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Doodz

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  1. Hé bien, ça fait déjà un peu plus deux mois que je n'étais pas revenue sur le forum pour commenter les événements du manga mais il faut dire que la qualité des derniers chapitres de Mashima était vraiment discutable. Heureusement, notre ami troll a su me remettre dans le bain grâce à ce double-chapitre qui, malgré une absence totale d' "enjeux" crédibles, importants & d'actions épiques, doit son appréciation à son humour infaillible & bien rôdé. Les points positifs : • Une volonté assumée d'exploiter les personnages secondaires/tertiaires. Si on pouvait observer un début prometteur de valorisation avec la mise en avant de Bisca dans les scans précédents, l'initiative est clairement poussée dans ces deux chapitres avec le focus des Raijins (sans Laxus !) et la coopération surprise d'Ichiya, développant par la même occasion les relations entre ces personnages et faisant réapparaître des pouvoirs portés disparus depuis au moins l'arc Battle of Fairy Tail avec, par exemple, la magie liée à l'utilisation des yeux ou encore la transformation de Freed (quand je parle de "disparition", je résume uniquement au format papier, même si je n'ai pas souvenir d'avoir revu ces types de magie dans l'anime récemment). • Un retrait plutôt inédit des personnages principaux : Erza out & Wendy qui lui sert de "béquille", Natsu se contentant de 2-3 bulles de dialogue, Gray n'interagissant seulement qu'en équipe (et même pas avec la team habituelle qui plus est!) ou encore cette rapide ellipse sur Lucy & Cana qui n'aboutit même pas un combat... Nos protagonistes n'étaient manifestement pas les acteurs principaux de ce double-chapitre & se limitent même à une apparition brève sur quelques cases. Je salue avec ferveur la décision qui apporte un peu de fraîcheur et de cohérence à cet arc qui se veut être l'apogée du manga & qui se doit donc de gérer au mieux son univers, quitter à faire l'impasse sur nos héros pour faire briller d'autres personnages. • Les ressorts comiques liés de près ou de prou à Ichiya: l'apparition troll, le trop gros nombre de faiblesses qui perturbe le système du robot, etc... À défaut d'une force physique écrasante ou d'un pouvoir élémentaire redoutable, notre laideron au brushing impeccable a le flaire pour transformer toute situation un tant soit peu périlleuse en farce guignolesque & ça, ça vaut bien toutes les armures d'Erza. Car oui, l'humour peut bien causer des ravages insoupçonnés Les points négatifs : - Des idées foireuses qui desservent les intérêts de cet arc : 1). Le combat Gray/Juvia/Strauss contre les soldats de Badd T.T Genre ça leur a pris autant de temps pour considérer l'idée d'intervertir les ennemis selon la concordance et l'efficacité de leurs magies respectives ? O.-' Puis ça vous paraît pas débile le mec qui crée des robots selon un algorithme prenant en compte les faiblesses de ses opposants mais qui oublie d'intégrer dans ses calculs la possibilité que ces derniers puissent s'arranger en s'échangeant les soldats entre eux ? C'est absolument con, y a pas d'autre mot , paye ta crédibilité de bouclier de Zeref ! Y a de quoi avoir le Badd (BADDumtss!) 2). Brandish qui se fait avoir à cause... D'une allergie au pollen... Voilà, voilà. - Tout ceci me permet de d'exposer le deuxième point négatif de ces chapitres & de ce début d'arc en général : l'absence d'une aura menaçante entourant ces Spriggans. Sur les 3-4 derniers chapitres, on a pu constater qu'ils ont été assez malmenés, voire ridiculisés, & ça la fout plutôt mal quand on sait qu'ils sont sûrement les derniers obstacles avant l'ultime confrontation face à Zeref. Pour l'instant il y a beaucoup trop de légèreté et de frivolité dans cette guerre de continents, ce qui ne corrobore pas du tout avec la présentation que Mashima nous avait dépeinte des Spriggans. Tout se règle à coups de solutions improbables et décousues qui ne font pas avancer l'action. Ah et ouais, au milieu on nous balance une éventuelle petite révélation qui dépoussière un vieux mystère. Mortel. Bien sûr je ne veux pas démonter cet arc, sachant qu'il n'en est qu'à ses prémices, mais force est de constater que pour l'instant ça ne sent pas bon et seul ce double-chapitre a su réoxygéner ma lecture. Pression éditoriale ? Manque d'inspiration ? Baisse de régime ? Mashima est capable du meilleur comme du pire, espérons qu'il sache rebondir dans l'écriture de cet arc. Je vais finir cette petite critique en attribuant malgré tout une mention "Bon chapitre" (plus par encouragement que réelle évaluation) & en souhaitant un bel affrontement Raijin/Ichiya pour la semaine prochaine.
