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GaÏa by Sorcha


Sorcha
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Bonjour a tous ;) J' ai eu l'occasion de voir que beaucoup posté leur petite (ou grande) compositon ici. Alors je me suis dit... pourquoi pas poster la mienne ? Bien qu'il ne s'agit pas de fanfic, je me suis quand même inspiré de certaines choses... Donc si un modo juge que ce topic devrais être déplacé ou supprimé.... enfin voilà quoi.... Bon trève de bavardage je vous propose la première partie du prologue ^^ (n'hesitez pas a commenter ^^)

Prologue-1ère partie-

 

Extrait du livre sacré de la Lumière

 

Dans les temps anciens, notre planète, Rya, comptait quatre grand continent, mais à la suite d’évènement désastreux, seul un bout de Gamédon est présent aujourd’hui.

L’an zéro de notre ère fut marqué par un ultime combat entre les forces de l’ombres et de la lumière. Dans l’une des plaines de l’unique continent, les hommes, elfes, magiciens et quelque créature magique dites bénéfiques, c’étaient alliés contre les orques, trolls, sorcier et démon. La bataille dura des jours.

Le premier jour,  les chefs militaires des deux camps s’étaient rencontrer au milieu de la prairie, leurs armée derrière. Ils étaient sur le char respectif.

Du côté de la lumière, c’était un humain, Jinamaru, qui avait été élu, au détriment du responsable elfique. Face a l’orque, Grazec, il réussit à obtenir un duel entre les deux meilleurs combattants.

Si Grazec avait obtenu comme condition, le combat à l’épée, Jinamaru avait fixé leur du duel à midi.

Parmi les subordonnés de Jinamaru, se trouver une jeune femme du nom de Clarya. Bien qu’à cette époque l’égalité homme femme n’était pas parfaite, cette jeune personne s’illustrer comme la meilleur combattante et excellé dans le combat au sabre.

Seulement lorsque Jinamaru se porta lui-même volontaire, Clarya ne fut mis au courant que quelque seconde par un soldat de moyenne classe.

Lors de l’affrontement, alors que Jinamaru allait gagner, un gobelin arbalestier, décocha une flèche qui lui traversa la gorge. De loin, la jeune fille le vu tomber lentement au sol. Elle arriva à temps pour dégainer son épée et bloquer celle de l’orque. En un seul mouvement elle lui trancha également la tête. Puis elle se pencha sur le jeune homme qui lui avait épargner ce combat sans issu, par amour pour elle , sentiment réciproque, mais impossible en ce temps de guerre.

Alors que Clarya versait quelque larme sur le corps du défunt, Grazec hurlait à sa victoire et encourager les siens à venger la mort de leur champion. Il ne gêna pas pour insulter les sentiments humain. Il s’approcha derrière Clarya lui mettant sa hache sous la gorge.

L’armée de la lumière restait immobile et silencieuse devant l’agitation de leur ennemis. Ceci excité par l’exécution certaine.

Seulement Grazec ne voyait que le dos de la jeune fille et non la flamme de vengeance qui brûler dans ses yeux. Lorsqu’il souleva sa hache pour lui fendre le cou, elle se retourna aussi vive que l’éclair et lui planta l’épée en plein cœur. L’armée des forces de l’ombre se turent.

Clarya les regarda les regarda et lança au subordonnés de Grazec:

‘‘- Rendez-vous, demain à l’aube ‘‘

Les deux armées se retirèrent dans leur camps respectif. Du côté des forces de la lumière, sous la tente principale, le haut conseil débattait.

Les politiciens et quelque subordonnés peureux proposer une armistice en cédant une part du territoire au camp adversaire. Ils avaient pour argument que cela épargnerait des millions de vies. Clarya s’y était fortement opposée. Elle savait que cette paix ne serait que de courte durée. Pour avoir combattu à plusieurs reprise des démons et orques, elle savait que leur besoin de pouvoir était jamais comblé. Mais le conseil à quasiment l’unanimité vota l’armistice.

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Vraiment très intéressant mais............

....................................................

....................................................

....................................................

C'est trop couuuuuurt !!!

