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Ange


Hitsugaya Tôshirô
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Voila le chapitre suivant.

 

C'est la triste fin ...

 

 

 

XX) Fin des vacances

 

 

Florian avait perdu Antoine de vue. Il décida alors de rentrer chez-lui. La fin de la journée se passa très bien, confortablement installé sur son siège de bureau devant son écran d’ordinateur. La nuit arriva et l’heure de s’endormir approcha à pat de velours, Florian s’endormit tranquillement et profondément. Il se retrouva à nouveau dans cette pièce mi-obscure, mi-éclairée. L’émeraude qui représentait son aptitude à manipuler la Terre flottait toujours sur la ligne qui séparé les deux côtés de la pièce, mais une autre pierre flottait quelques mètres plus loin. Il s’agissait d’une opale d’après Florian. Seigi apparut derrière Florian et l’en informa en lui mettant sa main droite sur son épaule gauche.

 

« - Tu as bien progressé. Je suis fier de toi. Dit Seigi en souriant jusqu’aux lèvres.

- Ahh ! Tu m’as fait peur ! Réagit Florian en se retournant rapidement.

- Oh, je suis confus. Dit Seigi en regardant en l’air histoire de se faire pardonner.

- Merci du compliment. Qu’est-ce dont ? Dit Florian en désignant l’opale du doigt.

- C’est une opale, l’une des pierres symbolisant un élément. Répondit Calmement Seigi.

- Pierre ? Symbolisant un élément ? Interrogea dubitativement Florian.

- Oui. Comme la coupe qu’on remet au vainqueur d’une compétition, ces pierres représentent tes facultés à diriger l’élément qu’elles incarnent ou symbolisent si tu préfères. Comme tu le sais il y a cinq éléments primaires.

- Le Feu, le Vent, la Foudre, la Terre et l’Eau. Coupa Florian.

- Exactement. L’émeraude verte symbolise la Terre, l’opale transparente le Vent, le rubis rouge le Feu, la Foudre est-elle représenté par un diamant blanc et l’Eau par un saphir bleu clair. Chaque fois que tu réussiras à dompter un élément la pierre correspondant à cet élément viendra s’ajouter à ta collection.

- Tu en sais des choses ma parole ! Dit Florian et agitant le doigt devant lui.

- Tu sais quand on vit aussi longtemps que moi on en voit des choses. Mais te repose pas sur tes lauriers, il faut régulièrement pratiquer la maîtrise de ces éléments sinon tu perdras tout contrôle sur eux.

- Tu fais bien de me le dire.

- A chaque fois que tu utilises un élément au cours d’un combat ou pour t’entraîner la pierre brillera et plus tu l’utiliseras et plus elle brillera plus tu sauras maîtriser l’élément. Cet ainsi qu’on distingue les Maîtres, des simples guerriers. Mais des personnes sont naturellement doué pour un élément ce qui les favorisent dans leur maîtrise.

- Est-ce que j’ai un tel don, moi ? Demanda Florian.

- Il m’est impossible de te le dire pour l’instant car tu n’as pas encore essayé de contrôler tous les éléments.

- Donc je dois quotidiennement m’entraîner afin de devenir un Maître. Dit Florian en se frappant du poing droit dans la paume de sa main gauche.

- Oui et je serais toujours là, pour t’aider et t’apporter mon expérience. »

 

En disant ces mots Seigi devenait de plus en plus transparent et il s’avançait vers Florian pour finir par fusionnait avec lui. Il serait maintenant un être qui veillerait sur lui, invisible de tous sauf de son protéger tel un Ange. Sa voix s’éleva, lointaine, sereine, en échos :

 

« - Le talent avec du travail c’est comme un joyau. Sans travail, c’est du gâchis. »

 

 

... de la saison 2 !!

Je vous ai bien fait marcher hein !!

 

Oui je suis assez content de voir que ma Fic est réussit à faire déjà 2 saisons en un peu plus d'un an.

 

 

Avertissement:

 

Ceci peut créer un choc, un traumatisme voir une dépendance dont l'auteur est nullement responsable. Ce dernier se dégage de toute responsabilité pénale ou civile (Attention risque de spoiler !)

 

Alors je vous le dit à vous mais c'est un secret: une troisième saison est prévue avec toujours autant de combat, de personnage, de mystère et d'action.

 

 

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Preview

 

Ceux qui veule conservé une totale surprise, ce message n'est pas pour vous.

 

 

-Une voix forte s'éleva, l'homme brandissait son poing."Il me la faut !"

Des yeux rouges apparurent dans l'obscurité.

- Un vieil homme se tenant les mains dans le dos adressa la parole à trois jeunes gens "Je vous ai convoqué car j'ai confiance en vous."

 

Un combat hors du commun, une quête dangereuse, des méchants terrifiants

 

-"J'accepte !"

-"Nulle ne m'arrêtera !"

-" Nooonnnn !!"

 

Un danger qui nous menace tous !

 

-"Le monde se pliera sous mes ordres !"

 

 

Saison 3 de Ange : Les symboles du pouvoir

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Alors voila le début de la saion 3 !!

 

 

Saison 3

 

Les symboles du pouvoir

 

 

I) Commencement

 

Comme vous le savez sans doute les plus valeureux guerriers que le monde ait connus était en possession  eus aussi d’arme tout aussi exceptionnelles. Certains racontent  que c’est l’arme qui fait le guerrier et les autres que c’est le guerrier qui fait l’arme. Je pense qu’un guerrier sans une arme n’est pas un guerrier et qu’une arme sans guerrier n’est pas une arme. Ils sont complémentaires voila tout mais pour qu’ils soient complémentaires il faut qu’ils soient soudés. Que chacun acceptent de remettre son destin aux mains de l’autres pour qu’ainsi naisse un héro légendaire. Dans cet échange chaque participant laisse une partie de lui dans l’autre pour que la « fusion » soit totale. Les hommes n’étant pas conçus pour être éternel la complicité qu’ils nouèrent avec leurs armes ne put dépasser leur vie. Les armes se léguaient de maître à élève, de père en fils, de mère en fille, de roi à prince bref les nouveaux possesseurs devaient partager la même vision que leurs aînés pour pouvoir se voir remettre l’arme tant convoitaient. Ce système perdurent depuis l’aube des temps et donc de nos jours les objets de ces guerriers sont imprégnaient d’une très grande force car elle a vu passer des centaines de génération et cette vision du monde, cette conviction est profondément encrée au sein de l’arme. Si bien que si on ne croit pas en cette conviction elle devient inutilisable mais que si on est héritier de cette vision on peut utiliser cette force qui est devenue : destructrice.

 

De nos jours, dans un musée en Asie. Il faisait nuit, la pleine lune illuminait la baie vitrée du toit du musée. Un garde effectuait une ronde au milieu d’innombrable objet qui datait de fort longtemps. Avec sa torche allumée il suivait machinalement son chemin. Lorsqu’il arriva dans la salle où des objets de l’ère romaine étaient exposés il eut froid, pourtant le musée était chauffé et la température devait être aux alentours de dix-huit degrés. Il regarda immédiatement la baie vitrée du toit mais il n’y avait aucun signe d’effraction, il décida d’aller tout de même vérifier si chaque pièce de valeur était restée à leur place. Dans la salle de l’ère romaine les deux pièces rares étaient là, dans la salle des indiens il en était de même, dans celle des rois de France pareil et enfin dans celle des empereurs de Chine rien n’avait disparu. Tant pis il mettra une note comme quoi on vérifie le chauffage dans cette partie du musée.

