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Fic: Songes dans la Brume


Miss Uchiwa
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Trooooop bien le nouveau chapitre!!  ;D

Kael tient un peu de Naruto il espionne les filles dans leur bain lol

Par contre j'ai enfin trouvé une erreur (lol je l'ai cherchée pendant longtemps, hé oui je suis vicieuse) pour la technique de judo qu'utilise Lynn lors de son combat contre Merkal, tu dis qu'elle fait une technique qui s'appellle Ipon. Mais en Judo, Ipon c'est quand un des combattants tombe sur le dos trés fort; et son adversaire gagne le combat ou remporte 10 points. Une technique qui commence par Ipon c'est Ipon Tsu Nage (ceinture blanche) où le judoka atrape le bras de l'autre et le soulève pour le faire tomber de l'autre côté.Voilou ^^

Sinon c'est toujours aussi impressionnant, l'idée de départ c'est vraiment digne de faire une trilogie ou plus, j'espère qu'elle va durer super longtemps ton histoire

 

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Merci^^

Aller, prise d'une soudaine envie d'écrire, ze vous met la suite^^

 

Purée, ça fait mal !

Merik a désinfecté l'entaille avec un produit qui fait passer l'alcool à 90° pour de la gnognote...Au moins, je risque pas l'infection, ça, c'est sur...Je serre les dents...encore quelques points de suture, et la plaie sera complètement refermée. Pffou, ça y'est !

J'enfile ma chemise avec soulagement: avec le soir, le temps commence à raffraichir...et Kaël peut sortir débarquer à tout moment, aussi. Je remercie Mérik.

Celui-ci s'est presque éffondré dans l'herbe. C'est vrai que pour lui, le boulot viens d'être terminé...Il dit avec un sourire:"_Pas de quoi, t'es dans l'équipe, maintenant...

_ Comment ça ? y'avais pas une épreuve à passer, ou un truc de ce genre là ?"

Un éclat de rire bref m'interrompt: c'est Malek, le type aux yeux de rapace. Il désigne le convoi d'un geste las:" Je crois que l'épreuve, tu l'as passée...de toute façon, Merkal t'as donné un ordre. Ca veut dire qu'il t'as prise dans l'équipe."

Ah...je sais pas si ça me plait toujours...Je soupire un instant. "Il y a ceux qui tuent une fois...et il y a ceux qui recommencent" je ne sais plus ou j'ai entendu ça...mais manifestement, je fais partie de la seconde catégorie...je demande:" Je croyais que les éclaireurs, ça partait en avant pour repérer les dangers possibles...c'est pas plutôt le boulot des chasseurs, ou bien de soldats, de...enfin..."

Un grognement approbateur provient de l'équipe. Finalement, un mec au crâne rasé, excepté une mèche tressée sur le côté, qui fixe le bout de ses chaussures avec insistance, prend la parole:"_Ouais...c'est aussi ce qu'on pensait...avant."

Je commence à m'échauffer:" Et ils sont où, ces soldats, alors ? c'est qui, le capitaine dont le gros type a parlé ?"

Merik regarde furtivement en direction du convoi, puis explique:"En fait, le capitaine, c'est...ou plutôt c'était, le père de Merkal. Lui et son équipe d'élite étaient chargés de la sécurité du convoi...et...ils sont partis en expédition, et...ça fait vingt jours qu'ils devraient être revenus..." Je tique. Vingt jours...et je suis arrivée il y a...oh, merde, je comprend mieux pourquoi il était à cran...

Je demande:"Et qui le remplace ?"

Le type rasé répond: "Officiellement, personne. Le délais d'attente avant de déclarer une expédition perdue corps et biens est de deux mois. Officieusement, c'est Merkal...et nous, qui nous tappons le boulot." Il ajoute, un rictus ironique tordant sa bouche:"Alors que tout le monde sait bien qu'ils sont mort: depuis qu'il a pris son service, le père de Merkal n'a jamais eu un seul jour de retard..."

Je souris amèrement: "Je vois que la connerie administrative est elle une denrée universelle..."

"_ Et les bavardages aussi, il me semble"

Oups...Merkal...

Celui-ci nous scrute sévèrement, les poings sur les hanches. Il tient son épée encore ensanglantée dans une main, l'autre semble tenir quelque chose qui ressemble à du parchemin, souillé de sang lui aussi.

Il annonce: "_ Les prisoniers ont parlé. Il y a eu un changement dans le gouvernement règnant à Etel'drak. Un dirigeant étranger du nom de Stark'el'arn a pris le pouvoir, et il semble avoir de grands projets de conquète..."

Toute la bande l'écoute, les yeux ronds. Merik demande:"Mais pourquoi s'attaquer à nous ? il n'y a que des Vikasb pour vivre sur ces plaines, et nous n'avons pas de richesses..."

