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GaÏa by Sorcha


Sorcha
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Bon comme je vous aime bien ^^

lol

Voilà le dévut du chap1:

Chapitre1-1ère partie-

Chapitre I

 

Le défilait était fini depuis plusieurs heures. Le feu d’artifice de minuit avait été magnifique. Après avoir dormi quelques heures… le major Tora était retournait à la caserne. La Limule était en cour de réparation. Elle admirait cet airship en buvant du tasse de café. Elle faillit en tomber sur elle lorsque quelqu’un hurla:

- Stop! N’y toucher plus!

C’était Hwarang qui courait tant bien que mal avec une attelle à sa jambe.

- Bonjours major ! Non mais regarder moi ce massacre! Ils abîment tout la carrosserie! Ce n’est pas l’équipe habituelle, sa doit  être pour sa…

- Toi aussi tu as remarqué….

- C’est le lieutenant colo.. Euh …  non le colonel Hasegawa, qui a effectuer quelque changement…

Chiaki cracha par terre la gorgée de café à cette nouvelle.

- Tu as bien dit colonel ? Insista-t-elle.

- Euh… oui, pourquoi ?

- A l’enflure! Jura-t-elle sans se soucier du mécanicien. Je me doutais bien qu’il prendrait la place du colonel Feng… mais un grade….

- Euh… Major ?

- Hwarang combien de temps vont prendre les réparations ? Demanda-t-elle enragée.

- trois jours…

- Débrouille-toi pour qu’elle dura une semaine, ordonna-t-elle en lui plaqua sa tasse sur le ventre. Je reviens tout de suite.

- Attend! Cria-t-il  puis se retourna vers un ouvrier, tiens moi sa deux minutes

Il eu du mal à la rattraper, elle marchait très vite et tête baissé.

- Chiaki… pourquoi tu t’énerve dès que je parle de Kashi, tu t’es prit un râteau c’est sa ?

Elle lui mis une telle gifle qu’il en eu la marque des cinq doigt sur la joue.

- Quand tu t’adresse à moi en public, c’est major. Secundo, Kashi a laisser entendre que j’ai été incompétente devant ces monstres qu’ils qualifient d’hommes sauvages et tertio non il ne m’a pas mis de râteau.

- t’inquiète pas pour ta place, je suis sûre que tu resteras à bord, lui dit-il avec un sourire, qui plus est, je ne connais pas de pilote aussi doué que toi…

- Alors là je vous arrête, coupa le général. Bien que le colonel Feng est insisté pour que vous restiez à bord de l’airship, pour n’y tiendrait plus le rôle de pilote principal. Cependant, avec l’appui de votre ancien supérieur, j’ai convenu avec le colonel Hasegawa, qu’il vous garde à bord… en temps que technicien de bord.

- Mon général, vous plaisantez ? Demanda Hwarang. C’est le premier boulot d’un élèves diplômer de l’académie, sur les airships…

- Il rien de déshonorant là-dedans, interrompu l’officier  supérieur.

- A bon vous croyez ? Répliqua le major. Alors vous irez expliquer ça, aux élèves de l’école de pilote. Cependant, j’aimeriez mieux que vous leur disiez que le pilote numéro 2 du pays à démissionner, déclara-t-elle en arrachant ses galions et insignes sur sa veste. Pour ceci….

Et elle décrocha une droite sur le général, qui tomba en arrière. Elle lui lança un regard si noir, qu’il ne bougea pas d’un pouce. Elle lâcha par terre ce qu’elle venait arracher.

- Non mais sa va pas Chiaki ? S’exclama le mécanicien. Tu veux un veux un autre blâme sur ton dossier?

- Quelle importance ? Je ne fais plus partie de l’armée a présent. J’espère que vous avez trouver un pilote compétant, La Limule, n’est pas le plus facile des airships à piloter.

Puis elle partie sans se soucier que le jeune homme brun, cheveux couper cour sur les côtés, la nuque masquait ave une frange devant,  aux yeux bridés et la peau légèrement bronzer aller être le nouveau pilote.

