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Naruto Abriged Serie


La Parka
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Je pense que c'est vraiment une bonne idée c'est amusant pour moi c'est vraiment une bonne parodie mais ce qui est amusant c'est Naruto mais bon pas étonnant que ce soit amusant puisque les newseurs de ce site aime rigoler et animer leur site surtout JSP(le poète) ;D:D il faudrait aussi regarder le dossier des Bijuus :D   

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J'aime bien cette parodie mais vraiment vite fait, je regarde quand je n'ai rien d'autre à faire.

Il y a certains passages vraiments droles:

Hinata: Ho... Je voulais voir Naruto tout nu...

Iruka: HINATA! Arrête de fantasmer sur Naruto tout nu!

Tous: Yerk!

Iruka: Juste pour ca, tu es avec Dog Boy, et Insecte Boy.

Shino: J'aime les insectes.

Iruka: Oui oui, on est au courant.

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  • 4 weeks later...
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  • 9 months later...

Présentation • Interview

 

Présentation

Vivre de sa passion...

 

Oh qu'il serait plaisant de gravir tous les échelons d'un seul et unique pas pour atterrir sur la Marche d'Or !

 

Masashi Kishimoto ou le récit d'une rapide gloire ascensionnelle ? Non.

 

L'auteur de l'oeuvre Naruto voit le jour en Novembre, le huit de ce mois de l'année 1974. Ses yeux embrassent la lumière du jour de la ville d'Okayama implantée au pays du Soleil Levant. Il passe son enfance sous la servitude, toujours fidèle à celui qui s'est fait maître de sa jeunesse, maître de sa personne : le manga.

 

Très vite il épouse le souhait d'étreindre le devenir promis : être mangaka ; persuadé de détenir le génie créatif. Il dessine avec la forte conviction de toucher la Réussite. Pourtant, un rude adversaire se hisse jusque lui : l'école. Le Temps Scolaire étouffe vite sa passion qui se dissipe, s'estompe puis s'efface. Désir évaporé... jusque ce jour ! Lorsque ses yeux se voient foudroyés par la suprématie d'Akira ; manga ô combien vénéré, élevé au même titre qu'un géant tout puissant par divers artistes du genre. Sa passion flamboie de nouveau, attisée par l'ardente envie de « faire comme », « d'être comme » et peut-être – qui sait ? – de surpasser. Il se met donc à l'étude de la technique graphique, avec profondeur et concentration, dans un travail d'observation, cultivant le don manuel. Or son seul talent de dessinateur ne suffit pas. Il essuie de nombreux revers mais fort de persévérance, il continue. Continue encore et gagne un prix pour Karakuri qui sera publié dans une revue spéciale du Weekly Shônen Jump, l'Akamaru Jump. C'est enfin la reconnaissance ! Jubilation.

 

Et pourtant... souhaitant développer sa « petite oeuvre », Karakuri, il n'aboutit qu'à une désolante platitude pathétique. Banalité. Il n'arrive pas à se situer, il se perd et oscille ; comme un « bateau ivre » se balançant fiévreusement sur les dangereux flots onduleux de l'océan Vie ; oscillation entre ces deux tendances du moments : le shônen et le seinen. Il n'arrive pas à nuancer, pas à planter sa griffe. C'est alors l'hécatombe ! Une hécatombe d'échecs, un cimetière de corps ratés, d'embryons desséchés, inhabités par la vie créatrice, ce souffle d'inspiration qui n'anime pas malgré la force de sa passion. Ainsi, Michikusa, Asian Punk, Yakyû-ô restent inanimés et s'érigent comme accidents de parcours. Des morts nés. Une profonde déprime. Un sentiment d'échecs cuisants.

 

Et ?

Il persévère.

 

Au sortir de ses études de la fac des beaux arts, alors que ses camarades trouvent des emplois, il se consacre entièrement à sa passion. Deux ans d'errance qui forgent son caractère, sa volonté. Il se livre à un véritable travail d'analyse, il décortique et hache divers scénarios cinématographiques, étudie la psychologie que doivent concentrer des personnages pour devenir intéressants. Il observe de près les techniques de cadrages. Il se perfectionne.