Merkal répond:" Il faut croire que si...Après tout, s'il monte une armée, il aura besoin de l'équipper, et nos cuirs et nos fourrures sont payés en céréale et en métal, deux denrées essentielles pour une guerre: les soldats ont besoin de manger, et d'avoir des armes."

Une murmure indigné s'élève dans la troupe. Je sens une boule de colère se nouer dans mon ventre. pour la guerre...tout ça juste pour...

Merkal reprend la parole, du même ton autoritaire: "Bon, les kasbs devraient bientôt se remettre en route, j'ai persuadé le grand marchand -sa voix trembla très légèrement- que nous ne devions surtout pas rester ici. Il faut s'attendre à une attaque de représaille à tout moment. Vous veillerez à tour de rôle cette nuit, pour prévenir en cas d'assaut surprise."

Il nous regarde à nouveau, avec la même intensité. Tout le monde est attentif. Brusquement, ses épaules s'affaissent un instant, et il dit:" Vous avez fait ce qu'il fallait, quoiqu'en disent les autres. Surtout, ne l'oubliez pas, d'accord ?" Hochement de tête collectif. Merkal redresse le menton...l'instant de faiblesse est passé.

Chacun se secoue, et part de son côté, une fois les heures de veille réparties.

 

Le soir est tombé depuis plusieurs heures. Les kasbs survivants (trois sur les vingts n'ont pas pu repartir, même une fois déchargés) ont repris leur marche lancinante. Comme si rien ne s'était passé, ils avancent dans la nuit du même pas régulier, puissant...inexorable, presque. Ceux qui se sont retrouvés sans toit se sont répartis chez les autres. Pas de laissés pour compte chez les vikasbs. Une jeune femme et son bébé habitent chez nous, le temps que son habitation soit réparée. Perchée sur le toit, confortablement adossée à une exostructure légèrement tiède du kasb, j'admire le spectacle de ces gigantesques ruminants marchants tous d'un même pas, s'éloignant de la rive du fleuve, laissant derrière eux l'horreur de cette journée. Je peux voir Kaël sortir sur la rembarde, une outre colorée dans la main. Il regarde autour de lui, puis, levant la tête, souris à mon intention, levant l'outre d'un geste triomphal. Il grimpe rapidement le lond de la charpente, pour s'affaler à cöté de moi en me tendant l'outre: "Tiens ! je l'ai piqué à maman, c'est du ketch, et du bon !"

Je renifle précautionesement. Ca sent l'alcool fort. Je souris: "Bonne idée..." J'avale une gorgée du liquide.

J'ai failli m'étrangler..."la vache ! Ca arrache !"

Kaël me prend l'outre des mains et dis d'un air blasé: "oui, un peu..." il en avale une longue gorgée, comme si c'était du petit lait...avant de se mettre à tousser comme un perdu:" Putain, c'est quoi ce truc ?!"

J'explose de rire. Entre deux hoquets, je lui dis: "Aller, avoues, t'en avais jamais gouté auparavant..".

Kaël, toujours occupé à reprendre son souffle, tente de nier de la tête. Je rigole à nouveau, et reprend une gorgée d'alcool, prudement cette fois. Il a une senteur très épicée, et un arôme doux amer pas désagréable...et il doit bien titrer 60°, aussi.

Un bruit au loin me tire de mon début d'euphorie. Je réagis vite, trop vite. Kaël aussi, d'ailleurs. Brusquement immobiles, on se concentre sur l'écoute de la nuit. Rien...On échange un regard, mi inquiet, mi désolés.

je souris un peu nerveusement:"Un peu normal d'être parano..."

Kaël m'arrète d'un geste. la tête tournée légèrement sur le côté, il semble écouter avec attention quelque chose que je suis incapable de percevoir. Tournant machinalement la tête, je jette un regard vers la direction supposée. J'ai failli lâcher l'outre d'alcool.je murmure:"Oh, merde..."

 

ps: @tayou...hé beh...je te tire mon chapeau (de lutin^^) pour avoir remarqué cette faute...en fait, je dois admettre que me deux ans de judos à moi sont trèèès loin...et que...vala, quoi^^

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Non mais ca va pas de nous fiches une trouille pareil... non mais , nous faire croire qu'elle a faillis lacher la gourde.... pffff! ^^

 

Pour ce qui est de la troupe je serais d'avis qu'ils ne sont pas mort mais q'ils ont certainement étaient attrapé par les dragonniers.

Dit j'ais juste hein! hein! dit le! j'ais juste hein! ^^

 

Sinon ils ont de la chance dans leurs malheur, ils n'ont perdu que trois kasbs et les habitations souffre un peut mais bon, ils vont pas se pleindrent.

