en courant.

Karin : Au secours ! Ichigo est pédophile !

Ichigo : Mais non, Karin ! Ce n’est pas du tout ce que tu crois ! Arrête, tu vas réveiller Yuzu et papa !

Nell : Hihi ! Je vois ton tuyau d’arrosage, Itsigo !

Un peu plus tard

Ichigo, Karin et Nell sont dans la chambre du rouquin, dont celui-ci a mis son uniforme. Il a expliqué à sa sœur pourquoi il s’est retrouvé nu et lui a présenté Nell. Il lui a aussi expliqué pourquoi elle est là, sans lui parler de la vraie apparence de Nell. Cette dernière mange des cookies.

Karin : Ichigo. Tu vas laisser Nell ici ou tu vas l’amener en cours ?

Nell : Oh oui ! Emmène Nell avec toi !

Ichigo : Désolé, mais je vais t’emmener chez Inoue.

Nell : Bah pourquoi ?

Ichigo : Tes deux « frères » vont te garder, ensuite je viendrai te chercher à la fin des cours.

Nell : Nell va retrouver Pesche et Dondochakka. Siper ! Dis, Itsigo.

Ichigo : oui ?

Nell : Nell  peut monter sur tes épaules ?

Le rouquin, pour que la petite ne fasse pas de crise, la mit sur ses épaules. Il prit son cartable, puis partit en laissant sa famille.

Inoue, elle aussi, est en uniforme pour aller en cours. Soudains, elle entendit quelqu’un frapper à la porte. Elle se demanda qui ça peut bien être vu qu’elle n’attendait personne. Elle s’avance vers la porte et l’ouvrit. C’est Ichigo avec Nell sur les épaules. Il sembla essouflé.

Ichigo : Salut, Inoue.

Inoue : Kurosaki-kun ! Et la petite Nell aussi ! Quelle surprise !

Ichigo : Alors, le retour à la vie normale n’est pas trop dur pour toi, vu ce que tu as vécu à las Noches ?

Inoue : C’est gentil de t‘inquiéter pour moi, mais ça va. Pourquoi es-tu fatigué ?

Ichigo : Et bien, Nell a voulu que je coure pour aller plus vite.

Inoue : Tu es venu ici pour me chercher, Kurosaki-kun ?

Ichigo : Pas exactement. C’est pour déposer Nell. Tes deux invités vont la garder, comme ça, il n’y aura pas d’ennuis en cours.

Nell : Bah pourquoi ? Tu n’aimes pas Nell ?

Ichigo : Mais si. C’est que certains de nos amis peuvent voir les esprits. Ils pourront te voir.

Nell : Et alors ? Nell veut être avec toi, Itsigo.

Ichigo : Désolé, mais c’est non. Inoue, où sont les 2 autres ?

Inoue : Et bien, je ne sais pas. Je vais-

Elle n’a pas eu le temps de finir sa phrase car Nell a sauté des épaules d’Ichigo et à courir partout.

Ichigo : Hé, où tu vas ?

Nell : Nell cherche Pesche et Dondochakka, tiens !

Inoue : Mais attends ! On va t’aider.

Ichigo : Non, ça ira. Allez, viens, Inoue, sinon on va être en retard.

Inoue : Mais, et si il lui arrivait quelque chose ?

Ichigo : Ne t’inquiètes pas.

Inoue : Bon, d’accord.

Les 2 rouquins partent en cours, en fermant la porte à clé. Ils laissent la petite arrancar courir dans la maison.

Nell : Peschee ! Dondochakka ! Où êtes-vous ?

Elle coure dans le couloir lorsqu’elle entendit un gros pet. Elle entra dans la pièce et là, elle vit Dondochacca entrain de chien dans les toilettes, et Pesche entrain de l’encourager.

Pesche : Allez, pousse !

Dondochakka : GNNNNNNNNNN ! Que c’est dur, pour sûr !

Nell : Pesche ! Dondochakka !

La petite se met à bondir sur Pesche. Ce dernier en tomba. Le gros pousse toujours.

Pesche : Nell ! On se faisait du souci pour toi !

Nell : Itsigo s’est très bien occupé de Nell !

Elle remarqua que L’autre est entrain de déféquer.

Nell : Qu’est-ce qu’il fait, Dondochakka ?

Pesche : Et bien, il fait ses besoins.

Justement, ce dernier a fini sa crotte. Il regarda son chef-d’œuvre.

Dondochakka : Hé Pesche ! Regarde ce que j’ai fait !

Il regarde et là, il vit un énorme étron !

Pesche : Wahou ! C’est peut-être le plus gros que t’ai fait !

Dondochakka : Par contre ça shmoute, pour sûr !

Nell regarde aussi et là, elle est fascinée. Cette crotte bien grosse et marron lui rappela… le chocolat ! Elle bave.

Nell : Hmmmmm… Chocolat….

Pesche ! Quoi ? Ha non, ce n’est pas du chocolat, c’est du caca !

Nell : Nell veut du chocolat tout de suite !

Pesche : Bon, on va aller en chercher. Dondo, tu viens ?

Dondochakka : /remonte son froc/ J’arrive, pour sûr !

Au lycée.

Les deux rouquins rentrent dans leur classe, mais sans crier gare, quelqu’un arriva derrière Inoue et lui pelota les seins ! C’est Chizuru, la lesbienne à lunette.

Inoue : Aaaaah !

Chizuru : Bienvenue, Ma chère Hime !

Mais une autre personne intervient en donnant un bon coup de poing à Chizuru qui vola plus loin. C’est Tatsuki.

Tatsuki : Laisse-la tranquille ! /se tourne vers Inoue/ Inoue, ça va ?

Inoue : Oui, ça va.

Tatsuki : Ca me rassure. J’étais tellement inquiète que tu ais disparu dans cet autre monde.

La rouquine fut surprise. Comment son amie sait-elle qu’elle a été enlevée ? Ichigo aussi, mais encore plus. Elle prit la brune par les épaules.

Ichigo : Tatsuki ! Comment le sais-tu ?

Tatsuki : Ben, c’est-

Mais elle n’a pas eu le temps de finir sa phrase car Keigo se jeta sur Le rouquin qui tomba.

Keigo : Ichigooo ! Tu n’as rien ! On a cru que tu étais mooort !

Puis arriva Mizuiro, tranquillement.

Mizuiro : Salut, Ichigo et Inoue. Apparemment, vous êtes en forme.

Le rouquin se releva en décollant l’autre. Et là, il vit ses amis le regarder d’un air bizarre.

Ichigo : Qu’est-ce vous avez, à me regarder comme ça ?

Tatsuki : Ichigo, on sait tout.

Ichigo : D-de quoi ?

Mizuiro : Que tu es un shinigami.

Il se sent bizarre, comme si le monde allait s’effondrer.

Ichigo : Qu-quoi ? Comment l’avez-vous su ?

Keigo : C’est le gars avec le chapeau, monsieur Uki…Urayi…

Tatsuki : Urahara, Keigo.

Keigo : Ha oui, c’est vrai ! Il était très sympathique !

Rappelez-vous, lorqu’Ichigo, Chad et Ishida sont partis au Hueco Mundo, Les 3 autres l’avait suivi jusqu’à chez Uhrahara.

Ichigo : Si vous l’avez vu, vous m’avez vu avec mon kimono noir.

Mizuiro : C’est exact.

Tatsuki : Il nous a tout expliqué : Comment tu es devenu un shinigami, ton rôle. Il nous a même parlé de la Soul Society. Mais surtout, pourquoi tu es parti : pour sauver  Inoue, n’est-ce pas ?

Ichigo : Mais cela ne vous choque pas ?

Keigo : Mais non. Tu sais, j’ai vu un tes copains, le chauve, là, se battre.

Ichigo : Quoi, Madarame ?

Keigo : Oui, c’est ça ! Je me disais aussi pourquoi ces gens bizarre sont venus. D’ailleurs…

Il s’approcha d’Ichigo et lui parla à l’oreille, du sans lui pendait au nez.

Keigo : Elle est toujours ici, la belle rouquine avec ses super gros nibards et son décolleté ?

Ichigo : Rangiku ? Non, elle n’est plus là.

Tatsuki : Enfin bref, si tu nous l’avais déjà dit plus tôt, je ne t’aurais jamais frappé.

Inoue : Quoi, tu as frappée Kurosaki-kun ?

Ichigo : Non, ce n’est pas grave. D’ailleurs, où sont Chad et Ishida ?

Mizuiro : Ah ça, je ne sais pas.

En cours il ne s’est rien passé d’anormal : Pas de hollow, pas d’attaque d’Aizen, ni de shinigamis qui débarquent en classe.

Plus tard, vers 16h40

Les 2 rouquins rentrent ensemble des cours, Ichigo étant venu avec son amie pour récupérer Nell. Arrivés devant la porte de la maison de la rouquine, elle ouvrit la porte et là qu’est ce qu’ils voient ? Les meubles sans dessus dessous, de l’eau un peu partout. Ils ont un choc. On aurait dit qu’une mini-tornade est passée.

Inoue : Ku-kurosaki-kun, que s’est il passé ?

Ichigo : Je n’en sais rien.

Ils entrent dans la cuisine, qui est dans un sale état. Les tiroirs et les portes des toutes ouvertes, des taches partout. Ensuite, les 2 arrancars viennent vers eux.

Pesche : Haa, vous êtes enfin rentrés !

Ichigo : Mais enfin, qu’est-ce qui s’est passé ?

Pesche : Bon, on va vous expliquer : après que vous soyez partis, Nell voulait du chocolat, alors on est allés dans la cuisine. On a ouverts tout les tiroirs et les armoires, mais rien !

Inoue : C’est normal, vu que je ne mange pas trop de chocolat, ça fait grossir.

Ichigo : Bon, et ensuite ?

Pesche : Après, Nell avait plein de taches sur elle. Donc on a voulu lui donné un bain. Mais elle ne voulait pas aller dans l’eau. Finalement on a réussi et on a commencé à la laver. Mais elle nous a échappée et s’est mise à courir toute nue dans la maison !

Ichigo : Alors c’est pour ça qu’il y a de l’eau partout ! Et l’après-midi ?

Dondochakka : On a joué au chat, pour sûr !

Ichigo : Quoi !? C’est donc pour ça que c’est le bazar !

Pesche : C’est que… Il n’y a pas beaucoup de place.

Ichigo : Et ben il fallait réfléchir ! Vous allez tout ranger et nettoyer !

Inoue : Kurosaki-kun, ne sois pas si sévère. Ce n’est pas si grave.

Pesche : C’est vrai. Tu n’es pas notre chef !

Ichigo : Enfin bref. Où est Nell ?

Pesche : Elle dort sur le canapé. Le chat l’a tellement fatiguée.

Nos 4 amis se rapprochèrent doucement du canapé, et regardent la petite arrancar dormir. Elle est si mignonne avec son pouce dans la bouche. Le rouquin la prit délicatement avec son bras pour ne pas la réveiller.

Ichigo : Bon, je rentre. Heureusement demain, il n’y a pas cours. Peut-être à demain, Inoue.

Inoue : A demain, Kurosaki-kun.

Le rouquin partit avec Nell. Un peu plus tard, la rouquine aida les 2 idiots à nettoyer la maison.

Pesche : Merci de nous aider.

Inoue : Mais de rien, après tout, c’est ma maison.

Pesche : En tout cas j’espère que… Que…

Pesche commença à pleurer, Dondochakka aussi. Inoue fut surprise de voir ces deux-là, pourtant si drôles, si tristes.

Inoue : Mais enfin, pourquoi pleurez-vous ?

Pesche : Dame Nell nous manque.

Inoue : Mais Nell est toujours vivante. Pouquoi dis-tu ça ?

Pesche : Je parle de Nell lorsqu’elle est sous sa vraie forme. Lorque Dondochakka et moi, on a ressenti son reiatsu, on était content que, après toutes ces années à la protéger alors qu’elle était faible, nos efforts ont été récompensés. On aurait tellement voulu la revoir. Mais non. La voir dans cet état nous attriste ;

La rouquine, pour les consoler, les prit dans ces bras. Enfin, pas vraiment Dondochakka, vu sa grosseur.

Dondochakka : Dame Nell nous manque, pour sûr !

Inoue : Ne vous inquiétez pas. Je suis sûr qu’on la reverra un jour.

Pesche : Comment peux-tu le savoir ?

Inoue : Je suis sûre qu’auprès de Kurosaki-kun, elle redeviendra normale.

Pesche : Vraiment ?

Inoue : Oui. C’est parce qu’il a tout le temps protégée Nell qu’elle a retrouvée sa véritable apparence.

Dondochakka : C-c’est vrai, pour sûr ?

Inoue : Oui, je l’ai vue de mes propres yeux.

Pesche : Elle est belle, hein ?

Inoue : Oui, très belle.

Retrouvons Ichigo et Nell la nuit venue. Le rouquin a encore cédé au petit caprice de la fillette qui voulait dormir avec lui. Ils dorment l’un à côtés de l’autre : Ichigo sur le côté gauche du lit près du bord, et la petite du côté droit près du mur. Cette dernière semblait faire un cauchemar.

Nell : Itsigo…

Rêve de Nell

La scène se passe au Hueco Mundo. Ichigo, en bankai, combat Nnoitra mais il n’arrivait pas à blesser le 5e. Nell est un peu plus loin, entrain de regarder le combat.

Nell : vas-y, itsigo !

Le rouquin fonça sur cuillère-man pour le toucher. L’espada essaya de le couper en deux, mais Ichigo fait un shunpo qui fait manquer le coup à Nnoitra. Enfin il réussit à le blesser en transperçant son crâne par l’œil gauche. Les 2 combattants semblent être mis sur pause. Ichigo est essoufflé, mais il pense avoir gagné.

Ichigo : Enfin, je l’ai eu.

Mais soudains, il sentit une grosse douleur au ventre, comme si une lame l’avait transpercé. Il vomit beaucoup de sang. Il essaya de regarder en bas et vit la lame de l’arme bizarre de son adversaire enfoncée dans son corps.

Nnoitra : Hihi ! Alors, shinigami, tu souffres ?

Nnoitra est toujours vivant ! Bien que le sabre d’ichigo lui a traversé la tête, cela ne l’a pas tué car à la place de l’œil gauche, le 5e espada a son trou de hollow qui lui traverse tout le crâne. Donc cela ne l’a pas tué.

Nell : Itsigo !

Nnoitra leva son sabre. Ichigo resta pendu dessus. Il sembla évanoui, voire même mort !

Nnoitra : Hahahahah ! Je suis le plus fort !

La fillette commença à pleurer, à la vue de ce spectacle.

Nell : Itsigo… Itsigo… ITSIGOOOOOOOOOOOOOO !!!

Il y eu une énorme explosion de fumée rose. Nnoitra se retourna. Lorsque la fumée commença à se dissiper, il fut très surpris de voir ce qu’est devenue Nell.

Nnoitra : Neliel…

A suivre…

Voilà ! Le premier chapitre est fini ! Dans le prochain chapitre, Ce sera le retour de Neliel. A bientôt

!

Comme vous l'avez constaté, il y a des allusions perverses. Mais le prochain sera pire. Mais rassurez-vous, il n'y aura pas que ce genres de choses. Ensuite ça se calmera. Bon, à la prochaine!

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  • 2 weeks later...

Merci de trouver mon travail pas mal. J'aivais un peu peur que l'on me retire ma fic dû à certaines allusions. C'est pourquoi j'ai rajouté les bip! Bon, sans plus tarder, voici le deuxième chapitre:

Chap 2 :Le retour de Neliel

. 

Le lendemain, chez Inoue

La rouquine, toute seule dans la cuisine, prépare le petit déjeuner pour ses petits locataires : tartines à la confiture de fraise et des haricots verts et des céréales dans du lait goût menthe-curry ! Elle a vraiment des goûts bizarres, cette fille ! Elle le faisait gaiement lorsqu’elle entendit quelqu’un sonner à la porte.

Inoue : Tiens, je n’attends personne.

Elle se dirigea vers la porte et l’ouvrit.

Inoue : Bonjour !

Son visage, à la vue de cette personne, passe de la bonne humeur à la surprise et la peur.

Inoue : Mais qu’est-ce que…

Retrouvons tout de suite Ichigo dans sa chambre, toujours entrain de dormir. Il passa son bras droit vers le mur et soudain, il se réveille d’un coup : sa main a touché quelque chose de très gros, rond, doux et mou. Il serra légèrement et caressa cette chose et entends une voix féminine qu’il a déjà entendu quelque part.

?: Hmmmm….

Il transpire un peu. Il tourna la tête lentement et mécaniquement et là, qu’est-ce qu’il vit ? Neliel. Oui, Nell est redevenue Neliel ! Aaaléluia ! Comme vous vous en doutez, notre héros pelote le sein gauche de la belle ex-tercera. Il était tout rouge. Il n’osa pas enlever sa main pour ne pas la réveiller. Au début, Neliel sourit légèrement du fait que, inconsciemment, elle trouve agréable ce que lui fait Ichigo. Mais son expression changea. Elle semble inquiète.

Neliel : Ichigo...

Ichigo : Je me demande de quoi elle rêve.

Rêve de Neliel

Toujours dans le Hueco Mundo, Neliel a vaincu Nnoitra sans redevenir une enfant. Elle est avec Ichigo. Ce dernier, allongé, avec la tête sur les genoux de Neliel, agonise.

Ichigo : N-Nell, c’est toi ?

Neliel : Oui, Ichigo. Ne t’inquiète pas, je suis là.

Ichigo : Finalement, je vais mourir.

Neliel : Mais ne dis pas ça. Bien sûr que tu ne vas pas mourir.

Ichigo : Si, je le sens. Nell.

Il prend difficilement la main de la belle arrancar.

Neliel : Oui, Ichigo ?

Ichigo : Je veux que tu protèges les autres pour moi.

Neliel : O-oui, je le ferai pour toi.

Ichigo : Merci. Adieu, Nell.

Le héros ferma lentement les yeux et ne respirait plus. Neliel commença à pleurer.

Neliel : I-Ichigo… Non…

Elle serra le corps inerte d’Ichigo contre elle et pleure toutes les larmes de son corps.

Neliel : Noooooon ! Ne meurs pas Ichigo !

Retour à la réalité

Neliel : Ichigo !

Sur ces mots elle se réveille en se relève brusquement, ce qui fait tomber notre héros du lit. Elle respire fortement, puis se calma.

Neliel : Ouf, ce n’était qu’un rêve. J’ai vraiment cru que-

Elle tourna la tête et voit Ichigo par terre, entrain de la regarder. Il semble surpris de la voir sous sa vraie apparence.

Neliel : Ichigo.

Ichigo : Nell.

Ils se regardent dans les yeux. Neliel fait un grand sourire vu qu’elle est contente de voir Ichigo. Là, il sentit le danger pour lui.

Ichigo : Non, Nell !

Neliel : ICHIGOOOOOOOOOOOO !

Elle sauta sur lui pour le serrer dans ses bras ! Elle le serra de toutes tes forces, ce qui fait étouffer le rouquin et fait craqué ses os.

Ichigo : AAAAAAAAAAARGH !!!

Neliel : Ichigo ! Je suis tellement heureuse que tu n’as rien ! Quelle joie ! KYAAAAA ! Ichigoooo !

La belle arrancar serre toujours Ichigo qui tourne de l’œil. Elle le sert si fort que ses seins se frottent contre Ichigo, mais il le remarque pas vu qu’il s’étouffe. Soudain, Kon sortit du tiroir en colère.

Kon : Hé ! On ne peut pas dormir tranquille !?

Neliel arrêta de secouer le rouquin et se retourna. La peluche se calma et son côté obsédé prend le dessus en voyant cette magnifique créature devant lui !

Kon : Oooh. Qui est donc cette superbe fille ? C’est la fille parfaite pour tout homme qui se respecte !

Il regarde la poitrine de Neliel. Avec Orihime et Matsumoto, c’est la 3e fois qu’il voit une fille avec d’aussi gros seins !

Kon : Et ces nibards ! Ils sont d’une beauté ! Elle doit faire du 98 C en tour de poitrine, facile ! C’est la déesse des gros lolos !  J’en bande !

C’est idiot qu’il dit qu’il bande vu qu’en peluche, il n’a pas la queue de devant !

Kon : En plus avec ses vêtement déchirés, elle est super sexy !!

Neliel s’approcha de l’âme artificielle pendant que le rouquin reprend sa respiration. Elle a l’air fasciné par ce petit être. Kon, lui, a l’air d’être dans un rêve. Ils sont face-à-face.

Neliel : Oooooh…

Kon : Elle est si près de moi ! Quelle beauté !

Soudain, Neliel crie d’hystérie.

Neliel : KYAAAAAAAAAA ! T’es trop mignon, toi !

Elle prit Kon et le frotta sur sa joue droite.

Neliel : Tu es vraiment le plus mignon ! KYAAA !

Kon : Oh que oui, je suis le plus mignon, bébé !

Neliel : En plus tu es vivant et tu parle ! Encore plus mignon ! KYAAAA !

Puis elle se mit à faire une sorte de toupie avec la peluche dans les mains en tendant les bras. Ichigo, ayant repris ses esprits, regarde ce spectacle avec étonnement : il se demande bien qu’est-ce que Neliel trouvait de mignon en Kon, cette peluche obsédée.

Ichigo : Euh, Nell…

Mais elle n’entendait rien. Elle est plus occupée à « danser » avec Kon. Ce dernier pense que son plus grand fantasme va se réaliser.

Kon : Ooooh, c’est comme dans mon rêve avec Inoue. Elle tourne avec moi dans ses mains. J’espère qu’elle va me prendre dans sa vallée des dieux ! Ce sera le top !

Neliel : T’es tellement mignon que je veux te câliner !

Elle le prit dans ses bras et serra fort et… Miracle ! Kon se retrouve entre les seins de Neliel ! Dans sa vallée des dieux ! Enfin son fantasme s’accomplit ! Aaaaléluia ! Il se frotta sur ses seins.

Kon : Putain ! Enfin ! J’explore une vallée des dieux ! C’est si doux ! Si confortable ! Je pourrai y rester toute ma vie ! C’est trop le pied !

Cela l’excitait tellement qu’un torrent de sang sort de son nez ! Il est bien enfoncé dans les seins de Neliel tellement qu’elle le sert fort. Le rouquin avait l’impression qu’il n’existe plus : il y a à peine une minute elle le serra dans ses bras, et dès qu’elle vit Kon, c’est comme si il l’avait remplacé. Il trouve que cet obsédé se servait de son amie pour parvenir à ses fins, donc il décida d’y mettre fin.

Ichigo : Nell, arrête.

La tercera s’arrête et se tourna vers lui, en ayant toujours Kon dans les bras.

Neliel : Oui, Ichigo ?

Ichigo : Tu pourrais peut-être arrêter de le serrer.

Elle enleva ses bras pour ne plus serrer Kon, mais celui-ci, tellement qu’elle l’a serré, il resta coincé entre les seins de la belle ! El le prit pour le décoincer. Kon avait plein de sang qui coule du nez et il ne bouge plus.

Neliel : Ichigo, je crois qu’il s’est évanoui.

Ichigo : Tu peux le laisser.

Elle lâche la peluche qui tombe à ses pieds.

Ichigo : Dis-moi, Nell.

Neliel : Oui, Ichigo ?

Ichigo : Pourquoi-

Kon : Wahou !

Ichigo et Neliel baissent la tête et voient Kon, toujours aux pieds de l‘ex-espada, content. Il pouvait voir ce qu’il y a entre les jambes de la belle ! C’est comme le jour où il a vu la culotte de sa maîtresse Rukia, mais là, pas de culotte ! Normal, vu que, sans ses vêtements déchirés, Neliel est toute nue ! C’est la première fois qu’il voit le sexe d’une femme ! Il saigne du nez et leva le pouce.

Kon : Su-Super Nice Angle !

Tout de suite, le rouquin attrape violemment le pervers avec sa main droite puis le regarde d’un air méchant.

Kon : C’est la plus belle journée de toute ma vie !

Ichigo : Sale pervers !

Il enferma encore la peluche dans le tiroir pour le punir, puis il se tourne vers son amie.

Ichigo : Nell, ça va ?

Neliel : Mais bien sûr, Ichigo. Pourquoi ?

Ichigo : Mais, tu n’es pas bouleversée que cet idiot aie « violée » ton intimité ?

Neliel : Mais pas du tout. Ce n’était qu’un accident. Tu ne voulais pas me demander quelque chose, Ichigo ?

Ichigo : Oui. Pourquoi es-tu redevenue sous ta vraie forme ?

Neliel : Hmmm… Je ne suis pas sûre, mais je pense que c’est à cause de mon rêve.

Ichigo : Ton rêve ?

Neliel : Oui, j’ai rêvée que tu mourrais. Donc peut-être que cela a eu une influence.

Ichigo : Oui, je vois. Bon, attends-moi-là.

Neliel : Tu vas me chercher du chocolat ?

Ichigo : Qu-quoi !?

Le rouquin est surpris car Neliel, qui est une adulte sérieuse, lui réclame du chocolat comme si elle était une gamine !

Neliel : J’ai tellement adoré le chocolat que tu m’as donné avant-hier que… je sens que j’en suis devenue accro !

Ichigo : Non, désolé. Je vais aller me doucher.

Neliel : Dis, je peux aller me doucher avec toi ?

Le rouquin rougit. Si elle va avec lui dans la baignoire, cela veut dire qu’il va la voir toute nue ! Déjà qu’il a vue Yoruichi nue, il préfère ne plus y repenser. Mais Neliel est gentille, il a peur de sa réaction si il refuse.

Ichigo : Désolé mais non !

Neliel : Mais… Mais pourquoi ?

Ichigo : C’est que… Je vais te voir toute… toute…

Neliel : Toute quoi ?

Ichigo : Toute nue.

Neliel : Nue ? Mais cela ne me dérange pas, voyons !

Ichigo : Qu-quoi ?

Neliel : Je ne vois pas le problème à ce qu’un garçon et une fille font leur douche ensemble nus !

Ichigo : Je n’oserai jamais te voir nue, Nell ! Je suis trop jeune pour voir ça !

Menteur ! T’as déjà vu Yoruichi à poil et t’en a même pas profité ! La beauté se colla à notre héros, qui sentit les seins de son amie sur son torse !

Neliel : Allez, s’te plaît ! Je suis sûre que t’en a envie, en fait !

Ichigo : Euh…

Et là, Ichigo  mit sa main sur son front et semble avoir très mal.

Ichigo : Aaaah…

Il recule de quelque pas. Neliel est surprise : Il semble lutter contre quelqu’un en lui.

Ichigo : Non ! N’intervient pas ! Aaah !

Il s’écroula par terre, Neliel accoure vers lui.

Neliel : Ichigo !

Elle le prit un peu dans ses bras, il respire fort.

Neliel : Ichigo, ça va ?

Quelque chose de bizarre apparut sur le visage d’Ichigo : une sorte de masque commence à recouvrir son visage. L’ex tercera est surprise et inquiète.

Neliel : I-Ichigo ?

Soudain, Ichigo se releva brusquement, la belle recula un peu. Il a les bras qui pendent et la tête baissée. Il a une voix bizarre, comme déformée.

Ichigo : Hihi ! Je reprends le contrôle !

Il releva la tête et là, Neliel est terrorisée : Ichigo a les yeux noirs et jaunes et semble maléfique !

Ichigo : HAAAAAHAHAHAHAHA ! OUI !

Ce n’est plus Ichigo : c’est son alter ego, Shirosaki, qui a pris le dessus ! Comme Neliel a frotté ses seins sur Ichigo, cela a excité Shirosaki et l’a fait ressurgir.

Neliel : Ichigo, est-ce toi ?

Shirosaki la remarqua et il est excité de la voir.

Shirosaki : Ooooh, C’est donc cette femelle qui te proposait d’aller avec toi au bain, maître ? Et ben t’est vraiment coincé ! T’as une fille hyper bonne chez toi, bien roulé et t’en profite même pas pour la peloter ! J’te plains !

Neliel : Où-ou est Ichigo ?

Shirosaki : Ichigo, hein ? Ichigo n’est plus !

En entendant cette phrase, la belle commença à pleurer.

Neliel : Non…

Elle se mit à genoux, mit ses mains sur son visage, et pleure.

Neliel : Non. Ichigo n’est pas mort !

Shirosaki : Mais non, chérie ! Je plaisante ! Il n’est pas mort, ton Ichigo ! Il fait juste un gros dodo ! Je voulais te faire pleurer. J’adooore voir les meufs chialer !

Neliel sèche ses larmes et se releva. Cet être si vulgaire n’est pas Ichigo. Et puis, ce reiatsu si maléfique n’est pas du tout celui d’Ichigo. Elle le regarda avec mépris.

Neliel : Libère Ichigo !

Shirosaki : Ouuuh, que j’ai peur ! Tu vas me faire quoi ? Me foutre une baffe ?

Neliel : Libère-le, sinon…

Elle prit rapidement son sabre qui est dans son fourreau qui est sur le lit, le sortit du fourreau et le pointa à la gorge du méchant. Cela ne semble pas l’impressionner.

Shirosaki : Sinon quoi ?

Neliel : Sinon je te tue !

Shirosaki : … HAHAHAHAHAHAHAHA ! HAHAHAHAHA ! C’est trop drôle !

Neliel : Qu’est-ce qui te fais rire ?

Shirosaki : Haha… Tu oublies un détail, chérie. Si tu me tues, tu tues Ichigo !

Elle fit un petit cri de surprise. Elle oublié ce détail : vu que ce corps appartient à Ichigo, si elle tue cette être immonde qu’est Shirosaki, elle tue aussi son chérie ! Elle commence à trembler.

Shirosaki : Tu comprends, maintenant ? Lâche ce sabre, femelle.

Elle obéit et posa le sabre par terre.

Neliel : Que veux-tu ?

Shirosaki : Ce que je veux ? Te sauter, bien sûr !

Elle mit un temps à comprendre le sens de « sauter ».

Neliel : Pas question !

Shirosaki : Réfléchis un peu : en ce moment, je prends le contrôle du corps d’Ichigo. Si cela dure trop longtemps, ce corps m’appartiendra et l’âme d’Ichigo mourra ! Tu ne veux pas qu’il meurt n’est-ce pas ?

Neliel : Non.

Shirosaki : Alors tu fais ce que je te dis !

Neliel : Si je le fais, tu laisse Ichigo ?

Shirosaki : Bien sûr, beauté ! Cours toujours !

En fait, Shirosaki lui ment : il n’a pas du tout l’intention de laisser Ichigo reprendre le dessus. Neliel, sans répondre, s’assoit sur le lit. Elle le fait pour Ichigo. Shirosaki fit de même. Il regarde la poitrine de Neliel. Il bave.

Shirosaki : Dis-moi, c’est quoi ton tour de poitrine, chérie ?

Neliel : C-c’est…

Shirosaki : Et puis merde on s’en fout ! Tant qu’ils sont gros !

Il souleva le haut de Neliel sans demander son avis et regarde ses seins nus sans gêne ! Il bave énormément, la langue bleue qui sort, et s’excite comme un taré ! ! La tercera est  très gênée, mais elle se laisse faire pour Ichigo.

Shirosaki : Whooo putain ! Ça, c’est de la loche ! Ils sont super gros ! C’est ce que je préfère !

Soudain, la main gauche de Shirosaki attrape le masque. Il tomba par terre, et bouge dans tout les sens. Neliel est soulagée que ce soit déjà fini, et regarde cet horrible spectacle. La main gauche essaye d’arracher le masque.

Shirosaki : Noooon ! Réfléchis, ducon ! Tu aurais pu être dépucelé, comme ça ! S’il te plaît, laisse-moi encore la mater ! J’veux la peloter ! Non ! AAAAAAAARGH !

Il arracha violement le masque, et reprit son souffle. Neliel est inquiète : est-ce Ichigo, ou Shirosaki ?

Neliel : Ichigo ?

Il sauta sur Neliel et la prit par les épaules.

Neliel : Kyaaaaa !

Ichigo : Nell, ça va ?

Neliel releva les yeux et vit que les yeux d’Ichigo sont redevenus normal. C’est bien le Ichigo qu’elle connaît. Elle est rassurée.

Neliel : Oui, ça va, Ichigo.

Ichigo : Je suis sincèrement désolé. Ce n’était pas moi qui allais te…

Neliel posa sa main sur la joue du rouquin.

Neliel : Je sais très bien que ce n’était pas toi, Ichigo. Tu ne m’aurais jamais fait ça, et jamais parler comme ça.

Ichigo : Merci, Nell. Bon, je vais aller me doucher et te laisser reprendre tes émotions.

Neliel : Si tu veux.

Le shinigami remplaçant sortit de la chambre et laisse l’ex tercera. Mais que va-t-elle faire en l’attendant ? Elle regarde le tiroir où est enfermé Kon.

Neliel : Hmmmmm…

El se dirige vers la table de nuit puis ouvre le tiroir. La peluche est contente.

Kon : Ma déesse me sauve de ce calvaire !

Neliel : Mon mignon à moi !

Plus tard, Ichigo revient de la salle de bain, et là qu’est-ce qu’il voit ? Neliel entrain de serrer Kon dans ses bras et donc il se retrouve encore dans sa vallée des dieux ! Mais lorsqu’elle vit Ichigo, elle s’arrête. Et devinez ce qui se passe.

Neliel : ICHIGOOOOO !

Elle lâcha la peluche et se jette sur son chéri, ce qui le fait tomber. Ils se retrouvent l’un sur l’autre : Ichigo allongé sur le sol sur le dos, et Neliel légèrement levé au dessus de lui. Précisons que lorsqu’Ichigo est arrivé dans sa chambre, il était torse-nu avec une serviette.

Neliel : Tu es vraiment musclé, Ichigo.

Ichigo : M-merci.

Le rouquin regarde le magnifique visage de Neliel. Mais il rougit un peu car il remarqua que sa tête est proche de la poitrine de la belle. Mais à ce moment là, Karin entre. Elle est surprise.

Karin : Ichigo ?

Ichigo : Karin ?

Neliel se releva sans vraiment comprendre la situation et salua la petite fille.

Neliel : Bonjour, Karin !

Karin : Ichigo. Qui est cette femme ? Et comment elle connaît mon prénom ? Et pourquoi tu es nu ?

Et oui ! Lorsque Neliel a sauté sur Ichigo, il a perdu sa serviette. Décidément, c’est une habitude chez lui de se montrer nu devant sa sœur.

Karin : Tu-tu te prostitue ?

Ichigo : Mais où vas-tu chercher des idées pareilles ? Tu ne la reconnais pas ? C’est Nell !

La petite ne peut croire ce que vient de lui dire son frère.

Karin : Mais c’est impossible ! Nell est une toute petite fille ! Elle ne peut pas devenir adulte du jour au lendemain !

Neliel : Et ben si !

L’ex tercera s’approcha de Karin, qui n’en croyait pas ses yeux.

Neliel : Mon vrai nom est Neliel, Neliel Tu Oderswank.

Karin : En-enchantée, Neliel. Tu es très jolie, comme ça.

Neliel : /fait un sourire à Karin/ Merci beaucoup.

Ichigo, lui, as vite fait enfilé ses vêtement. Karin avait dans les mains un téléphone.

Ichigo : Pourquoi es-tu venue, Karin ?

Karin : C’est Orihime. Elle a l’air paniquée.

La sœur donne le téléphone à son frère, qui colle l’appareil à son oreille.

Ichigo : Allo, Inoue ?

Inoue : /paniquée/ Ku-Kurosaki-kun ? C’est bien toi ?

Ichigo : Inoue ! Ça va ?

Inoue : Oui, pour l’instant.

Ichigo : Qu’est-ce qui se passe ?

Inoue : Il y a quelqu’un chez moi qui veux te parler, Kurosaki-kun.

Ichigo : Qui-est ce ?

Inoue : C’est Gr…Gri…

Ichigo : Parle plus clairement, Inoue, je ne compr-

Au téléphone, on entend que quelqu’un attrape Inoue. On entend aussi une voix d’homme.

Inoue : Aaaah ! Lâche-moi !

?: Petite conne ! Tu devais me le passer tout de suite.

Ichigo : Cette voix…

Neliel : Qui c’est, Ichigo ?

Cet homme prit le téléphone.

?: Euh, comment on utilise ce machin ?

Inoue : Tu le mets près de ton oreille et tu parles.

?: Merci. Salut, Kurosaki !

Ichigo : Gr-Grimmjow !? Qu’est-ce que…

Grimmjow : Hé oui, je suis toujours vivant ! Alors, je t’ai manqué ?

Ichigo : Laisse Inoue tranquille.

Grimmjow : Ne t’inquiètes pas. Elle va bien. Elle a été très obéissante car elle m’a soigné. Je suis au meilleur de ma forme !

Ichigo : Qu’est-ce que tu veux ?

Grimmjow : Tu sais très bien ce que je veux ! J’veux me battre contre toi !

Ichigo : T’es encore avec ça !

Grimmjow : Alors ramène ton cul ici dans 15 minutes, sinon je violerai ta copine ! Hahahahahahahahaha ! A plus, Kurosaki !

Le sexta raccroche. Ichigo reste un moment neutre. Neliel posa sa main sur son épaule, inquiète.

Neliel : Ichigo, que se passe t-il ?

Ichigo : C’est Grimmjow. Il Il a Inoue en otage.

Neliel : Grimmjow ? Il a donc Pesche et Dondochakka !

Ichigo : Il n’y a pas une minute à perdre ! Viens là, toi !

Il prit Kon et, sans lui demander son avis, il fait sortir la pilule contenant son âme. Il l’avale et sort de son corps avec son kimono noir et Zangetsu sur le dos. Il ouvre la fenêtre de sa chambre. La petite sœur l’attrapa par la jambe.

Karin : Ichigo, où vas-tu ?

Ichigo : Inoue a des ennuis. Je dois te laisser.

Karin : Mais… Et s’il t’arrive quelque chose ?

Neliel pose sa main sur l’épaule de la petite.

Neliel : Ne t’inquiètes pas, tout va bien se passer.

Karin : M-merci.

Ichigo : Allons-y, Nell.

Neliel: /hoche de la tête/ Oui.

Les 2 sortent par la fenêtre et sautent de toit en toit pour se rendre chez Inoue. Kon vient de se rendre compte de ce qui se passe et se rua vers la fenêtre pour les regarder partir.

Kon : Ma déesse ! Ne me laisse pas ! Et merde ! J’voulais tant la peloter !

Il se retourne et voit Karin, tétanisée de voir le corps de son frère bouger tout seul et parler avec une autre voix.

Kon : Kess t’a, toi ?

Karin : … Aaaaaaaaaaaaaaah ! Un fantôme a possédé le corps de mon frère !

Le troisième chapitre sera le retour de Grimmjow. J'espère que ce chapitre vous a plus et fait rire, vu toutes les situations perverses contenues dans ce chapitre! A plus!

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Je dois bien avouer que les situations embarassantes me font sourire !

 

 

Sinon c'est très bien écrit, avec de la vraisemblance ce qui permet de bien se représenter la scène.

 

J'ai particulièrement aimé l'apparition de Shirosaki, qui apparament pour toi représente tous les côtés bestiales de Ichigo.

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  • 2 weeks later...

Voici le chapitre 3:

 

Chap 3 : Le retour de Grimmjow.

Ichigo et Neliel sautent de toit en toit pour aller plus vite chez Inoue

Ichigo : Dis-moi, Nell.

Neliel : Oui, Ichigo ?

Ichigo : Tu le connaissais déjà, Grimmjow ?

Neliel : Oui, bien sûr. A l’époque, il était l’arrancar N°12.

Ichigo : Et tu t’entendais bien avec lui.

Neliel : Pas du tout ! Il est comme Nnoitra, une bête sauvage qui ne pense qu’à se battre. D’ailleurs, qu’est-il devenu, Nnoitra ?

Ichigo : Il est mort. Il a été battu par un des capitaines de la Soul Society.

Neliel : Au moins, il a eu ce qu’il voulait : mourir au combat.

Ichigo : Ah, on est arrivés.

Effectivement, ils arrivent à destination. La porte est ouverte. Ichigo l’ouvre doucement. A première vue, il n’y a personne mais sur le sol, il y a des flèches.

Neliel : Ces flèches doivent mener à Grimmjow. Suivons-les.

Les 2 amis avancent prudemment. Dans le couloir, ils entendent un bruit bizarre, comme des ronflements. Neliel reconnut ces ronflements.

Neliel : C’est Dondochakka. Ils sont vivants ! Ca me rassure. Ichigo.

Ichigo : Oui ?

Neliel : Je peux aller les voir ?

Ichigo : Oui, mais ne traîne pas.

Le rouquin continua son chemin. Neliel entre dans la pièce, et vit ses 2 fraccions, affalés sr un lit. Elle s’approcha doucement d’eux pour ne pas les réveiller.

Neliel : /tout bas/ Pesche, Dondochakka.

Les deux ouvrent les yeux.

Pesche : Hmmm… Qui c’est ?

Quand ils sont complètement réveillés, ils sont surpris : ils voient Neliel à leurs côtés !

Les 2 : Dame Nell !

La beauté les prit dans ses bras, heureuse, les larmes aux yeux.

Neliel : Je suis tellement contente que vous allez bien !

Pesche : Et nous que vous êtes redevenue normale, Dame Nell.

Dondochakka : Oh oui pour sûr !

Mais les 2 ne peuvent s’empêcher de se frotter contre la poitrine deleur maîtresse !

Pesche : Votre poitrine est toujours aussi confortable, Dame Nell !

Dondochakka : Et douce, pour sûr !

Neliel : Ooooh, petits coquins !

Neliel se releva pour aller rejoindre Ichigo.

Neliel : Vous deux, restez ici.

Pesche : Pourquoi ?

Neliel : Grimmjow est ici. Je vais aller aider Ichigo.

Pesche : Bien, Dame Nell.

Retrouvons notre rouquin préféré dans une chambre face à Grimmjow. Inoue est attachée et a la bouche bandée aux côtés du sexta.

Inoue : Hmhmmhmhm-hm !

Elle a dit sa phrase fétiche « Kurosaki-kun ! »

Ichigo : Grimmjow, comment es-tu arrivé ici ?

Grimmjow : Et bien, je vous ai suivi discrètement lorsque vous avez utilisé le Garganta pour rentrer chez vous.

Ichigo : Et comment as-tu retrouvé Inoue ?

Grimmjow : Arrête avec ton interrogatoire de merde ! Battons-nous, Kurosaki !

Ichigo : Je t’ai déjà battu. Cela ne te suffi pas ?

Grimmjow : Non ! Tu m’as battu juste parce que ta copine t’as dit de ne pas mourir !

Ichigo : N’importe quoi !

Vous n’avez pas remarqué que, lorsqu’Inoue a crié à Ichigo de ne pas mourir, il a réussi à battre Grimmjow ?

Ichigo : Sortons, Grimmjow, si c’est ce que tu veux.

Le sexta fait un sourire. A ce moment là, Neliel entre dans la pièce.

Nelile : Ichigo, ça va ?

Grimmjow la regarde les yeux écarquillés. Il n’en croit pas ses yeux. Neliel se tourne vers lui.

Grimmjow : Ne-Neliel !?

Neliel : Grimmjow.

Grimmjow : T’es pas crevé ? Ce n’est pas possible !

Neliel : Pourquoi es-tu étonné, Grimmjow ?

Grimmjow : Ben, ce con de Nnoitra t’avais tué !

Neliel : Et bien non. Toi aussi, tu n’es pas mort.

Grimmjow : Tss ! Et qu’est-ce que tu crois ? Je suis un roi et les rois ne meurent pas !

Neliel : Mais bien sûr.

Grimmjow : Kess t’as dit !?

Le sexta est énervé, alors que l’ex tercera est calme. Il se tourne vers le rouquin et fonce sur lui. Ichigo sort Zangetsu, mais Neliel s’interpose en arrêtant le coup de sabre de Grimmjow avec le sien.

Ichigo : Nell.

Neliel : Laisse Ichigo tranquille, Grimmjow.

Grimmjow : De quoi tu te mêles, la vache à lait ! Laisse-moi me battre contre cette enflure !

Neliel : La guerre est finie. Tu ne penses qu’à te battre. Tu es comme Nnoitra, une bête sauvage.

Le bleu fait un petit saut en arrière.

Grimmjow : Ne me traite pas de bête sauvage, salope !

Neliel : Tu es vraiment d’un vulgaire.

Grimmjow : Grrr ! Tu m’énerves, Neliel !

Le sexta fonce sur la belle, et lorsque celui-ci allait le toucher, elle fait un sonido pour se retrouver derrière lui. Elle attrape les 2 bras de son adversaire, met son pied droit sur son dos et tire. Grimmjow hurle de douleur !

Grimmjow : A-arrête !

Neliel : Je n’arrêterai pas si tu ne te calmes pas.

Grimmjow : Tu crois que je vais t’obéir ?

Neliel : Sinon, je t’arrache les bras. A toi de décider.

Neliel tire de plus en plus fort, Grimmjow souffre plus. Ichigo en profite pour libérer Inoue.

Ichigo : Inoue, ça va ?

Inoue : Oui, Kurosaki-kun.

Les 2 rouquins se retournent et sont surpris : Neliel entrain de contrôler l’excité bleu. Il souffre terriblement et Neliel a l’air de vraiment vouloir lui arracher les bras. Ils ne reconnaissent plus leur amie : elle, pourtant si gentille, a l’air d’être devenue méchante ! Inoue est terrorisée par cette scène. Imaginez si elle arrache les bras du sexta : Du gang gicle de partout, Grimmjow entrain de crier comme un taré et Neliel qui lèche le sang du sexta sur ses doigts en faisant un sourire et un rire démoniaque !

Ichigo : Nell, arrête !

L’ex tercera retrouve ses esprits et regarde Ichigo. Elle tire moins fort.

Neliel : Oui, Ichigo ?

Ichigo : Lâche-le.

Neliel : Mais si je le fais, il va t’attaquer.

Ichigo : S’il te plaît Nell, lâche-le.

Avec un petit temps de réaction, elle lâche Grimmjow. Celui- ci tombe sur les genoux et se reprends.

Grimmjow : Sale garce…

Neliel le regarde de haut et retourne vers Ichigo, un peu choqué par ce que vient de faire son amie.

Ichigo : Nell, tu prenais du plaisir à lui faire mal ?

Neliel : Mais Ichigo, je n’avais pas l’intention de lui arracher les bras, voyons !

Ichigo : Ouf, ça me rassure.

Neliel : Mais si il t’avait blessé, je l’aurais peut-être fait. Je l’aurais fait pour te protéger, Ichigo.

Grimmjow a souffert pour rien. Cela le vexe.

Grimmjow : Tu t’es donc foutu de ma gueule ! J’en ai chié pour rien ! Pétasse !

Il se leva brusquement, en colère. Ichigo se prépare avec son sabre au cas où le sexta attaquerait. Neliel est calme, le dos tourné au bleu. Elle tourne lentement la tête vers lui, et le regarde avec un air neutre.

Neliel : Calme-toi, Grimmjow Jaggerjack.

Grimmy se sent mal dû  à une force inconnue. Neliel lui met une dose de reiatsu pour le calmer, comme faisait Aizen, mais en beaucoup moins puissant. Ce qui peut vouloir dire que Neliel est plus forte que Grimmjow. Il transpire un peu. Neliel stoppa.

Neliel : Tu as compris, Grimmjow ? Si tu tentes encore une fois de faire du mal à Ichigo, je te jure que je te tuerai.

Grimmjow : …Tsss !

Le rouquin se demande bien ce qu’à pu faire son amie pour mettre son rival dans cet état.

Ichigo : Nell, que lui as-tu fais ?

Neliel : Ce que je lui ai fait n’a aucune importance. /Elle prend la main d’Ichigo/ Ce qui compte, c’est que tu sois en sécurité, Ichigo.

Ichigo : Merci, Nell.

Neliel : Passons à autre choses. Tu ne connais pas quelqu’un qui s’y connais un peu en sciences ?