  2. Nous sommes enfin plongés au cœur de la bataille avec cet assaut inopiné mené par Ajeel ! Rapide et fidèle à son titre de Fée Tacticienne, Mavis prend les devants et engage directement la riposte. J’ai beaucoup apprécié l’exposition inattendue de certains personnages tertiaires dans ce chapitre, à l’instar de Bisca, Freed ou encore Warren Il était évident que nos DS allaient faire un atterrissage fracassant sur le navire d’Ajeel mais j’ai trouvé le gag du mal des transports légèrement téléphoné et plutôt surprenant de la part de Mavis : sachant qu’aucun détail ne lui échappe, la faute m’a paru vraiment grossière… Malgré ce couac, j’ai esquissé un petit sourire Les pages se sont enchaînées à vive allure et bien que leur découpage a su rendre hommage aux diverses explosions et autres dommages infligés à foison, le contenu reste assez pauvre. Je suis quand même très enthousiaste à l’idée de revoir Erza combattre, je l’espère, sérieusement puisque ses derniers affrontements de l’arc Tartaros m’avaient laissée sur ma faim. Bon chapitre.
  3. Je crois qu’on est tous d’accord pour dire que le scan de cette semaine est indéniablement excellent. Bien au-delà de l’aspect jubilatoire de la scène romantique du “Zervis” qui m’a fait apparaître des ailes dans le dos et des étoiles dans les yeux, j’ai trouvé ce chapitre rafraîchissant et dense en révélations. ○ La romance impossible entre Mavis et Zeref qui apparaît comme un fil conducteur dans l'histoire de Fairy Tail. Alors certes, l’idée peut paraître clichée mais je la trouve néanmoins beaucoup plus intéressante qu’une simple et shônenesque rivalité manichéenne avec le vilain-très méchant-qui veut tout détruire-arghhh urghhh et la gentille héroïne qui désire préserver le monde. Nos deux personnages sont touchés par une double malédiction : celle d’être immortels et de causer la mort des gens qu’ils aiment autour d’eux. Et alors qu’ils pensaient pouvoir affronter cette terrible épreuve ensemble, voilà que notre chère fée meurt suite à l’échange d’un magnifique baiser avec son bien-aimé. La chute émotionnelle fut tellement fracassante ! Je ne m’attendais pas à une telle fin de chapitre ! Toute cette détresse et cette sincérité… C’était fort et très émouvant Mashima prouve qu’il sait construire de belles relations qui sont bien plus développés qu’un stupide amour à sens unique ou qu’un fétide pseudo-syndrome de Stockholm sans vouloir qui que ce soit hum hum ○ La forte symbolique familiale suscité par l’accouchement de Rita Dreyar. Je crois que c’est vraiment la première fois qu’on peut interpréter les valeurs fairytailiennes de communion et d’amour dans leur sens le plus littéral. Un accouchement au sein même de la guilde, entouré du maître et de ses membres ! Je crois qu’on ne peut pas faire plus emblématique ! Makarov est quand même le premier bébé de la guilde ! Voir le regard de Mavis briller devant l’accomplissement de son rêve le plus précieux était extrêmement gratifiant, même si celui-ci est vite retombé comme un soufflet suite au décès de Rita. Même si j’aurais aimé avoir plus de détails sur sa rencontre avec Yuri, j’ai énormément apprécié la brève présence de Rita dans ce chapitre. Non seulement c’est la première femme Dreyar du manga mais son physique m’a également beaucoup rappelé Layla Heartfilia. J’espère qu’on connaîtra l’identité de l’épouse de Makarov et de la mère de Luxus dans un futur proche. ○ Le personnage de Purehito et ses remarques accidentellement drôles. Il y a un tel fossé entre l’homme qu’il était à Fairy Tail et l’alter-ego Hadès de Grimoire Heart ! Ses petites interventions légèrement égocentriques et extravagantes (le tout énoncé dans un ton très sérieux) le rendent plus attachant et identifiable qu’un Warrod Seeken. Si je peux à peu près me figurer les réactions de Yuri et Warrod suite à la disparition de Mavis, celle de Purehito est plus floue. S’il s’avère que la mort de Mavis l’a conduit à rejoindre les rangs du côté obscur de la Force dans le but de pouvoir peut-être la venger et la ranimer, alors mon affection pour ce personnage ne pourra que s’accroître. Well done Mashi \0/ J’ai bon espoir que le prochain chapitre sera d’aussi bon cru !
  4. Doodz

