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Akagami no Shirayuki-hime [BONES]


Yuuan
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J'attendais cet épisode au tournant et en soit il ne m'a pas déçu mais je reste réservé tout de même , alors je vous trouve un peu dur tout en étant en totale adéquation avec vous . C'est cliché c'est vrai mais bon j'ai l’impression que cela va de plus en plus partir dans les clichés au fur et à mesure .

Je vous trouve dur car cet épisode était assez réussis du point de vu de Shirayuki , justement le fait qu'elle perde en éclat au fur et à mesure peu être intéressant pour l'intrigue et si le personnage est bien exploité ça peu devenir intéressant .

Izana n'est pas vraiment le prince auquel je m'attendais du coup je suis surpris , mais bon ça fait un peu le mec qui se met sur le chemin de Shirayuki et Zen uniquement pour les besoins du scénario , je vois pas trop ce qu'il a gagner dans l'affaire le bougre mais au moins c'est pas un playboy qui tombe sous le charme de Shirayuki et qui essaye de se l'accaparer  . Voyons les choses du bon cotés , on a notre élément perturbateur .

Raji est moins bête que je l'avais pensée , assez surprenant même si il était évident qu'il allait revenir . Je suis donc assez partagé sur cet épisode mais un peu plus enclin au positivisme que vous , et puis comme  Andrea je préfère mille fois ça à Ore Monogatari qui a définitivement finis par me lasser .

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Épisode 7 : Joue-moi la mélodie de ton sourire

 

Izana est donc lui aussi un gentil prince. Intimidant, prétentieux et cruel au premier abord, ça m'a tout l'air d'être quelqu'un qui veut juste œuvrer au maximum pour son pays. Pas toujours facile de lire en lui, notamment sur le cas Shirayuki qui fait parler comme jamais au sein du château.

Bref, on peut passer à autre chose.

 

Le rapprochement entre Zen et Shirayuki avance à vitesse éclaire. Le mauvais point dans ces cas là c'est qu'après ça qu'on peut stagner pendant de belles lurettes. A voir dans les prochains épisodes mais il va être compliqué de faire mieux et ne pas devenir répétitif.

Ce que je trouve dommage c'est qu'on est rentré dans une certaine routine après un début canon.

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Zen voulait descendre ; elle monte (à l’arbre). Les rougeurs sont de mise tout comme les étreintes. Le prince lui tient la main alors qu'il parle de Raji et de ce qui tourne autour des fiançailles. Mignon mais prévisible et la mélodie se répète. Izana n'est pas le méchant grand frère que l'on pouvait croire et s'il juge rapidement Shirayuki devant Zen, lors de sa rencontre avec l'apprentie pharmacienne, son comportement est autre.

 

Raji est toujours de la partie et le petit imbroglio autour du remède est pas trop mal. Surtout il a l'air sensible à ce que lui a dit Shirayuki. Du coup : triangle amoureux ou carré amoureux (Shirayuki, Zen, Izana, Raji) ? 

 

A voir ce que réservera le prochain épisode parce que comme tu le dis la routine s'installe et ce serait bien de casser le schéma qui s'est installé.

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Épisode 7 vu. Un peu mieux que la semaine dernière, mais il faut maintenant que je me fasse à l'idée que la Shirayuki qui fuyait son pays dans le premier épisode, indépendante et immensément libre comme si le monde entier lui appartenait, n'existe plus et qu'elle n'est désormais plus que la favorite d'un prince coincée entre les quatre murs de son palais.

 

Izana n'est ni tout noir ni tout blanc, il est... gris. *court se cacher de honte*

 

Zen qui dit qu'il n'a aucune hostilité pour son frère, on n'aurait pas dit à l'épisode précédent.

 

Raki bien drôle dans l'épisode, à vrai dire je crois qu'il est le seul élément qui m'a vraiment plu, le reste étant mignon mais somme toute assez convenu.

 

Je me trompe ou Izana tire ses flèche sur des cibles d'une épaisseur ridicule adossées à un mur ? ??? S'il parvient à ne conserver qu'une seule flèche en l'état après les avoir tirées, je dis chapeau.

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Episode 7

 

D'habitude c'est Romeo qui grimpe au balcon  :)

 

Izana s'avère être encore plus intéressant que prévu. J'ai bien apprécié le petit retour sur ses états de service.  Dommage que Raji n'ai pas pu profiter de la leçon. 