Ichigo : Pourquoi ?

Neliel : C’est à cause de mon masque brisé que je me transforme en petite fille. Donc peut-être qu’il trouvera une solution.

Ichigo : Je connais effectivement une personne. C’est grâce à lui que j’ai pu réellement devenir un shinigami.

Neliel : Bien, Allons-y. Et toi aussi, Grimmjow.

Grimmjow : Tu rigoles ? J’en ai rien à cirer de tes petits problèmes de merde !

Neliel, agacée par le comportement du sexta, l’attrape par le col et le tire.

Neliel : Oh que si tu viens !

Toute la petite troupe chez cette personne. Mais c’est qui ?

Tout le monde, y compris les 2 fraccions de Neliel et Grimmjow sont devant le magasin d’Urahara. Kisuke Urahara est un peu un scientifique. Il a été, il y a 100 ans, capitaine de la 12e division et c’est lui qui a crée l’institut de recherches scientifiques de la Soul Society. Il est donc un grand connaisseur. Il résoudra peut-être le problème de Neliel. Cette dernière est un peu surprise par le lieu.

Neliel : Tu es sûr que c’est ici qu’habite Mr Urahara, Ichigo ?

Pesche : Tu as vraiment un mauvais sens de l’orientation, Ichigo.

Dondochakka : Oh oui, pour sûr !

Grimmjow : Les deux benêts ont raison ! Ce n’est qu’un magasin de merde !

Ichigo : La ferme ! Je sais où je vais, tout de même !

Neliel : Oh, il y a des enfants qui font le balai devant le magasin. Je vais aller leur demander.

Pesche : Faites attention, Dame Nell ! Ils pourraient vous mordre !

Neliel : Mais non, voyons ! Ce ne sont que des enfants !

Effectivement, Ginta et Ururu font le balai devant le magasin. Le garçon aux cheveux rouges râle alors que la fille le fait tranquillement avec son air mélancolique.

Ginta : On n’est pas des esclaves, tout de même !

Ururu : Calme-toi, Ginta.

Ginta : Rhaaa ! Et toi, tu m’énerves avec ton regard triste !

Il tape la fillette avec le balai. Neliel s’approche d’eux, puis se baisse à leur hauteur.

Neliel : Bonjour. Est-ce ici qu’habite Mr Urahara ?

Ururu : Euh, oui.

La porte du magasin s’ouvre, et qui est-ce ? Kisuke Urahara avec son éventail et son bob.

Urahara : Et bien, les enfants, vous ne balayez pas ?

Ginta : Cette fille veut vous parler, patron.

Il lève la tête et voit la belle Neliel.

Urahara : Bonjour, chère cliente !

L’ancien capitaine regarde Neliel de pieds à la tête. Mais il est surpris en voyant le masque de hollow sur la tête de Neliel. Il sent le danger.

Urahara : Rentrez à l’intérieur, les enfants !

Il sort son zampakuto de sa canne et donne un coup de sabre par le haut. Neliel réussit à arrêter le sabre de Kisuke avec ses 2 mains.

Neliel : Mais Mr Urahara, qu’est-ce qui vous prends ?

Urahara : Ha ha ! Tu as failli m’avoir avec ton visage d’ange, sale arrancar !

Ichigo arrive en courant suivi d’Inoue, Pesche, Dondochakka et Grimmjow qui, lui, se faisait bien chier. Kisuke est un peu étonné de le voir.

Urahara : Kurosaki, Que fais-tu là ?

Ichigo : Laisse-la tranquille, c’est une amie.

Le vendeur rabaisse son sabre et le range dans sa canne. Les 2 fraccions de Neliel accourent vers elle.

Pesche : Dame Nell ! Vous allez bien ?

Neliel : Oui, ne t’inquiètes pas.

Urahara : Je vous prie de m’excuser, très chère. Je ne savais pas que vous étiez uneamie à Kurosaki.

Neliel : Ce n’est rien. L’erreur est humaine.

Grimmjow : Bon ben, moi j’me casse !

Le sexta se retourne et commence à s’en aller les mains dans les poches.

Neliel : Grimmjow, reviens ici.

Grimmjow : T’es pas ma mère ! De toute façon, nous les arrancars, on n’en a pas !

Urahara : Je m’en occupe. Tessai.

Sans prévnir, un grand homme avec une grosse moustache apparaît devant le bleu qui ne semble pas surpris.

Grimmjow : Kess t’as, toi ? Tu veux crever ?

Urahara : Tessai. Chope-le.

Tessai : Oui.

Le moustachu chope le sexta en collant les bras sur le corps pour qu’il ne frappe pas. Ce dernier bouge les jambes.

Grimmjow : Hé, mais kess tu fous !? Lâche-moi !

Urahara : Ginta, calme-le.

Ginta : Oui.

Le gosse sort sa grosse batte de base-ball et fonce sur le bleu. Tessai positionne toujours en le tenant Grimmjow face au gamin. Ginta frappe de toutes ses forces le point faible de tout homme. Grimmjow souffre terriblement.

Grimmjow : Oh putain ! Mes couilles !

Les autres ont regardé cette scène.

Urahara : J’vous l’avais dit que je le calmerai.

Pesche : Houlà, ça doit faire mal !

Neliel : Vous les garçons, vous êtes très sensibles aux testicules.

Un peu plus tard, tout le monde se retrouve dans le magasin. Ils sont tous autour d’une table à boire le thé, sauf Grimmy qui est attaché avec une corde confectionnée par Urahara qui est beaucoup plus solide qu’une corde humaine. Pratique pour calmer les excités comme lui. Neliel vient de poser sa tasse.

Neliel : Votre thé est très bon, Mr Urahara. Meilleur que celui que l’on buvait à Las Noches.

Urahara : Merci. Kurosaki m’a dit que vous avez un « problème ».

Neliel : Oui, c’est exact.

Urahara : De quel genre.

Neliel : Et bien, il m’est arrivé 2 fois de me transformer en enfant.

Urahara : Comment ça ? Pouvez-vous être plus précise ?

Neliel : Si vous voulez. A l’époque, j’étais la 3e Espada, et Nnoitra, un autre Espada qui était le 8e à l’époque, me haïssait juste parce que je lui étais supérieure. Il m’a tendu un piège pour me tuer, mais il m’a seulement brisé mon masque et m’a fait cette cicatrice. Et un peu plus tard, je me suis transformée en enfant.

Urahara : Si je comprends bien, c’est depuis que votre masque est brisé que vous vous transformez en enfant ?

Neliel : Exactement. Et lorsque j’ai retrouvé ma véritable apparence, j’ai combattu Nnoitra, qui est devenu le 5e Espada. J’ai dû utiliser ma ressureccion, mais cela a été très fatiguant vu que je venais de retrouver ma vraie apparence. Du coup, cela a provoqué un « retour » à l’enfance.

Urahara : Je comprends. Votre reiatsu doit peut-être s’échapper par la fissure de votre masque et cela provoque votre transformation. Mais j’aimerai bien voir celle-ci. Pouvez-vous-vous transformer en enfant ?

Neliel : Mais je ne peux pas le faire volontairement.

Urahara : Bon, je vais devoir le faire moi-même.

Kisuke approche le bout de sa canne vers le visage de Neliel, surprise.

Neliel : Qu-que faites-vous ?

Urahara : Ne vous inquiétez pas, vous n’allez rien sentir.

Enfin il pose sa canne sur le front de la belle qui, au moment de l’impact, tourne un peu de l’œil. A ce moment-là, il y eu une petite explosion de fumée.

Pesche : Dame Nell !

La fumée se dissipe et là on voit sur le sol la petite Nell assise.

Nell : Bah où se trouve Nell ?

Kisuke, éventail sur la bouche, est fasciné par le phénomène qui vient de se produire.

Urahara : Hmmm, très intéressant.

Ichigo, furieux, attrape Urahara par le col.

Ichigo : Urahara ! Pourquoi tu as fait ça ?

Urahara : Relax, Kurosaki. J’ai juste voulu observer le phénomène.

Ichigo : T’es content, maintenant ? Elle ne pourra plus redevenir normale !

Urahara : Tu t’énerves vraiment pour rien, Kurosaki !

Il repose sa canne sur le front de Nell et, après qu’il y eu l’explosion de fumée, elle retrouve son véritable aspect. Vous avez eu peur, hein ?

Ichigo : Nell, ça va ?

Neliel : Oui, ça va.

Le sexta n’en croit pas ses yeux de ce qu’il vient de voir.

Grimmjow : Mais alors, la petite morveuse de l’autre fois qui chialait, c’était toi !?

Neliel : Oui, Grimmjow. Tu n’avais pas remarqué de ressemblances ?

Grimmjow : … Non.

Neliel : Tu es vraiment désespérant. Mais Mr Urahara, pourquoi avez-vous fat ça ?

Urahara : Pour voir cette transformation de mes propres yeux. Mon hypothèse est donc juste : c’est bien la fissure qui est responsable de ceci.

Neliel : Alors que proposez-vous ?

Urahara : C’est tout simple : il faut la faire disparaître. Orihime.

Inoue : Oui, Mr Urahara ?

Urahara : Pourrais-tu réparer le masque de notre amie ici présente ?

Inoue : Mais bien sûr.

La rouquine se met aux côtés de la verte, met ses mains au dessus de la tête de celle-ci et la magie opère. Petit à petit, la fissure disparaît et les dents manquantes du masque de Neliel reviennent. Seule la cicatrice reste. Enfin, la belle retrouve à peu près la tête qu’elle avait à l’époque.

Neliel : Merci beaucoup, Orihime.

Inoue : Mais de rien.

Urahara : Par contre, Je vous conseille de ne pas vous battre pendant un moment.

Neliel : Ne vous inquiétez pas pour ça. Je n’aime pas me battre.

Pesche : Cela nous fait chaud au cœur de vous revoir ainsi, Dame Nell.

Dondochakka : Oh oui, pour sûr !

Ichigo : Au moins, tu n’auras plus ce problème.

Grimmjow : Bon, maintenant qu’on a fini, on peut se casser ? J’me fais chier, moi, attaché !

Personne ne lui répond.

Grimmjow : Hé ! J’vous cause, les ducons ! Bandas de-

Quelqu’un lui tapote l’épaule. Il essaye de se retourner.

Ichigo : Urahara, ou est Yoruichi ?

Urahara : Derrière nous. Et elle a l’air de bien s’amuser avec votre camarade, d’ailleurs.

Tout le monde se retourne et, effectivement, Yoruichi se défoule sur le sexta qui ne peut se défendre.

Yoruichi : Prends ça, sale Espada !

Urahara : Euh, Yoruichi.

Yoruichi : Quoi ?

Urahara : Désolé d’interrompre ton activité, mais tu ne vois pas que l’on a des invités ?

Yoruichi : Ah oui, tiens.

Elle arrête de frapper le sexta qui est bien amoché, et s’installe auprès des autres, à côté d’Ichigo. Elle est tout de suite intriguée par Neliel.

Yoruichi : Dis-moi, Ichigo. C’est qui, cette arrancar ?

Ichigo : C’est Nell, une amie.

Neliel : Je m’appelle Neliel, enchantée.

Yoruichi : Yoruichi Shihôin, de même.

Yoruichi donne un coup d’épaule à Ichigo, ce qui l’interpelle.

Yoruichi : Dis-moi, Ichigo, Tu collectionnes les filles à forte poitrine, maintenant ?

Ichigo : /rougit/ Non mais ça pas de dire des choses pareilles !

Yoruichi : Je plaisante, mon petit Ichi ! J’adore tes réactions ! Comme l’autre fois où-

Neliel : Voyons, Yoruichi. Ichigo ne t’as rien fait.

Yoruichi : C’est quoi le problème ? T’es amoureuse de lui ?

L’ex-tercera rougit de ce que vient de dire la métisse.

Neliel : M-mais pas du tout ! C’est juste un ami très cher.

Yoruichi : Mouais. En tout cas, t’as vraiment de gros obus ! Ca doit faire plaisir à Ichigo !

Neliel : Qu…Quoi ?

Ichigo : Yoruichi !

Yoruichi : Allez, Ichigo ! Je suis sûre que tu l’as déjà peloté au moins une fois !

Ichigo : Mais pas du tout !

Yoruichi : Même pas accidentellement ?

Le rouquin reste silencieux et rougit car effectivement il a peloté Neliel accidentellement alors qu’elle dormait.

Yoruichi : J’ai raison, pas vrai ?

Neliel : Ichigo, est-ce vrai ?

Ichigo : Heu… Oui, mais je t’assure que c’était un accident, Nell.

Neliel : Ce n’est pas grave, Ichigo. Tu ne l’aurais jamais fait volontairement.

Yoruichi : C’est sûr, il est trop coincé !

Grimmjow : Hé, Kurosaki ! T’es vraiment un gros chanceux !

Ichigo : Toi, la ferme !

Soudain, une lumière éblouissante jaillit de nulle part. Tout le monde se retourne.

? : On vous dérange, peut-être ?

C’est Rukia et Renji qui viennent d’arriver dans la pièce via un Senkaimon (le portail).

Ichigo : Rukia et Renji ? Que faites-vous là ?

Renji : On n’a pas le temps pour les questions, Ichigo. On a reçu des ordres.

Inoue : Bonjour, Kuchiki.

Rukia : Ah, bonjour, Inoue. C’est justement toi que l’on veut voir. Tu dois venir avec nous à la Soul Society.

Inoue : Pourquoi ?

Rukia : Pour aider la 4e division dans les soins. Il y a pas mal de blessés graves.

Inoue : D’accord, je viens.

Renji : On doit aussi ramener 2 personnes au Sereitei. Deux arrancars.

Ichigo : Et qui est-ce ?

Renji : Neliel Tu Oderschwank et Grimmjow Jaggerjack. Vous les connaissez ?

Personne ne répond, pour ne pas dénoncer les 2 concernés, surtout Neliel. Cette dernière se lève.

Neliel : Je suis Neliel.

Rukia : C’est bizarre, tu me rappelles quelqu’un. Cette couleur de cheveux. Cette marque au dessus du nez et cette cicatrice. Tu n’es tout de même pas…

Neliel : Si, je suis bien Nell. Ceci est ma véritable apparence.

La shinigami ne pouvait le croire : c’est impossible qu’une petite gamine soit en réalité une superbe femme.

Rukia : … Ichigo, tu ne me l’avais pas dit !

Ichigo : Désolé, je n’y ai pas pensé.

Kuchiki est surprise lorsqu’elle voit le sexta, qui est toujours attaché.

Rukia : T-toi !? Grimmjow ?

Grimmjow : Salut la petite !

Rukia : Ichigo ! Toi aussi tu l’as ramené !

Ichigo : Mais pas du tout ! Il nous a suivis dans le Garganta.

Renji : C’est donc lui Grimmjow. On doit vous ramener tout les deux au Sereitei.

Ichigo : P-pourquoi ?

Inoue : Pas pou le mettre en prison ?

Renji : On ne nous a pas dit les détails. Juste de les ramener.

Neliel : Bon, si il faut y aller.

Ichigo : Mais enfin, Nell. On ne sait pas pourquoi vous y allez.

Neliel : Ne t’inquiètes pas, Ichigo. Tout ira bien. Tu viens, Grimmjow ?

Grimmjow : Je te signale que je ne peux plus bouger.

Neliel : Oui, et tant mieux. Tu es trop dangereux pour te laisser faire tout ce que tu veux.

L’ex tercera s’approche du sexta, puis le soulève pour le porter sur son épaule. Le bleu ne peux rien fair vu qu’il est saucissonné. Se faire porter par une femme, quelle honte pour lui ! Les 2 espadas et Onoue vienne auprès des 2 shinigamis.

Renji : Bon, allons-y.

Neliel se tourne vers le rouquin et le regarde.

Neliel : Ne t’en fais pas, Ichigo, je reviendrai.

Grimmjow : Moi, aussi, je reviendrai, et on se le fera, notre combat !

Neliel : Tai-toi, Grimmjow.

Grimmjow : J’parle si j’veux !

Inoue : A plus tard, Kurosaki.

Les 5 entrent dans le Senkaimon, qui se referme après leur passage. Ichigo reste perplexe.

Ichigo : Mais pourquoi Nell et Grimmjow doivent aller à la Soul Society ?

Urahara : C’est vrai que c’est bizzare.

Yoruichi : Le pauvre Ichigo ! Il a perdu ses deux chéries !

Ichigo : Arrête avec ça, Yoruichi !

Urahara : Le capitaine-commandant doit avoir une idée derrière la tête.

Ichigo : Tu crois ?

Urahara : Oui, sinon il aurait envoyé des capitaines pour les tuer.

Ichigo : Mais comme l’a dit Rukia, il y a des blessés. Il doit y avoir surtout des capitaines.

Urahara : Hmmmm… Oui, ça peut être cette raison.

Ichigo : Pour Grimmjow je me fiche de ce qui lui peut lui arriver. J’espère qu’il n’arrivera rien à Nell.

A la Soul Society.

Un homme est devant le Capitaine commandant Genryûsai Yamamoto lui apporter une nouvelle.

Homme : Capitaine-commandant, les 2 espadas viennent d’arriver à la Soul Society.

Le vieil homme reste calme et ouvre les yeux.

Yamamoto : … Bien.

A suivre…

Alors que vont devenir Neliel et Grimmjow ? Vous le saurez dans le prochain chapitre. A plus !

 

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  • 2 weeks later...

Voici le chapitre 4. Pour que la lecture soit plus facile, les dialogues et la narration sont séparés d'un espace.

 

Chapitre 4 : Les nouveaux capitaines

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La soul society. Lieu où les âmes des morts se rendent. Elle est divisée de deus parties : le Rukongai, où les âmes vivent, et au centre, le Sereitei. C’est ici que se trouve le Gotei 13. Il est composé de 13 divisions ayant chacune une fonction particulière. Chaque division a un capitaine et un vice-capitaine. Les capitaines se doivent de savoir maîtriser le Bankai. Tous sauf un : Zaraki Kenpachi, le capitaine de la 11e division. Depuis la trahison d’Aizen, Ichimaru et Tôsen, La 3e, 5e et 9e division se retrouvent sans capitaine. Orihime Inoue se trouve actuellement à la 4e division, en compagnie du capitaine Retsu Unohana.

 

Inoue : Bonjour.

Unohana : Tu es Orihime Inoue, n’es-ce pas ? Viens avec moi.

 

La jeune fille suit la capitaine parmi les blessés Elle l’emmène voir 2 blessés. Ce sont Rangiku Matsumoto et Momo Hinamori. La rouquine est horrifiée par la blessure de l’autre rouquine.

 

Inoue : Mon dieu, Rangiku ! Que lui est-il arrivé ?

Unohana : Elle a été gravement blessée par un monstre. Heureusement, le vice-capitaine Kira a pu lui apporter les premiers soins.

Inoue : Et qui est la fille à ses côtés ?

Unohana : C’est la vice-capitaine de la 5e division, Momo Hinamori. Elle était venue sur le champ de combat sans accord. Elle était déjà assez fragile psychologiquement.

Inoue : Comment ça ?

Unohana : Elle a été très bouleversée par la trahison d’Aizen, l’ancien capitaine de la 5e division et notre ennemi. Elle l’admirait beaucoup.

Inoue : Oui, je vois. Je vais m’y mettre tout de suite.

 

La jeune rouquine auprès des 2 vice-capitaines et utilise son pouvoir. Petit à petit, le trou de Matsumoto disparaît. Momo aussi se fait soigner, mais cela ne se voit pas car elle a des côtes brisées et un poumon percé. Enfin, Orihime finit.

 

Unohana : C’est bien. Laissons-les se reposer.

Inoue : Il y a quelqu’un d’autre ?

Unohana : Oui, la capitaine de la 2e division, Soi fon. Elle a perdu un bras. Mais elle a disparue. Je me demande où-

 

Elle est interrompue car on entend des cris de Soi Fon dans le couloir. Omaeda semble être avec elle.

 

Soi Fon : Mais tu vas me lâcher, oui ! Sale gros patapouf !

Omaeda : Mais voyons, capitaine. Il faut retrouver votre bras.

Soi Fon : Je peux très bien me débrouiller avec un seul !

 

La porte s’ouvre. Le gros porte sur son épaule la chinoise qui tambourine son don avec le poing droit.

 

Soi Fon : Tu vas m’obéir, oui, lâche-moi !

 

Il s’arrête à une table devant Inoue et Unohana.

 

Omaeda : D’accord.

 

Le vice-capitaine pose brusquement sa capitane sur la table, ce qui lui fait mal aux fesses. Elle frotte son postérieur, un œil fermé.

 

Soi Fon : Aie …

Unohana : Vous voilà enfin, capitaine Soi Fon. Vous êtes prête ?

Soi Fon : Je vous ai déjà dit que je n’en veux pas, de vos soins ! Surtout venant de cette humaine !

Unohana : /ton sec/ Calmez-vous, capitaine Soi Fon.

 

La concernée se sent mal à l’aise. C’est qu’il ne faut pas chercher la capitaine de la 4e division.

 

Soi Fon : Désolée. C’est juste que j’enrage de n’avoir pas tué mon adversaire. C’est honteux pour un assassin de rater sa cible.

Unohana : Je comprends. Tu peux y aller, Orihime.

Inoue : Ou-oui.

 

La rouquine met ses mais près du bras manquant de la chinoise, et active son pouvoir. Cette dernière est surprise de voir ce qui se passe sous ses yeux : le squelette de son bras gauche apparaît progressivement, puis les muscles et enfin la peau. Elle retrouve son bras comme il était avant. Elle ne peut croire qu’une misérable humaine peut faire ça.

 

Soi Fon : M-merci.

Inoue : De rien.

Omaeda : Hé ben au moins comme ça vous ne me demanderez plus de faire certaines choses à votre place !

Soi Fon donne un coup de poing dans la figure du soi-disant riche, puis descend de la table.

Soi Fon : Allons-y, Omaeda.

 

Elle part donc en compagnie du gros.

 

Unohana : En tout cas, ton pouvoir est très intéressant et utile, Orihime. Tu ferais un très bon élément dans la 4e division.

Inoue : C’est très gentil, merci.

Unohana : Bon, nous avons encore du travail.

 

Retrouvons Rukia à la 13e division en compagnie du capitaine Jûshiro Ukitake. Celui-ci avait été blessé au ventre par Wonderweiss. Mais il semble plutôt bien se porter et n’avoir eu aucune blessure. Il boit une tasse de thé.

 

Rukia : Ca va aller, capitaine ? Votre blessure ne vous fait pas mal ?

Ukitake : Mais oui, Kuchiki. Alors, tu as rempli ta mission ?

Rukia : Oui, capitaine. Puis-je vous poser une question ?

Ukitake : Oui, Kuchiki ?

Rukia : Pourquoi avoir ramenés ces espadas ici, à la Soul Society ? Je trouve cela bizarre.

Ukitake : Je pense que tu dois le savoir, vu que c’est toi qui les a ramenés. Je suis le seul avec Kyôraku qui soit au courant. Ne le répète à personne, d’accord ?

Rukia : Oui, capitaine.

Ukitake : Bien. On les a ramenés ici pour…

 

Au même moment, Neliel et Grimmjow se trouvent devant la grande porte de la 1e division entrain d’attendre. Le sexta est toujours attaché.

 

Neliel : Cette porte est vraiment immense.

Grimmjow : Bon, on va pas poireauter ici pendant des heures !

Neliel : Sois patient, Grimmjow.

Grimmjow : C’que t’es chiante !

 

La grande porte s’ouvre lentement en grinçant.

 

Neliel : Je crois que l’on peut rentrer.

Grimmjow : Ha ben enfin !

 

Les 2 espadas entrent dans la salle où se réunissent les capitaines. Mais là, il n’y a personne. Au fond de la salle se tient Yamamoto avec sa canne. Ils s’avancent vers lui. Devant le vieux, Neliel, par politesse, s’agenouille. Le bleu, lui, reste debout.

 

Yamamoto : Et bien, jeune homme, agenouillez-vous.

Grimmjow : Tsss ! Et pourquoi je t’obéirai, vieux sénile !?

Neliel : Grimmjow ! Sois plus poli !

 

Le capitaine commandant ne répond pas tout de suite.

 

Grimmjow : Et puis t’es qui ?

 

Le vieux ouvre les yeux et regarde sévèrement le sexta.

 

Yamamoto : Je suis le capitaine-commandant de la 1e division. Et ce n’est pas un petit freluquet dans ton genre qui va me désobéir.

 

Le sexta sent que papi Yamamoto lui donne une puissante dose de reiatsu, ce qui le fait mettre à genoux. Aizen lui a déjà fait ça, une fois. Il est en sueur.

 

Neliel : Tu l’as bien cherché, Grimmjow. Incroyable. Il a fait agenouiller Grimmjow rien qu’avec son reiatsu. Cet homme doit être aussi puissant qu’Aien, voire plus !

Yamamoto : Bien. Maintenant qu’il s’est calmé, on va pouvoir commencer. Présentez-vous.

Neliel : Neliel Tu Oderschwank, ex-troisième espada.

 

Grimmjow se sent un peu mal dû à ce que lui a fait Yama-jii, il préfère donc se présenter.

 

Grimmjow : Grimmjow Jaggerjack, sixième espada.

Yamamoto : Hmmmm… Pouvez-vous le prouver ?

 

Il est vraiment méfiant, le vieux ! Il y eu un petit moment de silence. L’ex tercera comprend comment le prouver. Elle se lève, se met dos au vieux, soulève ses longs cheveux verts et le dos de son haut déchiré et montre donc au capitaine-commandant son numéro tatoué sur le dos.

 

Neliel : Est-ce cela que vous voulez voir, monsieur le capitaine-commandant ?

Yamamoto : Oui, c’est bien cela. Vous pouvez arrêter.

 

Elle se remet face à Yamamoto.

 

Yamamoto : A vous.

Grimmjow : Qu’est-ce qu’il veut, le vieux ?

Neliel : Montre-lui ton numéro.

Grimmjow : Comment veux-tu que je le fasse alors que je suis attaché !?

Neliel : Ah oui, c’est vrai.

 

L’ancienne tercerca détache le sexta qui ne la remercie même pas. Il se met de dos au vieux et montre son numéro.

 

Grimmjow : Cela vous suffit-il, môsieur ?

Yamamoto : Oui. Je vais vous expliquer les faits. Aizen est parti en retrait pour une raison inconnue.

Grimmjow : Il s’est dégonflé !

Yamamoto : Depuis la trahison d’Aizen, il manque trois capitaines.

Neliel : Je comprends. Mais pourquoi nous avoir fait venir ici ?

Yamamoto : J’y viens. Voilà la raison de votre venue ici. J’ai décidé de faire de vous des capitaines.

 

Les 2 arrancars sont assez surpris.

 

Grimmjow : Wowowowowo ! Attend un peu, papi ! Qu’est-ce que tu nous chantes-là ?

Neliel : Je ne comprends pas. Nous sommes pourtant des arrancars. Comment vous nous faites confiance ?

Yamamoto : Pour vous, Neliel, vous avez aidé Ichigo Kurosaki à combattre un espada, n’est-ce pas ?

Neliel : Comment le savez-vous ?

Yamamoto : Nous avons envoyés des renforts au Hueco Mundo. Et le capitaine de la 11e division, Zaraki Kenpachi, vous a vu vous battre. IL m’a dit que vous étiez à égalité avec votre adversaire, le 5e Espada.

Neliel : Je comprends.

Grimmjow : Et moi, alors ?

Yamamoto : Vous, euh, vous étiez le seul présent dans le monde réel, c’est tout.

Grimmjow : Okay…

Neliel : Mais il me semble que pour être capitaine, il faut maîtriser le Bankai. Or nous sommes des arrancars, pas des shinigamis. Alors pourquoi ?

Yamamoto : On va dire que la ressureccion des espadas équivaut au Bankai.

Neliel : Ah, d’accord.

Grimmjow : Hé, le vieux, j’ai une question !

Yamamoto : Quoi donc ?

Grimmjow : Etre capitaine, c’est avoir des hommes ?

Yamamoto : Oui.

Grimmjow : Cool !

 

Pour Grimmjow, capitaine = roi ! Vu qu’il se prend pour un roi, il aura des sujets qui feront tout ce qu’il voudra !

 

Yamamoto : Je vais vous annoncer vos fonctions. Neliel, vous serez la capitaine de la 5e division.

Neliel : Bien.

Yamamoto : Et vous, Grimmjow, le capitaine de la 9e division.

Grimmjow : OK.

 

Papi Yamamoto claque des doigts, et le vice-capitaine de la 1ere division apparaît. Il tend aux espadas le kimono de shinigami et leur haori de capitaine respectifs.

 

Yamamoto : Je vous déclare officiellement capitaines du Gotei 13 !

 

Un peu plus tard, Neliel a revêtu son kimono noir et son haori à manches longues avec le kanji 5 sur le dos. Elle ne fait pas de décolleté. Elle au moins, elle ne montre pas sa poitrine comme Matsumoto !

 

Neliel : Cela me va vraiment bien. Grimmjow, tu me montres ?

Grimmjow : J’arrive.

 

Il se montre. Il a bien mis le haori sans manches de la 9e division, mais pas le kimono noir, ce qui ne plaît pas à l’ex tercera.

 

Neliel : Voyons, Grimmjow ! Tu pourrais faire un effort !

Grimmjow : Pas envie ! Chuis plus à l’aise avec c’que j’ai d’jà sur le dos !

Neliel : Tu n’as qu’à teindre tes vêtements en noir, ça te va ?

Grimmjow : Euh, ouais.

 

Encore plus tard. Le bleu a toujours son haori, mais ses vêtements d’arrancar on été teint en noir.

 

Grimmjow : En fait ça me va bien, le noir.

Neliel : Bon, ne perdons pas de temps. Nous devons nous présenter aux autres capitaines.

Grimmjow : La flemme, mais bon s’il le faut.

 

Dans la salle de réunion des capitaines, tous les 10 capitaines restants sont là. Ai-je dit les dix ? En fait 9, car Kenpachi n’est pas venu. Il avait la flemme, il s’en fout qu’il y a des nouveaux venus et il trouve cela ennuyant. Si, à chaque réunion, tous les capitaines se battaient entre eux, il serait venu à coup sûr ! Ukitake et Kyôraku sont côtes à côtes. Ils sont les seuls à savoir de quelle origine sont les nouveaux.

 

Kyôraku : Tu les a vus, les nouveaux ?

Ukitake : Non, pas encore. J’espère juste que le capitaine commandant sait ce qu’il fait.

 

Yamamoto prend la parole aux autres capitaines que se tournent vers lui.

 

Yamamoto : Messieurs. Comme vous le savez, Aizen est parti en retrait. J’en ai donc profité pour renforcer nos rangs en trouver des capitaines. J’en ai trouvé pour la 5e et 9e division. /s’adresse vers la porte/ Vous pouvez entrer.

 

La grande porte s’ouvre lentement. Nos 2 nouveaux capitaines s’avancent, le bleu les mains dans les poches. Tous les autres sont surpris : rien qu’à voir leur masque de hollow, ils ont su que c’était des espadas.

 

Mayuri : Hoho ! Le capitaine-commandant les a ramenés ici sûrement pour mes recherches sur les arrancars !

Kyôraku : La fille est très jolie !

Ukitake : Voyons, Shunsui !

Komamura : Comment le capitaine-commandant a-t-il pu accepter des espadas dans nos rangs ? Mais bon, il a ses raisons. Il m’a bien accepté, moi qui suis différent des autres.

 

Les 2 nouveaux s’arrêtent devant le vieux. Neliel se retourne vers les autres, et le bleu, réagit un peu après elle et fait pareil.

 

Yamamoto : Présentez-vous.

Neliel : Neliel Tu Oderschwank, capitaine de la 5e division.

Grimmjow : Faisons pareil, sinon le vieux sénile va me faire encore comme Aizen ! Grimmjow Jaggerjack, 9e division. Et voilà, le tour est joué !

Yamamoto : Bien, vous pouvez rejoindre les autres.

 

Le bleu et la verte se séparent. Grimmjow va entre Komamura et Byakuya qui a encore les yeux fermés. Il les a juste ouvert pour voir la tête des nouveaux et les a tout de suite refermés. Il préfère les ignorer.

 

Komamura : Hum ! C’est donc lui qui remplace Tôsen. Je sens que je vais le détester vu sa tête.

 

Neliel, elle, se met entre Kyôraku et Kurotsuchi.

 

Neliel : Bonjour.

 

Les deux capitaines ne répondent pas car ils ont les yeux attirés par la poitrine de la nouvelle venue, mais pour des raisons différentes chacun. Kyôraku pour des raisons normales  et le maboul pour des raisons scientifiques.

 

Kyoraku : Oooh, elle a vraiment une énorme poitrine ! Sûrement plus grosse que celle d’Unohana et, forcément, de ma Nanao chérie !

Kurotsuchi : Hummm. Cette femelle arrancar, selon son surdéveloppement mammaire, doit avoir beaucoup de lait !

 

Hitsugaya se pose des questions sur la nouvelle capitaine.

 

Hitsugaya : C’est donc elle qui remplace Aizen. Elle a l’air gentille, mais comme pour Aizen, il ne faut pas se fier aux apparences. J’espère que ça ira pour Hinamori.

Unohana : Mais capitaine-commandant, il n’y a pas de remplaçant pour le poste de capitaine de la 3e division.

Yamamoto : Pas encore, mais ça va venir. Vous pouvez disposer. Sauf vous, capitaine Tu Oderschwank et capitaine Jaggerjack.

 

Tous les autres capitaines sortent de la salle. Les deux concernés se mettent devant papi.

Neliel : Qu’il y a-t-il, capitaine-commandant ?

 

Yamamoto : Vous allez raccompagner Orihime Inoue sur Terre. Ainsi, vous pourrez annoncer la nouvelle à Ichigo Kurosaki.

Grimmjow : Ouais-ouais !

Neliel : Bien.

Yamamoto : Vous pouvez disposer.

 

Ils sortent de la salle et la porte se referme derrière eux. Il n’y a personne. Neliel est contente.

 

Neliel : Je vais enfin retrouver Ichigo !

Grimmjow : Moi, tout ce que je veux, c’est me battre contre lui !

Neliel : Oublie cette idée, Grimmjow. On est des capitaines, maintenant. ON a des responsabilités.

Grimmjow : C’que ça va être chiant !

Neliel : J’espère que l’on sera vite accepté. Bon, allons chercher Orihime. Elle est à la 4e division.

Grimmjow : Et elle est où, c’te fichue division ?

Neliel : On n’a qu’à suivre les flèches.

 

Elle montre au bleu un panneau avec des flèches qui montrent où se trouve chaque division.

 

Grimmjow : Ah ouais pratique.

 

A la 4e division, Orihime en a fini avec les soins. Unohana, arrivant de la réunion, Est à ses côtés.

 

Unohana : Tu as fais du bon travail, Orihime. Cela nous a bien avancé. Merci.

Inoue : Ce n’est rien. Mais est-ce que Grimmjow et Neliel vont bien ?

Unohana : Oui, ne t’inquiètes pas. Ils ont même un rang important, maintenant.

Inoue : Comment ça ?

 

A ce moment là, les 2 concernés rentrent dans la salle. La rouquine, en les voyant, est surprise des les voir vêtu du haori de capitaine.

 

Unohana : Comme on se retrouve, capitaine Tu Oderschwank et capitaine Jaggergack. Vous êtes venus pour Inoue ?

Neliel : Oui, on doit la ramener.

Grimmjow : Un boulot de merde, quoi !

Inoue : Mais… Vous êtes vraiment devenus…capitaine ?

Neliel : Oui, c’est bien, n’est-ce pas ?

Grimmjow : Ca te déranges pauvre cloche !?

Inoue : C’est que… j’ai cru que vous étiez en prison.

Neliel : Tu n’as pas à t’inquiéter. Tu viens, on va retrouver Ichigo.

 

Les 2 capitaines et l’humaine se dirigent vers la sortie. Près d’eux, Hinamori, allongée, ouvre les yeux, elle voit les nouveaux venus. Elle apercoit, lorsque la longue chevelure de Neliel se soulève un peu, le Kanji du 5 sur le haori. Elle est surprise.

 

Unohana : Tu te réveilles enfin, Hinamori.

Hinamori : Capitaine Unohana. Cette femme qui vient de passer… C’est ma nouvelle capitaine ?

Unohana : Oui, C’est Neliel Tu Oderschwank, une ancienne espada. Elle vient d’être nommée capitaine de ta division.

Hinamori : Une ancienne…espada ? Mais alors elle est méchante.

Unohana : Non, je ne pense pas. Elle a beau avoir été une espada, je sens que, par son reiatsu, elle est gentille. Je comprends que tu te méfies depuis ce qui s’est passé. Mais ça ira. Maintenant repose-toi.

Hinamori : Oui, capitaine.

 

Neliel, Grimmjow et Orihime sont en rote vers le senkaimon qui les mènera sur terre.

 

Neliel : Heureusement qu’il y a  des flèches sinon on se serait perdus.

 

La rouquine, depuis que les 2 fraccions de Neliel lui ont raconté les petites cochonneries qu’ils faisaient avec leur maîtresse, Elle se pose des questions sur la masturbation. Après tout, c’est de son âge. Elle profite de l’occasion pour lui demander.

 

Inoue : Euh, Neliel ?

Neliel : Oui, Orihme ?

Inoue : Est-ce que c’est bien de se masturber ?

 

La capitaine ne répond pas, un peu étonnée par la question.

 

Inoue : Désolée pour la question, mais l’autre jour Pesche et Dondochakka mon parlé de ce que tu faisais avec eux. Et ils m’ont dit que tu aimais ça. Alors, si tu pouvais…

Neliel : Décidément, ces deux là ne peuvent tenir leur langue. Ecoute .

 

L’ex tercera s’arrête se met face à Inoue.

 

Neliel : A l’époque où j’étais la tercera, J’avais entendu dire que les humains faisaient ce genres de choses. Alors j’ai voulu essayer, par curiosité. Il est vrai que j’aimais ça, mais je m’en suis lassé.

 

Inoue : Mais est-ce que c’est agréable ?

Neliel : C’est à toi de le découvrir. C’est mieux, non ?

Inoue : D’accord, mais je ne me sens pas prête.

Neliel : Tu n’as qu’à le faire quand tu te sentiras prête. Moi, personnellement, je le faisais pour une autre raison.

Inoue : Laquelle ?

 

Neliel se lève et regarde le soleil qui commence à se coucher.

 

Neliel : Pour oublier mes problèmes, mes souffrances.

Inoue : Tes… souffrances ?

 

Sur ces mots, un vent faisait voler les cheveux de la capitaine. Celle-ci semble avoir de la mélancolie dans son regard. Inoue sentait qu’il ne fallait pas insister sur le sujet, sous peine de rappeler de mauvais souvenirs à la belle. Grimmjow s’incruste entre les 2 filles, ayant un peu entendu leur conversation.

 

Grimmjow : Tu lui parles de tes partouzes avec les 2 idiots, Neliel ?  C’est vrai qu’on t’entendait jouir dans tout Las Noches !

Neliel : Grimmjow ! Mêles-toi de tes affaires !

Grimmjow : Rhooo, c’est bon ! Vous pouvez remuer votre cul, on n’as pas que ça à faire !

Neliel : Oui, c’est vrai, j’ai hâte de retrouver Ichigo.

 

Sur Terre, Ichigo est chez Urahara. Pesche et Dondochakka s’inquiètent pour leur maîtresse.

Pesche : J’espère que Dame Nell va bien.

 

Ichigo : C’est vrai que ça fais un bout de temps qu’ils sont partis.

Urahara : Je vous parie qu’ils vont revenir tout de suite.

Ichigo : Comment peux-tu le savoir ? T‘es pas devin !

 

Soudain, une lumière éblouit nos amis. Ichigo, à peine qu’il tourne la tête, se fait sauter dessus par quelqu’un. Comme vous vous en doutez, c’est Neliel.

 

Neliel : ICHIGOOOOOO !

 

Elle le serre de toutes ses forces. Inoue et Grimmjow assistent à la scène.

 

Inoue : Neliel, arrête ! Kurosaki-kun s’étouffe !

Grimmjow : Mais qu’est-ce qu’elle lui trouve ?

Neliel : Ichigo, tu m’as tellement manqué !

 

Le rouquin, après que la belle le lâche, est étonné par leur apparence.

 

Ichigo : Nell, Grimmjow, pourquoi vous portez ça ?

Neliel : Tu ne devines pas, Ichigo ? On est devenu des capitaines ?

Ichigo : Des…capitaines ?

Neliel : Oui. Je suis bien habillée comme ça ?

Grimmjow : Ca te déranges, tête d’orange ?

 

Le rouquin ne pouvait le croire.

 

Inoue : Tu n’es pas content pour eux, Kurosaki-kun ?

Ichigo : Non, ce n’est pas ça. C’est que je suis surpris.

Pesche : Vous êtes sublime, Dame Nell.

 

La concernée vient de remarquer que ses 2 fraccions sont là aussi. Elle leur fait un câlin.

 

Neliel : Vous êtes là, vous aussi !

Pesche : On est content que vous soyez devenus capitaine, Dame Nell !

Dondochakka : Vous le méritez, pour sûr !

Neliel : C’est gentil. Et toi, Ichigo ?

Ichigo : Oui, je suis content pour toi, Nell. Mais pour Grimmjow…

Grimmjow : Quoi !? C’est quoi le problème !?

Ichigo : Ben, je ne comprends pas pourquoi ils t’ont accepté comme capitaine.

 

L’ancien sexta saute de colère sur notre héros, mais Neliel l’attrape par derrière pour le retenir. Il essaye de foutre des coups au rouquin.

 

Grimmjow : Salaud ! Tu vas voir si je ne mérite pas d’être capitaine ! Viens te battre si tu te crois le meilleur !

Neliel : Calme-toi, Grimmjow ! Ichigo ne t’as rien fait !

 

Il se calme, et se retourne.

 

Grimmjow : Hum ! T’as de la chance qu’elle te protège, Kurosaki !

Neliel se tourne vers ses 2 fraccions en se baisse à leur hauteur.

Neliel : Dites vous deux, ça vous dirais de venir avec moi à la Soul Society ? Vous serez dans ma division.

Dondochakka : Vraiment, pour sûr ?

Neliel : Bien sûr. Après tout, je suis capitaine, maintenant.

Pesche : Ce sera un honneur, Dame Nell.

Neliel : Non. Maintenant c’est capitaine Nell.

Grimmjow : Bon, on y va ? J’ veux régner moi !

Neliel : Oui, d’accord. Au revoir, Ichigo.

 

Les capitaines et les 2 idiots se dirigent vers le portail, mais Neliel s’arrête brusquement.

 

Pesche : Qu’avez-vous, Dame Nell ?

 

Elle ne répond pas, elle sanglote. Elle court vers Ichigo et le prit dans ses bras mais sans le serrer. Le rouquin voit que son amie pleure.

 

Ichigo : Nell, tu pleures ?

Neliel : Ichigo, je ne veux pas te quitter. Je suis contente d’êter capitaine, mais je ne veux pas être loin de toi. Je ne te reverrai plus jamais.

 

Ichigo, pose sa main sur l’épaule de son amie qui lève la tête. Ils se regardent droit dans les yeux.

 

Ichigo : Ne pleures pas Nell. Bien sûr qu’on se reverra.

Neliel : Tu… tu me le promets ?

Ichigo : Oui. Tu seras une très bonne capitaine, Neliel.

 

L’ex tercera est très touchée que, pour la première fois, Ichigo l’a appelé par son vrai prénom. Elle se rejette dans ses bras.

 

Neliel : Merci beaucoup, Ichigo !

 

Le bleu regarde cette scène avec dégoût.

 

Grimmjow : Hé ho ! On n’est pas dans un film romantique !

 

La beauté se lève et se dirige vers lui.

 

Neliel : Tu n’as aucuns sentiments, Grimmjow.

Grimmjow : M’en fous ! Bon, on y va !

 

Finalement, ils s’en vont à la Soul Society. Inoue semble un peu jalouse. Elle regarde le rouquin.

 

Inoue : Kurosaki-kun. Maintenant tu as trois filles dans ta vie : Moi, Kuchiki et maintenant Neliel. Mais qui tu préfères ?

Urahara : Je comprends maintenant pourquoi ils sont allés à la Soul Society. Mais c’est étrange que Yamamoto les a engagés, alors qu’ils sont des arrancars. Il devait être désespéré.

Ichigo : Tiens, t’étais toujours là, toi !

Urahara : Bah oui, et depuis le début. Tu as vraiment toutes les filles à tes pieds, Kurosaki !

Ichigo : Ca va, oui ! Elle était triste de me quitter. J’espère qu’ils s’en sortiront.

 

A suivre…

 

Rendez-vous au prochain chapitre !

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  • 4 weeks later...

Voici le chapitre 5! Bonne lecture!

Chapitre 5

L’après-midi, dans la 5e division, tous les shinigamis de celle-ci se sont retrouvés dans une selle avec une estrade. Sur celle-ci se tient Momo Hinamori, venant de sortir de l’hôpital.

 

Un shinigami : Vice-capitaine, est-ce vrai que notre nouvelle capitaine est une arrancar ?

Hinamori : Oui. D’ailleurs, qu’est-ce qu’elle fait ?

 

Justement, Neliel vient d’arriver dans sa division. Elle est un peu en retard car elle s’est coiffée pour être plus présentable. Elle court pour se presser.

 

Neliel : Zut de zut ! Je suis en retard !

 

Dans la salle, on entend des bruits de pas sur le bois.

 

Hinamori : Cela doit être notre capitaine.

 

La capitaine ouvre brusquement la porte et reste devant, pour reprendre son souffle. Tout le monde la regarde. Durant sa course, son kimono a commencé à s’ouvrir, du coup, cela lui fait un joli décolleté à la Matsumoto ! Tous les hommes sont scotchés dessus, alors que les femmes pensent que c’est une allumeuse. Elle monte sur l’estrade, confuse, la main droite derrière la tête, n’ayant toujours pas remarqué son décolleté.

 

Neliel : Désolée, je suis un peu en retard.

Hinamori : Heu, capitaine.

Neliel : Oui ?

Hinamori : Votre kimono, il est un peu ouvert.

 

Elle regarde et effectivement c’est le cas. Elle le referme tout de suite, ce qui déçoit les hommes.

 

Neliel : Zut. Cela a dû se produire lorsque je courrais. Merci, Heu…

Hinamori : Momo Hinamori, vice-capitaine de la 5e division. En-enchantée.

Neliel : De même. J’espère que l’on va bien s’entendre.

 

La capitaine se tourne vers les autres et se présente.

 

Neliel : Bonjour. Je suis Neliel Tu Oderschwank, votre nouvelle capitaine Vous devez être étonnés par le fait que je suis une arrancar, n’est-ce pas. Mais ne vous inquiétez pas, je ne vous ferai aucun mal. Je suis même très fière d’être devenue votre capitaine. Alors je ferai tout mon possible pour être une bonne capitaine.

 

Il y eu un petit moment de silence, puis tout le monde se lève pour applaudir leur nouvelle capitaine. Neliel rougit un peu.

 

Neliel : Merci beaucoup ! Cela me fait tellement plaisir.

 

La vice-capitaine applaudit un peu timidement. Dans son cœur, elle sent que, comme Neliel est une arrancar, elle va la trahir, comme l’a fait l’ancien capitaine Sôsuke Aizen.

 

A la 9e division, tout le monde attend aussi leur capitaine. Mais ça fait un bon moment qu’on l’attend. Shûhei Hisagi, le vice-capitaine est là aussi.

 

Hisagi : Mais qu’est-ce qu’il fait ? Il a au moins une heure de retard !

 

La porte s’ouvre enfin. Grimmjow est là, à remonter son froc.

 

Hisagi : Et ben enfin ! Vous faisiez qu-

 

Il stoppe sa phrase car en voyant le trou de hollow et le masque du capitaine, il comprit tout de suite que c’est un arrancar. Tout le monde le regarde, très étonnés.