C'est bien pour Lynn qu'elle rentre ainsi dans l'équipe, bien que j'aurais aimé voir l'épreuve.

La relation entre Lynn et Kaël me plais de plus en plus, ils commencent tous les deux a vraiment avoir confiance en l'autre et a s'apprécier

(rien de tel qu'un combat pour rapprocher les gens)

 

"-La premiére fois... vous en avez bavé hein? Mouai, ne vous inquiétez pas la deuxiéme fois est....

  -Oui indégniablement...!"

                                      Casino Royal

Comme quoi elle a bien fait d'accepter de rejoindre l'équipe. ^^

 

PS: Ton histoire m'absorbe de plus en plus chaque jour... ^^

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ouf ! j'ai fini j'ai tout lu !!! *reprend sa respiration*

geniallissime cette histoire ! on s'ennuie pas une seconde, on est jamais déçu, c'est terrible !!! tu devrais peut-être penser à la faire publier dans un magasine ou ce genre de chose.

ah ! et merci pour le petit clin d'oeil de Mia ^^ bien qu'il lui arrive une triste chose ( les Mia s'en prennent plein la tête décidement  ;D )

en tout cas, je suis sure que Lynn et kaël vont faire des choses pas correct !!^^

quoi ? un peu d'amour dans ce monde de brut, que diable !!!

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Pas le temps de souffler...dans la fic non plus, d'ailleurs^^

 

Mes yeux de félin, aux pupilles ouvertes au maximum, me permettent de voir de nuit comme de jour...et de distinguer des choses que j'aurais préféré ne pas voir...

"Putain, ils sont nombreux...et y'a quelque chose de gros...plus gros que les dragons que j'ai déjà vu..." Kaël me jette un coup d'oeil engoissé. Je me redresse pour essayer de mieux voir. Brusquement, je vois une tache de lumière dans les ombres...puis deux, puis trois. Je crie: "Ils ont des torches ! ils vont tout brûler !"

Kaël n'attends pas la fin de ma phrase: il saute en bas, sur la passerelle, pour sonner de toute ses forces dans une trompe de corne. Je fais la grimace: s'il nous cherchaient, avec tout ce boucan, ils vont nous trouver...bah, ça n'aurais fait que retarder l'inévitable...

Je saute dans la tente, réccupère mes armes, et ressort avec celles de kaël à la main. Il est déjà dans l'écurie voisine, en train de seller son ounrâm. Je lui tend  son épée: "T'as failli oublier ça..."

J'avise un ounrâm encore dans sa stalle. Je désigne la bête: "Tu crois que je peux ?" kaël me répond, déjà en selle: "Bien sur ! Aller grouille, je vais pas t'attendre indéfiniment !"

Je ramasse une selle, et commence à sangler la bestiole nerveuse le plus vite possible. Celle-ci commence à vouloir me mordre (ce qui est autrement plus grave que si c'était un cheval...). J'évite son assaut, et lui tire l'oreille brutalement "Oh, ça va, hein !"

L'ounrâm gris s'ébroue, un peu éttoné, et me jette un regard soupçonneux. Ca y'est, la dernière sangle est serrée. Je saute sur le dos de la bestiole, et sors en trombe à la suite de Kaël. Dehors, c'est le chaos complet. Les dragons survolent le convois en poussant de longs cris rauques, leurs cavaliers jetant des projectiles enflammés sur les habitations nomades.

Ils ne sont plus là pour piller, mais pour détruire...et à ce jeu, ils font fort...surtout que tant qu'ils restent dans les airs, on ne peux pas leur faire grand chose...je serre les dents, et dirige mon ounrrâm à la tête du convoi, là ou nous sommes censés nous rassembler...pour quoi faire, bordel ?

Une boule de feu explose à quelque mêtres au dessus de moi. "Miisk, tu peux pas faire quelque chose !?"  "_Tu ne pourrais pas le faire, toi ? Je suis occupé, figures-toi..."

Je force mon ounrâm à remonter vers le brasier: y'a peut-être des blessés. "Occupé ?! le campement est attaqué, je te signale !"

"Certes, mais je ne suis pas disponible, votre shaman est en train de nous invoquer..."

Cool, j'espère qu'il a une bonne raison, le vieux...j'arrive sur le niveau en flamme. J'entends des cris s'élever sur ma droite...mais qu'est-ce que je peux faire ?? "Tu n'as qu'à souffler en pensant à l'élément...tu peux penser à moi si ça peux t'aider..."