 

Dans un château en Grande-Bretagne. Le propriétaire du château se réveilla en pleine nuit, il avait crut entendre des bruits étranges dans sa demeure. Il se leva une bougie à la main et alla tirer du lit son domestique. Celui-ci se leva en essayant de cacher son énervement d’être si tôt réveillé par son maître qui ne l’était que depuis peu de temps. Il est vrai que ce château était autrefois le terrain de jeu des petits enfants, devant accomplir son rôle le domestique, il prit une bougie, l’alluma et tous deux marchèrent dans le château à la recherche de l’origine de la frayeur du jeune maître. Les couloirs étaient vides, les innombrables chambres ne portaient aucune marque d’activité suspecte. Après une heure de recherche le domestique décida d’aller se reposer mais le maître voulant sans doute se faire pardonner lui offrit de lui servir un verre de whisky dans son salon. Le domestique accepta pour ne pas le vexer. Une fois entrait dans la pièce le domestique s’affala sur un vieux fauteuil en cuir tandis que le jeune homme fouilla dans un placard et en sortit deux verres et une petite bouteille. Il servit et puis il s’assit sur le canapé qui faisait fasse au fauteuil. Ils discutèrent des anciens propriétaires et dans la conversation le nouveau maître des lieux fit remarquer que l’une des armures de part et autre de la cheminée ne portait pas une hache. Le domestique se leva et alla regarder cette armure puis l’autre, après qu’il est soigneusement examiné ces dernières il se tourna vers son maître et prit un air grave, ses yeux était globuleux, il faisait peur à voir. Il s’excusa et il lui montra un bout de tissu noir qu’il avait ramassé, le propriétaire avait la chair de poule en le regardant. Le domestique s’excusa de nouveau et il regarda le plafond avec toujours son air effaré. Un shuriken vint le frappé à la gorge, le jeune homme n’eu pas le temps de hurler qu’il vit une lame lui transpercer le cœur par derrière.  Le château s’envola en proie aux flammes causaient par ses agresseurs.

 

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AMAZING WOW  :o !!!!! Quelle intrigue digne de J.K Rowling on entre direct dans le mystère rien quand lisant cela tu nous ammènes direct dans le feux de l'action . Mais en même temps j'ai envie de dire tu suis bien le déroulement de ton histoire vu qu'on c'était quitté sur de l'action ( oui car pour moi l'entrainement que tu faisiat passé à Florian était plus de l'action que de la déscription bon bref je vis pas t'expliquer l'hisotire que tu écrit ). Oui histoire car depuis longtemps pour moi tu as dépassé le stade "fic" tu t'inspires de certains truc mais tu n'utilises pas les mêmes perso , pas les noms des techniques rien en particulier qui fait penser que c'est un fic car si on commence comme ça tout n'est que "Fan-Fic" car les écrivains comme J.K.R et Tolkien se sont inspirée de certaines choses . Bon tu vos je suis inspiré en esperant pouvoir lire un autre chapitre avant de partir en vacance . Bonne continuation !!!

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Je vois , je me sui mal expliquer mais tu semble m'avoir compris ^^ sur le fait que tu penses ne pas écrire une fic  Ce que je veux dire c'est que inspiration ne veut pas dire recopiage orcement  jepprend s l'exemple de JKR cest pus fcile vut qu'elle à expliquer ^^ . Elle a utilisé certaine légendes surtout nordiques et nglo saxonnes pour ses livres , elle adit  elle s'est inspirée des mythe mais personnes ne lui reproces tu comprend ce que je veux dire . Ensuite pour tes inspirations je vois un peu de Narto  dans le ens ou Florianà ressemblance , c'est trait de charactère , avec Naruto , après te dire de quoi tu t'es inspirés je peux pas trop te le dire mais sache que je vois l'inspiration comme un outil plus que du copiage . C'est à dire moi par exemple sans penser au chakra et aux techniques car c'est que comme ça que je peux les présenter car j'allais pas inventer un mot pour dire quelque chose qui existe déjà tu es d'accord ? Sa pour moi c'est ni de l'inspiration ni du copiage c'est une obligton du langage alors ue quand Ulysse s'appelle Ulysse ou Nahash Nahash sa c'est de l'inspiration j'ai puisée des noms das mythologie d'autres dans la Bible ( Nahash veut dire Serpent en hébreux ) , je peux toujours puissé dans c'est puits de savoir personne me dira "oh tu es un copieur !" ce que je veux dire c'est que l'Histoire et originale je suis d'accord moi perso je sais que mes idées personnes les a j'ai mis bcp de temps pour arriver jusqu'à là mais après arriver au moment de donner des noms par exemple j'aime puiser des noms peu communs donc rien de mieux que e chercher dans la mythologie en plus je donne ue signifiation caché à ces noms exemples avec le Nom de famille de John Goliath sans dire quelque chose je le .

Bon j'arrête ici mon explication car je pense que tu as compris et que je déborde un peu ^^ bon voilà j'éspère ne pas t'avoir vexcès et que j'ai éclaircit mes pensés . ^^ Bonne continuation !

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Effectivement ton premier message m'a un peu vexé.

 

Mais tu t'es expliqué et de fort belle manière.

 

Je comprend ton point de vue.

 

 

Quelques explications sur la saison 3.

 

Au départ elle n'était pas prévue, je la vois un peu comme un spin-off voir un HS.

Je voulais m'écarter de Florian car je trouve qu'il est un peu trop présent (normal c le héro) mais cette saison me permet d'introduire une partie d'un mystère qui va survenir donc il faudra bien lire pour essayer de deviner la suite.

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  • 1 month later...

La voila la suite.

 

 

II) L’appel aux guerriers

 

Didier se tenait dans son fauteuil, sur son bureau se trouvaient plusieurs journaux ouvert à toutes les pages possibles : faits divers, la Une, Juridique,… Il se leva lentement en prenant appui sur les appuis coudes de son fauteuil. Il se tourna vers la fenêtre qui se trouvait derrière lui, il mit ses mains dans son dos et il patienta, il réfléchissait plus exactement. Il pensait :

 

« C’est bizarre. Tous ces événements ne peuvent pas être des coïncidences. Mais comment savoir lesquels sont authentiques… Peu importe ! Je préfère en avoir le cœur net. »

 

Il s’approcha de son armoire, l’ouvrit et il prit dedans un objet. Il le déposa sur son bureau, il s’assit toujours aussi lentement et il fixa l’objet mystérieux du regard. Cet objet se composait d’un socle en pierre surmonté par deux baguettes de bois longues de vingt centimètres et espacé de trente centimètres. En haut de ces baguettes se trouvait une ficelle qui soutenait une plaque de cuivre, cette plaque était à dix centimètres au dessus du socle. Après quelques instants d’ultime réflexion Didier tapa trois fois sur cette plaque. Puis il sortit de la pièce en refermant la porte et en laissant l’objet sur le bureau. Le lendemain matin Didier entra de nouveau dans son bureau sauf que cette fois une jeune femme était assis sur son bureau, un homme était adossé au mur à côté de son armoire et un autre était assis sur le fauteuil face à l’objet.