 

Grimmjow : Désolé, je cherchais les chiottes, j’avais une grosse envie. Mais j’en ai pas trouvé. Alors j’ai pissé et chié dehors.

 

Pas gêné, le mec ! Il monte sur l’estrade, à côté d’Hisagi qui s’écarte, vu l’odeur.

 

Grimmjow : Salut, bandes de couillons ! Chuis vot’ nouveau capitaine, Grimmjow Jaggerjack. Et oui, je suis un espada. Et Alors !? Maintenant, tout va changer, pour vous ! Vous m’obéirez car je suis le roi!

Hisagi : Mais pour qui il se prend ? On n’est pas ses chiens !

Grimmjow : Et si vous voulez que je vous foute la paix, il faut que vous me battiez au combat ! Mais je sais que cela n’arrivera jamais ! Bon, j’me casse !

 

Grimmy se barre et sort. Un calme plat se fait sentir dans toute la salle. Puis tous les shinigamis hurlent leur mécontentement. Le vice-capitaine essaye de les calmer.

 

Hisagi : Calmez-vous ! Moi aussi je suis assez révolté par cet espada qui, on ne sait pourquoi, est devenu capitaine, mais il faut garder son calme !

 

Le bleu écoute le brouhaha que font les shinigamis, satisfait.

 

Grimmjow : Voilà, comme ça, je ne me ferai pas chier !

 

Retrouvons le petit Tôshiro Hitsugaya, le capitaine de la 10e division. Il marche dans le couloir, pensif. Il espère que cela se passe bien pour Hinamori avec la nouvelle capitaine. Il entre dans son bureau et là qu’est-ce qu’il voit ? Rangiku Matsumoto entrain de roupiller tranquillement sur le canapé. Elle dort comme si elle n’avait jamais eu de blessures. Ce n’est pas l’heure de dormir.

 

Hitsugaya : Matsumoto !

 

Elle se réveille et regarde son capitaine par-dessus le canapé.

 

Matsumoto : Ah, salut, capitaine. Belle journée, hein ?

Hitsugaya : A ce que je vois, tu a l’air d’aller mieux. Es-tu au courant ?

Matsumoto : De quoi ?

Hitsugaya : Que les nouveaux capitaines de la 5e et 9e division sont des espadas.

Matsumoto : Ah bon ? Et pourquoi ?

Hitsugaya : Je n’en sais rien. Je ne lis pas dans la tête du capitaine-commandant. Je me rends à la 5e division pour aller parler d’Hinamori à la nouvelle capitaine.

Matsumoto : D’ac. Et moi, qu’est-ce que je fais ?

Hitsugaya : Toi, tu lis et signes toutes les feuilles sur mon bureau.

 

Effectivement, il y a au moins plus de 100 feuilles sur le bureau.

 

Matsumoto : C’est pas juste !

Hitsugaya : Assumes tes responsabilités de vice-capitaine !

 

Le petit capitaine sort du bureau, laissant la pauvre rouquine avec toutes ces paperasses.

 

A la 5e division, Hinamori fait visiter à la nouvelle capitaine, mais elle n’ose la regarder de face, de peur que Neliel lui fasse du mal. Elles arrivent devant le bureau du capitaine.

 

Hinamori : Et voilà votre bureau, capitaine.

Neliel : Merci pour la visite, Hinamori.

Hinamori : De-de rien. Bon je vous laisse. J’ai… J’ai des choses à faire.

Neliel : Vas-y.

 

La planche à pain s’en va timidement sans se retourner. La capitaine la regarde partir.

 

Neliel : Elle est gentille. Mais j’ai l’impression que je l’intimidais.

 

Elle entre dans son bureau et s’allonge sur le canapé.

 

Neliel : Finalement, tout s’est bien passé. Je plains ceux qui ont Grimmjow.

 

Soudain, elle entend quelqu’un frapper à la porte.

 

Neliel : Entrez.

 

La personne entre. C’est Tôshiro. La capitaine est surprise de voir ce jeune garçon avec un haori de capitaine.

 

Neliel : Et bien mon petit, tu t’es perdu ?

 

La gaffe. Neliel a appelé Hitsugaya petit, ce qui le vexe un peu. Elle s’approche de lui, se met à sa hauteur et lui ébouriffe les cheveux.

 

Neliel : Tu sais, tu ne devrais pas te déguiser en capitaine, sinon on va croire que tu en es un.

Hitsugaya : JE suis capitaine. Je suis Tôshiro Hitsugaya, capitaine de la 10e division.

 

Neliel, après avoir mis un temps pour comprendre, se lève rapidement, lui lâche la tête, et s’incline pour s’excuser.

 

Neliel : Je suis extrêmement confuse ! Je viens d’arriver, je ne connais pas tous les capitaines. Et puis je te trouve bien jeune pour être capitaine.

Hitsugaya : Ce n’est rien. Ca m’est déjà arrivé avec ma vice-capitaine. Tu est la capitaine Tu Oderschwank, n’est-ce pas ?

Neliel : Oui, c’est bien moi. Tu veux t’asseoir ?

Hitsugaya : Volontiers.

 

Neliel s’assied à son bureau, le jeune capitaine devant elle.

 

Neliel : Qu’est-ce que tu veux ?

Hitsugaya : Je voulais te parler d’Hinamori.

Neliel : Ma vice-capitaine ? Qu’est-ce qu’elle a ?

Hitsugaya : Elle ne se comportait pas bizarrement ?

Neliel : Si. Elle évitait de me regarder. Comme si elle avait peur de moi.

Hitsuygaya : C’est normal. Elle ne s’en est toujours pas remise.

Neliel : De quoi ?

Hitsugaya : De la trahison d’Aizen. Il était capitaine de cette division. Il lui a transpercé le ventre.

Neliel : C’est d’une cruauté ! La pauvre, elle a dû être vraiment bouversée.

Hitsugaya : Oui. Puis-je te demander un service ?

Neliel : Oui, bien sûr ?

Hitsugaya : Ce serai de s’occuper d’Hinamori.

Neliel : Oui, je le ferai. Si elle a es problèmes, en tant que capitaine, il est de mon devoir de la consoler.

Hitsugaya : Merci.

 

Le gnome sort du bureau, laissant la nouvelle capitaine.

 

Neliel : Il doit vraiment s’inquiéter pour son amie pour venir m’en parler. Cela me fait vraiment plaisir que l’on me fasse déjà confiance.Ca doit être dur pour lui de porter sur ses épaules le rôle de capitaine. Il est si jeune ! J’espère pour lui que sa vice-capitaine est quelqu’un de responsable.

Alors là, pas du tout ! Par contre, à la 9e division, tout le monde est révolté que leur capitaine est un espada, qu’il soit si vulgaire, et qu’il ai osé faire ses besoins dehors. Grimmjow dort tranquillement dans son bureau. Hisagi entre mais cela ne réveille pas le bleu. IL se rapproche et hurle.

 

Hisagi : Capitaine !

 

L’ancien sexta se réveille brusquement et se lève. Il regarde le vice-capitaine, mal réveillé.

 

Grimmjow : Kess t’as, toi ?

Hisagi : Déjà que je me force à aller vous parler. Vous dormez alors que tout le monde est contre vous ?

Grimmjow : Bah tant mieux !

Hisagi : Quoi !? Ca ne vous dérange pas ?

Grimmjow : Réfléchis un peu, Mister 69 ! Si les autres me détestent, ils voudront se battre contre moi ! Ainsi je ne me ferai pas chier !

Hisagi : Vous aimez vous battre ?

Grimmjow : Bah ouais ! C’est dans ma nature !

 

« Mister 69 » A l’impression d’entendre son zampakuto, Kazeshini, qui ne pense qu’à tuer.

 

Hisagi : Vous devriez aller leur parler, pour régler les choses.

Grimmjow : Et pourquoi j’le ferai.

Hisagi : C’est votre responsabilité de capitaine.

Grimmjow : Tss ! C’que t’es chiant !

 

Le capitaine sort de son bureau. Dehors, tous le monde crie son mécontentement. Ils ont des pancartes où il est écrit « à bas le capitaine !», « Sale Espada ! » et autres. Le bleu se met face à eux.

 

Grimmjow : Salut les nuls

-Hé, il est là !

 

Tous les shinigamis se dirigent vers l’arrancar, en criant plus fort. Lui, regarde le résultat, satisfait. Le vice-capitaine arrive.

 

Hisagi : Calmez-vous ! Notre « capitaine » va faire une déclaration.

 

Tout le monde se tait, à attendre les mots de celui-ci. Grimmjow réfléchit à ce qu’il va dire, ce qui fait un moment de silence. Enfin, il se décide à parler.

 

Grimmjow : Je m’excuse.

 

Quoi !? Grimmjow s’excuser !? C’est impossible ! On nage en plein délire, là ! En fait, il fait semblant de s’excuser.

 

Grimmjow : C’est que j’avais envie de me battre. C’est pour ça que je vous ai provoqué. Mais bon, je m’excuse.

 

Tous les hommes se posent des questions. Est-il sincère. Finalement, ils rentrent tous dans leur quartier, sauf Grimmjow et Hisagi.

Hisagi : Vous étiez sincère, capitaine ?

 

Grimmjow : Tu te fou de moi ? Bien sûr que non ! J’ai joué la comédie !

Hisagi : Vous êtes vraiment…

Grimmjow : Au moins ça a marché. Je fais ça vraiment pour te faire plaisir, Mister 69 !

Hisagi : Arrêtez de m’appeler comme ça !

Grimmjow : Fais c’que j’veux !

 

Le jour suivant, à la 5e division. Neliel repense à ce que Hitsugaya lui a dis à propos d’Hinamori.

 

Neliel : Je vais aller la voir, pour la consoler.

 

Elle sort de son bureau et marche dans le couloir. Tous les shinigamis qu’elle croise lui dit bonjour. Elle leur répond avec le sourire. Elle arrive près de la chambre de la vice-capitaine. Celle-ci y est. Elle est assise par terre sur les genoux, à regarder un cadre photo. Soudain, on frappe à sa porte, elle sursaute.

 

Hinamori : En-entrez.

 

La porte s’ouvre, c’est bien sûr Neliel.

 

Neliel : C’est moi, Hinamori.

Hinamori : C-c’est vous, capitaine ?

Neliel : Je peux te parler ?

 

La planche à pain ne répond pas. La capitaine sent que quelque chose ne va pas. Elle s’avance vers Hinamori, qui commence à paniquer en entendant les pas de Neliel sur le bois. Elle serre le cadre sur elle pour cacher la photo. Son cœur bat de plus en plus vite.

 

Hinamori : Elle vient vers moi. Si-si elle voit la photo, elle va peut-être se mettre en colère et me faire du mal ! Qu’est-ce que e vais faire ? Que vais-je lui dire ?

Neliel est juste à côté d’elle. Elle se baisse. Le cœur de la jeune fille bat très vite.

 

Hinamori : Elle est près de moi ! Elle va me faire du mal !

 

La vice-capitaine ferme les yeux. Elle sent une main se poser sur son épaule. Elle les rouvre et se retourne.

 

Neliel : Qu’est-ce qui ne vas pas, Hinamori ?

Hinamori : Co-comment ça ?

Neliel : Le capitaine Hitsugaya m’a dit que tu a des problèmes. Il est inquiet pour toi.

Hinamori : Tôshiro ?

Neliel : Si quelque chose te tracasse, tu peux m’en parler. Je suis ta capitaine.

 

La jeune fille hésite un peu. C’est vrai que Neliel a l’air de s’inquiéter pour elle. Et puis cela lui fera du bien de se confier à quelqu’un. Elle se jette à l’eau. Elle tend le cadre à se capitaine.

 

Hinamori : Tenez.

Neliel : C’est une photo ?

 

Neliel prend le cadre et regarde la photo. C’est une photo d’Hinamori avec Aizen, à l’époque où il était capitaine. La jeune fille est heureuse sur la photo. Neliel n’est pas surprise parla présence d’Aizen, vu que Tôshiro lui a expliqué la situation. Momo se sent un peu honteuse d’avoir gardé la photo et de la montrer à sa capitaine.

 

Neliel : Tu l’admirais, n’est-ce pas ?

Hinamori : Ou-oui. Il était si attentionné, si gentil avec moi. J’étais fière d’être sa vice-capitaine. Mais… Ce jour là…

 

Elle a les mains qui serrent son bas de kimono. Elle commence à pleurer.

 

Hinamori : Lorsqu’il m’a transpercé avec son sabre, je l’ai regardé dans les yeux et… Son regard… Ce n’était pas celui du capitaine Aizen ! Le capitaine Aizen n’aurait jamais fait ça ! C’est impossible !

 

Elle pleure toutes les larmes de son corps. Neliel constate que cet évènement l’a beaucoup bouleversée. La capitaine, prend Hinamori dans ses bras pour la consoler. Cette dernière, surprise par ce geste, arrête de pleurer.

 

Neliel : Je te comprends. Moi aussi j’ai été en quelque sorte trahie. Mais ce que tu as vécu est pire. Ce que t’as fais Aizen est immonde. Je comprends que tu as peur de moi du fait que je sois une arrancar. Mais tu n’as pas à t’inquiéter. Je ne te ferai aucun mal et ne te trahirai jamais. Je suis ta capitaine, Hinamori.

 

Hinamori se sent bien. Cela faisait longtemps qu’on a eu autant affection pour elle.

 

Hinamori : Capitaine ?

Neliel : Oui, hinamori ?

 

La jeune vice-capitaine se met face à sa capitaine et la regarde.

 

Hinamori : Je suis désolée. Désolée d’avoir douté de vous. Je pensais que vous étiez méchante, alors que ce n’est pas du tout le cas. Vous êtes gentille avec moi. Je m’excuse, sincèrement.

 

Neliel pose sa main sur l’épaule de Momo.

 

Neliel : Tu n’as pas à t’excuser. Ta réaction est tout à fait normale.

Hinamori : Je suis honorée d’être votre vice-capitaine, capitaine To… Ti odu…

Neliel : Appelle-moi Capitaine Neliel, ce sera plus simple, non ?

 

La belle capitaine sourit à sa subordonnée. Celle-ci est admirée par la beauté  de sa supérieure. Elle sourit aussi.

 

Hinamori : D’accord, capitaine Neliel.

 

Elle n’a été heureuse depuis longtemps. Malheureusement, cette séquence émotion est interrompue par Pesche et Dondochakka qui arrivent brusquement dans la pièce. Hinamori crie de surprise en les voyants et se cache derrière sa capitaine.

 

Pesche : Dame Nell, vous étiez là !

Dondochakka : On vous a cherché partout pour sûr !

Neliel : Salut vous deux ! Et puis, appelez-moi capitaine, maintenant.

Pesche : Désolé, c’est l’habitude.

Neliel : Tiens, vous avez reçu vos kimonos. Ils vous vont très bien.

 

Effectivement, les 2 anciens fraccions portent le kimono noir.

 

Pesche : Merci, capitaine.

Dondochakka : Oui, mais le mien n’a pas de gouttes d’eau, pour sûr !

Pesche : Des pois, quoi.

Dondochakka : Non, des gouttes d’eau !

Neliel : Allons, ne vous disputez pas.

 

La vice-capitaine sort sa tête pour voir les 2 arrancars. Elle tremble un peu de peur.

 

Hinamori : C-capitaine, qu-qui est-ce ?

Neliel : Hinamori, je te présente mes deux anciens fraccions, Pesche et Dondochakka. Vous deux, je vous présente Momo Hinamori, la vice-capitaine de cette division.

Hinamori : Bon-bonjour.

Pesche : Salut ! Tu es bien petite, toi !

Neliel : Ne vous moquez pas d’elle. Elle est votre supérieure.

Pesche : Et pourquoi ce ne serai pas nous, les vice-capitaines ? On était votre Fraccion !

Dondochakka : On le mérite, pour sûr !

Neliel : Mais ne soyez pas jaloux ! Tans que vous restez avec moi !

Pesche : … Oui, vous avez raison, capitaine.

Hinamori : Dites, capitaine.

Neliel : Oui, Hinamori ?

Hinamori : Comment il est, le capitaine de la 9e division ?

Neliel : Grimmjow ? Il est… Tout le contraire de moi niveau caractère.

Hinamori : Il est donc… méchant ?

Neliel : Non, je ne dirai pas méchant. Il est… instable. Il adore se battre.

Hinamori : Pauvre Hisagi ! J’espère qu’il ne lui ai rien arrivé !

Neliel : Tu n’as pas à t’inquiéter. Tant que Hisagi ne le provoque pas au combat, il ne lui fera rien. Ce que je crains, c’est que, vu le sale caractère de Grimmjow, il fasse des bêtises. De toute façon, tant que je suis là, il se tiendra tranquille.

Pesche : Ca, c’est bien dit, Capitaine Nell !

Hinamori : Si… Si vous le dites, capitaine.

A suivre…

Rendez-vous au chapitre 6. Salut !

 

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Toujours aussi bien écrit. Avec quelques petites fautes d'orthographe

 

salle au lieu de selle

par la au lieu de parla

 

Sinon j'adore Grimmjow même si sa me semble totalement inpensable, j'aurais plutôt vu Ulquiorra à ce poste mais tu as choisit Grimmjow et cela pourrait être assez marrant.

 

 

A quand un duel Grimmjow/Kenpachi ??

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  • 2 weeks later...

Voici la première partie du chap 6:

 

Chapitre 6 (partie1) : Le lait

A la 9e division, tout est calme. Pas de bagarres avec le capitaine, de toute façon il n’y en a jamais eu, pas d’émeutes. Mais où se trouve le capitaine Jaggerjack ? Dans son bureau, affalé sur le canapé. Il s’ennuie un max, vu qu’il ne se bat pas. Apparemment, son plan n’a pas marché.

 

Grimmjow : M’ennuie.

 

Le vice-capitaine Hisagi rentre et voit son capitaine rien faire, alors qu’il y a plein de papier à remplir.

 

Hisagi : Euh, capitaine ?

Grimmjow : Ah, t’es là, Mister 69 ?

 

Celui-ci en a ras le bol que le bleu le surnomme ainsi, sans savoir quelle est la signification du nombre 69 sur sa joue pour Hisagi.

 

Hisagi : Dites, il faudrait peut-être remplir ces feuilles ?

Grimmjow : Pas envie ! Moi, c’que j’veux c’est m’battre !

Hisagi : Et bien, vous n’avez qu’à aller voir à la 11e division. Le capitaine Kenpachi se fera une joie de se battre avec vous.

Grimmjow : Ah bon !? J’y fonce !

 

L’ancien sexta, tout content de se battre enfin, se rue vers la sortie. Mais une femme apparaît sans prévenir. Comme il ne peut s’arrêter, le bleu trébuche sur elle. La fille se retrouve allongée sur le dos et Grimmy sur elle. Il se relève un peu.

 

Grimmjow : Hé, toi, sale garce ! Tu ne peux pas regarder où…tu…vas ?

 

Il s’interrompt car il voir que sa main droite pelote le sein gauche de la femme ! Et cette femme, c’est Nemu Kurotsuchi, la « fille » de Mayuri Kurotsuchi, le capitaine de la 12e division. Il saigne du nez.

 

Nemu : Ah, c’est vous, capitaine Jaggerjack. Le seigneur Mayuri vous demande.

Grimmjow : Ah, heu, d’accord.

 

Ils se lèvent, Grimmy toujours entrain de peloter Nemu puis se mettent en route. Normalement, il aurait carrément refusé de venir. Mais vu son geste vicieux et que ça n’a pas l’air de la déranger, il continue. Il bande comme un taureau !

 

Grimmjow : C’est la première fois que je pelote une fille ! C’est si doux !

 

Il est tellement attiré par la poitrine de Nemu qu’il ne remarque même pas qu’ils se dirigent vers la 5e division !

 

Justement, retrouvons Neliel. Elle parle avec sa vice-capitaine. Celle-ci, depuis l’arrivée de Neliel, se sent mieux, heureuse grâce à sa capitaine.

 

Neliel : Alors, Hinamori, tu fais quoi, aujourd’hui ?

Hinamori : Je dois me rendre à la réunion des vice-capitaines. Et vous, capitaine Neliel ?

Neliel : Le capitaine Ukitake m’a invitée boire une tasse de thé.

 

Quelqu’un frappe à la porte. La capitaine se dirige vers celle-ci et ouvre. C’est Nemu.

 

Nemu : C’est vous, la capitaine Tu Oderschwank ?

Neliel : Oui, c’est bien moi.

Nemu : Le seigneur Mayuri veut vous voir.

Neliel : Le capitaine Kurotsuchi ? Bon, d’accord. Mais… c’est quoi, ça ?

 

Elle remarque qu’une main d’homme est posée sur le sein gauche de la fille. Elle sort pour y voir plus clair et qui elle voit ?  Grimmjow, toujours entrain de peloter Nemu. Il semble se faire des fantasmes dans la tête. Neliel lui donne une grosse baffe sur la joue, ce qui le fait revenir sur terre et lâcher prise.

 

Grimmjow : Mais t’es folle ! Qu’est-ce qui te prends ?

Neliel : Tu n’as pas honte de faire ça à cette femme ? Ce n’est pas un objet !

Grmmjow : Je l’ai peloté accidentellement, et elle n’a rien dit, alors j’ai continué !

Neliel : Grimmjow, cela ne se fait pas.

Grimmjow : Arrête de me faire la morale, la vache à lait !

Nemu : Hum, hum !

 

Les 2 capitaines arrêtent de se disputer et tournent la tête vers la vice-capitaine.

 

Nemu : Capitaine Jaggerjack, veuillez reposer votre main sur mon sein, je vous prie.

 

Neliel est très étonnée par cette phrase, Grimmjow, lui, en est ravie.

 

Grimmjow : Et ben tu vois que ça ne la dérange pas !

Neliel : Mais enfin-

Grimmjow : Hého, c’est bon, madame je sais tout ! Elle, au moins c’est une fille facile !

 

L’ancien sexta repose sa main là où elle était, et retourne dans son monde.

 

Nemu : Bien. Suivez-moi.

 

La vice-capitaine part devant. Grimmjow est bien obligé de la suivre vu qu’il a son sein en pleine main ! Neliel suit, et se pose des questions.

 

Neliel : Elle est bizarre. Pourquoi veut-elle que Grimmjow lui caresse le sein ? Et que nous veux le capitaine Kurotsuchi ? Il paraît qu’il est un peu fou. Je m’attends au pire.

La petite troupe se dirige donc vers les laboratoires de la 12e division.

 

Retrouvons Hitsugaya dans son bureau. Il pense à son amie d’enfance, Hinamori. Ses pensées sont interrompues par l’arrivée brusque de Matsumoto dans le bureau, essoufflée.

 

Hitsugaya : Matsumoto ! Où tu étais ?

Matsumoto : Et bien, j’étais en chemin et…

 

Flashback (il y a quelques minutes)

La rouquine aux attributs très volumineux se dirige vers la 10e division, sans se presser, même si elle est en retard.

 

Matsumoto : La capitaine va encore râler parce que je suis en retard. Mais bon, j’adore le voir en colère. Il est trop mignon !

 

Elle tourne à l’angle et devant elle, Nemu qui conduit Grimmjow et Neliel à la 12e division. Comme elle était au courant de leur présence, elle n’y prête pas attention. Elle ne s’occupe pas d’observer Grimmjow qui pelote toujours Nemu. Mais dès qu’elle voit Neliel, là, ça l’intéresse.

 

Matsumoto : Elle a beau être une arrancar, elle est jolie, mais pas autant que moi !

 

Son regard se dirige vers la poitrine de Neliel, et là, la rouquine s’arrête, comme si ce qu’elle vient de voir est impossible. Neliel la remarque.

 

Neliel : Ah, bonjour.

Matsumoto : B-bonjour.

 

Les deux femmes se croisent, puis Neliel continue de suivre les 2 autres. La rouquine, elle, reste sur place, perturbée.

 

Matsumoto : Non, ce n’est pas possible…

 

Fin du Flashback

 

Hitsugaya : Oui, tu les a vus, et alors, c’est quoi le problème ?

Matsumoto : Elle… Elle… ELLE A UNE AUSSI GROSSE POITRINE QUE MOI, VOIRE PLUS !!!

 

Matsumoto voit en Neliel une rivale. Le petit capitaine trouve cette réaction stupide.

 

Hitsugaya : Et alors ? Qu’est-ce que ça peut faire ?

Matsumoto : Et alors ? Mais capitaine, elle va me piquer ma popularité !

Hitsugaya : Tu es populaire, maintenant ?

Matsumoto : Mais oui ! Celle d’avoir la plus grosse poitrine de tout le seireitei ! Dites capitaine, vous préférez ma poitrine ou celle de l’autre ?

 

En disant cela, la bimbo se met devant Tôshirô et prend ses seins en pleine mains ! Il a les yeux rivés sur les attributs de Rangiku et rougit.

 

Hitsugaya : Euh…

Matsumoto : Allez, dites-le moi, capitaine.

 

Ce dernier recule pour ne plus avoir ces « merveilles de la nature » à ses yeux.

 

Hitsugaya : Matsumoto, ce n’est pas important !

Matsumoto : Ben pour moi si !

Hitsugaya : La capitaine Neliel Tu Oderschwank n’est pas comme toi. Elle ne se sert pas de sa poitrine pour se faire aimer des autres. Elle veut se faire accepter malgré qu’elle soit une arrancar en montrant se qualités de capitaine. Tu devrais prendre exemple sur elle.

 

La rouquine arrête sa crise, es constatant que son capitaine a l’air d’apprécier la nouvelle capitaine.

 

Hitsugaya : Grâce à elle, Hinamori va beaucoup mieux. Matsumoto.

Matsumoto : Oui, capitaine ?

Hitsugaya : Ne sois pas ennemie avec elle. Je pense que vous pourrez devenir de bonnes amies.

Matsumoto : …

Hitsugaya : Passons. Tu ne devais pas aller à la réunion des vice-capitaines ?

Matsumoto : Ha, oui c’est vrai ! Bon, j’y cours !

 

Rangiku sort donc du bureau, laissant le petit capitaine.

 

Hitsugaya : Sacrée Matsumoto !

 

Dans les laboratoires de la 12e division, un drôle de groupe traverse les machines et substances étranges. Nemu, Neliel et Grimmjow. Ce dernier est toujours entrain de peloter Nemu, ce qui ne plaît pas à Neliel qui trouve ce comportement indigne d’un capitaine.

 

Neliel : Grimmjow, il serait peut-être temps de la lâcher.

 

Le bleu n’entend pas. Il rêve éveillé en bavant.

 

Grimmjow : Gaaa… Gros nibards…

Neliel : Désespérant.

 

Enfin, ils trouvent le capitaine Kurotsuchi qui les attendait.

 

Nemu : Seigneur Mayuri. Le capitaine Jaggerjack et le capitaine Tu Oderschwank sont là, comme vous me l’avez demandé.

 

En les voyants, il fait un petit sourire sadique.

 

Mayuri : C’est bien, Nemu.

Nemu : Seigneur Mayuri, puis-je partir ? Je dois me rendre à une réunion.

Mayuri : Oui, tu peux disposer.

Nemu : Merci, Seigneur Mayuri.

 

La jeune femme s’en va, ce qui fait lâcher la main de Grimmjow qui, dès son étreinte finie, revient sur Terre, déçu.

 

Grimmjow : Et merde !

 

En voyant la tête de Mayuri, il pouffe de rire.

 

Grimmjow : Oh putain la gueule qu’il a ! On dirait un clown !

Neliel : Grimmjow, arrête de te moquer !

Mayuri : Heu, pourquoi il rigole, celui-là ?

Neliel : Ne vous occupez pas de lui. Pourquoi nous avoir fais venir ici, capitaine Kurotsuchi ?

Mayuri : Ha oui ! Je vous ai fait venir ici pour m’aider un peu dans mes recherches sur les arrancars.

Grimmjow : Bref, on est tes esclaves, guignol !

Neliel : Voyons, Grimmjow ! Il veut juste qu’on l’aide. C’est normal de s’entraider entre capitaines. Tu t’énerves vraiment pour rien !

Grimmjow Arrête de me faire la morale, miss gros melons !

Neliel : Arrêtes de me donner des surnoms ayant rapport avec ma poitrine !

Grimmjow : Et ben t’avais pas qu’en avoir d’aussi gros, grosses loches !

 

Neliel voudrait bien donner une leçon à cet idiot, mais mieux vaut pas pour ne pas avoir mauvaise réputation auprès des autres. Elle préfère régler ça sans violence.

 

Neliel : Est-ce que tu as déjà pensé que dire ce genre de surnoms pouvait blesser une femme ?

Grimmjow : Et voilà ! Ca, c’est bien les femmes, tellement susceptibles ! Dès qu’on leur dit qu’elles ont des gros nibards, ce qui est ton cas, elles se vexent et veulent nous foutre une gifle !

Neliel : Arrête ! Ichigo ne me dirai jamais ce genres de choses !

Grimmjow : Revenons-en à lui, tiens ! Depuis que tu ne le vois plus, je parie que tu chiales toutes les nuits ! On dirait que ce connard est ton chérie !

 

La belle commence à avoir les larmes aux yeux.

 

Neliel : A-arrête… T-tu ne peux comprendre mes sentiments !

Grimmjow : Tu n’es pas parfaite, Neliel ! N’oublie pas que, il a quelques années, ton f-

Neliel : Je ne veux plus entendre parler de lui !

Grimmjow : Ah ouais ? Tu ne veux pas que je parle de lui ? Pourtant, on était potes, lui et moi ! Et par ta faute, il croupit en taule !

Neliel : Mais… il a essayé de…me…

 

La belle commence à pleurer, comme si ce qui c’était passé est grave, et c’est le cas. Grimmjow s’en fiche royalement qu’elle pleure. Décidément, il est doué pour faire pleurer les filles rapidement, ce mec ! T’as fait pleurer Neliel-chérie ! Mayuri regarde la scène qui vient de se produire.

 

Mayuri : Alors comme ça, même les femelles arrancars connaissent la tristesse ? C’est très intéressant ! Bon, ce n’est pas que je m’ennuie et que votre dispute n’est pas intéressante, mais il faut revenir à ce qu’on allait faire, c'est-à-dire m’aider pour mes recherches.

Neliel : /sèche ses larmes/ Ou-oui, vous avez raison.

Mayuri : Bien. On va commencer par vous, ma chère.

Neliel : Oui, bien sûr.

Grimmjow : Et moi, qu’est-ce que je fous ?

Mayuri : Vous, attendez votre tour. Et je vous conseille de lire.

Grimmjow : …Gné ?

Neliel : A tout à l’heure, Grimmjow.

 

La belle et le maboul rentrent dans une pièce dont la porte se referme juste après leur passage. Le bleu se retrouve seul. Il se dirige vers des sièges qui font office de salle d’attente, et pose son cul sur l’une d’elle.

 

Grimmjow : Pourquoi l’autre clown m’a parlé de lire ?

 

Il remarque que, sur la table devant lui, il y a 2 boîtes. Une où c’est écrit « magazines pour femelles » et l’autre « magazine pour mâles ».

 

Grimmjow : Gné ?

 

Il regarde dans la première. Effectivement, c’est des magazines féminins.

 

Grimmjow : Pff ! Comme si j’allais lire ces torchons !

 

Il se tourne vers l’autre boîte, et là, qu’est-ce qu’il voit ? Pleins de revues pornos ! Il saigne du nez. Neliel, quand à elle, est avec le maboul. La pièce ressemble un peu à un mélange de laboratoire et de salle de torture. Un énorme bocal attire son attention. Et qui on retrouve à l’intérieur ? Szayel Aporro Grantz, dans le même état qu’il était la dernière fois qu’on l’a vu. Ce que Neliel ne sait pas, c’est que le rose a aidé cet empaffé de Nnoitra à la piéger pour la tuer.

 

Neliel : Dites, capitaine Kurotsuchi. Comment s’est-il retrouvé comme ça ?

Mayuri : A ça, c’est mon petit secret. Hi hi ! Bon, venez ici.

 

Le fou indique à la capitaine de s’asseoir sur un fauteuil en métal. Elle s’y installe sans se poser de questions.

 

Neliel : Alors, capitaine Kurotsuchi, que fait-on ?

Mayuri : C’est très simple : Je vais prélever quelque chose qui est en vous.

Neliel : Prélever… quelque chose… en moi ? Que voulez-vous dire?

Mayuri : Vous verrez bien.

 

Le clown sort une télécommande et appuie sur le bouton. Des cadenas sortent des accoudoirs, ce qui empêche la capitaine de bouger. Elle commence à paniquer.

 

Neliel : Mais capitaine Kurotsuchi, que faites-vous ?

 

Celui-ci cherche  quelque chose dans son bazar. Enfin il le trouve.

 

Mayuri : Ah, le voilà.

 

L’objet dont a besoin le fou est… un tire-lait ! Cet objet sert à extraire le lait contenu dans les seins des femmes ayant eu un enfant. Il se tourne face à Neliel avec l’objet en main, en faisant son énorme sourire sadique ! Il s’approche lentement d’elle, qui est effrayé par son sourire.

 

Mayuri : Détendez-vous ma chère. Je n’en ai pas pour longtemps.

 

Enfin, il est face à Neliel que ne comprends toujours pas ce qu’il veut. Il prend le kimono de la belle et, délicatement, l’ouvre jusqu‘à laisser le sein droit de Neliel à l’air ! Cela le laisse indifférent de voir ça. Bizarre, ce mec !  Le taré approche le tire-lait vers le mamelon droit de Neliel !

 

Mayuri : Encore quelques centimètres…

 

Neliel, complètement paniquée, utilise toute sa force pour casser les cadenas qui la retiennent, ce qui marche, et fait un sonido pour se retrouver derrière le fou  pour être hors de danger. Celui se retourne vers Neliel. Celle-ci a eu assez peur et a toujours le kimono ouvert vers la droite, ce qui laisse donc son sein droit à l’air ! Mais elle ne s’en préoccupe pas.

 

Neliel : Qu-qu’avez-vous eu l’intention de faire ?

Mayuri : Ce que j’allais faire ? J’allais…

 

Le taré prend son air de débile en faisant partir ses yeux dans tous les sens et en tirant la langue.

 

Mayuri : récolter votre lait !

Neliel : Mon… lait ?

Mayuri : Oui, exactement ! L’autre jour, lorsque vous vous êtes mise à côté de moi, à la vue de votre poitrine, je me suis tout de suite dit que vous avez du lait !

Neliel : M-mais pourquoi en avoir besoin ?

Mayuri : Pour l’étudier, bien sûr ! Le lait de femelle arrancar doit avoir des propriétés spéciales !

Neliel : Vous êtes fou ! Je n’ai pas de lait ! Je ne suis pas enceinte, donc je ne peux pas produire de lait !

Mayuri : Ne mentez pas ! Avec un tel surdéveloppement mammaire, vous avez à coup sûr du lait ! Et puis qui me dit que les femelles arracars n’en produisent pas à volonté, du lait ?

Neliel : Donc pour vous, je ne suis… qu’un sujet d’expérience ?

Mayuri : Oui, c’est exactement ça !

 

En entendant ces mots, Neliel se sent trahie. Mais elle préfère ne pas s’occuper de lui et se dirige vers la porte. Elle essaye d’ouvrir la porte, en vain, elle ne s’ouvre pas. Elle comprend tout de suite que c’est Mayuri qui l’a fermée.

 

Neliel : Veuillez ouvrir la porte, capitaine Kurotsuchi.

Mayuri : Non. Tant que je n’aurais pas votre lait, vous ne sortirez pas d’ici.

Neliel : …Bien.

 

L’ex tercera recule de quelques pas et reste face à la porte. Elle ferme les yeux et a l’air de se concentrer.

 

Mayuri : Qu’avez-vous l’intention de faire ?

 

La belle se prépare à faire une attaque, mais laquelle ? Au même moment, Grimmjow est toujours assis à lire ses magazines de cul. Et ça a l’air de bien l’exciter ! La grande pièce où il se trouve est très calme. A part lui, pas un chat. Ce calme semble bien durer. Mais sans prévenir, un énorme et long rayon d’énergie rose, qui ressemble à un celo et fait un boucan pas possible,  traverse toute la pièce à une de ces vitesses en partant de la salle de torture de Kurotsuchi. Le bleu ne remarque rien tellement il est absorbé par ses lectures cochonnes. Puis le rayon disparaît. Quelque secondes après, Neliel sort de la salle, calmement. Elle remet correctement son kimono et sort de cette division de fous. Grimmjow n’a toujours rien remarqué. Mayuri la regarde partir par un énorme trou dans la porte. C’est Neliel qui l’a fait en crachant un celo par la bouche pour pouvoir sortir. Il regarde le tire-lait qu’il a toujours dans la main et ricane.

 

Mayuri : Je l’aurai un jour, son lait de femelle arrancar. Je l’aurai.

 

A la réunion des vices-capitaines, ils étaient tous là sauf Kira pour on ne sait quelle raison, et le vice-capitaine de la 1ère division car il est malade dû à un thé mal préparé. Donc du coup, vu qu’il n’est pas là, personne ne dit un mot, vu que c’est lui qui lançait les débats. Tout est calme. La seule qu’on entend, c’est Yachiru car elle se goinfre d’onigiris.

 

Nanao : Vu que personne n’a l’air de se décider à lancer le débat, je propose que l’on parle des nouveaux capitaines. Ceux qui sont d’accord lèvent la main.

 

Tous la lèvent vu qu’il n’y a rien d’autre à faire, sauf Yachiru qui s’empiffre.

 

Nanao : Bien, commençons le débat. Pour débuter, je pense qu’il est logique de laisser la parole au vice-capitaine Hisagi ou à la capitaine Hinamori, vu qu’ils sont les plus proches d’eux. Alors, qui de vous deux veux commencer ?

Hisagi : Moi, je veux bien. Alors moi, je ne peux plus le supporter ! Il est vulgaire, il ne pense qu’à se battre, il ne fait pas son boulot, et en plus il me donne un surnom débile !

Matsumoto : Et lequel ?

Hisagi : Il m’appelle Mister 69.

Yachiru : Hihi ! C’est rigolo !

Matsumoto : Mon pauvre ! Il doit penser que t’adores le 69 !

Hisagi : Où veux-tu en venir ?

Iba : Elle te parle de la position du 69 !

 

La pauvre Momo, étant trop jeune, ne comprends rien de ce qu'ils racontent.

 

Hinamori : C-c’est quoi le 69 ?

Matsumoto : C’est simple : c’est une fellation et un cunnilingus en même temps !

Hinamori : Mais… C’est quoi, une fellation et un cunnilingus ?

Matsumoto : C’est simple : une fellation, c’est lorsque la fill-

Nanao : Matsumoto ! Nous ne parlons pas de ce genre de cochonneries ! C’est hors-sujet !

Matsumoto : Ce n’est pas des cochonneries, c’est la vie !

Nanao : Bon ! On va laisser la parole à Hinamori. Son témoignage ne sera pas interrompu par des allusions sexuelles !

Hinamori : D’accord. La capitaine Neliel est une personne bien. Elle est si gentille, si attentionné avec moi. Je me sens si bien à ses côtés. Et je suis sûre qu’elle ne me trahira jamais. Je l’admire beaucoup.

Matsumoto : Mon capitaine aussi a l’air de l’apprécier.

Nanao : Depuis qu’elle est arrivée, le capitaine Kyôraku ne pense qu’à elle ! Il a même osé me demander de me refaire les seins au même tour de poitrine que celui de la capitaine Tu Oderschwank !

Matsumoto : C’est vrai que tu es assez plate !

 

Nanao rougit dû à ce que lui a dit la rouquine.

 

Nanao : M-mais ça va, oui !

Matsumoto : En parlant de formes, Hinamori.

Hinamori : Oui, Rangiku ?

Matumoto : Est-ce que Neliel a une plus grosse poitrine que moi ?

 

Non mais elle casse-couilles, celle-là, avec sa poitrine ! La jeune fille est surprise par la question.

 

Hinamori : M-mais Rangiku, ce n’est pas important ! Et si je te donnais une réponse, ce serait irrespectueux envers la capitaine Neliel !

Matsumoto : T’est vraiment coincée ! Y'a rien de bizarre à dire qui de moi ou Neliel a les plus gros seins !

Nanao : Matsumoto ! J’ai dit qu’on ne parle pas de ce genre de choses !

Matsumoto : Pff ! Si je n’ai plus le droit de m’informer !

Nanao : Et vous vice-capitaine Kurajishi, qu’en pensez-vous ?

Yachiru : Et ben moi, je leur ai déjà trouvé des surnoms rigolos !

Nanao : Okayyy… Et lesquels ?

Yachiru : Et ben « Schtroumpf » et « Capitaine gros nibards » !

Matsumoto : Hé ! C’est moi, Gros nibards !

Yachiru : Non, Maintenant, tu es « Vache à lait » ! Ah ben tiens, j’ai une idée ! Bon, vous les hommes, vous partez ! C’est une réunion improvisée du Club des Femmes Shinigamis !

Hisagi : C’est juste pour votre club ? Ça ne se fait pas !

 

Nanao : La présidente a parlé. Toutes les personnes ici présentes de sexe masculin doivent quitter la salle.

Tous les hommes, sans discuter, vu que ce club a une grande influence, sortent de la salle. Il ne reste plus que Matsumoto, Hinamori, Nemu, Kiyone, Isane, Nanao la vice-présidente du club et Yachiru la présidente du Club des Femmes Shinigamis.

 

Nanao : alors, présidente, quelle est votre idée ?

Yachiru : C’est simple : je veux faire adhérer Capitaine gros nibards au club !

Hinamori : Oui, cela ferait vraiment plaisir à capitaine Neliel.

Matsumoto : Carrément d’accord ! Comme ça, je vais pouvoir enfin lui parler.

Yachiru : OK ! Alors toutes celles qui veulent qu-

Nanao : Attendez un peu, présidente. On ne peut l’accepter notre club.

Yachiru : Bah pourquoi ?

Nanao : Ce n’est pas une shinigami, mais une arrancar.

Matsumoto : Rhooo, allez, fais pas ta difficile !

Hinamori : La capitaine Neliel ne vous fera aucun mal, je vous assure.

Nanao : Peut-être, mais-

Yachiru : Tais-toi, la binoclarde ! C’est moi, la présidente ! Alors celles qui veulent que Capitaine gros nibards adhère au club lèvent la main.

 

Evidemment, toutes lèvent la main, même Nanao qui cède.

 

Yachiru : Super ! Allons lui annoncer la nouvelle !

Hinamori : Mais elle est avec le capitaine Ukitake. On ne va pas les dérang-

Nemu : Non.

 

Toutes les filles tournent la tête vers la vice-capitaine de la 12e division.

 

Matsumoto : Quoi, non ?

Nemu : Le capitaine Jaggerjack et la capitaine Tu Oderschwank sont à la 12e division avec le seigneur Mayuri.

Yachiru : D’accord ! Alors je charge la coincée à annoncer la nouvelle à Capitaine gros nibards !

Hinamori : Euh, c’est moi, la coincée ?

Yachiru : Bah oui, c’est toi.

Hinamori : Ce n’est vraiment pas gentil !

Yachiru : Chuis la présidente, je t’appelle comme je veux ! La réunion improvisée du Club des Femmes Shinigamis est close !

 

Merci d’avoir lu cette première partie du chapitre 6 ! La deuxième partie arrivera bientôt ! A plus !

 

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Voici enfin la suite du chap 6!

 

Chapitre 6 part 2 : Le sperme

 

Grimmjow est toujours à admirer les merveilleuses créatures dans les pornos. Mais ses fantasmes sont interrompus par Kurotsuchi qui vient le chercher.

 

Mayuri : Mon cher, c’est votre tour.

Grimmjow : Tu ne vois pas que j’m’occupe !?

Mayuri : allons, mon cher. Vous pouvez contrôler vos pulsions primaires et venir.

Grimmjow : Pff, c’que t’es chiant, toi !

 

Le bleu repose son magazine de cul dans la boîte et suis le maboul les mains dans les poches. Ils rentrent dans la salle de torture par le trou qu’a fait Neliel avec son celo. Grimmy remarque Szayel Apporo dans le bocal. Il fonce directement vers celui-ci.

 

Grimmjow : Alors, on roupille les yeux ouverts, extase-man ?

Mayuri : Venez ici et laissez ce spécimen.

 

Le bleu vient vers lui. Ils sont face à face.

 

Grimmjow : Bon, Kess tu m’veux, face de pet ?

 

Celui-ci ne le regarde pas de face. Il observe plutôt une bosse bizarre entre les jambes de Grimmy.

 

Mayuri : A ce que je vois, votre pénis est en érection !

 

Effectivement, Grimmjow bande, dû à ses lectures cochonnes !

 

Grimmjow : Ouais et alors ? Elle fait c’qu’elle veut, ma bite !

 

Le fou reste un moment silencieux, puis fais son énorme sourire sadique !

 

Mayuri : Excellent…

Grimmjow : Gné ? C’est quoi, c’te gueule ?

 

Kurotsuchi chope le froc du bleu et d’un coup sec, et le baisse. Ainsi Grimmjow se retrouve la queue à l’air ! Il est rouge.

 

Grimmjow : Mais… Mais kess tu fous !?

Mayuri : Détendez-vous, sinon vous ne serez-plus en érection.

 

Le maboul approche lentement ses mais de l’appareil de Grimmjow comme si… il va le masturber ! Grimmjow fait un sonido pour se retrouver derrière le fou. Il remonte son bas.

 

Grimmjow : Mais t’es barjo ! Qu’est-ce que t’allais faire avec ma bite !? T’es pédé ou quoi !?

Mayuri : Ce que j’allais faire avec votre pénis ? J’allais…

 

Et il reprend son air de débile avec ses yeux et sa langue.

 

Mayuri : Prélever votre sperme.

Grimmjow : Mon sperme ? Mais qu’est-ce que tu me chante ? Qu’est-ce que t’allais faire avec mon sperme ?

Mayuri : L’étudier. Voyez-vous, je pense que le sperme de mâle arrancar a des propriétés spéciales.

Grimmjow : Mais t’es con ou quoi !? C’est mon sperme, j’en fais c’que j’veux !

Mayuri : Non. Maintenant que vous êtes capitaine, votre sperme appartient au seireitei !

Grimmjow : C’est des conneries ! Et puis comment as-tu pu savoir que je banderai ?

Mayuri : C’est simple : J’ai dit à Nemu que, lorsqu’elle ira vous chercher, de faire en sorte que vous tombez sur elle. Ainsi, vous avez, par chance, mis votre main sur son sein, ce qui a naturellement provoqué l’érection. Ai-je raison ?

 

Grimmjow n’ose répondre car c’est exactement ce qui c’est passé.

 

Mayuri : Je continue : Après, pendant que vous attendiez votre tour, vous avez, en suivant votre instinct de mâle, lu les magazines pour mâles que j’ai moi-même placé au préalable. Ainsi vous resterez en érection !

Grimmjow : Donc si je comprends bien, t’as manigancé ça depuis le début !

Mayuri : Oui, c’est exactement ça !

 

Grimmy prend Kurotsuchi par le col, tellement il est en rogne.

 

Grimmjow : Mais pour qui tu me prends, le clown, hein !? Je suis et je reste le 6e Espada ! Et ce n’est pas un gugusse comme toi qui va me faire peur !

Mayuri : Houlà, on se calme, mon cher !

Grimmjow : Non, je ne me calmerai pas ! Si tu crois que t’auras mon sperme, tu te les mets là ou je pense !

Mayuri : Décidemment, vous les arrancars  vous refusez qu’on vous prélève quelque chose que vous sécrétez !

Grimmjow : Ouais, c’est ça, on ne veut pas qu-

 

Il s’interrompt car il ne comprend pas le sens de cette phrase.

 

Grimmjow : Comment ça, des choses qu’on sécrète ?

Mayuri : Ben, vous ne voulez pas me donnez un peu de votre sperme, et la femelle de tout à l’heure ne voulait pas me donner un peu de son lait !