 

Shirayuki va devoir à présent évoluer sous le regard d'autrui et de ce délassement vieux comme le monde des esprit étriqués : les commérages.

"Les rumeurs, quand on les ignore, ne sont plus que de la boue à la surface d'une rivière. Elles ne tardent pas à disparaître.

 

Bon épisode. Agréable à ceux qui savent ce que c'est que d'être étranger quelque part, sans doute.

 

 

 

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Le coup de l'arbre pour illustrer que Shirayuki cherche toujours à s'élever suffisamment haut pour atteindre son bien-aimé et se tenir fièrement à ses côtés.

 

Le morceau de guimauve qui me sert de cœur a beaucoup aimé cette métaphore visuelle  :D .

 

Le reste, un peu moins, un chouïa déçu par cet épisode, j'ai l'impression qu'on fait du surplace (où est passée la vaillante Shirayuki de l'épisode 1 ?), j'ai pas vu de vrai différence avec l'épisode 6 si ce n'est l'amour qui unit Zen et Shirayuki qui n'est rien de plus à présent qu'une évidence éblouissante, il serait même temps qu'ils arrêtent de tourner autour du pot, ces deux-là et qu'ils s'engagent dans une relation amoureuse.

 

Le grand frère n'est pas un horrible personnage, comme prévu, même si j'ai du mal à saisir, au-delà du "Qu'en dira-t-on ?", pourquoi il continue à titiller Shirayuki de la sorte, je vais mettre ça sur le compte de sa personnalité espiègle si je me fie à la petite anecdote de début d'épisode livrée par Zen.

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Épisode 8 : La Mémoire dépeint la spirale du passé

 

Plus de doute, je suis amoureux de l'opening. Saori Hayami a vraiment une jolie voix et la chanson correspond bien aux contes de fée de la jeune fille et du prince charmant.

 

J'ai eu du mal à accrocher à cet épisode parce que franchement, le passé de Zen qui ne veut pas assumer son statut de prince (on dirait bien qu'il n'assume pas grand chose ce garçon) ne m'emballait pas du tout.

Ca a été tout de même intéressant à suivre au fil de l'épisode et nécessaire pour approfondir le personnage. En revanche si on pouvait se concentrer sur Shirayuki et oublier l'espace de quelques instants le prince tourmenté, j'en serais ravi.

Izana est flippant durant son intervention. Un joli massacre et il termine tout propre.

 

C'est dit clairement que Shirayuki est en danger(de multiples manières) à cause de sa relation avec Zen. Voila qui confirme définitivement, si ce n'était déjà pas assez clair comme ça, que le point d'orgue de la série est la relation Shirayuki/Zen.

 

La cuite de Shirayuki élue meilleur moment de la semaine.  :D

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Épisode 8 vu.

 

La série remonte un peu en qualité avec cet épisode du seul fait qu'on évite avec celui-ci un schéma devenu trop habituel, mais le problème, c'est que ce n'est pas Shirayuki qui en est au centre mais Zen, et que je n'apprécie pas follement ce personnage. Comme @Yuuan, son côté prince tourmenté qui ne veut pas vraiment être prince ne suscite pas de réel intérêt chez moi. J'imagine néanmoins que ce flashback était nécessaire pour la suite.

 

En outre, le côté prince vertueux d'Izana qui ne pense qu'à son peuple et a toujours raison... Passez-moi cela s'il vous plaît, les princes charmants ça n'existe pas.

 

Bref, pas vraiment emballé par cet épisode moi non plus même si je salue la tentative d'originalité, de surprise ou de profondeur (rayer la ou les mentions inutiles). Heureusement en effet qu'il y a eu la cuite de Shirayuki, qui a rendu son visage aussi rouge que ses cheveux. C'était mignon. ^^

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Episode 8

 

Bien sur que le prince charmant n'existe pas, mais bon, c'est bâti comme un conte. On peut se permettre un beau gosse au caractère noble :D

Le prince vertueux bah, c'est aussi un idéal à atteindre pour Zen.

Très franchement, on accepte bien sans broncher ces femmes aux formes parfaites et à caractère flatteur pour la virilité (il y en a plein les manga de ces petites choses très rassurantes pour l'intelligence et les yeux masculins : la femme parfaite qui ne contrarie jamais, ne pense qu'à votre bonheur, etc...)  Un idéal qui n'existe pas non plus :P 

 

Le flash back était sympathique, on avait enfin un peu d'explication sur la formation de ce lien très fort qui unit Zen et son acolyte.

