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Kingdom Chapitre 490


Eiyuu Snake
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VUS : http://reader.sensescans.com/read/kingdom/en/45/490/page/1

 

 

 

Je trouve que la réaction de Sei est légèrement incohérente. Riboku vient dans le but de discuter, et propose une alternative. OK, ça se discute et ça ne convient pas à Sei. Le problème, c'est qu'à partir de là, Sei aurait pu, comme il l'a fait avec le roi de Qi, exposer sa vision des choses et sa solution. Mais non, il envoi balader Riboku en disant que Qin va détruire les 6 autres états. Bref, si il avait joué plus finement, il aurait très bien pu rallier Zhao comme il a rallié Qi.

 

Je comprends que pour le scénario, on ne pouvait pas rallier Zhao. Mais dans ce cas, quel intérêt d'avoir fait venir Riboku pour mener cette discussion foireuse ?

 

 

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Je pense pas que Zhao et Qin puissent arriver à un arrangement comme ont pu le faire Sei et le roi de Qi. Tout simplement à cause de leur passé tumultueux. Il y a eu trop d'actes de guerres impardonnable venant de chaque côté pour une unification à l'amiable.

 

Concernant la réaction de Sei, je pense que c'est parce qu'il sait que Riboku ne croit pas non plus pleinement à sa proposition. Sei a totalement raison dans ce chapitre. Qui peut garantir que l'alliance des 7 Etats perdurera dans 100 ans ? Personne et les expériences passées ont prouvé que les alliances n'étaient faites que pour être brisé de nouveau. Les hommes sont orgueilleux de nature et cette alliance aurait explosé.

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La réaction de Sei est plutôt cohérente je trouve. Riboku c'est quand même le mec qui a tué Ouki, fomenté une coalition et depuis le début du manga Zhao est l'ennemie juré de Qin. Si on rajoute le roi de Qi qui te sort au chapitre précédent que Riboku est la plus grande menace pour Sei et qu'il a un atout de planqué dans sa manche. Forcément, Sei ne va pas tenter de faire ployer Zhao avec un beau discours. D'autant qu'en face ce n'est pas le Roi de Zhao, mais un premier ministre.

On peut aussi rajouter à cela que la dernière "alliance" avec Zhao a servie à préparer la coalition.

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Je suis d'accord. Sei a entièrement raison.

La façon dont Riboku est reçu témoigne bien qu'il est l'ennemi, et qu'à aucun moment ils ne peuvent se permettre de lui faire confiance.

 

C'est le gars qui a fait alliance avec Qin, pour les trahir juste derrière pour créer une coalition dont le seul but était la destruction de Qin.

A partir de là, comment faire confiance à Riboku ou même à Zhao ?

 

Le plan de Riboku est mal pensé, et on voit immédiatement qu'il est en situation de faiblesse. Son Etat est dans la mouise, et ils ne peuvent s'en sortir.

Quand on le voit, insulté et maltraité par Qin, proposer son plan; on sent que c'est un homme qui n'a plus de solution.

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Riboku m'a l'air sincère dans ses paroles, je pense qu'il souhaite également un monde sans guerre, et qu'il respecte Ei Sei depuis la bataille de Sai. Il n'a jamais été présenté comme un parfait connard, il n'est antagoniste de Qin que parce qu'il a vécu dans un autre pays.

 

Qu'avait Sei à perdre à exposer sa vision des choses à Riboku ? La fondation d'un nouvel état dirigé par la loi, où le royaume de Qin serait, comme les autres, dissout dans le processus. C'est pas long à dire, ça mange pas de pain et c'est pas un secret militaire.

 

Certes, Riboku est celui qui a tué Ouki, et qui a bien enc*lé Qin avec la formation de la coalition. Cependant, comment Sei espère t-il que  sa vision des choses soit bien reçue si lui même n'arrive pas à s'affranchir du passé pour discuter ?

 

Bref, je vois un peu ce chapitre comme ça :

Riboku : "Salut Sei, ton plan pour arrêter les guerres c'est cool, mais il n'y a pas moyen de le faire sans tout détruire ? Les gens ils vont pas aimer, hein."

Sei : "On va vous détruire."

 

Alors que dans les chapitres précédents, le roi de Qi est venu aborder exactement le même sujet, et Sei a fait une réponse construite. Si le roi de Qi avait reçu la même réponse que celle donnée à Riboku, il se serait passé quoi ?

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Au vu des antécédents entre les deux pays et même au delà de ça entre Riboku et Qin, il est impossible de pouvoir espérer à une alliance sur le long terme.

 

Je suis d'accord sur le fait que Riboku n'est pas un connard, tout ce qu'il a fait jusqu'à présent c'est pour son pays et pour éviter la guerre. Seulement, si tu raisonne à la place de Qin, tu as en face de toi un général extrêmement dangereux qui a plusieurs reprises attaquer ton pays, est incorruptible, et non raisonnable tout simplement parce qu'il n'est pas le roi de Zhao (même s'il était d'accord avec la réponse de Sei, il n'aurait pas pu raisonner son propre roi). Donc il est inutile d'essayer de trouver un accord. C'est un peu comme si Riboku et Sei/Shin étaient destinés à être ennemi même si partagent les mêmes convictions.

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Au vu des antécédents entre les deux pays et même au delà de ça entre Riboku et Qin, il est impossible de pouvoir espérer à une alliance sur le long terme.