J'en veux encore ! >.<

 

Non, franchement, c'est très bien raconté (malgré quelques menues fautes et une ou deux phrases à reprendre mais vraiment rien de méchant), ça se lit comme un rien, et forcément à la fin on est déçu qu'il n'y en est pas plus !  :P

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Si vous voyez la moindre faute, n'hésitez pas à m'en faire part ^^ (personne n'est parfait et surtout pas moi! xD) Vous en voulez encore ?......voilà la suite ;)

Prologue-Partie 2-

Clarya s’empressa d’aller voir les hommes et femmes présentent. Les elfes était trop discipliner pour désobéir à un ordre d’un supérieur et les magiciens seraient d’accord avec le conseil. Elle recensa tout les volontaires qui se battraient. Elle avait espérer que quelque créature tel que les centaures l’aideraient, mais non. Les humains seraient donc les seuls à se battre pour leur liberté et leur humanité.

Le second jour, comme dit à l’aube, les principaux dirigeant des deux camps parlementaient de nouveaux au centre de la plaine, sur leur chevaux. Les orques et démons acceptèrent le compromis mais au moment de signé, l’agitation des humains suscita leur intérêt.

Clarya avait monté un cheval blanc. Épée à la main, elle parlait aux Hommes et à leur alliés:

‘‘ Aujourd’hui ne sera pas un jour comme les autres! Mais notre ère non plus! Cela fait trop longtemps que nous vivons avec la peur de notre ombre! En face… ce ne sont pas des dieux que nos avons! Des être vivants comme vous et moi! Ils ne sont pas invulnérables! Renvoyons-les eux et leur mauvais esprit de la où ils viennent! Bien qu’ils soit des êtres vivants, nous sommes leur dîner ! Allez-vous vous laisser faire ? Vivre dans le peur d’être leur prochain repas ? Non! ‘’

Les soldats firent trembler la terre avec leur cris de guerre. Leurs représentants firent vite pour se replier, tandis que le jeune femme continuait à motiver les troupes:

‘‘ Hier! Hier, ils nous ont insultés! En nous trompant, ils ont crut ébranler notre humanité, nos sentiments! Ils est temps de leur prouver que nous sommes libre! Que nous n’avons peur de personne! êtes-vous avec moi ? ‘‘

Les cris de guerre des Hommes, encouragea celui de leur alliés. A peine que les dirigeant furent arrivés, ils n’eurent pas le temps de s’imposer. La charge fut sonner.

Les cavaliers en première ligne, afin de perçait les lignes ennemis, suivit de près par les créatures magique et l’infanterie, tandis que les magiciens s’occupaient des sorciers.

Les premières lignes ennemis tremblaient de peur devant cette masse enragée . 

Cette journée avait débuté avec un soleil blanc étincellent et elle finit avec une lune rouge.

Les soldats bâtisseurs avait construit un fort assez résistant durant la bataille. Fait de bois et de pierre, il était également munit de tourelle.

Au troisième jour, alors qu’il pleuvait à flot, et que l’on baignait dans la boue, les forces de l’ombre en profitèrent pour assiégé le camp.

Cette journée-là il n’eut de repos pour personne. Les archers, du haut des remparts, décochaient flèches sur flèches.

Finalement ce ne fut qu’à la nuit tombée que les assaillants se retirèrent.

Le cinquième jour, il n’eut d’hostilité. Un orque venu comme messager demanda à Clarya et son armée de plier.

Il menaça que le sixième jour de combat; sera le dernière pour l’espèce humaine.

Le soir venu, Clarya s’exila dans sa tente. Elle pria ses ancêtres de lui venir en aide. Descendante d’une mère magicienne et d’un père humain, elle possédait des dons héréditaires, comme celui d’invoquer.

Le lendemain, le camp fut secouer par un affreux rugissement. Les cloches d’alarmes sonnaient sans fin.

Un créature horrible. Géante. Avec des crocs et une armure en acier, ressembler physiquement à un vieux loup. Des yeux rouges. Les canines de la mâchoire inférieur dépassaient. Sur son dos, une épaisse crinière verte crasseuse passait à travers la protection. Au bout des pattes avant, la bête posséder cinq doigts avec des griffes acérées.

Le monstre s’élancer à toute vitesse sur le camp suivit des démons.

La retraite vers les collines fut sonner. Seulement tout le monde n’avait pas encore évacuer les lieux quand la créature déblaya le rempart d’un simple coup. Les sorts des magiciens restant, n’avaient aucun effet sur elle.

Il devait restait une centaine d’homme dont Clarya dans le camp à ce moment-là. Entre l’affrontement avec les démons et l’esquive des coup du monstre, leur retraite ne fut possible que pour la moitié d’entre eux. Les mages puisèrent dans leur dernière ressource pour créer une barrière magique pour couper la poursuite des assaillants. Les magiciens présent se sacrifièrent de leur propre volonté.