 

« - Vous m’avez donc entendu. Dit Didier calmement. Et ne touche pas à ça Aurélie s’il te plaît.

- Du calme, je ne le casserai pas. Tu répètes ce que m’a déjà dit Nicolas. Dit Aurélie.

- Tu ferais bien de l’écouter alors. Fit remarquer Didier.

- Pourquoi nous a tu appelais ? Dit le l’homme adossait.

-. Rassures toi Quentin. Je vous dirait tout. »

 

Didier marcha lentement, les mains dans son dos. Il s’assit dans son fauteuil. Et les regarda, les trois, successivement avant de prendre la parole.

 

« - Je vous ais appelé car je pressent un danger. Je me tiens informer grâce aux journaux du monde entier et aussi avec l’aide de quelques connaissances. Dernièrement plusieurs événements m’ont particulièrement interpellé. Malheureusement nous ne vivons pas dans un monde parfait, loin de là. Donc il met assez difficile de discerner les véritables actes de malveillance de ceux de banale escrocs. Surtout que les journaux relais tout ce qu’il entende et voit. Donc je vous ais convoqué pour m’aider dans ma tâche. Je vous indiquerais des lieux présumé d’infraction qui nous concerne, vous vous y rendrez et vous me confirmerez mes soupçons ou pas.

- C’est tout ? Demanda Quentin.

- Pour le moment. Oui. Dit calmement Didier.

- J’accepte. Répondit Nicolas.

- Bien, très bien. J’étais sur de pouvoir compter sur toi mon petit.

- Je suis de la partie aussi alors. Rétorqua Quentin.

- Et toi Aurélie ? Demanda Didier.

- Il faut bien que quelqu’un les surveilles donc d’accord pour moi aussi. Dit Aurélie en poussant en soupir.

- Parfait. Dit Didier en souriant. Destination les îles britanniques. Un incendie suspect m’a était signalé.

- Super. On commence déjà. Se lamenta Quentin.

- C’est partit. Dit Nicolas déjà debout. »

 

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  • 1 month later...

Après presque 2 mois d'absence voici le retour des aventures de Florian.

 

III) Premier pas

 

« - Je te suis. Dit Quentin par dépit.

- Puisqu’il le faut. Ajouta Aurélie non sans une pointe de mécontentement.

Nos trois guerriers étaient justes devant la porte du bureau de Didier lorsque celui-ci les interrompit.

- Voudriez-vous peut-être que je vous indique où je vous envoie ?

- Dans les îles anglaises non ? Dit Quentin avec un air de personne qui sait tout.

Nicolas lui mit une tape sur le derrière de la tête.

- Tu sais qu’elles sont grandes s’est foutues îles ? Alors un peu de précision serait la bien venue. Rétorqua Nicolas. »

 

Didier se leva et alla contempler sa bibliothèque et en sortit un ouvrage. Il tourna les pages, puis le reposa à sa place de départ. Il en saisit un autre, puis, après quelques pages le reposa. Le cinquième fut le bon. C’était un Atlas, avec son index Didier leur indiqua le Sud-ouest de l’Angleterre. Nos trois compères sortirent du bureau puis du manoir pour se retrouver dehors. Nicolas décrocha son téléphone portable pour appeler Florian. Il lui laissa un message vocal lui disant de s’entraîner à maîtriser le Vent sans lui.

 

« - On fait la course ? Demanda Quentin.

- Tu fais déjà ton gamin. Dit Aurélie.

- J’utiliserais le pouvoir de la Terre pour m’y rendre en tout cas. Répondit Quentin.

- Donc j’utiliserais celui de l’Eau. Dit Aurélie.

- Tu sais que l’endroit où nous allons est dans les terres. Tu devras marcher alors. Ricana Quentin.

- Et toi tu savais que les îles sont entouré d’eau, donc tu devras creuser très profondément ton tunnel sous peine de couler ! Expliqua Aurélie.

- Et toi Nicolas ? Demandèrent-ils ensemble.

- Partez. Je vous rejoindrai. Je dois aller régler une petite affaire encore.

- OK. Approuvèrent Quentin et Aurélie. »

 

Quentin frappa ces deux poings l’un contre l’autre et s’enfonça dans la terre. Quand à elle Aurélie s’approcha d’une plaque d’égout et après s’être assuré de sa perméabilité. Elle mit son poing gauche dans sa main droite et elle se transforma en eau qui dégoulina sous la plaque.

 

Une petite heure après Aurélie arriva sur le terrain de l’ancien manoir où il ne restait plus qu’un tas de gravât. Elle aperçut Quentin arrivait un peu haletant.

 

« - Alors ? Demanda Aurélie.

- C’est bon je me suis trompé de chemin. J’ai pris trop à l’Ouest. Dit Quentin un peu irrité.

- Qui a donc gagné ? Demanda Aurélie en prenant la pose du vainqueur et se désignant de ses doigts.

- Pas toi.

Ils se retournèrent et virent Nicolas, debout, devant eux avec un dossier dans les mains.

- Comment as-tu fait pour arriver ?

- J’ai utilisé la dominante des vents dans ce pays. Après avoir vu les têtes d’incrédule qu’avaient Quentin et Aurélie il reprit. J’ai surfé sur les vents qui allaient dans cette direction.

- C’est déjà plus clair. Répondit Quentin.

- Et c’est quoi ça. Dit Aurélie et pointant le dossier.

- Sa, c’est le rapport de l’assurance et le rapport de police. Très instructif en tout cas. »

 

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  • 2 weeks later...

Voila la suite.

 

En attendant vos commentaires avisés.

 

 

IV) Déduction

 

« - C’est barbant ton truc. Allons fouiller dans les ruines, on trouvera bien quelque chose. »

 

Sur c’est mots Quentin alla retourner et inspecter les gravats, accompagné par Aurélie. Pendant ce temps Nicolas s’était trouvé un petit rocher et s’installa confortablement pour lire cette paperasse. L’après-midi commençait à décliner et Quentin et Aurélie étaient exténués.

 

« - Dit, tu pourrais au moins nous aider à fouiller, sale fainéant. Protesta Quentin.

- Laisse moi deviner, tu n’as rien trouvé ? Questionna Nicolas.

- Heu, oui…mais je n’ai pas finit de chercher…mais sa ne saurait tarder. Répondit Quentin visiblement gêné par cette question.

- Et ben alors. Que fais-tu à te reposer, allez va fouiller. Dit Nicolas avec une pointe d’ironie.

- Sa va j’y vais. Répondit Quentin. »

 

Aurélie s’approcha de Nicolas. Celui-ci lui fait signe de ne pas faire de bruit et lui montra avec son doigt une ligne du rapport de police :

«  Nous avons procédé à l’embarquement des restes des objets suivants sur le lieu de l’incendie du manoir Brown : table, couvert, fauteuil, descente de lit, armure, bouclier,…»

 

« - Et à quoi sa te sert de savoir ça ? Chuchota Aurélie.

- Je compare leur listing à celui des objets déclaraient par ce monsieur Brown à l’assurance. Et avec un peu de chance on découvrira ce que l’auteur de ce méfait voulait récupérer.