Grimmjow : Quand tu parles de la femelle, tu parles de Neliel, n’est-ce pas ?

Mayuri : Oui, si vous voulez.

Grimmjow : Et tu ne pouvais pas prendre du sperme de l’autre fou à lunettes !?

Mayuri : Ah, lui ? Non, car il faudrait des dizaines d’années avant qu’il n’éjacule !

Grimmjow : Mais t’es dégelasse et cinglé, toi !

Mayuri : Non, je suis un scientifique.

 

L’ex sexta lâche le scientifique et se dirige vers la sortie.

 

Grimmjow : J’aurais bien voulu te casser la gueule, mais t’as l’air très faible. Moi, j’veux me battre contre un balèze ! Donc j’me casse !

 

Il sort, laissant le fou, déçu  de ne pas avoir ce qu’il voulait. Mais il ne baissera pas les bras.

 

Mayuri : Je l’aurai un jour, son sperme de mâle arrancar, je l’aurai.

 

A la 13e division, Neliel est avec le capitaine Ukitake pour boire du thé. Celui-ci est assis en seiza. Le seiza est la position assise traditionnelle au japon : sur les genoux, les talons sous les fesses. Neliel, pour la politesse, essaye de s’asseoir pareil, mais a du mas à garder la position car ça lui fait un peu mal.

 

Neliel : Cette position est vraiment dure à garder.

 

Normal, car à l’époque où elle était la tercera au sein de l’Espada, elle ne s’était jamais assise comme ça. A l’hure du thé, les Espadas s’assied tous à une longue table sur des chaises.

 

Neliel : Désolée si je me tiens mal, capitaine Ukitake, mais je ne me suis jamais assise comme ça.

Ukitake : Ce n’est pas grave, il faut un début à tout. Sinon, tout se passe bien ?

Neliel : Oui, très bien. Tous le monde à la 5e division est gentil avec moi, ils n’ont pas l’air d’avoir peur de moi dû à mes origines. Et Hinamori va beaucoup mieux depuis que je suis là.

Ukitake : Je suis content pour vous.

Neliel : Oui, mais…

 

Jûshiro sent que quelque chose ne va pas.

 

Ukitake : Quelque chose ne va pas, capitaine Tu Oderschwank ?

Neliel : Non, ce n’est rien.

Ukitake : Vous pouvez vous confier à moi.

Neliel hésite puis, en faisant un grand soupir, elle se lance.

Neliel : Bien. Tout à l’heure, le capitaine Kurotsuchi m’a dit que… pour lui…

 

Une larme sort de son œil droit pour couler sur sa joue. Arrivée à son menton, une goutte pend, pour ensuite tomber dans sa tasse de thé encore remplie du breuvage.

 

Neliel : Je ne suis qu’un sujet d’expérience.

Ukitake : Un sujet d’expérience ?

Neliel : Oui, il a cru que j’avais du lait à cause du volume de ma poitrine, alors que je n’en ai pas. Certaines personnes ici doivent encore me considérer comme… une ennemie.

 

Elle se retient pour pleurer. Le capitaine aux cheveux blancs pose sa main sur l’épaule de Neliel pour la réconforter.

 

Ukitake : Il ne faut pas vous en faire pour ça. Le capitaine Kurotsuchi ne s’intéresse guère aux sentiments des autres. Et puis beaucoup de gens vous apprécie.

Neliel : C’est vrai ?

Ukitake : Oui, Il y a sûrement quelques personnes qui ont encore du mal à accepter ce fait, mais ça viendra.

Neliel : Merci, capitaine Ukitake.

 

Quelqu’un frappe à la porte et entre. C’est Rukia avec une boîte dans les mains. Elle s’incline devant son capitaine.

 

Rukia : Bonjour, capitaine Ukitake.

Ukitake : Bonjour, Kuchiki.

Neliel : Salut Rukia !

Rukia : Vous êtes là aussi, Capitaine Tu Oderschwank.

Neliel : Tu peux m’appeler par mon prénom et me tutoyer, ça ne me dérange pas. Après tout, tu es une amie d’Ichigo.

Ukitake : Que veux-tu, Kuchiki ?

Rukia : J’ai un petit cadeau pour vous, de la part de toute la division pour votre rétablissement.

 

Elle lui tend la boîte qu’il prend. C’est une boîte de chocolat. Il l’ouvre.

 

Ukitake : Ah, du chocolat ! C’est vraiment gentil !

Neliel : Hmmmmm…

 

Les deux shinigamis se tournent vers Neliel. Celle-ci a les yeux rivés sur les chocolats de toutes sortes contenus dans la boîte. De la bave pend à ses lèvres.

 

Neliel : Chocolat…

Rukia : Neliel, ça va ?

 

La concernée reprend ses esprits. Elle essuie sa bave.

 

Neliel : D-désolée d’avoir réagit comme ça. C’est que… j’adore le chocolat et ça fait un bon moment que je n’en ai pas mangé.

Ukitake : Vous en voulez ?

Neliel : J-je peux ?

Ukitake : Bien sûr.

 

Le capitaine lui tend la boîte en retirant un chocolat au préalable. La capitaine est émerveillée devant tous ces chocolats. Elle en prend un au hasard, le met dans sa bouche et le croque.

 

Neliel : Hmmm… HMMMMM ! C’est trop bon !

 

Elle adore tellement ça qu’elle les prend un par un très vite et les fourre dans sa bouche. Les deux autres assistent à cette scène qui leur donne envie.

 

Rukia : Capitaine, quel est le chocolat que vous avez retiré, tout à l’heure.

Ukitake : Celui à la liqueur. Je le donnerai à Kyôraku. Il en raffole !

 

La capitaine a fini et a du chocolat plein les lèvres.

 

Neliel : C’était très bon.

 

Elle regarde la boîte et voit qu’elle est vide. Elle a mangée tout le chocolat qui était pour Ukitake.

 

Neliel : Je suis vraiment désolée, capitaine Ukitake ! Je n’ai pas pu m’arrêter !

Ukitake : Non, ce n’est pas grave.

Rukia : Tiens, j’y pense. Neliel, tu peux venir un instant ?

Neliel s’essuie les lèvres avec sa manche.

Neliel : Oui, bien sûr.

 

Les deux femmes sortent dehors pour discuter. Près d’elles, une petite mare.

 

Neliel : Qu’il y a-t-il ?

Rukia : J’étais sur terre avec Ichigo, et-

 

Elle est interrompue par Neliel qui la prend par les épaules et la secoue.

 

Neliel : I-il est arrivé quelque chose à Ichigo ? Il est blessé ?

Rukia : Non-non, pas du tout ! Il y a le Golden Week sur terre.

Neliel : Et ?

Rukia : Et bien Ichigo et Inoue vont pourvoir venir ici quelques jours, à la Soul Society.

 

La capitaine ne bouge pas, le temps de comprendre l’information.

 

Neliel : I-Ichigo va venir ?

Rukia : Oui ! C’est bien, non ?

Neliel fait un grand sourire et, après avoir lâché Rukia, sautille de joie sur place en criant d’hystérie !

Neliel : Ichigo va venir ! Je suis si contente ! Si heureuse ! Ichigooo !

Rukia : J’étais sûre que ça te ferai plaisir, mais je n’imaginai pas à ce point là !

 

L’ex tercera prend la shinigami par les mains et tournoie sur place, ce qui fait décoller du sol la pauvre Rukia et la fait voler !

 

Neliel : Ichigo va venir ! Ichigo va venir !

Rukia : N-Neliel, arrête ! J-j’ai le tournis !

Neliel : Ichigo va-

Rukia : Aaaaah !

 

Elle interrompt sa crise d’hystérie car elle se rend compte que Rukia n’est plus dans ses mains. On entend un « plouf ».

 

Neliel : Rukia ? Tu es où ?

Rukia : Derrière-toi !

 

Elle se retourne et voit la pauvre shinigami dans la mare, toute mouillée. Neliel, pendant qu’elle tournait a lâché Rukia qui a volé et a atterri  dans l’eau. Cette dernière crache de l’eau et a un nénuphar sur la tête.

Neliel : Oups, désolée !

 

Rukia : /bougonne/ Ce n’est rien !

 

Grimmjow, quand à lui, est à la dixième division pour défier Kenpachi. Il avance parmi tous les shinigamis qui se battent entre eux comme des brutes, ce qui lui donne envie de se battre. Il s’arrête et se met face aux autres.

 

Grimmjow : Hé.

 

Personne ne répond.

 

Grimmjow : J’vous cause, les nuls.

 

Personne ne l’entend dû aux bruits des lames qui s’entrechoquent. Grimmjow hurle.

 

Grimmjow : CHUIS ENTRAIN DE VOUS CAUSER, LES NULS !

 

Tous s’arrêtent et tournent leur tête vers l’arrancar, en se demandant ce qu’il fait là.

 

Grimmjow : Ah ben enfin ! Il est où, vot’ capitaine ?

 

? : IL n’est pas là.

 

Une personne sort du groupe et se met face à Grimmjow. C’est Ikkaku Madarame.

 

Grimmjow : Comment ça, il n’est pas là ?

Ikkaku : Il est parti faire un tour.

Grimmjow : Mon cul, oui ! Il a la trouille ! Va m’le chercher, le chauve !

Ikkaku : Je ne suis pas chauve ! Tu vas me…

Grimmjow : Quoi, tu veux te battre ? Ok, chuis ton homme !

 

Les deux hommes sont face-à-face, Grimmjow les mains dans les poches. Ikkaku libère son zanpakuto.

 

Ikkaku : Allonge-toi, Hôzukimaru !

 

Son sabre se transforme en lance. Il fonce sur le bleu et l’attaque. Son adversaire esquive ses coups avec une si grande facilité toujours les mains dans les poches que ça l’énerve.

 

Ikkaku : Tu vas arrêter de bouger, oui !?

Grimmjow : Et toi, c’est tout ce que tu sais faire ? Lamentable.

 

Grimmy sort sa main droite de sa poche et choppe la lance du chauve au moment de son coup. Il prend l’arme avec son autre main et, avec beaucoup de force, entraîne le shinigami avec sa lance vers un mur. Ce dernier se fracasse violemment contre le mur. Il s’écroule sur le sol, dans les vapes. Il reste la trace de son corps sur le mur. Le bleu se tourne vers les autres, effrayés par la force de l’ancien espada.

 

Grimmjow : Qui veut se battre ?

 

Le blanc complet. Tous les shinigamis, sauf Ikkaku toujours évanoui, déguerpissent en courant, laissant le bleu sans adversaire.

 

Grimmjow : Bande de lopettes !

 

Il scrute le lieu pour voir si le capitaine n’est pas là. Personne. Il est vexé.

 

Grimmjow : Viens là, Kenpachi !

 

Personne ne répond. Du coup, il parle tout seul.

 

Grimmjow : Chuis sûr que t’es là ! T’as la trouille ? T’as pas les couilles pour venir ? Viens t’battre, si t’es un homme !

 

Toujours aucune réponse. L’ex sexta a l’air de se préparer à exploser, tellement il est furax  de l’abscence de son adversaire. Il lève la tête vers le ciel et hurle.

 

Grimmjow : RAMENE TON CUL ICI, KENPACHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIiiiii !!!!!

 

Il hurle tellement fort qu’on dirait un rugissement de lion ! Tellement fort que l’on entendait son hurlement dans tout le seireitei ! Voyons voir ce que faisaient certains shinigamis au moment du hurlement de Grimmjow.

-Byakuya Kuchici, le capitaine de la 6e division, admirait un magnifique cerisier en fleurs avec Renji.

 

Renji : Ce cerisier est magnifique, n’est pas capitaine ?

Byakuya : … Oui.

 

Quand soudain…

 

Grimmjow : RAMENE TON CUL ICI, KENPACHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!

 

Il y eu un vent tellement violent que toutes les pétales roses du cerisier s’envolent ! Il ne reste plus qu’un arbre sans rien ! L’ananas rouge a les yeux écarquillés.

 

Renji : … Gnéééééééééééééé !!!!?

Byakuya : …

 

-Pesche et Dondochakka font encore leur concours de celui qui fait le plus beau caca ! C’est Pesche qui s’y colle.

 

Pesche : GNNNNNNNN…

Dondochakka : Allez, Pesche ! Tu peux le faire, pour sûr !

 

Quand soudain…

 

Grimmjow : RAMENE TON CUL ICI, KENPACHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIi !!!!!

Pesche : Et merde ! J’ai été déconcentré !

 

Ils regardent dans le fond des toilettes et qu’est-ce qu’ils voient ? Une petite crotte !

 

Dondochakka : C’est moi qui ai gagné, pour sûr !

Pesche : Rhôôôô, c’est bon !

 

-Le capitaine Kyoraku dort tranquillement sur le sol, avec une brindille à la bouche, faisant apparemment un beau rêve, très beau, même !

 

Kyoraku : Mmmmm… Neliel… Ton corps, si magnifique… si majestueux… si parfait…

 

Quand soudain…

 

Grimmjow : RAMENE TON CUL ICI, KENPACHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!

 

Le paresseux se réveille en sursaut, tellement le cri est bruyant.

 

Kyoraku : Mon si beau rêve, gâché comme ça, si brusquement !

 

-Dans la salle du Club des Femmes Shinigamis, Yachiru et Nanao lisent des feuilles écrites par les autres membres du club.

 

Yachiru : Pfff… M’ennuie…On ne joue même pas !

Nanao : Présidente, il faut lire ces feuilles.

Yachiru : Mais j’ai pas envie !

 

Quand soudain…

 

Grimmjow : RAMENE TON CUL ICI, KENPACHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!

Nanao : Qu … Quel était ce cri terrifiant ?

Yachiru : Apparemment on veut défier Ken ! J’y vais !

 

La petite se dirige vers la porte de sortie.

 

Nanao : Attendez, présidente, on n’a pas fini de-

 

Trop tard. Yachiru sort en fermant violemment la porte, laissant la pauvre vice-capitaine toute seule.

 

-Kenpachi rentre au Seireitei tranquillement, toujours au Rukongai.

 

Kenpachi : Tss ! M’emmerde.

 

Quand soudain…

 

Grimmjow : Ramène ton cul ici, Kenpachiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!

 

Le capitaine s’arrête, a l’écoute de l’appel du sexta, moins fort vu la distance.

 

Kenpachi : Tien, on me défie ! Parfait…

 

Il se lèche les lèvres et fonce le plus vite qu’il peut pour rejoindre son adversaire.

-A la 13e division, Neliel se retourne en entendant l’horrible hurlement de Grimmjow.

 

Grimmjow : RAMENE TON CUL ICI, KENPACHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!!

Neliel : Oh non, pas ça !

 

Ukitake sort en entendant ce cri.

 

Ukitake : Qui est-ce qui hurle comme ça ?

Neliel : C’est Grimmjow. La dernière fois que je l’ai entendu hurler comme ça, il était en manque de combat.

Rukia : Et qu’est-ce qui pourrait arriver ?

Neliel : Il… Il pourrait tuer des innocents pour se défouler ! Il faut que j’intervienne !

 

La capitaine disparaît en faisant un sonido.

 

Grimmjow, énervé, secoue le pauvre Ikkaku, toujours dans les vapes.

 

Grimmjow : Tu te réveilles toi, oui ou merde !?

 

Bien sûr aucune réponse.

 

Grimmjow : Tu l’auras voulu !

 

Le bleu prépare son poing pour frapper le chauve. Mais au moment où il va lancer son poing, celui-ci est stoppé par une main de femme. Il tourne sa tête et qui il voit ? Neliel, le regardant sévèrement.

 

Neliel : Lâche cet homme, Grimmjow.

Grimmjow : Tu ne peux pas t’occuper de tes niches et me laisser me défouler ?

Neliel : Je t’ai dit de le lâcher !

Grimmjow : Tss ! A vos ordres, majesté !

 

Le bleu balance Ikkaku vers un mur. Neliel fait un sonido et l’attrape par derrière pour ensuite le reposer sur le mur où il, devait se fracasser. Elle retourne vers Grimmjow.

 

Neliel : Calme-toi, Grimmjow.

Grimmjow : Non, j’me calmerai pas ! J’ai b’soin de tabasser quelqu’un !

Neliel : Sans aucune raison, n’est-ce pas ?

Grimmjow : D’ailleurs tu tombes bien ! En attendant Kenpachi, on va se battre, toi et moi !

Neliel : Pourquoi le ferai-je ? Je n’ai aucune raison valable à me battre contre toi.

Grimmjow : Et pour toi, c’est quoi qui te pousserai à te battre ?

Neliel : Si, actuellement, tu avais fait du mal à une personne chère, je l’aurai fait. C’est ça, une raison qui pousse un être, qui soit shinigami, arrancar ou humain, à protéger ceux qui sont chers à ses yeux.

 

Les êtres chers de Neliel sont ses 2 fraccions et Ichigo, bien sûr. Grimmjow reste indifférent devant cette leçon de morale, qui le fait marrer.

 

Grimmjow : BWAHAHAHAHA ! C’est pour les femmelettes, oui ! Même Halibel ne se battrai pas pour une raison aussi ridicule !

Neliel : Que fait Halibel dans la conversation ?

Grimmjow : Il s’en est passé des choses depuis ta disparition, ma chère Neliel ! Halibel est la 3e Espada, maintenant!

 

La capitaine est surprise par cette annonce.

 

Neliel : Halibel est… devenue la troisième Espada ?

Grimmjow : Oui, comme toi à l’époque ! Il est vrai que vous étiez amies. Mais elle ne s’est pas laissé corrompre par ta trop grande gentillesse ! Elle au moins, elle ne se bat pas pour des broutilles pareilles ! C’est une vraie guerrière !

?: Hé, ho !

 

Il est interrompu par Kenpachi qui vient d’arriver. Les 2 arrancars se tournent vers lui.

 

Kenpachi : C’est qui qui m’a appelé ?

Grimmjow : C’est toi, Kenpachi ? Tu m’as fait attendre !

Kenpachi : C’est donc toi, Grimmjow !

Grimmjow : Ouais, et j’veux t’affronter !

Kenpachi : T’es fort, au moins ?

Grimmjow : Chuis le 6e Espada.

 

L’homme au bandeau sourit de satisfaction.

 

Kenpachi : Enfin ! Je n’avais pas eu d’adversaires forts depuis Nnoitra !

Grimmjow : Tu t’es battu contre ce fumier ?

Kenpachi : Ouaip ! J’l’ai même tué !

Grimmjow : Bien fait pour sa gueule à cet enfoiré !

Neliel : Vous avez battu Nnoitra ?

 

Kenpachi se tourne vers la jeune femme.

 

Kenpachi : Ouais, femme.

Neliel : Merci.

Kenpachi : Hein ? Merci d’quoi, femme !

Neliel : Grâce à vous, il a eu ce qu’il voulait : mourir au combat.

Kenpachi : Qu’est-ce que j’en ai à foutre de ça ? J’l’ai tué, point barre !

Grimmjow : Alors Kenpachi, on s’le fait, notre combat ?

Kenpachi : Ouais…

 

Les deux hommes se regardent droit dans les yeux, d’un regard meurtrier.

 

Neliel : Vous-vous n’allez pas vous battre ?

Kenpachi : Et pourquoi pas, femme ?

Neliel : Vous n’allez tout de même pas vous battre entre capitaine ! En plus, Ichigo va bientôt venir et-

 

Les deux hommes regardent Neliel bizarrement.

 

Neliel : Quoi, qu’est-ce que j’ai dit ?

Les deux : IL va venir ?

Neliel : Oui, je l’ai appris tout à l’heure.

 

Ils ont tous les deux le même sourire satisfait.

 

Les deux : Il est à moi !

 

Ils se regardent l’un de l’autre.

 

Grimmjow : C’est MOI qui me bats contre lui !

Kenpachi : Non ! C’est moi !

 

Ils s’échangent par les yeux de l’électricité.

 

Neliel : Mais enfin, calmez-vous !

? : Keeeeen !

 

Une petite fille saute sur Kenpachi. C’est Yachiru.

 

Yachiru : Alors, Ken, tu vas te battre contre qui ?

Kenpachi : Lui.

 

La fillette tourne la tête vers Grimmjow.

 

Yachiru : Salut, le schtroumpf !

 

Grimmjow : Le QUOI !?

Neliel : Schtroumpf, Grimmjow . Les schtroumpfs sont des personnages de bandes dessinés, des petits lutins bleus crées en 1958 par Peyo.

Grimmjow : Pige rien.

 

Yachiru descend de Kenpachi et se face à Neliel, étonnée de voir une si petite fille shinigami. Cette dernière se baisse à sa hauteur.

 

Neliel : Bonjour, comment tu t’appelles ?

Yachiru : Salut Capitaine Gros Nibards ! Moi c’est Yachiru !

Neliel : Capitaine … Gros nibards ?

Yachiru : Oui, c’est ton surnom à toi ! IL est rigolo, non ?

Neliel : Heu…

Yachiru : Je t’informe que tu es un nouveau membre du Club des Femmes Shinigamis !

Neliel : C’est vrai ? C’est vraiment gentil !

Yachiru : C’était à la coincée de te le dire mais bon.

Neliel : La… coincée ?

 

La coincée c’est Hinamori.

 

Kenpachi : Tu viens, Yachiru ?

Yachiru : Oui, Ken !

 

La fillette saute sur l’épaule du capitaine et s’agrippe à son haori. Il s’en va.

 

Grimmjow : Hé ! Où tu vas, Kenpachi !?

Kenpachi : M’en vais ! On s’battra une aut’ fois !

Grimmjow : Salopard ! Tu vas…

 

Il veut foncer sur Kenpachi, mais Neliel le retient en l’attrapant par le col.

 

Grimmjow : Lâche-moi, que je l’écrase !

Neliel : Arrête Grimmjow. On n’est pas là pour se battre.

Grimmjow : C’que t’es chiante !

 

A la 1ere division, Yamamoto engage un nouveau capitaine. Enfin, plutôt une capitaine. Celle-ci a de long cheveux blonds lui arrivant jusqu’au bas du dos.

 

Yamamoto : Miyabi Kirio, je vous déclare officiellement capitaine de la 3e division.

 

La femme fait un sourire au coin.

 

Miyabi : Oui, capitaine-commandant. J’en suis très honorée.

 

Ce chapitre en deux parties est fini ! Au chapitre 7!

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Voici le chap 7, bonne lecture!

 

Chap 7 : Ichigo est là !

 

A la Soul Society, ce jour-là, il pleut. Des torrents d’eau tombent sur le lieu. C’est le matin. A la 5e division, la coincée, enfin je veux dire Momo Hinamori, se dirige vers le bureau de sa capitaine. Juste à sa gauche, la pluie tombe. Elle, est au sec.

 

Momo : J’espère que la capitaine Neliel est réveillée.

 

Arrivée à la porte, elle frappe doucement.

 

Momo : Capitaine, vous êtes là ?

 

Aucune réponse. Timidement, elle ouvre la porte pour y rentrer. Devant elle, sa capitaine dort dans son lit. Hinamori s’approche doucement pour ne pas la réveiller brusquement. Neliel, elle parle en dormant.

 

Neliel : Hmmm… Ichigo… Ichigo…

Momo : Mais c’est qui, Ichigo ? Heu, capitaine ?

 

L’ex tercera ouvre les yeux, puis s’étire.

 

Neliel : J’ai vraiment bien dormi.

 

Elle remarque que sa subordonnée est à côté d’elle.

 

Neliel : Bonjour, Hinamori.

Momo : Vous avez bien dormi, capitaine ?

Neliel : Oui, j’ai même fait un très beau rêve. Je-

 

Elle s’interrompt car quelque chose l’intrique dehors. Elle se lève de son lit, et sort de son bureau. Elle a sur elle un kimono blanc. Elle s’arrête face à la pluie. La jeune vice-capitaine la rejoint.

 

Momo : Ca va, capitaine ?

Neliel : Hinamori, quel est cette eau qui tombe du ciel ?

Momo : C’est la pluie, capitaine.

Neliel : La pluie ? C’est… C’est…

 

La capitaine a l’air captivée par la pluie.

 

Neliel : C’est magnifique.

Momo : Vous… Vous trouvez la pluie magnifique, capitaine ?

 

La belle arrancar  met sa main sous la pluie. Puis, doucement elle se met entièrement sous la pluie, ce qui étonne fort Momo.

 

Momo : Mais capitaine, que faites-vous ?

Neliel : C’est si beau.

Momo : Mais revenez vous mettre à l’abri !

 

Pesche et Dondochakka arrivent en trombe.

 

Pesche : Capitaine Nell ! Que faites-vous ?

Neliel : Allez, venez vous deux ! Ca fait tellement du bien !

 

Les 2 rentrent timidement sous la pluie et rejoignent leur ancienne maîtresse.

 

Dondochakka : C’est rigolo, pour sûr !

 

La jeune fille les regardent jouer sous la pluie et constate que, même entièrement trempée, sa capitaine reste toujours aussi belle. Mais ce qui devait arriver arriva.

 

Momo : Si vous restez sous la pluie, vous allez-

Les 3 : Atchoum !

Momo : /a une grosse goutte derrière la tête/ Attraper un rhume.

 

Un peu plus tard, tous se réchauffent dans le bureau de Neliel avec une couverture, ayant tous les trois attrapé froid.

 

Dondochakka : J-j’ai froid –Tchoum !-, pour sûr !

Pesche : A-a-arrête de- Tcha !- de te plaindre !

Momo : Ca va aller, capitaine ?

Neliel : Oui, ne t’in-Tchii !- ne t’inquiète pas.

Momo : Pourquoi trouvez-vous la pluie magnifique ?

Neliel : Tu sais Hinamori, au Hueco Mundo et même dans le désert de Las Noches, la pluie n’existe pas. C’est la première fois que j’en vois, tu comprends.

Momo : Tout à l’heure, pendant votre sommeil, vous répétez « Ichigo ». Qui est-ce ?

 

Il est normal qu’elle ne connaisse pas notre rouquin national car elle était à l’hôpital après la trahison d’Aizen.

 

Neliel : C’est un ami très cher. C’est grâce à lui que j’ai retrouvée ma véritable apparence.

Momo : Comment ça, votre véritable apparence ?

Neliel : Ha oui, je ne t’ai pas racontée cette histoire. Il y a-

 

Elle est interrompue par un papillon de l’enfer qui rentre dans le bureau et fais une annonce.

 

Papillon de l’enfer : « A tous les capitaines. Rendez-vous à 10h00 dans la salle de réunion. »

Neliel : Hinamori, quelle heure est-il ?

Hinamori : 9h45.

 

La capitaine commence à s’affoler.

 

Neliel : Zut ! Je vais être en retard !

 

Elle se lève brusquement et cours enfiler son Kimono et son haori vite fait bien fait. Elle le fait le plus vite qu’elle peut.

 

Neliel : Zut, Zut, Zut !

 

Elle se presse vers la porte de son bureau en prenant un manteau pour se couvrir.

 

Momo : Heu, capi-

Neliel : Pas le temps ! On se voit tout à l’heure !

Momo : Mais vous avez oublié de-

 

L’ex tercera claque porte, interrompant Hinamori.

 

Momo : Prendre votre petit déjeuner.

 

Pendent ce temps, à la 9e division, Hisagi aussi se rend pour voir son détestable capitaine.

 

Hisagi : Même si il dort, je le réveille !

 

Il rentre dans le bureau. Personne. Aucune trace du sexta dans la pièce. Il y a par contre le bureau qui, avec autant de feuille dessus, vibre bizarrement. Le balafré va jeter un coup d’œil sous celle-ci et qui voit-il ? Grimmjow, caché sous la table, claquant des dents et tremblant comme une feuille.

 

Hisagi : Heu, capi-

Grimmjow : AAAAAH !

 

Il se reprend et remarque son vice-capitaine.

 

Grimmjow : Ha, c’est toi, Mr 69.

Hisagi : Y m'énerve,y m'énerve! Qu'est-ce qui vous arrive?

Grimmjow : T-t’as vu ce qui se passe, dehors ?

Hisagi : Il…pleut ?

Grimmjow : Toute cette eau qui tombe, c’est cauchemardesque ! J’ai horreur de l’eau !

Hisagi : … Vous avez peur de la pluie ?

Grimmjow : Pluie, ou appelle ça comme tu veux, mais moi, j’reste ici !

 

Shûhei pouffe, puis se met à rire comme un malade en pointant du doigt le gros chat.

 

Hisagi : BWAHAHAHAHAHAHAHAHA !!!

Grimmjow : Kess t’as à rire comme ça ?

Hisagi : Vous vous la pètez à être le plus fort, mais en fait vous êtes un gros froussard ! HAAAAHAHAHA !

 

Le bleu se relève tellement fort qu’il casse en deux la table !

 

Grimmjow : Ta gueule !

Hisagi : Fouaaahahahahahahaha ! C’est d’un hilarant !

Grimmjow : /Une veine sur le front/ Tu vas voir…

 

Alors qu’il s’apprête à frapper Mr 69, un papillon de l’enfer entre dans la pièce.

 

Grimmjow : C’est quoi, ce truc ?

Papillon : «  A tous les capitaines : rendez-vous à 10h00 à la salle de réunion. »

Grimmjow : Ta gueule.

Papillon :  Je répè-

 

La brute prend violemment l’insecte dans sa main et l’écrase dedans. En l’ouvrant, il ne reste que des petits débris tombant au sol.

 

Grimmjow : Voilà. Il l’avait bien cherché, sale bestiole.

Hisagi : Mais vous êtes complètement taré de faire ça !

Grimmjow : J’avais b’soin de me défouler !

Hisagi : Bon, vous avez entendu. Allez-y à la réunion.

Grimmjow : Pas envie. Tant qu’il « pleut » je n’irai pas.

Hisagi : Oh que si ! C’est votre devoir de capitaine.

 

Hisagi prend le bleu par le col et le traîne pour le mettre dehors. Ce dernier crie comme un gamin.

 

Grimmjow : NON ! PAS LA PLUIE !!

Hisagi : Vous êtes un adulte, tout de même !

Grimmjow : NOOOOOOOOOOOON ! VEUT PAS ETRE TREMPE !!

 

A 10h00, tous les capitaines ou presque sont au rendez-vous. A gauche : Soi Fon, Ukitake, Shunsui, Unohana, Komamura et Kurotsuchi. A droite : Byakuya, Hitsugaya, Neliel et Grimmjow. Tous sont secs. Ai-je dis « tous » ? Non, Grimmjow est entièrement trempé !

 

Grimmjow : Grmbll…

Neliel : Grimmjow, pourquoi es-tu trempé ?

Grimmjow : Cet enfoiré de Mr 69 m’a forcé à aller sous cette eau ! Je hais la pluie !

Neliel : Mais voyons, c’est magnifique la pluie.

Grimmjow : Parle pour toi !

 

Le regard de la capitaine se dirige vers Mayuri. Celui-ci la regarde. Il sort de sa poche un objet. C’est…un tire-lait ! Le maboul lui montre l’objet en faisant son énorme sourire sadique ! Elle préfère ne pas le regarder. Sans prévenir, on entend un petit gargouillit sortir du ventre de Neliel qui met sa main dessus.

 

Neliel : Que j’ai faim. J’ai rien pris ce matin.

 

Le capitaine commandant arrive.

 

Yamamoto : Capitaines des armées de la cour, bienvenue. Aujourd’hui, nous accueillons la nouvelle capitaine de la 3e division.

Grimmjow : Qu’est-ce que j’en ai à foutre ? J’me casse !

 

Le sexta fait un sonido et se met face à la grande porte qui s’ouvre.

 

Neliel : Grimmjow ! Reviens à ta place !

Grimmjow : Pas envie ! Hasta la vista, les nullos !

 

Il se retourne vers la sortie et, en se préparant à foncer, sa tête se retrouve dans une poitrine féminine ! Il reste là, sans bouger. Il lève la tête, voir à qui appartient ces paires. C’est Miyabi, la nouvelle capitaine, qui le regarde.

 

Miyabi : …Tu es un…arrancar…

 

Le sexta part en arrière dû à son saignement de nez et tombe à terre. Neliel vient le chercher.

 

Neliel : Je suis désolée si il vou-

 

L’estomac de la belle arrancar émet un gros gargouillement. Elle rougit.

 

Neliel : a offensé.

Miyabi : …

 

La nouvelle est surprise de voir 2 arrancars dans les rangs du seireitei. Neliel ramène le bleu en le traînant avec son épaule. Il semble aux anges.

 

Neliel : Tu devrais avoir honte !

Grimmjow : /bave/ Gros nibards…

Neliel : /soupire/ Désespérant.

 

Les 2 espadas reviennent à leur place, la verte portant toujours le bleu. La nouvelle capitaine commence à se diriger vers Yamamoto. Elle a l’air d’avoir la vingtaine. Elle a de long cheveux blonds lui arrivant jusqu’au bas du dos avec deux courtes mèches sur le front assez écartées l’une de l’autre, les yeux violets, une forte poitrine, plus précisément du 93 C, sans faire de décolleté. Elle porte le haori sans manches avec le Kanji du 3 sur le dos, et porte une sorte de foulard bleu lui servant de ceinture où elle coince son Zanpakuto sur la droite. Arrivée au bout, elle se tourne vers les autres.

 

Yamamoto : Présentez-vous.

Miyabi : Miyabi Kirio, capitaine de la 3e division.

 

Kyôraku et Ukitake se posent des questions.

 

Kyôraku : Jûshiro, ce nom de famille ne te dit rien, à toi ?

Ukitake : Oui, je l’ai déjà entendu quelque part, mais où ?

Unohana : Hikifune Kirio.

 

Les 2 hommes se tournent vers la capitaine de la 4e division.

 

Unohana : Souvenez-vous, il y a 110 ans. La capitaine de la 12e division, Hikifune Kirio, a été promue à la division 0, la garde royale.

Kyôraku : Mais oui, c’est vrai !  J’avais complètement oublié !

Ukitake : Cela pourrait dire que cette femme a peut-être un lien de parenté avec Hikifune.

 

La capitaine leur sourit en fermant les yeux.

 

Unohana : Vous savez, vous devriez avoir honte d’oublier vos anciens collègues au fil des années…

 

Et là elle leur fait son regard à la fois vide et sévère dont elle a le secret en leur parlant d’un ton sec.

 

Unohana : Capitaine Kyôraku et Capitaine Ukitake.

 

Les 2 hommes sont effrayés et en sueur. Soi Fon, de son côté, semble jalouse de Miyabi.

 

Soi Fon : Décidemment, le capitaine-commandant a l’air d’apprécier les femmes à la poitrine plantureuse ! La capitaine Unohana, cette espada dont je me méfie, il y a eu aussi Dame Yoruichi, et maintenant celle-là ! Et c’est qui, l’intruse ? C’est moi, avec mon 75 D !

 

Neliel regarde la nouvelle, toujours en portant Grimmjow.

 

Neliel : Elle est vraiment belle, tu ne trouves pas, Gri-

 

Ce dernier bave, les yeux rivés sur la poitrine de Miyabi.

 

Grimmjow : Gros nibrads…

 

La beauté a la goutte sur la tête.

 

Yamamoto : Vous pouvez disposer.

 

Tous sortent de la salle, le soleil est revenu. Hitsugauya vient vers Neliel, ayant laissé Grimmjow dans son délire.

 

Hitsugaya : Neliel.

Neliel : Salut, p’tit Tôshiro !

 

Le minus a horreur qu’on lui donne des surnoms. La capitaine lui ébouriffe les cheveux.

 

Neliel : Alors, tu vas bien ?

Hitsugaya : S’il te plaît, lâche mes cheveux. J‘ai horreur de ça.

Neliel : /lui lâche les cheveux/ Bon, d’accord.

Hitsugaya : Je voulais te remercier pour Hinamori. Elle va beaucoup mieux.

Neliel : Mais de rien.

 

Sans prévenir, Rukia arrive en shunpo.

 

Rukia : Bonjour, Neliel, et à vous aussi, capitaine Hitsugaya.

Hitsugaya : Bonjour.

Neliel : Salut, Rukia.

Rukia : J’ai une bonne nouvelle à t’annoncer : Ichigo et Inoue viennent d’arriver.

 

Petit blanc.

 

Neliel : I-Ichigo est là ?

Rukia : Oui, ils sont à la 5e division.

 

« Ichigo » résonne dans la tête de Neliel. Celle-ci commence à sourire, ce qui inquiète Rukia.

 

Rukia: Ho-ho…

Hitsugaya: Quoi?

Rukia: La dernière fois que je lui ai parlée d’Ichigo, elle…

Hitsugaya : Elle ?

 

Et d’un coup, La belle arrancar se met à sautiller sur place et à crier d’hystérie !

 

Neliel : Ichigo est là ! Je suis trop contente ! Ichigooooooo !

 

Le minus est surpris de la voir dans cet état. Il remarque que Rukia a reculé de quelques pas.

 

Rukia : Vous devriez reculer, capitaine Hitsugaya, sinon…

Hitsugaya : Sinon quoi ?

 

Brusquement, ce dernier se fait choper par Neliel qui le serre contre elle. Il ne touche même pas le sol ! Et comme par miracle, sa tête se retrouve pile entre les seins de Neliel !

 

Rukia : Sinon ça.

Neliel : T’as entendu, Tôshi !? Ichigo est venu me voir !

 

Elle serre de plus en plus fort le petit dont la tête s’enfonce de plus en plus dans la vallée des dieux de la belle arrancar !

 

Hitsugaya : T-tu peux me lâcher !? J’étouffe !

Neliel : J’arrive, Ichigo !

 

Neliel, tellement que sa joie est grande, fonce comme une folle vers sa division, toujours en serrant Tôshirô dans ses bras.

 

Neliel : IIICHIGOOOOOOOOOOO !!!

 

En un rien de temps, on ne la voit plus, laissant Rukia seule, une goutte derrière la tête..

 

Rukia : Hé ben…

?: Hé !

 

La shinigami sursaute de surprise et se retourne. C’est Grimmy.

 

Rukia : T-tu m’as fait peur, Grimmjow !

Grimmjow : M’en fous ! Alors comme ça, Kurosaki est ici, hein ?

Rukia : Ou-oui.

Grimmjow : Hin hin. Parfait…

 

Le capitaine se rend à la 5e division, satisfait de la venue du roux. Certains capitaines ont vu la scène, ayant une réaction différente.

 

Kyôraku : Notre amie a l’air très enthousiaste de revoir Ichigo.

Ukitake : C’est vraiment un cas à part chez les arrancars.

Mayuri: Hoho ! Alors comme ça, cette femelle arrancar peut être hystérique de joie ? Très intéressant !

La plus surprise est Miyabi, la nouvelle.

 

Miyabi : Mais c’est quoi ce délire !? C’est impossible qu’une arrancar soit… comme ça ! C’est bizarre !

 

Matsumoto vient d’arriver, cherchant son capitaine.

 

Matsumoto : Ben, il est où, le capitaine ?

 

A la 5e division, Ichigo, en shinigami, et Orihime suivent Pesche et Dondochakka.

 

Orihime : J’ai hâte de revoir Neliel, pas toi Kurosaki-kun ?

Ichigo : Oui, moi aussi.

Pesche : Dame Nell a vraiment hâte de te revoir, Ichigo.

Dondochakka : Vraiment hâte, pour sûr !

Ichigo : Mais dites, vous nous emmenez où ?

Pesche : Vous présenter à la vice-capitaine Hinamori. D’ailleurs on arrive.

 

L’insecte frappe à la porte, une voix de jeune fille se fait entendre.

 

Momo : Entrez.

 

Il ouvre la porte du bureau, où Hinamori est assise à lire un livre.

 

Hinamori : Ha, c’est vous deux. La capitaine Neliel est revenue ?

Pesche : Non, pas encore.

Dondochakka : Il y a des invités pour Dame Nell, pour sûr !

 

Les deux roux s’approchent de la jeune vice-capitaine pour se présenter.

 

Orihime : Orihime Inoue. C’est moi qui t’as soignée.

Ichigo : Ichigo Kurosaki.

Momo : C’est donc toi, Ichigo. Capitaine Neliel m’a parlée de toi, ce matin.

Ichigo : D’ailleurs, où est-elle ?

Momo : Elle est à une réunion, je ne sais pas quand elle va revenir.

Ichigo : Bon, on va l’attendre.

Pesche : Pas la peine d’attendre.

Dondochakka : On l’entend arriver, pour sûr !

 

Effectivement, on entend Neliel crier « Ichigo ! »  . Arrivée à la porte, elle fait un dérapage contrôlé et s’arrête pile devant la porte. Elle sert toujours le pauvre Hitsugaya, qui semble évanoui !

 

Neliel : Ichigo !

Ichigo : Bonjour, Nell, je veux dire Neliel. Tu-

 

Elle lâche Tôshirô et bondit sur Ichigo.

 

Neliel : Ichigooooooo !

 

Elle se ramasse sur lui, ce qui le fait tomber. Momo accoure vers Tôshirô, évanoui.

 

Momo : Tôshiro !

 

L’arrancar serre encore une fois le shinigami remplaçant, qui n’arrive plus à respirer tellement que l’étreinte est forte, très forte !

 

Neliel : Ooooh Ichigo ! Tu m’as tellement manqué ! Je suis si heureuse, quelle joie ! Ichigoooo !

Orihime : A-arrête, Neliel, Si tu continues, tu vas briser les os de Kurosaki-kun !

Pesche : Laisse Dame Nell exprimer sa joie.

Orihime : Mais. Et si elle-

Neliel : IIICHIGOOOOO !!

 

Momo, de son côté, essaye de faire ramener Hitsugaya à lui en le secouant.

 

Momo : Tôshirô ! Je t’en prie, réveille-toi !

 

Celui-ci revient à lui.

 

Hitsugaya : Mmmm… Hinamori ?

Momo : Tôshirô , j’ai eu si peur !

Hitsugaya : Je t’ai déjà dit de m’appeler « capitaine Hitsugaya » ! Ca te plairai que je te surnomme « Momo la pisseuse » !?

Momo : T’es méchant !

 

La jeune vice-capitaine remarque ce que fait sa supérieure en entendant ses cris de joie et accoure.

 

Momo : Capitaine Neliel, arrêtez ! Vous allez l’étouffer en le serrant ainsi !

? : Kurosaki !

 

Neliel lâche le rouquin qui reprend son souffle et tous se retournent pour savoir qui vient d’appeler Ichigo. C’est Grimmjow.

 

Neliel : Grimmjow, que fais-tu là ?

Grimmjow : Moi aussi, j’ai envie de lui dire bonjour !

Orihime : B-bonjour, Grimmjow.

Grimmjow : Salut la cruche !

 

Ichigo se relève, contrarié de la façon dont le bleu a surnommé son amie.

 

Ichigo : N’appelles pas Inoue comme ça !

Grimmjow : Enfin tu te relèves, sale lâche !

Neliel : Ichigo a raison. Surveille ton language.

Grimmjow : Toi, j’t’ai pas sonné !

Ichigo : Je vois que vous allez bien, tous les deux. /il regarde Neliel/ Surtout toi, Nell- Euh, Neliel.

 

Les joues de la concernée deviennent rouges.

 

Neliel : T-tu peux m’appeler Nell, Ichigo. Ca ne me dérange pas.

Ichigo : D’accord.

 

Il lui sourit, ce qui a pour effet à Neliel qu’elle devient toute rouge et se touche les joues.

 

Neliel : Il m’a regardé ! Ichigo m’a regardé et m’a sourit !

 

La coincée remarque l’état de sa capitaine qui est entrain de se dandiner.

 

Momo : Capitaine, ça va ? Vous êtes toute rouge.

 

Neliel reprend ses esprits.

 

Neliel : Hein ? Ha, pardon.

Grimmjow : Et si on reprenait là où on en était, Kurosaki ?

Ichigo : Tu ne me parles pas de…

Grimmjow : Si ! On va se battre ici et maintenant !

Orihime : Ku-Kurosaki-kun est venu pour un peu de repos, pas pour se battre, Grimmjow.

Grimmjow : J’t’ai pas parlé, à toi !

Ichigo : Tu as toujours cette idée en tête, n’est-ce pas ?

Grimmjow : Oh que oui ! Ca fait plus d’une semaine que j’ai glandé à rien foutre !

Neliel : Grimmjow. Je t’ai déjà dit de laisser Ichigo tranquille.

? : Salut, Ichigo !

 

Un autre capitaine s’incruste : Kenpachi.

 

Ichigo : K-kenpachi !?

Grimmjow : Kess tu fous là, Kenpachi ?

Kenpachi : Pour la même raison que toi.

 

Yachiru apparaît par l’épaule du balafré.

 

Yachiru : Salut le schtroumpf, capitaine gros nibards, Ichigo, pouic-pouic, la coincée et Mr Freeze !

Orihime : Bonjour, Yachiru.

Grimmjow : Arrête de m’appeler comme ça, sale petite conne !

Neliel : Grimmjow ! C’est une enfant, ne lui parle pas comme ça !

Kenpachi : La femme a raison.

Grimmjow : Alors, le petit Ken à sa maman joue au baby-sitter, maintenant ?

 

Une veine apparaît sur le front de Zaraki, vexé.

 

Kenpachi : Parle-moi autrement, avorton. De toute façon Ichigo est pour moi.

 

Une veine aussi pour le sexta

.

Grimmjow : Non, il est à moi !

Kenpachi : C’est moi qui l’ai combattu en premier !

Grimmjow : Et moi en dernier ! Je veux ma revanche !

Kenpachi : Ben moi aussi ! Entre nous deux, y en a un de trop ici !

Grimmjow : Tu veux t’battre !?

Kenpachi : Ouais…

 

Ils se regardent avec un regard de meurtrier. Les autres dans la pièce ont une grosse goutte derrière la tête en voyant la dispute.

 

Ichigo : Heu, les gars…

Neliel : Voyons, calmez-vo-

Grimmjow : Ta gueule, la gourdasse !

Neliel : C… Comment !?

Ichigo : Grimmjow ! Parle autrement à Nell !

Neliel : /rougit/ Ichigo a pris ma défense. C’est si touchant ! Si vous voulez régler vos différents, faites-le sans violence.

Kenpachi : Et comment, femme ?

Orihime : Heu… Vous n’avez qu’à faire un… bras de fer.

 

Silence absolue. Tous regardent la pauvre Inoue, qui semble avoir dit une bêtise.

 

Inoue : Qu-quoi ? J’ai dit quelque chose de mal ?

Grimmjow : C’est de la merde, ton Idée !

Neliel : Mais c’est une très bonne idée ! Au moins, ce n’est pas violent.

Kenpachi : La femme a raison. J’vais te défoncer le bras !

Grimmjow : Et moi te broyer la main !

Neliel : Oui mais allez le faire ailleurs. Ce n’est pas une arène, ici.

Grimmjow : Faisons-le dans ta division, Ken, que je t’humilie devant tes hommes !

Kenpachi : Non, c’est toi !

 

Les 2 mâles foncent à toute allure pour disparaître de la pièce.

 

Ichigo : Enfin du calme.

 

La belle arrancar prend le bras droit du héros, celui-ci surpris par ce geste. Inoue aussi est surprise et semble jalouse.

 

Ichigo : N-Nell ?

Neliel : Tu vas rester avec moi, hein Ichigo ?

Ichigo : Ben…

 

Matsumoto vient à son tour, venue chercher son mini-capitaine.

 

Matsumoto : Capitaine, je vous cherchais partout !

Hitsugaya : Désolé, Matsumoto. Neliel m’a… emmenée de force ici.

Momo : Bonjour, Rangiku.

 

La vice-capitaine de la 10e division jette son regard sur Neliel, qui a lâché son « chéri ». La rousse s’approche de l’ex Tercera, se met face à elle.

 

Neliel : Bonjour. C’est donc toi, la vice-capitaine de Tôshirô. On s’est déjà croisées. Enchantée.

 

Rangiku ne répond pas. Elle ne regarde pas Neliel mais plutôt… la poitrine de cette dernière !