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Bon voilà la troisième et dernière partie du prologue ;) régalez-vous! lol

Prologue-Partie 3-

Du haut des collines, les rescapés regardèrent leur adversaire prendre possession des reste du campement et la créature qui montait la garde.

Clarya comme les autres, était désemparée. Mais elle n’avait pas perdue espoir. Elle annonça que demain, elle irait à la rencontre des chefs militaire de l’armée de l’ombre. Et ordonna fermement que personne ne la suive et qu’il parte sur le champ vers leur terre respectif sans s‘arrêter et le plus vite possible car sinon plus personne ne répondra de leur vie.

Seul ses amis proche savait pourquoi elle agissait ainsi, cependant ils se turent pour respecter sa volonté.

Ainsi à l’aube du septième jour. Sur son cheval blanc. Elle s’avança seule vers le monstre, désormais surnommé Kaos.

Au milieu des arbres, elle s’élança à toute vitesse en murmurant des paroles magiques incompréhensible.

Dans un flot de lumière blanche étincelante, derrière elle, apparut un gigantesque dragon aux écailles vertes. Le duo balaya tout sur son passage. Tel une tornade.

A la fin, le dragon fit volte-face à son invoqueur épuisée. Le cheval s’écroula de fatigue. Clarya s’approcha de l’invocation. Elle sentit sur tout son corps le souffle du dragon. Elle le fixa dans les yeux. Des orques rescapés fonçait sur elle. Le Dragon s’en vola pour finalement entouré sa protégée. Celle-ci récita une dernière formule. Une aura bleu se forma sur son poing droit. Elle frappa celui-ci au sol et a ce moment le dragon rugit.

Le sol s’écroula autour d’elle et à des kilomètres à la ronde. L’aura bleu tourbillonnait autour de Clarya et du dragon. Tandis que de l’eau s’engouffrait dans l’immense crevasse.

Soudain, l’aura devint blanche et les deux dernier être vivants poussèrent un cri de douleur effroyable. Eux et l’eau furent geler sur place.

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super cette histoire!!! et dire que ce n'était qu'un prologue... j'attends la suite avec impatience!!!

 

en tout cas Clarya... il vaut mieux l'avoir comme alliée que comme ennemie, ça c'est sûr!!!

bon c'est vrai qu'il y a des fautes mais comme le style est bon, ça passe bien quand même... en fait tu ne fais quasiment que des fautes d'accord sujet/verbe et participe passé, donc ce n'est pas trop génant, le sens est là quand même

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Et bien voilà le prologue est fini mais.... l'histoire commence a peine ;)

Chapitre 0-1ère partie-

 

Nous sommes en l’an 284O après la mort de Clarya. Au cour des siècles passés, la fonte des glaces, due au réchauffement de la planète, a augmenté le niveau d’eau d’une cinquantaine de mètres.

Les elfes rongés par leur orgueil, on refusait l’aide des hommes lors des ouragans et inondations ou encore autres catastrophes naturels. Ceci  causa leur perte. Aujourd’hui, ils ne sont que des légendes.

Quand aux magiciens, on ignore ce qu’ils sont devenus, certain disent qu’ils auraient quitté leur enveloppe corporel pour atteindre un niveau d’évolution supérieur où ils seraient que pure énergie.

Aujourd’hui seul les hommes et une part de leur continent, ont survécus au temps. S’ils ont gardés l’architecture des temps anciens, le niveau technologique est bien plus évolué.

Après des siècles d’esclavage au service des hommes, les chevaux ont enfin regagné leur liberté, galopant désormais dans les plaines et collines de Gamédon.

Le continent comporte cinq grande cité qui sont entourées par quelque petit village. La capital des Hommes n’as pas changer. Waterfull, la ville fortifié, aux mille cascades. Celles-ci s’échappent de la cité du haut des remparts. Le plus imposant des bâtiments et ce aussi bien par l’espace occupé que sa hauteur, n’est pas le palais présidentiel ni le sénat mais l’école de formation de pilote de l’air. En forme de coupole, la paroi extérieur était faites en verre. Non loin de la, il y avait deux hangar pour Airship, les forteresses volantes. Vers le sud de la cité, se trouvait l’immeuble sénatorial. Un gratte ciel coupait en deux par une cascade. Autour de ces bâtiments; des maisons, des lotissements, un pavillon militaire, plusieurs commissariat…etc... tout le nécessaire à une ville.