 

Et ?

Il aboutit.

 

Akamaru Jump publie un One Shot : Naruto !

Naruto ; accouchée, remaniée et développée, oeuvre grandissante, enflant au cours du temps à travers le travail acharné de son paternel : Maître Masashi Kishimoto.

 

Qui donc affirmait que les échelons se gravissaient d'un seul et unique pas pour atterrir sur la Marche d'Or ?

 

Je sais pas

 

 

 

 

Interview de Masashi Kishimoto

Tout d'abord, j'aimerais vous demander où vous êtes né.

 

Je suis né dans un endroit appelé Katsuta dans la préfecture d'Okayama. C'était un endroit aux coutumes étranges. *rires*

 

Quelles étaient vos occupations quand vous étiez enfant ?

 

J'aimais dessiner et j'étais un professionnel pour faire des graffitis. *rires* Durant l'école primaire, j'étais fan de jeux vidéos et de voitures télécommandées mais mes parents ne m'achetaient pas grand chose. Du coup je modifiais moi même mes voitures télécommandées, en échangeant des pièces, ce genre de choses. Un jour j'ai même échangé la carosserie d'une voirure avec une autre et ça ressemblait tellement à rien que j'ai arrété de jouer avec. *rires*

 

A cette époque, rêviez-vous déjà de devenir un mangaka ?

 

Oui, Dragonball m'avait fait un effet incroyable.

 

Qu'est-ce qui vous a le plus impressionné dans Dragonball ?

 

Les dessins, l'histoire... Tout : Toriyama sensei est un immense artiste... Ses lignes sont si précises. Je ne sais pas vraiment comment l'expliquer mais il a une incroyable perception des choses, et je le trouve vraiment impressionnant. Toriyama sensei est un véritable dieu.

 

Quand vous étiez encore au collège est-ce que vous étiez entièrement focalisé sur le dessin ?

 

Non... j'étais très influencé par Touch et j'ai rejoint l'équipe de baseball de mon établissement scolaire. Du coup je passais mes journées à faire du baseball. ("Touch" : un manga sur le baseball où un frère poursuit le baseball en mémoire de son jeune frère jumeau décédé et devient une star. Kishimoto a aussi un frère jumeau plus jeune.)

 

Donc au collège vous étiez plus passioné par le baseball que par le dessin ?

 

Oui, au primaire, on me complimentait souvent à propos de mes dessins mais une fois arrivé au collège, j'ai commencé à me dire que savoir dessiner ça ne servait à rien : ce n'est pas comme ça qu'on impressionne les filles ! *rires* J'ai donc pensé qu'être un athlète était un choix plus judicieux, et je pensais que je ne serais jamais capable de devenir un mangaka de toutes façons. Mais un jour j'ai vu un poster pour ce film : Akira qui m'a vraiment impressionné. A ce moment là j'étais en train de faire du vélo mais je suis bien resté une heure à contempler l'affiche. Je n'en revenais pas à quel point elle était cool. La perspective avec le personnage principal et sa moto était incroyable. En réalisant à quel point elle était excellente, je me suis convaincu que je devais essayer de devenir mangaka.

 

Vous êtes vous concentré sur le dessin au lycée ?

 

Oui, si j'avais le temps je dessinais même en classe. Même durant un contrôle je dessinais au dos de la copie, persuadé que ce dessin était magnifique tandis que le professeur me criait dessus juste après, m'obligeant à l'effacer. *rires* Mais comparé aux professionels, mes dessins étaient mauvais j'ai donc du beaucoup m'entrainer.

 

Quel genre de choses dessiniez vous ?

