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[One Piece] - L’Aventure est un Rêve !


Mūgiwara
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L’Aventure est un Rêve !

 

Cette histoire se déroule quelques années après la découverte du One Piece par Monkey D. Luffy et ses compagnons d’aventure, le monde a connu un grand changement…..

 

Laissez-moi vous raconter les péripéties d’un jeune garçon qui s’apprête à voyager pour découvrir la richesse du monde qui l’entoure à bord d’un navire d’aventuriers et d’explorateurs….

Chapitre 1 : Un Rêve – Partie 1

 

Je me suis réveillé en sursaut à cause du bruit et de la chaleur qu’il faisait dehors et de plus, je suis en retard pour le grand voyage….J’ai pris une sacoche, j’ai mis quelques vêtements mais pas de vivres car il y en aura pleins sur le bateau.

 

Avant tout je m’appelle Woodes. J’ai 15 ans, je pèse 42 Kg. Je vis tout seul dans une petite maison au bord de la mer du Nord. Le capitaine m’a choisi pour le voyage car je dispose de certaines compétences pour la navigation malgré mon jeune âge. Quelqu’un frappe à la porte au moment ou je m’apprêtais à l’ouvrir. C’est le capitaine Sans-Cheveux. Il me traite de flibustiers, boucaniers et pirates sans cerveau car je suis en retard et qu’il lui fallu se déplacer pour venir me chercher.

 

Dehors tout l’équipage était déjà prêt à partir depuis très longtemps, le seul qui manquait c’était moi. J’ai l’impression de voir devant moi des voleurs. Il y en avait un qui ressemblait à un nain, un autre à un pirate parce qu’il avait qu’un seul œil, puis un autre qui avait de large et robuste carrure et d’une taille élevée, il y avait un groupe d’hommes à coté du capitaine dont l’aspect physique ressemblait à des marins expérimentés, et encore d’autres un peu moins distingués par leur peurs.  Le capitaine, lui était un homme barbu et vieux, il portait des vêtements colorés. Il a le crane rasé et une moustache très longue. Mais pour dire vrai c’est un homme loyal.

 

Le capitaine nous appelle un par un pour franchir l’échelle de coupée.

 

Le capitaine Sans-Cheveux ne précise pas vers quelle destination nous nous rendons, seul compte le voyage dit-il. La seule chose nous savons c'est que cette expédition à pour but pour découvrir une ile gigantesque d’après une carte dessinée par la légendaire navigatrice de l’équipage du Seigneur des Pirates, Nami.

 

Cela fait déjà quelques heures que nous voyageons sur le bateau géant et qu’on le baptisa « Hope », en espérant que celui-ci nous ramène sain et sauf de notre expédition en terre inconnue.

 

Le bateau transporte beaucoup de tonneaux de vin et de barriques de bois qui contenait des vivres assez pour une durée de trois mois : des biscuits secs, des céréales, du bœuf, des fruits, des légumes et d’autres choses encore. Quelques jours plus tard, le capitaine parla à tout l'équipage du but de notre traversée, c’était à la recherche d’une civilisation très ancienne et de ses vestiges. En effet le capitaine a réussi à obtenir l’autorisation spéciale du Gouvernement Mondial pour étudier les anciennes écritures et comprendre certains phonèmes naturels qui n’ont toujours pas trouvé d’explications logiques….

 

Nous voyageons depuis plusieurs jours, l'équipage commence à éprouver de la fatigue et les vivres eux aussi commençaient à diminuer. Un soir le capitaine et moi à bord du navire parlâmes de l’ile mystérieuse que personne ne connaissait, hormis l'équipage du Seigneur des Pirates. Il parait que d’après le capitaine, habitaient sur l’ile des animaux étranges et il m’a dit qu’il avait l’intention de capturer quelques unes de ces bêtes. Le voyage fut très long et l’équipage diminua d’effectif à cause des morts sur le navire et encore d’autres maladies graves. Comme il ne reste que quelques fruits et légumes et comme boisson du vin, le capitaine interdit d’en prendre à l’équipage.

 

Un jour sur le vaisseau un homme de l’équipage essaya de voler les vivres et le capitaine le prit en plein vol. Et des jours passèrent encore, jusqu’au jour ou parmi les vacarmes des hommes, retentit le cri tant espéré par tout le monde : Terre ! Terre !