C’était le jour du nouvel l’an. La population avait envahie les rues pour admirer le défiler. Les musiciens et danseurs étaient partis depuis l’école de formation de pilote de l’air pour rejoindre le palais présidentiel. Un bâtiment à proximité de l’immeuble sénatorial. Le palais datait de l’époque de l’an zéro. Recouvert de plâtre blanc, le bâtiment avait une forme pyramidale, d’ailleurs la structure principale était précédée par une allée de sphinx et de jardins.

La présidente, entourée de ses fidèles conseillés, avait revêtue une robe traditionnelle mais imposante. Une robe composée de plusieurs jupons blanc et de perles rouges qui les séparaient. Le haut avait un colle en V toujours aussi blanc avec des manches longues et larges, si bien que ne l’on voyait pas les mains, les coutures étaient masquées par les perles. Ces parties étant séparées par une épaisse ceinture pourpre, dont le noeud  papillon derrière, recouvrait la moitié du dos. Les cheveux étaient coiffés en chignon qui avait la forme d’un coquillage. Un demi cercle dorée parallèle à la coiffure, dépasser celle-ci, notamment les pics au bout des rayons. Le visage était maquillé de blanc, le rouge à lèvre ressortait ainsi, comme le rouge rosée sur ses paupières. De gros coquillages rosés servaient de boucles d’oreilles. La présidente Azia, était âgée que de trente ans, l’une des plus jeunes de l’histoire.

Ses conseillers avaient gardés leur monotone robe grise, plate. Quelques gardes les escortaient en tenue de céromonie: un pantalon et une tunique à manche longue de couleur cuivre comme la casquette mais des bottes bleu grisé. Le chef de la garde républicaine se tenait debout à gauche du chef de l’État, Elé Quetz, un homme d’expérience de ses quarante-cinq ans, originaire du sud, sa peau était noire, son statut ressortait sur sa tenue par ses galons mais aussi par les demi-cercle en corde sur l’épaule droite et l’épée à la ceinture.

Au coucher du soleil, les Airships survolaient l’infanterie qui défilait dans les rues, a l’exception d’un seul et son absence fut remarquer à cause de sa réputation.

La nuit dernière la Limule était revenue d’une mission en mauvais état… il avait essuyé une attaque peu commune à la quelle on ne suit pas de formation… La Limule, un airship de moyenne envergure, en forme de limule lorsque les ailes sont entièrement dépliée avec une carapace bombée au centre qui forme les quartiers de l’équipage et la salle de commande entre autre. Sous ce lieu de vie, la salle des machines est remplie de haut vent, de tender à vapeur… Une « queue » en acier souple servait de ’’ gouvernail’’, à stabiliser l’appareil et en cas d’orage à récupérer la foudre comme énergie. Seulement cette fois, l’airship était rentré en feu aux hangars et avec un mécaniciens blessé ainsi que le chef d’unité.

Dans la prochaine partie, un personnage porteras le nom de Chiaki, il n'y a aucune relation entre mon pseudo et ce personnage (je cherchais juste un prénom... bam! lol )

 

EDIT: merci hinatachan pour les remarques ;) j'ai corrigé ;)

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ah ah!!! alors la Limule se serait sans doute fait attaquée par les forces du mal?!! et puis moi j'aime bien ce qu'est devenu le monde dans ton histoire... j'irais bien vivre là-bas...

 

Quand aux magiciens, on ignore ce qu’ils sont devenus, certain disent qu’ils auraient quitté leur enveloppe corporel pour atteindre un niveau d’évolution supérieur où ils seraient que pure énergie

tu regarderais pas un peu trop stargate par hasard?  ;D

 

Le visage était maquillé de blanc, le rouge à lèvre ressortait ainsi, comme le rouge rosée sur ses paupières

et aussi star wars?  ;D

 

bon j'arrête là pour tes inspirations... le truc est bien trouvé en fait ne crois surtout pas que c'est pour te démolir c'est tout l'inverse... moi j'admire les gens qui arrive à glisser une inspiration comme ça c'est le genre de truc que j'arrive pas à faire (en fait j'ai jamais été fichu d'écrire une fic... pas assez d'imagination...)

 

mais quand même un petit truc qui me chagrine...

 

Le chef de la garde républicaine se tenait debout à gauche du chef de l’État, Elé Quetz, un homme d’expérience de ses quarante-cinq ans, originaire du sud, sa peau était noire, son statut ressortait sur sa tenue par ses galions

Heu... en fait on dit "par ses galons", parce que un galion c'est un gros bateau de commerce espagnole du temps des conquistadors... lol

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@hinatachan: moi c'est le contraire... j'ai trop d'imagination xD

Bon sinon tous le monde voici de suite la suite xD

Chapitre0-2ième partie-

La Limule se composait d’une équipe de six membre. A la tête se trouvait le colonel Bado Feng, un homme âgé de la quarantaine, aux cheveux poivre sel et le haut du crâne dégarni. Un homme plutôt carré et froid.

