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Repliques Cultes, le ciné m'a dit...


Shanks Bond 007
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Messages recommandés

American Gangster avec Russell Crowe et Denzel Washington

 

-En affaire, le plus important c’est l’honnêté, l’intégrité, le travail, la famille. Ne jamais oublier d’où l’on vient.

 

-Juges, avocat, hommes politiques, policiers… Quand il n’y aura plus de drogues dans ce pays, 100 000 personnes n’auront plus de boulots...

 

-Dans une pièce, celui qui se fait le plus remarquer, c'est le plus faible.

 

On est ce que l’on est sur cette Terre : Soit on est quelqu'un, soit on est personne…

 

-Il travail pour qui ? Quelle famille ?

-C’est pas un italien, c’est un black !

-C’est comme même pas un nègre qui va faire ce que la mafia n’a pas été capable de faire en près d’un siècle !

 

-La chose la plus importante dans la vie c’est l’ordre !

 

-Et c’est à qui la maison là ?

-Celle-là ? Elle est à toi maman !

 

J'adoer ce film car le jeu des acteurs principaux Denzel Washington et Russell Crowe est extra. Ils jouent à merveille leurs rôles respectifs

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Top Posters In This Topic

Sympa comme topic, très bonne idée :).

 

Je vais commencer par l'un de mes films préférés, Fight Club :

 

Fight-Club.jpg

 

 

- "Vous n’êtes pas exceptionnels, vous n’êtes pas un flocon de neige merveilleux et unique, vous êtes fait de la même substance organique pourrissante que tout le reste, nous sommes la merde de ce monde prête à servir à tout, nous appartenons tous au même tas d’humus en décomposition." (Tyler Durden)

 

- "C’était de toute beauté. Nous revendions à des femmes riches la graisse qui provenait de leurs fesses."

 

- "C’est seulement quand on a tout perdu qu’on est libre de faire tout ce qu’on veut." (Tyler Durden)

 

- "Putain, j’vois ici les hommes les plus forts et les plus intelligents que j’aie jamais vu. J’vois tout ce potentiel, et j’le vois gâché. J’vois une génération entière qui travaille à des pompes à essences, qui fait le service dans des restos, qui est esclave d’un petit chef dans un bureau. La pub nous fait courir après des voitures et des fringues, on fait des boulots qu’on déteste pour se payer des merdes qui nous servent à rien. On est les enfants oubliés de l’histoire mes amis, on n’a pas de but ni de vraie place ; on n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle, notre grande dépression, c’est nos vies. La télévision nous a appris à croire qu’un jour on serait tous des millionnaires, des dieux du cinéma ou des rock stars, mais c’est FAUX. Et nous apprenons lentement cette vérité. On en a vraiment, vraiment, plein le cul." (Tyler Durden)

 

- "Sur une durée suffisamment longue, l’espérance de vie tombe pour tout le monde à zéro."

 

- "Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout." (Tyler Durden)

 

- "Les choses qu’on possède finissent par nous posséder." (Tyler Durden)

 

 

Pffiou, y'en a tellement, j'aurais aimé en mettre plus mais je pense que là c'est suffisant ^^.

 

 

Et une réplique d'un dessin animé (et oui j'adore ça, j'ai 18 ans et je suis en fac) nommé Wakfu, qui m'a littéralement fait tomber sur le cul.

 

C'est deux amoureux qui se battent pour protéger un royaume. C'est une guerre. Ce combat est extrêment important. Mais le mec (Tristepin) se fait toucher mortellement. Evangeline (la fille) coure vers lui, s'agenouille, le prend dans ses bras et lui dis en pleurant à chaudes larmes :

 

Eva : Non s'il te plaît ne meure pas Tristepin !

Tristepin : Je ne meure pas, j'entre dans la légende.

 

J'adore.

 

:o Wow. Je ne connais pas ce dessin animé, mais juste cette phrase me donne envie de le voir.

 

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Les Y-a-t-il un flic…. Une série de films où l’on trouve des perles, que dis-je ? Des colliers de perles. ;D

 

Y a-t-il un flic pour sauver le président ?  

 

_ Décris moi cet homme.

_ De type caucasien..."

_ Caucasse ?"

_ Non caucasien, blanc de peau, une moustache , environ 1m 80

_ C'est une très grande moustache !

 

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Quelques unes du film Wanted :

 

-C’est moi qui prend le contrôle, c’est moi qui reprend ma vie en main. Vous, vous avez foutu quoi ces derniers temps ?

 

-Tu n’es pas l’exécuteur du destin, Sloan. Tu n’es qu’un truand. Un truand qui sait donner de l’effet a ses balles.

 

-J’ai un peu tendance à me foutre de tout ces derniers temps, en fait la seul chose dont j’arrive pas vraiment à me foutre, c’est du fait que je me foute de tout justement. Vraiment, ça m’inquiète.

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Bon, autre film avec des répliques culte que j'ai vraiment aimé, Gladiator :

 

gladiator.jpg

 

- En fin de compte nous mourons tous, nous ne pouvons malheureusement pas choisir notre mort. Mais nous pouvons décider comment aller à sa rencontre, afin que l’on se souvienne de nous comme des Hommes.