Le personnage d'Hatori était plutôt rafraîchissant.

Je passe sur le combat un peu trop facilement géré par les "gentils" et le fait que Izana ne s'est même pas tâché (noblesse oblige haha), comme le remarquait @Yuuan.

 

Obi était aussi un peu humanisé dans cet épisode, ce n'est pas plus mal.

 

 

 

 

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J'ai trouvé l'épisode mieux que les précédents.

 

On a toujours diverses menaces qui planent autour de Shirayuki... du coup Obi l'escorte. Cela lui permet de sortir une phrase qui rappelle quelques souvenirs à Zen (qui passait par là à cet instant !) et hop nous voilà partis pour un petit retour en arrière. Zen le rebelle j'ai trouvé que ce n'était pas trop mal traité et j'ai préféré le voir ainsi qu'actuellement. S'il est mieux exploité par la suite ce serait sympa'.

 

La scène où les Rid se font dégommer proprement était pas mal (rien que de les voir reculer suite à une parole de Izana j'avais pitié pour eux). Du coup pourrait-on imaginer que Zen renonce à son titre de prince pour vivre tranquille avec Shirayuki où l'animé voudra nous montrer que les deux peuvent atteindre leurs objectifs ?

 

Shirayuki à terre après un verre, en effet c'est un bon moment.

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Épisode 9 : Sentiments partagés

 

Même les gardes du château sont persuadés que Shirayuki est la fiancée de Zen.  :D

Tout le contenu de l'épisode est éclipsé par Shirayuki éméchée. Sa balade dans la cour avec Obi est particulièrement amusante.

 

Un point qui pourrait être important à l'avenir : l'espionnage rapproché dont est victime Shirayuki. Je pensais que Izana était derrière tout ça mais je le pense plus subtil. Quoique, envoyer l'information à un informateur hors du château serait assez utile pour brouiller les cartes..

En tout cas, si quelqu'un veut s'en prendre à Shirayuki il a falloir être malin vu les personnalités qui l'entourent.

 

Léger développement d'Obi sur les 2 derniers épisodes avec notamment la confiance qu'il se voit attribué par Zen.

 

Au prochain épisode, l'apparition d'une jeune fille.. supposément sous le charme de Zen ?

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La pharmacienne aurait pu lui préparer un breuvage pour lui faire passer l'alcool quand même...

 

Shirayuki ne tient pas l'alcool mais elle monte et descend les escaliers pas trop mal en plus de tenir un discours avant de "s'effondrer". Du coup même quand Zen n'est pas là il faut qu'il rapplique suite à ce qui arrive à sa belle. Au moins ce qui s'est passé à Laxd n'a pas été oublié et une petite sortie là-bas devrait être de rigueur d'ici quelques mois. Obi a gagné une place au palais et une identité et Zen semble déterminé à ne pas se couper des autres par rapport à l'événement passé avec Atori.

 

Divers : http://www.animenewsnetwork.com/news/2015-08-31/snow-white-with-the-red-hair-anime-2nd-season-begins-in-january/.92345

 

Du coup l'animé se termine après 12 épisodes et reprend en janvier ?

 

Edit : OK', je ne savais pas ce que voulait dire 2-cour du coup j'ai ma réponse maintenant. ^^" Merci Yuuan !

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Épisode 9 vu.

 

Plutôt amusante la conversation entre Obi et Shirayuki éméchée, mais c'est à peu près tout ce qui fait l'intérêt de l'épisode pour moi, donc c'est assez mince. Je ne saisis pas bien pourquoi on s'attarde encore sur le "problème" Laxd qui ne me semble pas en être un et qui me semble complètement appartenir au passé. J'espère qu'on en a bien fini maintenant.

 

Depuis plusieurs épisodes on a affaire à une sorte de huis clos romantique que je trouve bien ennuyeux à vrai dire, et qui me donne surtout l'impression d'une sorte de flottement, d'hésitation niveau intrigue, comme si l'auteur se cherchait encore pour construire son manga après un début trop rondement mené.