- Mais peut-être que le pyromane voulait juste brûler la maison. Répondit Aurélie

- J’en doute. D’après le rapport des policiers l’incendie proviendrait de l’intérieur du manoir et au vu de la vitesse de propagation du feu, l’incendiaire aurait été prit dans le feu. Donc je dirait que c’était un voleur qui était venu voler quelque chose puis il a mis le feu à la demeure afin de couvrir ces traces.

- Et alors qu’est-ce que tu as trouvé dans les rapports ?

- Malheureusement les policiers n’ont pas retrouvé grand-chose, le feu avait une intensité tel qu’il a endommagé beaucoup le mobilier et je parierai que le foyer de l’incendie se trouve dans la pièce où l’objet à été dérobé.

- Oui mais où à-t-on avis ? Demanda Aurélie

- S je le savais on ne serais plus ici. Reprit Nicolas.

- Cherchons le point le plus chaud.

- Comment ça ? Dit Nicolas en fronçant ses sourcils

- Si le foyer est l’endroit le plus chaud d’un incendie, alors c’est celui qui se refroidit le moins vite.

- L’incendie date de trois jours je te rappelle.

- Tant pis au moins c’est une piste. Dit Aurélie vexé qu’on ne la prenne pas au sérieux

- J’ai une meilleure idée. Dit Nicolas en lui prenant la main. Tu vas aller au village voisin pour aller essayer de faire parler les habitants sur les anciens propriétaires et le nouveau. Et avec de la chance l’un d’eux pourra nous donner un élément.

- Fait le toi. C’est ton idée. Répliqua Aurélie.

- Non. Moi je resterai ici pour vérifier ta théorie.

- Pourquoi toi, c’est ma théorie. Dit Aurélie passablement énervé

- Parce que je maîtrise le Feu donc je serais plus apte que toi à ressentir la chaleur et que…on ouvre plus facilement sa porte à un canon qu’à un mec comme moi.

- Tu me trouves belle alors ?

- Assez oui. Dit Nicolas gêné, même très gêné. Prend le dossier de l’assurance et fais toi passer pour un de ces représentants, sa passera mieux. Dit Nicolas qui était assez agité.

- Bien vue. Alors j’y vais. »   

 

 

 

 

 

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Je passais sur le forum et je me suis encore perdu dans ta fan-fic mais quel bonheur ! Voilà j'éspère povoir lire et relire encore les fabuleuses aventure de Florian et Nicolas en tout cas l'intrigue de cette nouvelle saison et très mysthique ...

 

Manu-7

PS: Continue comme ça !

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  • 1 month later...

Et voila le chapitre de Noël !

 

Avec mes meilleures voeux pour tous !

 

 

 

V) Enquête !

 

 

 

Aurélie se dirigea vers le village qui n’était qu’à quelques minutes de marche du manoir, ou plutôt de ce qui en reste. Elle passa sa main dans sa chevelure blonde platine arrivant sur ces épaules, un pantalon de cuir noir lui recouvrant les jambes, un polaire avec un col roulé jaune pâle lui recouvrait ses adorables formes avec par-dessus un petit blouson en jean de couleur bleue. Elle était contente qu’un mec la remarque qui plus est Nicolas ! Elle se retourna et le vit chercher dans les décombres, il ne la voyait pas mais elle, elle adorait le voir fronçait les sourcils quand il est à la recherche d’une solution à un mystère et bien que sa corpulence n’en fait pas un dieu grec, il garde quand même un beau physique. Elle entra dans le village, elle regarda toutes les maisons. Malheureusement elles se ressemblaient toutes ! Et puis elle se décida pour une qui se trouvait sur sa droite. Elle toqua à la porte :

 

« - C’est pourquoi ? Demanda une voix rauque et irritée.

- C’est l’assurance. Répondit décontenancé Aurélie.

- On n’en a pas bougre d’imbécile ! Vous avez vu notre palace avant de toquer au moins ! »

 

En effet, la façade était toute sale, la porte était branlante, des carreaux de fenêtre jonchaient l’herbe jaune de devant la maison et le toit était délabré.

 

« -Excusez moi, mais c’est une enquête sur votre voisin : Mr Brown…

- Connais pas ! Coupa la voix

- Mais pourtant vous habitez à côté et je me demandais

- Connais pas je vous dis ! Insista la voix. Allez voir Elisabeth trois maisons plus loin, elle s’est la mégère du village, elle aura bien de quoi vous parler.

- Merci pour votre aide. Dit Aurélie. »

 

Puis elle s’en alla voir cette fameuse maison où vivais une dénommée Elisabeth. Une fois devant la maison on voyait bien que la propriétaire prenait plus soin de sa maison que l’autre un peu loin. La façade était repeinte, le toit était parfait et les fenêtres n’étaient pas abîmées. Elle toqua à la porte, une vielle femme, la soixantaine, ouvrit la porte :

 

« - Bonjour ma jolie, que puis-je faire pour vous ?

- Bonjour. En fait je travaille pour l’assurance du propriétaire du manoir qui à brûlé et je voudrais vous posez quelques questions à ce sujet.

- Mais entrez donc, je vous servirai une petite tasse de thé avec mes délicieux biscuits. Proposa la vieille femme.

- Je vous remercie. Répondit Aurélie. »

 

Elle s’installa sur le canapé du salon et constata que l’intérieur était aussi très bien entretenu.

 

« - Je vous écoute. Dit la vieille femme après être revenue de la cuisine avec le thé et les gâteaux.

- Je souhaiterais savoir des choses sur Mr Brown.

- Des choses ? Demanda Elisabeth.

- Oui des trucs, des ragots, des potins des trucs que tous le monde voudrait cacher. Expliqua Aurélie à petite voix.

- Et bien vous êtes bien tombé ma petite traînée !

- Quoi ? Demanda Aurélie

 

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  • 1 month later...
  • 4 months later...
  • 4 weeks later...

Bonjour tout le monde !!

 

La voila enfin, la suite de l'histoire arrive avec un peu de retard mais elle est bien là !! Alors sans plus attendre

 

 

VI) Interrogatoire

 

Aurélie était surprise et en colère suite à ces paroles.

 

« - Qu’avez-vous dit ? Demanda-t-elle en commencent à s’énerver.

- Je vois claire dans votre jeu ma petite. Ricana Elisabeth.

- De quoi parlez-vous ?

- Je t’ai vu entrer chez dans le manoir Brown. Tu étais sa maîtresse ?

- Non. Vous êtes sur que vous confondez pas ?

- Tient, c’est vrai que je vous ai vu brune. Oups…Désolée j’ai confondu. Vous savez à mon âge on a plus toute sa tête. S’excusa Elisabeth.

- Oui, sans doute. Répondit Aurélie. Vous parliez d’une brune. Pourrais-je en savoir d’avantage ?

- Bien sur, bien sur. Que voulez-vous savoir ?

- Qui est-elle, qu’est-ce qu’elle voulait à Mr. Brown, ce genre de chose. Demanda Aurélie d’une voix calme.

- Il me semble qu’elle était une employée d’un collectionneur ou d’un vendeur de breloque et vous savez, l’ancien propriétaire qui était Alan Smith adorait tous c’est objets avec une légende ou une histoire.

- Très bien, continuez s’il vous plait.

- J’imagine que le nouveau, Mr. Brown ne devait pas aimer ces vieilleries et il voulait sans doute les revendre pour éponger son emprunt. Pauvre gars, il n’en aura pas beaucoup profité de son manoir.