 

- Aujourd’hui, j’ai vu un esclave devenir plus puissant que l’empereur de Rome.

 

- Mon nom est Maximus Decimus Meridius, commandant en chef des armées du nord, général des légions Félix, fidèle serviteur du vrai empereur Marc Aurel. Père d’un fils assassiné, époux d’une femme assassiné, et j’aurais ma vengeance dans cette vie ou dans l’autre.

 

- Est ce que Rome mérite la vie d’un homme de bien ? Nous l’avons cru autrefois. Il faut le croire à nouveau. Il était un soldat de Rome. Honorez le !

 

Et la dernière, je la préfère en VO :

- And now we are free... I will see you again... But not yet ! Not yet...

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Le seigneur des anneaux: cultissime!

-Mon présssssieux!!

 

Jurassic Park:

-Dieu crée les dinosaures, Dieu détruit les dinosaures. Dieu crée l'homme, l'homme détruit Dieu, l'homme crée les dinosaures.

-Les dinosaures mangent l’homme. Et la femme hérite de la Terre.

 

-J'en ai marre d'avoir toujours raison...

 

Titanic:

-Si tu sautes, je saute.

 

-Jack, je vole  ;D!

 

-Tu n’en as jamais parlé ?

-Non, jamais, à personne, pas même à ton grand père. Le cœur d’une femme est un océan de secret... Mais désormais vous saurez qu’il y avait un dénommé Jack Dawson, et qu’il m’a sauvée, de toutes les façons qu’une personne peut être sauvée. Je n’ai même pas une seule photo de lui. Il n’existe désormais que dans ma mémoire.

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V pour Vendetta :)

 

V : Crois moi je ne te veux aucun mal.

 

Evey : Qui êtes vous ?

 

V : Qui ? "Qui" n'est autre que la forme qui résulte de la fonction de "Qu'est-ce que" et ce que je suis c'est un homme sous un masque.

Evey : Ça je vois...

 

V : De toute évidence. Je ne mets pas en doute ton sens de l'observation, je ne fais que mettre en exergue le paradoxe qui est de demander à un homme masqué qui il est.

 

Evey : Ah... d'accord.

 

V : Mais en cette nuit des plus favorables daigne me permettre, à défaut d'un banal sobriquet, de te présenter les caractéristiques de ce dramatis persona. [une pause...] Voila ! Vois en moi l'image d'un humble Vétéran de VaudeVille. Distribué Vicieusement dans les rôles de Victime et de Vilain par les Vicissitudes de la Vie. Ce Visage, plus qu'un Vil Vernis de Vanité est un Vestige de la Vox populi aujourd’hui Vacante, éVanouie. Cependant cette Vaillante Visite d'une Vexation passée se retrouve ViVifiée et a fait Voeu de Vaincre cette Vénale et Virulente Vermine Vantant le Vice et Versant dans la Vicieusement Violente et Vorace Violation de la Volition ! [il trace un V sur une affiche] Un seul Verdict : la Vengeance. Une Vendetta telle une offrande VotiVe mais pas en Vain. Car sa Valeur et sa Véracité Viendront un jour faire Valoir le Vigilant et le Vertueux. [un ricanement] En Vérité ce Velouté de Verbiage Vire Vraiment au Verbeux alors laisse moi simplement ajouter que c'est un Véritable honneur de te rencontrer. Appelle moi V.

 

. . . . . .

 

Creedy: Meurs! Meurs! Pourquois tu meurs pas?

 

V:Sous ce masque, il y a plus que de la chair. Sous ce masque, il y a une idée Monsieurs Creedy... Et les idées sont à l’épreuve des balles.

 

. . . . . .

 

V : Cruauté et injustice. Intolérance et oppression. Et la où, auparavant, vous aviez la liberté de faire des objections, de parler comme bon vous semblait, vous avez maintenant des censeurs, des systèmes de surveillance vous contraignants à la conformité et solicitant votre docilité. Comment est-ce arrivé ? Qui est à blâmer ? Bien sûr, il y a ceux qui sont plus responsables que les autres et qui devront en rendre compte mais...

...Encore dans un souci de vérité, si vous cherchez un coupable, regardez seulement dans un miroir.

 

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Jurassic Park:

-Dieu crée les dinosaures, Dieu détruit les dinosaures. Dieu crée l'homme, l'homme détruit Dieu, l'homme crée les dinosaures.

-Les dinosaures mangent l’homme. Et la femme hérite de la Terre.

 

-Putain j'en ai marre d'avoir toujours raison...

Ah non, c'était à moi de les mettre ;D

Allez, j'en rajoute alors.

 

Deux, qui sont toutes en finesse, mais j'ai tellement rigolé en les entendant :

 

Malcolm : C'est vraiment un gros tas d'merde !

 

Puis

 

Malcolm : N'oubliez pas de vous laver les mains avant de manger !

 

Grant : Les bébés puent.