 

Chapitre 1 : Un Rêve – Partie 2

 

 

Le capitaine Sans-Cheveu consulta sa boussole accrochée à son cou et me consulte également pour que je lui dise exactement ou l’on se trouve ; d’après la carte et mes propres connaissances et estimations, on doit être à proximité du Triangle de Florian, c’est une ile gigantesque. On a sans doute contourné le cap de Bonne Espérance. Le capitaine ordonne à un homme d’aller chercher dans la cave de bateau les présents qu’on va offrir aux indigènes comme signe de bienvenue.

 

Les feuilles de ces arbres sont d’une verdure incomparable. Il y a des fleurs de toutes variétés au milieu des grands arbres. Sur cette ile, il y a des oiseaux multicolores. La terre de ces merveilles est jaune comme le Soleil. Ce qui n’était pas ravissant par rapport à cette végétation, ce sont des bêtes féroces accrochés aux branches des arbres. Ce sont des monstres horribles. Ils ont la bouche et le nez rose comme celle d’un cochon, ce qui ne va pas du tout à leur peau hérissée. Ils ont un regard perçant comme un renard. Leurs bouches sont collées à leurs os de pieds et de mains et elles sont irriguées de sang ce qui leur donne un aspect de vampires. Ils ont des dents très pointues ainsi que les angles de leurs pattes.

 

Quand ils veulent du sang, ils mordent leurs victimes puis lèchent le sang qui s’écoule de la blessure. Et leurs têtes sont toujours inclinées vers leurs victimes. C’est un monstre horrible. Puis sort des fougères une bête vraiment effrayante accompagnée de trois hommes. Ils ne disent pas un mot, mais ont l’air furieux de nous voir sur leur terre.

 

Le capitaine essaye de communiquer par des gestes, mais sans succès. Ces indigènes ont plutôt l’air d’apprécier le crane rasé du capitaine Sans-Cheveux. Ils commencent à toucher son crane nu d’où son nom. Le capitaine, lui, a l’air d’apprécier leurs fous-rire. Il les traite de forbans, flibustiers, pirates, boucaniers et autres gueux de mer. A ce moment la, la bête féroce que tiennent les hommes commence à baver sur leurs pieds.

Après un long échange de gestes, ces hommes nous font traverser un vaste et sombre foret emplit de fruits pourris et de toutes sortes d’insectes.

 

Soudain nous apercevons de drôles de silhouettes : ce sont des hommes, des femmes et des enfants au teint sombre et pale. Ils ont des cheveux gras coiffés d’étranges façons. Ils portent des bijoux à leurs nez et oreilles et des pierres précieuses qui brillent de mille couleurs sur leur cou.

Leurs maisons sont faites de pailles. Au loin nous pouvons apercevoir un statut d’argile représentant le Roi Sogeking entouré de petits nains faites de terres, avec un air émerveillé.

 

Ils sont très nombreux sur leur territoire avec, au milieu d’eux, un vieillard barbu et au visage pacifique. Sur un geste de sa main, l’homme et chef de la tribu, nous invite à sa rencontre et nous offre l’hospitalité.

 

Le chef du village nous invite tous par les gestes à prendre place dans leur cercle et à participer à leurs repas. Nous mangeons des fruits parfois salés, sucrés et amères et dont les saveurs nous sont familiers et étrangers en même temps.  Les hommes semblent apprécier ces nourritures nouvelles pour eux et en abusent en grande quantité.

 

Pendant ce temps, les femmes, à l’écart s’affairent à soigner les hommes malades du voyage. Pas de médicaments ou d’ustensiles, mais seulement des pommades et des potions fabriquées avec les plantes de l’ile et les mains des femmes pour masser.

 

Au lever du jour, le capitaine part en exploration pour découvrir l’étendue de cette terre accompagnés de quelques indigènes. Ils sont armés d’épieux pour se défendre des bêtes sauvages. Moi je décide d’observer ces indigènes dans leurs travaux quotidiens. Ils se résument à la culture des graines, des arbres, et à l’élevage des animaux. Ils profitent d’un avantage certains sur nous, ils les pratiquent en toute saison car le temps, Soleil ou pluie, s’y prête agréablement. Ils peuvent cultiver à loisirs, ces terrains empruntés à la foret dense.