Son second était le major Chiaki Tora, une jeune femme de petite stature, une coupe à la garçonne en bataille au niveau de la nuque avec quelques mèche rebelle sur le front. Elle était également le pilote principal de l’airship. Réputé pour son manque de sang-froid et sa franchise, elle avait causé bien des troubles à ses supérieurs durant sa formation. Ses vingt-cinq ans faisaient d’elle la plus jeune pilote d’airship. Elle avait été remarqué par ces compétences, dont la capacité à s’adapter à n’importe quelle situation, agile et rapide, elle se débrouillait aussi bien sur terre que dans les airs.

Le copilote était un jeune nommé Kashi Hasegawa et de grade lieutenant-colonel. Avec trois ans de plus que Chiaki, il avait raté à deux reprise le concours de pilote principal. Ses cheveux avaient la particularité d’être aussi blanc que la neige. Peu bavard,distant mais fiable, sa grande taille lui donnait un air maigrichon.

Le mécanicien de bord se prénommait Hwarang Woo-Lee, lui il n’avait pas été reçu au concours d’entrée à l’école de pilote. Passionné par les airships depuis son enfance, il décida d’en créer un lui-même… cependant aujourd’hui encore il ne dispose pas des fond nécessaire. La Limule a notamment été amélioré grâce à lui, performance qui lui a valu d’être engager sur le bâtiment par le colonel, bien que son manque d’expérience à vingt-huit ans. Contrairement Kashi, il est infatigable au niveau de la conversation.

L’équipe était dotée également d’une doctoresse, Odore Nouba,  elle excellait en pharmaceutique. Du même age que Chiaki, elle s’était connu à la prépa de l’école de l’air. Ses long cheveux châtains foncés était tressé pour une question de pratique. Elle travaillait également avec une jeune alchimiste à bord, Julia Ikari. Son statut lui permit d’accéder directement au grade de major. C’est la benjamine du groupe, à vingt-deux ans, le colonel avait hésité à l’embaucher, pour son manque totale d’expérience, mais son attitude calme et réfléchis lui avait plus autant que son potentiel d’apprentissage. Seulement il ne se doutait pas qu’elle exercerait ses talents d’alchimiste sur le mécanicien dès que celui-ci la taquinait.

Il portait tous l’uniforme militaire obligatoire seul, les galons différés. Un pantalon kaki, des rangers, un justaucorps noir sous le gilet ou veste kaki. Ils étaient également équipés d’un holster à deux étuis pour le dernier pistolet sorti, le Gun, arme capable de générer plusieurs type de balle élémentaire et de lasers. Il répond à des ordres vocaux du propriétaire. Le Gun avait été qualifié d’arme ultime de combat, par puissance dévastatrice. Seulement elle fut inefficace cette nuit-là….

Un fois que La Limule eut atterrie tant bien que mal, le colonel Feng avait été transporté d’urgence à l’hôpital. Odore n’avait put le soigner vu son état à bord. Il avait un bras et une jambe tranchés ainsi qu’un œil crevé. Malgré les garrots, les membres amputés continuer de saigner. La doctoresse avait pu retirer un éclat de métal dans la cuisse de Hwarang. L’équipe de secours de la base avait prit la relève. Les autres membres était tous vivants mais égratigner et recouvert de saleté poussiéreuse mélanger à leur transpiration. Le pilotage de La Limule s’était avérée difficile et les soins épuisants. Alors que le reste de l’équipe fut emmener à l’infirmerie de la base. Le major Tora demanda expressément à voir, même dans son état comatique, la présidente. Mais elle s’évanouie peu de temps après.

Le major Tora se réveilla sur un lit d’infirmerie sous oxygène et entourée d’appareil électronique. Au bout du lit le médecin de la base, le docteur Jéminus Queng, cocher des cases sur le bilan d’état de santé de la patiente. Bientôt à la retraite, il été chauve et avait des rides marqués.

- Et bien major vous vous en sortez plutôt bien vous.

- Où sont les autres ? Demanda-t-elle dans un gémissement.

- Ils sont dans le même état que vous. Le lieutenant-colonel est par contre lui dans le coma, il semblerait qu’il est respirer trop de gaz carbonique. C’est pour sa que vous êtes sous oxygène, on vous a également nettoyé vos poumons….