 

Et puis quelques autres (j'aime tellement les répliques de Jurassic Park^^, en même temps c'est mon film préféré alors peut-être que ce n'est pas étonnant...) comiques ou vraies, ou peu importe^^ :

 

Malcolm : Auriez-vous par hasard projeté d'avoir des dinosaures... dans votre parc à dinosaures ?

 

Malcolm : La vie trouve toujours un chemin.

 

Malcolm : Ce que vous appelez découverte, je l'appelle viol de la nature.

 

Hammond : Bienvenue à... Jurassic Park !

 


 

Au passage, mythique aussi la tirade de V.

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Apocalypse Now

 

Quelques citations du Colonel Kurtz (Marlon Brando) :

 

- J'ai observé... un escargot... qui se déplaçait sur le fil d'un rasoir.

 

---

 

- [Lisant une revue] Time magazine. Hebdomadaire d'information. 22 septembre 1967. Volume 90. Numéro 12.

La guerre lointaine.

L'opinion publique américaine a du mal à croire que les États-Unis vont gagnés la guerre au Vietnam. Pourtant, une des études les plus complète jamais réalisée sur ce conflit à ce jour, laisse de fortes chances de penser que les forces engagées par notre pays, deux ans et demi après le début de l'escalade, commencent à produire leurs effets. Les porte-paroles de la Maison Blanche soutiennent que l'impact de cet engagement mettra bientôt l'ennemi dans l'incapacité, pure et simple, de poursuivre le combat.

[Au capitaine Willard] Ca ne vous dit rien ?

[Reprenant sa lecture] Comme Lindon Johnson craint que l'opinion publique ne soit pas d'humeur à accepté l'optimisme de ses conclusions, il n'a pas fait publier le rapport dans son intégralité toutefois il est suffisamment impressionné lui-même par ses conclusions, et tient assez à faire le faire connaitre, pour autoriser les experts qui y ont travaillé à les évoquées publiquement en termes généreux. Sans date. Time magazine.

[Marque une pause puis reprend] Sir Robert Thompson, artisan de la défaite communiste en Malaisie, aujourd'hui consultant de la Ranq Corporation, récemment rentré du Vietnam, où il enquêtait pour le président Nixon, a déclaré au président que les choses s'étaient beaucoup améliorées et sentaient nettement moins mauvais.

[Au capitaine Willard à nouveau] Ca sent quoi d'après vous soldat ?

 

---

 

- On entraine de jeunes hommes à déverser le feu sur les gens, mais leurs supérieurs leur interdisent d'écrire "Enculés" sur leurs avions, pourquoi ? Parce-que c'est obscène!

 

 

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Ah Jurassik Park et ses répliques cultes... Un de mes film préférés si ce n'est mon préféré

 

Une tirade du professeur Grant après qu'un enfant a oser traiter les vélociraptor de "Grosse dindes" (Le pauvre gosse ^^ )

 

Docteur Alan Grant: Essaye de t'imaginer à l'ère Crétacée. Tu jettes ton premier coup d'oeil sur cette grosse dinde en débouchant dans une clairière. Elle avance comme un oiseau, en hochant de la tête. Et tu ne bouges plus, parce que tu te dis que peut-être son acuité visuelle est basée sur le mouvement, comme le tyrannosaure, et qu'il t'oubliera si tu ne bouges pas, mais non : pas le velociraptor. Tu le fixes dans les yeux. Et il te fixe aussi intensément. Et c'est alors que l'attaque survient. Elle ne vient pas de face, mais par les côtés, des deux autres 'raptors que tu n'avais pas encore vus. Parce que le Velociraptor n'est pas un chasseur solitaire, il utilise un schéma d'attaque coordonné et il est sorti en force, aujourd'hui. Il fend l'air et te lacère avec ça : une griffe rétractile de vingt centimètres, coupante comme un rasoir, sur le doigt du milieu. Il ne prend pas la peine de te mordre la jugulaire, comme le lion, oh non… Il t'entaille ici... (Grant, avec la griffe du véociraptor, mime une taillade dans le ventre du garçon) ou ici... Il t'ouvre peut-être le ventre et déverse tes intestins. Le pire, c'est que… tu es vivant lorsqu'il te dévore. Alors essaye de te montrer un peu respectueux.

 

Et exaspéré par ce gosse, Grant dira que les bébés "puent" ! ;D

 

John Hammond: (A l'intention de Ian Malcolm) Moi, j'ai amené des savants, vous une rock star.

 

Ian Malcolm: Mais encore une fois, comment êtes-vous sûrs que ce ne sont que des femelles ? Quelqu'un se promène dans le parc et soulève les jupes des dinosaures ?

 

Ian Malcolm: Qu'est-ce qu'il y a là-dedans ? King Kong ?

 

Ian Malcolm: Le Tyrannosaure n'obéit à aucun schéma de groupe ni aucun horaire de parc d'attraction. C'est l'essence du chaos

 

Ian Malcolm: Le pouvoir génétique est la force la plus terrible que la planète ait connu, et vous la maniez comme un enfant qui a trouvé le flingue de son père.

 

Robert Muldoon: Je leurs avait pourtant dit de ne pas déactiver la cages des raptors !!

 

Robert Muldoon: Non ! Ils nous ont prit en chasse...