Tchoï Wook, un pilote remarquable qui lui vaut d’être le numéro trois.Il avait également un tempérament excité et insolent, mais il avait toujours su se contenir, pour ne pas avoir de point dans son dossier. Il avait d’ailleurs était très récemment promu major.

- Vous allez bien mon général ? C’était quoi cette furie ?

- A major Wook… vous en avez mit du temps pour venir… reprocha le général en se relevant. Hwarang voici ….

- Tchoï Wook, je sais qui t’es mec. Si le colonel Hasegawa t’as choisis… Sa veut dire que tu vas être le nouveau pilote. Bienvenue à bord. Cependant si tu veux que je bosse correctement pour toi, tu devras montrer un peu plus de respect en vers Chiaki Tora, déclara-t-il froidement en ramassant difficilement à cause de sa blessure, ce qu’elle avait fait tomber.

- Attends tu veux dire que c’était… Mais c’est une légende à la caserne….

- Major, vous aller prendre la place de pilote principale de La Limule, si cela vous pose un problème, je peux m’adresser à quelque un d’autre.

 

Une semaine c’était écouler depuis. La nouvelle équipe était en forme et assez compact. Malgré ses faux airs de bon vivant, le mécanicien, était très affectés du départ du major Tora. Il avait déjà reçu un ordre de mission, a peine que l’airship fut en état de vol.

Ils devait retourner au nord pour mettre fin à la révolution fictive du général, avec d’autres airships.

Mais tout ce qu’ils trouvèrent… ce fut un désert de cadavres humains.

- Tchoï, dit aux autres vaisseaux de se poser à proximité du notre, ordonna Kashi. On va aller voir de plus près… Mettez les casques infrarouges… Il fait sombre aux sols. Prenez des munitions…

- Mon colonel, les balles n’ont aucun effet sur ses montres, rappela Julia.

- Major, vous étiez aussi près que moi pour voir… Pouvez-vous seulement affirmer ce que vous avez vu ?

- Ce que j’ai vu Kashi ? C’est que les balles normales sont inefficaces… Et que à cause de toi, on a perdu, un élément formidable mais aussi une amie….

- Major, taisez-vous ou sinon ?

- Sinon quoi ? Dit-elle en pointant un drôle de fusil sur le nez de son supérieur. Une enflure comme toi ne mérite pas de commander La Limule.

L’arme étrange ressembler une mitrailleuse lourde, avec des tubes qui relier la zone de chargement et le canon, sous lequel était placer un réservoir.

- C’est quoi ce truc ? Demanda Kashi. C’est le fusil spécial alchimiste que j’ai mit aux points durant la semaine. Je l’ai baptisé, l’Alpha. Je maintenant vous répondre plus précisément mon colonel. Il est vrai que je ne peux affirmer ce qu’était vraiment ces choses qui ont attaqués… Mais j’ai assez confiance en Chiaki, pour savoir qu’elle disait la vérité… déclara-t-elle avec un air coupable en rengainant. Si je n’ai pas témoigné contre … c’est parce que j’ai su que tu avais pris un grade, que tu étais appuyé par le général.

L’équipage sortit hormis Hwarang qui resta à bord. Il ne faisait pas seulement sombre mais aussi froid et brumeux. De cette façon ils ne purent voir la neige tachée de sang.

- Julia, branche le sonar, ordonna Kashi.

- Mon colonel…… venez voir… il semblerait que ne soyons pas seul…

- A qu’elle distance sont-ils ?

- Juste à côté de nous….

- Je ne vois rien! Coupa le subordonné.

- Ne regardez pas devant vous mais à vos pieds….

Kashi s’approcha d’un des corps. Avec le bout de son arme il souleva un bras inerte avant de le laisser retomber lourdement sur le sol gelé. Il appuya sur son oreillette pour contacter La Limule:

- Hwarang nous serons de retour d’ici une quinzaine de minutes, prépare le vaisseau.