Souffler ? en pensant à lui ? Il est encore plus barge que moi, qui suis en train d'entrer dans le brasier pour tenter de sauver la personne qui hurle ainsi...Un pan de toile enflamée craque et manque ma joue de peu...blaaf ! la structure enflamée, déjà secouée par les soubressauts du kasb, vient de s'effondrer... merde, je suis coincée ! J'entends la voix lointaine de Misk:"Souffles, bon sang !"

Je suffoque dans la fournaise, les étincelles me piquent la gorge. Je me force à expulser un peu d'air, concentrant mes pensées sur une image de fraicheur...je sens alors une douce brise, un air frais, délicieusement  léger, me carresser le visage, avant de disparaitre, effacée pas l'incendie...Mais ça marche !?

J'aspire le maximum d'air, et, me concentrant de toute mes forces sur une image mentale de froid polaire et de glace, expulse tout ce que j'ai dans les poumons. Tsiink ! Oups...j'ai du un peu trop forcer, là...tout autour de moi, le sol, la tente, les objets il y a une seconde encore en pleine combustion...sont à présent  couverts de givres, comme gelés. J'entends une personne sangloter...Ah, oui, le blessé...J'avance dans sa direction...et m'écroule à terre, brutalement vidée...je vois des étoiles danser devant mes yeux...

"Espèce d'idiote ! tu aurais pu te tuer !"

"Eh, ça va, hein ? T'aurais pas pu me prévenir, plutôt !?"

"Comment pouvais-je savoir que tu déploirais tant de puissance ? On ne joue pas avec les lois de la thermodynamique sans en payer le prix !"

Je souris: apparemment, ça aussi c'est universel...

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Je vois que tu compatis a notre impatience...

 

Elle peut obtenir des pouvoir grace a son totem, hein hein! Ca promet pour l'avenir!

Le Shaman invoque les totems, pourquoi faire? Une réunion Tuperware! ^^

 

On dit jamais deux sans trois, alors la suite pour aujourd'hui! ^^

Si te plais!!!! [Regard de chien battu...  :-[ ]

 

PS: Je ne sais pas quel mentos elle utilise, mais je veut les même!

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quoi ? qu'est ce que c'est ? qu'est ce qui se passe ? coment ? ou suis-je ? ou j'erre ?

déjà un nouveau chap. tu nous laisse pas le temps de souffler dis donc ^^ et que d'action !! c'est ça qui est pasionnant, on pourrait ce dire " pfff encore une attaque ? mais on vient d'en essuyer une ! "

eh ben non, car on apprend toujours un truc nouveau !

continue comme ça ^^

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J'ai du retard, dis donc! Deux chapitres sans te donner mon avis! Et bien, voila une sacrée dose d'action! C'est sympa ce nouveau pouvoir, et je me demande aussi pourquoi le shaman invoque tous les les totems. Une contre-attaque explosive?

En tout cas, tu ne perds ni le rythme, ni l'attention de toutes ces personnes accrochées fixement à ta fic ;D

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Waa trop bien le nouveau chapitre, donc petit commentaire rituel ^^

Alors le coup des deux pouvoirs liés au totem c'est fort, quelle imagination^^ C'est quoi l'élément lié aux Totems Ourâms? Parce que si Merkal aussi a des pouvoirs comme elle, pourquoi il l'a pas fait pendant leur combat? (quoi? je fais ch*** avec mes questions?? ;D) Sinon j'aurais bien aimé savoir si les Dragonniers ont un Totem, mais ça va jouer un role dans l'histoire j'imagine... Allez continues comme ça!

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Lol, bien trippant vos comm'^^

ben merci^^

 

aller, comme tout les soirs...the suite^^

 

J'attends quelques secondes, étendue sur le sol gelé, essayant de recupérer mes forces. Dehors, le jeu de massacre continue: les cris semblent avoir augmenté d'intensité.

Je sens une présence au dessus de moi: la personne que j'ai sauvée. La femme me tends la main pour m'aider à me relever. J'ai du mal à accommoder ma vision, et mon équilibre est encore très aléatoire...mais je tiens debout. C'est le principal. Je titube jusqu'à l'extérieur. Une bourrasque de vent me fouette le visage...le temps était pourtant calme...L'ounrâm est toujours là. Je grimpe sur son dos avec difficulté...et c'est reparti pour ma course folle.

Je fais un écart pour éviter un kasb rendu fou par l'incendie: la bestiole zig-zague à une vitesse surprenante, en poussant des cris horribles...et écrasant tout ce qui n'est pas assez leste pour l'éviter...

Pour gagner du temps, je décide de grimper sur un kasb aux infra structures encore en bon état. je fais sauter l'ounrâm...une passerelle, deux...on arrive sur la crète du mastodonte. C'est là que je vois le dragon. Il arrive en rase motte, quaziment droit sur moi, son cavalier près à lancer une nouvelle bombe incendiaire...je n'hésite pas une seconde: cette occasion ne se reproduira pas deux fois. Je presse les flanc de mon ounrâm, assurant mes rènes...je lui murmure:"Mon vieux, tu vas devoir sauter comme tu ne l'as jamais fais..."