 

Du coup j'espère qu'on va repartir sur quelque chose de plus enthousiasmant la semaine prochaine, il me semble d'après la preview qu'on va enfin quitter les murs du palais pour se retrouver en plein air. Ceci ne va pouvoir faire que du bien, de même que l'introduction d'un nouveau personnage féminin. Shirayuki est le seul personnage féminin vraiment mis en valeur, cette nouvelle venue saura-t-elle se démarquer ? Sa rapide apparition dans la preview me fait espérer que oui, elle a un design magnifique et si c'est bien elle qui prononce les premiers mots de l'annonce du prochain épisode, du caractère également.

 

 

Bien sur que le prince charmant n'existe pas, mais bon, c'est bâti comme un conte.

Plutôt raté pour moi cet aspect-là. On a pourtant tous les ingrédients pour faire un beau conte : un palais, un beau prince valeureux, une belle jeune fille qui a quelque chose de spécial. Mais malgré cela, cet anime ne parvient pas à me faire rêver comme un conte le ferait.

 

Très franchement, on accepte bien sans broncher ces femmes aux formes parfaites et à caractère flatteur pour la virilité (il y en a plein les manga de ces petites choses très rassurantes pour l'intelligence et les yeux masculins : la femme parfaite qui ne contrarie jamais, ne pense qu'à votre bonheur, etc...)  Un idéal qui n'existe pas non plus :P 

La femme chiante, quoi. :-X C'est pas du tout mon idéal ce type de nana, autant adopter un chien.

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Episode 10 : Sentiments grandissants

 

Une petite bouffée d'air frais alors que la déception régnait en maître ces dernières semaines.

A partir du moment où Shirayuki retrouve non pas une relative liberté mais un brin d'autonomie, ça devient tout de suite bien plus agréable. Elle a pu faire face seule à l'obstacle qui s'est dressé contre elle même si c'était un poil trop facile à mon goût et que l'intrigue aurait mérité d'être plus ambitieuse.

Et voila ainsi le premier service postal mis en œuvre.  :D

 

En plus j'ai trouvé l'épisode particulièrement soigné, tout du moins un peu plus que d'habitude car à ce niveau il serait difficile d'apporter des reproches.

 

Gros choc avec la scène de fin mais on le connaît le petit Zen et on sait que ça va être trop compliqué pour lui d'assumer ce geste. La preview va dans ce sens d'ailleurs... Il reste un gros boulot à faire sur ce personnage même si je ne serais pas trop dur à ce sujet vu sa position. Le seul problème c'est de le voir autant stagner, ce qui a tendance à lui donner la posture d'un mauvais personnage.

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La dernière scène a supprimé d'un coup les 23 premières minutes de l'épisode dans ma tête.

 

 

Zen a embrassé Shirayuki !

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Purée, j'y croyais plus, faut voir comment ça va être géré, cette affaire, c'est sûr.

 

L'épisode en soi, c'est du classique pour Shirayuki, un remake du comte Haruka avec moins de scrupules mais une rouquine frondeuse retrouvée, qui se dresse encore une fois, pour se défendre et défendre son prince qui a encore du mal, là-dessus, je rejoins son grand-frère, à protéger convenablement Shirayuki de ce genre d'épisodes fâcheux même si pour le coup, cette dernière a déjà prouvé qu'elle est loin d'être une petite plante fragile.

 

J'attends avec un peu plus de curiosité que ces derniers temps l'épisode 11, normalement, certains statuts de personnages devraient changer et impacter la vie au palais.

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Episode 10

 

Rooh enfin le baiser !

Que c'était mignon ♥

Les vrais ennuis vont pouvoir enfin commencer  ;D

 

L'autre bon point de l'épisode c'est le retour du mental de Shirayuki.

 

Un épisode plein de poésie, avec un oiseau bleu (quelle référence !) qui symbolise bien des choses.

 

 

 

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Et Zen inventa - sur idée de Shirayuki - les "pigeons voyageurs" pour son royaume. Pas mal dans l'idée car à part trouver une utilité aux piafs il était a priori difficile pour le prince de faire entendre raison à l'autre seigneur. Ce dernier est encore un personnage sans épaisseur et son comportement est tellement prévisible, ses propos idiots... tout ce qu'il faut pour bien mettre en valeur Shirayuki qui paie de sa personne même si sa blessure n'avait pas l'air bien grave finalement. Le geste final de Zen m'a un peu surpris car autant en le voyant monter les marches on pouvait se dire que son petit cœur battait car Shirayuki était blessée autant là, je ne m'attendais pas vraiment à ce qu'il saute le pas.