 

Dennis Nedry: (Faisant des signes avec la main à l'intention de Lewis Dodgson) Oh ! Dodgson ! Dodgson !

Lewis Dodgson: Ne m'appeler pas par mon nom !

Dennis Nedry: Dodgson ! Dodgson est parmis nous ! Dodgson est là ! Tout le monde s'en fout !

 

(Après que le Pr Ray Arnold a tenté de rentrer dans le système informatique de Dennis Nedry) Nan nan nan ! Vous n'avez pas dit le mot magique ! Nan nan nan !

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Hop ! Autre film avec des répliques que j'ai beaucoup aimé, où cette-fois ci, plutôt série de film : Pirates des Caraïbes

 

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(Et là, je peux vous dire qu'il va y en avoir un paquet ^^... Accrochez-vous :))

 

 

Pirates des Caraïbes, la malédiction du Black Pearl :

 

Officier Murtogg : Ce quai est strictement interdit aux civils.

Jack Sparrow : J'en savais rien je vous demande pardon, si j'en vois un je vous en informerai immédiatement.

 

Norrington : Pas de balles en réserve, pas de poudre, un compas qui n'indique pas le nord et… je m'attendais presque à une épée en bois. Vous êtes sans nul doute le pirate le plus pitoyable dont on m’ait parlé.

Jack Sparrow : Au moins on vous a parlé de moi.

 

Will Turner : Ou c'est de la folie, ou c'est du génie.

Jack Sparrow : Ce qui est étonnant c'est que souvent ces deux qualités vont ensemble.

 

Barbossa : Et maintenant Jack Sparrow ? Sommes-nous deux immortels condamnés à un combat épique jusqu'aux trompettes célestes du jugement dernier ? Hum ?

Jack Sparrow : Tu peux aussi t'rendre.

 

 

Pirates des Caraïbes, le secret du coffre maudit :

 

Gibbs : C'était pas prévu comme ça.

Jack Sparrow : Des complications encore et toujours... Mais j'suis l'plus fort.

 

Requin : Le petit n'est pas là. Sûrement englouti par l'océan.

Davy Jones : Sâche que c'est moi l'océan.

 

Elizabeth : C'est vrai nous nous ressemblons en effet, et un moment viendra ou vous pourrez enfin le prouver. En agissant avec honneur.

Jack Sparrow : Je les adore ces moments... je les salue de la main quand je les vois passer !

 

Norrington : Vous avez dit la vérité alors...

Jack Sparrow : C'est ce que je fais très souvent ! J'sais pas pourquoi ça vous surprend.

 

Jack Sparrow : Où est le coeur ? Où il est le boom-boom ?!

 

 

Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du monde :

 

Barbossa : Croyez-moi jeune Turner. Ce n'est pas de se rendre dans l'au-delà qui pose problème... C'est d'en revenir !

 

Jack Sparrow : Je vais organiser une magnifique réception, et vous n'êtes pas invité !

 

Jack Sparrow : Qui es-tu ?

Tai Huang : Tai Huang. Eux, c'est mes amis.

Jack Sparrow : Mais à qui faites vous allégeance ?

Tai Huang : Au plus offrant.

Jack Sparrow : Je possède un navire !

Tai Huang : Ça fait de vous le plus offrant.

Jack Sparrow : Tu m'plais !

 

Jack Sparrow : C'est le capitaine qui commande à bord.

Barbossa : Et c'est bien le capitaine qui a donné ses ordres.

Jack Sparrow : Mais c'est MON navire !

Barbossa : Et ça c'est MES cartes !

Jack Sparrow : Ce qui fait de toi... l'homme aux cartes !

Pintel : ÇA SUFFIT ! TAISEZ-VOUS TOUS LES DEUX ! ET C'EST UN ORDRE ! EST-CE QUE C'EST CLAIR ?!!!

[regard assassin des deux capitaines]

Euh... désolé, j'avais cru que... comme on sait pas bien qui est le capitaine j'pourrais postuler aussi... Vous m'excusez...

Ragetti : J'voterais pour toi. Moi oui.

 

Barbossa : Autrefois le monde était beaucoup plus grand.

Jack Sparrow : Le monde est toujours le même... Il est juste... moins attrayant.

 

Un amiral : Etablit-il-un plan à l'avance ? Ou improviste-t-il au fur et à mesure ?

 

Gibbs : Vous endormez pas les gars ouvrez l'oeil ! Ça s'appelle pas l'île des naufragés pour rien ! On y trouve la baie des naufragés et la ville des naufragés !

Jack Sparrow : On dit toujours que les pirates sont plutôt futés mais on manque d'imagination quand il s’agit de nommer les choses. Une fois j'ai navigué avec un croulant qui avait perdu les deux bras et une partie de son oeil...

Gibbs : On l'appelait comment ?

Jack Sparrow : Larry.

 

Un seigneur des pirates : Où est l'homme qui nous a trahi ?!

Barbossa : Il n’est certainement pas parmi nous !

Elizabeth Swann : Où est Will ?

Jack Sparrow : Pas parmi nous !

 

Un seigneur des pirates [à propos de Barbossa] : Fusillez-le !