- Et le colonel Feng ? Coupa-t-elle.

- Ils a été directement emporté à l’hôpital. Il ne pourra plus dirigé votre équipe, malgré le bras et la jambe mécanique qu’il devra porté…

Il s’interromput voyant le visage de Chiaki comme si elle était déçue.

- Je croyais qu’avoir un supérieur de moins pour vous, aurait été agréable.

- Le colonel est le seul homme que je respect, déclara-t-elle en se redressant. C’est une légende à l’école de l’air. Un modèle pour tous…. Appelez-moi la présidente de toute urgence, ordonna-t-elle d’un ton ferme. J’ai des informations importante à lui révéler et il préférable que je m’adresse directement à elle.

- J’ai le regret de vous annoncer que tant que vous serez dans cette état, dans le lit du moins vous n’irez nulle part…

Il s’arrêta voyant la patiente , enlever les capteurs… etc et se lever du lit.

- Qui m’as mit cette chemise d’hosto ?

- Les aides-soignantes sont la pour ça. Remettez vous immédiatement dans votre lit sinon…

- Sinon, quoi ? Lança-t-elle. J’ai besoin de prendre une douche.

- De toute manière, cela fait longtemps que j’ai refusé de vous contredire… tant que sa ne reste pas grave.

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c'est de mieux en mieux^^

 

à part que tu es un peu distraite parfois j'ai l'impression

 

Il portait tous l’uniforme militaire obligatoire seul, les galions différés.
tu as refait la même erreur^^'

 

bien que son manque d’expérience à vingt-huit temps.
tu voulais pas dire vingt-huit ans?

 

et c'est "ça" et pas "sa"

 

je n'en ai pas vu d'autres , à part ceux-là tu n'en fait pas énormément donc ce n'est pas gênant

 

 

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lol oui c'est ce que j'ai constaté chiaki, quoique je n'irais pas jusqu'à dire que tu en a trop...

 

très bon chapitre, et je trouve ça incroyable comment tu arrives à bien faire passer toutes tes descriptions. là par exemple c'est de la description pendant presque tout le passage mais on s'en rend quasiment pas compte...

 

Citation

Il portait tous l’uniforme militaire obligatoire seul, les galions différés.

tu as refait la même erreur^^'

d'ailleurs je ferais juste remarquer que l'orthographe correcte pour la phrase serait plutôt:

"Ils portaient tous l'uniforme militaire obligatoire, seuls les galons ( ;D ) différaient"

bon là c'était juste pour chipoter un peu...

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Merci pour vos remarques, félicitations.... etc... ^^ Si vous aussi vous avez une histoire et que vous souhaitez que j'y jette un coup d'oeil ;) N'hésitez pas à me passer le lien. ;)

Chapitre0-3ième partie-

Après avoir pris sa douche et avoir mis un uniforme propre, elle se dirigea vers le bureau du général David. Un homme de petite stature, assez envelopper et sans un cheveux sur la tête. Il devait avoir entre quarante et cinquante ans. Elle toqua à la porte.

- Entrez.

- Au rapport mon général.

Le bureau était une petite pièce avec une fenêtre sur un hangar à airships. Les meubles étaient en bois couleur brun foncé et verni. Derrière le général se trouvait un étagère rempli de livre.

- Oh! C’est vous major. Le docteur Queng vous as donc laisser sortir ?

- Monsieur, je n’ai pas le temps de rapporter la mission. Mais il faut contacter de toute urgence la présidente…

- Et pourquoi ferais-je sa ?

- L’historie du livre sacrée de La Lumière est sur le point de recommencer.

- J’avoue que celle-là on ne me l’avait encore jamais faite! Sortez maintenant major j’ai autre chose à faire que de m’occuper d’une gamine comme vous.

Chiaki ne recula pas. Elle s’avança lentement vers le petit homme assis sur sa chaise, avec un regard déterminé et triste à la fois.

- Mon général je me permets d’insister, dit-elle en commençant à perdre son calme. Pour la simple est bonne raison que nos armes n’on aucun effet sur nos ennemis! Vous nous avez envoyer dans le nord, a la suite d’une disparition de trappeur… la haut il n’y a rien hormis de la glace… comment croyez-vous que le colonel Feng soit revenu dans cet état ? Monsieur j’ai vu ces monstres de mes propres yeux dévorer les membres du colonel ! Je l’ai moi-même tirée jusqu’à l’airship en me défendant avec un couteau! Le temps de démarrer, il nous ont catapulter des blocs de glaces qui ont détruit la paroi… Hwarang  à pris un éclat d’acier… cet éclat c’était un bout du bâtiment… Si vous ne me croyais pas… vous pouvez interroger mes coéquipiers… ils vous dirons tous la même chose: il faut prévenir la présidente.