Je sors mes pieds des étriers...et relache brutalement la pression: la bête puissante s'élance en avant. Je vois la silhouette du dragon se rapprocher...Chtak ! J'ai réussi à attraper la sangle arrière du dragon. Un balancement des jambes...et me voilà sur le dos de la bête.

C'est là que je bénis mes journées de baby sitting: je n'aurais jamais pu effectuer ce genre de chose autrefois...j'ai tiré mon couteau, et avance vers le dragonnier. Un instant, je m'arrète. Je ne peux pas tuer quelqun comme ça, de dos. Il ne sait même pas que je suis là...Grave erreur: le type, parfaitement au courant au contraire, se retourne brusquement et tire un carreau d'arbalète en ma direction. Au même moment, je lançait mon couteau, et trébuchait avec un soubressaut du dragon, me rattrapant de justesse à la sangle arrière. Je vois le type chuter alors que je tente de remonter. Purée, j'ai eu de la chance...

Mais c'est pas tout ça: faut que j'arrive à diriger cette bestiole...j'examine les diverses sangles et longes...euh...Un brusque écart a failli m'envoyer rejoindre le dragonnier précédent .Le dragon, se sentant libre, s'est lancé dans des figures d'accrobaties...et merde...je gueule: "Bon, tu te calmes, ok ?". Incroyable mais vrai, la bestiole semble m'avoir comprise: il prend une trajectoire plus rectiligne, survolant le convoi...Jusqu'à ce qu'il se cabre, à cause d'une nouvelle bourrasque de vent, encore plus violente que la précédente. Apparement, les dragons ne sont pas fait pour voler par vent fort...Je tourne la tête vers la tête du convoi: j'apercois une colonne bleutée dirigée vers le ciel, tourbillonant comme une tornade...voilà à quoi s'activait le vieux...

Je songe: sauf que ça ne fait qu'attiser les flammes...Je retire ce que j'ai dit: de la pluie s'abat brusquement sur moi, mélée de grèle, en plus...surement une contribution de Misk.

 

Voler par ce temps devient tout simplement impossible. Je ne vois plus rien...comment on fait pour atterrir, putain !? Pas le temps de tester la conversation dragon: une masse sombre vient d'entrer dans mon champ de vision. Je vais m'emplafonner avec...le dragon gros porteur. Je saute à l'impact, et me reçoit sur quelque chose qui ressemble à de la toile. Dans un tel déluge, impossible d'en savoir plus. J'entends quelqun gueuler: "Redressez moi ce dragon, ou nous crèverons tous ! Gebbs ! Sonne la retraite, immédiatement, tant que les gars peuvent l'entendre !" Un son de cor retentit faiblement, éttoufé par la tourmente.

De mon côté, je me cramponne comme je peux, et commence à ramper en direction de ce qui semble être l'avant. Faut que j'atteigne le poste de pilotage.

J'entends les ailes du dragon claquer, se tordre violement, le dragon hurler de douleur...mais les hommes ont du parvenir à redresser l'animal, vu que mon estomac réintègre sa position initiale. A présent qu'on s'éloigne du convoi, le vent daigne souffler moins fort, et la pluie moins drue me laisse entrevoir des détails: je suis sur le toit d'une sorte de cabine, et d'ailleurs, je suis mal barrée...

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:o :o :o super  :o :o :o

la suite la suite la suite

en tout cas elle a pas une seule journée banale lynn :D

 

 

"Comment pouvais-je savoir que tu déploirais tant de puissance ? On ne joue pas avec les lois de la thermodynamique sans en payer le prix !"

ça c'est vrai Belgarath serais le premier à le dire ;D

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Un nouveau chapitre hiiiiiiiiiiiiiiia!!!!

Et quel chapitre!

 

Les shamans devoilent leurs coup spéciale, Lynn déchire tous (comme d'hab! on ce demande pourquoi d'ailleurs! ^^) et

l'ennemi rebrousse chemin. Que demandé de plus?

 

Peut être une nouvelle mauvaise cituation pour Lynn, ce qui semble être le cas.

Esperons pour elle qu'elle ne soit pas tombé chez un ennemi. Quoi que, ca serait marrant, pour nous en tous cas!

 

Par consequant je veus et j'éxige une suite!!!  >:(

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merci^^ mais j'espère que vous ne regretterez pas la suite...car, je vous préviens tout de suite, lynn va vraiment passer un sale quart d'heure...(d'ailleurs, ça risque d'être limite gore, donc...attention...)

