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Préquelle, première partie.


rhavin
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Bonjour à tous.

Je me suis remis à écrire un peu. L'histoire de Tadeus m'ayant beaucoup plus, j'ai commencé à réfléchir à des préquelles. Et voici un premier morceau de la première partie de ma première nouvelle. Je n'ai pas encore bien réfléchi à la suite, mais j'ai déjà les éléments des bases ainsi qu'un contexte solide. Et pour la première fois, plusieurs personnages principaux.

Bonne lecture à tous.

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Mon maigre feu de camp commence doucement à s'éteindre. C'est sans importance. Il ne saurait pas me réchauffer. Tout de même, il faudrait que je ramène du bois, histoire d'avoir encore un peu de lumière pour les heures à venir. Ca me fait doucement rigoler quand je pense aux blagues vaseuses que j'ai pu sortir sur la radio activité... Sacré Jule. Dire que je l'avais bâché quand il était revenu de sa première séance de radio-thérapie avec tout les avertissements... « ne pas approcher de trop près votre entourage, vous pourriez les contaminer ». « Est-ce que tu pisses bleu, beau papa? Est-ce que ça fait de la lumière? » Pfff. L'air est lègerement radio actif depuis l'explosion. OU plutôt devrais-je dire les explosions. D'après les maigres infos que j'ai pu glaner ici et là, il y a eu des explosions analogues un peu partout dans le monde. Logique. Après tout, l'humanité est conne. Et quelle meilleure excuse pour utiliser l'arme nucléaire que de prétendre se défendre? Se défendre? Contre qui? Personne n'a su me dire qui a tirer en premier. La Corée du Nord? Les russes? Quelle piètre réflexion bassement capitaliste. Nous contre eux. Le capitalisme contre le communisme. Est-ce que ça a seulement un rapport? Et même si ça en avait un, quel intérêt pour moi d'y réfléchir.

Ouais. M'occuper. Focaliser mon esprit sur des choses inaccessibles pour ne pas faire de connerie. Des conneries? Je...

 

Tadeus s'endormit en plein milieu de ses pensées. La forêt était silencieuse. Très silencieuse. Il ne s'était pas posé de question quant à sa sécurité, d'une part parce que ses remords l'avaient fait basculer vers des tendances suicidaires, et ensuite parce qu'avec les récents évènements, il y avait de très faibles chances pour qu'un quelconque animal vienne l'attaquer. Il avait quitté Bordeaux sans rien dire à personne, en pleine nuit, après avoir mis dans un sac diverses affaires. Plus par acquis de conscience que par réelle nécessité. Partir pour aller où? Faire quoi? Échapper à quoi? A qui? IL ne savait pas. Mais il savait ne pas vouloir devenir fou. Si tant est que la folie ne l'avait pas déjà emporté. Depuis plusieurs semaines, il errait là où l'emmenait ses pas, ne sachant plus dans quelle direction il allait, ni même comment il allait pouvoir se nourrir. Au fil de ses pérégrinations, il avait cambriolé une épicerie, une boulangerie et avait attaqué une ferme en pleine nuit. La survie était sa seule excuse.

 

L'odeur de chairs brûlées s'impose tel un torrent sur une brindille. Je manque tomber à genoux. Les hurlements des blessés et des mourants forment une cacophonie assourdissante. Cette simple porte ouverte est comme une porte ouverte vers un carnage. Les mots résonnent dans ma tête. « Personne ne veut m'aider? Personne ne veut se salir les mains? Allez au diable ». Les visages de toutes l'équipe de médecins et de pompiers et de quelques bénévoles m'accusent de sauvagerie et de monstruosité. Mais plus que ces visages accusateurs, j'ai l'impression de voir quelqu'un d'autres à travers eux tous. Comme un visage aux traits irradiant de bonté. Et figé dans une expression de profonde tristesse. Comme quelque chose qui me regarde à travers leurs yeux. J'aurais préféré être tué pendant l'explosion. Le premier lit de fortune est à quelques mètres de moi. La jeune femme avait des mèches rousses fondues sur les joues et le front. Ses paupières étaient atrocement brûlées et je me demandais si en des circonstances favorables elle aurait pu rouvrir un jour les yeux. Ses yeux. Elle avait dû être belle avant. J'aurai bien aimé voir ses yeux. Le sang coule d'un peu partout sur son corps et les quelques vêtements qu'elle portait sont déchirés et ne cache que de misérables bouts de peau. Je trébuche en m'avançant vers elle. Mes jambes et mon âme me supplient de concert pour fuir cet endroit, pour fuir mon « engagement ». Mon humanité me hurle que je ne fais pas le bon choix. Des millions de pensées tourbillonnent en tout sens.