    Charlotte [P.A Works/Key/Aniplex]

    Wow boy, that really escalated quickly… Connaissant le travail de Maeda, on se doutait bien que l’anime prendrait une tournure dramatique tôt ou tard mais je dois avouer que l’épisode 6 m’a vraiment prise de cours avec la “mort” (tant que je n’ai pas vu de cadavre, je resterai suspicieuse) brutale d’Ayumi… Tout ça à cause d’un petit connard de stalkeur et d’une yandere insomniaque è.é Pour l’instant, seule Yusa peut nous éclairer sur le sort d’Ayu. Si les prochains épisodes nous montrent une quelconque forme de possession alors il ne nous restera plus qu’à faire notre deuil nous aussi u.u Je suis contente de ne pas être la seule à m’être horrifiée des premières minutes extrêmement maladroites de l’épisode 7 : il y a l’art et la manière d’annoncer un décès et apprendre la nouvelle dès son réveil à l’hôpital n’est pas franchement du meilleur acabit. Malgré tout, ça reste l’introduction la plus cohérente pour cet épisode qui suit la descente aux Enfers de Yuu à travers les phases progressives du chagrin, de la douleur et de la folie. Il faut avouer que le personnage devenait de plus en plus effrayant et menaçant au fur et à mesure de son retranchement dans l’isolement et l’agressivité. Je me suis demandée s’il n’allait pas définitivement finir sociopathe avec son utilisation très personnelle et “atypique” des bâtons de dango, mais c’était sans compter sur l’amie Nao qui veillait depuis le début sur le jeune homme et s’est chargée de le remettre sur le droit chemin en le confrontant frontalement et sans pincettes. Ces trois derniers épisodes étaient d’excellente facture et j’avoue avoir eu les larmes aux yeux lorsque Nao a ouvert le livre de recettes en expliquant pourquoi Ayu s’efforçait autant à réussir sa sauce pizza en la reproduisant chaque jour Bravo Maeda, mon cœur a fondu comme neige au soleil ;-; Sept épisodes déjà et d’autant plus de questions : Allons-nous enfin voir ces fameux scientifiques et leurs expériences sur les ESpers ? Qui est cette jeune femme rousse que nous avons aperçue récemment ? Quels mystères entourent le personnage du “chercheur” ? Reverrons-nous l’inconnu apparu dans le rêve de Yuu et apprendrons-nous en plus sur lui (premier épisode) ? Est-ce que le frère de Nao réapparaîtra dans l’histoire ? Ayu vivante ou décédée ? La santé mentale de Yuu m’intrigue également : auparavant le personnage avait un total contrôle sur ses actions et son image mais depuis sa rencontre avec les autres ESpers, la découverte des dangers qui pèsent sur sa personne et la perte de sa sœur, on sent qu’il se laisse immerger par les événements et qu’il développe une personnalité plus sombre et détachée. Je n’irai pas jusqu’à la comparer à de la bipolarité ou un début d’ambivalence mais cette noirceur naissante est renforcée par la nature de son pouvoir qui lui permet de disposer du corps d’autrui et la dépression dans laquelle il se trouve actuellement. Je pense qu’à l’avenir, il est possible qu’il puisse prendre des risques de plus en plus inconsidérés, voire suicidaires (l’image de l’opening où on le voit lui et Tomori tomber en chute libre me fait penser à une certaine forme d’ « appel du vide »). Vivement les prochains épisodes qui, j’espère, apporteront de plus amples informations et d’autres références cachées aux précédentes œuvres de Maeda.
  5. Doodz