Un autre seigneur [Toujours pour Barbossa] : Coupez-lui la langue !

Jack Sparrow : Fusillez-le ! Coupez-lui la langue ! Fusillez sa langue ! Et coupez cette vilaine barbe !

 

Teague Sparrow : Le code c'est la loi.

 

Elizabeth Swann : Tous écoutez-moi. Écoutez ! Nos frères attendent que nous lancions l'offensive, que le Black Pearl les guide ! Et que vont-ils voir ? Une bande de rats effrayés à bord d'une vielle épave ! Non ! Non ils ne verront que la liberté ! Et des hommes libres ! Et nos ennemis ne verront que les éclairs de nos canons ! Ils n’entendront que le fracas de nos sabres ! Ils sauront que vous et moi sommes capables de tout ! Par la sueur de notre front et la force de nos bras... Et le courage de notre cœur ! Chers amis... Hissez nos couleurs.

 

Barbossa : La mort est une journée qui mérite d'être vécue !!!

 

Jack Sparrow : Monsieur Gibbs.

Gibbs : Capitaine ?

Jack Sparrow : Tu peux lancer mon tricorne en l'air si tu veux.

Gibbs : Oh oui ! Oh oui oui capitaine !

[il lance le tricorne]

Houraaaaaaaaaaa !!!!!

Jack Sparrow : Maintenant va le chercher.

 

Jack Sparrow : On est des vraies canailles... des maudits pirates... Trinquons mes jolis yo ho !

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Le Parrain on ne peut pas se lasser des répliques de Don Vito Corleone

 

Don Vito Corleone: je vais lui faire une offre qu'il ne pourra pas refuser.

 

Les Batman de C.Nolan sont des mines d'or ^^

Batman begins

 

Rachel: Qui que l'on soit, au fond de nous, nous ne sommes jugés que d'après nos actes.

 

The dark knight

 

Harvey Dent: Soit on meurt en héros, soit on vit assez longtemps pour se voir endosser le rôle du méchant.

 

Gordon: Parce qu’il est le héros que Gotham mérite. Pas celui dont on a besoin aujourd’hui... Alors nous le pourchasserons. Parce qu’il peut l’endurer. Parce que ce n’est pas un héros. C’est un Gardien silencieux... qui veille et protège sans cesse. C’est le Chevalier Noir.

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Si vous voulez que ce topic prolonge son existence il va falloir faire des efforts. Réduire le nombre de messages pour certains, je parle notamment pour Lithoos et Myst qui aiment bien enchaîner les messages à intervalle très cours (hein les gars, je vous ai à l'oeil maintenant) mais c'est aussi valable pour tout les autres.

 

Je surveille le topic, donc gare aux débordements et aux abus. Je les vois venir d'ici. Premier et dernier avertissement, je sanctionne sans préavis (ni sur ce topic, ni par MP) maintenant. Toujours les mêmes qui en profitent, ça commence à bien faire.

 

Merci

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@Lithoos

Toutes les paroles de Jurassic Park sont des répliques cultes^^

 

@Black Dofla

De mémoire (flemme de réfléchir plus), tu en as oublié une de Barbossa, qui mérite d'être citée vu que normalement, les trois quarts des répliques énormes sont de Jack ;D :

 

- Barbossa : Il faut se perdre pour trouver l'introuvable, autrement n'importe qui, trouverait l'introuvable !

 

Bien sympathique celle-là.

 

Sinon, celle-là aussi (et j'arrête sinon je vais entrer dans la catégorie de ceux qui postent trop souvent^^) :

 

- Barbossa : C'est curieux je vois mon navire là-bas.

[il montre le Black Pearl]

- Jack : J'le vois pas. P't'être bien un genre de canot caché par mon Black Pearl !

 

Les duos Barbossa/Jack sont quand même cultes 8)

Mais bon, Jack avant tout !

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@Erza et Law67

 

Ouais j'ai aussi pensé après à celles-ci, mais j'avais trop la flemme d'éditer ^^.

 

Sinon pour pas être HS et continuer dans le thème des Pirates des Caraïbes, une réplique que j'ai bien aimé dans le dernier (de mémoire)... de Jack évidemment  :

 

"Vous est-il déjà arrivé, au bord d'une falaise, d'avoir une envie soudaine de vous jeter dans le vide ?

...

Eh bien moi non."

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On pourrait pas toute les citer les replique des PDC il faudrait regarder le film et ecrire en meme temps

 

j'en rajoute

 

Pirate des caraibe:

 

[Jack tire sur le singe zombie]

Gibbs : J'vois pas l'intérêt d'faire ça.

Jack Sparrow : Ça m'fait du bien.

 

 

 

Le nain [regardant le parchemin de Jack] : C'est une clef !

Jack Sparrow : Mieux ! Bien plus mieux ! C'est la le croquis d'une clef. Les amis. A quoi servent les clefs au juste ?

Un pirate : Les clefs... Déverrouillent... Des trucs ?

Gibbs : Et quoi que cette clef déverrouille, à l'intérieur il y a sûrement un objet de valeur ! On va donc chercher à découvrir ce que cette clef déverrouille !