Je me calme comme je peux et je m'agenouille à sa tête. Est-ce que je serai encore capable d'aimer après ça? De m'aimer? Je lui chuchote quelques mots.  Sa douleur et sa détresse me touche profondément et j'ai l'impression que mon coeur va se briser. Je retiens mes larmes d'un violent effort de volonté puis je prends sa tête entre mes mains. Je la sens frissonner. Et je tourne violemment. Je perds l'équilibre et tombe en arrière. Un horrible crac m'a accompagné dans ma torsion et je vomis tout ce que j'ai dans l'estomac. Je me mets à trembler de tout mes membres et je serres mes mains contre ma poitrine, persuadé d'avoir pris une balle en plein coeur. La douleur se calme et je me remets tant bien que mal sur mes jambes.

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Et bien depuis le temps que l'on attendez une suite (ou préquelle en l'occurence) ^^

 

Donc si je résume, la bombe a deja explosé, et Tadeus a quité la ville et a deja réalisé son "devoir" (aparement), non?

 

Sinon, c'est trés bien, toujours dans le même style.

Par contre je ne vois pas pourquoi Tadeus pense en premier lieu a la Corrée et a la Russie... tant d'autres pays pourraient

être coupable de cet acte.

 

On va attendre la suite.  ;)

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Ah tiens…une préquelle d’une nouvelle sans titre que j’attendais (la plus grosse police m'a un peu surprise).

Le 3e paragraphe, j’ai comme l’impression de l’avoir « lu »  pendant que Taedeus relatait les faits devant le tribunal, quoique je ne suis plus sûre que ca soit la même femme. Ce passage ne fait pas l’effet de « la première fois »,  donc à regret, j’en suis moins surprise, ca me prend moins à la gorge, et pourtant ca ne devrait pas puisqu’on peut lire intégralement ses pensées cette fois-ci. Et c’est pourquoi je ne dirai pas qu‘il commence fort (mais je ne m’attendais pas non plus du contraire). Donc pour l’instant, rien ne m’intrigue, aucune question ne se soulève (ce qui fait que mon commentaire a l’air parfaitement inutile) mais je n’espère pas moins découvrir des choses intéressantes par la suite.

 

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Le problème, c'est que j'ai pas encore trouvé de titre... et surtout que pour découper la première partie, j'en bave, parce que chaque morceau, je l'ai écrit d'une traite. LA suite arrivera dans la journée. Désolé, cette première partie n'est pas franchement intéressante, mais obligatoire pour la suite. sinon je manque totalement de cohérence et on me dira que j'ai zappé certains trucs. (ce qu'on me dira de toutes façons^^)

 

 

Ah oui j'oubliais. Pour la taille de la police, c'est pour pas que ça fasse gros pavé à lire.

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Le début est excellent Rhavin. C'est sombre, t'annonce bien la couleur (ca va être dur pour le héros dans un monde apocalyptique ^^), bref tu poses une ambiance sinistre d'entrée. Ca colle bien avec ton sujet. D'ailleurs tu parles d'une suite mais ze connais pas le début donc ca va être un petit peu dur à suivre pour moi. Et en plus dans un genre SF, que j'aime bien.