 

Matsumoto : Hmmm…

 

Et là, sans prévenir, la bimbo prend en pleine main le sein droit de Neliel, geste qui choque tout le monde.

 

Momo : Mais Rangiku ! Pourquoi fais-tu ça à la capitaine Neliel ?

Pesche et Dondochakka : Dame Nell !

Ichigo : Mais t’es folle !

Neliel : Heu, Rangiku ?

 

La rousse continue de peloter. Elle caresse tous les recoins du sein de l’arrancar. Celle-ci rougit, vu que ça lui fait de l’effet, que c’est agréable !

 

Neliel : Aaaah… Hmmm…

Orihime : Ku-Kurosaki-kun ! Neliel n’a pas l’air de se sentir bien !

 

La rousse commence à faufiler sa main dans le kimono de Neliel !

 

Hitsugaya : Matsumoto ! Arrête ceci, maintenant !

 

Cette dernière arrête de caresser et, doucement, décolle sa main du sein de Neliel, qui rougit encore, mais cette fois de honte.

 

Neliel : Ca s’est passé devant Ichigo ! C’est si gênant !

Matsumoto : Tu…

Neliel : Ou-oui ?

 

Tous attendent une explication de la rousse de son geste déplacé. Elle prend un air d’émerveillement.

 

Matsumoto : TU AS UNE SUPERBE POITRINE !!

 

Personne ne s’attendait à une telle réponse.

 

Neliel : Qu…Quoi !?

Matsumoto : Oui ! Je t’envie vraiment !

Neliel : J-je ne comprends pas…

Matsumoto : Ma poitrine a beau être grosse, elle est assez basse. Tandis quez la tienne est grosse, bien ronde et elle ne pend pas ! C’est pour ça que je dis qu’elle ne pend pas !

Neliel : Ha bon…

Matsumoto : C’est quoi ton secret ? T’as bien un truc !

Hitsugaya : Matsumoto ! Laisse-la avec tes histoires !

Matsumoto : Mais capitaine, je ne vois pas le problème !

Momo : La capitaine Neliel ne s’intéresse pas à ce genre de choses !

Matsumoto : Mais vous êtes tous contre moi ou quoi !?

Neliel : … Le chocolat.

 

Tous se tournent vers la verte, surpris par cette réponse.

 

Matsumoto : Le quoi ?

Neliel : Oui, c’est en mangeant du chocolat que ma poitrine est ainsi. C’est tout simple.

 

Tous sauf Matsumoto se rétament par terre, une jambe en l’air. La rousse n’en croit pas ses oreilles.

 

Matsumoto : C-c’est tout !? Tu te fous de moi ! Juste du chocolat !?

Neliel : Mais non, c’était juste pour rire.

Momo : J’ai eu peur. Cela ne vous ressemblait pas capitaine.

Matsumoto : Donc t’as toujours été comme ça ?

Neliel : Oui, depuis que j’ai été arrancarisée.

Matsumoto : Et c’est quoi ton tour d-

Ichigo : C’est bon Rangiku ! Nell est peut être agacée par tes questions !

Matsumoto : Non mais j’ai le droit de m’informer, non ?

Neliel : Ces questions ne me dérangent pas du tout, Ichigo.

Hitsugaya : Ouais, mais on pourrait parler d’autre chose !

 

La rousse tape son poing dans la paume de sa main, se rappelant de quelque chose.

 

Matsumoto : Mais Oui ! Aujourd’hui il y a la réunion du Club des Femmes Shinigamis. Tu dois venir, comme tu fais partie du club.

Neliel : Oh oui ! Ca me fera vraiment plaisir !

Elle s’approche du roux et lui prend le bras.

Ichigo : Hé !

Neliel : Et Ichigo il peut venir ?

Matsumoto : Non ! C’est réservé aux femmes. Bon, rendez-vous à 14h00 ! Vous venez, capitaine ?

Hitsugaya : Ouais-ouais…

 

Les 2 membres de la 10e division sortent du bureau.

 

Pesche : Comment cette femme a pu faire ça à Dame Nell ? Quel culot !

Neliel : Pesche, ce n’est pas si grave. Bon, passons.

 

Elle se retourne brusquement vers Ichigo, joyeusement.

 

Neliel : Ichigo ! Tu veux faire quoi ?

Ichigo : Ben…

 

Un énorme gargouillement sort de l’estomac de l’ex-Tercera.

 

Neliel : C’est vrai que je n’ai rien mangé en me levant. J’ai vraiment faim. Quelqu’un n’aurait pas du chocolat ?

 

Les 5 autres tombent parterre en ayant une jambe en l’air.

 

A la 3e division, Miyabi Kirio, nouvelle capitaine et s’étant déjà présenté auprès de ses hommes, est dans son bureau, à lire un roman. Quelqu’un frappe à la porte.

 

Miyabi : Entrez.

 

La porte s’ouvre et laisse entrer Izuru Kira, le « dépressif » vice-capitaine.

 

Kira : V-vous voulez me voir, capitaine ?

 

Miyabi : Oui, j’ai quelques questions à te poser.

 

Kira : Des… questions ?

 

Elle repose son livre et regarde KIra d’un air sérieux.

 

MIyabi : Qui sont ces arrancars ?

 

KIra : Vous voulez parler des deux espadas qui sont au rang de capitaine ?

Miyabi : Oui. Comment se fait-il que nos ennemis soient dans nos rangs. Ils ont à coup sûr tué des innocents, je parie ?

Kira : Mais pas du tout.

Miyabi : … Il n’y a eu aucun problème ?

Kira : Aucun, si ce n’est que le capitaine de la 9e division adore se battre. Mais celle de la 5e division n’a rien fait de mal. Grâce à elle, la vice-capitaine Hinamori n’est plus bouleversée par… un évènement passé.

Miyabi : Vraiment ? Et comment s’appellent t-ils ?

Kira : Grimmjow Jaggerjack et Neliel Ti…To… Désolé, je ne me souviens plus du nom de famille.

Miyabi : Ce n’est rien.

 

Le blond se demande pourquoi la capitaine s’intéresse tant à eux.

 

Kira : Capitaine, pourquoi ces questions ?

Miyabi : …/air sec/ Je hais les arrancars.

 

En prononçant cette phrase, la capitaine a le regard tellement sérieux et profond, que l’on sent qu’elle prend ça très au sérieux. Le dépressif se sent mal à l’aise et avale sa salive.

 

Kira : Mais…pourquoi ?

Miyabi : Tu n’as pas à le savoir. Tu peux disposer.

Kira : B-bien, capitaine.

 

Le blond sort du bureau sans broncher. La capitaine aux longs cheveux blonds met sa main sur ses yeux, soupire et reste dans ses pensées.

 

MIyabi : Ce Grimmjow n’est pas l’arrancar que je cherche. Et cette femme, Neliel, elle… m’intrigue…

To be continued...

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SPLENDIDE !

 

Je ne me lasse pas de lire cette histoire. Très bien écrit et des scènes assez hilarante.

 

Et maintenant on a droit à une intrigue plus mystérieuse que celle de savoir si Mayuri réussira à prelever le lait et le sperme de Nell et de Grimmjow.

 

 

J'attends la suite de tes aventures.

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Merci pour ce commentaire!

Au fur et à mesure que l'histoire avance, elle deviendra de plus en plus complexe, avec des parts d'ombres, plus sérieuses que celle de Kurotsuchi.

Pour préciser, j'ai écrit ces chapitres bien en avance pour les envoyer sur des sites de fanfictions. J'ai commencé cette fic depuis fin juillet de cette année. En ce moment, je tape le chap 10.

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Chap 8 : Les mésaventures (un peu coquines et TRES douloureuses) du seigneur, le maître, le King Kon !

 

A 12h30, Tous se retrouvent à table pour prendre le déjeuner ensemble. Pesche et Dondochakka mangent des ramens comme des porcs en faisant du bruit, Hinamori boit une tasse de thé, Orihime mange un onigiri, Ichigo tente de manger le sien, mais il est gêné par Neliel qui lui serre le bras, contente de sa venue.

 

Neliel : Oooh, Ichigo ! C’est tellement bien de manger avec toi !

Ichigo : Mais là, tu m’en empêche, Nell !

Momo : Capitaine, c’était pourquoi, la réunion ?

Neliel : /lâche Ichigo/ C’était pour présenter la nouvelle capitaine de la 3e division.

Momo : Et elle est comment ?

Neliel : Elle est-

?: Ma déesse !

 

Ils se retournent tous vers la porte et qui voient-ils ? Kon, en piteux état, ayant un déguisement bizarre ressemblant à Kenpachi et un sabre en plastique collé à la main !

 

Momo : une… peluche qui parle ?

Ichigo : T-TOI !? Mais qu’est-ce que-

 

Neliel, contrairement au roux, est plutôt contente de voir le lion.

 

Neliel : /hystérique/ Mais c’est la peluche mignonne qui parle ! KYAAAA !

 

La peluche bondit sur l’ex tercera qui l’attrape et le serre dans ses bras, ce qui a pour effet qu’il visite de nouveau la vallée des dieux de la belle !

 

Neliel : Qu’est-ce que tu m’as manqué, toi aussi !

 

Kon : Ooooh,Cette douceur, qu’est-ce que ça m’a manquée !

 

Tous les autres regardent, avec la goutte derrière la tête, la capitaine tourner sur elle-même, avec la peluche qui saigne du nez.

 

Pesche : Euh… Dame Nell ?

 

Enervé, le rouquin prend la tête de Kon et l’enlève de la poitrine de son amie.

 

Neliel : Mais, Ichigo ! Qu’a-t-il fait de mal ?

 

Le pervers a une goutte de sang au nez.

 

Kon : Aaaaah, quel pied !

Ichigo : Qu’est-ce que tu fous là !? Et c’est quoi cette dégaine !?

Kon : Ben, je voulais revoir ma déesse !

Ichigo : Et il est où, mon corps ? Tu devais rester sur terre pour le garder !

Kon : Relax ! Le gars au bob a mis une âme artificielle dedans.

 

Le rouquin avale sa salive, pensant le pire de ce qui peut arriver avec cette âme artificielle qui se balade avec son corps.

 

Ichigo : Et comment t’es arrivé jusqu’ici ?

Kon : Et ben…

 

Comment  le seigneur, le maître, le King Kon est arrivé là ? Et que lui est-il arrivé ? Quelles mésaventures fabuleuses a traversé, a combattu le seigneur, le maître, le King Kon ? Et pourquoi le seigneur, le maître, le King Kon est habillé en Kenpachi ? Retournons environ deux heures en arrière. Il y aura une grande révélation qu’il a oubliée mais que l’on vous montrera quand même.

 

Flashback

 

Nous nous trouvons dans le passage vers la Soul Society très étrange et dangereux. Le Kôtotsu, habitant dans ce lieu, fait son ménage de printemps de tous les sept jours et semble poursuivre quelqu’un. Et cette personne, c’est Kon, courant comme un taré pour échapper à la mort !

 

Kon : Putain ! Dans quelle merde je me suis fourré ? Au secours !

 

Au bout de quelques minutes de course-poursuite, il voit de la lumière.

 

Kon : Enfin, je suis sorti de ce calvaire !

 

Il bondit pour échapper à la chose et se retrouve à la Soul Society.

 

Kon : Je suis liiiiibre ! Liii-

 

Il se rend compte qu’en dessous de lui, rien. IL est dans le ciel bleu, où il reste un moment en l’air.

 

Kon : Hein ?

 

Brusquement, il tombe à une vitesse folle vers le sol, criant comme un malade.

 

Kon : BWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!! J’vais creeeeeever ! Je ne reverrai pas ma déeeeeeesse !

 

A terre, on voit une drôle de maison avec des bras qui tiennent une banderole. Celle du clan Shiba. Kûkaku Shiba, la propriétaire, sort de sa demeure en respire un bon coup.

 

Kûkaku : Aaaah, quelle belle journée. Idéale pour-

 

Soudain, elle entend un cri venant d’en haut. Elle lève la tête vers le ciel et qui voit-elle ? Kon, toujours entrain de tomber au dessus d’elle. Par chance, sa chute est amortie par la forte poitrine de la femme, qui ne dit rien. Il ne bouge pas. Et, avec un torrent de sang qui sort de son nez, il se caresse sur la surface mammaire de la Shiba.

 

Kon : Trop booooon ! J’ai trop de chance ! C’est dieu qui a fait en sorte que j’atterrisse ici !

 

Il ne peut continuer son état d’extase car Kûkaku lui donne un poing avec son unique bras, ce qui le met à terre. Et, violemment, la femme le martèle de coup de pied !

 

Kûkaku : T’es content, maintenant !? J’ai du sang plein la poitrine !

 

Un peu plus tard, Kon est assis avec des bleus partout. En face de lui, la Shiba assise en tailleur, fumant avec un calumet, laissant son petit frère Ganju lui essuyer le sang qu’elle a sur la poitrine. Ce dernier s’ose pas regarder la partie de sa sœur qu’il essuie, sous peine de se recevoir un poing, ou un pied.

 

Kûkaku : C’est bon, tu peux arrêter, Ganju.

Ganju : Oui, grande sœur.

 

Le benêt s’en va, laissant sa grande sœur avec le petit pervers qui regarde sa poitrine.

 

Kûkaku : Donc tu es un Mod soul et tu t’appelles Kon, c’est ça ?

Kon : Exact, beauté !

Kûkaku : Et comment es-tu arrivé ici ?

Kon : J’ai voulu suivre Ichigo et-

Kûkaku : Attends, tu connais Ichigo Kurosaki ?

Kon : Oui, c’est le gars le plus coincé que j’ai jamais vu ! Il rencontre des filles super bonnes, et il n’en profite même pas !

 

La Shiba aspire un coup dans son calumet, crache la fumée et fait un sourire au coin.

 

Kûkaku : Et je parie que tu veux entrer dans le Seirietei, non ?

Kon : Ouais ! En fait…

 

Il se met debout, se courbe. La lumière s’éteint et un projecteur l’éclaire. Il se redresse d’une manière théâtrale. Il joue comme si il faisait une pièce dramatique.

 

Kon : Je suis venu ici, parti pour une longue quête pour trouver un trésor inestimable, enfouie dans la Soul Society, ma terre natale. La quête va être parsemé d’embûches, j’en doute, mais je suis fort.

 

Il se met sur les genoux, tend les bras vers le ciel.

 

Kon : Je te retrouverai, ma déesse des gros lolos !!!

 

Sa déesse, c’est Neliel. Kûkaku le regarde dans son délire, une goutte derrière la tête.

 

Kon : Oh, ma déesse ! Je me souviens de ce jour, où tu m’as accueillie si passionnellement dans ta vallée des dieux ! Je veux revivre ce jour ! Ma libido ne peut attendre plus longtemps ! Guide-moi ! Je suis ton serviteur pour l’éterni-

 

Il n’eu le temps de finir son monologue magistral car la Shiba lui donne un bon coup de pied dans le bide, ce qui le fait valdinguer plus loin et le fracasser sur le mur.

 

Kûkaku : Ta déesse, elle attendra un peu !

 

La peluche atterrit sur le sol, et se remet debout, avec plein de bleus.

 

Kon : Mais ça va pas !? J’étais entrain de rêver éveillé !

Kûkaku : Arrêtes de râler ! J’peux t’aider à te rendre à la Soul Society.

Kon : C-c’est vrai ?

Kûkaku : Ouaip ! Tu as devant toi la meilleure artificière de toute la Soul Society !

Kon : C’est marrant, j’aurais jamais vu une fille aussi sexy faire ce genre de trucs !

 

Une veine apparaît sur le front de la femme, détestant qu’on lui dise ce genre de remarque.

 

Kûkaku : Tu va me servir de cobaye pour mon nouveau canon.

 

Le lion commence à suer.

 

Kon : Un-Un canon ? Cobaye ?

 

La Shiba fourre sa main entre ses seins, ce qui fait saigner du nez le petit pervers ! Elle en sort une petite boule et la fait rouler vers Kon, qui croyait qu’elle enlevait son soutif ! Mais est-ce qu’elle en porte un ? Non, car ça n’existe pas à la Soul Society. Il la prend entre ses pattes.

 

Kon : C’est quoi, ce truc ?

Kûkaku : Ce « truc », c’est une sphère spirituelle miniaturisée. Tu es un Mod Soul, tu dois pouvoir concentrer ton reiatsu dans cette boule. Fais-le.

 

La peluche concentre son reiatsu dans la sphère. Soudain, un bouclier sphérique se forme autour du lion.

 

Kûkaku : Bien.

Kon : Et je fais quoi, après ?

Kûkaku : Tu seras le boulet de canon !

 

Il transpire comme un veau et le bouclier se casse.

 

Kon : Le-le boulet !?

Kûkaku : Ouais ! Suis-moi

!

La Shiba va vers la peluche avec un sourire satisfait et le prends par la peau du dos le lion qui gigote dans tous les sens.

 

Kon : Lâche-moi ! J’veux pas finir grillé !

Kûkaku : Arrête de bouger ! Tu veux aller à la Soul Society, oui ou non ?

Kon : Oui, mais-

Kûkaku : Alors tu te tais ! Ah, une dernière chose…

 

Elle le lâche et immédiatement l’attrape par le coup et l’approche de son visage, en colère.

 

Kûkaku : Si tu redis une seule fois que je suis sexy, je t’ouvre le bide avec un poignard et je te vide de ton coton, pigé !?

 

Elle a un air démoniaque, ce qui fait énormément transpirer Kon, effrayé par la menace.

 

Kon : Ou-oui madame.

Kûkaku : /reprend un air sympathique/ Bien, suis-moi.

 

La Shiba emmène le lion avec elle au jardin, toujours en  l’étranglant. Dehors, Ganju attendait sa sœur. Celle-ci lâche le lion qui tombe par terre et reprend son souffle.

 

Ganju : Tu vas le tester, grande sœur ?

Kûkaku : Ouaip ! Va le chercher.

Ganju : Mais il pèse une tonne !

Kûkaku : /air menaçant/ Va-le-chercher.

Ganju : B-bien.

 

Le gaillard part chercher l’objet mystère. Le lion, par terre, reste bouche bée : devant lui, un énorme canon qui rentre dans le sol ! Il panique.

 

Kûkaku : Joli, hein ?

Kon : J-je ne veux pas aller là-dedans, moi !

Kûkaku : Mais non ! Toi, tu iras dans un plus petit.

Kon : Plus petit ? Oooouf, Ca me rassure.

 

Derrière lui, on entend Ganju.

 

Ganju : Gniiii….

 

IL tire une sorte de tuyau en métal. Mais c’est tellement lourd qu’il le traîne par terre. Sa sœur lui donne un coup de son unique poing sur le sommet de son crâne, ce qui lui fait une jolie bosse.

 

Kûkaku : Idiot ! Tu vas l’abimer !

Ganju : Mais c’est très lourd !

 

Kûkaku prend le « canon » en pleine main et, sans effort, le soulève en utilisant son bras gauche ! Le lion a les gros yeux.

 

Kon : Mais c’est un monstre, cette fille !

 

Celle-ci vient vers Kon et, face à lui, elle pose l’arme en position debout. Kon transpire en reconnaissant l’arme.

 

Kon : UN…UN… UN BAZOOKAAAAAAAAAA !?

 

Kûkaku : Ouaip ! C’est un bazooka à la Shiba ! C’est comme un Bazooka de ton monde, sauf que la puissance d’expulsion du projectile est 100 fois plus puissante !

 

Kon : Ce-cent fois plus ?

Kûkaku : Allez, crée une sphère et monte là dedans.

Kon : Il n’y aurait pas un moyen… moins dangereux ?

Kûkaku : T’es un homme ou quoi !? Allez, monte !

Kon : Maman…

 

La peluche crée une sphère autour de lui, paniquant de ce qui va lui arriver. La Shiba passe son pied droit sous la boule.

 

Kon : Hein ?

 

Et, brusquement, elle fait voler rien qu’avec la puissance de sa jambe le pauvre Kon en l’air, comme un ballon de foot.

 

Kon : Nooooooooooon !!

 

Avec beaucoup de précision, elle fait rentrer directement Kon dans sa sphère dans le Bazooka.

Kûkaku : Arme, parée.

 

Elle prend l’arme par la poignée et, rien qu’avec son seul bras, elle le soulève pour le poser sur son épaule. A l’intérieur, Kon, tremble de partout.

 

Kon : J’vais mourir, j’vais mourir !

 

La Shiba, grâce au viseur ultra précis, vise le Seireitei. Elle concentre son reiatsu dans l’arme, qui devient de plus en plus rouge, se chargeant d’énergie, ce qui provoque du vent.

 

Kûkaku : Tu es prêt, Kon ?

Kon : Heu…

Kûkaku : 3…

Kon : A-attends !

Kûkaku : 2…

Kon : /pleure/ Pourquoi ce genre de chose n’arrivent qu’à moi ?

Kûkaku : 1…

Kon : NOOOOOOON !!!

Kûkaku : Feu !

 

La femme appuie sur la gâchette, et la boule part à plus de 200 Km/h ! Un énorme coup de vent se produit dû au souffle du bazooka, ce qui fait tomber Kûkaku. Dans sa boule, Kon hurle et pleure de peur. Plus il s’éloigne, moins on le voyait et l’entendait.

 

Kon : NOOOOOOOOOOOoooooooooooooooooooooooo…

 

On ne voit plus qu’une étoile scintiller. La Shiba est assise par terre, regardant le ciel vers la direction où est parti Kon. Ganju accoure vers elle.

 

Ganju : Grande sœur, ça va ?

Kûkaku : Wahou ! Il marche du tonnere, ce canon ! J’espère qu’il arrivera à destination.

 

Retour au présent

 

Tous regardent Kon, toujours en Kenpachi, entrain de se goinfrer comme un porc de toute la nourriture présente sur la table. Ichigo perd patience.

 

Ichigo : Bon, tu nous racontes la suite !?

Kon : Tu vois pas que je bouffe, là !?

Neliel : Voyons, laisse-le manger s’il veut, Ichigo. Il est si mignon, quand il mange !

 

Le petit pervers fait un petit rot.

 

Kon : Bon, je vous raconte la suite. Après cela…

 

Flashback

 

Dans les airs, Kon crie, enfermé dans sa boule. Le petit être fonce malgré lui à toute allure vers le Seireitei qui n’est toujours pas en vue.

 

Kon : Putain, combien de temps j’vais voler à fond !?

 

Soudain, il commence à apercevoir une enceinte.

 

Kon : Ah ben enf-

 

Il n’eut le temps de finir sa phrase car à peine il eut commencé à parler qu’il se colle sur le bouclier protégeant l’enceinte, ce qui le ralentit. Mais il arrive quand même à le traverser et, violemment, se scratche à l’intérieur, ce qui fait beaucoup de bruit et de poussière. Trois membres de la 3e division, qui veulent rester anonymes, s’avancent.

 

Shinigami 1 : Qu-qu’est-ce qui c’est passé ?

Shinigami 2 : Un intrus ?

Shinigami 3 : Faisons vite. Nous devons nous rendre à notre division pour rencontrer notre nouveau capitaine.

 

La fumée se dissipe et que voient-ils ? Une marque d’écrasement au sol, comme si une météorite s’est scratchée. Au milieu, une étrange peluche, rampant sur le sol. Kon est un peu assommé par le choc.

 

Kon : Aaaah… Je suis arrivé ?

 

Il sort du trou et se dépoussière.

 

Kon : Bon, allons chercher ma-

 

Devant lui, les trois soldats le regardent avec de gros yeux.

 

Kon : Déesse.

Shinigami 1 : Un-un intrus !

Kon : M-mais non, attendez ! Je-

 

Le Shinigami 2 essaye de le trancher, mais loupe à cause du saut de la peluche, l’homme, dû à son élan, se ramasse par terre. Le lion saute sur la tête de celui-ci et se sauve de l’autre côté.

 

Shinigami 3 : Attrapons-le ! C’est sûrement un espion !

 

Les 3 poursuivent Kon dans le labyrinthe. Il court comme un fou.

 

Kon : Mais lâchez-moi ! Ma déesse, au secours !

 

Pendant sa course, il tourne à gauche, ses poursuivants font de même mais… l’intrus a disparu ! Ils sont à un carrefour.

 

Shinigami 2 : Où est-il ?

Shinigami 1 : On se sépare !

Les 2 autres : Oui !

 

Ils prennent chacun un des 3 chemins. Mais où est passé Kon? Tout simplement sur un toit, ayant sauté haut vu qu’il a plus de force dans les jambes, étant un Mod Soul.

 

Kon : Ouf ! J’ai eu chaud aux fesses !

 

D’un saut, il redescend à terre et commence à marcher dans la ruelle vide.

 

Kon : Maintenant, je dois trouver ma déesse. Comment je vais faire ? Je ne sais même pas où elle est !

 

Soudain, il entend derrière lui une voix féminine aigue lointaine qu’il a déjà entendu.

 

Kon : Cette voix si harmonieuse, c’est-

 

Il se retourne et miracle ! Neliel, sa déesse, court comme une folle avec Hitsugaya dans les bras, ce dernier ayant la tête en plein dans la poitrine de la belle et semble évanoui, est au loin, criant « Ichigo ! ». Notre petit héros est super content !

 

Kon : Ma Déeeeeeeeeeeesse !!!

 

Il court vers elle, aux anges. Sa déesse court toujours dans la même direction.

 

Kon : Tu es venue à moi ! C’est le destin qui nous a fait rencontrer, le lien de l’amour ! Que tu es belle ! Ma déesse…

 

Le lion part dans un de ses délires.

 

Délire de Kon

 

Nous nous trouvons sur une plage au coucher de soleil. A gauche, Kon, joyeux, qui court vers la droite, voulant rejoindre une personne, au ralenti.

 

Kon : Ma déesse !

 

A droite, Neliel en bikini vert, courant aussi au ralenti vers la peluche. Ses cheveux volent et sa poitrine rebondit un peu.

 

Neliel : Kon !

 

Ils rigolent tous les deux. A deux mètres l’un de l’autres, Kon bondit vers sa bien-aimée. Celle-ci tend ses bras pour l’attraper et le serrer tendrement dans ses bras. Le lion se frotte entre la poitrine généreuse de la belle qui lui caresse la tête.

 

Neliel : Oh, Kon. Tu es si mignon. Je laisse tomber Ichigo pour toi. Je te donne mon corps. Tu pourras caresser ma poitrine autant de fois que tu le désireras.

 

Le petit pervers saigne énormément du nez, ce qui tache la belle poitrine de sa bien-aimée.

Kon : Oh ouais que je le ferai, bébé ! Jour et nuit !

 

 

Ils sont devant le coucher de soleil qui descend de plus en plus. Et là Neliel Décolle le lion de sa poitrine et met le lion face à son visage.

 

Neliel : Kon. Je t’aime.

 

Elle approche Kon de sa tête. Ses lèvres s’approchent tendrement de la bouche de Kon qui bave et semble évanoui. Encore quelques centimètres. Quelque mili-

 

Fin du délire de Kon.

 

Son fantasme s’arrête brusquement car il se fait écraser par le pied sa promise, ce qui provoque un couinement. Neliel s’arrête tout de suite, lâche Tôshirô qui tombe par terre, prend avec sa main gauche de son katana qui est coincé à sa ceinture à sa gauche et prend avec l’autre la garde de son arme et se retourne.

 

Neliel : Qui est là ?

 

Elle regarde autour d’elle. A gauche. A droite. Mais il n’y a personne. Elle lâche son arme .

 

Neliel : Bizarre. J’ai pourtant entendu un bruit. Comme un…couinement.

 

Le seul endroit où elle n’a pas regardée, c’est à ses pieds. Effectivement, Kon est toujours sous son pied, allongé sur le ventre, entrain de souffrir.

 

Kon : Aaaa…Aaaa…

 

Elle remarque devant elle Tôshirô à terre, toujours dans les vapes.

 

Neliel : Tôshirô !

 

Elle se met accroupi, toujours en écrasant Kon, et prend le gamin par les épaules et le  secoue de toute ses forces

 

Neliel :  Tôshi ! Réveille-toi ! J‘en prie !

 

Aucun effet. Elle panique à mort.

 

Neliel : Ho mon dieu ! J’ai tué Toshi !

 

Elle se met debout, et se met à taper le sol en posant rapidement un pied sur le sol puis l’autre, en regardant le corps inerte du gamin.

 

Neliel : Comment je vais faire !? Qu’est-ce que je fais !?

 

En faisant ça, elle martèle Kon de petits coups de pieds. Involontairement, bien sûr. Et en se calmant, elle entend Hitsugaya respirer un peu et bave. Ce qui la rassure.

 

Hitsugaya : Gaaaa…

Neliel : I-il est vivant !

 

Avec toutes ces émotions, elle a oublié quelque chose.

 

Neliel : Tiens, pourquoi je courrais ?

 

Elle se creuse les méninges. Et elle eu un tilt. Elle commence à sourire.

 

Neliel : Mais oui !

 

Elle se met à sautiller de joie et crie d’hystérie !

 

Neliel : Ichigo et lààààààààààààà !!! KYAAAAAAA !!!

 

En sautillant, elle écrase en plus fort la peluche. Elle crie tellement fort qu’elle n’entend pas les couinements et les cris de douleur du petit. C’est comme si il se faisait écraser par un compresseur une dizaine de fois !

 

Kon : Aaaaaaaaaaaargh !!!!

Neliel : Il faut que j’aille le rejoindre !

 

Elle prend Tôshirô dans ses bras. En se préparant à courir faisant une impulsion sur le sol, elle le fait sur Kon, lui donnant une dernière souffrance, et fonce à toute allure.

 

Neliel : IIIICHIGOOOOOOOOOO !!!!

 

En quelques secondes, on ne la voit plus. Le pauvre Kon qui n’arrive plus à se relever dû à l’immense douleur à son dos.

 

Kon : Argh… Ma déesse… C’est ton châtiment… divin… ?

 

Un peu plus tard, il continue son chemin en boitant et en touchant son dos, entièrement rouge dû aux multiples écrasements provoqués accidentellement par Neliel.

 

Kon : Pourquoi ? Ma déesse, pourquoi tant de haine sur ton plus grand serviteur ? Qu’ai-je fait !?

 

Il regarde devant lui, et prend un air émerveillé et bave.

 

Kon : Ooooh… C’est…

 

Devant lui, à quelques mètres, une autre femelle à poitrine opulente se tient debout au milieu d’un carrefour : Rangiku Matsumoto, cherchant son capitaine.

 

Matsumoto : Capitaiine, où êtes vouuus ?

Kon : Mon ancienne déesse !!

 

Il court vers elle et se cache à un angle pour mieux l’admirer. Elle est dos à lui. Le petit pervers admire le joli fessier de  la rousse en bavant.

 

Matsumoto : Mais où peut-il être ?

Kon : Hooo… Regardez-moi ce cul ! La forme est parfaite ! Je dois absolument-

 

Il bondit vers le haut pour s’agripper aux fesses de Matsumoto !

 

Kon : Me frotter à ses pare-chocs arrièèèères !!!

 

Mais alors qu’il est à deux mètres de son objectif, Rangiku se retourne brusquement et lui fait immédiatement un coup de pied retourné qu’il reçoit dans la tête ! Il fonce en l’air très vite, si vite que, lorsqu’elle regarde, elle ne voit personne.

 

Matsumoto : Mais qui c’était ? J’ai de ces réflexes ! Bon, continuons. Capitaiiine !

 

On retrouve le lion enfoncé dans un mur. En tombant au sol, on voit qui la marque de son corps reste au mur. Il est allongé là, évanoui. Une personne de petite taille passe par là. Son ombre couvre le mini-héros du soleil. Il semble que ce soit une petite fille aux cheveux roses. Cette dernière, en voyant le drôle de bonhomme, sourit.

 

Vue de Kon

 

Plus tard, notre héros ouvre les yeux.

 

Kon : Hmmm… Où suis-je ?

 

Autour de lui, plein de bibelots et meubles d’enfants. Il se frotte la tête.

 

Kon : Ma tête…

 

Soudain, il sentit quelque chose dans sa main droite. Il la regarde et que voit-il ? Un sabre en plastique collée dans sa main.

 

Kon : Mais qu’est-ce que-

 

Et chose bizarre encore, il ne voit que de l’œil gauche.

 

Kon : Je-je suis aveugle de l’œil droit !

 

Soudain, une voix de gamine se fait entendre.

 

?: Super ! En plus tu es vivant!

 

En transpirant, il se retourne lentement et mécaniquement. Qui c’est ? C’est Yachiru, assise sur les genoux, admirant son jouet.

 

Kon : Aaaaah ! T’es qui, toi !?

Yachiru : Hihi ! Je vais t’appeler Mini-Ken !

Kon : Mini-Ken ? Co-comment-ça ?

 

La rose met un miroir devant lui, et là, en se voyant, il délire.

 

Kon : Mais… Mais putain, c’est quoi, c’te gueuuuuule !?

 

Fin vue de Kon

 

L’apparence de notre ami est bien étrange : il porte un petit haori blanc déchiré. Au visage il porte un bandeau à l’œil droit et a une fente pas trop profonde à l’œil gauche qui va du haut vers le bas qui fait office de cicatrice, on voit le coton. Pour faire des cheveux, Yachiru lui a collé derrière la tête 11 pics en pâte à modeler. Et voilà, Kon est déguisé en Kenpachi !

 

Kon : Mais… Mais qu’est-ce que t’as foutu avec mon corps de rêve !?

Yachiru : Je t’ai transformé en Ken !

Kon : T’as vu ce look !? Et la gueule que j’ai !? T’as bousillé mon visage !

Yachiru : Allons, Mini-Ken ! Tu es mignon !

Kon : Arrête de m’appeler comme ça !

Yachiru : Tu veux jouer à quoi ? A la dinette ?

 

Le lion cherche une sortie pour quitter ce cauchemar, et voit une fenêtre ouverte. Il saute de meuble en meuble pour l’atteindre.

 

Yachiru : Bah tu fais quoi ?

Kon : J’me asse ! Je vais retrouver ma déesse !

Yachiru : Mais…Mais…

 

La petite fille commence à sangloter.

 

Kon : Kess t’as ?

 

Elle se met à pleurer des fontaines de larmes sortant de ses yeux.

 

Yachiru : OUIIIIIN !! Tu veux pas jouer avec moi ! Méchant !

Kon : Arrête de chialer ! Le King Kon ne se fait pas avoir par quelques larmes !

 

La petite continue de pleurer, et un phénomène étrange se produit : une sorte d’aura rose entoure le corps de Yachiru et se fait de plus en plus vive.

 

Kon : Tu ne vas pas exploser, tout de même ?

Yachiru : BWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHH !!!!!

Chers lecteurs, à partir de ce qui va suivre, Kon a tout oublié, mais pour que vous comprenez pourquoi, je vous offre le privilège de découvrir une vérité.

Merci de votre compréhension.

 

Une explosion de fumée se produit et éjecte la peluche de la chambre et tombe sur le plancher à l’extérieur.

 

Kon : Ouille…

 

Il remonte par la fenêtre pour voir ce qu’est devenue Yachiru.

 

Kon : J’espère qu’elle a crevée !

 

La fumée commence à se dissiper, une forme apparaît. Et là, Kon croit halluciner. Devant lui, une jeune femme bien foutue ! L’étrangère est à quatre pattes, se frottant la tête avec la main droite. Elle a des cheveux roses et… Roses !? Mais alors, cette fille… C’est Yachiru !? Ses mèches sur les côtés et ses cheveux sont plus longs, lui arrivant au bas du dos. Elle a aussi, ce qui plaît fortement au petit pervers, une assez grosse poitrine. Elle a, dû à sa croissance accélérée, Le kimono déchiré, ce qui lui fait un short lui serrant bien les cuisses et le haut court s’arrêtant au bas de sa poitrine. Elle a la tête baissée.

 

Yachiru : Hmmm…

 

Elle lève la tête. Sa tête est moins ronde qu’avant, et a un visage moins gamin, cela s’approche plus d’une jeune fille venant d’avoir 19 ans. Ses yeux sont toujours marrons, mais ils sont moins ronds, et elle n’a plus les joues roses. Elle a l’apparence d’une fille de 19-20 ans.

 

Yachiru : Qu-que c’est-t-il passé ?

 

Kon, lui, est en plein rêve : Une fille sexy ayant les vêtements déchirés apparaît comme un ange ! Il saigne du nez.

 

Kon : Wooo putain, le canon !

 

La jeune fille se regarde, constatant qu’elle a cette apparence.

 

Yachiru : J’ai… Je suis redevenue normale. C’est bizarre, je me souviens de ce que j’ai vécu avec le capitaine Kenpachi. Malheureusement, vous n’êtes plus là, capitaine Kur-

 

Elle est interrompue par un bruit, comme si quelqu’un a renversé quelque chose.

Yachiru : Qu-qui est là ?

 

Elle ne voit personne, mais elle sent quelque chose sur sa poitrine. Elle regarde et voit Kon se frotter contre ses seins.

 

Yachiru : Mais tu es-

Kon : Ooooh, que c’est doux ! Aussi doux que ceux de ma déesse !

 

En sentant ce frottement, la fille ressent quelque chose d’agréable en elle, comme une chaleur.

 

Yachiru : Ah-Aaaaah… A-arrête !

Sur ces mots, elle fait tomber le petit pervers en lui donnant un coup sur la tête avec une claque avec le dos de sa main. Kon tombe à terre, Yachiru reprend son souffle.

 

Yachiru : Tu… Tu es la peluche que j’ai déguisée, n’est-ce pas ?

Kon : Ben ça se voit, non !?

Yachiru : Désolée, j’étais Yachiru, je-

Kon : T’inquiètes ! Je te pardonne, t’es tellement sexy !

 

Elle est surprise, par cette réplique, mais au lieu de se fâcher, elle en rigole.

 

Yachiru : /rit/ Merci, c’est grâce à toi que j’ai pu reprendre ma véritable apparence.

Kon : Je suis Super Kon ! Le serveur de ces dames !

Yachiru : Désolé, mais…

 

D’un grand geste, elle met sa main face à Kon, et sa paume face au visage du lion. Elle a un air sérieux.

 

Yachiru : Je vais devoir effacer ta mémoire.

Kon : Qu-Quoi !?

Yachiru : Tu vas oublier que tu m’as vue sous cette forme. En plus, vu ta taille et ton faible reiatsu, ce sera facile.

Kon : A-attends ! Tu ne vas tout d-

Yachiru : Voie de liaison 79.

 

deux marques noires, comme des tatouages, apparaissent et partent de l’épaule de la jeune femme, partent en spirale jusqu’à la main pour se centrer jusqu’au creux de sa main. Mini-Ken panique.

 

Kon : Je-je t’ai sauvée, tu te rappelles ? Alors pourquoi tu-

Yachiru : /ton sec/ Kaikoroku (no) sashitsukae*.

 

Une onde de choc, sortant de la main de Yachiru, touche Kon. Celui-ci tourne de l’œil et s’écroule à terre, évanoui. La jeune femme baisse le bras, dont les marques ont disparues. Elle le prend dans sa main et se met debout.

 

Yachiru : Je suis sincèrement désolée. Si j’ai fait ça, c’est pour que personne sache qui je suis réellement.

 

Yachiru sort de la chambre avec Kon et, tout de suite pour pas qu’on la remarque, disparaît avec un shunpô.

 

Nous nous trouvons sur un toit de la 5e division, à 12H30, lorsqu’une jeune femme apparaît. C’est Yachiru, avec Kon dans la main, toujours évanoui. Elle le balance pour qu’il tombe sur le plancher.

 

Yachiru : Bien, maintenant il faut qu-

 

Elle est prise subitement prise par un horrible mal de tête.

 

Yachiru : Il-il faut que j’y retourne avant que je redevienne Yachiru.

 

Elle disparaît avec un shunpô.

Voilà donc ce qui s’est passé, ce que Kon a oublié. Une question se pose : Quel est la véritable identité de Yachiru ? Identité qu’elle-même enfant ignore ?

Kon se réveille, un peu désorienté.

 

Kon : Chuis où, là ? Et que c’est-il passé ?

 

IL entend des voix à sa droite, il tourne la tête et que voit-il ? Son objectif depuis le début de sa quête.

 

Kon : Ma déesse !

 

Retour dans le présent.

 

Kon : Et voilà comment je suis ici.

 

La seule à réagir à ce récit est notre chère Neliel. Les larmes aux yeux, elle le prend pour la serrer dans ses bras.

 

Neliel : Je suis tellement désolée de t’avoir écrasé, alors que tu as fait tout ce chemin rien que pour moi !

Kon : Je te pardonne, ma déeeeeese !!

 

Les autres regardent cette scène avec une goutte derrière la tête.

 

Neliel : Attends, je vais te débarrasser de tout ça.

 

Elle commence par enlever le haori et le bandeau, ce qui est facile. Mais en enlevant l’épée, elle déchire la paume de la main du lion qui en crie.

 

Kon : Aaaaah ma main !

Neliel : D-désolée !

 

Pour les pics, la belle prend les 11 en même temps, et en les arrachant de toute sa force, elle déchire le dos de la tête de Kon, ce qui dévoile son coton !

 

Kon : AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! PUTAIIIIIIN ! J’ai trop maaaal !

 

Il se roule par terre tellement que la douleur est insupportable. La capitaine se met dans tous ses états.

 

Neliel : Mon dieu, Qu’ai-je fait !? Je ne l’ai pas fait exprès ! Orihime, soigne-le, vite !

Orihime : Ou-oui !

 

Le rouquin fait un grand soupir.

 

Ichigo : Décidemment, cette visite ne sera pas de tout repos !

 

A la 11e division, tout le monde fête la victoire  de Kenpachi sur Grimmjow au bras de fer. Le balafré ouvre la porte de la chambre de sa protégée pour venir la chercher.

 

Kenpachi : Yo, Yachiru ! J’ai battu, ce Grimmjow au bras de fer !  On va-

 

IL s’interrompt car il voit la petite dormir à même le sol dans le plus simple appareil !

 

Kenpachi : Wo, Yachiru !

 

Cette dernière se réveille et, en voyant son Ken, redevient enthousiaste.

 

Yachiru : Salut, Ken !

Kenpachi : Tu fous quoi, à poil ?

Yachiru : Ben… Chais pas.

 

Elle regarde autour d’elle et commence à paniquer.

 

Kenpachi : Kess t’as ?

Yachiru : Où-où est mon Mini-Ken ?

Kenpachi : « Mini-Ken ? » C’est quoi, ce truc ?

 

To be continued...

 

*Kaikoroku no sashitsukae : Entrave de la mémoire.

 

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Chap 9 :

Le Club des Femmes Shinigamis (CFS).

 

A la 9e division, des cris d’énervement et d’objets qui se cassent se font entendre dans le bureau du capitaine.

Hisagi accoure et ouvre la porte.

 

Hisagi : Capitaine ! Qu’est-ce qu-

 

Il a failli se prendre une chaise dans la tête. Il entre et voit Grimmjow furax qui casse tout. Il semble qu’il n’utilise que le bras gauche.

 

Grimmjow : Putain de merde !

Hisagi : Capitaine calmez-vous !

Grimmjow : Ha, t’es là Mr 69 ! Viens te battre ! J’dois me défouler sur quelqu’un !

Hisagi : Que s’est-t-il passé pour vous mettre dans un tel état ?

 

Le capitaine hésite à avouer, tellement que c’est stupide, mais il se lance quand même.

 

Grimmjow : J’ai perdu au bras de fer contre Kenpachi.

Hisagi : … C’est tout !?

Grimmjow : Quoi, c’est tout !? Il m’a pété le bras droit !

 

Effectivement, son bras droit semble sans vie et bouge comme du caoutchouc lorsque son propriétaire bouge. Le balafré pouffe de rire jusqu’à se tordre de rire.

 

Hisagi : Houaaaaaaaaaaaaaahahahahahahaha !

Grimmjow : Ta gueule !

Hisagi : C’est tellement con ! Se mettre dans cet état pour un bras de fer ! C’est ridicule ! Bwooooohohohoho !

 

Le bleu, en colère, prend Shûhei par le col et le soulève.

 

Hisagi : Mais lâchez-moi !

Grimmjow : Tu la ferme ! C’est honteux d’avoir perdu à ça ! Surtout pour moi ! Ma fierté en a pris un coup, tu piges !? Alors arrête de te marrer !

 

Mr 69 se tait, comprenant un peu ce que ressent son capitaine. Grimmjow le repose.

 

Grimmjow : Bien, t’as pigé.

Hisagi : Vous devriez aller vous soigner votre bras.

Grimmjow : Et comment, banane !?

 

Heu, c’est plutôt lui, la banane. Il ne sait pas que la 4e division est spécialisée dans les soins ? Et il a oublié qu’Inoue est ici donc elle pourrait lui réparer le bras ?

 

Hisagi : La jeune Inoue est ici, il me semble ? Si vous allez la voir, elle…

 

Le bleu a déjà disparu, sûrement pour voir la rousse.

 

Hisagi : Okay…

 

Autre part, Neliel et Hinamori sont en route pour Le Club des Femmes Shinigamis, ou CFS.

 

Neliel : Momo, quel est le but du CFS ?

Hinamori : Vous m’avez appelé par mon prénom, capitaine ?

Neliel : Oui, maintenant qu’on se connaît bien. Ça ne te dérange pas, j’espère ?

Hinamori : Non, capitaine.

Neliel : Tu n’as pas répondu à ma question.

Hinamori : Ha oui ! Et bien, on fait en sorte d’améliorer la condition de la femme au Seireitei.

Neliel : Ha, c’est vraiment bien !

Hinamori : Mais il arrive fréquemment de nous éloigner de ce but.

 

Hinamori pense à la fois où elles devaient prendre des photos de toutes les stars du Seireitei, des fois nues, pour les vendre. Mais elle n’y était pas impliquée car elle était à l’hôpital.

 

Neliel : C’est bien dommage que je ne pouvais pas prendre Kon !

Hinamori : C’est un garçon, c’est normal. Et puis l’endroit où vous avez voulu le mettre pour l’emmener est…

Neliel : Il est quoi ?

Hinamori : Spécial.

 

Flashback

 

Quelques minutes avant, les deux filles s’appêtent à partir pour le CFS. Neliel espère se faire accepter, alors qu’elle est une arrancar.

 

Neliel : A tout à l’heure, Ichigo !

 

A peine qu’elle a fait un pas que Kon lui attrape la jambe en sautant.

 

Kon : Ma déesse ! Prends-moi avec moi ! J’veux veniiiiiir !

Neliel : Mais je ne peux pas, Kon. Tu es un garçon, et…

Kon : S’te plaîîîîîîît ! J’t’en priiiie !

 

Il fait son air de chien battu, en couinant. La capitaine se sent mal de laisser cette pauvre créature ici alors que tout ce qu’il veut, c’est d’être avec elle. Elle cède joyeusement.

 

Neliel : Bon, d’accord ! T’es trop mignon !

Kon : Ouaiiiiiis !!

Ichigo : Nell, je ne pense pas que…

 

Elle chope le lion avec sa main droite par la tête, et le met à un endroit qui plaît au petit pervers, mais qui surprend Momo, Ichigo et Inoue. Pesche et Dondochakka ne sont pas là car ils sont partis « jouer ».

 

HInamori : Mais…capitaine…

 

Neliel a mis la peluche dans son décolleté ! Et cela ne la dérange pas du tout. Le lion gigote dans le kimono de sa déesse tellement que ça l’excite et pisse du torrent de sang par le nez.

 

Kon : Youhouhouuuuuu !!

Neliel : Hihi ! Ca me chatouille ! C’est confortable ?

Kon : Oh ouais ! Trop cool ! Ma déesse… Tu es si gentille !

 

L’ex tercera caresse le haut de la tête de Kon qui es comme au paradis. Elle lève la tête et remarque les trois autres la regarder bizarrement.

 

Neliel : Qu-quoi ?

Hinamori : Capitaine, je ne pense pas que cet endroit soit… approprié.

Ichigo : Oui, c’est une mauvaise idée de mettre Kon à l’endroit où tu l’as mis.