Jack Sparrow : Non. Parce que sans la clef on ne déverrouillera pas ce qu'on a pas encore à déverrouiller. Alors à quoi servirait de trouver d'abord ce qu'il faut qu'on déverrouille, à supposer qu'on le trouve, avant même d'avoir trouvé la clef qui le déverrouille ?

Gibbs : Alors faut d'abord trouver la clef !

Jack Sparrow : Ce que tu dis n'a aucun sens.

 

 

Jack Sparrow :

Pourquoi y'a jamais de rhum sur ce rafiot ? [il se lève et titube] Oh... C'est pour ça.

 

 

Jack Sparrow : Est-ce que je rêve ?

Bill Turner : Non...

Jack Sparrow : J'm'en doutais. Si j'rêvais y'aurait du rhum.

 

 

Will Turner : Jack... Jack Sparrow ? Haha ! Si tu savais a quel point je suis heureux de te voir. [Jack l'ignore] Jack c'est moi... Will Turner !

Jack Sparrow [à un cannibale] : Vasseko !

Le cannibale : In dada... Icipi !

La tribu : Icipi !

Will Turner : Dit leur de me reposer !

Jack Sparrow : Colelam l'homme piki piki. L'homme wilsi wilsi. L'homme ceycey younaki coup coup. [en imitant des ciseaux] (ndeRaMaster : référence au premier pirates des caraïbes lorsque Jack demande à Will si il est eunuque.)

La tribu [en coeur] : Ahhh... Younaki...

Will Turner : Jack ! Le compas ! c'est tout ce que je veux ! Elizabeth est en danger ! On nous a arrété parce que nous t'avions secouru ! Elle risque la potence !

Jack Sparrow : Cécélam choup choup smalélam chouko. Vous savez ? Por liki liki.

Le cannibale : POR LIKI LIKI !

Toute la tribu : POR LIKI LIKI !

Jack Sparrow [à Will, chuchotant] : Sauve moi.

 

 

Jack Sparrow : William... Je veux bien t'échanger ce compas si en retour tu m'aides à trouver... ceci. [Jack sort son parchemin]

Will Turner : Tu veux que je trouve ça.

Jack Sparrow : Non. Non toi tu veux trouver ça. Parce que si tu trouves ça, tu te trouveras en prédisposition de trouver ou de localiser une autre découverte en découvrant le moyen de sauver ta demoiselle, mademoiselle. Compris ?

Will Turner : Cette chose est sensée sauver Elizabeth ?

Jack Sparrow : Dis-moi est-ce qu'on t'a parlé de Davy Jones ?

Will Turner : Pas vraiment.

Jack Sparrow : Oui. Ça sauvera Elizabeth.

 

 

Jack Sparrow : Ne vous inquiétez pas, Tia et moi sommes de vieux amis, comme cul et chemise nous sommes inséparable, étions... avons été... autrefois...

Gibbs : Je couvre vos arrières !

Jack Sparrow : Couvres plutôt mes avants !

Gibbs [à Will] : Surveilles la chaloupe.

Will [à Ragetti] : Surveilles la chaloupe.

Ragetti [à Pintel] : Surveilles la chaloupe.

Pintel [au nain] : Surveilles la chaloupe.

Le nain [au perroquet] : Surveilles la chaloupe.

Le perroquet [a Mr Cotton] : Rooooh,surveilles la chaloupe !

 

 

 

Ragetti : J'veux pas que le Kraken nous rattrape !

Pintel : [...] Et je crois pas que ça se prononce "Kraken" en fait. J'ai toujours entendu les gens dire "Kryken".

Ragetti : Avec un "Y" ? [Pintel acquiesce] Nan, nan nan nan nan nan. A l'origine ça se prononce Kräken (Kroken), c'est scandinave et l'plus proche de ça c'est "Kraken".

Pintel : Peut être mais nous on est pas d'origine scandinave j'te rappelle ! C'est "Kryken".

Ragetti : C'est une créature mythologique : j'l'apelle comme je veux.

 

 

Jack Sparrow [à Gibbs] : Je vais m'en occuper. [puis à Davy Jones] Hé ! Tête de poulpe ! T'as rien oublié ? hein calmar ? [il tombe dans les escaliers] Je l'ai ! [en brandissant le bocal] T'es venu négocier, hein, espèce de vieille méduse. Hé ! t'as vu ce que j'ai ? Un bocal de terre, un bocal de terre ! Et devine c'qu'il y a d'dans !

Davy Jones [à son équipage] : Assez ! Ça suffit ! [les canons sortent]

Jack Sparrow [tout bas] : Barre à tribord.

Elizabeth : Barre à tribord !

 

 

Ace ventura:

 

Ace Ventura : Salut ! J'ai besoin de voir Ray Finkle [un fusil sort] Et maintenant j'ai besoin de changer de caleçon.

 

(Âpre avoir fais l'amour)

Melissa Robinson : Oh mon dieu ! Oh mon dieu ! Ah trois fois !

Ace Ventura : Chais pas quoi dire, j'dois avoir un terrible coup de barre. D'habitude j'assure. Ça va, je crois qu'on peut y retourner.