 

J'attends la suite pour voir si elle est aussi emportante.

 

 

edit rhavin:Voici le lien pour ma première nouvelle... qui se trouve être tout à la fin dans la chronologie des évènement dans ce monde là: http://www.mangas-fr.com/forums/index.php/topic,4592.0.html

 

Ah merci Rhavin c'est sympa de ta part ^^.

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Gali, je t'ai mis le lien dans ton post pour ma nouvelle précédente, toujours dans ce même monde.

Et voici la suite. Encore rien de spécial à lire, mais c'est nécessaire pour la suite.

bonne lecture

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Le soleil est en train de se coucher sur un ciel rougeoyant. L'air vif caresse mon visage. J'ai l'impression d'être un fantôme dépourvue de toute substance. Mes membres me font mal, une migraine me vrille le cerveau. J'ai mal à l'âme. Terriblement mal. Mon corps m'exhorte à me coucher là et d'attendre. D'attendre que la fatigue me quitte et que quelqu'un vienne mettre un terme à mon existence. Seigneur, que j'ai mal. Je me dirige vers un robinet et fais couler de l'eau. Le contact glacé sur mes mains me fait grelotter. Je sens encore les innombrables têtes en contact avec mes mains. J'ai les sensations de muscles qui se contractent pour briser les nuques. Mon cou est comme paralysé, comme si c'était lui que j'avais brisé ces dernières heures. Je crois que je suis en état de choc. Pas les pensées claires. Je tourne le robinet d'eau chaude et pendant que l'eau coule bruyamment contre le fond du lavabo de fortune, je ris nerveusement en pensant que des imbéciles ont pris le temps de brancher le système d'arrivée d'eau à un groupe électrogène pour avoir de la chaleur. Après avoir trouvée une bassine que je place sous le filet d'eau, je commence à me mettre torse nu. J'ai les membres engourdis. La bassine déborde. Pas la peine de gaspiller. J'ai la tête vide. Enfin. Mon coeur saigne en silence. Je prends la bassine de la main droite, la lève au niveau de mon torse et commence doucement à faire couler l'eau brûlante sur mon épaule gauche. Immédiatement, des messagers de la douleurs viennent tambouriner dans mon crâne. Je sens l'eau s'écouler tout le long de mon bras, sous mon coude. Je sers les dents et continu l'opération jusqu'à la dernière goutte. Des volutes de fumées s'échappent de partout sur mon bras. Ma peau est devenue tellement rouge qu'elle commence à blanchir et des cloques apparaissent un peu partout. J'ai vraiment mal. Pendant un cours instant, je me demande si elle est contaminée par les radiations. Bah, sûrement que moi aussi maintenant.

 

« Mais vous êtes complètement cinglé!! hurle une voix derrière moi.

La tête me tourne alors je ne réponds pas tout de suite. Le type m'attrape par les épaules et me fait pivoter.

« Peut-être bien, oui.

_Qu'est-ce qui vous prend de faire ça?! On n'a pas assez de blessés, vous croyez?

_J'ai fait ce qu'il fallait...

Ma voix est lasse, fatiguée. Et je vois dans ses yeux qu'il comprend.

« Je vois. C'est vous. Bon venez par ici, je vais vous faire un bandage.

_Vous êtes bien bon, fis-je, sarcastique.

_Ne prenez pas ce ton là avec moi. Asseyez-vous là, dit-il en me montrant une chaise. Et ne bougez pas.

Il prend les minutes suivantes pour sécher doucement mon bras. Puis avec une compresse douteusement stérile, commence à essuyer le sang qui suinte maintenant. Puis il applique une pommade à l'odeur âcre sur tout le long du bras. Je voudrais qu'il soit plus violent, moins doux dans ses mouvements. Je veux avoir mal, avoir une douleur physique sur laquelle me concentrer. Peine perdue. Je suis toujours en état de choc et la douleur ne m'atteint plus. Va falloir attendre un peu. Sans mot dire, il commence maintenant à poser des compresses huileuses et des bandages.