- Mon colonel ? Qu’allons nous faire de ces gens demanda le major Wook.

- On ne peut rien pour eux, leur âmes à rejoint le Shéol.

- La moindre des choses serait de leur offrir une tombe, non ? Rétorqua Odore.

- Ce ne sont que des morceau de viande déchiquetés avec des crocs!

Elle réprima un frisson…. Et regarda plus attentivement les cadavres. En effet, les corps, ou du moins ce qu’il en restait était marqué de coups de griffes, de morsures….

- Alors Kashi ? Tu crois toujours que ce sont de petits hommes sauvages mécontent du gouvernement qui ont fait ça ? Nargua Julia.

Soudain un hurlement d’un loup se fit entendre. Un cri crispant suivit d’un long silence.

- Depuis quand il y a des loup ici Julia ? Se renseigna Odore.

- Ce n’est pas un loup… le cri était trop…. Humain.

- Sa ressemblait plus a un loup pour moi, répliqua Tchoï.

Avec les lunettes infrarouges, ils purent deviner des silhouettes a quelque mètres d’eux. Cinq humanoïdes trapus à tête de chacals fonçaient sur eux.

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je sais il ce fait tard............... a croire que je souffre d'insomnie xD * je m'excuse pour les fautes d'ortho..j'essaye d'en corriger un max pour le week-end...*

Pendant ce temps à Waterfull, la présidente Azia, avait accepté de recevoir le major Tora entre deux réunion.

L’entrevue avait  lieu dans la grande salle. Au fond sur une estrade, le siège principal en forme de boule, était entouré de petite coupole renversé. Les colonnes, le sol, les murs… tout était fait de marbres blanc. De grands morceaux de tissus blanc et bleu ciel, pendait d’un pilier à un autre. Les fenêtres étaient d’immense véranda, qui permettait de gardé la salle au contact du jour.

Azia attendait au centre de la pièce son invitée. Elle était vêtue comme le jour du nouvel an, ou du moment presque, la robe avait moins d’ampleur.

Chiaki arriva dans un ensemble de cuir noir, la veste étant ouverte, et laisser paraître le bustier rouge. Des lunettes noires étaient remontées sur le haut de son crâne et elle tenait à ses mains, un casque de moto.

- Vous désiriez me voir, Majesté ?

- Oui. Et ce que je risque de t’annoncer ne risque guère de t’enchanter.

- Alors dans ce cas ne tournez pas autour du pot Madame.

La porte d’entrée s’ouvrit de nouveau, accompagnée de grincement métallique. L’ex-pilote principal de la Limule se retourna et dès qu’elle aperçue le colonel Feng, elle se mit immédiatement au garde à vous. En réponse il lui fit un simple signe de la tête. Le major ne put s’empêcher de regarder les prothèses qui remplaçait les membres perdus y comprit le cache de l‘oeil.

- Azia, dit-il, c’est bien lui. Le test ADN le confirme.

- Major Tora, déclara la présidente, on vient de retrouver le corps de Kashi Hasegawa inconscient. Il souffre de multiple contusions et il est  toujours dans le coma.

- Alors qui est à bord de La Limule ?

- C’est un question, à laquelle vous n’aurez jamais la réponse major.

C’était la voix du général David. Il était entouré d’une dizaine de soldat bien équipés et protégés.

On ne distinguait pas leur visage. Les articulations étaient protégés par une armure grisâtre. Le casque  avait en guise de visière, un morceau de plexiglas noir, qui couvrait uniquement la surface des yeux.

La Présidente se leva brusquement de son siège:

- Qu’es ce qui vous prend général ?

- Madame, j’ai le grand plaisir de vous annoncez que je prend le contrôle de Gamédon a l’instant même, lança-t-il avec un rire démoniaque.  Tuez-les tous ordonna-t-il aux soldats.