 

Leurs demeures sont de simples huttes en paille. Elles sont protégées par les feuillages des grands arbres comme la pigmentation de la peau de leurs occupants. La seule chose qui éclaire leurs maisons, ce sont ces trous au mur qui permettent de laisser filtrer la lumière du Soleil. Ils savent pourtant utiliser le feu mais n’en font pas usage par crainte de mettre le feu à leurs propres habitations et à la foret qui les nourrit.

Il faut surtout les voir se jeter leurs corps à la mer et se confondre aux poissons géants dont ils imitent à perfection leurs cris. Mais si tôt revenus à terre, ils deviennent tour à tour des oiseaux ou animaux en utilisant les langages pour communiquer avec les seules races qui entourent et prisonnières comme eux sur cette ile.

 

Les enfants sont abandonnés à leurs sorts durant la journée. Ni les hommes, ni les femmes ne s’occupent d’eux.  Les femmes, elles font la cueillette des plantes et des racines utilisées pour la préparation des crèmes et potions médicinales. Il leur prend souvent l’idée de chanter et de danser (sorte de prières). Devant la hutte du chef, qu’elles considèrent comme supérieur aux autres, un peu comme le Dieu du village. A la tombée de la nuit, le repas englouti, chacun se réfugie vers les rêves du lit.

 

Mes rêves se soir iront vers les coffres remplis de pierres précieuses et des sacs de graines que nous ont donné ces indigènes pour nous remercier de nos cadeaux et pour prouver notre amitié nouvelle. Mes rêves iront aussi vers le capitaine Sans-Cheveu tué par les bêtes de la foret. Tout l’équipage remonte à bord avec tristesse pour préparer le départ. A l’image de chacun je regagne le bateau en priant que demain je m’éveille à nouveau en sursaut.

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Avec toi @Mūgiwara on a droit à une autre manière d'aborder le récit, tout en reprenant le monde de One Piece.

Déjà l'utilisation de la première personne, c'est un choix. Au début ça me fait bizarre, mais après  on arrive à s'y faire. J'ai remarqué que dans ce chapitre, tu as évité les dialogues. Je ne sais pas si tu comptes en faire, mais c'est vrai que tu aurais pu en mettre, tu en avais les occasions. 

Même s'il n'y a pas de discussions directes, tu as réussi à imposer un rythme soutenu, rien qu'avec la narration. On avance très vite dans l'histoire. Dans le monde des pirates, on commence de manière banale, avec un jeune aventurier pro en navigation. Il rejoint un équipage mais est-ce qu'il en fera partie tout au long de l'histoire, je n'en suis pas certain, j'ai même envie de dire que non.

 

Un point qui m'a embêté, serait la mort brusque de Sans-Cheveux. Tu l'avais très bien introduit, pour qu'il se fasse emporter par une bête de l'île. C'est si soudain et annoncé comme un événements banal, que j'ai cru à une erreur. ^^'

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@ bloody pulp,

 

Merci d’avoir lu ce premier chapitre ! ;)

 

En effet pour le moment, il s’agit d’un récit d’aventure, vécu par Woodes dans son rêve, donc rien n’est vrai, c’est pourquoi à la fin du récit je précisé bien "en priant que demain je m’éveille à nouveau en sursaut", pour montrer qu’il a rêvé. Donc pour le moment Sans-Cheveux n’est pas mort…

 

Sinon effectivement, je compte bien me servir des dialogues pour les chapitres à venir, et développé davantage les différents changements que le monde a connu après la découverte du One Piece par les Mugiwara.

 

En réalité ce premier chapitre est un simple rêve du jeune Woodes avant son départ sur les mers.  :)

 

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AHHH !!! D'accord !!!

 

Bah tu vois, je ne l'avais pas compris. Bon peut-être que le prochain chapitre le montrera clairement, mais la chute à la fin de ce premier chapitre n'est pas visible. Quand il se réveille en sursaut, on ne fait pas forcément attention que ce qu'il a vu jusque là était un rêve. Par contre ça explique cette manière distante avec les personnages pour l'instant, comme dans un songe.

Il y a juste la chute qui n'est pas facile à saisir.

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