    Fairy Tail Chapitre 449

    Un très bon chapitre cette semaine qui relie les événements de Fairy Tail Zero avec la timeline actuelle du manga. Je suis toute aussi surprise de constater que Mavis a été frappée par la même malédiction que Zeref. Les deux personnages, qui présentaient jusqu’à présent une dichotomie nettement distincte et classique, se retrouvent à partager le même fardeau suite à l’utilisation commune de magie noire. Ce fléau, selon mon avis purement subjectif, sublime paradoxalement la relation entre les deux mages en lui insufflant une destinée tragique digne des grandes romances shakespeariennes. Il semble désormais clair que le manichéisme a laissé place vacante à l’empathie suite à la lecture de chapitre (bien que j’attende le 410 pour découvrir si la pénitence de Mavis a eu des répercussions aussi lourdes que celle de Zeref. Imaginer que Yuri puisse être mort indirectement à cause de notre Fée Tacticienne me file des frissons de nervosité. L’idée est sinistre mais très intéressante). J’ai adoré les pages qui nous ont montré le talent stratégique, presque intuitif, de Mavis sur les champs de bataille ; je viens à penser que la ville de Magnolia, ou même Crocus, aurait pu lui ériger une statue honorifique pour toutes ces victoires auxquelles elle a contribué. Concernant Ankhseram il me paraît pas illusoire de penser qu'il pourrait s'agir du futur gros antagoniste qui marquerait le point final de ce manga. J'imagine bien Mavis et Zeref enterrer la hache de guerre en commettant un sacrifice collectif qui annihilerait ce dieu et empêcherait la mort de l'humanité et, plus particulièrement, celle de Natsu. Comme une dernière preuve d'amour, celui à l'origine de la Protomagie... Vivement le prochain chapitre qu’on puisse apercevoir la petite famille de Yuri ~
  6. J’ai trouvé le chapitre de cette semaine assez moyen mais pas insignifiant non plus. Disons que la dernière partie avec Mavis a su relevé l’intérêt que j’ai porté à la lecture de ce scan. Les points positifs : ○ Un chapitre de transition marqué par l’habituelle atmosphère enjouée et survoltée de la guilde. Les gags et les tropes sont toujours les mêmes, rien de bien nouveau, même si l’auteur dissémine quelques brèves informations par-ci et là : la nature sous-entendue du travail des Raijins effectué lors de leur séjour à Blue Pegasus (boulot qui semblait, de ce fait, très embarrassant pour notre Luxus), Mest qui mentionne la réaction mécontente de Sorano après leur départ précipité pour la guilde, Mirajane qui veut montrer les fruits de son année d’entraînement , Max et son sempiternel balai dans le cul, Lucy qui boit sous l’impulsion de Cana et son monologue intérieur dont le phrasé prophétique ne laisse présager aucun avenir radieux pour Fairy Tail. Ces chapitres de beuverie ont un rouage déjà bien huilé mais ils demeurent toujours autant plaisants à lire et à analyser, ne serait-ce que pour les interactions entre les personnages. ○ Le petit speech combatif de Makarov, indispensable avant chaque grande guerre. Comme l’a justement fait remarquer un lecteur avant moi, on note une petite variante dans ce discours avec des propos qui prônent aussi bien la nécessité de survivre que les traditionnelles valeurs de la guilde. ○ L’intervention fortuite de Mavis qui vient teaser le prochain chapitre dans la plus grande des frénésies. C’est sans contexte l’unique point fort de ce chapitre et rien de plus judicieux pour Mashima que de le placer en cliffhanger. Reste à savoir si cette histoire de malédiction ne touche que l’apparence/ l’immortalité de Mavis ou Zeref ou si elle sera plus poussée que ça. De nombreux éléments de la théorie de Nina étaient extrêmement pertinents, j’espère en retrouver au moins un ou deux dans l'intrigue énigmatique qui lie ces deux personnages. Les points négatifs : - Makarov réélu maître de guilde pour la 3ème fois, ce qui ferait presque passer le règne d’Elisabeth II pour une vaste blague. Ça en devient triste de formuler de tels souhaits mais j’espère VRAIMENT qu’il va clamser dans cet arc. C’est plus possible Papy sois réaliste, laisse ta place aux jeunes, ils ont évolué eux-aussi et sont tous aussi forts que toi si ce n’est plus u.u - Le nombre de personnages randoms qui viennent squatter les rangs de la guilde. Je veux bien que l’auteur remplisse ses cases mais avec une révélation aussi intime et majeure que celle que va nous divulguer Mavis, je trouve leur présence un peu malvenue quand même.
  7. Doodz