Neliel : Bah, pourquoi ?

Ichigo : C’est que Kon est obsédé par… ce que tu as de plus… volumineux.

Neliel : Tu… tu parles de mes seins, Ichigo ?

Ichigo : Heu, oui.

 

Le roux hésitait à dire ça car il a peur de la réaction de son amie, que ça la vexe qu’on lui dise qu’elle a de gros seins, ce qui est le cas. Kon, lui, faisait comme si il faisait un ange sur la neige sur la surface mammaire de sa déesse. Cette dernière, après un petit temps, réponds sans être fâchée.

 

Neliel : Non, ce n’est pas grave !

Ichigo : Si je comprends bien, ça ne te déranges pas que l’on te touche à cet endroit là, c’est ça ?

Neliel : Et bien,  en fait non. Si un homme fait ça à une femme par perversité sans raison, c’est comme si cette femme est un objet. Mais Kon est si mignon, que cela ne déranges pas ! Par contre, si c’était Grimmjow…

Ichigo : Oui, je vois.

Neliel : Mais…

 

La capitaine prend comme un air sentimental, et ses joues sont un peu roses, comme si ce qu’elle va dire est un peu gênant.

 

Neliel : Il n’y a qu’un seul homme  qui aura le droit de me caresser les seins. Mais il ne le fera jamais par perversité. Il n’en a même pas l’idée, j’en suis sûre…

 

Orihime a tout de suite compris de qui Neliel parlait ce qui la met un peu mal à l’aise. Ichigo, lui, n’as pas vraiment compris et regarde Neliel comme surpris.

 

Ichigo : Nell…

 

Cette dernière, en voyant que le shinigami remplaçant le regarde, se sent gênée et rougit.

Neliel : KYAAAAA !! Mais qu’est-ce qui m’as pris de dire ça !? Ichigo, ce-ce n’est pas ce que tu crois, je… J’ai trop honte !

 

Elle enlève Kon de son décolleté, le lion étant évanoui, et se dirige vers la porte.

 

Neliel : Tu…Tu viens, Hinamori, on va être en retard !

Hinamori : Oui, capitaine Neliel.

Neliel : Haha ! Bon, à-à tout à l’heure !

 

Les deux filles en dehors de la pièce, l’ex tercera ferme la porte violemment, encore gênée par ce qu’elle a dit. Le silence complet.

 

Ichigo : Nell était bizarre. Et puis, de qui elle parlait ?

Orihime : Ne-Nell-San parlait de Kurosaki-Kun, j’en suis sûre ! Heureusement que Kurosaki-kun n’a pas compris.

 

Fin flash back

 

Hinamori : Capitaine, de qui vous parliez lorsque vous-

Neliel : De-de personne ! J’ai… dit ça sans réfléchir, c’est tout !

 

Alors qu’elles allaient tourner, Grimmjow apparaît. Il a ses deux mais dans les poches, plus pour son bras droit cassé, pour pas qu’on remarque qu’il est cassé. Par peur, Hinamori se cache derrière le dos de sa capitaine.

 

Neliel : Bonjour, Grimmjow.

Grimmjow : ‘lut.

Neliel : Où tu vas ?

Grimmjow : Elle est toujours dans ta division, l’aut’ cruche ?

Neliel : Tu parles d’Orihime, je suppose ? Elle y est bien. Pourquoi faire ?

Grimmjow : C’est pour qu’elle me répare le bras. Kenpachi me l’a pété et…

 

Il remarque que quelqu’un serre le haori de sa semblable et tremble. C’est Hinamori, qui sort sa petite tête de derrière Neliel, effrayée par Grimmjow.

 

Hinamori : Ca-capitaine Neliel, c-c’est lui, le capitaine Jaggerjack ?

Grimmjow : C’est que, c’te naine ?

Neliel : Grimmjow, je te présente Momo Hinamori, ma vice-capitaine.

Hinamori : B-bonjour.

Grimmjow : Dis, j’peux te parler ?

 

Il regarde méchamment Momo qui se cache tout de suite.

 

Grimmjow : /Ton sec/ En privé.

Neliel : Hinamori, tu veux bien partir avant moi ? Je te rejoindrai.

Hinamori : Bien, capitaine.

 

La jeune fille s’en va plus loin, et tourne à un angle, laissant les deux espadas.

 

Neliel : Bon, que me veux-tu ?

Grimmjow : Dis-moi, tu lui en as parlé, à Kurosaki, de ce que tu as fais, dans le passé ?

Neliel : De-de quoi tu parles ?

Grimmjow : Chais pas, moi. Par exemple, que tu as mis ton propre fr-

 

Il n’eut le temps de finir sa phrase car l’ex-tercera lui prend le col et le plaque au mur.

 

Neliel : Arrête avec ça ! Il avait tenté de me tuer !

Grimmjow : Il en avait peut être marre de toi, c’est tout !

Neliel : On dirait que pour toi c’est drôle ! J’en ai souffert !

Grimmjow : Tu es chiante ! Tu n’es pas une sainte !

Neliel : Je ne me prends pas pour une sainte ! Je n’aime pas la violence, c’est tout !

Grimmjow : Et Halibel, hein ? Ce qu’elle est devenue maintenant, c’est peut-être de ta faute !

 

La capitaine, ne pouvant supporter ce que lui dit le capitaine, le lâche et, immédiatement, lui colle une bonne claque sur la joue gauche. Une claque de colère. Le sexta tombe à terre, l’ex-tercera lui tourne le dos. Le bleu se frotte la joue avec la marque de la main de sa semblable.

 

Grimmjow : Mais c’est qu’elle m’a baffé, cette conne !

Neliel : Grimmjow.

Grimmjow : Quoi !?

Neliel : Sais-tu… Pourquoi je ne veux pas le dire à Ichigo ?

Grimmjow : …

 

Elle se retourne face au bleu, et ce qu’il voit le surprend.

 

Neliel : Je ne veux pas qu’il pense du mal de moi !

 

Neliel pleure des grosses larmes qui coulent jusqu’à son menton. Il ne l’avait jamais vu pleurer comme ça, avec tant de tristesse.

 

Neliel : Je me sens si bien avec Ichigo. Si je lui parlais de mon passé, qu’est-ce qu’il pensera de moi ?

Grimmjow : Ben…

Neliel : Ne réponds pas. Tu ne peux pas comprendre.

 

Elle se retourne pour partir et essuie ses larmes avec sa manche. Grimmjow reste perplexe face à cette réaction. La verte s’arrête.

 

Neliel : Si… Si jamais tu en parles à Ichigo, ou que tu en fais allusion, je te jure…

 

Elle tourne juste la tête. Elle pose un regard sévère sur Grimmjow.

 

Neliel : Que je te ne le pardonnerai jamais !

Grimmjow : Tss !

 

Neliel part en courant pour rejoindre Momo, laissant Grimmjow qui se relève en utilisant le bras toujours en service, le gauche.

 

Grimmjow : Pff ! Quelle pignouse !

 

Nous nous trouvons dans la salle de classe où se tient la réunion du CFS. Voici celles qui sont présentes : Matsumoto qui arrange son décolleté en fredonnant un air, Soi Fon est toute rouge et gênée à la présence, juste à côté d’elle, de « Dame Yoruichi ». Oui ! Elle aussi vient faire une petite visite au Seireitei.

 

Soi Fon : Da-Dame Yoruichi… Que-Que fait-vous là ?

Yoruichi : Voyons, Soi Fon. Je faisais partie aussi du CFS, à l’époque ! Je ne vois pas pourquoi je ne pourrai pas revenir.

Soi Fon : Mais, vous avez été bannie. Alors pourquoi…

 

La métisse ébouriffe les cheveux de son ancienne subordonnée, qui est de plus en plus rouge.

 

Yoruichi : Qu’il y a-t-il ? Tu es gênée en ma présence, c’est ça ?

Soi Fon : M-mais non !

 

Kiyone embête sa grande sœur Isane. La cadette tripote la poitrine de l’ainée.

 

Kiyone : Allez, grande sœur ! Dis mois comment t’as fait, pour avoir une telle poitrine !

Isane : A-Arrête, Kiyone ! Je n’ai rien fait de spécial pour qu’elle soit comme ça! J’en ai même très honte !

 

Nemu, elle est, elle est…

 

Nemu : …

 

Neutre. Au tableau, Nanao regarde à côté d’elle la présidente, Yachiru, qui se goinfre de chocolats !

 

Nanao : Présidente, je ne pense pas que ce soit l’heure du goûter.

Yachiru : Chuis la présidente ! J’prend mon goûter quand j’veux !

Nanao : /soupir/ Comment la présidente générale a-t-elle pu nommer une telle présidente ?

 

Flashback

 

Retournons en arrière, il y a 15 ans. 10 ans auparavant, la précédente présidente du CFS, ayant disparue, a été déclarée morte. C’est donc Nanao qui la remplace. Nos amies étaient déjà toutes là : Mastumoto avait les cheveux un peu plus court, Soi Fon était déjà capitaine, Nemu est toujours aussi neutre. Ce jour là est comme tout les autres, mais un évènement va tout bouleverser. Quelqu’un frappe à la porte.

 

Nanao : Entrez.

 

La porte s’ouvre et surprise, c’est la présidente générale, Retsu Unohana qui vient faire une petite visite. Toutes font un cri de surprise.

 

Toutes : La présidente générale !

Nanao : Pr-présidente générale, que faites-vous ici ?

Unohana : J’ai une annonce importante à faire.

Nanao : Bien, présidente générale.

 

La capitaine de la 4e division se met face aux autres femmes du club.

 

Unohana : Mesdames, comme vous le savez, la précédente présidente de ce club est morte. C’est donc notre chère Nanao Ise qui a pris sa place. Elle a même fait du très bon travail.

 

Nanao rougit, flattée par le compliment de la capitaine générale.

 

Nanao : Présidente générale, c’est vraiment un honneur de-

Unohana : Mais c’était provisoire.

 

Tous les rêves de la vice-capitaine de la 8e division s’envolent. Les autres ne disent rien, préférant écouter.

 

Nanao : Qu-Quoi !?

Unohana : Oui, j’ai trouvé la nouvelle présidente du CFS. Et c’est sûrement définitif.

Nanao : Mais… Mais…

Unohana : Vous pouvez enter.

 

Une petite fille aux cheveux roses déboule dans la pièce. C’est Yachiru.

 

Yachiru : Youpiii ! On joue à quoi !?

 

Le silence complet, tellement qu’on entend une mouche voler.

 

Yachiru : Ben quoi, on fait rien ?

 

Toutes sont étonnées de voir cette petite fille, surtout Nanao.

 

Nanao : Présidente générale, ne me dites pas que…

Unohana : Mesdames, je vous présente Yachiru Kusajishi, la dernière vice-capitaine de la 11e division et nouvelle présidente du CFS à partir de ce jour.

Yachiru : Ouais ! C’est moi le chef ! On va monter le Girl Power !

Unohana : Alors qu’en pensez-vous ?

 

Les filles n’osent pas vraiment donner leur avis sur cette élection-éclair car si on dit quelque chose qui ne plaît pas à la présidente générale…

 

Isane : Capitaine, je ne sais pas si c’est une bonne idée.

 

Unohana ferme les yeux et sourit. C’est mauvais signe.

 

Unohana : Et pourquoi cela, Isane ?

Matsumoto : Ce n’est pas que ça nous dérange, mais elle n’est pas…

Unohana : Elle est ?

SoiFon : Une peu trop jeune.

Unohana : Peu importe son âge. J’ai trouvé que son enthousiasme et sa jeunesse pourrait bien apporter au club. Et puis elle s’intégrera.

 

Personne n’ose répondre face à un tel argument. Nanao semble fâchée, et essaye de cacher sa colère.

 

Unohana : Bien. Alors tous le monde est d’accord ?

 

C’est est trop. Nanao, ne pouvant supporter tout cela, frappe le bureau avec son poing  et lâche sa colère.

 

Nanao : Non ! Je suis totalement contre !

Toutes les autres en même temps : Elle a osé répondre à la Présidente générale !

 

Retsu reste calme. Elle se retourne lentement face à la jeune femme qui, en voyant l’air calme de la présidente générale, panique et avale sa salive.

 

Unohana : Et pourquoi donc ?

Nanao : Je… J’ai tant apporté au club, tant d’effort. J’ai tout fait pour remplacer l’ancienne présidente. Et…

 

Elle commence à sangloter.

 

Nanao : Qu’est-ce que je deviens ? Une vice-présidente que tout le monde ignore ?

 

Unohana, qui avait l’intention de lui faire peur, n’ose le faire à une jeune femme qui est prête à pleurer. Et puis, comment réagirait Kyôraku s’il apprenait que l’on a fait pleurer sa « Nanao-Chérie » ? La sage pose sa mais sur l’épaule de la jeune femme qui arrête de sangloter et la regarde.

 

Unohana : Non, tu n’es pas insignifiante. Yachiru est encore petite, elle ne saura pas gérer ce rôle comme une adulte. Alors tu seras là pour l’aider. C’est un peu comme si tu étais encore la présidente, tu comprends ?

Nanao : Oui, présidente générale.

Unohana : Mais…

 

La « vielle » sourit en fermant les yeux.

 

Unohana : Bien sûr, si elle fait des bêtises, tu n’irais pas jusqu’à la frapper, n’est-ce pas ?

 

Elle prend son air neutre et intimidant et parle sur un ton neutre.

 

Unohana : Vice-présidente Nanao Ise.

 

Le concernée prend peur et sue énormément.

 

Nanao : Ou-oui, présidente-générale.

 

La présidente générale reprend son air souriant.

 

Unohana : Bien, je vois que tu as compris. Bon, je vous laisse.

Retsu sort de la salle. Nanao regarde Yachiru, la nouvelle présidente.

Nanao : Alors, euh, « présidente », quel est l’ordre du jour ?

Yachiru : … Le quoi ? Moi j’veux jouer !

Nanao : /soupire/ Ca ne va pas être du gâteau.

 

La présidente générale marche dans le couloir, dans ses pensées.

 

Unohana : Je sais bien que ce n’est pas très raisonnable de faire d’une petite fille une présidente, mais peut-être qu’elle retrouvera la mémoire, ou mieux, sa vraie apparence.

 

Retour dans le présent

 

Bizarrement, la réunion n’a toujours pas commencée. Les vices-capitaines savent ce qu’elles attendent pour commencer. Seule SoiFon, n’ayant pas participé à la réunion improvisée du CFS entre les vices-capitaines, n’est pas au courant.

 

SoiFon : Bizarre. Pourquoi on ne commence pas la réunion ? On attend quelqu’un ?

Justement, dans le couloir, Hinamori et Neliel arrivent à la porte, essoufflées.

 

Hinamori : Capitaine, Je vais la première. Ainsi je dirai que vous êtes arrivée.

Neliel : Bien, Momo.

 

La jeune fille entre dans la classe, où tout le monde l’attendait.

 

Nanao : Vice-capitaine Hinamori, vous êtes en retard.

Yachiru : Pourquoi t’es en retard, la coincée ?

Hinamori : Désolée. Présidente ?

Yachiru : Ouais ?

 

Momo s’avance vers la fillette et lui chuchote quelque chose à l’oreille. Cette chose semble réjouir la petite.

 

Yachiru : Super ! Tu peux aller t’asseoir, la coincée.

Hinamori : Oui, présidente.

Momo va s’asseoir à côté de Rangiku.

Matsumoto : Dis, Hinamori, tu lui as dit quoi ?

Hinamori : Que la capitaine Neliel est ici.

Matsumoto : Elle est là ? Super !

 

Cette petite conversation n’a pas échappée à SoiFon, juste derrière.

 

SoiFon : Ne me dis que-

 

Neliel attend derrière la porte pour rentrer, un peu stressée.

 

Neliel : J’espère ne pas faire de gaffes !

 

Retour à l’intérieur.

 

Nanao : La présidente a une annonce à faire. Présidente.

 

Toutes restent attentives.

 

Yachiru : Les copines ! Aujourd’hui nous accueillons un nouveau membre dans notre club ! Veuillez acceuillir… Capitaine gros nibards !

 

La porte s’ouvre doucement. Neliel sort sa tête, timidement.

 

Neliel : Euh, bonjour.

 

L’ex tercera rentre dans la salle. La chinoise ne peut en croire ses yeux.

 

SoiFon : Elles… Elles ont osé accueillir cette… cette arrancar !

 

Yoruichi ayant reconnu Neliel, la salue.

 

Yoruichi : Salut, Neliel !

Neliel : Bonjour, euh…Yoruichi !

Yoruichi : Alors, il est content, Ichigo, à la vue de tes pastèques ?

 

Neliel ne voit pas à quoi fait allusion la métisse.

 

Neliel : Mais je n’ai pas offert des pastèques à Ichigo ! Et puis il me semble que ce n’est pas la saison.

Yoruichi : Laisse tomber.

Soifon : Même Dame Yoruichi la connaît ?

 

La belle arrancar se met face aux autres membres et se présente.

 

Neliel : Bonjour. Je m’appelle Neliel Tu Oderschvank, la capitaine de la 5e division. Je suis très enchantée de vous rencontrer, et… Et…

 

En tournant la tête, elle aperçoit une assiette sur le petit bureau de la présidente. Et dans cette assiette, il y a… du chocolat ! Cela l’attire étrangement. Elle se retrouve dans un état second.

 

Neliel : Cho-Chocolaaaat...

 

Un mince filet de bave coule de sa bouche. Tout ce bon chocolat à portée de main ! Elle s’approche du bureau en regardant l’assiette, comme si le chocolat l’a hypnotisée et lui dit « Mange-moi ! » Elle semble possédée. Toutes trouvent cela étrange.

 

Hinamori : Ho non !

Matsumoto : Qu’il y a-t-il, Hinamori ?

Hinamori : Et bien, Rukia m’a dit que la capitaine Neliel adore le chocolat, et dès qu’elle en voit, elle n’arrive pas à se retenir !

Matsumoto : Et ?

Hinamori : Et je crois qu’elle va vouloir prendre celui de la présidente !

 

Neliel est à quatre pattes face au petit bureau de la présidente, telle un prédateur prêt à attaquer sa proie. Elle a les yeux scotchés sur l’assiette et se lèche les lèvres.

 

Nanao : Que faites-vous dans cette position ridicule, capitaine Tu Oderschvank ?

Neliel : Hmmm… Chocolat…

 

Yachiru prend un chocolat et le met dans sa bouche, ce qui fait encore plus saliver l’arrancar. La petite remarque sa présence, Neliel qui ne peut quitter des yeux le met « divin ». Les autres femmes observent cette scène. On pourrait croire que c’est un documentaire animalier de la lionne qui chasse avec comme commentaire « La lionne, à l’affût de sa proie sans défense, se prépare à attaquer. » Enfin, une lionne qui s’est mis un crâne de bouc sur la tête.

 

Yachiru : Tu veux quoi, Capitaine gros nibards ?

 

La capitaine lève une « patte » et la tend vers les chocolats. Sa main tremble, comme si elle essaye de se retenir, mais elle n’y arrive pas. Sa main s’arrête à quelques centimètres de son objectif. Momo se lève brusquement de sa chaise.

 

HInamori : Capitaine Neliel, ne faites pas ça !

 

Trop tard. Neliel prend rapidement un chocolat et le fourre immédiatement dans sa bouche. Toutes les filles sont effarées du geste de la « lionne »

 

Toutes en même temps : Elle a mangé le chocolat de la présidente !

 

Plus l’arrancar savoure son met, plus elle est euphorique.

 

Neliel : Hmmmm… HMMMMMMMMMM !!!! C’EST TROP BOOOOON ! ENCORE ! ENCORE CHOCOLAT !

 

Elle se presse à en prendre une bonne poignée, mais sa main est arrêtée par Nanao, qui prend un air froid.

 

Nanao : Arrêtez. Seule la présidente a le droit de manger ces chocolats. Alors calmez-vous.

 

La vice-présidente ayant lâché sa main,  Neliel se met à grogner comme une bête, et se remet à quatre pattes, comme prête à attaquer.

 

Neliel : GRRRRRRR !!!

 

Yachiru ne comprend pas vraiment la situation, et en rigole.

 

Yachiru : Hihi ! Capitaine Gros Nibards se prend pour un chien ! Gentil ! Gentil Toutou !

 

Et ben là, « Toutou » Neliel ne veut pas être gentille ! Alors qu’elle s’apprêtait à bondir sur les chocolats, Matsumoto arrive derrière elle et l’attrape par les hanches pour la retenir. Le fauve se débat pour se libérer. Momo accoure.

 

Neliel : AAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHH ! J’EN VEUX ENCOOOOOOORE !!!

Matsumoto : Mais arrête, Neliel !

Hinamori : Capitaine, calmez-vous, je vous en prie !

 

Neliel tourne la tête vers sa capitaine et la regarde méchamment.

 

Neliel : GRRRRRRRRR !!

 

Momo prend peur et recule. Même pour du chocolat, elle n’avait encore jamais vue sa supérieure comme ça.

 

Hinamori : Ca…Capitaine Neliel… ?

 

Cette idiote de Yachiru ne comprend toujours rien.

 

Yachiru : Maintenant, Capitaine gros nibards a la rage ! C’est rigolo !

 

Nanao ne peut plus supporter ce bordel et craque.

 

Nanao : Mais c’est pas fini, ce bordel !? C’est sensé être une réunion calme, pas un film ! Mais que quelqu’un fasse quelque chose !

 

Personne n’ose faire quelque chose, face à une telle furie. Soi Fon se régale de cette scène.

 

SoiFon: Hin hin !  Décidemment, elle est comme tous ceux de son espèce ! Elle va se faire virer du club et personne ne voudra lui parler ! Bien fait pour elle !

A côté de la chintock, Yoruichi reste calme. Elle essaye de trouver un moyen de calmer Neliel.

 

Yoruichi : Je pourrai lui faire ça, mais elle est dans cet état que pour du chocolat. Ce serait idiot de…

 

Elle remarque quelque chose de bizarre.

 

Yoruichi : Mais qu’est-ce que-

 

Personne ne le remarque à part elle, mais le blanc de l’œil gauche de Neliel commence à devenir noir!

 

Yoruichi : Ho non ! Plus le choix !

 

La métisse se lève brusquement, ce qui surprend la capitaine de la 2e division. Yoruichi se dirige calmement vers la scène de ménage.

 

SoiFon : Dame Yoruichi, où allez-vous ?

 

Aucune réponse. Matsumoto a de plus en plus de mal à retenir Neliel, qui semble devenir de plus en plus violente. Momo semble prête à pleurer,  Yachiru rigole toujours autant. Yoruichi s’avance et se met face à Neliel, toujours aussi folle. Les deux femmes se regardent droit dans les yeux, Neliel ayant un quart de l’œil gauche noir. Yoruichi ferme les yeux un petit instant.

 

Yoruichi : Désolé, Neliel.

 

N’en pouvant plus, Rangiku  lâche la furie. Et, en une fraction de seconde, alors que la lionne allait foncer vers les chocolats,  la métisse se baisse et, avec le tranchant de sa main droite, donne un coup dans le ventre de Neliel et l’enfonce dans ses entrailles ! Cette attaque choque tout le monde.

 

Hinamori : Capitaine Neliel !

 

Yoruichi laisse sa main un petit moment. Le noir dans les yeux de Neliel disparaît. La douleur fait revenir Neliel à elle. Avec la lucidité qu‘il lui reste, elle voit Yoruichi qui l’a blessée, la main droite dans son ventre.

 

Neliel : Yo-Yoruichi…

 

Sa vision se trouble, et elle s’évanouit. La métisse retire d’un coup sec sa main ensanglantée du ventre de la belle arrancar. Celle dernière perd l’équilibre se met à tomber vers l’avant, mais elle est rattrapée par Yoruichi. La pièce retrouve sa sérénité.

 

Hinamori : Capitaine…

Yachiru : Bah, on joue plus au chien ?

 

L’ancienne capitaine pose Neliel sur le sol en l’allongeant sur le dos. En enlevant ses mains elle laisse sur le haori de la belle la trace de sa main ensanglantée. Toutes s’approchent du corps endormi de Neliel. Momo panique.

 

Hinamori : Qu-Qu’avez-vous fait à la capitaine Neliel !? Pourquoi l’avez-vous blessée ?

Yoruichi : Je lui ai simplement injecté un puissant anesthésiant directement dans ses entrailles, pour la calmer. Elle va se réveiller d’ici peu. Y a-t-il un membre de la 4e division ici ?

 

Isane s’avance, étant la seule de cette division dans le club.

 

Isane : Oui. Je suis la vice-capitaine de la 4e division, Isane Kotetsu.

 

Yoruichi : Bien, occupe-toi de sa blessure lorsque je te le dirai.

Isane : Et pourquoi pas maintenant ?

Yoruichi : Si tu le fais maintenant, Tu vas faire disparaître l’anesthésiant.

Isane : D’accord.

 

Yoruichi s’interroge sur un détail qui l’a frappée, avant qu’elle frappe Neliel.

 

Yoruichi : Le noir qu’elle y avait dans ses yeux, c’est comme avec Ichigo. Il faudrait que j’en parle à Kisuke.

 

Alors que tout le monde s’inquiète pour elle, Neliel dort encore pendant un bon moment. La seule qui ne comprend toujours rien, c’est Yachiru.

 

Yachiru : Quoi, c’est l’heure de la sieste ?

 

To be continued

 

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  • 2 weeks later...

Note : A partir de maintenant, le fait que Neliel se faisait pelotée et doigtée par ses fraccions par le passé (c’est dit dans le chapitre 1 et 4) ne fait plus parti du scénario !

Merci de votre compréhension

 

Chap 10 : La photo.

 

Le jour de l’an à la Soul Society. Un feu d’artifice de toutes les couleurs colorie le ciel de la nuit, avec un croissant de lune. Sur un toit, se trouvent Neliel et Ichigo, admirant le spectacle. L’arrancar est vraiment émerveillée, vu qu’elle n’a jamais vu de feux d’artifices.

 

Neliel : C’est vraiment magnifique, n’est-ce pas, Ichigo ?

Ichigo : Oui, Nell.

 

La belle est enfin seule avec Ichigo. Elle tente de s’approcher de lui sans trop le gêner. Elle hésite un peu de ce qu’elle veut dire à Ichigo. Elle respire un bon coup et se lance.

 

Neliel : Euh, Ichigo ?

 

Le rouquin, ayant remarqué que son amie l’a interpellé, se retourne vers elle.

 

Ichigo : Qu’il y a-t-il, Nell ?

 

Rien que le fait qu’ichigo la regarde dans les yeux la fait devenir rouge, elle se sent un peu gênée.

 

Neliel : Je… J’aimerai te dire quelque chose.

Ichigo : Vas-y, je t’écoute.

 

Neliel regarde de l’autre côté, hésitant encore. Son cœur bat de plus en plus vite, étant donné de ce qu’elle veut lui dire est gênant.

 

Neliel : Ichigo… Je… Voilà, en fait…

 

Elle se retourne vers Ichigo. Ce dernier ne répond pas. Il a le regard fixe, vide. Tout ce qui est autour est noir, plus rien, même pas le ciel, le néant.

 

Neliel : Ichigo ?

 

Du sang sort de la bouche du roux. Neliel commence à paniquer, et elle voit un sabre sortant de la poitrine du shinigami, pile à l’emplacement de son cœur ! Le sabre se retire. Ichigo s’écroule à terre, mais l’ex tercera le rattrape de justesse. Elle le secoue.

 

Neliel : Ichigo, répond ! Ne meurs pas, je t’en prie !

 

Aucune réponse. Aucune vie ne ressort du corps d’Ichigo, il est mort. Neliel commence à avoir les larmes aux yeux.

 

Neliel : Ichigo… Non…

 

Elle le prend dans ses bras, désespérée.

 

Neliel : ICHIGOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !!!

 

De grosses larmes coulent sur son visage, ne pouvant y croire.

 

Neliel : Ichigo, pourquoi ?

 

? : Parce que je l’ai tué, c’est tout !

 

Une voix d’homme se fait entendre, une voix que la capitaine connaît. Elle lève la tête et, devant elle, un homme, caché par l’obscurité. On a du mal à le voir, mais Neliel le reconnaît, avec ses cheveux bleus foncée. Celui-ci lèche le sang d’Ichigo sur sa lame.

 

Neliel : T-toi ?

? : Et oui, c’est moi ! Ça faisait un bail.

Neliel : Pourquoi tu as fait ça ?

? : Pourquoi ? Mais pour me venger, bien sûr !

Neliel : Mais Ichigo n’y est pour rien dans cette histoire !

? : Je voulais te faire souffrir, Neliel. Bien pire de ce que tu m’as fait subir ! Maintenant…

 

L’inconnu pointe son sabre sur le cou de la belle. Elle pourrait se défendre, mais elle ne peut se détacher du corps sans vie d’Ichigo.

 

? : C’est toi qui vas mourir.

Neliel : Non…

? : Adieu, Neliel !

 

Retour à la réalité

 

Et oui, c'était un cauchemar que faisait Neliel, et donc Ichigo n'est pas mort. Mais qui est donc ce homme?

 

Neliel, allongée, se redresse brusquement en se réveillant. En posant sa main droite sur sa poitrine, elle sent son cœur battre très fort, et  elle reprend son souffle. Elle voit qu’autour d’autour d’elle, toutes les filles du CFS qui attendaient son réveil.

 

Momo : Ça-ça va, capitaine, Neliel ?

Neliel : Que-Que c’est-il passé ?

Momo : Vous avez commencé à délier dû au chocolat.

Yachiru : Et tu faisais le chien !

Neliel : V-vraiment ?

Yoruichi : Mais ne t’inquiètes pas, je t’ai calmé en t’administrant un anesthésiant directement dans tes entrailles. Et je te conseille d’arrêter le chocolat un moment.

Neliel : Et-et j’ai dormi combien de temps ?

Momo : Deux heures, capitaine.

 

L’arrancar se souvient du moment où elle voit la main de la métisse dans son ventre. En entendant tout ce qu’elle a fait, elle culpabilise.

 

Neliel : Je suis… vraiment désolée d’avoir gâché la réunion. Euh, Yachiru ?

 

Cette dernière s’avance vers elle.

 

Yachiru : Ouais, Capitaine Gros Nibards ?

 

Déjà, Neliel a fait une petite gaffe en appelant Yachiru par son prénom.

 

Toutes les autres en même temps : Elle a appelé la présidente par son prénom !

Neliel : Si je peux faire quelque chose pour me faire pardonner, je le ferai.

Nanao : Alors, présidente, que décidez-vous ?

 

La fillette regarde la capitaine, qui a vraiment honte de ce qu’elle a fait, d’un air neutre. Ce qui c’est passé arrange Soi Fon .

Soi Fon : Humpf ! Elle va se faire virer, bien fait pour elle !

 

Après un petit temps qui fait stresser Neliel, Yachiru répond enfin joyeusement.

 

Yachiru : Okay ! Y a justement un truc que tu pourrais faire !

Nanao : Mais, présidente ! Vous lui pardonnez, alors quelle a osée « s’attaquer » à votre chocolat et vous a appelé par votre prénom ?!

Yachiru : Allons, la binoclarde ! Ce n’est pas si grave !

Neliel : Alors, je… je fais vraiment partie du club ?

Yachiru : Bien sûr !

 

A cette nouvelle, Neliel a les larmes aux yeux. Malgré qu’elle soit une arrancar, on l’a acceptée pour ce qu’elle est.

 

Yachiru : Bah, pourquoi tu pleures ?

Neliel : M…mer…ci.

 

Elle sans prévenir et comme un réflexe, Neliel prends dans ses bras la petite fille, sans utiliser toute sa force, bien sûr.

 

Neliel : Merci beaucoup, Yachiru ! Je ne sais comment te remercier !

Yachiru : Mais lâche-moi !

Momo : Capitaine, lâchez-la ! Vous allez lui faire mal !

Yachiru : Lâche-moi, Capitaine Gr-

 

Soudain, Yachiru s’arrête sans raison. Son regard devient vide, comme un état second. Elle pose sa main sur l’épaule de Neliel qui la serre toujours, et prend un ton réconfortant, mais pas avec sa voix. C’est comme si c’était sa voix, mais en plus âgée.

 

Yachiru : De rien, capitaine Neliel Tu Oderschvank.

 

Alors là, toutes restent sans voix : la capitaine dire ce genre de choses, c’est du pur délire !  Et cette voix ? Neliel, Surprise aussi, lâche Yachiru et se met face à elle, les mains sur les épaules de la petite, toujours dans un état second.

 

Neliel : Tu-Tu m’as appelé par mon prénom !?

 

Yachiru ne répond pas. Et, en secouant la tête, elle redevient normale.

 

Yachiru : Quoi, kess t’as, Capitaine Gros Nibards ?

Neliel : Euh… rien.

 

Yachiru, après que Neliel la lâche, remarque que toutes les filles la regardent d’un air bizarre.

 

Yachiru : … QUOI !? Qu’est-ce que vous avez  toutes à me regarder comme ça ?

Nanao : Présidente, pourquoi avez-vous eu cette voix ?

Yachiru : Quelle voix ?

 

Apparemment, elle ne s’en souvient plus. C’est peut-être mieux comme ça. Mais cela intrigue un peu Nanao.

 

Nanao : Cette voix, elle me dit quelque chose…

Neliel : Yachi- euh, présidente, vous vouliez que je fasse quoi, pour me faire pardonner ?

Yachiru : Ha oui ! Va voir le mur à gauche du tableau.

 

Neliel se relève un peu difficilement, étant donné que l’anesthésiant de Yoruichi fait encore un peu effet en plus de sa blessure.

 

Isane : Allez-y doucement. Je viens de vous soigner, il ne faut  pas vous forcer.

Neliel : Non, ça ira.

 

Arrivée au mur, elle voit une armée de photos représentant dessus des capitaines et vices capitaines du Seireitei.

 

Yoruichi : Ah oui, je m’en souviens. Kiyone m’a demandé mon autographe alors que je me lavais sous une cascade nue et toi, Soi Fon, tu t’es cachée dans les feuillages d’un arbre ! Mais je t’ai fait tomber avec le bouchon du marqueur !

 

Les deux concernées rougissent, en se souvenant de cette anecdote.

 

SoiFon : Oui, et après vous m’avez frappée, Dame Yoruichi !

 

L’ex-Tercera remarque que, sur presque toutes les photos, il y a comme des taches.

 

Neliel : Pourquoi il y a comme des taches noires ?

Nanao : C’est la présidente qui a du mal avec l’appareil.

Yachiru : Non ! Elles sont super, mes photos !

Neliel : Alors, si je comprends bien, je dois…

 

La fillette balance un appareil photo vers la capitaine qui le rattrape.

 

Yachiru : Oui ! Il nous manque la photo d’Ichigo. Tu pourrais le prendre en photo ?

Neliel : Oui, bien sûr !

Nanao : Mais, de préférence… nu.

 

Un long silence règne dans la pièce, le temps que Neliel comprenne.

 

Neliel : Co-comment ça ?

Yachiru : C’est simple, non ? On veut une photo d’Ichigo à poil !

Neliel : Mais il ne voudra jamais !

Nanao : Vous le prenez pendant sa douche ou vous le piégez.

Neliel : Mais…

 

Les joues de Neliel se teints de rose.

Neliel : Je n’ose pas voir Ichigo sans son uniforme.

 

Si, la fois où elle était tombée sur Ichigo qui revenait de sa douche, ce qui a fait tomber sa serviette, il était entièrement nu, mais elle ne l’avait pas remarqué. (Voir chapitre 2).

 

Matsumoto : Rhôôô, fais pas ta timide ! Il n’y a rien de bizarre de voir la queue d’un mec ! J’ai bien vu celle du capitaine Hitsugaya !

 

En entendant cela, Nanao bouche les oreilles de Yachiru, étant trop jeune pour entendre ces choses là.

 

Momo : Rangiku, tu as vu Tôshirô tout nu ?

Matsumoto : Ouais ! Et elle est toute petite !

Momo : Il est jeune ! Il n’a que 40 ans !

Neliel : Mais Ichigo est plus « grand » que Tôshirô ! La sienne sera sûrement plus-

 

Nanao l’interrompt car, à force d’être avec ce pervers de Kyôraku, elle ne supporte plus d’entendre ce genre de choses.

 

Nanao : Arrêtez, avec ça !

Matsumoto : Mais alors, si t’oses pas voir un mec à poil, ça veut dire que tu es… Toujours vierge !?

 

La belle arrancar devient toute rouge.

 

Neliel : Ben, c'est-à-dire que…

 

La bimbo rousse pouffe de rire jusqu’à exploser de rire en pointant Neliel du doigt.

 

Matsumoto : BWAAAAAAHAHAHAHAHAHA !! Trop la honte ! T’as jamais baisé ! Chais pas quel âge tu as, mais ça craint !

Neliel : Mais…  C’est que-

Matsumoto : Et je parie même que tu t’es jamais doigté !!

Momo : Rangiku ! Arrête de manquer de respect à la capitaine Neliel !

Matsumoto : Mais c’est pour rire !

Momo : Tu l’as sûrement blessée !

 

La vice-présidente frappe le bureau avec son poing, énervée.

 

Nanao : Ca suffit ! Qu’est-ce que j’ai dit !? On ne parle pas de sexe dans ce club ! Devant une enfant, en plus !

Mastumoto : Rhôôô, c’est bon ! Coincée du cul !

 

L’enfant en question, c’est Yachiru, bien sûr. Celle-ci reprend la parole.

 

Yachiru : Bien. Alors, Capitaine Gros Nibards, acceptes-tu la mission ?

 

Cette dernière hésite un peu, sachant qu’elle va devoir voir Ichigo tout nu.

 

Neliel : Oui, je l’accepte.

Yachiru : Très bien ! Vas-y, et rapporte-nous des photos d’Ichigo à poil !

 

La belle arrancar se dirige vers la sortie et ouvre la porte. Mais au moment où elle allait sortir, on l’interpelle.

?: Capitaine Neliel Tu Oderschvank.

 

La concernée se retourne vers son interlocutrice, Nemu. Celle-ci la regarde d’un air neutre. Elle met sa mais dans son Kimono et en sort un objet. En le voyant, Neliel est stupéfaite. Cet objet, c’est le tire-lait ! Elle est harcelée par Kurotsuchi qui veut absolument un échantillon du lait d’une femelle arrancar. Et le seul spécimen disponible, c’est elle !

 

Nemu : N’oubliez pas, capitaine Neliel Tu Oderschvank.

 

Cette dernière préfère ignorer cette menace et sort de la salle de classe.

 

Autre part, un homme court comme un taré dans les couloirs du seireitei. Cet homme, c’est Grimmjow, ayant la main gauche sur son zgeg, pour se retenir.

 

Grimmjow : Putain ! Où sont les chiottes, dans ce putain d’endroit ! Ca fait 1 heure que je cherche ! Si je ne les trouve pas, je pisse contre un arbre !

 

On remarque que son bras droit vole dans les airs, ce qui veut dire qu’il n’est pas guéri.

 

Grimmjow : Connard de Kurosaki ! Par sa faute mon bras…

 

Flashback

 

A la 5e division, Ichigo est avec Orihime, de parler de choses et d’autres.

 

Ichigo : Dis-moi, Inoue.

Orihime : Oui, Kurosaki-Kun ?

Ichigo : Est-ce que je… je t’ai fait du mal, lorsque mon hollow a pris le dessus, contre Ulquiorra ?

 

Ichigo fait référence où, alors qu’il devrait être mort, son hollow a utilisé sa « ressureccion » contre Ulquiorra sons la ressurccion Secunda Etapa. Bien qu’elle veuille oublier ce cauchemar, la rousse préfère être franche avec l’homme de sa vie.

 

Orihime : Non, ne t’en fait pas. C’est un  peu de ma faute, ce qui c’est passé.

Ichigo : Que veux-tu dire ?

Orihime : C’est parce que  je voulais que tu m’aides alors que tu étais mort que tu es devenu ce… monstre.

 

Des gouttes de larmes tombent sur le pantalon de la jeune fille.

 

Orihime : Pardon… d’être un fardeau pour toi, Kurosaki-Kun.

 

Le rouquin comprend ce que ressent son amie. Lui-même est un peu déstabilisé depuis ce mémorable combat contre le Cuatro Espada, qui n’était pas aussi neutre qu’on ne le pensait,  de par sa curiosité du « cœur ». Ichigo se pose des questions sur lui-même. Il a peur de faire du mal à ses amis. Ichigo pose sa main sur l’épaule de la rousse pour la réconforter.

 

Ichigo : Ne t’en fait pas pour ça, Inoue. Si on est venu au Hueco Mundo, c’était pour te sauver. Tu n’es pas un fardeau, tu es… notre amie, Inoue.

 

Ichigo lui sourit tendrement, Inoue est émue par ces paroles.

 

Orihime : Kurosaki…Kun…

 

Mais cette scène émouvante est interrompue brutalement par Grimmjow qui déboule sur place. En le voyant, Inoue essuie ses larmes.

 

Grimmjow : Holà, Holà ! C’est quoi, ces conneries !? On n’est pas dans un des ces stupides films à l’eau de roses d’humains !

Ichigo : Grimmjow, tu n’as pas compris de ce que je t’ai dit, ce matin ? Je ne veux pas me battre contre toi !

Grimmjow : Calmos, Kurosaki ! C’est pas pour ça ! Hé, toi !

Orihime : Oui, Grimmjow ?

Grimmjow : Répare-moi l’bras !

 

Elle remarque bien que le bras droit du capitaine est cassé, et accoure vers lui.

 

Orihime : Oui, bien sûr !

 

Elle met ses mains près du bras cassé, mais Grimmjow la presse.

 

Grimmjow : Tu te presses, la gourde !?

 

Alors qu’elle allait commencer à activer son pouvoir, Ichigo l’arrête dans son élan.

 

Ichigo : Inoue. Ne le soigne pas.

 

Cette phrase surprend la jeune fille et le bleu.

 

Grimmjow : Qu-QUOI !?

Orihime : Mais Kurosaki-Kun, il a le bras cassé. Et puis il est dans notre camp, maintenant. Il faut le-

Ichigo : Vu comment il te parle alors que tu veux bien le soigner, il ne le mérite pas.

Inoue : Kurosaki-Kun…

 

Le blessé enrage de la décision de son rival, et ne peux le supporter.

 

Grimmjow : Salopard ! Pour qui tu te prend, hein !? Comment je fais, moi, sans mon bras droit !?

Ichigo : Ce n’est pas mon problème. Décidément, tu es irresponsable. Tu ne fais même pas ton travail de capitaine.

 

Là, il ne peut du tout le supporter. Il croirait entendre Neliel lui faire la morale. Il va vers Ichigo et le prend par le col, tellement qu’il ne peut accepter qu’on lui dise ce genre de trucs.

 

Orihime : Kurosaki-Kun !

Grimmjow : Tu m’énerves ! Aussi bien que cette gamine de Neliel ! Toujours à me faire la morale !

Ichigo : Grimmjow. Pourquoi tu n’apprécie pas Nell ?

Grimmjow : C’est pas tes oignons, Kurosaki !

Ichigo : Répond, Grimmjow ! Qu’a-t-elle fait pour la détester à ce point ?

 

La tension est grande entre les deux hommes. Grimmjow lâche Kurosaki et se dirige vers la sortie. Mais il s’arrête avant de sortir de la salle.

 

Grimmjow : … Sa gentillesse. Je ne supporte pas son état d’esprit, quelle n’aime pas se battre. C’est indigne d’un arrancar. Même si c’est une femme et… qu’elle soit pure.

 

Il se retire, laissant Ichigo et Inoue un peu perplexe par ces mots.

Orihime : Grimmjow…

Ichigo : Qu’a-t-il voulu dire par « pure » ?

 

Fin FlashBack

 

Dans une réserve, nous retrouvons Hisagi, Iba et Kira, assis en tailleur, se réunissant pour une petite réunion du Club des Hommes Shinigamis.

 

Iba : Pourquoi on doit sa cacher dans cette réserve. Ca craint !

KIra : Oui, et il y a une drôle d’odeur !

Hisagi : Justement, personne ne vient ici. Comme vous le savez, notre groupe est ridicule comparé à celui des femmes.

Iba : Ouais…

Kira : Oui…

 

Les 3 hommes poussent en même temps un gros soupir.

 

Hisagi : Bien. Je pense que, pour rebooster notre club, il faudrait qu’un capitaine nous rejoigne.

Iba : Le Capitaine Kurostuchi, on ne sait même  pas si c’est un humain ! Et puis il voudrait nous utiliser comme cobaye !

Kira : Et le capitaine Komamura, est-ce vraiment un humain ?

 

Le vice-capitaine de la 7e division prend le dépressif par le col, vexé qu’on se moque de son supérieur.

 

Iba : Comment ça !?

Kira : Ben, c’est un homme ou un animal ?

 

Le porteur de lunette de soleil reste perplexe face à ce mystère.

 

Iba : Ben… Ben…

 

FlashBack

 

Un jour, Iba faisant sa promenade du matin, lorsqu’il vit son capitaine près d‘un arbre. Iba se cache car son supérieur scrute les horizons, voir si personne n’est là.

 

Iba : Tiens, que fait le capitaine ?

 

Et là, il est abasourdi : Le renard baisse son bas, ce qui laisse apparaître une fourrure orange lui couvrant la peau et une jolie queue (celle de derrière !) de renard au-dessus de son postérieur. Il se met à quatre pattes, tel un animal, lève la jambe droite et laisse apparaître un jet d’un liquide jaunâtre qui s’éclate sur l’écorce de l’arbre. Il fait sa petite commission en sifflotant un air. Son subordonné fait les gros yeux tellement que c’est surnaturel. La pissette du renard se finit. On  voit l’urine qui dégouline sur la surface de l’arbre jusqu’au sol. Le capitaine se remet dans une position de bipède, remonte bas de son kimono et semble satisfait.

 

Komamura : Aaaaaaah ! Rien de tel que d’uriner contre un arbre  pour se mettre en forme pour toute la journée !

 

Le canidé part en sifflant le même air que lors de sa petite commission, comme si de rien n’était ! Le vice-capitaine est dégouté à vie, d’avoir vu son capitaine faire ça !

 

Iba : Alors, c’est le capitaine Komamura qui… laisse des traces d’urine sur les arbres !?

 

Fin Flashback

 

Iba n’ose raconter cette anecdote à ses amis, tellement qu’elle est répugnante, même Komamura ne sait pas que son subordonné l’a vu !

 

Hisagi : Bon alors qui ?

 

Ils réfléchissent. Dehors Grimmjow fait encore sa course pour ne pas pisser dans son froc. Soudain, en passant devant une porte, il freine et revient devant cette porte. Dessus, c’est écrit « réserve ».

 

Grimmjow : Rhaaaaa , et merde ! J’en peux plus ! Je pisse là d’dans !

 

Il ouvre la porte brusquement, rentre dans la pièce et baisse son froc. Mais, devant lui, sont assis nos 3 membres du CHS qui ont les yeux rivés sur le matos de Grimmjow qui stoppe sa course et remonte son bas.

 

Grimmjow : Qu’est-ce que tu fous là, Mr 69 ?

Hisagi : Et vous, capitaine, qu’alliez-vous faire, à l’instant ?

Grimmjow : Ben, j’allais pisser !

Hisagi : Dans la réserve !? Gros dégelasse !

Grimmjow : Ta gueule ! J’fais ce que je veux ! Et puis t’as pas répondu à ma question !

 

Les 3 sifflent, comme si il ne s’est rien passé, qu’il n’y  aucune raison de leur présence dans cette minuscule pièce.

 

Grimmjow : Répondez ou je vous casse la gueule !

Kira : On se cache pour notre réunion du CHS.

Grimmjow : Le QUOI, le blondinet ?

Hisagi : Le Club des Hommes Shinigamis, capitaine.

Grimmjow : Un club ?

 

Grimmjow semble préoccupé par autre choses et reprend la parole et rigolant.