A cet instant même, Chiaki laissa tomber de sa manche dans sa main un poignard auquel était attaché une mini grenade de fumigène. En un seul geste, elle lança l’arme au sol qui explosa sur le coup, dégageant ainsi une épaisse fumée blanche. Les deux miliaires encore fidèles au chef d’état, se dirigèrent vers celle-ci. Azia les attira vers un passage secret qui se situait sous le siège présidentiel.

Tous trois glissèrent le long du toboggan pour s’y en tasser les uns sur les autres à l’arrivée.

- Mon colonel, vous êtes lourd… suffoqua Chiaki.

- Désolé, dit-il en se relevant. Même ici tu as réussi à planquer un poignard…

Il s’interrompu, lorsqu’il la vit fouiller dans son dos, sous sa veste  et en sortir un Gun.

- Il suffit d’avoir la technique, répliqua-t-elle. Où mène ce corridor ?

- Vers les égouts de la ville… Mais laissez-moi passer devant. Il s’agit d’un labyrinthe que seul les chefs d’état connaissent le chemin de la sortie.

- Non, tu restes au milieu, vu que je n’ai pas d’arme, je vais passer devant, j’aurais moins de chance d’en avoir besoin, décréta Feng.

- Avant de continuer, j’aimerais savoir où se trouve Kashi.

- Il est à l’hôpital de la caserne.

A une intersection près de la sortie? Des bruits de pas se firent entendre.

- Vous disiez être la seule personne à connaître ce chemin, murmura Chiaki.

- Le chef de ma garde personnel sait également où débouche ce labyrinthe sans pour autant connaître l’intérieur, répondit doucement Azia, puis bien fort, qui est là ?

- Donnez moi votre mot de passe.

- Dites moi le votre, et je vous donnerais le mien.

- Taureau, répondit la voix.

- Capricone.

Elé Quezt sorti de l’ombre et salua respectueusement la présidente. Malgré, ses bottes baignant de vase.

- Les égouts ne plus ce qu’ils étaient, s’excusa-t-il. Mais ne vous inquiétez pas j’ai réussi à débucher une petite barque.

Ils firent encore quelques pas avant de monter dans le petit embarcadère. Puis on bout d’un petit moment de navigation:

- Où sommes-nous ? Demanda le major.

- Sous le dernier sous-sol de la caserne.

- Quezt, arrêtez-vous de ramer deux minutes.

Chiaki sauta sur le trottoir de l’égout et s’approcha d’une bouche de sortie.

- Évidemment… il faut un code…merde.

- Entrez le code: 1989J. Si David ne m’a pas encore verrouillés mes accès, ça devrait s’ouvrir.

Azia suivit de son chef de garde et de son frère, était descendue contre leur volonté de l’embarcation.

Le major se tourna vers son supérieur:

- Mon colonel j’aimerais récupérer Kashi. Le secteur hospitalier est au même niveau que les hangars.

- Je sais mais c’est tout simplement impossible, nous devons d’abord sortir de la ville…

Il retourna dans la barque, suivit de Quezt. Azia fit mine d’être déçue pour elle, mais qu’elle eut le dos tourné aux hommes, elle lança un clin d’œil a Chiaki. Celle-ci s’empressa alors de monter à l’échelle et d’activer le code. Bado faillit faire chavirer la barque en s’élançant à la pour suite de la jeune fille. Mais celle-ci lui ferma la trappe au nez.

- Major! Cria le colonel qui de l’autre côté de la trappe avait une voix amoindri. Ouvrez tout de suite!

Chiaki glissa de un bout de papier de son bloc note sur lequel elle avait noté:

« école de pilote, toit dans deux heures. »

De l’air frais sorti du système ventilation. Elle arracha la grille avant de s’y faufiler à l’intérieur.

Dans la salle de surveillance vidéo. Le soldat de garde s’empressa d’appeler un supérieur.

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  • 1 month later...

Après vous avoir fait patientez longtemps... très longtemps... je m'excuse !!! Bon voilà un peu la suite de l'histoire... enfin si vous avez pastout oublier lol

Dans la salle de surveillance vidéo. Le soldat de garde s’empressa d’appeler un supérieur. Le général David, lui-même fit le déplacement.