- Pourriez-vous me faire un portrait de la brune que vous avez vu entrer chez lui.

- Oh, vous savez à mon âge je ne me souviens pas de tout. S’exclama Elisabeth.

- Allons, je suis certaine que vous vous souvenez de quelque chose. Dit Aurélie avec une pointe de colère pour intimider Elisabeth.

- Elle était brune, les yeux marron avec un grain de beauté prêt de la lèvre si je me souviens bien.

- Vous voyez, quand vous voulez. En tout cas merci pour ces informations précieuses. Je vais donc vous laisser. Dit Aurélie en se levant.

- Déjà ! Bon, revenez quand vous voulez surtout, hein.

- A l’occasion alors. Dit Aurélie sur le pas de la porte.

 

Elle sortit du village pour aller rejoindre Quentin et Nicolas sur les lieux de l’incendie. Un fois sur place elle les vit agenouillait dans les décombres entrain de fixer du regard le sol. Nicolas agitait les bras pendant que Quentin ne bronchait pas. Aurélie s’approcha et se penchait par-dessus l’épaule de Nicolas et demanda :

 

- Vous faites quoi ?

- On fait une réplique du manoir afin de déterminer le foyer de l’incendie. Répondit Nicolas.

- Donc tu as trouvé ? Demanda Aurélie qui laissait transparaître sa gaieté.

- Oui grâce à ta technique.

- Et avec quoi vous faites la réplique. Demanda-t-elle.

- Avec la Terre. Dit froidement Quentin.

- En regardant les plans du manoir j’ai put déterminer que le foyer devait provenir du salon où se trouvait une cheminée. Le suspect a sûrement allumait un feu dans la cheminée et il a fait un lien entre le feu et la pièce avec un tapis ou bien un des cadavres

 

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  • 1 month later...

Et voila la suite !!

 

Avec beaucoup de retard j'en suis conscient.

 

N'oubliez pas de poster un petit commentaire, merci.

 

 

V) Où dormir

 

« - Bon, maintenant nous connaissons le lieu où à démarrer l’incendie. Dit Aurélie

- Et toi, qu’as-tu appris ? Demanda Nicolas.

- Apparemment une jeune femme brune, avec un grain de beauté près de la lèvre et des yeux marrons aurait été aperçut près du manoir. D’après ma source il se pourrait que cette jeune femme soit l’employé d’un collectionneur.

- Très bien, allons à la ville la plus proche pour voir s’il n’y a pas un antiquaire. Suggéra Nicolas

- Je m’occupe du transport. Dit Quentin en élevant la voix pour éviter toute opposition.

 

Il planta ses doigts dans la terre et il souleva une plaque de terre qu’il jeta sur le sol. Il grimpa dessus et il invita ses compagnons à faire de même. Aurélie et Nicolas se regardèrent puis montèrent eux aussi. La plaque n’était pas bien haute à peine une cinquantaine  de centimètre et large de deux mètres. Quentin posa un genou sur cette plaque, plaqua sa main dessus et la plaque se mit à avancer toute seul.

Quelques minutes plus tard ils s’arrêteraient à proximité d’une petite ville. Quentin sauta de la plaque, imitait par Nicolas  qui se retourna pour tendre sa main à Aurélie pour l’aider à descendre.

 

«  - Puis-je t’aider ? Demanda Nicolas d’une voix douce.

- Je t’en prie. Répondit Aurélie en fermant à moitié ses yeux, un peu gêné par ce geste.

- Allez, dépêchons, on n’a pas toute la nuit non plus. Grogna Quentin  «

 

Effectivement la nuit commençait à tomber.

 

« - On va prendre une chambre pour la nuit. Dit Nicolas en se dirigeant vers l’hôtel qui se situait à l’entrée de la ville. »

 

Les autres suivirent sans rien dire. La devanture de l’hôtel était sale de même que l’intérieur qui sentait le renfermé. Devant la porte d’entrée se trouvait un comptoir avec un homme assez âgé juste derrière, une moustache grisonnante tout comme ces tempes, très peu de cheveux habillait son crâne. Nicolas s’avança.

 

« - Bonsoir. Je souhaiterais avoir une chambre.

- Le réceptionniste les dévisagea de haut en bas tous les trois. Il renifla un bon coup et répondit.

- Plus de chambre.

- Pas une seule ? Demanda Nicolas.

- Pas une seule, gamin. Reprit le réceptionniste.

- De quoi ? Te fous pas de nous, ok ? S’énerva Quentin.

- Du calme Quentin, on trouvera une solution, ne t’inquiète pas. Dit paisiblement Nicolas tout en fixant le réceptionniste du regard.

- Puisque je vous dis que je n’ai plus de chambre.

- Faux. Coupa Nicolas.

- De quoi ? Répondit le réceptionniste.

- Il te reste des clés, je le sais alors arrête. Ecoute, si tu crois qu’on ne peut pas payer tu te trompe.

- M’en fous de ton argent, je ne veux pas d’étranger ici.

- Personne ne sais qu’on est là, demain matin on sera parti avant le levé du jour. Dit Nicolas qui ne lâché toujours pas le réceptionniste du regard.

- C’est d’accord, si tu paies le double.

- Comment ? Hurla Aurélie.

- C’est d’accord pour nous. Répondit Nicolas en étalant une liasse de billet sur le comptoir. Une chambre alors.

- Très bien, se sera le numéro quatorze. Dit le réceptionniste en  tendant la clé. »

 

Nicolas saisit la clé et commença à monter les marches de l’escalier qui se trouvait dans un couloir à droite du comptoir. Aurélie et Quentin le suivirent subjugué et sans un mot. Lorsqu’ils entrèrent dans la chambre ils découvrirent qu’il n’y avait qu’un seul lit.

 

« - Il est à moi ! Crièrent Quentin et Aurélie, ensemble.

- Je vous le laisse, je vais sortir faire une ronde ce soir. Et d’ailleurs, priorité au belle demoiselle Quentin, c’est ça la politesse.

- Un vrai gentleman. Dit Aurélie. »

 

 

 

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Et en voila un autre.

 

Merci de mettre un petit commentaires.

 

 

 

VI) Petite visite

 

A ces mots, Quentin grogna un peu mais il se plia aux exigences de Nicolas. Celui-ci ouvrit la seule fenêtre de la chambre. Elle était petite, poussiéreuse, une odeur de moisissure planait dans cette pièce. Il y  avait un seul lit, un vieux fauteuil et une commode. La fenêtre donnait immédiatement sur la grande rue éclairée de cette petite ville assez tranquille, loin de tout mais il y avait assez de commerce et de service pour ne pas se plaindre. La nuit était belle car la lune illuminée assez bien et on pouvait admirer les étoiles dans le ciel.

 

«- C’est un temps idéal pour sortir. Dit Nicolas, en passant la tête par la fenêtre. Bon, je vais repérer les lieux, vous, vous restez là.

- Et c’est tout ? On t’attend pendant que tu t’amuses tout seul ? Demanda Aurélie qui était déjà affalé sur le lit.