 

Grimmjow : BWAAAAHAHAHAHAHA !!! C’est de la merde, votre truc !

Hisagi : Et vous, alors ? Vous ne faites rien !

Grimmjow : Ta gueule, Mr 69.

 

Les deux autres pouffent de rire.

 

Iba : Pfff…Mr 69 ! Trop marrant !

Hisagi: Vous, c’est bon!

 

Soudain, une drôle d’odeur se faite sentir dans la réserve.

 

Kira : Dites, vous sentez pas quelque chose ?

Iba : Si, comme…

Hisagi : De la pisse.

 

Ils se retournent vers Le bleu qui ne bouge pas, regardant ses observateurs avec mépris.

 

Grimmjow : Quoi, Kess que vous avez à me regarder comme ça ?

 

Une tache d’un liquide apparaît sur le bas de Grimmjow. C’est là d’où vient l’odeur.

 

Hisagi : Vous vous êtes… Pissé dessus !?

 

Les trois se regardent et ont une crise de rire incroyable.

 

Grimmjow : Arrêtez de vous foutre de ma gueule !

Hisagi : Décidément, vous êtes hilarant, capitaine !

Grimmjow : J’vous ai dit de la fermer, bandes de cons !

 

C’est la rigolade dans cette petite réserve, avec un Grimmjow qui s’est pissé dessus, et 3 shinigamis qui sont tordus de rire.

 

Si on retourne à la 5e division, on peut y retrouver Neliel toute seule dans son bureau. Elle a la main gauche posée sur sa joue, et tient par l’autre l’appareil photo qui lui a passé le CFS pour prendre Ichigo tout nu. Elle est dans ses pensées, faisant un grand soupir.

 

Neliel : Comment je vais faire ? Il est trop tard pour qu’Ichigo prenne une douche. Et puis comment réagirait-t-il ce que je dois faire ? Que je suis une perverse ?

Sans qu’elle s’y attende, on frappe à sa porte. La porte s’ouvre. C’est sa victime, Ichigo Kurosaki.

 

Ichigo : Nell ?

 

En le voyant, la capitaine cache immédiatement l’appareil photo derrière son dos.

 

Neliel : I-Ichigo ? Que fais-tu là ?

Ichigo : Tu es déjà revenue ?

Neliel : Euh… Euh, oui !

Ichigo : Je peux te parler, Nell ?

 

Ichigo veut lui parler ! Mais de quoi ? De ce qu’elle a dit avant de partir ? La belle arrancar commence à paniquer de la situation. Le jeune shinigami s’approche de la « jeune » arrancar. Celle-ci ne sait quoi faire s’il voit l’appareil photo.

 

Neliel : De- de quoi veut-il me parler ?

Arrivé à elle, Ichigo s’assied sur le canapé près de Neliel. Celle-ci rougit un peu et a le cœur qui bat à 100 à l’heure dû à la courte distance entre elle et le roux.

 

Neliel : Il est… si près de moi !

 

Ichigo semble hésitant, concernant ce qu’il veut dire à son amie. Enfin il se décide.

 

Ichigo : Nell.

Neliel : Oui, Ichigo ?

Ichigo : Tu te souviens lorsque je n’étais plus moi-même ?

Neliel : Lorsque tu avais une drôle de voix ?

Ichigo : Oui, c’est ça. Je voulais te donner une explication. J’ai un hollow intérieur.

 

L’ex tercera est un peu surprise par l’annonce.

 

Neliel : Tu as… un hollow en toi ?

Ichigo : Oui, c’est bien ça.

 

En réfléchissant, elle se souvient que, en se basant sur ses souvenirs d’enfant, Le masque que portait Ichigo lorsqu’il le mettait ressemblait à celui d’un hollow.

 

Neliel : C’est de là que vient ton masque de hollow, alors ?

Ichigo : Oui.

Neliel : Mais pourquoi m’en parler que maintenant, Ichigo ?

Ichigo : Je ne voulais pas te laisser dans l’ignorance. Tu es une amie, Nell.

 

Le shinigami remplaçant fait un sourire à Neliel qui, en entendant cette dernière phrase de la bouche du rouquin, devient rouge.

 

Neliel : V-vraiment ? Alors que je suis… une arrancar ?

Ichigo : Ce n’est pas important, Nell. Ce qui compte, c’est ce que tu es au fond de ton cœur.

 

La capitaine est très émue par les paroles du shinigami , Elle est même prête à en pleurer.

Neliel : Ichi…go…

 

Elle se jette au cou du héros, mais étant donné qu’elle tient la dragonne de l’appareil photo, elle l’assomme avec l’objet ! Ca fait un gros « BING ! ». Le rouquin part en arrière et reste évanoui à demi-allongé sur le dos. Neliel, en voyant ce qu’elle a fait, panique.

 

Neliel : Mon dieu, qu’ai-je fait !? Ichigo !

Celui-ci se réveille, en se frottant la tête.

Ichigo : Aie…

Neliel : Ichigo ! Tu-tu vas bien ?

Ichigo : Oui-oui, ça va.

 

Le rouquin remarque l’arme du crime dans la main de l’ex-Tercera.

 

Ichigo : Nell, d’où vient cet appareil photo ?

Neliel : Ah, euh…

 

Elle ne peut pas lui dire qu’elle doit le prendre nu. Mais qu’il lui a bien avoué quelque chose, elle doit lui rendre la monnaie de sa pièce.

 

Neliel : Voilà, Yachiru veut que je te prenne en photo.

Ichigo : D’accord, si ça peut rendre service.

Neliel : Mais, tu dois être… nu.

 

Neliel a honte de dire ça  à Ichigo qui est surpris d’entendre ça de la part de son amie.

 

Ichigo : Qu… QUOI !?

Neliel : Ne-ne te fâches pas, Ichigo ! Je sais que ce n’est pas bien, mais s’il te plaît, accepte !

Ichigo : Désolé, le ne peux pas, Nell.

Neliel : Je t’en prie.

 

Elle joint ses mains pour le supplier. Le roux, en voyant l’air suppliant de la belle arrancar, ne peut qu’accepter sa requête. Il soupire en se touchant le dos de  son crâne.

 

Ichigo : Bon, d’accord, mais pas tout nu ! Je garde mon caleçon.

 

L’ex-Tercera prend Ichigo dans ses bras, tellement  qu’elle est ravie.

 

Neliel : Merci, Ichigo ! Tu es si gentil !

Ichigo : Mais non, ce n’est rien. Bon, tu peux te retourner ?

Neliel : Oui, bien sûr.

 

La femme tourne le dos au shinigami qui commence à se déshabiller. La capitaine se sent un peu honteuse de lui avoir demandé de faire ça.

 

Neliel : Que j’ai honte ! Si on nous surprenait…

 

Enfin, Ichigo a enfin fini de se débarrasser de ses vêtements.

 

Ichigo : C’est bon, Nell, tu peux te retourner.

 

Elle fait demi-tour. Devant elle, Ichigo, un peu gêné, torse-nu avec un caleçon blanc. Neliel admire ce corps simusclé malgré l’âge de son propriétaire.

 

Ichigo : Alors, Nell, tu veux que je fasse quoi ?

Neliel : Tu pourrais… prendre une position… sexy ?

 

Sans se poser de question, le rouquin se dirige vers le canapé et s’y assied. Il réfléchit à une position qu’il pourrait bien prendre. Il s’allonge sur le côté, face à Neliel, plie sa jambe gauche à moitié, pose son coude droit sur l’accoudoir et pose son poing droit sur sa joue. La beauté semble passionnée.

 

Ichigo : Alors, ça va, comme ça ?

Neliel : Euh… oui-oui ! Garde la pose.

 

L’arrancar place l’objectif de l’appareil face à Ichigo, gardant sa pose « sexy ». Elle appuie sur le bouton et un petit flash apparaît dans la pièce. Ichigo se relève, pensant que c’est fini.

 

Neliel : Attends, Ichigo !

Ichigo : Quoi, ce n’est pas fini ?

Neliel : Je… je…

 

Elle rougit un peu, ne sachant pas si Ichigo acceptera sa demande.

 

Neliel : Je peux… faire une photo avec toi, Ichigo ?

Ichigo : Ben… Bien sûr, Nell.

Neliel : Super ! Merci, Ichigo !

 

La capitaine enlève son haori blanc joyeusement, à la grande surprise d’Ichigo, toujours torse-nu.

 

Ichigo : Qu-que fais-tu, Nell ?

 

Cette dernière s’attaque à son kimono noir. Le roux craint le pire.

 

Ichigo : A-attends,Nell ! Tu ne vas pas-

 

Oui ! Après s’être dévêtu du kimono blanc qui est sous le noir, Neliel se retrouve poitrine à l’air, gardant tout de même sa culotte ! Un peu de pudeur, tout de même !

 

Neliel : Et voilà !

 

Ichigo, à la vue des Everest de la belle arrancar, se cache immédiatement les yeux et devient rouge. Le fait d’avoir la poitrine à l’air devant Ichigo ne semble pas la déranger.

 

Ichigo : Ne-Nell ! Pou-pourquoi t‘es-tu déshabillée !?

Neliel : Ben, pour la photo ! Comme tu es torse nu, moi aussi !

Ichigo : Mais toi, tu es une fille ! Ce n’est pas pareil !

Neliel : Hihi ! Tu es timide, en me voyant comme ça, Ichigo ?

 

Il jette un coup d’œil et, dû à son instinct primaire de mâle humain, ne peut dévier son regard des montagnes de son amie. Celle-ci place l’appareil photo devant le canapé et le prépare à ce qu’il prenne la photo automatiquement. Ensuite, elle se dirige vers le shinigami, toujours aussi coincé. Hé, l’ami, profites-en ! C’est pas tous les jours que l’on peut admirer d’aussi près une aussi belle poitrine ! Kon, lui, en aurait profité pleinement !  Bien sûr, les lois de la gravité fait que ses seins rebondissent.

 

Neliel : Allez, Ichigo ! T’es prêt ?

Ichigo : Ben… je…

 

La belle s’assied aux côtés de son chéri, de plus en plus stressé et en sueur. Sans qu’il s’y attende, elle le serre en le prenant par l’épaule gauche et le plaque contre elle ! Ichigo a le bras droit contre le sein droit si ferme de Neliel. Avec tout ces excitations, cela a naturellement provoqué que son général est très en garde à vous ! Bref, il a une grosse et belle érection, que, heureusement, Neliel ne remarque pas. Plus que 10 secondes avant le flash.

 

Neliel : Allez, fais un sourire, Ichigo !

 

Il essaye, mais il se sent bizarre. Son bras droit commence à trembler sans qu’il le veuille. Son membre se dirige dangereusement vers la pastèque gauche de l’ex Tercera. Il essaye de le retenir, mais rien n’y fait. 5, 4, 3, 2, 1, 0 ! Au moment du flash, Neliel pousse un petit cri de surprise. Elle regarde vers sa poitrine, et voit la main d’Ichigo prendre son sein gauche en pleine main.

 

Neliel : Mais… Qu’est-ce que…

 

Elle tourne la tête vers Ichigo. Celui-ci est en sueur, essayant d’enlever sa main de l’obus gauche de Neliel. Mais son bras refuse d’obéir à son maître.

 

Neliel : Ichigo, ça va ?

 

Le shinigami semble même lutter contre quelque chose en lui parlant.

 

Ichigo : Arrête ! Lai-laisse Nell tranquille !

 

La belle arrancar, en le voyant dans un tel état, a compris de qui se passe.

 

Neliel : Ichigo, c’est ton hollow qui te fait ça ?

 

Il ne peut répondre, tellement il est concentré à lâcher prise. Neliel ne peut supporter de voir Ichigo dans cet état. C’est alors qu’elle prend tendrement le jeune homme dans ses bras, sans l’étrangler, heureusement. Ce dernier semble moins concentré.

 

Neliel : Calme-toi, Ichigo.

 

Le shinigami se sens si bien, si serein dans les bras de la belle arrancar que son hollow se calme et peux lâcher le sein de son ami. Il reprend son souffle. Neliel le tient par les épaules.

 

Neliel : Alors, ça va mieux ?

Ichigo : …Oui. Merci, Nell.

 

Cette dernière sourit tendrement à l’homme qu’elle a ramené de justesse de la folie.

 

Neliel : De rien, Ichigo.

 

C’est alors que quelqu’un rentre dans le bureau. En voyant la scène devant elle, car cette personne semble être une fille, ne peut croire ce qu’elle voit.

 

? : Mais… qu’est-ce que…

To be continued…

 

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Chap 11 : La pureté

? : Mais… Qu’est-ce que…

 

Les deux tourtereaux tournent la tête vers la fille qui les a surprises. Elle a de longs et lisses cheveux roux et une forte poitrine malgré son jeune âge. Oui, c’est bien Orihime Inoue. Elle ne peut croire ce qu’elle voit devant-elle : Neliel et Ichigo en sous vêtements. Le pire, c’est que Neliel a les seins nus !

 

Orihime : Kurosaki-Kun et…Nell-san ?

Ichigo : Inoue ?

 

La rousse tremble légèrement et commence à reculer, les larmes aux yeux.

 

Orihime : Non …

Neliel : Orihime, ce n’est pas ce que tu crois…

 

La jeune fille s’enfuit, la belle espada tente de la rattraper pour lui expliquer.

 

Neliel : Orihime, attends !

 

En sortant dehors, elle regarde autour d’elle, la rouquine a disparue. Neliel culpabilise vraiment. En levant la tête, elle voit devant elle des hommes de sa division qui la regardent étrangement.

 

Neliel : Qu’il y a-t-il ? Pourquoi me regardez-vous ainsi ?

 

Ils bavent et ont les yeux rivés sur quelque chose. Neliel comprend enfin : ils matent sa magnifique poitrine !

 

Neliel : Hiiiiiiiii !

 

Elle retourne se cacher immédiatement dans son bureau et ferme la porte. Elle est rouge de honte.

 

Neliel : Mon dieu ! J’ai… oublié de me couvrir !

 

En voyant devant elle Ichigo qui semble réfléchir, Neliel s’assied auprès de lui.

 

Neliel : Ichigo, je suis désolée. J’étais si contente d’être avec toi que… je me suis laissée emportée.

Ichigo : Ne culpabilise pas pour ça, Nell. C‘est des choses qui arrivent. Va te rhabiller, et explique à Inoue.

Neliel : Oui, Ichigo.

 

L’ex-Tercera se relève et se dirige vers le tas de vêtements qu’elle a laissée par terre. Pendant qu’elle se revêtit de son uniforme, Ichigo ,lui, ne se rhabille pas, repensant à ce que lui a dit Grimmjow à propos de Neliel

 

Grimmjow : Même si c’est une femme et… qu’elle soit pure.

 

Il faut qu’il sache ce que veut dire « pure ». Neliel, ayant mis son kimono blanc et le bas du noir, elle s’attaque au haut.

 

Ichigo : Nell ?

Neliel : Oui, Ichigo ?

Ichigo : Grimmjow est venu, tout à l’heure. Je lui ai demandé pourquoi il ne t’aime pas. Et il m’a précisé quelque chose sur toi.

 

La concernée s’arrête et commence à paniquer. Grimmjow aurait  parlé à Ichigo de son passé. Elle commence à transpirer et avale sa salive.

 

Neliel : Et-et de quoi t’a-t-il parlé ?

Ichigo : Il m’a dit que…

 

Le couer de Neliel bat à 100 à l’heure, craignant le pire.

 

Neliel : Non… Que va-t-il penser de moi si c’est ce que je pense ?

Ichigo : Il m’a dit que tu es pure.

 

La verte pousse un petit cri de surprise. Ca la rassure d’un côté, mais d’un autre, ça la gêne un peu qu’il en sache l’existence.

 

Ichigo : C’est peut-être dur pour toi d’en parler, mais s’il te plaît, dis-moi ce que c’est.

 

Elle hésite. Il lui a bien parlé de son pervers de hollow intérieur, alors elle peut bien lui en parler. Elle enfile son haut de kimono puis son haori. Elle s’avance vers le rouquin et s’assied sur le canapé. Elle se mordille la lèvre et, enfin, jette son sac.

 

Neliel : Ichigo. Lorsque j’étais presque nue. As-tu remarqué quelque chose que je n’ai pas, mais qu’ont les arrancars ?

Ichigo : Oui, que tu n’as pas de trou de hollow.

Neliel : Voilà, c’est ça, la pureté.

Ichigo : La… pureté ?

Neliel : Oui. C’est lorsque un arrancar n’as pas de trou de hollow.

 

Le trou de hollow. Il représente la disparition, le vide de leur cœur. Il se trouve généralement au centre de la poitrine. Et pour combler le vide de leur cœur disparu, les hollows se doivent de dévorer  les âmes humaines et, lorsqu’ils ressentent cette soif de manière extrême, dévorent leurs semblables. Lors de l’arrancarisation, ce trou reste, mais peut changer de place, comme au ventre, où même, à la place d’un œil. Heureusement, les arrancars ne ressentent plus de besoin de dévorer d’autres arrancars. Cependant, il arrive que, rarement, un arrancar n’as pas de trou de hollow. Cela s’appelle « La Pureté ». Ce phénomène a été particulièrement observé chez les femmes arrancars, qui sont, déjà, peu fréquentes. Mais une seule femme arrancar encore vivante à ce jour possède cette pureté : Neliel Tu Oderschvank, Ex-Troisième Espada. On pourrait croire que Szayel Aporro Grantz, Huitième Espada, le soit aussi. Mais étant donné que le trou de hollow ne correspond pas du tout à ses goûts esthétiques, il s’est fabriqué un « bouchon » pour le cacher.

 

Ichigo : Et comment c’est vu, à Las Loches ?

Neliel : Si un arrancar est pur, il verrait ça comme une malédiction, si je peux le dire ainsi. Mais pour moi, c’est comme un cadeau pour ma gentillesse.

Ichigo : Oui, c’est vrai que tu le mérites, Nell.

 

Il sourit à la belle arrancar qui rougit instantanément de ce compliment.

 

Neliel : Euh, je… Je vais aller voir Orihime.

 

Elle se lève, prend l’appareil photo et sort de son bureau, laissant Ichigo seul. Dehors, l’ex-Tercera cherche la rouquine partout. Mais sans succès. Elle s’arrête et se gratte la tête, enfin, son masque de hollow.

 

Neliel : Mais où peut-elle bien-être ?

 

C’est alors qu’elle entend des pleurs derrière elle. En jetant un œil vers la cour, elle remarque Inoue, pleurant assise adossée contre un arbre. Neliel s’avance lentement vers la jeune fille, regrettant ce qu’elle a fait.

 

Neliel : Elle a l’air si malheureuse. Elle doit vraiment m’en vouloir, mieux vaux y aller en douceur.

 

Arrivée à la rousse qui ne l’a pas encore vue, Neliel se baisse à sa hauteur.

 

Neliel : Orihime, c’est moi.

 

La concernée se retourne et en voyant que c’est l’arrancar, elle dévie la tête d’elle.

 

Neliel : Heu, Orihime, J’aimerai te parler de ce qui c’est passé tout à l’heure.

 

Orihime continue de sangloter, ce qui met Neliel mal à l’aise.

 

Neliel : Je… Tu as l’air de refuser de me parler, mais s’il te plaît, laisse-moi t’expliquer.

 

L’adolescente se retourne brusquement vers Neliel et la regarde avec mépris.

 

Orihime : Non ! Il n’y a rien à expliquer, Nell-san ! Tu allais faire l’amour avec Kurosaki-Kun !

 

En voyant le visage en larme de la jeune fille, Neliel voit à quel point ça a blessée la rousse.

 

Neliel : Mais, je n’aurais jamais fait ça à Ichigo.

Orihime : Alors, pourquoi tu étais presque nue, et Kurosaki-Kun aussi !?

 

Neliel doit lui dire la vérité, mais va-telle la croire ?

 

Neliel : C’était pour une photo.

Orihime : Une…photo ? Je ne te crois pas.

Neliel : Si. A la base, je devais prendre Ichigo tout nu.

 

La rousse n’aurait jamais pensé ça de la part de la verte, elle qui est si gentille.

 

Orihime : Qu-comment as-tu pu faire ça à Kurosaki-Kun !?

Neliel : C’est Yachiru qui me l’a demandé, pour le club. Mais ne t’inquiètes pas, il a juste gardé son caleçon. Et j’étais tellement contente d’être avec Ichigo que j’ai voulu prendre une photo avec lui.

Orihime : Mais… pourquoi t’es-tu déshabillée ?

Neliel : Je… Je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis emportée. J’ai pensée que, comme Ichigo était torse-nu, moi aussi, je devais l’être.

Orihime : Tu… tu me dis la vérité ?

Neliel : … Oui, Orihime.

 

Orihime constate que l’arrancar lui avoue la vérité avec tant de sincérité. Elle aurait pu lui mentir, mais non.

 

Neliel : Je comprends que tu m’en veuilles à ce point. Je suis sincèrement désolée.

Orihime : Nell-san…

Neliel : Alors…

 

Neliel se met bien face à Orihime et met ses mains derrière le dos.

 

Neliel : Vas-y, frappe-moi.

Orihime : Quoi ?

Neliel : Oui. Je t’ai fait tellement souffrir. Je m’en veux terriblement. Alors, tu peux te venger sur moi.

Orihime : Mais, Nell-san…

Neliel : Je ne me défendrai pas. J’ai fait aussi en sorte que ma peau soit moins dure, pour que je ressente la douleur. Tu peux me frapper autant que tu veux, Je ne ferai rien.

 

Rappelons que la peau des arrancars, le hierro, est plus dure que la normale. Nnoitra, 5e Espada, avait la peau la plus dure sauf pour Neliel et Kenpachi. Mais Neliel est capable de la rendre moins dure, capacité que seuls les arrancars « purs » possèdent, mais qui n’est pas réellement utile.

 

Orihime commence à trembler. Oui, elle aimerait bien  faire payer à Neliel, mais pourquoi la frapper? Elle qui est si gentille, qui lui a dit toute la vérité, et qui est en ce moment, prête à se laisser frapper sans rien faire pour faire payer son crime. Oui, elle ne le mérite pas. Orihime s’en veut aussi. Elle n’a même pas demandé ce qui s’est passé lorsqu’elle les a surpris. Neliel commence à paniquer : que va-telle lui faire pour se venger ? Lorsqu’elle voit la rousse bouger à peine son bras droit, elle ferme les yeux et tourne la tête.

 

Orihime : Nell-san.

 

Cette dernière ouvre un œil pour voir qu’Orihime ne fait rien.

 

Orihime : Je ne peux pas te frapper.

 

L’arrancar ne comprend pas. Elle se « sacrifie » pour qu’elle se venge, mais, elle ne le fait pas.

 

Neliel : Mais… pourquoi ?

 

Orihime : Nell-san, tu n’as pas à faire ça. Il est vrai que je t’en voulais, mais tu ne voulais pas faire de mal à Kurosaki-kun, non, tu ne pourrais jamais faire ça. Tu voulais juste faire quelque chose avec lui. Et ce n’est pas un crime. Tu veux protéger Kurosaki-kun, comme lui il l’a fait pour toi, et moi aussi, j’ai voulu protéger mes amis en allant volontairement au Hueco Mundo.

 

Neliel : Orihime…

 

Orihime : On veut toutes les deux le bien de Kurosaki-kun. Alors…

 

L’adolescente prend la main de Neliel, très émue par ses paroles.

 

Orihime : Nell-san, je te pardonne, et je souhaite que l’on reste des amies.

 

Neliel a les larmes aux yeux. Elle est tellement heureuse que tout s’arrange qu’elle prend Orihime dans les bras, sans utiliser toute sa force, bien sûr.

 

Neliel : Orihime, merci infiniment ! Je croyais que tu me détesterais à vie !

Orihime : Mais non, Nell-san.

 

La belle arrancar lâche la rouquine et essuie ses larmes.

 

Neliel : Alors, tu veux m’accompagner au club, pour montrer la photo à Yachiru ?

Orihime : Oui, Nell-san.

 

Revenons à « Kurosaki-Kun », qui est dans le bureau de la capitaine de la 5e division, vêtu de son uniforme et en seiza, la position assise traditionnelle japonaise. Il se concentre, et ferme les yeux. UN flash apparaît. Soudain, nous nous trouvons dans un étrange lieu, avec des bâtiments où le ciel bleu se reflète sur les vitres. On se trouve bien dans le monde intérieur d’Ichigo. Ce dernier se tient debout sur la facade d’un immeuble sans tomber. Il regarde de gauche à droite, aucune présence d’être organique. Pourtant, il en sent tout de même une.

 

Ichigo : Sort de ta cachette. Je sais que tu es là.

 

C’est alors qu’une voix déformée résonne dans la dimension.

 

?: Gnihihi !

 

Un homme arrive devant le roux par un sonido. Il ressemble beaucoup à Ichigo. Sa couleur dominat est le blanc : son kimono, sa peau, ses cheveux, et même son sabre qui ressemble à Zangetsu, tout est blanc. Juste ses yeux sont noirs et jaune. Oui, c’est bien Shirosaki.

 

Shirosaki : Hello, mon roi ! Ca faisait un bail !

 

Le roi regarde son alter ego avec mépris.

 

Shirosaki : Houlala, quel regard ! Que me vaux ta visite,

Ichigo : Pourquoi as-tu contrôlé mon bras pour faire du mal à Nell ?

 

Le blanc ne répond pas, et part dans un fout rire.

 

Shirosaki : BWAAAAAAAAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAHA !!! Je lui donne l’occasion de peloter des gros seins et pour lui, c’est faire du mal ! T’es trop coincé, vieux !

Ichigo : Réponds !

 

Le blanc sourit sadiquement.

 

Shirosaki : Ha ha… Pour la peloter, tout simplement ! Je n’ai pas pu, la dernière fois, par ta faute, alors j’ai retenté ma chance !

Ichigo : Apparemment, il n’y a pas que le combat qui t’intéresse.

 

Shiro saki fait un sourire de pervers et part dans un gros délire.

 

Shirosaki : Ouais, t’as pigé ! J’adore les gros nibards ! Les nibards bien fermes, bien rond, bien gros ! Et cette arrancar, Neliel, a les seins à la perfection ! Et toi, t’en profite même pas ! J’te plains ! HAHAHAHAHAHAHA !!

 

Comme Ichigo est coincé, Shirosaki est un obsédé, vu qu’il est le contraire d’Ichigo. Logique, non ? En tout cas, le rouquin n’as pas envie de rigoler de cette anecdote. Shirosaki finit son délire de pervers.

 

Shirosaki : Et sinon, t’as autre chose à me demander ?

Ichigo : Oui, comment je fais pour contrôler la ressureccion, comme contre Ulquiorra ?

Shirosaki : Ce n’est pas toi qui l’as utilisé, c’est moi ! Et puis si je ne l’avais pas fait, t’aurais crevé avec un joli trou dans la poitrine !

Ichigo : Alors, comment ?

Shirosaki : Pff ! T’es con, toi ! J’te le dirai pas !

 

Sur ces mots, le hollow fait un fuck à son roi, qui, de toute façon, savait  qu’il refuserait. Le roi ferme les yeux.

 

Ichigo : Oui, je m’en serai douté.

Shirosaki : Alors pourquoi tu demandes ? T’est con ou quoi ? Si t’as rien d’autre à dire tu peux partir.

Ichigo : Mais c’est mon intention.

Shirosaki : Allez, Ciao, Majesté !

 

Un flash nous éblouit. Nous revenons à la Soul Society. Neliel et Orihime arrivent devant la porte du CFS. Alors que la verte va ouvre la porte, la rousse l’interrompt .

 

Orihime : Euh, Nell-San ?

Neliel : Oui, Orihime?

Orihime: Est-ce que je pourrais… voir la photo de toi avec Kurosaki-Kun ?

Neliel : Oui, si tu veux.

 

Neliel cherche la photo en question et la trouve.

 

Neliel : Ah, la voilà.

 

Elle montre à Orihime qui n’en croit pas ses yeux : sur cette photo, Neliel et Ichigo son côtes à côtes, presque nus sur le canapé. Mais le pire, c’est que le rouquin a la main droite posé sur le sein gauche de la capitaine !

 

Orihime : Pou-pourquoi Kurosaki-kun te touches le sein, Nell-san !?

Neliel : Ce n’est pas de sa faute. C’est son hollow qui l’a forcé à faire ce geste. Sinon, il n’aurait jamais fait ça.

Orihime : Oui, tu as raison, Kurosaki Kun n’est pas comme ça. Mais…  j’aimerai que tu effaces cette photo.

Neliel : Mais... pourquoi ?

Orihime : Je préfère que ça reste entre toi, moi et Kurosaki-kun.

 

Oui, c’est vrai. Qu’est-ce que les autres filles du CFS vont penser de Neliel ? Mieux vaux que cette image disparaisse à jamais ce monde. La verte l’efface de la carte mémoire.

 

Neliel : Voilà, c’est fait.

Orihime : Merci, Nell-San.

 

Neliel ouvre la porte pour entrer dans la salle de classe. Toutes sont déjà parties, sauf Nanao qui lit des fiches. Elle remarque les 2 filles.

 

Nanao : Ha, vous êtes revenue, capitaine Tu Oderschvank. Et la jeune Orihime Inoue aussi. Que voulez-vous ?

Orihime : Bon-bonjour.

Neliel : Je suis venue pour rapporter l’appareil photo.

Nanao : Vous vous êtes dégonflée ?

Neliel : Non ! J’ai bien la photo d’Ichigo.

 

Nanao est bien étonnée qu’elle a réussie cette « épreuve ». Elle remet ses lunettes.

 

Nanao : Bien. Je vais appeler la présidente. Présidente !

 

Une porte est à la droite de la vice-présidente. Elle s’ouvre toute seule. On voit donc apparaître la petite Yachiru qui lèche une sucette.

 

Yachiru : Salut, Capitaine gros nibards ! Et t’es là aussi, pouic-pouic !

Orihime : Bonjour, Yachiru .

Yachiru : Vous voulez quoi ?

Neliel : Je te ramène la photo d’ichigo.

Yachiru : Super ! Montre !

 

La rose saute sur le bureau où est logée Nanao, la verte lui passe l’appareil. La petite et la binoclarde regarde la photo d’Ichigo en caleçon dans une position « sexy ».

 

Yachiru : Alors, la binoclarde, t’en dis quoi ?

Nanao : Hmm… Pourquoi il n’est pas entièrement nu ?

Neliel : Il ne voulait pas. Et je n’aurais jamais pu le prendre ainsi.

 

La capitaine a peur qu’on lui fasse de mauvaises remarques. Yachiru est contente.

 

Yachiru : Elle est super !

Neliel : Mais… ce n’est pas grave s’il n’est pas nu ?

Nanao : C’est vrai, présidente. Elle n’a pas remplie cette condition.

Yachiru : Sois pas si difficile ! Tant qu’il prend une pose de cette sorte, ça va ! Bien joué , Capitaine gros nibards !

 

Cette dernière est flattée par la félicitation de la fillette.

 

Neliel : Ce-ce n’est rien. Tu viens, Orihime ? On va retrouver Ichigo.

Orihime : Oui, Nell-san .

Yachiru : Ho non, restez !

En se retournant, les cheveux de Neliel se soulèvent. Un de ses cheveux chatouille les narines de Yachiru.

 

Yachiru : Aaaa…AAAA…. ATCHOUUUUUM !

 

Un gros nuage de fumée englobe la pièce tout entière. Nanao, Neliel et Orihime toussent et écartent la fumée avec les mains.

 

Neliel : Yachiru ! Ca va ?

 

La fumée commençant à se dissiper, les 3 filles aperçoivent une forme. Lorsque le brouillard se fait rare, Elles croient halluciner : devant elles, accroupie, se tient une jeune femme ayant de long cheveux roses, une assez forte poitrine et un uniforme de shinigami déchiré. C’est Yachiru qui est redevenue grande, comme ce matin (voir chap 8).  Elle se relève et reste de profil. Les 3 filles n’ont pas reconnue Yachiru. Nanao a les yeux écarquillés.

 

Nanao : Non…

 

Elle se rapproche de l’inconnue, semblant émue.

 

Nanao : P-présidente Sora ? Est-ce… bien vous ?

 

La rose regarde la vice-présidente qui a les larmes aux yeux. Et d’une voix douce, elle répond.

 

Yachiru : Oui, Nanao, c’est bien moi.

 

Nano, ayant eu la réponse qu’elle espérait, se jette sur Yachiru pour la prendre dans ses bras.

 

Nanao : J’étais sûre que vous n’étiez pas morte ! Vous m’avez tellement manquée, présidente !

Yachiru : Je suis contente aussi que tu ailles bien.

 

Neliel et Orihime regardent ces retrouvailles, toujours surprises par cette fille étrangère à leurs yeux.

 

Orihime : Nell-san , Qu-qui est cette femme ?

Neliel : Je ne sais pas. Bizarrement, j’ai l’impression que c’est…

 

Nanao lâche la présidente et retourne vers les deux autres, toujours en la regardant avec émotion.

 

Nanao : Je suis si heureuse ! Il faut que les autres membres apprennent votre retour, après tant d’années !

 

Mais Yachiru ne semble pas heureuse. Elle a un regard mélancolique.

 

Nanao : Présidente Sora, est-ce que tout va bien ?

Yachiru : Je suis navrée, mais…

 

Elle tend son bras vers les trois femmes, paume de la main face à elles. Nanao reconnaît cette pose.

 

Yachiru : Vous allez oublier.

Neliel : Ou…blier ?

Nanao : Ne-ne faites pas ça !

Yachiru : voie de liaison 79.

 

Un tatouage noir avec deux bandes noires en spirale recouvre le bras droit de la rose.

 

Nanao : Non, présidente Sora !

Yachiru : Kaikoroku (no)  sashitsukae*.

 

Une onde de choc sort de la paume de sa main et touche les 3 filles. Seules Orihime et Nanao  tombent dans les pommes et Neliel, toujours consciente, les rattrapes.

 

Neliel : Qu-que vous arrive-t-il ?

 

Aucune réponse de leur part. Après que son tatouage ai  disparu, Yachiru prend un air surpris.

 

Yachiru : Mais…

 

La capitaine jette son regard vers l’autre jeune femme qui la regarde en écarquillant les yeux.

 

Neliel : Que leur avez-vous fait !?

Yachiru : Mais… Pourquoi mon Kidô n’a pas marché sur vous ?

Neliel : Et puis, qui êtes-vous ? Où est passée Yachiru ?

 

La rose ne sait pas quoi faire. Répondre ou retenter son Kidô ? Et s’il échouait encore. Mieux vaux prendre la première option.

 

Yachiru : Je suis Yachiru.

 

La verte reste abasourdie. Cette jeune femme est la petite fillette fan de sucreries qu’est Yachiru !?

 

Neliel : Tu-tu est vraiment … Yachiru !?

Yachiru : Mon vrai nom est Sakura Sora**, ancienne vice-capitaine de la 3e division.

 

Maintenant que l’on sait qui est vraiment Yachiru, lorsqu’elle est Sakura, j’écris « Sakura », et lorsqu’elle est Yachiru, « Yachiru ». Logique, non ?

 

Neliel : Mais qu’as tu fais à Orihime et Nanao ?

Sakura : J’ai effacé leur mémoire pour qu’elles oublient qu’elles m’ont vue sous cette forme.

Neliel : Mais pourquoi avoir fait ça ?

Sakura : … Je… Je ne sais pas vraiment. Je sens que je dois le faire.

 

Mais quelque chose turlupine Neliel, qui est toujours surprise par la nouvelle apparence de Yachiru.

 

Neliel : Mais… comment est-tu devenue Yachiru ?

Sakura : C’était il y a 25 ans. Ca reste encore très flou dans mon esprit. La seule chose dont je me souviens exactement, c’est que c’est mon capitaine qui a fait ça.

Neliel : Mais, pourquoi aurait-il fait ça à sa subordonnée ?

Sakura : … Je crois… que c’était pour me sauver.

 

Au début, Neliel croyait qu’il avait fait ça pour se débarrasser d’elle. Mais finalement, c’est une preuve qu’il avait de l’affection pour sa subordonnée.

 

Neliel : Et il s’appelle comment ?

Sakura : Il s’appel-

 

C’est alors que la rose est prise d’un violent mal de tête. Elle tient son front. La verte s’en inquiète.

 

Neliel : Sakura, ça va ?

 

Cette dernière essaye de se concentrer pour atténuer son mal de tête.

 

Sakura : Je… Non, ça va aller.

Neliel : Non, tu n’as pas l’air bien. Je vais t’emmener  à la 4e division pour-

Sakura : Non, surtout pas !

 

La capitaine est surprise : pourquoi elle refuse ?

 

Neliel : Mais enfin…

Sakura : Je vais juste retrouver ma forme d’enfant, ce n’est pas gr ave.

Neliel : Mais, tu n’aimerais pas retrouver tes amies?

 

En entendant le mot « amies » la rose écarquille les yeux, et repense à de bons moments passées, lorsqu’elle était la présidente du CFS et surtout, avec son capitaine.

 

Sakura : … Non, je ne me sens pas prête.

 

La jeune femme commence à briller.

 

Sakura : Avant que je parte, promettez-moi que vous ne direz à personne que vous m’avez-vue.

Neliel : Oui, je te le promets.

 

Neliel fait un tendre sourire à Sakura qui sent qu’elle peut vraiment lui faire confiance. Elle aussi lui sourit.

 

Sakura : Merci, capitaine Neliel.

 

La lumière se fait de plus en plus aveuglante, jusqu’à éclairer avec beaucoup d’intensité toute la pièce.

 

To be continued…

 

*Kaikorku no sashitsukae : entrave de la mémoire

**Sora (no) Sakura : Le cerisier du ciel.

 

 

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  • 3 weeks later...

Chap 12 : Le cœur pur

 

La lumière aveuglante disparaît. Neliel, qui avait  caché ses yeux avec sa manche pour ne pas être aveuglée, la baisse. Elle ne voit plus Sakura. A la place, on retrouve la petite Yachiru qui dort  à même le sol, toute nue, couverte d’un bout de son kimono déchiré. Cela rassure la verte qu’elle va bien.

 

Neliel : Bon, je vais rentrer. Il commence à se faire tard.

 

En voyant Nanao et Orihime, toujours évanouies, elle préfère les laisser dans cet état. Elle prend la jeune fille et la porte sur son épaule droite, puis se dirige vers la sortie. Elle prend la poignée de la porte, mais s’arrête.

 

Neliel : J’espère que l’on se reverra, Sakura.

 

Elle ferme la porte derrière elle, laissant Nanao et Yachiru dans leur sommeil. Durant le trajet vers la 5e division, Neliel est dans ses pensées.

 

Neliel : J’espère qu’Ichigo ne m’en veut pas pour ce qui c’est passé.

 

C’est alors qu’Orihime, ouvre légèrement les yeux, revenant à elle.

 

Orihime : Hmmmm…

 

Elle sent que quelqu’un la porte. Elle tourne la tête vers la droite. Et elle voit que c’est Neliel. Elle est encore un peu dans les vapes.

 

Orihime : Nell-san ?

 

La capitaine entend la voix de la rousse.

 

Neliel : Ah, tu es réveillée, Orihime.

 

Soudain, l’adolescente ouvre grand les yeux, en voyant qu’elle n’a pas les pieds au sol. Elle regarde autour d’elle, un peu paniquée, et comprend que Neliel la porte sur son épaule. Ses joues se teint de rose.

 

Orihime : Ne-Nell-san ! Re-repose-moi !

 

Neliel : Non, c’est bon. Ca ne me déranges pas de te porter. Et puis, tu viens de te réveiller.Orihime : Mais…

 

La rousse se sent toute gênée, ce que Neliel remarque.

 

Neliel : Hm ? Pourquoi rougis-tu, Orihime ?

 

Orihime : C’est que… Tu me portes comme Kurosaki-kun.

 

Oui, rappelez-vous, après le 2e  combat d’Ichigo contre Grimmjow.

 

Neliel : Je vois. Tu n’as pas à être gênée, tu sais ?

 

Orihime : Mais, que c’est-il passé ? Je ne souviens plus de rien.

 

Neliel se souvient que Sakura avait effacé la mémoire de son amie et de la vice-présidente du CFS. Et puis qu’elle doit garder le secret.

 

Neliel : Et bien… tu… es tombée !

 

Orihime : Hein, tombée ?

 

Neliel : Oui, Yachiru avait laissé traînée une balle par terre, et tu as glissée dessus. Mais qu’est-ce que je raconte ? Elle ne me croira jamais !

 

La rousse reste neutre pendant un petit moment, puis répond.

 

Orihime : D’accord, si tu le dis.

 

Malgré qu’elle a mentie, ça rassure Neliel de voir que son amie la croit. Non mais quelle cruche, celle-là ! Mais la rousse se sent encore gênée de se faire porter.

 

Orihime : Euh, tu peux me reposer par terre, Nell-san ?

Neliel : Ah oui, bien sûr.

 

Elle repose donc son « sac » sur le sol. Les 2 amies rentrent donc à la 5e division. Dans la salle de classe du CFS, Nanao se réveille à son tour, se lève et se frotte la tête.

 

Nanao : Mais… que c’est-il passé ? J’ai comme un trou noir.

 

Elle ne voit pas tout de suite la présidente, jusqu’à ce qu’elle entende sa voix ;

 

Yachiru : Hmmm…

Nanao : Ha, vous êtes- …là ?

 

La brune écarquille les yeux. Devant elle, elle voit la présidente assise par terre nue comme un ver !

 

Yachiru : J’ai bien dormi !

 

La fillette remarque la présence de la vice-présidente, ayant un air ahuri.

 

Yachiru : Qu’est-ce qu’il y a, la binoclarde ?

 

Celle-ci a les joues roses et remet ses lunettes.

 

Nanao : M-mais présidente ! Que faites-vous dans cette tenue !?

Yachiru : Euh… /joyeusement/ chais pas !

Nanao : Comment ça, chais pas !? Il doit bien y avoir une raison !

 

A la 10e division, Tôshirô, alors qu’il se dirige vers son bureau, entend un rire de femme qu’il reconnaît.

 

Tôshirô : Ne me dis pas que c’est-

 

Il ouvre la porte, et un énorme rire lui casse les tympans. Il entre en se bouchant les oreilles. Devant lui, Rangiku, sui rigole comme une vache affalée sur le canapé.

 

Rangiku : Hahahahahahaha !

Tôshiro : Matsumoto.

 

Mais elle n’entend pas la crevette, tellement qu’elle rit fort.

 

Rangiku : BWAAAAAAAAHAHAHAHAHAHAHA !!!

 

Le minus ne supporte plus le rire de sa vice-capitaine.

 

Tôshirô : MATSUMOTO !!

 

La bimbo se calme par le cri de son supérieur. Elle se retourne vers lui, essuyant une larme qui lui restait au coin de l’œil.

 

Rangiku : Ha, c’est vous, capitaine.

Tôshirô : Pourquoi ris-tu comme ça ?

Rangiku : J’ai découvert un truc concernant Neliel !

 

La crevette pense qu’elle continue à être en rivalité avec la capitaine de la 5e division ;

 

Tôshirô : Quoi, son tour de poitrine ?

Rangiku : Non non ! En fait…

 

Elle essaye de se retenir de rire, mais tellement que c’est drôle pour elle…

 

Rangiku : Elle est toujours vierge ! Haaahahahaha !

 

Elle pouffe de rire sur son capitaine qui reçoit ses postillons. Elle tape sur son genou. Hitsugaya garde son air aussi glacial.

 

Histugaya : Matsumoto, ce n’est pas drôle. Tu iras t’excuser devant la capitaine de la 5e division. Tu l’as sûrement blessée.

Rangiku : Mais capitaine, ce n’est pas méch-

Tôshirô : C’EST UN ORDRE !

 

La rousse se calme instantanément, en voyant le regard sévère de son capitaine. En réfléchissant, elle se rend compte que son comportement est ridicule, et que c’est mal de se moquer des autres à ce sujet.

 

Rangiku : … Oui, capitaine, je le ferai.

Tôshirô : Bien.

 

Vers 19 heures, il fait nuit. A la 5e division, Neliel admire le ciel étoilé, qu’elle trouve magnifique. C’est que, au Hueco Mundo, terre de désolation et de vide, Il y a bien une lune dans le ciel sombre, mais aucun signe d’étoiles. Par contre, dans las Noches, il ne fait jamais nuit. C’est alors que vient Ichigo et Orihime, qu’elle voit arriver.

 

Neliel : Ah, vous venez voir le ciel avec moi ?

Ichigo : Nell, Inoue aimerai te poser des questions.

Neliel : Oui, bien sûr !

 

La rouquine s’avance vers la capitaine, timidement.

 

Neliel : Qu’il y a-t-il, Orihime ?

 

Cette dernière est encore hésitante sur la question. Est-ce que cela ne mettrait pas son amie mal à l’aise

 

Orihime : Nell-san, est-ce que… tu connaissais Ulquiorra ?

 

La belle arrancar est légèrement étonnée qu’elle parle du cuatro Espada, mais ça ne l’empêche pas de répondre.

 

Neliel : Oui. Il était le 2e Espada. On n’avait pas vraiment de points communs.

Orihime : Et… Est-ce qu’il était déjà intéressé par… le cœur ?

Neliel : … Le cœur ? Comment ça ?

Orihime : Je crois… qu’il faisait allusion aux sentiments humains, les émotions.

 

C’est alors que Neliel se remémore d’une conversation qu’elle a eu avec Ulquiorra.

 

FlashBack

 

Hueco Mundo, Las Noches, il y a 25 ans. Neliel, 3e Espada, marche dans un couloir blanc et vide, seule, sas sa fraccion qui, à cet époque, était différente. Elle revient du combat que lui a une fois de plus lancé Nnoitra, 8e Espada. Elle ne semble pas fatiguée par ce combat, mais plutôt… affamée. Son ventre qui gargouille en est la preuve. Elle pose sa main dessus.

 

Neliel : /soupire/ Ce que j’ai faim !

 

Elle se retrouve à un carrefour, continue tout droit. Dans l’ombre, on ressent une présence. Dans l’obscurité, des yeux, d’un vert émeraude, s’ouvrent soudainement.  Ces yeux regardent Neliel qui, tellement que son appétit est grand, ne sent rien. C’est alors qu’une voix d’homme l’appelle sur un ton neutre.

 

?: Neliel.

 

La tercera fait un petit saut et crie de surprise. Elle reprend son souffle et se retourne vers cette voix. Devant elle, les yeux verts la fixent, mais elle reconnaît cette personne.

 

Neliel : Ah, c’est toi.

 

La personne s’avance et apparaît au fur et à mesure qu’il sort de l’ombre. C’est bien Ulquiorra Schieffer, 2e Espada à l’époque, les mains dans les poches, toujours la même apparence qu’on lui connaît. Il jette son regard inexpressif droit sur la Tercera.

 

Ulquiorra : Tu étais avec Nnoitra, n’est-ce pas ?

Neliel : Oui, il voulait encore me défier.

Ulquiorra : … Il continue, alors qu’il sait pertinemment qu’il n’a aucune chance face à toi. C’est pathétique. Et toi, tu acceptes son défi, alors que tu détestes le combat. Je ne comprends pas.

Neliel : Oui, c’est vrai que je n’aime pas me battre, mais ainsi, je lui rends service.

 

Le cachet d’aspirine a du mal à comprendre.

 

Uquiorra : …Un service ? En quoi se battre contre cet abruti lui rend service ?

 

Neliel se sent mal à l’aise face au secundo, et ne sait pas quoi répondre.

 

Ulquiorra : … Peu importe. Je ne suis pas venu pour te parler de ça.

Neliel : Tu… veux me parler ? De quoi ?

Ulquiorra : Es-tu pure ?

 

La belle est surprise qu’il la questionne sur ce sujet.

 

Neliel : Quoi ?

Ulquoirra : Oui, j’ai entendu dire que tu étais pure. Est-ce vrai ?

 

Elle hésite à lui répondre, mais pourquoi devrait-elle pas lui donner la réponse qu’il attend ?