 

 

Ace Ventura :

Si jamais je ne suis pas de retour dans cinq minutes... Attendez plus longtemps !

 

 

 

OSS 117:

 

Colonel Staman : Êtes-vous décidé à travailler avec le Mossad ?

Hubert : Le ?

Colonel Staman : Mossad. Les services secrets israéliens.

Hubert [éclatant de rire] : Dame ! Rechercher un nazi avec des juifs, quelle drôle d'idée !

Colonel Kutner : Et pourquoi donc ?

Hubert : Mais enfin, il va les reconnaître !

Colonel Kutner : Comment ça ?

Hubert : Ben, je sais pas... Le nez déjà... Les oreilles, les doigts, les yeux...

Colonels Kutner et Staman : ...

 

 

Et je donne quelque réplique du super qu'est..

 

Into the wild: :'(

 

 

Chris [écrit sur un livre,avant de s'allonger et mourir les larme au yeux] : Le bonheur n'existe vraiment que s'il est partagé.

 

 

Il existe le plaisir des forêts encore vierges ;

Il existe l'enchantement sur le rivage solitaire,

Il existe un monde qu'aucun homme n'a foulé.

Près de la mer, qui fait entendre la mélodie de son rugissement :

Ce n'est pas que j'aime moins l'homme, mais je préfère la Nature...

            - Lord Byron

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Dans la lancée des PDC en voilà quelques unes encore. :)

 

Jack est définitivement le meilleur avec ses répliques.

 

- Le Black Pearl ? Je connais sa légende. Il bombarde navires et campements depuis près de dix ans. ll laisse jamais de survivant.

- Pas de survivants ? Comment les légendes prendraient forme dans ce cas là ?

 

Garde 1 : Halte ! Éloigne-toi de là, tu n’as pas l’autorisation de monter à bord de ce navire.

Jack : J’ai pas pu résister ! C’est un superbe bateau... navire !

Garde 1 : Comment tu t’appelles ?

Jack : Smith... ou Smitty pour les intimes.

Garde 1 : Et qu’êtes vous venus faire à Port Royal, Monsieur Smith ?

Garde 2 : Et pas d’entourloupe !

Jack : Très bien, autant avouer... J’ai l’intention de réquisitionner un de ces bâtiments, de trouver des matelots à Tortuga et de piller, voler et saccager comme un forban sans âme et sans cœur.

Garde 2 : J’ai dit pas d’entourloupe !

Garde 1 : Il dit la vérité j’en suis sûr.

Garde 2 : S’il disait la vérité, jamais il nous l’aurait dit

Jack : Sauf s’il savait que vous refuseriez de le croire, même s’il avouait tout.

 

Que cette journée reste à jamais celle où vous avez failli capturer le capitain Jack Sparrow.

 

Et l'art de savoir négocier. :D

 

- Eh vous là ! Une minute ! Ca coûte 1 shilling d’amarrer son bateau à quai ! Et... j’aurais besoin de votre nom.

- Que diriez-vous de trois shillings, et on oublie le nom ?

- Bienvenue à Port Royal monsieur Smith !

 

-Vous aimez avoir mal ? Essayez donc d'porter un corset !

 

Et pourquoi pas quelques unes du Dîner de cons?

 

-Il a une belle tête de vainqueur.

 

-La classe mondiale... Peut-être même le champion du monde !

 

- Qu’est-ce que vous faites mercredi prochain ?

- Mercredi prochain... Rien !

- Parfait ! L’ami chez qui on devait aller ce soir redonne un dîner, vous êtes bien sûr invité !

- C’est vraiment très gentil ça !

- Non c’est normal, on vous a raté aujourd’hui, on ne va pas vous rater la semaine prochaine !

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  • 2 weeks later...
  • 5 months later...

Un film que je kiffe RockNRolla

 

Les gens posent la question : " C'est quoi un RockNRolla ? " Alors j'leur dis : " C'est pas une question de riffs, de sniffs et de perfs...Oh non ! C'est bien plus que ça mon frère. On veut tous mener la belle vie. Pour certains c'est le pognon ou la drogue, pour d'autres c'est la b****, les paillettes, le prestige. Mais un RockNRolla...Ooooh c'est différent ! Pourquoi ? Parce qu'un vrai RockNRolla, il lui faut la totale ! "

 

Johnny Quid : Tu vois c'paquet de tiges à cancer posé sur le piano ?

Pete : Ouais.

Johnny Quid : Cigarettes, un paquet de tiges à cancer pour les accrocs tout ce qu’on doit savoir de la vie est sur le paquet : une de tes personnalité est séduite par l’illusion de grandeur le paquet doré de king size avec un blason royal, une allusion séduisante au luxe et à la richesse, la suggestion subtile que la cigarette est ton amie loyale et royale et ceci est un mensonge. Ton autre personnalité t’alerte sur l’argument contraire écrit en noir et blanc tout moche sur le paquet, l’avertissement dit que ces soldats de la mort essaient en fait de te tuer et ça, c’est la vérité. La beauté invite à la mort et je suis accroc à la douce tonalité de sa sirène. Ce qui est doux devient amer et ce qui est amer devient doux. On aime la douceur amère, on aime la mort, c’est pour ça que toi et moi, on aime la drogue. Maintenant, s’il te plait, passe-moi du feu.