    God Eater [Ufotable]

    J’ai visionné les trois derniers épisodes et autant l’épisode 4 m’a relativement peu marquée (même si l’introduction avec les scientifiques reste un élément intéressant quant aux questions que suscitent l’origine de ces monstres et leur présence dans cet univers), autant je suis restée scotchée devant l’épisode 5 (et plus particulièrement les dix dernières minutes de combat contre le Vajra Noir) qui était d’une riche violence et intensité. J’avais peur que cet affrontement s’achève dans une effusion de sang et de tripes exacerbée mais la décélération progressive du rythme et la quiétude dégagée par la magnifique OST ont contribué à rééquilibrer l’apport émotionnel de l’épisode en étayant le désespoir et l’impuissance de nos héros face à l’ennemi. J’ai eu un pincement au cœur pour Sakuya qui ne parvient même pas à se faire obéir de ses recrues qui auraient pourtant été fortement avisés de suivre ses ordres. Espérons que cette expérience les rendra plus disciplinés et moins imbus d’eux-mêmes.
  8. Doodz

    SnK chapitre 72

    SnK chapitre 72 en une image : Plaisanterie à part, c'est un très bon chapitre transitionnel que nous offre ce mois d’août, placé sous le signe de la mélancolie, de l’humour, de l’espérance mais également des grandes décisions qui vont conduire à la reconquête du Mur Maria. Étude du chapitre point par point : • L’expédition au cœur des territoires inconnus et occupés par les Titans est redevenue une mission envisageable et éventuellement prioritaire pour le Bataillon d’Exploration. Les dernières révélations apportées par l’Inspecteur Shadis sur Grisha Jaeger avec l’intérêt profond de ce dernier pour les idées défendues par le Bataillon d’Exploration et les citoyens de cette société cloîtrée, les événements liés à la famille Reiss et les spéculations d’Erwin sur les secrets que pourrait refermer la cave des Jaeger progressent à faire rediriger l’intrigue vers des enjeux extérieurs aux Murs (ou du moins extérieurs à la zone encore sécurisée et civilisée du Mur Rose), des affrontements directs, des pertes et de l’action après une trame narrative marquée par les stratégies diplomatiques et politiques. Après avoir découvert les mystères intra-muros, nous voilà de retour auprès de nos premiers amours : les excursions de reconnaissance en pleine nature et en terrain hostile. • Cette transition me permet d’évoquer un élément essentiel à la construction de ce chapitre : la scène du festin et les interactions imprégnées d’une forte nostalgie entre les personnages. Que ce soit dû à la présence de viande durant ce repas, les réactions folles et cocasses d’une Sasha affamée qui fait ressurgir son surnom de Potato Girl et l’oblige à se retrouver ligotée (et qui rappelle, par la même occasion, à Eren ses camarades décédés ainsi que sa première confrontation face au Titan Colossal), Marlo qui se prend une bonne mandale à lui faire pisser le sang, les provocations musclées entre Eren et Jean ou encore la correction de Levi, tout est illustré de sorte à nous rappeler les souvenirs drôles, agréables ou douloureux qu’ont vécu nos héros alors qu’ils n’étaient que des jeunes recrues de la 104ème Brigade d’entraînement. Ce sentiment est d’autant plus renforcé par l’aparté du trio original de Shiganshina qui discute de leurs vieux rêves d’évasion et des paysages merveilleux, divers et variés qui les attendent au-delà des murs. Désir d’exode qui fait bien évidemment écho aux confessions partagées entre Farlan, Isabel et Levi qui se retrouve, malgré lui, témoin de la conversation entre Mikasa, Eren et Armin. Sans parler de l’apparition du soldat de la Garnison en second plan qui, avec le contexte situationnel, nous évoque explicitement Hannes. C’est comme si l’auteur nous conviait à échanger un dernier moment d’intimité, de calme et de “complicité” avec les personnages avant la grande reconquête du Mur Maria qui s’accompagnera certainement de la mort de certains d’entre eux. • L’opération de reprise du Mur commence dès le lendemain et les premières planches qui la présentent