 

Neliel : … Oui, Je suis bien pure.

Ulquiorra : Ah ? Mais…

 

Le secundo prend un air légèrement plus sérieux, tout en gardant son regard vide. Il arrive à faire ça, lui ?

 

Ulquiorra : L’es-tu toujours ?

Neliel : C-comment ça ?

Ulquiorra : Te souviens-tu de « l’expérience » ?

 

Elle voit très bien de quoi parle le dépressif. Elle prend un air triste.

 

Neliel : S’il te plaît, ne me parles pas de ça.

Ulquiorra : Si. Une force  sommeille en chacun de nous, arrancars. Et, pour nous deux, ce pouvoir est sortie de force par cette expérience. Te sens-tu… différente ?

Neliel : …Non, je suis toujours la même.

 

Elle baisse les yeux, se rappelant de ce jour horrible pour elle. Ulquiorra sent du trouble en sa semblable.

 

Ulquiorra : … Tu mens.

 

Elle relève les yeux, surprise par la simple phrase du dépressif.

 

Ulquiorra : Mes yeux voient tout. Tu sens que si tu utilises ce pouvoir, tu ne seras plus toi-même. Ai-je raison ?

 

Neliel ne sais pas quoi répondre.

 

Neliel : Je… Je…

Ulquiorra : Voilà ce que j’en conclus. Toi, Neliel Tu Oderschvank, tu n’es plus pure.

 

La verte refuse la conclusion du cachet d’aspirine.

 

Neliel : Non ! Je suis toujours pure !

 

Le blanc s’avance vers elle.

 

Ulquiorra : Alors, prouve-le.

Neliel : Pourquoi le prouverai-je ?

 

Il s’arrête face à la Tercera. Il prend avec les deux mains le col de la belle, surprise par ce geste.

 

Neliel : Qu-Qu’est-ce que tu fais ?

Ulquiorra : … Voir si tu es pure.

 

On entend un bruit de déchirement de vêtements.

 

Neliel : Non, tu ne vas pas-

 

Oui ! Ulquiorra, d’un coup sec, déchire le haut de la Tercera de haut en bas, ce qui découvre sa magnifique poitrine ! Il ouvre en grand pour bien voir, mais reste indifférent face à ces merveilles de la nature. Neliel, toute rouge, est terriblement gênée. Le secundo continue d’admirer indifféremment les Everests de Neliel, qui croit qu’il le fait par perversité.

 

Neliel : Que fais-je ? Si je le gifle, il…

Imagination de Neliel

 

Il s’apprête à prendre dans sa main son sein gauche. Non, il ne peut pas le faire. C’en est trop. La Tercera tremble, mais prend le risque. Elle lui met une grosse baffe qui fait pivoter la tête d’Ulquiorra.

 

Neliel : Pervers !

 

Le blanc reste la tête tournée, et tourne l’œil pour voir la verte qui le regarde, qui respire fort en le regardant, la main levé. Il tourne la tête vers elle, qui regrette son geste.

 

Ulquiorra : …

Neliel : Je… Ne m’en veux pas, c’est que t-

 

Elle n’eut le temps de finir car Ulquiorra, en même pas une seconde, a transpercé  la poitrine de Neliel, pile dans le cœur ! La belle vomit beaucoup de sang, a les yeux écarquillés et suffoque.

 

Neliel : Urgh…

 

Elle baisse lentement la tête pour voir la main d’Ulquiorra platée dans sa poitrine. Le secundo regarde le visage tétanisé de la Tercera, avec une telle neutralité. Elle tremble de tout son corps.

 

Ulquiorra : ...

 

En retirant sa main du trou, une grande quantité d’hémoglobine jaillit. La vue de Neliel se  trouble, ayant un dernier souffle de vie La dernière chose qu’elle voit, c’est le tueur qui la regarde tomber comme toujours avec son regard de dépressif. Elle tombe sur les genoux, puis s’écroule par terre. Du sang s’étale sur le plancher, le teignant d’un liquide rouge. Le meurtrier regarde le cadavre baignant dans son propre sang.

 

Ulquiorra : …Pathétique. Elle ne méritait pas le titre de 3e Espada.

 

On voit Neliel, inerte, ne semblant plus vivre. Mais on s’éloigne, et constatons que cette scène d’horreur se passe dans une bulle semblable à un nuage. Et sous ce nuage, on retrouve… Neliel, toujours vivante. Son imagination qui lui joue des tours. Elle secoue la tête, faisant disparaître le nuage des pensées.

Fin imagination de Neliel

 

Neliel : Mais pourquoi j’imagine quelque chose d’aussi horrible ? Il ne fera jamais ce genre de choses ! Reprends-toi, Neliel !

Enfin, après avoir observé dans tous ses recoins, enfin, juste le haut (heureusement !), le corps de rêve de la Tercera,  le cachet s’exprime.

 

Ulquiorra : … Oui, effectivement, tu es pure.

 

Il lâche la Tercera, qui se sent gênée.

 

Neliel : Tu… Tu n’étais pas obligé de faire ça pour le savoir.

 

Il ne lui répond pas. La jeune femme, se sentant mal auprès du secundo, prend une autre direction, en resserrant son haut pour cacher sa poitrine

.

Ulquiorra : Attends.

 

Elle stoppe sa course et se retourne vers lui.

 

Neliel : Qu-que veux-tu, encore ?

 

Il est face à elle, toujours aussi indifférent. Il s’approche dangereusement de la Tercera, qui recule de crainte. Il tend sa main droite vers elle. Neliel panique, reculant, jusqu’à ce que son dos heurte un mur ce qui l’empêche de fuir. Plus Il se rapproche, plus elle a peur. L’ombre de l’insensible couvre le corps de l’innocente femme, qui a des larmes aux yeux. Sa main est à 1,50 m d’elle. Elle ferme les yeux, peur de ce qui peut lui arriver. Va-t-il vraiment faire comme dans son imagination, la tuer ? Son cœur bat à 100 à l’heure. Mais rien ne se passe. Elle sent quelque chose de froid sur sa poitrine. Elle ouvre les yeux. Elle est surprise : Ulquiorra a juste posé la main droite là où elle ressentait ce froid, comme si il voulait sentir quelque chose. La Tercera se calme. Enfin, il enlève sa main. Pourquoi a-t-il fait ça ? Il regarde sa main.

 

Ulquiorra : Le battement de cœur. C’est une sensation… forte étrange.

Neliel : Tu voulais… sentir mon cœur battre ?

Ulquiorra : J’ai ressenti ce cœur qui battait très fort en toi, alors que tu ressentais ce que les humains appellent la « peur ». Au fur et à mesure que cette peur disparaissait, il se calmait.

 

Il remet sa main dans sa poche. Son regard sans sentiments retourne vers sa semblable qui est perplexe.

 

Ulquiorra : Est-ce que ces battements varient selon… les émotions ?

Neliel : … Oui, c’est naturel.

Ulquiorra : … Naturel ?

Neliel : Pourquoi voulais-tu sentir mon cœur ? Tu en as un.

 

Il ne répond pas, laissant Neliel dans la perplexité. Il garde son regard vide, son visage dénoué de sentiment. Il enlève sa main droite de sa poche et prend le haut de sa fermeture.

 

Ulquiorra : Un cœur, tu dis ?

 

Il la descend jusqu’au bas de sa poitrine et l’ouvre bien. Neliel écarquille les yeux, dû à ce qu’elle voit.

 

Ulquiorra : Je n’ai pas de cœur.

 

Au centre de sa poitrine, son trou de hollow, qui révèle l’absence de l’organe.

 

Neliel : Mon dieu… Comment fais-tu pour vivre ?

Ulquiorra : … Vivre ? Faut-il un cœur pour… « vivre » ?

 

La belle commence à pleurer.

 

Neliel : Ca doit être… horrible.

 

Le secundo est surpris de la réaction de la Tercera.

 

Ulquiorra : Ce qui coule de tes yeux, serai-ce… des larmes ? Cela signifie que tu es triste. Pourquoi l’es-tu ?

 

La verte essuie ses pleurs avec sa main.

 

Neliel : Je suis triste pour toi. Cela doit être dur de ne pas avoir de cœur. Tu dois en souffrir.

Ulquiorra : …Pourquoi en souffrirai-je ? Et puis, qu’est-ce exactement que la « souffrance » ?

 

La belle comprend que le dépressif ne connaît aucun sentiment, ce qui l’attriste.

 

Ulquiorra : Les émotions que tu ressens, serai-ce dû… à ta pureté ?

 

Neliel : Non, ce n’est pas ma pureté qui en est la cause. Tout être vivants a des sentiments.

Ulquiorra : Mais nous sommes des, arrancars, des hollows, pas des humains.

 

La Tercera commence à s’approcher du secundo, en marchant.

 

Neliel : Les arrancars sont proches des shinigamis, et les shinigamis…

 

Face à Ulquiorra, elle pose sa main droite sur le torse du blanc, à l’emplacement de son trou de hollow. Elle le regarde tendrement.

 

Neliel : … Sont proches des humains.

 

Le secundo reste insensible à la tendresse de la Tercera.

 

Neliel : Je suis sûre que, malgré ce vide que tu as à la poitrine, tu peux ressentir des émotions.

 

Le blanc ne comprend pas le comportement de la belle.  Pourquoi cette simple femelle arrancar a-t-elle ce qu’on appelle de la compassion pour lui ? Il la regarde d’une telle neutralité. Il retire la main de Neliel, puis il s’en va derrière elle, qui ressent une sorte de tristesse en Ulquiorra, mais il n’en a pas conscience. Brusquement, il s’arrête.

 

Ulquiorra : Sais-tu… pourquoi je suis venu vers toi et pas un autre de nos semblable ?

 

Elle se retourne vers lui, intéressée par la raison qui l’a poussé à la voir. Il tourne la tête vers elle.

 

Ulquiorra : C’est parce que tu as le cœur pur.

 

Neliel voit dans le regard d’Ulquiorra de la mélancolie.

 

Neliel : Ulquiorra…

 

Mais un bruit gâche tout. Il s’agit du ventre de Neliel qui gargouille, ce qui la gêne et rougit. C’est qu’elle a faim.

 

Ulquiorra : Et… pense à manger. Je supporte mal ce bruit.

Neliel : D-désolée.

 

Le secundo s’en va, laissant Neliel dans sa faim, le haut déchiré. Plus tard, Ulquiorra Schieffer deviendra  le 4e  espada. Il sera toujours fasciné par le « cœur », et ce sera une autre femme qui va porter son intérêt : Orihime inoue. Neliel en partant de son côté, réfléchit de toute cette conversation. En tournant à l’angle, elle remarque la présence d’une femme, cachée dans l’ombre, adossé contre le mur, les bras croisés.

 

?: Que vous voulez Ulquiorra, Dame Neliel ?

Neliel : Tu nous as entendus ?

?: … Non. Mais j’ai tout vu.

 

La Tercera se sent gênée, vu le comportement qu’a eu le dépressif. La femme ouvre les yeux, laissant apparaître ses yeux, colorés d’un iris vert.

 

? : Lorsque je l’ai vu déchirer votre haut, mon sang a bouilli et j’ai failli intervenir, mais j’ai préféré vous laisser régler ça.

 

La Tercera est touchée par ce qu’a voulu faire la mystérieuse femme. La verte pose sa main sur son l’épaule.

 

Neliel : C’est très gentil de ta part, mais tu n’as pas à risquer ta vie pour moi.

? : Je suis votre fraccion, Dame Neliel. Mon devoir est de vous protéger.

 

La verte n’ose insister, car il est vrai que c’est le rôle d’un fraccion.

 

Neliel : … Tu viens ? On va manger, c’est que j’ai un peu faim, pas toi ?

? : Oui, Dame Neliel.

 

Les deux femmes se suivent, la fraccion suivant sa maîtresse. En voyant la fraccion de dos, on constate qu’elle porte son sabre, d’une forme peu banale, sur son dos. Elles disparaissent dans l’ombre.

 

Fin FlashBack

 

Revenons à Neliel dans le présent, qui reste dans ses pensées. Orihime l’interpelle.

 

Orihime : Heu, Nell-san ?

 

La voix de la rousse fait revenir la capitaine dans le présent.

 

Neliel : Hein, quoi ?

Orihime : Je t’avais posé une question.

Neliel : Ha oui ! Effectivement, il avait déjà cette fascination. Fasciné par moi.

Orihime : Par… toi ?

Neliel : Oui, il devait penser que j’étais la plus proche des sentiments humains, contrairement aux autres arrancars. Il disait que j’avais le cœur pur.

 

La rouquine est fascinée par la vision de Neliel sur Ulquiorra.

 

Orihime : Le cœur… pur ?

Neliel : Orihime, est-ce qu’il s’intéressait à toi, sur ce point là ?

Orihime : Oui, je le sentais dans son regard.

Neliel: Ce n’est qu’une supposition, mais… Peut-être qu’il voyait en toi le symbole humain du cœur pur.

 

La rousse se sent touchée par ce que pouvait penser Ulquiorra d’elle. C’est alors qu’on entend une voix qui gâche tout.

 

?: Ma déeeeeeeese !

 

On voit au loin Kon qui court comme un fou, content. Neliel aussi est contente de le voir.

 

Neliel : Kon !

?: Ooooh, ma déesse ! Après toutes ces heures passées sans toi, nous voilà enfin réunis ! Accueille-moi dans ta vallée des dieux ! Sa douceur m’a manquée !

 

Il bondit vers le haut, visant la poitrine de la capitaine. Mais Ichigo tend le bras et Kon s’éclate la tête dessus. Il s’écroule à terre.

 

Neliel : Ichigo ! Pourquoi tu as fait ça ?

Ichigo : Réflexe.

 

La peluche tremble, ayant mal de partout. Neliel le prend dans ses mains.

 

Neliel : Est-ce que ça va ?

 

Le lion gueule sur le rouquin.

 

Kon : Mais ça va pas, non !? J’allais rejoindre ma déesse, et toi tu m’en empêche. Connard !

Ichigo : Hého ! Tu n’as qu’à laisser Nell tranquille.

Kon : Comment ça, la laisser ? Il est hors de question que vive sans elle ! Dis, ma déesse !

Neliel : Oui ?

 

Le lion prend un air suppliant.

 

Kon : J’peux dormir avec toi ? Pleeeeeease !

Neliel : Oui, bien sûr !

Kon : Ouais !

 

Dormir. La capitaine vient de penser à un détail.

 

Neliel : Au fait, depuis votre arrivée, vous avez prévu où dormir ?

 

Les roux réfléchissent.

 

Ichigo : En fait, on ne sait pas trop.

 

L’ex Tercera a une idée et lui répond joyeusement.

 

Neliel : Vous n’avez qu’à dormir ici, à la 5e division !

Orihime : Tu es sûre, Nell-san ? On ne voudrait pas trop te déranger.

Neliel : Mais non ! Orihime, tu n’as qu’à dormir avec Momo, et Ichigo avec moi !

 

Le shinigami prend un air surpris, dû à l’idée de son amie. Kon, lui, est carrément dépité.

 

Kon : Mais ma déesse ! Soyons que tous les deux !

Ichigo : N-Nell ! Je-je ne pense pas que ce soit une très bonne idée !

Neliel : Allez, ça va être marrant !

Ichigo : C’est que… Un garçon et une fille qui dorment dans la même chambre…

 

La capitaine ne sait pas quoi dire. Elle a des larmes aux yeux.

 

Neliel : Tu veux dire que… tu ne m’apprécie pas ?

 

En voyant le visage déçu de son amie, le rouquin dernier se sent mal.

 

Kon : Ben voilà, t’as rendu triste ma déesse !

 

Le rouquin doit lui dire la vraie raison de son refus. Il se met face à elle.

 

Ichigo : Nell. Si je refuse, c’est que je ne veux pas te faire de mal.

 

La capitaine fait un petit cri de surprise et relève la tête vers lui.

 

Ichigo : J’ai peur que mon hollow se manifeste de nouveau et te fasse du mal. Alors ne le prend pas mal.

 

Neliel est émue par l’attention que lui porte Ichigo à son égard.

 

Neliel : Ichigo. Je comprends, mais tu n’as pas à t’inquiéter.

 

Elle prend la main d’Ichigo, geste qui surprend Inoue.

 

Neliel : Si ton hollow se manifeste. Je ferai tout mon possible pour te faire revenir. Alors, je t’en prie, acceptes de dormir avec moi.

 

La jeune rouquine a l’impression d’assister à une scène de film d’amour, ce qui la met mal à l’aise. Ichigo, en regardant la belle arrancar dans les yeux, cède, ayant peur de la refaire pleurer.

 

Ichigo : D’accord, Nell. J’accepte.

 

Orihime est surprise par la réponse de l’homme de sa vie. Neliel tellement qu’elle est heureuse, lâche le nounours et le prend dans ses bras, pas de toutes ses forces.

 

Neliel : Oh merci, Ichigo !

Ichigo : De rien, Nell.

 

Cela fait un moment que l’on n’a pas revu Miyabi Kirio, la capitaine de la 3e division. Allons la retrouver dans son bureau. Elle est assise en seiza, tenant son sabre face à elle. Son zanpakuto a le manche rouge-orange feu avec la garde qui a la forme de flammes. Elle ferme les yeux et se concentre. Un flash éblouit notre vue. Nous nous retrouvons dans une forêt en feu où se tient Miyabi. Une voix se fait entendre, résonnant dans la forêt.

 

?: Tu m’as appelé ?

 

Une tornade de feu tournoi devant la capitaine dont les vêtements et les longs cheveux blonds volent dû au souffle. Le mini-cyclone se dissipe. Au centre apparaît un majestueux aigle ayant des plumes fait en feu, comme un phœnix, ou le Suzaku, l’équivalent du phœnix dans la mythologie japonaise.

 

Miyabi : Washi hateshinaihi*

 

Oui, cet aigle est le zanpakuto de la capitaine de la 3e division.

 

Aigle : enfin tu es devenue capitaine ; Il t’en a fallu, du temps.

Miyabi : Oui…

 

Le rapace sent que sa maîtresse pense à autre chose.

 

Aigle : ...  Qu’il y a t-il ? Quelque chose te turlupine ?

Miyabi : Oui, je n’arrive pas à croire que le capitaine-commandant ai accepté des arrancars dans nos rangs.

Aigle : Des arrancars ? C’est vrai que tu les déteste.

Miyabi : Ils sont au rang de capitaine.

 

Le volatile fronce des sourcils, sentant qu’il y a autre chose.

 

Aigle : Miyabi, tu semble…troublée.

Miyabi : Oui, je doute de moi-même.

Aigle : De toi-même ? Comment ça ?

 

La femme resserre les poings.

 

Miyabi : Malgré que j’ai atteint mon premier objectif, je ne sais pas si j’arriverai à me venger. Si je ne retrouverai jamais l’arrancar qui a… qui a…

 

Elle commence à verser des larmes, se remémorant d’une scène qui l’a traumatisé.

Flashback

 

 

On la voit plus jeune, pleurant toutes les larmes de son corps. Elle avait un homme coupé en deux qu’elle serrait dans ses bras.

 

Miyabi : Non ! Grand frère !

 

Devant elle, un tas de cadavres de shinigamis gisait sur le sol. On voit un pied se poser sur le tas. La jeune fille lève les yeux et regarde l’homme, ayant des cheveux bleus foncés, qui la regarde de haut, son sabre ensanglantée posée sur son épaule. Elle pleure de plus en plus, devant le meurtrier.

Fin flashback

 

Le zampakuto regarde sa maîtresse pleurer, se sentant triste pour elle. Il s’approche d’elle et pose son aile droite brûlante sur son épaule.

 

Aigle : Ne pleures pas. Cette souffrance dans ton cœur, cela t’as rendue forte. C’est cette envie de vengeance qui t’as poussée à t’entraîner durement durant 40 ans pour t’améliorer et atteindre le bankai. La marque que je t’ai laissée ce jour-là en est la preuve.

 

La shinigami essuie ses larmes. Elle n’a pas l’air de ressentir de douleur à l’épaule. Vu que l’aigle est entièrement en feu, elle devrait avoir l’épaule brulée.

 

Aigle : Je suis sûr qu’un jour, tu réussiras à retrouver cet arrancar… et à le tuer.

 

La femme est émue de l’attention que lui porte son zanpakuto. Elle prend à mains nues l’aile droite de l’aigle-Phoenix.

 

Miyabi : … Merci, Washi Hateshinaihi.

 

La shinigami et le majestueux rapace sont proches, au centre d’un incendie qui de fait de plus en plus fort.

 

Aigle : Maintenant, va.

 

Un flash nous éblouit les yeux. Nous retournons dans la chambre de la capitaine, qui rouvre les yeux.  Elle regarde mélancoliquement son sabre.

 

Miyabi : Voilà, j’ai repris le flambeau de la 3e division, capitaine. Et vous, êtes-vous toujours vivante, vice-capitaine ?

 

Dans la chambre de la capitaine de la 5e division, cette dernière, en kimono blanc pour dormir, est toute contente, sautillant dans tous les sens.

 

Neliel : Ichigo va dormir avec moi ! Je suis trop contente!

 

Justement, ce dernier, en blanc aussi, avec Kon sur l’épaule, se dirige vers la chambre.

 

Ichigo : pourquoi tu viens, toi ?

Kon : Ben quoi, j’ai le droit de dormir avec ma déesse ! Tu peux partager, quand même !

 

La peluche prend un air de pervers.

 

Kon : Avec un peu de chance, je revisiterai sa vallée des dieux !

Ichigo : /soupire/ Ton cas est vraiment désespéré.

 

C’est alors qu’ils entendent la capitaine crier, comme si elle avait vu une souris.

 

Kon : Ma déesse est en danger !

 

Le roux accoure  et ouvre brusquement la porte.

 

Ichigo : Nell ! Est-ce qu-

Neliel : KYAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!

 

Les deux se prennent le cri suraigu de Neliel en plein dans les tympans. Lui qui croyait qu’elle était en danger, au contraire, elle est totalement hystérique de bonheur !

 

Neliel : ICHIGOOOOO !

 

Kon et Ichigo, en voyant la jeune femme  dans cet état, ont une goutte derrière la tête.

 

Ichigo : Euh, Nell ?

 

Cette dernière s’arrête brusquement de hurler. Elle se retourne mécaniquement vers Ichigo, et devient tout rouge, gêné, du fait qu’il l’a vu dans cet état.

 

Neliel : Vous… vous étiez là depuis longtemps ?

Ichigo : Pourquoi tu criais comme ça, Nell ?

Neliel : Euh… je…

 

Elle n’ose pas dire la vraie raison de sa crise d’hystérie, de peur qu’Ichigo la trouve ridicule. Ce dernier se demande pourquoi elle rougit, mais il ne va pas l’embêter pour ça .

 

Ichigo : Et… on dort où ?

 

Le teint de la capitaine redevient normal et réfléchit.

 

Neliel : Oui, c’est vrai que je n’ai pas d’autres lits.

 

En se retournant, elle voit son propre lit. C’est alors qu’une idée lui vient.

 

Neliel : Mais oui ! Vous n’avez qu’à dormir dans mon lit !

 

Ichigo fait une tête d’ahuri, Kon, lui est tout content !

 

Kon : SUPEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEER !!

 

Il saute de l’épaule du rouquin et, au sol, il se met à danser la chorégraphie de smooth criminal ! Et il fait un moonwalk sur place. La verte est ravie de ce spectacle

 

Neliel : Whoaaaa ! Tu danses trop bien !

 

Mais son délire est interrompu par Ichigo qui le prend par la peau du dos.

 

Kon : Eeeeh ! Lâche-moi !

Ichigo : Arrête de faire ton intéressant ! Et pus c’est quoi, cette danse !? Maintenant, tu bouges plus de mon épaule !

 

Le roux repose violemment le lion sur son épaule.

 

Kon : Si on ne peut plus être content !

Ichigo : Nell, Il vaut mieux que je dorme sur le canapé.

Neliel : Mais tu seras inconfortable, dessus. Allez, dis oui !

 

Le roux le sens mal, mais il préfère lui faire plaisir.

 

Ichigo : D’accord, Nell, vu que tu insistes.

 

Neliel, tellement que sa joie est grande, fait à Ichigo son câlin de la mort ! Ichigo n’arrive plus à respirer, et ses côtes craquent.

 

Ichigo : AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARHG !

Neliel : Ooooh, merci, Ichigo ! Tu ne peux pas savoir à tel point ça me fait plaisir !

 

La peluche perverse, elle, a une superbe vue sur les seins de sa déesse qui se collent contre le torse du shinigami !

 

Kon : Qu’est-ce que je t’envie, Ichigo !

 

 

 

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Et bien !

 

Mystère et scène burlesque se mêlent à ce chapitre que je califierai d'un des meilleurs.

 

 

Je soupçonne la fraccion du flash Back de Neliel d'être la troisième arrancar, la blonde.

 

Et quelle scène entre le phenix et Myabi, j'aurais bien aimé la voir en animé !

 

 

Continue !

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  • 3 weeks later...

Chap 13 : Réveil 

Le soleil se lève à la Soul Society, les oiseaux gazouillent. Hier, les principaux évènements sont l’arrivée de Miyabi Kirio, nouvelle capitaine de la 3e division, et l’arrivée d’Orihime et Ichigo. Dans une chambre, les rayons du soleil traversent la fenêtre. Cela vient réveiller notre rouquin favori qui était dans le pays des rêves.

 

Ichigo : hmmm…

 

En se mouvant un peu, il sent que quelqu’un le serre dans ses bras. C’est alors qu’un entend une voix aigue de femme qu’il connaît bien.

 

? : Hmmm, Ichigo…

 

Oui, c’est bien Neliel qui serre de plus belle Ichigo dans ses bras. Le shinigami essaye de se décoincer, mais rien n’y fait, elle ne veut pas le lâcher.

 

Ichigo : Qu’est-ce que je fais ? Si j’y vais plus fort, je vais la réveiller.

 

Il sent la poitrine de la belle collée sur son dos, ce qui le met un peu mal à l’aise. La seule chose qu’il lui reste à faire, c’est attendre. C’est alors qu’elle parle dans son sommeil, sur un ton triste.

 

Neliel : Pardonne-moi, Ichigo.

 

Ichigo est surpris par ces simples mots. « Pardonner », mais de quoi ? Mais, est-ce qu’elle dort vraiment ? Il essaye de se retourner, malgré qu’elle le serre, pour vérifier. Il y arrive difficilement. En voyant les yeux fermés de l’arrancar, Il constate qu’elle dort bien. De quoi rêve-t-elle pour avoir dit ça ? En ayant en face de lui aussi près le visage de son amie, il se rend compte à tel point elle est belle. Si elle n’avait plus sa cicatrice que lui a faite Nnoitra et son masque de hollow, elle le serait sûrement plus. Inconsciemment, Neliel pose sa main droite sur la joue de notre héros qui en frémit.

 

Neliel : Ichi…go.

 

Le shinigami remplaçant a les yeux rivés sur les lèvres de la capitaine lorsqu’elle a prononcé son prénom. Il se rend compte à tel point elle a de l’affection pour lui.

 

Ichigo : Nell…

 

A l’entente de la voix du roux, la belle arrancar ouvre lentement les paupières, laissant apparaître ses magnifiques yeux marron.

 

Neliel : Mmm…

 

Face à elle, elle voit le visage du roux. Elle lui sourit, pas entièrement réveillée.

 

Neliel : Bonjour, Ichigo.

 

Le rouquin, lui, semble un peu coincé, et a le teint légèrement rouge.

 

Ichigo : B-bonjour, Nell.

 

Soudain, toujours mal réveillée, elle regarde la position dans laquelle elle est. Elle est collée à Ichigo, le serrant avec le bras gauche, et sa main droite qui effleure sa joue. Elle ouvre grand les yeux, un peu perturbée.

 

Neliel : Aaaa…

 

Elle devient rouge comme une pivoine. Rapidement, elle lâche Ichigo et se colle contre le mur, sur le lit, assise les jambes pliées.

 

Neliel : KYAAAAAAAAAH !!

 

Ichigo relève le haut de son corps, La capitaine tend les bras en bougeant les mains, gênée.

 

Neliel : Ce-ce n’est pas ce que tu crois, Ichigo ! Je n’avais pas l’intention de…

Ichigo : Je sais que tu l’as fait durant ton sommeil, Nell. Tu n’as pas à t’excuser.

Neliel : Si, je me sens… horriblement gênée.

 

Ichigo se pose tout de même une question.

 

Ichigo : Nell, durant ton sommeil, tu as dit « Pardonne-moi, Ichigo ».

 

L’arrancar pousse un cri de surprise. Elle commence à paniquer.

 

Neliel : V-vraiment ?

Ichigo : Oui. Mais de quoi dois-je te pardonner ? Tu n’as rien fait de mal.

 

L’ex-Tercera se sent mal à l’aise. Elle tremble, ne sachant pas quoi lui dire. Elle se mordille la lèvre, une goutte de sueur coule sur sa joue.

 

Neliel : Je… Je…

 

Mais notre chère Neliel s’interrompt car quelque chose bouge dans son Kimono. On dirait un Alien qui s’apprête à sortir. Cette chose monte vers le haut. On voit une main de peluche sortir du décolleté de la belle.

 

? : Gnnn…

 

Puis l’autre bras. La mystérieuse forme pousse difficilement sur les bras pour remonter. Enfin sa tête sort. Ichigo écarquille les yeux en voyant que c’est.

 

Ichigo : K-KON !?

 

Kon est terriblement essoufflé.

 

Kon : Arf… J’ai failli mourir écrasé !

 

La verte est ravie de voir son plus grand fan.

 

Neliel : Kon ! Que fais-tu là ?

Kon : Ben, durant ton sommeil, je me suis glissé !

Neliel : Et tu as bien dormi ?

Kon : Oui, comme un loir !

 

Le shinigami est étonné par la réaction de son amie. Normalement, une femme aurait collé une beigne à Kon, pour avoir fait ça !

 

Ichigo : Nell, ça ne te déranges pas que Kon s’est glissé… là ?

Neliel : … Pas du tout !

 

La peluche pointe le rouquin du doigt.

 

Kon : Ha ! T’es jaloux ! Toi aussi, t’aimeras avoir ma taille pour faire ce genre de chose avec ma déesse, hein !?

 

Ichigo a une veine qui ressort sur le front.

 

Ichigo : Mais ça va pas, non !? Et arrête d’appeler Nell « déesse » !

 

La peluche, contrarie par la remarque que lui fait le rouquin, sort de sa « cabane » en sautant et atterrit sur le lit.

 

Kon : Fais c’que je veux !

Ichigo : Pervers !

Kon : Coincé !

Ichigo : Vicieux !

Kon : Emmerdeur !

 

Neliel regarde les 2 mâles se fritter avec une goutte sur la tête, ne sachant pas où se place dans leur dispute.

 

Neliel : Euh, les garçons…

 

Mais les deux mecs continuent leur dispute. La belle soupire. Elle descend du lit par le devant, les deux garçons le remarquent, arrêtent leur dispute.

 

Kon : Ben, où vas-tu ?

Neliel : Je vais juste me doucher.

 

Elle va se doucher ! Le pervers s’y imagine déjà.

 

Kon : Moi… et ma déesse…

 

Fantasme de Kon

 

Nous nous trouvons dans une baignoire remplie d’eau. Neliel, entièrement nue, y est assise, frottant avec du savon le dos du petit pervers, qui est comme dans un rêve. En même temps, c’est un fantasme.

 

Neliel : Tu veux que je te frotte plus fort, Kon ?

Kon : Oui, et après, c’est à mon tour !

Neliel : /sourit/ Hmhm ! D’accord !

 

Un peu plus tard, c’est au tour de Kon. Il est sur son dos, pour le lui frotter. La jeune femme trouve cela agréable.

 

Neliel : /ton sensuel/ S’il te plaît, Kon. Occupe-toi de mes seins.

 

Ses seins ! Le lion bouillonne de l’intérieur tellement que ça l’excite.

 

Kon : D’aco dac, patronne !

 

Le lion plaque d’un coup ses mains, qui ont chacun un peu de savon dessus, sur les montagnes de sa déesse.

 

Neliel : N’y va pas trop fort. Vas-y doucement.

Kon : Comme vous le voulez !

 

Il caresse doucement avec le savon la poitrine de sa déesse qui trouve ça très agréable. Elle gémit un peu.

 

Neliel : Hmmmm… Oui, continue…

 

Il parcourt toute la surface mammaire, sans en oublier une parcelle. Plus il frotte, plus elle gémit. Il caresse vers le bas des seins de Neliel, qui est un endroit un peu plus sensible. Le nez de la peluche pisse le sang et tâche le dos de sa belle. En tout cas, la capitaine semble grandement apprécier.

 

Neliel : Hmmm, Kon… Plus vigoureusement…

 

Bon, mieux vaux s’arrêter là, je pense que vous avez compris le topo. On va pas voir lorsqu’il lui lave son…

 

Fin fantasme Kon

 

Un filet de bave coule sur les lèvres du pervers. Et, en voyant sa déesse partir, il revient à lui.

 

Kon : Attends ! J’veux venir te frotter les s-

 

Ichigo, ayant marre du comportement du lion, le prend brusquement et le met dans le tiroir de la table de nuit.

 

Kon : / à l’intérieur/ Hé ! Laisse-moi sortir !

 

La verte est un peu surprise par ce geste, mais il a dû le faire pour la « protéger » de ce voyeur, ce qui la touche.

 

Neliel : Bon, je reviens, Ichigo.

Ichigo : D’accord, Nell.

 

Sur ces mots, le shinigami lui sourit, ce qui la fait un peu rougir. Rapidement, elle rentre dans la salle de bain, et claque la porte. Le roux reste un peu perplexe à cette réaction.

 

Ichigo : Ben, pourquoi elle a rougit ?

 

Cette salle de bain est toute simple. La baignoire est séparée du reste de la salle par une porte et les toilette se trouvent face à cette porte. La jeune femme est au centre, poussant un profond soupir. Elle enlève la ceinture et commence à lever avec les mains son haut pour l’enlever. Mais au moment où elle le laisse glisser sur son corps, nous la voyons de dos. Dommage, hein ? Voyeurs ! Nous entrevoyons son tatouage de son ancien rang au sein de l’Espada, caché par sa longue chevelure d’émeraude. A près s’être dévêtue entièrement, elle rentre dans la petite pièce où se trouve la baignoire et ferme la porte. L’eau sort par la pomme suspendue en hauteur. Neliel est sous le jet qui asperge d’eau ses cheveux et son corps de rêve. Elle a un regard triste, semblant dans ses pensées.

 

Neliel : Est-ce que je dois tout lui dire ? Mais je-

 

Chaque main prend le bas de l’épaule opposée, ce qui fait qu’elle compresse sa poitrine avec ses bras. De l’eau coule sur ces joues. Est-ce l’eau du jet ? Non, c’est plutôt… les larmes de la capitaine.

 

Neliel : J’ai peur de sa réaction.

 

Dehors, dans les couloirs de la 5e division, les shinigamis vaquent à leurs occupations. Mais ce calme se tait rapidement car un homme hurle dans le couloir, poussant les passants.

 

? : Poussez-vous ! Dégagez !

 

C’est Grimmjow, courant comme un taré ! Il a toujours son bras droit cassé suite à son bras de fer contre Kenpachi, et il a une grosse envie ! Encore !?

 

Grimmjow : Putain, ya jamais de chiottes, ici !?

 

Il passe près d’une porte. Il freine, puis revient face à elle.

 

Grimmjow : Allons voir là !

 

Il ouvre brusquement la porte. Devant lui, et ça l’étonne, Ichigo .

 

Grimmjow : Mais Kess tu fous là, Kurosaki !?

 

Le rouquin tourne la tête, surpris.

 

Ichigo : Gr-Grimmjow !?

 

Le bleu fluo fonce vers le rouquin et prend par le col.

 

Grimmjow : Où sont les chiottes !?

Ichigo : Juste à gauche, mais-

 

Le capitaine court vers la pièce en question, ouvre et ferme rapidement. Le shinigami se trouve bien bête.

 

Ichigo : Nell se douche.

 

La brute, face aux cabinets, essaye de baisse sa braguette et tremblant, tellement qu’il n’en pleut plus.

 

Grimmjow : Raaah ! Tu va t’ouvrir, saloperie !?

 

Enfin, il l’ouvre. Alors qu’il sort son engin, nous le voyons de dos. En le tenant de sa main gauche, il vise son objectif. Il évacue, poussant un soupir de soulagement.

 

Grimmjow : Aaaah ! C’est boooon !

 

En attendant que son tuyau d’arrosage finisse, il voit par terre des vêtements, dont une culotte.

 

Grimmjow : Hum ?

 

Neliel, quand à elle, entend quelque chose couler juste à côté. Elle se retourne brusquement.

 

Neliel : I-Ichigo ?

 

Le bleu, à l’entente de cette voix, se raidit de stupeur, mais continue de faire ses besoins.

 

Grimmjow : Cette voix de gamine…

 

La verte obtient aucune réponse, elle arrête le jet d’eau.

 

Neliel : E-est-ce que c’est toi, Ichigo ?

 

Le bleu transpire comme un veau, n’osant répondre. La jeune femme, sort de la baignoire, inquiète.

 

Neliel : Est-ce que tu… ferais…

 

Aucune réponse. Elle commence à paniquer. Elle ne prend pas de serviette pour se couvrir, vu que c’est de l’autre côté. Elle prend la poignée de la porte. Grimmy tourne la tête mécaniquement, toujours en pissant.

 

Grimmjow : Est-ce qu’elle est…

Neliel : Mais alors, si il fait ça, je vais voir son…

 

Enfin, elle ouvre en grand la porte, elle s’arrête, de stupeur. Devant elle, Grimmjow, faisant la petite commission, dans la position d’un mâle. Devant lui, Neliel, entièrement nue, le corps et les cheveux mouillés. Ils se regardent dans les yeux. Grimmy a les yeux écarquillés, la femme rougit. On entend de moins en moins l’urine de Grimmjow qui coule dans le fond des WC. Après quelques gouttes, on n’entend plus rien.

 

Neliel : Gri…

 

Le regard du bleu se baisse, pour se tourner vers les montagnes et la partie intime de sa semblable. Un torrent de sang jaillit de son nez, tandis que la jeune femme cache les parties de son corps en questions, le bras gauche pour le haut, et la main droite pour l’entrejambe.

 

Neliel : KYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!

 

Le roux entende le cri suraigu de la capitaine.

 

Ichigo : Nell ! Qu’est-ce que se-

Neliel : Pervers !

 

C’est alors qu’on entend le bruit d’une claque, et la porte de la salle de bain se fracasse sur le sol violemment sous le poids de Grimmjow, qui s’est fracassé dessus dû à la baffe de Neliel, qui a utilisé beaucoup de force dans ce geste. Il a une grosse trace rouge de main sur la joue gauche. Neliel, vexée, se met une serviette autour du corps. Le bleu se relève, se frottant la joue.

 

Grimmjow : Mais t’es malade !

Neliel : Qu’est-ce que tu faisais dans ma salle de bain !?

Grimmjow : J’ai bien le droit de pisser, non !?

Neliel : Tu n’as qu’à le faire chez toi !

Grimmjow : Pff ! T’es vraiment susceptible, comme meuf !

 

Le bleu se lève en s’aidant de son bras gauche, étant donné que le droit est cassé. Neliel le remarque.

 

Neliel : Grimmjow, qu’est-t-il arrivé à ton bras ?

Grimmjow : Tch ! Mêles-toi de tes niches !

 

Et, fâché, il repart comme si de rien n’était, la main gauche dans la poches, le bras droit pendant. Quand il le remarque Il le remet dans sa poche droite.

 

Grimmjow : Saloperie de bras !

 

La verte se demande bien pourquoi il a le bras cassé.

 

Neliel : Ichigo, sais-tu pourquoi son bras est dans cet état ?

Ichigo : Ah, ça. Il aurait perdu au bras de fer contre Kenpachi. Hier, il est venu ici, pour demander à Inoue de lui répare le bras. Mais comme il lui a mal parlé, je lui ai dit de ne pas le faire.

Neliel : Tu as bien fait, Ichigo. Il faut qu’il comprenne que la violence, même si elle est verbale, ne résout rien.

 

C’est alors qu’on entend la voix de Kon, qui est dans le tiroir.

 

Kon : Euh, il se passe quoi, là ? J’peux sortir ?

 

A la 3e division, La nouvelle capitaine est dans ses pensées, repensant à sa conversation avec son zanpakuto. Elle a un crayon gris à la main. Ses pensées sont interrompues par le bruit de la porte qui toque.

 

Miyabi : Entrez.

 

C’est son dépressif de vice-capitaine, toujours avec son regard de chien battu.

 

Kira : Euh, capitaine Kirio ? Les capitaines de la 13e et de la 8e division veulent vous parler.

Miyabi : Fais-les entrer.

Kira : Bien.

 

Le blond sort et laisse entrer Ukitake et Kyôraku.

 

Miyabi : Capitaine Ukitake, capitaine Kyôraku, que me vaut cette visite ?

Kyôraku : Alors, capitaine Kirio, vous vous êtes bien intégrée.

Miyabi : … Si on veut, oui.

Kyôraku : Je n’en doute pas. Une jeune femme aussi ravissante que vous doit-

 

Ukitake, voyant que son collègue drague la nouvelle venue, lui donne une tape derrière la tête.

 

Ukitake : Voyons, Shunsui !

 

La capitaine, les regardant, reste de froid.

 

Miyabi : … Suis-je sensée prendre ça comme un compliment ? Je suis sûre que vous voulez savoir autre chose.

Ukitake : Oui, effectivement. La capitaine Unohana et nous-mêmes, nous nous sommes penchés sur la question. Désolé d’être indiscret, mais auriez-vous un lien de parenté ave HIkifune Kirio ?

 

La capitaine ne dit pas un mot. Doit-elle y répondre ? Elle fait un petit sourire.

 

Miyabi : Humpf ! Je n’attendais pas moins de vous. Oui…

 

Elle regarde les deux anciens d’un air glacial.

 

Miyabi : Je suis la fille de Hikifune Kirio.

 

Les vieux sont surpris par cette révélation.

 

Kyôraku : Vous êtes… sa fille ?

Miyabi : Son deuxième enfant, pour être précise. Je ne l’ai pas vraiment connue.

Kyôraku : Deuxième ?

Ukitake : Mais si, Eikichi Kirio. A une époque, il était 3e grade à la 3e division.

 

A l’entente de ce nom, la jeune femme se raidit, respirant un peu plus fort.

 

Kyôraku : Mais oui ! Mais… qu’est-il devenu ?

Ukitake : Ah, ça. C’était il y a environ 45 ans. Je ne connais pas trop l’affaire, mais il est décédé avec un groupe de shinigamis de la même division, sur Terre.

Kyôraku : Sur Terre ? Par un hollow ?

 

Des visions d’horreur hantent l’esprit de la jeune femme. Elle serre les dents de plus en plus, et serre son crayon de plus en plus fort. Elle ressent comme une douleur physique au dos, comme une brûlure.

 

Ukitake : Et sur place, on aurait trouvé qu’une seule survivante.

 

La capitaine, tellement que le stress et fort, casse son crayon, ce qui fait réagir les deux capitaines, la voyant suer.

 

Ukitake : Désolé, on ne voulait pas…

Miyabi : S’il vous plaît, laissez-moi seule.

 

Les deux anciens, voyant que la blonde semble perturbée, sortent de son bureau. La jeune femme reprend son souffle, la douleur en question disparaît.

 

Miyabi : Ils en savent déjà trop.

 

En se calment, elle prend un air mélancolique, repensant à l’homme dont ils faisaient allusion .

 

Miyabi : Eikichi…

 

Rendons-nous à la 10e division. Tôshirô Hitsugaya relis des fiches. En même temps, un souvenir lui revint, datant de la bataille de l’hiver.

 

Flashback

 

Le ciel bleu de Karakura. Tout semble calme. Mais bizarrement, on entend des coups de fer. Il semble que des personnes se battent au sabre, mais ça va à une vitesse que le commun des mortels ne peut suivre. Enfin, on peut voir qui c’est grâce à un croisement de sabre.

C’est Hitsugaya, en Bankai, et Halibel, 3e Espada actuelle, sous son aspect normal, la veste ouverte.

 

Halibel : Tu te défens bien, petit capitaine.

Hitsugaya : Je n’aime pas les compliments, surtout venant d’un Espada.

 

Les deux combattants s’écartent l’un de l’autre en sautant en arrière. Ils se stabilisent en freinant, et restent face à face. Le petit reprend son souffle, alors que la femme ne semble pas fatiguée.

 

Hitsugaya : Pourquoi vous, les arrancars, vous restez loyaux envers Aizen ?

Halibel : Où veux-tu en venir ?

Hitsugaya : Il n’a aucun sentiment envers vous, il vous considère comme des objets. Tôt ou tard, il se débarrassera de vous, il vous trahira.

 

La Tercera, malgré ce que vient lui dire la crevette, reste calme.

 

Halibel : Le seigneur Aizen est comme Dieu. S’il voit que certains d’entre nous sot trop faibles, il les élimine, voilà tout.

Hitsugaya : Hm ! Tu es aveuglée par ta force. Tu crois qu’il va t’épargner car tu es au 3e rang ?

Halibel : … Non, j’en suis consciente. Mais toi, autre que le seigneur Aizen, as-tu déjà été trahi ?

 

Le minus fronce les sourcils, intéressé par la question de son adversaire.

 

Hitsugaya : Où veux-tu en venir ?

 

Halibel : Par exemple, une personne à qui on avait beaucoup de respect, qui nous faisait confiance et nous est chère à notre cœur. Et du jour au lendemain…

 

Elle serre les poings, serrant donc le manche de son sabre rectangulaire creux.

 

Halibel : Vous rejette, vous abandonne comme un fardeau.

 

La crevette, en voyant le regard triste et sérieux de la Tercera, pense qu’elle parle d’elle-même.

 

Halibel : C’est la souffrance d’’avoir été trahie qui m’a rendue plus forte. Voilà ce qu’est une vraie trahison.

 

Tôshirô se rend compte que même les arrancars pouvaient ressentir ces sentiments.

 

Hitsugaya : Espada…

 

L’arrancar pointe son sabre dans la direction du capitaine.

 

Halibel : Petit capitaine, après toi, ce sera au tour du capitaine-commandant.

 

Hitsugaya : Tu veux venger tes fraccions, c’est ça ? Mais tu ne pourras rien contre le capitaine-commandant.

 

La femme ne répond pas, et se remet en garde.

 

Halibel : N’éternisons pas cette conversation.

Hitsugaya : Oui, finissons-en.

 

Les 2 combattants foncent, l’un vers l’autre. Lorsque leurs lames s’entrechoquent, une lumière nous éblouit, tellement que le choc est violent.

 

Fin flashback

 

Le pic de glace revient dans le présent. A peine qu’il revient parmi nous que la porte de son bureau s’ouvre brusquement. C’est sa vice-capitaine.

 

Matsumoto : Capitaiiine !

Hitsugaya : Matsumoto ! Tu ne sais pas qu’il faut frapper avant d’entrer !?

 

La rousse s’assoit sur la table de son capitaine joyeusement.

 

Hitsugaya : Matsumoto, est-ce que-

Matsumoto : Capitaine, vous faites quoi, ce soir ?

Hitsugaya : Ne m’interromps pas ! Est-ce que tu es allé t’excuser auprès de la capitaine Tu Oderschvank !?

 

Oui, rappelez-vous que Ranguku se moquait de Neliel car cette dernière était vierge.

 

Matsumoto : Euuuuh…. NON !

Hitsugaya : Vas-y tout de suite, c’est un ordre !

Matsumoto : Rhoooo, d’accord !

 

Elle descend du bureau et sort du bureau. La crevette est mécontente du comportement de sa subordonnée.

 

Histugaya : Mais franchement, elle n’aucune responsabilités ! Je suis obligé de le lui rappelé !

 

To be continued…

 

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