 

Du coup le seigneur ne sera pas plus inquiété que cela ou son fief lui sera retiré ?

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Épisode 11 : Rencontre avec une couleur insoupçonnée

 

Une avancée à pas de géant ces deux derniers épisodes !!

 

Déjà la scène post-baiser n'a pas été éclipsé et Zen a été loin d'être minable dans cette situation. On partait déjà bien pour la suite.

Zéro esquive concernant ce fameux baiser puisque ça en devient même le sujet principal de l'épisode et qu'il est traité jusqu'au bout. Certes de manière très classique mais suffisamment gracieuse comme cette série sait bien le faire.

Chacun aura fait sa déclaration à sa manière et assume maintenant ses sentiments en face de l'autre.

 

Maintenant le vrai défi est toujours pour Zen, d'assumer cette relation auprès de tout le monde avec son statut princier. Sur ce point on risque de stagner bien plus mais cette première avancée redonne un minimum de confiance.

Par contre si il pouvait arrêter d'invoquer sans cesse comme raison qu'il n'est pas sûr de pouvoir protéger Shirayuki...

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Épisodes 10 et 11 vus.

 

L'épisode 10 m'a un peu réconcilié avec la série qui ne cessait de me décevoir depuis plusieurs épisodes grâce à cette excursion salutaire de Shirayuki en extérieur, confrontée à un problème qu'elle s'efforce de gérer seule de façon totalement indépendante. On a ainsi retrouvé la Shirayuki des premiers épisodes, ça faisait du bien. Cependant, si cet épisode ne pouvait qu'apporter un grand bol d'air à l'anime que je trouvais presque étouffant à force d'épisodes en huis clos au palais où Shirayuki n'était plus réduite qu'à une favorite de prince, il faut dire qu'on ne voit rien de nouveau, on s'est contenté de reprendre le modèle des premiers épisodes avant la séquestration l'entrée de Shirayuki au palais, avec une Shirayuki autonome tâchant de régler un problème seule, et l'arrivée de Zen seulement à la fin.

En parlant de fin, la fin de l'épisode, avec le fameux baiser, m'a fait très peu d'effet. Il y a quelques épisodes les deux jeunes gens s'étaient déjà enlacés tendrement, leurs sentiments étaient déjà donc suffisamment explicites et de ce fait ce baiser ne m'a semblé que confirmer un état de fait et donc avoir peu d'impact sur le moment. Ce n'est qu'après réflexion que je me suis qu'effectivement, ce baiser allait sans doute être être lourd de conséquences pour la suite.

 

Et en effet, l'épisode 11 est quasi tout entier consacré à ce baiser et ses suites. L'ensemble est traité de façon classique mais non niaise pour autant, j'ai trouvé cela plutôt bien réussi. Je n'aime pas trop par contre (et ça c'est depuis le début de la série en fait) ce vocabulaire de concepts vagues et imagés qui sont sans cesse assénés lorsque Zen et Shirayuki parlent de leur relation en voix off : "te regarder", "aller dans le lieu où je veux être", "voir ce paysage", "te protéger"... Tout ça est en fait bien concret, et cette manie d'enrober le tout à la sauce romantique avec des métaphores et des déclarations vagues a tendance à me fatiguer, sans doute car je ne suis pas du tout quelqu'un de romantique (T'as un truc à dire ? Dis-le tel quel bon sang ! >:().

Ce que je retiens surtout de l'épisode en fait, c'est le mouvement d'Obi qui s'apprêtait à prendre la main de Shirayuki, juste avant que Zen n'arrive. Je me demandais déjà depuis un moment si sa fréquentation régulière de Shirayuki n'allait pas faire naître quelques sentiments en lui, mais je pensais qu'on ne risquerait quand même pas d'aller vers une situation de ce genre. Ce mouvement d'Obi m'embête à vrai dire, j'espérais qu'on n'arriverait jamais à une telle situation car j'apprécie beaucoup Obi alors que je trouve Zen lisse, ennuyeux et presque soûlant parfois. En fait, je suis à fond sur un Obi x Shirayuki et résolument défavorable au classique et prévisible Zen x Shirayuki déjà établi depuis le tout début, mais je me doute bien qu'on ne s'acheminera jamais vers un changement de configuration en faveur de la première paire. >_<

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Alala.

