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Vous sentez-vous l'âme d'un poète ?


Invité Kuro
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Comme je n'ai pas vu d'autres topics du genre je me suis dit qu'on pouvait se créer celui là pour poster nos petits poèmes et en discuter..

 

Aller, j'ouvre le bal !  :D

 

Toi, petit ange de larmes et de souffrance,

Toi qui m'effraies par ton pesant silence,

Toi qui espère dans ta pesante détresse,

Que la Mort te délivre par une carresse...

 

Je te vois sourire pour me rassurer,

Mais les miroirs de ton âme ne mentent pas,

Car les larmes coulent silencieusement en toi,

Et je souffre de ne pouvoir les sécher.

 

J'aimerai pouvoir t'ouvrir à la vie,

Déployer les ailes d'un nouvel espoir,

Pour qu'elles emportent tes pensées les plus noires

Et soignent par l'Amour ton âme désunie...

 

Tu n'es plus seule dans le noir et le froid,

Car quoi qu'il arrive je reste avec toi...

 

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Malheuresemnt, j'ai toujours été dans l'incapacité totale d'aligner 2 vers...et encore moins de respecter le nombre de pieds...

 

Tu peux faire de la prose !  :)

La poésie c'est pas seulement des pieds et des rimes !

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Aller, je sais que les ancienn(e)s du forum l'attendent, mon poème fait pour le concour de mister GF :

 

C'est ce jour là que mon coeur flamba

Mon coeur battait au rythme de ta voix

Tu etais le soleil de mon ciel

Ta peau etait aussi douce que du miel

 

Les sons de tes cordes etaient de la musique

Pour mes oreilles c'en etait symphonique

Tes levres avais le gout du paradis

Peut etre etait ce d'un ange dont je m'epris

 

Tu soufflas le vent qui embrasa ma vie

La flamme de ma vie se transforma en bougie

Mais dans peu de temps elle s'eteindra

Comme tout ce qui fut, et tout ce qui sera

 

Tu etais comme un chat sauvage

Et je ne voulais que te dompter

J'y ai mis tout mon coeur et ma rage

Mais je n'ai reussit qu'a te tuer

 

Maintenant je marche dans un desert

Je ne vois que toi dans des mirages

Je suis a jamais prisonnier d'une cage

Trop petite et etroite mais je m'y perds

 

Je te cherche depuis que tu n'es plus

Je ne veux plus etre aussi seul ca me tue

Je m'endors pleins de tourments

Je m'endors avec mon sang.

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voilà j'ai retrouvé un de mes poèmes. laissez vos impressions... (je suis ouverte aux pires critiques)

 

Dans la nuit obscure, à l'angle d'une rue,

Il observe le monde, et du monde n'est vu.

Son candide visage, pâle et marbré

Se cache dans l'ombre où il est condamné.

 

Son oeil malicieux, à l'angle d'une rue,

Guette, là, patiemment, la prochaine venue.

Elle est là, il la voit. Elle passe devant lui,

Alors il sort de l'ombre, doucement la suit.

 

Séduisant, en un sourire il l'a conquise,

Dans une révérance, lui baise la main,

puis enporte avec lui la vie de la marquise.

 

Dans la nuit obscure, la dévorant sans fin,

le seigneur de la nuit, à l'angle d'une rue,

Prend son repas mondain, et du monde n'est vu.

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  • 3 weeks later...

bon alors voilà, j'ai pas resiter à mettre ceci. ce n'est pas moi qui l'ai écrit bien sur, ce sont les paroles d'une chanson d'un groupe qui se nomme "Dolly". je voulais pas créer de topic dessus pour deux raisons : je n'aime que deux chansons de ce groupe, j'aurais rien eu à dire de plus et ensuite, je trouve que ces paroles sonnent plus comme un poême que comme une chanson.

la chanteuse parle de son état d'esprit le jour de sa mort. ça peut paraître morbide mais ça ne l'ai pas puisqu'elle exprime son envie de ne pas avoir de regret ( je crois que c'est notre envie à tous ). la musique est très belle aussi et se veut harmonieuse plutôt que triste...

 

je m'enfuit, rien ne peux gâcher mon bonheur

j'ai envie encore une heure, d'essayer d'oublier les heurts

 

je sens la vie, tout doucement quitter mes veinnes

c'est ainsi gardez vos fleurs, juste en avance de quelques leurts

peu m'importe les raisons, peu m'importe le poids de vos larmes

je vous précède de quelques drames, je voudrais juste partir seule

 

partir seule...