 

bref...revenons à nos moutons...

 

Une salle. Gigantesque. Les murs de pierre brute, aux arêtes aigües, s'élèvent sur une dizaine de mètres, pour finalement s'arquer et se rassembler pour former une voute, envahie par les ombres. La salle serait superbe, si elle ne puait pas la mort et le moisis. De l'eau, suintant continuellement de la muraille, forme des flaques de liquide puant. On peut entendre des cris, très loin, comme ettouffés par l'épaisseur des murs...mais impossible de les ignorer cependant.

Au centre de la salle, un cercle de torches plantées sur de hauts supports de fer noir illumine un motif compliqué gravé à même le sol de pierre, repoussant l'obscurité moite et glacée sur quelques mètres. A proximité, on peut voir une sorte de table, emcombrée d'un bazart invraissemblable: parchemins, vieux volumes reliés, cotoient des ustensiles mystérieux et des récipients dont le contenu gagnerait à rester invisible...

Une personne s'affaire nerveusement sur l'établi. Fébrilement, elle relis des notes en marmonnant toute seule. Elle sursaute à chaque bruit, interrompant ses reflexions pour regarder peureusement vers une petite porte dans la muraille, dont les coulées de rouille n'arrangent pas l'esthétique...puis se replonge dans son travail, quel qu'il soit.

Un grincement l'interrompt à nouveau. La personne se retourne brusquement, renversant presque l'établi. Elle fixe quelquechose dans les ombres...quelque chose...ou quelqun. Une voix étrange, désincarnée, qui donne envie de grincer des dents, s'élève, quelque part dans les ombres. "Alors ? cela fonctionnera-t-il cette fois ?"la personne, tremblante, balbutie avec difficulté: "Ou...oui...du moins, si j'ai l'énergie..."

"Vous l'aurez"

"...oui, bien sur...je...enfin, ça devrait marcher, mais..."

"Cela fonctionnera. 'Il' ne veut pas d'un nouvel échec, vous le savez..."

"bien...bien sur...m-mais comment voulez-vous que je sois sûr, alors que le fonctionnement a été oublié il y a des millénaires ? Il est normal de faire des erreurs, et..."

"Il ne peut pas se permettre d'autres erreurs. Deux ont été déjà commises, et deux cobayes nous ont échappés. C'est déjà trop. "

La personne, en sueur malgré la température glaciale, hoche difficilement la tête. Il dit:" ce...cela va fonctionner. vous verrez, je..." Frénétiquement, il déverse maintenant divers produits dans le symbole gravé à terre. Les substances se mèlent les unes aux autres selon un motif complexe, soulignant le dit symbole de traits de couleurs moirées.

La personne a abaissé une sorte d'interrupteur. Brusquement, la salle silencieuse s'emplie de bruit. De bruits d'agonie, de mort. Des hurlements semblent surgir de tout les côtés de la salle. La substance dans le symbole se met à luire alors faiblement, puis de plus en plus intensément, illuminant tout l'intérieur d'une aveuglante lueur blanche.

A présent, une colonne de lumière multicolore se forme au dessus du cercle, les boules de lumière commencent à tournoyer.

Notre personnage s'écrit, une nuance triomphale dans la voix:" Vous voyez ? Je l'avais dit que ça fonctionnerait ! Je..." Avant même la fin de sa phrase, tout s'est brusquement éteint. La personne s'interrompt dans un hocquet étranglé. "Non...ce n'est pas possible...le transport devait se faire, ce n'est pas..."

Il ne terminera jamais sa phrase, vu qu'il s'écroule brutalement, le coeur transpercé par la créature d'ombre. Il était mort avant de toucher le sol.

 

 

Bon...c'est pas tout ça, mais faut que je trouve une idée...bonne de préférence. Et vite. Le dragon gros porteur prend de l'altitude, et la température diminue de plus en plus. Ce serait encore suportable, si je n'étais pas trempée de la tête aux pieds... Je jette un regard en contrebas: les éléments ne semblent pas vouloir se calmer, au dessus du camp...a présent, la tornade est striée d'éclairs violacés, et un grondement de fin du monde résonne de la masse de nuages.

Je reprends ma reptation vers l'avant. Il faut que je trouve un moyen de prendre un otage, et puis...

"Laches ton épée immédiatement !" S'en suit le bruit caractéristique d'une arbalète qu'on arme...Oups...

 

 

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Mais qui sont ces types étranges? En tout cas, il m'est avis que ce ne sont pas des amis xD.

 

Comment Lynn va réagir face à l'arbalétrier qui l'a en joue?

 

Tout se met vraiment bien en place, et comme d'habitude, j'attend la suite avec impatience^^

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merci^^

bon la suite...pas très gaie, j'en ai peur...