« Ne faites plus ce genre de conneries devant moi. Je pourrai me fâcher très fort.

_Vous croyez vraiment que ça me touche?

_vous allez vous reposer, manger un peu et après, on discutera de ce qu'il faut qu'on fasse. Et pas seulement de vous.

Je hais les gens qui me répondent pas. Il fait vraiment comme si j'allais lui obéir.

 

Je dois avoir un grain. Je l'ai laissé me soigner, me nourrir comme si j'étais un bébé. Enfin, maintenant que je me suis tiré, il me foutra la paix. Je connais même pas son nom, je l'ai pas remercié, je l'ai même pas prévenu que je partais. J'espère qu'il regrettera pas la perte de son sac et de ses médoc. J'ai la haine. Et avec la haine, une énergie débordante. Je marche droit devant moi, sans regarder ce qui m'entoure. Longtemps. Très longtemps. Je perds la notion du temps et de l'espace. L'odeur piquante de l'océan me parvient. Je dois être proche de la plage. Marrant comme mon esprit fait tout ce qu'il peut pour s'attacher à de tout petits détails pour échapper à l'horreur de ces derniers jours. Depuis combien de temps je marche? Depuis la dernière fois que j'ai mangé? Pas comme si j'avais faim. L'odeur salée m'attire irrésistiblement. Je découvre un spectacle hors du commun sur la plage après la dune. Un énorme porte avion s'est échoué. Je suppose qu'il a dû le faire pendant la nuit, parce que je ne vois personne en train de le piller. Si tant est qu'il y a des survivants à la ronde. Ca ne me ressemble pas. Je me dirige vers lui comme un automate. L'instant d'après je suis sur le pont penché et je déambule parmi les cadavres déjà pourrissant. Je suis sur le bord du pont, à proximité d'un vide de plusieurs dizaine de metres de hauteur. En dessous, il y a des carcasses d'avions et des véhicules à roues, échoués sur le sable. La gravité a encore fait des siennes. Mon regard se lève vers l'horizon. Je ne saurai pas dire s'il va faire nuit ou jour. Peu importe. Je fais un pas devant moi et amorce une longue chute. Les carcasses ferrailleuses se rapprochent de moi à toute allure. L'impact est terrible.

 

Quelque part ailleurs, à l'abri de tout regard, une impulsion est déclenchée. CLIC

 

Un hurlement retentit à travers la forêt encore sombre des couleurs de la nuit. Tadeus, réveillé en sursaut, se tient la tête à deux mains, en gémissant. De douleur et d'horreur. Les bandages à son bras droits sont sales et déchirés par endroit. Il reste là, prostré les yeux fermés et recroquevillé sur lui même pendant de longues minutes. Le silence est terriblement pesant.

 

Je recommence à rêver. Enfin à cauchemarder. Quelle horreur. J'étais vide. Complètement vide d'émotion. Rien, le néant. Quelle horreur. Pas le moindre début de prise de conscience. J'ai sauté sans rien ressentir. Pas de regret, pas de tristesse ni de joie. Rien. Pas de hurlement, pas de cri, pas de peur. Rien. Tout mais pas ça. Je veux pas devenir comme ça.

Allez, relève-toi, fais du feu et mange un peu. Secoue-toi et reprends ta route. Doit te rester de la viande séchée dans le sac avec du pain et du lait. Action.

Je me motive comme je peux, à grands coup d'efforts de volonté. Je parie que je dois être pitoyable à voir. Les cheveux qui tombent par poignées, le visage livide, je tremble de tout mes membres. Ha! La radioactivité devrait pas tarder à terminer son travail avec moi. Encore que depuis ces deux derniers mois, je n'ai eu aucune hémorragie, ni diaré sanglante. Rien. On dirait que l'autre là haut, a pas fini de m'en faire baver...