- Vu comment tu es allongé je crois que tu ferais mieux de rester là et Quentin. Nicolas s’interrompit. »

 

Quentin était vautrait sur le vieux fauteuil, les yeux fermaient. Nicolas regarda à droite et à gauche de la rue et sauta de la fenêtre. Il mit ses mains dans ces poches et marcha tranquillement le long de la rue en observant les devantures des magasins. Il y avait des boulangeries, des supermarchés, des distributeurs automatiques. Rien qui ne sorte de l’ordinaire et puis il s’arrêta devant un magasin ou il était écrit sur la vitrine : « Joe le trouve tout, demander et soyer servit ».  C’était peut-être la boutique qu’il recherchait. Il regarda à l’intérieur mais il ne vit pas grande chose à l’intérieur si ce n’est des étagères remplit d’objets diverses. La boutique se trouvait au rez-de-chaussée d’un petit immeuble mitoyen de chaque côté avec de pareil immeuble. S’il attendait le lendemain matin pour venir inspecter cette boutique le propriétaire ne lui montrerait surement pas ce qu’il veut voir à savoir des objets ayant appartenus à Mr. Brown. Il s’accorda quelques minutes de réflexion. Puis il regarda le ciel et les lampadaires qui illuminer la rue, il remit ses mains dans ses poches et continua sa route. Il rentra à l’hôtel par la porte de devant cette fois.

 

« - Mais…je ne…vous avais même pas vu sortir. Dit le réceptionniste en pointant du doigt successivement l’escalier et la porte.

- Faut croire que vous vous êtes assoupit mon brave. Répondit Nicolas sans s’arrêter de marcher vers l’escalier. »

 

Il rentra dans la chambre avec la clé qu’il avait gardée. Aurélie dormait profondément dans le lit et Quentin ronflait dans le fauteuil. Nicolas fouilla dans la commode et il y trouva deux draps, il couvrit Quentin avec l’un d’entre eux et garda l’autre sur lui assis face à la fenêtre. Il régla la sonnerie de sa montre à trois heures du matin. Celle-ci retentit quelques heures après, c’était un petit bruit mais qui réveilla assez rapidement Nicolas sans déranger les autres. Il se leva, s’étira un petit peu tout en regardant la rue par la fenêtre. Il ouvrit cette dernière, puis de nouveau, il sauta. Il se retourna et avec sa manipulation du Vent il poussa la fenêtre sans la refermer. Comme il le penser, les éclairages publics étaient éteints seul la lune faisait office de lumière dans ce drap d’obscurité qu’était la petite ville. Il marcha lentement et silencieusement en longeant les murs en direction de la boutique de Joe. Une fois devant celle-ci, il s’accroupit et sauta et grâce au Vent il put atterrir sur le toit de l’immeuble qui se trouvait à une bonne quinzaine de mètre du sol. Une fois là haut, il fut surpris de ne pas voir de porte ou de trappe donnant accès à l’intérieur de l’immeuble.

 

« Bon, si je ne peux pas entrer par le toit il ne me reste qu’à rentrer par la fenêtre. » Pensa-t-il.

Par chance l’immeuble était pourvut de petit balcon, ce qui lui donna un appui où se laisser tomber. Il se trouva face à une double porte fermait de l’intérieur. Il regarda rapidement à l’intérieur et apparemment, il se trouvait face à la salle à manger où personne n’était. Il vit un pot de fleur à proximité de la porte de cette salle. Nicolas frappa ses poings entre eux prononça à petit mots « La main de la Terre ». Le terreau du pot fleur se mire à bouger, il commença à se contorsionner pour devenir une petite boule puis cinq petites baguettes de terre se plantèrent dedans. Cette chose ressemblait à une main, elle agitait ses doigts puis se laissa tomber du pot de fleur. Elle rampa difficilement jusqu’à la porte-fenêtre. Une fois devant la porte-fenêtre la main s’éleva grâce à des particules de terre qui se superposèrent l’une sur l’autre. Une fois arrivait à bonne hauteur, elle saisit la clenche et la tourna pour ouvrir la porte à son maître. Ce dernier entra et indiqua de sa main gauche le pot de fleur à la petite main de Terre. Celle-ci se désagrégea en petite poussière qui longea le sol pour se remettre dans le pot de fleur.

« J’ai put entrer, maintenant tâchons de ne pas faire de bruit. Pensa Nicolas »

Il leva sa main droite et murmura « La coque du Vent ». Du vent s’accumula dans la paume de sa main droite et tout d’un coup il recouvrit le corps de Nicolas d’une forme ovale l’ampleur de cette forme était d’une mètre. Il referma la porte fenêtre et il s’avança dans l’appartement, il ne fit pas attention à ces bruits de pas car la coque de vent empêche tout son émit de dedans de sortir ce qui était bien pratique. Il s’arrêta devant la porte de sortie mais celle-ci était bien vieille et le trousseau de clé était vieux lui aussi. Nicolas se concentra et la coque de vent fit un mur de vent derrière lui, ainsi il put tourner les clés, il ouvrit la porte et la refermait sans que les sons stridents produit par ces actions ne puissent être entendu dans l’appartement. Le mur de vent s’estompa, Nicolas se retrouva dans un couloir où se trouvait d’autre porte. Il reformat une coque de vent et il descendit les escaliers jusqu’au rez-de-chaussée.

 

 

 

 

 

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Bonsoir à tous !

 

Décidément je suis en pleine bourre niveau artistique !

 

Voila la suite de votre histoire préféré !!

 

 

 

VII] Espionnage

 

Cette situation ne lui plaisait guère, agir comme un bandit n’était pas dans ses habitudes mais les circonstances l’exigeaient. Il y avait eu mort d’homme et Didier semblait perturbé par cette histoire donc tous les moyens étaient à employer pour enlever le voile du mystère qui reposait sur cette affaire. Une fois au rez-de-chaussée il entra dans la boutique. Comme il avait put le voir de l’extérieur s’était un vrai chantier ici. Boule de cristal, jeux de carte, vieux revolver, pendentif, quelques robes de multiple couleur,… Nicolas sortit le listing de l’assureur qu’il avait précédemment acquis. Il y  avait entouré quelques lignes qui indiquaient quels objets manquaient après l’incendie. Bien entendu beaucoup de ces objets on été détruit dans l’incendie mais Nicolas sentait que c’est le mobile des meurtres.

Nicolas arrêta sa coque du Vent et s’avança dans les allées de la boutique, il serra sa main gauche et l’ouvrit en prononçant « Feu » une petite flamme vint danser au creux de sa main avec comme spectateur les yeux sombres de la nuit. Pendant qu’il arpentait les étagères il pensa :

 

« Pourquoi aurait-on assassiné Mr. Brown et surtout en avoir si bien maquillé les preuves ? Vielle rancœur ? Jalousie ? Amour ? Non. C’est bien trop futile. Ce travail a était trop bien fait pour s’être fait sur un coup de tête. Il a été minutieusement préparé, planifié. Le meurtre en soi n’est pas le problème, c’est le feu. Pourquoi avoir tué Mr. Brown et seulement après avoir allumé la demeure. Le malfrat devait vouloir effacer ses traces mais aussi celui de son vrai crime. Donc il s’agit d’un vol d’un des objets de Mr Brown. Cet objet devait être précieux mais pas en tant que chef d’œuvre mais en tant qu’objet mystique car Mr. Brown ne l’aurait sans doute pas conservé vu qu’apparemment il n'apprécié pas les quincailleries donc il devait ignorer la valeur symbolique de cet objet. Dommage pour lui. Cet objet doit être ancien et il doit apparaître dans certaine légende si c’est ce que je crois. Mais dans ce magasin tous ces objets ne sont que des jouets et rien d’autre.  Il doit surement y avoir une réserve, peut-être aurais-je un peu plus de chance là dedans. Il chercha dans toute la boutique mais il ne trouva rien de tel. »

 

Nicolas avait l’air dépité, il ruisselait de sueur malgré la fraîcheur de la nuit. Le sommeil commençait à le gagner. Après s’être résigné que cette voie était la mauvaise, il se dirigea vers la porte de devant. Il fit de nouveau un mur de vent pour étouffer tous les bruits qu’il pourrait produire. Il ouvrit le verrou de la porte d’entrée et sortit tranquillement dehors, puis après l’avoir refermé il commanda au vent de réenclenché le verrou de telle sorte que personne ne se doute de sa petite escapade nocturne.