sont silencieuses, concentrant toute l’attention du lecteur sur les détails des dessins et la place qu’occupent les cases : la mission est grave, importante, de grande ampleur : nos héros n’ont pas le droit à l’erreur. L’expédition rappelle par ses traits et sa portée celle menée durant l’arc du Titan Féminin (première à laquelle Eren a participé en tant que membre du Bataillon d’Exploration) : les visages fermés et déterminés des personnages, la nécessité de réussir et de ne pas décevoir… Seul un petit changement vient différencier cette expédition de son aînée : le support général et euphorique des citoyens qui vient toucher en plein cœur la ferveur des soldats et surprendre un Erwin plus impliqué que jamais, malgré son handicap. Si les membres du Bataillon semblent prêts à vouloir en découdre, ils ne sont pas seuls et devront s’attendre à des retrouvailles piquantes au cours de leur périple… Cet arc s’annonce vraiment explosif si l’on se réfère aux différentes directions prises par Isayama jusqu’ici. Certains adieux ne sont pas inconcevables par ailleurs (je pense notamment à Marlo, les nouveaux soldats présentés dans ce chapitre… Est-ce que l’auteur songera à tuer un ou plusieurs personnages principaux ? Erwin ? Connie ? Jean ? Sasha ?). Peaceful times are gone... Préparons les mouchoirs :'(
  9. Bon ben on a de quoi se faire une bonne petite saison automnale avec toutes ces sorties Pour ma part, je me prévois de regarder : • One Punch Man (j’adore le manga tout simplement et j’espère sincèrement que l’anime saura retranscrire son humour si absurde et particulier. Puis les graphismes ont l’air d’envoyer du lourd). • Young Black Jack (parce que son auteur est le légendaire Tezuka et que j’ai entendu tellement d’éloges à propos de l'oeuvre originale. J’essaierai de la lire en parallèle du visionnage de l’anime). • Haikyuu (comme ça, ça me motivera à bingewatcher la saison 1 et ça casera un anime sport dans mon programme). • K (parce que Yata ♥ ). • Kowabon (Avec Halloween à l’horizon, ce sera la saison idéale pour se mater un bon anime d’horreur. L’affiche teaser est hypnotisante, intriguante et le sypnosis semble nous diriger vers un scénario dystopique, en soit des éléments qui ne me laissent pas insensible). • Subete ga F ni Naru : The Perfect Insider (je ne connaissais pas le light novel mais en me renseignant dessus, j’ai appris que ce dernier avait gagné le prix Mephisto du genre fiction en 1996 et qu’il a été adapté en un manga one-shot en 2002, prépublié par Genstosha dans le magazine Comic BIRZ, ainsi qu'en drama en 2014. L’histoire de ce thriller me paraît très intéressante). Et je rajoute l’adaptation de Shingeki! Kyojin chūgakkō (Attack on Titan : Junior High), spin-off parodique d’SnK, courant octobre 2015
  10. La flemme a de beaux jours devant elle et un nom : HIRO MASHIMA Non mais sérieux c'est quoi cette coupe ?!! xDD On dirait un Vegeta low cost qui s'est peigné avec un pétard ! Sinon j'ai encore voté très bon pour ce chapitre qui se résume aux grandes retrouvailles entre Makarov et ses "enfants". Le retour de Luxus était badass et sexy as hell ! Son PU est amplement justifié je trouve, c’est un personnage qui nous a toujours prouvé qu’il ne faisait pas de figuration dans ce manga et qu’il s’imposait comme un redoutable mage malgré son statut de “faux” DS. Gorgeoux Dreyar n’est pas là pour enfiler des perles, oh no, et j’espère bien qu’à l’issu de cet arc, on reconsidérera son probable statut de maître de FT Ça fait plaisir de revoir tout le monde, ainsi que les “éphèbes” de Blue Pegasus, même si j’aurais bien voulu voir la team B un peu plus exposée avant la réunion de guilde u.u Tahiti Bob Ajeel n’est pas un petit rigolo, malgré le fait qu’il se soit laissé surprendre par le punch de Natsu, et sa dernière tirade m’intrigue énormément sur la puissance des Spriggan. J’ai hâte de voir Orgast combattre sérieusement car qui dit vieil homme dans un manga, dit adversaire de qualité Bref, l’insurrection va se mettre en route dès le prochain chapitre et ça c'est bon !
  11. Doodz