 

Je dessinais toujours la même chose mais sous un autre angle. Parfois je me concentrais tout particulièrement sur les mains, c'est une partie du corps particulièrement dure à dessiner car les mains expriment beaucoup de choses. Un poing fermement serré et un poing légérement serré sont différents... j'avais un cahier de brouillon complet avec juste des mains. *rires* Je voulais aussi dessiner de façon originale, j'ai donc récupéré des éléments de différents artistes et assimilé leurs aspects que j'aimais pour me les approprier. Ainsi vers le milieu de mes études au lycée j'ai commencé à me dire que me concentrer sur les études traditionnelles n'était pas important. Je voulais vivre de mes dessins j'ai donc décidé d'aller dans une école d'art. Au lycée j'étais dans une classe très avancée, et en 3eme année j'ai demande au professeur si je pouvais aller dessiner des statues en plâtre et il m'a répondu : " Non ! "... C'est ainsi que j'ai appris que le monde était injuste. *rires*. Du coup après les cours j'allais dans la salle d'art plastique pour dessiner.

 

Plus tard vous avez eu l'opportunité d'aller dans une école d'art ?

 

Oui, c'était une université à Kuushu. J'étais en internat, une petite pièce avec deux lits et deux bureaux. Pendant un an je n'ai rien fait d'autre que des dessins et des mangas.

 

A cette époque quel genre de manga dessiniez vous ?

 

C'était un manga de samourai. Je pensais que les samourais allaient connaître un grand essort. A cette époque, beaucoup de titres s'inspirant de contes fantastiques de l'ouest étaient populaires mais j'ai vite réalisé que les histoires typiquement japonaises allaient revenir en force. Mais tandis que mon manga était presque fini, Kenshin le Vagabond est sorti ansi que "Blade of the Immortal". En comparant ces deux mangas au mien, j'ai réalisé que je ne faisais vraiment pas le poids.

 

Quand avez vous eu l'opportunité de devenir vraiment mangaka ?

 

Durant ma deuxième année à l'université, j'ai envoyé un manga appelé "Karakuri" pour le "Hop Step Award" de Shueisha, qui est l'un des plus grand concours par ici. Mais n'ayant pas reçu la moindre nouvelle de leur part j'ai commencé à me dire que j'avais échoué et je me suis demandé qui avait gagné. Je suis donc allé dans un magazin et en regardant dans Weekly Jump je me suis rendu compte que j'étais le grand gagnant ! J'ai appris que j'avais gagné en lisant Jump ! *rires*

 

Cela a du être un grand moment pour vous.

 

J'étais tellement heureux, le plus beau jour de ma vie. Quand les gens sont aussi contents ils en restent muets, j'ai du dire quelque chose comme " Ye...e...a....a...ah ". J'ai donc acheté l'exemplaire de Jump et en sortant j'étais tellement heureux que je l'ai jeté en l'air dans la rue " YAAAAA ! " *rires tonitruants* Ensuite je me suis dit que je devrais un peu me calmer avant de me faire renverser par une voiture et de mourir. J'ai donc traversé la rue et ramassé mon magazine. *rires* Même une fois rentré à la maison je croyais que c'était un rêve. Quand j'y repense c'était plutôt stupide mais je me suis pincé les joues aussi fort que possible pour m'assurer que c'était bien réel. *rires* Ensuite j'ai reçu un coup de fil de mon éditeur, Yahagi San (avec qui je travaille toujours), j'étais tellement nerveux que j'ai appuyé sur le mauvais bouton, lui raccrochant au nez " OH NON !!!! " *rires tonitruants* Mais il a rappelé immédiatement. *rires* Il m'a demandé si je me sentais prêt à devenir un mangaka professionel et je lui ai répondu que je l'étais et que j'allais travailler comme un forcené. Il m'a ensuite dit qu'il aimerait devenir mon éditeur et qu'il me souhaitait tout le succès possible. J'étais tellement content d'avoir un éditeur qui fasse partie de Jump que je commencais à me sentir un vrai mangaka.

 

Après ça les choses ont été plus faciles ?