Quelqu’un toqua à la porte, c’était le docteur Queng.

- Mon général, le lieutenant colonel Hasegawa vient de se réveiller. Souhaitez-vous le voir maintenant ?

- Oui, j’ai quelque question à lui poser, répondit-il en regardant le major Tora d’un air septique.

Tout trois se digèrent vers l’infirmerie. Kashi était encore allonger sur son lit et sur les écrans électronique on voyait bien que sa tension était faible.

- Mon général… dit-il en essayant de saluer.

- Ne bouger pas. Dites-moi simplement comment tout ceci est arriver…

- « On survolait un secteur à la recherche du trappeur… Sur le radar on a détecté un traîneau. Nous avons atterris à proximité, le colonel Feng et le major Tora sont descendu en éclaireur… Soudainement, des …

Ils s’interrompu comme pour chercher des mots… lisant également l’impatience sur le visage de Chiaki.

- Des hommes à un comportement sauvage ont surgit de dessous la neige…. Ils était armées d’armes blanches tranchante… Le colonel n’as pas eu le temps d’en éviter deux d’entre elle…

- Tu dis n’importe quoi! De l’airship tu pouvais voir que c’était des monstres! Coupa le major Tora.

- Major! Laissez-le finir, ordonna le général qui se retourna vers Kashi, es ce que oui ou non nos armes avait aucun effet sur eux ?

Il prit le temps de respirer, calmement avant de répondre:

- Je pense plutôt que c’est le major qui visait mal, vous deviez être déséquilibrer voyant l’état du colonel ? Non ?

Elle serra aussi fort les points que possible.

- Vous avez quelque chose à répondre major ? Demanda le général David .

- Permission de parler franchement mon général ?

- Permission accordé.

Elle donna un coup de pied dans le lit de Kashi qui gémit de douleur sur le coup.

- Kashi! T’es la pire des ordures de supérieur que j’ai jamais eue! J’espère que la prochaine fois tu y resteras, face à tes bonhommes de neige!

- Major! Ça suffit! Taisez-vous si vous ne voulez pas avoir un autre blâme! ordonna le général David. L’histoire du lieutenant-colonel est plus réaliste que la votre. Vous êtes encore sous le choc…

- Oh mais fermez-la vous! Vous rester assis sir votre chaise toute la journée…

- Cette fois je ne vous permez pas! Je vous êtes retirez de vos fonctions jusqu’à nouvel ordre! Sortez d’ici et allez vous faire soigner!

- Tant mieux sa me fera des vacances, dit-elle avec un air de dégoût.

Elle sortie en claquant la porte.

- Mon général… gémit Kashi.

- Oui ?

- Qui va prendre le commandement de La Limule ?

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c'est vrai ça??? qui va prendre le commandement de la limule??? et qu'est-ce qu'il raconte le kashi il faut qu'il pense à ouvrir les yeux!!! à moins que ce ne soit lui qui ait raison et dans ce cas il faut s'inquiéter pour chiaki...

 

enfin en tout cas tu sais nous tenir en haleine et ça c'est cool j'ai hate de les "voir" (je suis pas sûre que le terme soit approprié mais bon...) tes monstres!!! sinon pour les fautes ben... que dire à part fais attention...

 

Et pourquoi ferais-je sa ?

ça!!!!!!!!!!!

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voici la dernière partie du chapitre 0 ;)

Chapitre0-4ième partie-

- Il se pourrait qu’un certain colonel Hasegawa prenne place…

- J’ai été promu ?

- Oui peu de temps après votre départ. Et bien nous allons vous laissez reposer. Vous avez tout le temps de composer votre équipe… du moins si vous souhaitez changer quelque chose.

Le major Tora s’était dirigé vers l’hôpital. L’heure des visites ne démarrer pas avant deux ou trois heures… A l’accueil, l’infirmière de garde, une grande femme rousse au visage sévère resta de marbre devant elle.

- Je suis le major Chiaki Tora, dit-elle en montrant sa carte et ses plaques de métal gravé au tour du cou. Je souhaiterais voir le colonel Feng, c’est mon chef d’équipe, requit-elle en fesant un grand sourire.

- L’heure des visites à lieu dès huit heures du matin veuillez repasser plus tard.