    God Eater [Ufotable]

    J’ai regardé les épisodes 2 et 3 cette semaine et je dois dire que j’ai plutôt été satisfaite. Ces 48 minutes de visionnage ont été totalement marquées par le dynamisme des combats, même si certaines scènes d’actions paraissaient extrêmement surfaites par le côté trop léché de leur esthétique et les nombreuses facilités de mises en scène. Néanmoins, ces aspects ont pour eux l’avantage de nous montrer la puissance des God Arc et ce qui différencie les Old-Types des New-Types (à savoir “dévorer” un Aragami pour recharger les munitions de son arme). L’épisode 3 nous introduit le personnage d’Alisa Illinichina Amiella (paye ton blaze) qui, sous ses airs hautains et inhospitaliers au possible, affiche une vive aisance à l’affrontement et un sang-froid tenace. Si la production décide d’adapter fidèlement son histoire, cela pourrait s’avérer très intéressant pour la suite ; auquel cas, on se contentera des rapports de rivalité entre elle et Lenka. Les OST électro ne m’ont pas trop dérangée (j’avouerais même qu’une des musiques utilisées vers la fin de l’épisode 2 m’a particulièrement plu), ce qui n’est pas le cas des flash-backs incessants qui sont survenus à chaque milieu d’épisode. Je saisis leur importance dans l’histoire mais j’espère qu'ils seront, à l'avenir, moins fouillis et intempestifs.
  12. OMG JE SUIS JOUASSE *Q* Merci de ton partage ! Je suis littéralement impressionnée par le travail de recherche de cette jeune fille, sa théorie relie et explique à merveille tous les mystères du manga ! Si elle outrepasse le stade de simple supposition, Mashima aura prouvé tout simplement qu'il sait maîtriser son scénario et qu'il est le Seigneur Ultime des Trolls *.* Concernant le chapitre, je l'ai trouvé bon mais pas folichon. Makarov pleure son échec diplomatique mais c'était prévisible venant de la part du Mage Noir. Néanmoins, il s'en tire pas mal : il est vivant et retrouve les membres les plus aguerris de Fairy Tail. Reste à se débarrasser du marchand de sable jamaïcain, réunir la guilde et mettre au point un solide plan d'attaque. J'ai beaucoup apprécié l'exposition de Gray et Lucy dans ce chapitre Hormis la classe folle qui se dégage de leur design, assister à une mise en bouche de leurs nouveaux pouvoirs était juste un régal pour les yeux. La magie de Devil Slayer, en plus d'être un touchant hommage envers son père, permet à Gray de modeler sa glace à l'infini et d'infliger des dégâts sur une plus large étendue, tout en conservant ce petit look aizenesque qui lui sied bien Lucy, quant à elle, brille comme actrice principale de ses combats, montre des capacités badass as hell et se détache enfin du rôle de demoiselle en détresse qui lui collait à la peau depuis trop longtemps. GG Mashima !
  13. Un agréable dernier chapitre qui clôture cette série dans une aura paisible, familiale et optimiste, précurseuse de l’environnement dans lequel évolueront les futures générations de la guilde. Auparavant, je pensais que Zeref était lié d’une façon ou d’une autre au nom de Fairy Tail mais je dois avouer que je préfère la version officielle de Mavis, qui conserve l’aspect énigmatique et onirique propre à l’appellation d’origine. Clin d’œil sympathique à Phantom Lord dans ce chapitre avec l’apparition surprise de José. À l’instar de vous tous, je suis assez confuse concernant la mort prématurée de Yuri (qui aura rendu Makarov orphelin de père à un très jeune âge), je m’attendais à ce qu’on voit, pour une fois dans ce manga, une épouse Dreyar mais, hélas, Mashima ne semble pas encore décidé à nous dévoiler les figures féminines de cette emblématique famille. En observant les détails de la frise chronologique, on remarque nettement qu’une fracture s’est profilée entre les membres originels de la guilde à la suite des décès de Mavis et Yuri. Warrod est-il parti parce qu’il ne supportait pas la perte de ses amis ou parce que l’attrait croissant de Purehito pour la magie noire commençait à l’inquiéter ? Il demeure encore de nombreuses zones d’ombre à éclaircir, preuve que l’auteur n’est pas encore prêt à raccrocher la plume de son conte de fées.
  14. Doodz