- Que ce passe t’il ?

- Quelque vient de s’introduire dans le dernier sous-sol de la base.

A cet instant, le général eut des sueurs froides.

- Savons-nous qui est-ce ?

- Non, j’ai beau rembobiné la bande, on le ou la voit que de dos.

- Aucune importance…

Il s’arrêta de parler, lorsqu’il vit apparaître sur l’écran, une de ces créatures… ou plutôt monstres… Un humain ou presque. Marchant à quatre pattes, en prenant appuis uniquement sur ses orteils et mains. Dandinant l’arrière train comme un chien. Il n’avait pas de peau, ses muscles étaient en contact à l’air vif en permanence.  Puis la bête tournant la tête vers la caméra de surveillance. A cet instant, l’agent de garde se retint de vomir. Le monstre n’avait plus de nez, les lèvres brûlées, les os des joues en moins. Les arcades sourcilières c’étaient déformées vers l’avant, tout comme la mâchoire inférieur.

Puis le monstre renifla le sol, avant de s’engager, lui aussi, dans le système de ventilation.

Dans la salle de surveillance vidéo:

- Il faut verrouiller le dernier niveau avec le moins trois, mon général.

- Je sais… lancer la procédure, ordonna David en avalant une bonne dose de calmants.

Le soldat de garde commença à taper sur le clavier de l’ordinateur.

- Il me manque votre code d’accès, mon général.

- Soldat, rien de ce que vous venez de voir ne doit sortir de cette pièce.

- A vos ordres….

Le général sortit un pistolet.

- Mais pour en être sur je dois éliminer toute les preuves…

- Mon général… vous.. N’avez pas l’intention de….  bégayât il.

- Rassurez-vous vous recevrez l’honneur que vous méritez et ainsi que la mise en valeur de votre travail. Paix à votre arme, finit il en pointant son arme sur le soldat en sueur froide.

- Non… Non… NON !!!!

Bang! Une flaque de sang gicla sur les écrans. David s’approcha et poussa sans état d’âme le corps, et entra le code de verrouillage.

Dans le conduit de ventilation. Chiaki arriva à un croisement. Elle fit confiance a son instinct et prit sur la droite… seulement un ventilateur arriva à pleine vitesse. Elle eut juste le temps de plaquer son pied au centre pour bloquer l’avancer de cette machine à broyer.

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eh ben c'est derniers temps ya la suite de pleins d'histoires où on a attendu la suite avec impatience depuis longtemps (je ne parle de personne en particulier 9_9)

encore très bien cette suite même si c'est un peu court

mais j'avais rien oublié ,on peut pas oublié une histoire pareille^^

 

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  • 1 month later...

Après la lecture de plusieur Fic.. j'ai senti le courage venir en moi pour vous postez la suite ;)

La pression exercée sur son pied rendait l’effort de plus en plus important, si bien que quelque gouttes de sueur s’écoulaient le long de son visage. Puis soudainement, elle entendu un bruit inquiétant. Quelque chose approchait. Puis elle vit l’ombre de la bête, on aurait dit celle d’un doberman, seulement, la patte rouge ensanglanté avec des griffes pour ongles, en démontra le contraire.

Chiaki fut prise d’effroi en voyant la gueule du montre… de la bave en dégoulinait. Le monstre gratta la plaque métallique du conduit avec des griffes, d’où le bruit aigu et désagréable qui fit grimacer l’ex-major… Et la bête s’élança sur elle, se cognant au paroi.

Au dernier moment, la jeune femme vit les rails du ventilateur qui se prolongeaient dans le conduit du monstre. A cet instant elle relâcha la pression… et la palme de la machine déchiqueta la bête. Du sang gicla dans tout le conduit y compris sur Chiaki.