- Vous ne m’avez sans doute mal compris…

- Bien sûr que non, vous verrez le colonel Feng plus tard.

Chiaki frappa le bar d’accueil du poing, un tantinet énervé. L’infirmière la regarda sans conviction. Voyant que cela n’avez aucun effet, elle la saisit par le col de sa tenue:

- Dans quel chambre se situe mon supérieur ?

L’infirmière détourna son regard de l’intéressée  pour regarder par-dessus le dos de celle-là:

- Ma… Madame la Présidente?

Le major lâcha l’infirmière et se retourna en saluant le chef d’État. Elle était vêtue d’un tailleur noir et ses cheveux noirs était coiffés en un simple chignon. L’air souriante, elle donnait l’impression de n’être encore qu’une enfant, impression amplifié par les deux gardes du corps à côté d’elle.

- Ce soir pas de manière major Tora.

- Vos savez qui je suis ?

- Disons que je suis votre conversation depuis le début…

- Vous écoutez au porte ?

- En quelque sorte, dit-elle en ayant un petit rire. Mademoiselle pouvez-vous me donner la chambre du colonel Feng ?

- Bien sur! Répondit-elle en fouillant dans un dossier. Euh… c’est la 114.

- Merci beaucoup, le major m’accompagne et s‘excuse bien entendu, il n’est pas nécessaire d’appeler la sécurité.

De l’accueil à la chambre, le couloir resta silencieux. Lorsque la présidente alla tournée la poignée de la porte, Chiaki posa sa main sur la sienne pour lui en empêcher.

- Madame… je voudrais d’abord vous parler avant que vous n’entriez.

Le major raconta la mission et la version de Kashi.

- J’avoue que j’ai du mal à vous croire major… Etes-vous sure de ce que vous avez vu ?

- Oui, madame.

Elle regarda ses deux gardes du corps.

- Contacter Quezt et les ministres, dite leur qu’ils soit à sept heures dans mon bureau. Restez ici, tous les deux. Ne vous inquiétez pas je suis avec une personne de confiance.

Les deux gardes partirent.

- Chiaki, on m’a rapporté que vous aviez du mal avec vos supérieur… pourtant avec mon frère aîné tout à l’air de bien se passer.

- Votre frère ? Répéta-t-elle. Ce qu’on vous as dit est vrai, si je suis un peu plus docile avec le colonel, c’est parce que le respect pour la légende qu’il est.

En entrant dans la salle, Bado avait le bras droit, la jambe gauche  et le même côté du visage pensés. Azia eut bien du mal à retenir ses larmes, pendant qu’elle lui tenait la main.

- Tiens major vous n’êtes pas à l’infirmerie ?

- Je ne supporte pas très bien l’odeur de chloroforme. Monsieur… le général ne m’as pas cru, il m’a même prise pour une folle lorsqu’il a interrogé Kashi…

- Tu étais là quand il lui a posé des questions ?

- Oui, pourquoi ?

- Kashi est jaloux de tout à un point que tu ne peux pas imaginer… Il a raté deux fois le concours de pilote principal d’airship.

- Juste parce qu’il veut ma place, il a menti ? Quel con!

- Il ne veut pas ta place… c’est a mienne qu’il veut, enfin une place comme la mienne plus exactement. Avec son grade et le concours, la loi lui autorise à devenir chef d’équipe. D’ailleurs à leur où l’on parle le général David a du le nommé en temps que mon successeur….

- Je ne le laisserez pas…

- Chiaki ma petite sœur nous crois, c’est le plus important non ? Et puis je suis fatigué de travailler avec une bande de jeune surexcité… déclara-t-il dans un petit rire, sa me donne un coup de vieux, j’ai décidé de prendre ma retraite, mais rassure-toi je suis assez influant pour qu’il te laisse sur La Limule.

L’infirmière de garde entra pour leur demander de partir.

- Un dernier ordre major, en aucun cas ne levez-la main sur Kashi.

- A vos ordres mon colonel, dit-elle en le saluant.

Le soleil s’était levé. Une belle journée s’annonçait.

- Major, je suppose que vous aller vous reposez à présent, je vous souhaite une bonne journée.

- Hum ? Euh.. Merci, à vous aussi, répondit-elle sortant de ses pensées.

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Hmmm alors le Colonnel estime notre chère Chiaki... Et la présidente est de son côté. Ca s'annonce bien, peut-être trop bien !  :D

Vivement la suite !

 

Et qu'importe l'ordre du colonnel, faut qu'elle aille casser la gueule de Kashi !

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