    Gangsta [Manglobe]

    Ces épisodes 3 et 4 nous donnent un bref aperçu du passé de Worick et Nicolas, tous deux étroitement liés par la force du destin. Worick était donc le jeune héritier d’une famille d’aristocrates et exprimait déjà de grandes aptitudes de mémorisation rappelant presque l’hyperthymésie à ce niveau. On remarque que c’est un jeune homme renfermé et farouche qui semble souffrir de solitude, d’ennui et surtout des rumeurs qui touchent les nombreuses conquêtes de son adultère de père. Nicolas, quant à lui, a été engagé par la famille Arcangelo pour chaperonner leur fils unique, avant de devenir un allié et ami fidèle, et subit parallèlement la maltraitance de ses collègues de travail. Si leur mutisme respectif ne leur permet pas de copiner au premier abord, on devine grâce aux flash-backs qu’un certain événement va les amener fatalement à faire route ensemble. Nos deux acolytes affichent un statut légendaire au sein d’Ergastulum de par leur présence de longue date, leurs affiliations (Worick est quand même gigolo depuis ses 13-14 ans ! D’ailleurs, je trouve l’idée vraiment intéressante de montrer la profession du point de vue d’un homme l’exerçant), l’aide précieuse qu’ils représentent pour la police grâce à leurs extraordinaires capacités et le fait qu’ils aient réussi à s’en sortir ensemble et fonder leur propre “entreprise”. Ce “succès” est bien contrebalancé par le personnage d’Alex, qui représente l’exact opposé de nos deux compères, et je pense que c’est cette différence de parcours qui a conduit Worick à vouloir l’aider. Reste à savoir si elle connaîtra un meilleur avenir que cette mystérieuse Veronica, présentée dans l’épisode comme étant l’ancienne associée de Benriya. Le combat contre l’Indexé de type A/0 promet d’être grandiose. Je me demande s’il travaille seul ou pour le compte d’une tierce personne/organisation (genre l’énigmatique individu des premiers épisodes qui avait engagé le B/2). Mention honorable pour Worick qui m’a décroché plusieurs éclats de rires avec ses grimaces priceless.
  15. Doodz

    Charlotte [P.A Works/Key/Aniplex]

    Deux derniers épisodes de très bonne qualité Comme beaucoup d’entre vous, je ne m’attendais pas à ce qu’on aborde l’histoire funeste de Tomori aussi tôt mais celle-ci est traitée de manière très juste, sans un côté larmoyant qui viendrait alourdir le tout de pathos. La mésaventure de Kazuki puis la récente "rencontre" avec Misa servent de lien entre les téléspectateurs et les personnages en illustrant les questions que nous nous posons : Comment se transmettent ces étranges habilités ? Touchent-elles tous les membres d’une même famille/fratrie ? Si oui, pourquoi Ayumi n’a-t-elle aucune habilité ? Pourquoi ces pouvoirs intéressent-ils tant les neurologues si ceux-ci disparaissent une fois l’âge adulte atteint ? Que comptent-ils faire en étudiant ces dons et peuvent-ils les extraire de leur propriétaire ? Pourquoi ces dons sont-ils si imparfaits ? L’humour était très présent grâce aux dommages des téléportations de Jōjirō et à l’habitude récurrente de Yū à briser le quatrième mur. J’ai beaucoup apprécié la confrontation tsunderienne entre Nao et Misa, ainsi que le plan mis en place pour effrayer le producteur qui menaçait Yusa. Je sens que cette dernière va prendre une place très importante au fil de l’intrigue , de par sa notoriété d’idol et la nature son pouvoir qui pourrait apporter son lot de révélations et de péripéties. J’adore l’opening et l’ending : les musiques sont belles et mélodieuses, l’animation superbe et imagée, il n’y a aucuns spoilers mais juste un petit clin d’œil subtil au Geass de Lelouch.
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