Qu'est-ce que j'ai bien pu faire durant ma misérable existence pour mériter ce sort? Ou même dans les existences précédentes si la réincarnation existe? J'ai dû être un meurtrier de masse, un violeur, un tueur d'enfant, je sais pas, n'importe quoi. Rien ne me vient en tête pour justifier un pareil karma. Je ris doucement. Un rire où pointe dangereusement la folie. Moi qui suis profondément chrétien, me voila en train d'avoir des pensées hérétiques. Si j'en avais le courage et la volonté, je me coucherais là, sur le coté et j'attendrais en priant avec ferveur pour qu'un ange de la mort vienne me chercher.

Dans mes lointaines études, je me souviens qu'aucun irradié ne survi plus de quelques jours dans un milieu radio actif. Je me souviens encore de mon mémoire en biologie sur les pathologies dûes à la radio activité. Etudes portées en premier lieu sur les rescapés de Tchernobyl. Les estimations prévoyaient des centaines de morts sur les jours qui ont suivi mais ce ne fut pas le cas, si l'on excepte l'équipe d'intervention qui est allée scéller le réacteur. Pourquoi ces estimations ne peuvent elles être fiables, pour une fois?

Mais je ne peux pas rester à attendre la mort. Je ne peux pas m'apitoyer plus longtemps sur mon sort. On m'a toujours dit que j'avais une volonté hors du commun. Avec pour allié, mon instinct de survie, je me relève, rassemble mes maigres affaire et me remets en route. Pour aller où? Pour faire quoi? Une petite pensée sadique me murmure "pour recommencer un autre carnage dans une autre ville".

Je trébuche et manque me fracasser le crâne contre un parterre de pierre. C'est peine perdue, mon existence ne s'arrêtera pas comme ça. Alors je marche et fait taire toutes les pensées qui peuvent venir. Je veux me vider la tête. Mettre de l'ordre. C'est le bordel dans mes pensées.

 

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Effectivement, ça a l'air d'un beau foutoir, dans sa chtit caboche...y'a même un moment ou je me suis demandée si c'était toujours de Tadéus que tu parlais, et pas d'un autre type...

Bon, maintenant, ze question qui tue: qu'est-ce qui va se passer ?

Comment ce pov' chtit gars va se retrouver à la tête d'une unité de suicidaires et lutter contre l'invasion ?

Comment va-t-il retrouver un semblant de reflexion ? Quelle est la personne qui va réussir à le sortir de son marasme (=état de détresse/choc particulièrement grave) ?

Comment peut-on vivre sans nutella ? *euh, pardon, ça m'a échappé^^*

 

bref...j'attends avec impatience la réponse à tout ces 'comment'...euh, enfin, pas le dernier^^

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Ce qui va se passer? Hmm, lire la suite, sera déjà un bon début.

Comment il va se retrouver à la tête d'une unité de suicidaires? J'ai pas encore écris la réponse... mais j'ai déjà une solide idée. Et bien entendu à l'opposée de ce que vous pourriez imaginer.

Retrouver un semblant de réflexion? Ma foi, dans la suite de la première partie, vous aurez un semblant de réponse. Ca ne se fait pas comme ça de reprendre le dessus après un traumatisme pareil.

Qui va l'en sortir? Ma foi, la question est très mal posée... étant donné qu'il ne s'en sortira jamais vraiment.

 

Vivre sans nutella? Ben j'y arrive bien et ça me manque pas spécialement. Par contre c'est l'heure de faire la Boustifaille.

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Je commence a comprendre l'état d'ésprit du petit Tadéus.

Il ne veut qu'oublier ce qu'il a fait.

L'unité des suicidaires, peut être est ce une solution, de penser autre chose pour lui, ou est ce simplement

une maniére de chercher a mourir. On remarquera d'ailleur que c'est souvent ceux qui partent a la guerre pour

mourir qui reviennent en vie. ^^

 

En tous cas j'ai hate de voir une suite!

 

Ps:" Je trébuche et manque     me fracasser le crâne contre... "

    Juste au cas ou. ^^

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