Il marcha le long de la rue pour regagner l’hôtel. La lune éclairée la rue par un faible faisceau lumineux. Pendant son trajet Nicolas essaya de réorganiser ses pensées, notamment où trouver cet objet, d’ailleurs il ne savait pas si c’était la bonne direction à prendre. Mais il devait régler un problème un peu plus « présent ». Il s’arrêta tourna légèrement la tête derrière lui et dit :

 

«- On a assez joué maintenant. Sort de là. Le silence de la nuit se prolongea. Tu veux que je vienne te chercher peut-être ?

- Je n’en attendais pas moins du célèbre Nicolas « l’analyste ». C’était une voix  feutrée, un peu faiblarde. Depuis quand m’a tu découvert ?

- A-t-on avis ? Répliqua Nicolas

- Je n’en sais rien, et je n’ai pas envie de réfléchir à ça. Tu ne m’en veux pas si je reste dans l’ombre j’espère ? Demanda la voix.

- Tant que tu y restes non. Mais je voudrais bien avoir ton nom.

- Le solitaire. Déclara la voix assez solennellement.

- Que veux-tu ? Pourquoi m’espionnes-tu ? Questionna Nicolas.

- Je veux des réponses, c’est tout. Car je crois que toi seul peux résoudre cette enquête. Après tout tu es l’analyste, n’est-ce pas ?

- Je n’aime pas ce surnom.  Dit Nicolas en haussant la voix.

- Ha bon ? Lequel préfères-tu alors ? L’homme aux quatre éléments ? Le stratège alors ?

- Aucun, je suis juste Nicolas. Un point c’est tout.

- Arrêtes de te sous-estimer. Tu es le premier et l’un des rares, très rares à pouvoir maîtriser quatre éléments à la perfection et grâce à ces atouts tu possèdes un panel de technique incroyable qui t’offres une porte de sortie pour chaque situation. De plus malgré toutes ces techniques tu es capable d’analyser l’attaque et la défense adverse de sorte à toujours contrer l’attaque et prendre à revers la défense avec toujours un temps d’avance en employant la technique qui t’offres le plus d’efficacité en un minimum de temps. C’est pour ça qu’on t’appelle l’analyste ou le stratège. Car tu as une grande capacité d’observation et de réflexion. C’est pour ça que je t’espionne, pour connaître le fin mot de cette affaire de vol d’objet mystique. La voix s’estompa dans la nuit.

- Tu es bien au courant je trouve. Aurais-tu quelques informations à me communiquer ? Demanda dubitatif Nicolas. »   

 

 

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Bonsoir.

 

Que dire à part que cette histoire me passionne ? Et j'espère qu'elle a le même effet sur vous que sur moi !

 

En tout cas, voila la suite !!

 

Merci de laisser un commentaire.

 

 

 

VIII] Légendes

 

« - Et bien, j’ai bien quelques informations que tu sembles ne pas posséder. Répondit la voix avec un peu de mépris.

- Je t’écoute. Dit Nicolas en se retournant, il regardait le haut d’une des rares maisons qui était installé dans la rue, où l’on pouvait deviner une forme humaine.

- Ce que le voleur a dérobé est un objet mystique, ayant appartenu à de grand guerrier. Selon mes déductions il pourrait s’agir d’une hache, qui aurait appartenu au Lord Kinyg. D’après l’histoire il aurait vécu au temps des rois, mais selon la légende il aurait été à la cour du Roi Richard Cœur de Lion. Ce Lord Kinyg aurait été un grand chevalier, il a participé à la troisième croisade. Lors de l’arrivée des troupes anglaises sur la terre sainte, il devait aider les Francs à terrasser la ville d’Acre, mais eu aussi était attaqué par le Roi Saladin. Finissant par capturer la ville et voulant fêter son succès il organisa un grand banquet mais le Lord Kinyg n’était pas de cette avis, pour lui, il fallait marquer un coup pour montrer aux adversaires que les anglais étaient des guerriers, des tueurs. C’est ainsi qu’il suggéra au Roi Richard Cœur de Lion de tuer toutes les personnes de la cité. Celui-ci accepta car les arguments du Lord étaient imparables. Voulant lui aussi entré dans la légende le Lord demanda à ce qu’on ferme les portes d’Acre au petit matin pour ne les rouvrir qu’à la nuit tombante avec lui, et lui seul à l’intérieur. Les soldats s’exécutèrent et le soir, on le vit sortir avec une mine réjouit, sa hache sur son épaule couverte de sang, tout comme lui. Les comptables de l’épopée on dénombré plus de 3 000 cadavres. Cette hache eue d’autres massacres à son actif mais pas d’aussi terrifiant. La légende voudrait que la tante au Lord Kinyg soit une envouteuse, elle aurait lancé un sort à cette hache pour que chaque personne qui tomberaient sous ses coups deviennent l’esclave du possesseur de la hache quand celui-ci les rappellera du royaume des morts. Le ton de la voix s’abaissa lentement au cours de l’histoire pour ne mourir qu’à la toute fin en un soupir.

- C’est une bien belle histoire que tu me comptes là. Mais effectivement, une hache manque au registre de la police. Confirma Nicolas avec le listing de la police en main.

- Je n’ose pas imaginer les ennuis que pourrait produire cette arme entre de mauvaise main, surtout si ses prétendu pouvoir existent réellement. Reprit la voix l’inconnu.

- Dans le monde dans lequel nous vivions, c’est chose sont possibles. Mais beaucoup d’autre aussi. J’ai des renseignements comme quoi une brune aurait été vue au domicile de Mr. Brown. Un commentaire peut-être ? Demanda Nicolas.

- Effectivement, je te confirme que j’ai eu vent de cette rumeur. Cependant, j’ai ma petite idée sur la personne. Elle s’appellerait Samantha Watson, secrétaire d’un dénommé Drew Godwinson. Réputé pour être un collectionneur d’œuvre d’art en tout genre, la police le soupçonnera d’escroquerie et de trafic de contrefaçon.

- Un riche homme d’affaire, qui serait impliqué dans une histoire de vol d’objet mystique ? Dit Nicolas.

- Autre fait intéressant, il semblerait qu’il soit le descendant d’Harold Godwinson, le dernier Roi anglo-saxon avant la conquête de l’Angleterre par Guillaume le Conquérant.

- J’imagine un scénario bien catastrophique tout à coup. Coupa Nicolas.