Elle n’eut pas le temps de jurer qu’un alarme retentit. A demi debout, elle fonça tout droit et chercha une échelle menant à l’étage supérieur. Elle grimpa aussi vite qu’elle put. Soudain un grincement se fit entendre. Elle leva la tête et vu de la vapeur relâchée par la fermeture de la trappe. A ce moment la, Chiaki accéléra sa cadence et son pied droit faillit être broyé par la porte. Elle l’avait passer in extremis. L’échelle continuer de monter, mais l’ex-major reprit son souffle, allongée sur le dos sur la trappe. Quand elle essaya de se relever, elle retomba aussitôt. Sa veste était coincée dans la jointure des portes:

- Et merde.. Elle était neuve ! pensa tout Chiaki.

Dans les doublures du vêtement, elle prit divers pièces qui une fois assemblée donnèrent un Gun. Elle glissa celui-ci entre sa ceinture et le pantalon dans son dos. Gardant le deuxième a la main, malgré l’ascension de l’ échelle. Une fois au sommet, l’inscription: N-3, signifiant niveau moins trois, se trouvait au-dessus d’une grille d’aération. Elle approcha sa tête de l’ouverture, personne. Seul deux caméras aux extrémités du couloirs. Chiaki regarda la distance a parcourir encore avec l’échelle jusqu’au prochain niveau… Elle ne serait jamais sur le toit de l’école a temps. Elle dégomma la grille d’un coup de pied, et avec son Gun, désintégra les caméras. Et fit de même pour celles qui se trouvait sur son passage jusqu’à l’ascenseur. Du mode laser, le Gun passa en mode balles explosives grâce a un roulette située juste en dessus de la culasse et au sur le haute de la poignée. Une balle suffit pour faire un trou dans la porte d’ascenseur. Elle plaça son Gun, avec l’autre, et toujours en pleine course, elle s’élança sur un câble d’un ascenseur, avant de se jeter sur un qui montait. Elle arriva vite au niveau zéro, c’est-à-dire le rez-de-chaussée. Elle sauta sur l’échelle de secours avant de passer de nouveau dans un conduit d’aération. A la première grille d’aération, elle sortit du conduit pour atterrir dans le vestiaire homme de l’équipe médical. Elle entendit des bruits de pas venant vers elle. Chiaki planqua la grille du conduit sous un casier, avant de s’y cacher dans l’un d’eux. Les casiers étaient assez haut et faisaient soixante centimètres de large. Elle n’eut donc pas de mal à y caser sa petite taille  Aux différents sons des voix, elle en déduit que c’était un petit groupe de trois hommes.

‘‘- Et Yaël, y paraît que le major Tora fait un petit séjour à l’infirmerie pendant ton service ? demanda l’un.

- Alors elle était comment ? fit l’autre. C’est vrai qu’elle en a une paire énorme ?

Ils explosèrent de rire tous les trois puis Yaël dit:

- Ils sont un peu au-dessus de la normal c’est vrai… vous voulez les voir en photo ?

- Quoi tu as pris une photo ? S’exclamèrent les autres. Et comment qu’on veut les voir !!! Une légende c’est pas pour rien que ça a du succès!

Chiaki se senti très irrité dans le casier, et en regardant les parois, elle se vit sur une photo… allongé sur le lit mais habillée de la robe de chambre d’hôpital même si celle-ci était anormalement moulante, cependant elle apprécia encore moins le zoom fais sur ses seins. Elle arracha la photographie et la déchira en mille morceaux. Soudain elle remarque sur un uniforme le nom: Yaël Faolan juste avant que la porte du casier s’ouvrit. Le jeune homme la regarda étonné et à la fois gêné. Chiaki, elle ne mit pas deux secondes a réagir. Elle lui lança les miettes de la photo au visage, l’infirmier ne vit donc pas le coup de pied qui lui arriva à dans un point sensible masculin entre les deux jambes, ni le coup de poing qui suivit, le faisant tomber à l’arrière.

ps: c'est du live, fautes non corrigées je le ferais dans un petit moment ou demain. (enfin le max possible car on voit mieux les fauets des autres que les siennes xD)

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