 

je m'enfuit, brulez les fardeaux qu'il me reste

c'est ici que l'on se presse, partagez l'amour que je laisse

vous effacez les erreurs, gommez les instant qui vous gêne

je vous laisse embéllissez-moi, mais laissez-moi juste partir seule

 

partir seule...

 

je m'enfuit, partir seule

je sens la vie, partir seule

 

je m'enfuit, rien ne peut gâcher mon bonheur

j'ai envie encore une heure, d'essayer d'oublier les heurts

partir seule...

 

je sens la vie, tout doucement quitter mes veinnes. 

 

voilà des paroles que j'aimerais pouvoir me dire quand mon heure aura sonnée, ça me touche beaucoup...si ça vous plaît je vous mettrais la deuxième qui parle d'un autre sujet et qui est quand même bien plus sombre ^^

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  • 1 month later...

Je marche seule sous les ténèbres de ce ciel sans étoiles,

Etendue sombre sans espoir, comparable a la toile,

Qui recouvre les sentiments qui faisaient vibrer mon âme...

Mais je m'y habitue et sens que plus rien ne peut ranimer ma flamme...

Depuis toujours chaque tentative reste vaine pour remonter la pente,

Car la peine et ma rage m'entrainent au fond du gouffre... Je me lamente,

Sur mon sort, et sens ma gorge se serrer, la haine me ronger, sans rien pouvoir y changer.

Alors je m'effondre et me meurt peu à peu dans le pale hiver de mon coeur gelé...

Je vois la Vie autour de moi s'écrouler, délaissant mon âme, ignorant mon être,

M'obligeant a m'isoler et faire semblant de disparaitre,

Je souris et dit que tout va bien tandis que je me renferme et sens l'étau

De l'oubli enserrer mon esprit pour que la folie me gagne bientôt...

 

Je marche seule au milieu de la plaine recouverte de neige immaculée

Entourée de silence, entourée de vide, enfin seule et libérée

De ces sentiments qui me rendait faible, de ces inepties et leurs chaines,

Enfin libéree de ce que l'on appelait amour, compassion et peine...

 

Je marche seule dans un desert de pierre sec et gris

La ou je cherche désesperement la paix pour mon esprit.

 

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Moi c'est pas vraiment un poème mais presque . Pour les gars qui veulent emballer les filles très sentimentales je vous le conseille ;D

 

Je voulais être poète

mais poète je ne pouvais pas l' être

car un poète pense beaucoup

alors que moi je ne pense qu'à toi !

 

 

Bon vous allez dire que c'est pourri mais bon je m'en suis souvenu en lisant vos poèmes.

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Un superbe poème que j'ai ecrit moi meme avec ma main se trouvant au bout de mon bras et mon esprit incroyable  8):-X et avec beaucoup de modestie !!

 

Chaque matin, elle est la

Je la regarde comme toujours

Elle me regarde d'un air las

Et je lui murmure bonjour

 

Sa soeur a ces cotées

Je ne peut m'empeché de la portée

Avec moi, elle n'est jamais maladroite

Ma jolie chaussure droite!

 

 

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nouveau poème    (clic clic clic claquement de doigts parceque les applaudissements c'est trop)

 

Pour une fois dans ma vie

Fou moi la paix !

Marre de cette tyrannie

Assez de toujours m'enerver

 

Et poutant tu me colle

T'est la; chaque jour que Dieu fait;

Meme quand je dit "ras le bol"

 

Alors cette fois c'en est trop

Bonjour les grasses matinées

J'ai mis le reveil dans l'frigo !

 

........promis le prochain sera serieux  :P

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Celui-ci provient d'une carte que j'ai reçue hier.

 

Un sourire ne coute rien

Et pourtant il n'a pas de prix

Il enrichit celui qui le reçoit

Sans appauvrir celui qui le donne

Et quoi qu'il ne dure qu'un instant,

On s'en souvient parfois toute une vie.