 

Je suis d'accord sur le fait que Riboku n'est pas un connard, tout ce qu'il a fait jusqu'à présent c'est pour son pays et pour éviter la guerre. Seulement, si tu raisonne à la place de Qin, tu as en face de toi un général extrêmement dangereux qui a plusieurs reprises attaquer ton pays, est incorruptible, et non raisonnable tout simplement parce qu'il n'est pas le roi de Zhao (même s'il était d'accord avec la réponse de Sei, il n'aurait pas pu raisonner son propre roi). Donc il est inutile d'essayer de trouver un accord. C'est un peu comme si Riboku et Sei/Shin étaient destinés à être ennemi même si partagent les mêmes convictions.

En me mettant à la place de Sei, justement, un ennemi extrêmement dangereux vient me voir pour discuter, et propose une solution pour arrêter le conflit. N'étant pas d'accord avec sa proposition, je donne tout de même ma propre solution et mes motivations. Il n'y a rien à perdre, tout à gagner.

 

Ce que tu dis est vrai, Riboku n'est qu'un premier ministre et pas le roi. Passé le fait qu'un premier ministre a quand même du pouvoir, rien que le fait que cet ennemi comprenne ce que Sei cherche à faire, et y adhère, ce serait un grand pas. Peut-être n'aurait-il pas pu raisonner son roi, mais peut-être aurait-il cessé de s'opposer avec véhémence au plan de Sei.

 

L'argument de la destinée, qui est vrai dans le cadre du manga, je trouve ça tout de même léger pour justifier le fait qu'on en cherche pas à s'entendre avant de se taper sur la tronche.

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Il n'y a rien à perdre, tout à gagner.

Rien à perdre c'est vrai, mais aussi rien à y gagner de mon point de vue.

 

Ce que tu dis est vrai, Riboku n'est qu'un premier ministre et pas le roi. Passé le fait qu'un premier ministre a quand même du pouvoir, rien que le fait que cet ennemi comprenne ce que Sei cherche à faire, et y adhère, ce serait un grand pas. Peut-être n'aurait-il pas pu raisonner son roi, mais peut-être aurait-il cessé de s'opposer avec véhémence au plan de Sei.

 

Je suis pas d'accord par rapport à la véhémence de Riboku vis à vis de Qin qui serait amoindrie. Même s'il adhère aux idéaux de Sei, je pense que tu es d'accord pour dire qu'il a 99,9% de chance de rester fidèle à Zhao et cela implique de faire la guerre à Qin donc la demi-mesure ne serait pas de rigueur puisque Qin a toujours eu la ferme intention d'anéantir Zhao.

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Il ne faut pas oublier que Sei a une rancœur personnelle contre Zhao, et qu'elle ne date pas de la guerre de la coalition. Elle est bien plus ancienne. C'est l'Etat qui l'a agressé quand il était jeune..

 

Puis stratégiquement, il n'a aucune raison de faire confiance à Riboku. C'est un ennemi. Pas besoin d'aller plus loin pour comprendre le comportement de Sei.

C'est un ennemi, et ce n'est pas un décisionnaire. Il n'y a donc aucun intérêt à être gentil et honnête avec lui.

En plus, du point de vue de Qin, sa parole est du vent.

 

Quand à Riboku qui serait un pacifiste, permettez moi d'en douter.

Le gars est un briseur de pacte, et il déclenche une guerre pour des territoires; alors dire qu'il veut la paix..

 

 

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VF lu et je suis surpris de la façon dont Sei répond à Riboku. Il ne l'aime vraiment pas (il lui gueule littéralement dessus) et ce que lui a dit le roi de Qi au chapitre précédent ne doit pas aider.

 

La proposition de Riboku est intéressante, mais déjà que la voie de Sei ne garantie pas un effet durable, mais alors celle de Riboku c'est pire. Qin a pas mal bouffé Wei, grignote dangereusement Zhao et a vaincu le plus fort général de Chu. Honnêtement si ce genre d'alliance ce fait, ça pue une coalition 2.0 contre Qin.

Je ne vois absolument pas tout ces Etats, mettre un terme à leurs idées de vengeance, pour récupérer les territoires perdu. L'alliance est raisonnable pour tous, sauf pour Qin. Imaginons Sei se fait assassiner et un Roi faible prend sa place, que Riboku ne vienne pas dire que l'alliance se maintiendra...

 

Bon après ce qui me fait sourire, c'est que l'homme qui propose cette l'alliance est le même qui a profité de la précédente entente pour planter un couteaux dans le dos de Qin. Niveau crédibilité on fait mieux. Cependant, je pense que Riboku est sincère, à mon avis il a réellement été touché par Sei, lors du siège de Sai. Sauf que, le coup que lui et Zaho préparent risque d'être très très violent et risqué. D'où cette proposition.

 

Hâte de lire la suite, je pense les premières défaites, moments critiques de Qin (depuis la coalition) vont arriver très bientôt.

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Bon tout a été déjà dit concernant Riboku.

 

Je voudrais quand même dire que c'est assez culotté de sa part de venir demander une alliance après que celui-ci en brise une et fomente une coalition contre Qin.

En plus, cette Grande Alliance serait d'une part difficile à organiser et à faire aboutir. À une époque moderne, c'est une proposition tout à fait acceptable : on a bien l'UE. Mais je vois mal des pays antiques ayant plus de 500 ans de lutte guerrière dans les dents mettre en second plan leur souveraineté pour un objectif commun.

C'est aussi un attrape-couillon. Avec toutes les intrigues dont sont capables les mecs de cette époque, il serait extrêmement facile de monter un complot pour détruire Qin avec une puissance coalisée. Riboku n'aurait limite plus qu'à cueillir un fruit que Ei Sei aurait aidé à cultiver.

 

Bref, Sei reste sur sa ligne de conduite. Son pays est presque prêt, il a déjà montré de quoi il était capable. La première coalition ayant échoué, les États ne sont pas prêt à reformer des alliances entre eux. C'est le moment parfait pour la conquête.

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