 

Je me tords le cou pour distinguer mon adversaire: celui-ci se tient debout sur la cabine, apparement insensible aux bourrasques qui secouent la structure. Je murmure: 'ah, tu veux que je lâche mon épée...'je rmodifie ma prise sur le manche de l'arme...'Attends un peu...'click !' la pointe d'une arbalète me menace, a quelques centimètres de mon front. Le soldat qui la tient me fait un sourire ironique:"Même pas en rêve !". Il s'est déplacé le long de la cabine pour me prendre en tenaille, et s'est hissé au moment ou l'autre m'a interpellé...et merde...

 

Je suis brutalement balancée à l'intérieur de la cabine. Dans d'autres circonstances, j'aurais apprécié la température clémente qui y règne...mais là...Je tiraille sur mes liens...Pas évident de bouger quand on est pieds et poings liés...Je regarde autour de moi: y'a une vingtaine de soldats, assis sur une sorte de banc le long des parois. A l'avant, une cloison coupe la cabine en deux. Ce doit être le poste de pilotage.

Les deux types qui m'ont capturés viennent de boucler la porte. L'un d'eux se penche vers moi et m'attrape brutalement par les cheveux. Ca doit être un truc de mec, ça, d'attraper par les cheveux. Il appelle: 'Capitaine, on a recupéré le passager clandestin...ou plutôt la passagère..." il éclate d'un rire très désagréable...L'autre type ajoute: "C'est qu'elle est pas mal, en plus !"

Un bruit de pas : le capitaine, sans doute. Une paire de bottes luisantes entre dans mon chant de vision. "Pas de ça ici, Grash. Retiens tes poussées vicelardes jusqu'à ce qu'on arrive, ok ?"

Une voix venant de l'arrière du batiment:"Capitaine ! regardez ! le campement des vikasbs ! il...il disparait !"

J'essaie de me redresser, histoire de voir ce qu'il se passe. J'entrevois la tornade violette en train de se dissiper...et en dessous, là ou il y aurait du y avoir les kasbs...plus rien.

J'éclate de rire, brusquement soulagée. Les hommes se retournent vers moi, agacés. J'essaie de ne pas montrer ma peur. Le capitaine, lui, s'approche de moi, vaguement soupçonneux. Il interpelle un de ses soldats: "Balances-là par dessus bord."

Quoi ?! Je bande mes muscles, prète à tout et n'importe quoi: honnètement, je vois mal comment je pourrais lutter. Le type se lève, s'approche...le capitaine dit:"Stop !"

Je ne comprend plus..qu'est-ce qu'il ? "Tu comprends notre langue, hein ? ca va faciliter les choses..."...Oups...

Il se relève et dit au soldat: "Mets là à l'arrière, et que personne n'y touche. Y'a plein de questions que le seigneur Stark'el voudra lui poser..."

Le reste du voyage fut un calvaire: Le type m'a tout bonnement projettée contre la paroi arrière d'un coup de pied, puis il m'a foutu un sac qui sentait la poussière et le moisi sur la tête.

Je commence a avoir froid: trempée, et immobilisée, dans le coin ou il y a le plus d'ouvertures...y'a de quoi attraper la crève. J'essaie d'ignorer les conversation des soldats: ça tourne en dessous de la ceinture, et la moitié me sont destinées.

Le temps passe. Certains dorment: j'entends des ronflements. Et y'en a qui doivent avoir commencé un jeu quelconque: j'entends trois voix différentes se disputer sur une carte qui ne devrait pas être là.

J'ai de plus en plus froid: je n'arrive plus à retenir mes tremblements. Une voix avinée m'interpelle, proche...trop proche de moi: "Alors, t'as froid ? T'inquiètes, tonton Grash va te réchauffer, tu vas voir..." je lui lance, d'une voix que j'espère assurée: " Ne t'approches pas de moi si tu ne veux pas crever, enflure !"...L'autre ricane méchament. Je sens une main s'avancer sur mes hanches... Oh, non, ça ne va pas se passer comme ça...ca ne peut pas..."Hé, Grash, qu'est-ce que tu fous, bordel ?"

La main se retire, l'autre se met à geindre "C'est rien, Brak, c'est juste que..."

"C'est ça...t'as de la chance que ce soit moi qui te choppe, et pas le capitaine...tu sais ce qui arrive quand on désobéit aux ordres..." le dit Grash se met alors à jurer tout bas...et s'éloigne. Putain, je l'ai échappée belle. Je souris amèrement. Pour le moment...