Personne n'es tassez riche pour s'en passer

Même les plus pauvres peuvent le posséder

Un sourire c'est le repos de l'âme fatiguée,

Un peu de réconfort pour l'être abattu,

Un rayon de soleil, hiver comme été,

Qui adoucit les coeurs attristés

Et parce qu'il n'a de valeur

Que lorsqu'il est donné,

Il ne peut ni s'acheter,

Ni se prêter, ni se voler

Si vous ne recevez pas le sourire que vous méritez

Soyez généreux, donnez le vôtre...

Nul en effet n'a autant besoin d'un sourire

Que celui qui ne sait pas en donner.

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un texte de Léo Ferré :

 

Des armes, des chouettes, des brillantes

Des qu'il faut nettoyer souvent pour le plaisir

Et qu'il faut carresser comme pour le plaisir

L'autre, celui qui fait rêver les communiantes

 

Des armes bleues comme la terre

Des qu'il faut se garder au chaud au fond de l'âme

Dans les yeux, dans le coeur, dans les bras d'une femme

Qu'on garde au fond de soi comme on garde un mystère

 

Des armes au secret des jours

Sous l'herbe, dans le ciel et puis dans l'écriture

des qui vous font rêver très tard dans les lectures

et qui mettent la poésie dans les discours

 

des armes, des armes, des armes

Et des poètes de service à la gâchette

Pour mettre le feu aux dernières cigarettes

Au bout d'un vers français... brillant comme une larme

 

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  • 2 months later...

Voila un topic sans grand succes mais tout de même trés interressant.

N'ayant pas l'ame d'un grand poète (juger vous même un peu plus haut) je vous met le poeme de Victor Hugo:

          -Demain des l'aube

 

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,

Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.

J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.

Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

 

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,

Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,

Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,

Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

 

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,

Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,

Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe

Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

 

-Et une petite poesie de Guillaume Apollinaire

          L' adieu.

 

J'ai cueilli ce brin de bruyère

L'automne est morte souviens-t'en

Nous ne nous verrons plus sur terre

Odeur du temps Brin de bruyère

Et souviens-toi que je t'attends

 

 

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  • 1 month later...

voilà un poème que je viens de terminer, j'espère qu'il vous plaira.

 

Divine Tragédie

Ah ! j’étais si belle et toute d’or peinte,

Ecorchée vive pour ce beau trésor,

Mon corps chatoyait de milliers de teintes.

Hélas ! mais quel fut mon terrible sort !

Honteux ! Ils ont laissé mon corps à nu,

En proie aux vents, au froid, et à la pluie.

Puis, ces chiens infâmes se sont battus

Pour un diamant en mon nombril serti.

Une main amputée, l’autre rongée,

Ma tête décapitée, quelque part,

Au fond vaseux d’un vieux port, a roulée.

Hélas ! je ne suis plus une œuvre d’art.

 

J’ai traversé le temps, subi des avaries,

Mon corps s’est abîmé, fragmenté, fracassé.

J’ai traversé le temps, avec lui a péri

Mon corps démantelé ! de moi, on s’est lassé.

 

Ah ! le souvenir des jours heureux.

Pour la gloire, divine, on m’exposait,

Et tous les regards sur moi, amoureux…

C’était pour eux que, belle, je posais.

Couverte non plus d’or mais de poussière,

Je suis aujourd’hui, là, entreposée

Dans le débarra d’une cour princière

Où l’on m’a depuis longtemps déposée.

Et c’est dans la plus noire obscurité,

Qu’il me faut, las, à présent, reposer,

Ce repos que je n’ai pas mérité.

Me reposer… et puis… décomposer.

 

J’ai traversé le temps, et des intempéries,

Mon corps s’est abîmé, fragmenté, fracassé.

J’ai traversé le temps, avec lui a péri

Mon corps démantelé ! de moi, on s’est lassé.

 

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  • 2 months later...

Hum, un de mes premiers poèmes (pas très poétique, m'enfin..)

 

J'suis pas douée x] :

 

 

Poupée plastique.

 

Dans cette misérable vie je crois,

Que les gens n'aiment que se qu'ils voient.

Shopping, haute couture, magazine,

On fait tout pour etre top "in".

 

J'en est assez de ces filles là,

Qui critiquent et blessent a tout va.

Marre de ces poupées plastiques,

Rêveuses d'un corps idyllique.

 

Marres de ces décérébrées,

Qui passent leurs temps a glousser.

Ces lolitas des grandes surfaces,

Qui aguichent tout les mecs qui passent.

 

Ces espèce de midinettes,

Qui n'ont vraiment rien dans la tête !