 

Des répliques d’un excellent film : La Ligne Verte

 

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John Coffey, le colosse au grand coeur

 

_ Je m’appelle john Coffey, comme le café sauf que ça s’écrit pas pareil !

 

_ Je suis fatigué patron, fatigué de devoir courir les routes et d’être seul comme un moineau sous la pluie... Fatigué d’avoir jamais un ami pour parler, pour me dire où on va, d’où on vient et pourquoi... Mais surtout je suis fatigué de voir les hommes se battre les uns les autres, je suis fatigué de toute la peine et la souffrance que je sens dans le monde...

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  • 6 months later...

Citations d'Iron Man mon super héros favoris.

 

Tony Stark (interviewé par une journaliste) : C'est un monde imparfait mais nous n'en avons pas d'autre.

Tony Stark (après que Pepper aie retirée son électro-aimant) : C'est rien, je vais juste faire un arrêt cardiaque parce que vous l'avez arraché.

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Forrest Gump:

La vie, ç'est comme une boîte de chocolat, on sait jamais sur quoi on va tomber.

 

 

Pulp Fiction:Vincent : Et devine comment ils appellent un « Quarter Pounder with cheese » à Paris ?

Jules : Un « Quarter Pounder with cheese » ?

Vincent : Mon cul ! Ça a pas de sens « Quarter Pounder » avec leur système métrique.

Jules : Mais alors quoi ?

Vincent : Ils disent « Royal Cheese »

Jules : Ah ouais... Royal Cheese. Et un Big Mac ?

Vincent : Un Big Mac c'est un Big Mac mais ils disent « le » Big Mac.

Jules : Le Big Mac... Hahahaha ! Et comment ils disent le Whopper ?

Vincent : J'en sais rien, je ne suis allé dans aucun Burger King.

 

Marsellus Wallace : Maintenant quoi ? Je m'en vais te le dire, moi, quoi ! J'appelle deux experts complètement défoncés au crack qui vont travailler nos deux copains avec une paire de pinces, un chalumeau et un fer à souder. Est-ce que tu m'as entendu ESPÈCE DE PORC ? Je suis très loin d'en avoir fini avec toi, je vais te la jouer à la flamme bien moyenâgeuse.

 

Winston Wolfe : Si vous le voulez bien, on se taillera des pipes plus tard, les enfants.

 

 

 

Bond. James Bond

 

Fight Club:

Cette gonzesse, Marla Singer, n'avait pas de cancer des testicules. C'était une menteuse.

 

Avec le canon d’un flingue entre les dents, on ne prononce que les voyelles.

 

Tyler Durden: Tu savais qu'en mélangeant des parts égales d'essence et de concentré de jus d'orange congelé, on peut faire du napalm ?

 

Tyler Durden: La première règle du Fight Club est : il est interdit de parler du Fight Club. La seconde règle du Fight Club est : il est interdit de parler du Fight Club. Troisième règle du Fight Club : quelqu'un crie stop, quelqu'un s'écroule ou n'en peut plus, le combat est terminé. Quatrième règle : seulement deux hommes par combat. Cinquième règle : un seul combat à la fois, messieurs. Sixième règle : pas de chemise, ni de chaussures. Septième règle : les combats continueront aussi longtemps que nécessaire. Et huitième et dernière règle : si c'est votre première soirée au Fight Club, vous devez vous battre.

 

Tyler Durden: On est une génération d'hommes élevés par des femmes. Je suis pas sûr qu'une autre femme soit la solution à nos problèmes.

 

Marla Singer: Mon dieu ! On ne m’avait plus b*** comme ça depuis l’école primaire.

 

Edit:

 

Comment j'ai pu oublier les Tontons Flingueurs:

 

Les cons, ça ose tout; ç'est même à ça qu'on les reconnait.

 

Mais y connaît pas Raoul ce mec ! Y va avoir un réveil pénible, j'ai voulu être diplomate à cause de vous tous, éviter que le sang coule. Mais maintenant c'est fini, je vais le travailler en férocité, le faire marcher à coup de lattes, à ma pogne je veux le voir ! Et je vous promets qu'il demandera pardon et au garde-à-vous!

 

 

Non mais t'as déjà vu ça ? En pleine paix ? Il chante et puis crac, un bourre-pif ! Il est complètement fou ce mec. Mais moi, les dingues, je les soigne. Je vais lui faire une ordonnance et une sévère… Je vais lui montrer qui c'est Raoul. Aux quatre coins de Paris qu'on va le retrouver, éparpillé par petits bouts, façon Puzzle. Moi, quand on m'en fait trop je correctionne plus : je dynamite, je disperse, je ventile !

 

@ Hancock:

 

Je suis obligé de les rajouter pour le Cinquième Element

 

SUPER GREEN !

 

Où où est-ce qu'il a appris à négocier ?

 

... ;) Tain y'en a tellement !

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