 

 

la suite dans la soirée^^

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Premier comm' ^^ Olala espérons qu'elle va s'en sortir indemne Lynn, mais j'ai peur vu que c'est sensé être gore et que ya rien eu de gore pour l'instant  :-\... Est-ce que tu vas prendre des vacances Lutin Miss Uchiwa ou on aura un épisode le jour de Noel? (quel magnifique cadeau  ;D)Bon sinon on va découvrir un autre univers, ça promet!

 

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Bon, je m'ennuie...alors, ze poste la suite^^

 

Un cri signale la fin du trajet:"_Rasseyez vous tous, on va atterrir !"...eh ben, c'est pas trop tôt...je suis congelée. Une convulsion secoue toute la cabine. Je me sens glisser vers l'avant: je ne peut pas me retenir...puis un nouveau choc, et plus rien: on a du atterrir.

une poigne vigoureuse me remet debout. J'entends le glissement d'une lame qu'on tire du fourreau. Peu après, je peux de nouveau bouger les jambes, et on m'entraine au dehors, toujours avec la capuche puante sur la tête. Je tente de freiner le mouvement, sans succès: les deux types qui me portent plus qu'ils ne me font avancer ne sont pas des nains...et savent donner des gifles aussi...

Le bruit des pas sur le sol change: du bois, on est passé à la pierre. J'entends deux portes s'ouvrir...un couloir, long...peut-être légèrement en courbe, je ne sais pas...une nouvelle porte, qui doit être grande, celle là, vu la lenteur qu'elle met à s'ouvrir...

je grimace sous le sac: c'est pas avec ça que je saurais m'y retrouver...

 

La voix du capitaine retentit, avec un léger écho. J'avais raison, la salle doit être grande..." Seigneur Stark'elv'ash -pause: il doit saluer, ou quelque chose comme ça-...je viens faire mon rapport de la mission de représailles dans le secteur sud-ouest."

j'entends une voix différente répondre...elle grince un peu, et a un ton tranchant comme la lame d'un couteau. :"Je vous écoutes, capitaine Ley."

"L'attaque s'est déroulée comme prévue, jusqu'à ce que les barbares fassent usage de la magie, et nous ont ainsi contraint à rebrousser chemin. J'ai perdu 10 dragons à cause d'une tornade la ou c'était le calme plat deux minutes auparavant..."

"De la magie...cela ne m'éttone qu'à moitié de ces animaux, mais...à ce point dangereux, capitaine ?"

Je bous intérieurement:'animaux, les Vikasbs ?!'

"J'ai pu constater que leur magie est surtout élémentaliste, mais...il y a quelque chose d'inquiétant: le convois de kasb-les énormes bêtes qui portent leur habitations-a disparu à la fin du phénomène magique"

"Vraiment ? cela pourrait interresser Tol'Etyl...qu'est-ce que tu m'apportes là ?"

"Une indigène, qui éttonament, parle notre langue. je me suis dit qu'elle pourrait nous en apprendre plus sur la magie des Vikasb." au même moment, il a enlevé ma cagoule. Je cligne des yeux devant le flot de lumière aveuglant. Je suis dans une grande salle aux murs de pierre, la lumière matinale entrant à flot par des étroites fenètres aux vitres multicolores.

Je concentre mon attention sur le souverain de ces lieux: vétu d'un pantalon sombre et d'une chemise blanche, de toile fine, le seigneur Stark est un homme d'une quarantaine d'année, au long visage étroit, terminé par un bouc pointu. Ses cheveux noirs font ressortir son teint blafard, et il est actuellement occupé à jongler avec une dague à la forme sournoise. Une belle tronche de méchant, quoi...cette pensée me redonne un peu de force..."tant qu'il y a du rire, y'a de l'espoir"...Espéront, alors...

Le capitaine m'adresse la parole, d'un air presque compatissant:" Dis ce que tu as à dire maintenant...cela t'éviteras de nombreuses souffrances."

Un sourire apparait lentement sur mes lèvres:"Que je dise ce que j'ai à dire ? pourquoi pas, après tout..."je me tourne vers le seigneur et, le regarde droit dans les yeux:"Vous ètes la pire ordure que j'ai jamais rencontrée. En fait, vous n'ètes qu'une sale pourriture, et je vous cracherais dessus si je n'avais pas peur de gacher ma salive sur un être aussi vil et méprisable...Et vous pouvez aller vous faire foutre, je dirais que dalle !"

Le dit seigneur me regarde, l'air sincèrement amusé: "Eh bien, voilà un met de choix pour mes bourreaux...je suis curieux de voir combien de temps elle va tenir...pas vous, Ley ?"

Je suis brutalement emmenée vers une autre issue, on emprunte un ecalier, puis un autre...à mesure que je m'enfonce un peu plus sous terre, mon moral baisse de plus en plus. Quand une nouvelle porte ouverte laisse apparaître la salle de torture...bah je crois pas que ça peut être pire.

 

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