Car si elles rêvent d'être parfaites,

Mon dieu se qu'elles peuvent etre bêtes !

Car une fille n'est-elle pas plus belle,

Sans masque, juste au naturelle ?

 

Marre de ces barbies blondasses,

Qui se maquillent devant la glace.

Ces chipies souvent fouineuses,

Et vraiment enquiquineuses.

 

Marre de ces furies minables,

Ces petites gamines instables.

Des amies comme des mouchoirs,

Dans mon plus grand désespoir,

On les use et hop ! on jette.

On ne sait où donner de la tête,

Elles ont tous les garçons a leurs pieds,

Jouant de leurs charmes avec habileté.

 

Mais un jour elles vieiliront,

De petites rides apparaitront.

Les princesses se transformeront en sorcieres.

De leurs corps elles ne seront plus fieres.

Se barbouilleront de creme en esperant,

Un jour, revoir le corps de leurs 20 ans

 

Triste fin pour ces mannequins défraichis,

A qui l'éphémère beauté a été ravie,

Par leur seul et unique ennemi,

Le temps qui aura tout détruit..

 

PS : Les votres sont magnifiques  :)

 

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  • 2 months later...

J'aime bien ce topic, c'est dommage que peu de personne s'y interresse  :-\

Notre ami Piwi m'as fait pensé a u poème que je vais vous mettre en l'instant.

Il s'agit du poème de Walt Whitman : O Capitaine! Mon Capitaine! composé en hommage au président Abraham Lincoln:

 

    O Capitaine ! Mon Capitaine !

 

    O Capitaine ! Mon Capitaine ! Finie notre effrayante traversée !

    Le navire a tous écueils franchi, le trophée que nous cherchions est conquis

    Le port est proche, j'entends les cloches, la foule qui exulte,

    En suivant la stable carène des yeux, le vaisseau brave et farouche.

 

    Mais ô cœur ! cœur ! cœur !

    O les gouttes rouges qui saignent

    Sur le pont où gît mon Capitaine,

    Étendu, froid et sans vie.

 

 

    O Capitaine ! Mon Capitaine ! Dresse-toi, entends les cloches.

    Dresse-toi - pour toi le drapeau est hissé - pour toi le clairon vibre,

    Pour toi bouquets et couronnes enrubannées - pour toi les rives noires de monde,

    Vers toi qu'elle réclame, la masse mouvante tourne ses faces ardentes.

 

    Tiens, Capitaine ! Père chéri !

    Ce bras passé sous ta tête,

    C'est un rêve que sur le pont

    Tu es étendu, froid et sans vie.

 

 

    Mon Capitaine ne répond pas, ses lèvres sont livides et immobiles;

    Mon père ne sent pas mon bras, il n'a plus pouls ni volonté.

    Le navire est ancré sain et sauf, son périple clos et conclu.

    De l'effrayante traversée le navire rentre victorieux avec son trophée.

 

    O rives, exultez, et sonnez, ô cloches !

    Mais moi d'un pas accablé,

    j'arpente le pont où gît mon capitaine,

    Étendu, froid et sans vie.

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  • 1 month later...

C'est encore moi ^^

Voici un nouveau poème, il n'est toujours pas de moi, si vous vous voulez poster vos poèmes, n'hésitez pas  ;)

 

 

Reine Pénombre.

 

Cela commença dans le reflet d'un miroir,

Dans un souffle égaré, dans les limbes des âges,

Lorsque gît la pénombre et son cortège noir.

Elle se fit reine des sorts et des présages,

 

Une absolue dictatrice, l'appel d'un suaire.

Celle-ci sut où trouver refuge, où s'accroître,

Et planter sa vieille carne, sa bile amère.

Néanmoins, elle offrit à l'homme son albâtre

 

Pour unique cadeau, pour laisser une place

A un soleil fatigué de couvrir le monde,

Pour qui nulle allégorie ne serait féconde.

 

La pénombre nous a guetté dans cette glace,

Pour que nous puissions nous en défaire, en prophètes

D'un paradis à quérir, bien noble et esthète .

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J'ai ecris sur la folie, quelque chose qui me tient a coeur!

J'ai pas ecris en comptant les syllabes, j'arrive pas a exprimer ce que je veux comme ça  :(

 

 

Qu'est-ce que ma toute puissante connerie

Va bien pouvoir nous concocter cette nuit?