- Je t’écoute. Répondit l’inconnu.

- Si ce Drew Godwinson est bien le descendant d’Harold Godwinson il se pourrait qu’il veuille retrouver sa condition de Roi. Pour se faire il aurait volé une hache lui permettant de ramener à la vie des combattants.

- Impressionnant, j’en suis arrivé à la même conclusion. Il a le mobile, l’opportunité et les capacités de le faire.

- Donc Samantha Watson serait allé proposer une somme d’argent à Mr. Brown pour cette arme, celui-ci ayant refusé, Drew envoie des hommes de mains faire le sale boulot. Scénario plus que probable. Admit Nicolas en acquiesçant de la tête.

- Bien, maintenant que tu es prévenu, je peux m’en aller. Dit la voix.

- Pour aller où ? Questionna Nicolas.

- Retrouver une vie un peu plus normale. Mais ne t’inquiète pas, je ne serais jamais trop loin. Cette histoire m’intrigue, et j’aimerais bien en connaître la fin. Dit l’inconnu. »

 

On entendit un bruit sourd, Nicolas sentit que le solitaire était partit. Cet individu était une énigme pour Nicolas. Il en savait beaucoup trop pour ne pas être impliqué dans cette affaire. Mais il l’a bien aidé à avancer dans son enquête. Nicolas mit ses mains dans ses poches et rentra à l’hôtel par la fenêtre de la chambre qu’il avait prit soin de seulement refermé. Il s'endormit le long du lit où couchait Aurélie.

 

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  • 3 weeks later...

Voila la suite tant attendu par vous !!

 

Merci de laisser un petit commentaire s'il vous plaît.

 

 

IX] Un samedi matin

 

L’aube du matin arriva, le soleil vint lécher le visage d’une dormeuse. Celle-ci s’engouffra encore plus dans son lit pour échapper aux premières lueurs du jour. Elle finit par se redresser et sortit du lit péniblement. Elle sortit de sa chambre et alla instinctivement dans la cuisine, prit un bol qu’elle remplit de lait. Elle le but d’un seul trait. Elle se dirigea ensuite dans la salle de bain, elle peigna soigneusement ses cheveux brun clair qui s’éclairé avec une note de roux lorsque le soleil les enflamma. C’était le week-end, Kaïla avait prévu de sortir avec ses copines en début de matinée pour aller faire du shopping dans un grand centre commercial qui se situait à une bonne heure de leur maison, pendant toute la journée.  En sortant de la salle de bain elle vit son père marchait lentement dans le couloir : il avait la cinquantaine, une petite moustache brune ainsi qu’une barde de la même couleur, il avait les cheveux courts et roux, assez grand mais maigre et de beaux yeux marron derrière des lunettes rectangulaires. Elle se précipita sur lui et se jeta dans ses bras :

 

«- Bonjour Papa !! Dit Kaïla en l’embrassant sur la joue.

- Je n’ai pas oublié chérie, je dois t’emmener toi et tes amis aujourd’hui. Répondit le père encre un peu endormi.

- C’est exact, on a dit rendez-vous 9h00

- Je sais. Coupa le père. Je me suis levé en fonction de cet horaire.  Maintenant vas te préparer. »

 

Kaïla courut dans sa chambre. Elle ouvrit en grand son armoire et plongea dans ses nombreux tiroirs pour trouver la tenue parfaite.

 

Au même moment, une autre personne était particulièrement ennuyée par ce levé de soleil. Il finit par se lever, il se changea tout de suite. Il mit un short noir, un T-shirt de la même couleur. Il se dirigea vers l’entrée quand une voix l’alerta :

 

«- Où vas-tu Florian ? Demanda une voix féminine.

- Courir au lac, maman. Répondit Florian. »

 

Il chaussa ses vielles chaussures noires, enfila ses écouteurs dans ses oreilles et partit pour courir. Sur son chemin, il commença une conversation avec Seigi :

 

«- Tu as quelques idées ? Demanda Florian

- Pas pour l’instant mais je réfléchis. Répondit Seigi.

- Il était assez étrange son message non ?

- Effectivement, il te demandait de t’entrainer durant son absence. Reprit Seigi.

- Et bien je vais essayer de faire comme il a dit et on verra bien.

- Attention la pierre. Coupa Seigi.

- Bien vu. Reprit Florian qui avait évité de justesse une pierre sur son chemin. »

 

De retour chez lui après une petite demi-heure, Florian alla prendre une bonne douche. Après celle-ci il consulta son téléphone portable qui affichait un nouveau message d’Antoine :

«- On se fait une petite sortie cet aprèm ? J’emmène un pote. On se dit vers 14h00 en bas ? »

- Florian réfléchit un peu et répondit « OK ». Ca ne pourrait lui faire que du bien une petite sortie.

- L’heure arriva, Florian descendit. Il portait un blue jean, un T-shirt à longue manche bleu marine avec des inscriptions blanches dessus et il portait un petit blouson beige. Il vit Antoine en bas de leur immeuble, il portait un jean slim bleu délavé et un polo gris.

 

«- Comment vas-tu ? Demanda-t-il.

- Très bien, et toi ? Répondit Florian.

- Tranquille. On y va ? Antoine lui montrant le chemin.

- C’est partit. Les deux amis marchèrent cote-à-cote. Où es ton pote ?

- Elle arrivera bientôt. Répondit Antoine.

- Oh, une fille. Dit dubitatif Florian. Je la connais ?

- J’en suis sur. Répondit-il avec un petit sourire en coin. »

 

Ils arrivèrent à une station de bus, Antoine s’installa imitait ensuite par Florian. Florian était perplexe. Qu’allaient-ils faire ? Où allaient-ils ? Qui était cette fille qu’il connaissait ? Un bus arriva, il s’arrêta devant eux. Antoine se leva et grimpa à l’intérieur, Florian lui emboita le pas. Une fois à l’intérieur Florian sentit un filet de sueur froide coulait le long de son dos puis il trouva la source de son mal être. Il se trouvait au fond du bus, assis, la tête appuyé contre la vitre. Il avait toujours les cheveux noirs comme ses yeux, il portait un blouson noir en cuir et un pantalon jean de la même couleur. Une fille était assis à ses cotés, elle était blonde, elle portait une chemise jaune pâle et des collants jaune surmonté d’une petite jupe ocre tenu par une ceinture brune. Antoine se dirigea vers eux machinalement, il fit la bise à la jeune demoiselle avant de serrer la main au jeune homme. Florian l’imita même si cette situation lui paraissait hors norme.

 

«- Je n’arrive même pas à réaliser que tu me parlais d’eux.

- Tu aurais du le deviné Alex. Coupa Florian.

- Vous n’allez pas commencer vous deux ! Dit Fiona en élevant la voix.

- Dites nous ce qui vous lie tous les deux qu’on en finisse vite. Répondit Alex avec désinvolture. Antoine et Fiona devinrent rouge pivoine.

- Sa crève les yeux. Compléta Florian.

- Vous avez raison. Fiona et moi on sort ensemble. Dit Antoine.

- Voila, maintenant je peux partir. Dit Alex en se levant.

- Rassis toi. Dit Fiona. On va tous aller au centre commercial pour passer une bonne après-midi.

- Pas la peine de t’énerver. Répondit Alex un peu surprit de l’engouement de Fiona. »

 

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