 

Non, pas du tout. Je ne savais toujours pas comment créer un manga. Tout ce que je faisais était horrible et j'ai commencé à émettre des doutes quand à mon futur de mangaka. Ensuite je me suis dit que je devais écrire à propos de quelque chose que j'aimais... Et comme j'aime les ramens, je me suis dit que c'était un point de départ pour écrire quelque chose. Au départ je parlais de la soupe de ramen et j'ai fini par aboutir sur Naruto. Le manga a été publié dans Akamaru Jump et a reçu beaucoup de critiques très positives. Après cela en revanche je me suis pris un bide... J'ai dessiné un manga sur le baseball mais ce n'était pas bon du tout. J'ai donc collecter tous les bons éléments de mes mangas ratés, réutilisé le personnage de Naruto et refait quelque chose. Je me suis dit que si ce manga ne marchait pas je ferais bien de chercher auprès d'un autre magazine. *rires* Mais le groupe en charge de publier les nouvelles séries a bien aimé et... Je suppose que j'ai eu beaucoup de chance mais... Normalement une série est directement publiée dans Jump après avoir été choisir, mais la mienne ne devait l'être que trois mois plus tard. Grâce à ce délai, j'ai pu dessiner beaucoup, arrivant ainsi jusqu'au chapitre 8 environ et j'avais un très bon début. Honnetement, sans ces 3 mois, j'aurais été dans de sérieux problèmes *rires*. Donc d'un certains côté, Naruto a pu voir le jour grâce à des circonstances assez chanceuses.

 

J'aimerai vous parler de "Naruto". Quelle a été la raison pour laquelle vous avez basé cette série sur les "Ninjas" ?

 

Et bien, j'aimais ce genre d'histoires propres à l'asie. En plus, les samourais et les ninjas sont même connus aux Etats Unis. J'ai donc décidé de faire un manga sur les ninjas.

 

Vous êtes vous servi d'un modèle pour le village caché de Konoha ?

 

Oui il y en a un, c'est mon village natal. Je vivais près d'une base militaire quand j'étais jeune, il y avait donc de nombreux terrains d'entraînement. Et près du village il y avait aussi une grande ville. Comme j'ai grandi dans cet univers j'étais très intéressé par les forces spéciales, les cartes militaires, les équipes formées de trois membres...

 

Dans quel ordre avez vous créé les personnages ?

 

Le premier a été Naruto. Son plus gros soucis est celui "d'être reconnu". J'avais donc besoin d'un personnage qui reconnaisse l'existence de Naruto, j'ai donc créé Iruka. Après avoir créé le monde je me suis dit qu'il fallait un dirigeant, j'ai donc imaginé l'Hokage. Puis Kakashi a été imaginé pour être le professeur de Naruto.

 

Sasuke et Sakura sont donc venus après ?

 

Oui, sans Sasuke, la série semblait n'avoir aucun développement possible au niveau du scénario. j'ai donc pensé que ce n'était pas une très bonne chose et que j'allais être virer au bout de 10 semaines. *rires* L'éditeur a donc suggéré de créer un rival, comme l'étais Goku et Krilin dans Dragonball. Je voulais que ce soit un personnage comme Krilin le héros. Comme il n'est pas parfait c'est plus facile, comme dans Slam Dunk où la relation de rivalité est clairement distincte.

 

Merci beaucoup. Pour finir, pouvez vous nous parler un peu de ce qui nous attend dans Naruto ?

 

Et bien... Je projette de finir toutes les intrigues uniquement suggérées. Itachi... Et d'autres personnages seulement connu de nom vont apparaître. Les choses vont être de plus en plus intéressantes, alors gardez un oeil sur ce qui vous attend !

 

 

 

Un grand merci à Parpaing pour sa traduction ! ;)

 

 

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  • 5 months later...
  • 2 months later...

Bon ba malheureusement j'arrive trop tard,les vidéos,ne sont plus accéssibles,dommage,j'aurais bien aimé voir au moins un épisode.

Si quelqu'un sait ou je pourrais voir un extrait,pour connaitre le ton de cette parodie,se serait sympa de me laisser un méssage,merci.

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