Quel delice d'abrutissements

Va-t-elle dechainer ceans?

De quel meandre de mon esprit diabolique

Sortira l'aberration poetique?

Comment ferais-je, simple esprit surrelevé

Pour nourrir de mes tares vos esprits hebetes?

Mes improvisations cataclysmiques

Chacunes cauchemar de l'ethique

Me donne l'etoffe d'un Dieu Fou

Qui d'un mot vous met a genoux

Contemplez ma magnificience

Voyez, je brille par mon absence

L'empire que j'ai sur vos etres

Jamais ne cessera d'etre

La folie est constante et inconstante

La connerie irreflechie et pertinente

Que sont vos vies dans ce monde

Qui n'existe pas une seconde?

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  • 3 months later...

hop une de mes dernières créations :

 

Vaudou

 

Son cœur tout comprimé est parsemé d’épingles

Que plante une à une ce matador espiègle :

La première, un regard ; la seconde, un sourire ;

Pour mile et une autres, le meilleur et le pire.

Une banderille transperce sa  poitrine

La mettant à genoux, recourbant son échine,

Quand sa rate expulse cette amère humeur,

Les viscères pourris par la noire tumeur,

Les entrailles bouffés par des vers affamés,

La cervelle explosée de rimes désarmées.

Vois-tu cette poupée qui, vide, se dé-plume

De mots ? Dénu(d)ée de sens, elle se consume

 

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  • 2 weeks later...

tous vos poèmes sont beau et romantique, donc voila je me lance, une petite phrase philosophique

et s'il vous plait, un alexandrin

 

Poème supprimé

 

 

bon je met un autre truc sinon je vais me faire taper

 

l'amour c'est un baiser qui dure toujours,

les larmes sont des fleuves immatures,

le temps est un parc étoilé en plein jour,

 

tes yeux noirs sont inspirations,

de craintes et de la passion,

 

oh toi embrasse moi et regarde moi,

non ne pleure pas ma belle princesse,

nous serons toujours ensemble maintenant.

 

Jean de la fontaine lool (il y avait que son nom que je retenai dans les poésies)

 

it's by lokitO

 

 

 

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  • 2 months later...

Ah ça fait plaisir de voir ce topic remonter ^^

Alors pour l'occasion voici un petit poème (bidon dira t-on)  que je viens d'écrire.

 

Musique du monde

 

Seul sur le toit du monde

Je sens cette douceur qui m'inonde

Un son magique si plaisant

Un son qui persiste malgré les ans

 

Cette douce musique

Cette chaleur féérique

Ces notes dansantes

Cette rythmique fascinante

 

Seul sur le toit du monde

Observant cette jolie ronde

Celle qui vie là en bas

Celle qui de moi ne fait cas

 

Alors seul sur ce toit

Et pour enfin être moi

Je me délivre de cette pénombre

Me joignant a cette jolie ronde

 

Je ne ressens pas l'atterrissage

Cela n'est qu'un passage

La musique m'offre la clef

De cette vie trop longtemps fermée

 

Seul sur le toit du monde

Porté par les ondes

La musique me donne la main

Et je m'évade, enfin serein.

 

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Un de mes nombreux poèmes. Bah oui on est obligé d'en faire un toute les semaines pour les cours de Français...

Bon je préviens je ne suis pas très bon.

 

Ce peuple Africains

 

Ils ont été affranchis après les guerres

Des murs, barbelés et frontières

Leurs corps sont dans la souffrance

Et leur âme sans délivrance

 

Leur pays sont en crise ou en guerre

Ils fuient très loin de leurs Terres

N'ayant plus d'identités ni de raison

Ils laissent derrière eux leurs familles et leur maisons

 

Les soldats armés les attendent au loin

Ils ne pensent plus à demain l'espoir est vain

Ils perdent souvent la vie sous le feu des balles

Personnes ne les soutient, ils ont mal

 

Je connais ces souffrances et ces exils

Ce monde de douleur et les morts inutiles

J'ai tant vu la misère en Afrique et ailleurs

Que je ne peux rester là sans ressentir un pincement au coeur

 

Combien encore fuiront leurs pays ?

Le besoin de trouver une terre amie

Un autre monde pour une vie décente

Mais ces hommes meurtrit sont dans l'attente

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