 

 

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C'est bô l'amour  :D !

 

Depuis le temps que ça devait se faire, j'ai eu une trouille bleue que Zen fasse une de ces japoniaiseries dont tout un tas de MC de séries romantiques ont le secret : Faire un geste fort et ne pas l'assumer derrière.

 

Bah, autant pour moi, monsieur a parfaitement géré son affaire, arrivant même à ne rien laisser transparaître devant une Shirayuki complètement ébranlée et scandaleusement touchante au moment de sa déclaration. C'était mignon tout plein, la princesse en devenir aux cheveux d'un rouge éclatant qui s'empare du cœur du prince le plus sympa depuis Cendrillon.

 

Je n'ai (moi aussi) pas trop compris le geste d'Obi. Que voulait-t-il faire ? C'est évident qu'il est intrigué par Shirayuki mais bon, si je tente d'interpréter ce mouvement, en général, lorsqu'on veut choper la main d'une femme de la sorte, c'est probablement dans la perspective de se rapprocher d'elle. M'enfin, le garçon n'a aucune chance, il a perdu dès l'épisode 1 limite, je serai estomaqué (mais agréablement surpris) s'il arrivait à ébranler ce qu'on peut maintenant considérer comme le couple à part entière Shirayuki/Zen, mais bon, c'est probablement un peu trop fantaisiste, même pour un conte de fée.

 

Il ne reste qu'un épisode, je sais pas trop comment va se clôturer cette série (où est passé Izana d'ailleurs ?), que je n'avais pas prévu de visionner à la base et qui s'est avérée être une belle surprise (au début), sans pouvoir échapper à un petit coup de mou par la suite pour un (mini) retour en grâce sur la fin.

 

Un mini-regret aussi, on sait plus où moins qui est Mitsuhide mais Kiki reste et restera une énigme complète.

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Pour une poignée de secondes Obi n'a pu prendre la main de Shirayuki. A voir si ce geste qui n'a pas eu lieu aura ou non des conséquences par la suite (Obi semble se battre dans le prochain épisode : parce qu'il a entendu une parole déplacée sur Shirayuki ?). L'épisode était plutôt agréable à suivre et le thé qui a été préparé m'a donné envie de tremper mes lèvres dedans. Moralité : le goût du thé ne peut pas traverser un écran.

 

Shirayuki devrait donc grimper dans la hiérarchie et cela devrait alimenter quelques commérages et propos sans doute.

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Épisode 12 : Au revoir au commencement

 

Vu comment l'épisode a commencé, j'ai bien cru qu'on allait se retrouver devant un premier épisode bilan qui clôturerait cette première partie sans qu'il ne se passe rien de nouveau. Fort heureusement, on en est loin.

 

Le grand classique de la remplaçante de dernière minute dans la pièce de théâtre a fait son petit effet et quelle meilleure mise en scène que l'arrivée du vrai prince pour sauver sa belle ?!  :D

D'ailleurs Zen remonte bien dans mon estime depuis quelques épisodes. Les épisodes ont également une bien meilleure saveur depuis qu'ils se sont mutuellement déclarés leurs sentiments et ceux, même si c'était une évidence avant la fameuse scène du baiser.

 

Au final on est à l'opposé des promesses des 2 premiers épisodes (la Shirayuki libre et battante solitaire  :'() mais une fois qu'on a pris le pas, il est aisé de se laisser porter par l'histoire. La déception ne s'effacera pas mais je ne vais pas m'attarder dessus jusqu'au bout des 24 épisodes.

Autre petite déception par rapport à ce que tout le monde avait souligné dans les premiers épisodes : le côté décomplexé de la relation Zen/Shirayuki où notamment aucun des deux ne rougissaient en compagnie de l'autre. Celle-ci s'est vite éclipsée pour laisser place au grand classique de la japanim' où Shirayuki rougit à tout bout de champ...

 

Maintenant, la lourde tâche du second cour prévu en Janvier sera de faire avancer l'histoire, c'est à dire le fameux Shirayuki x Zen. Si ça stagne, ce sera un échec.. Mis à part gros retournement de situation dans la construction de l'histoire !

 

Rendez-vous en Janvier ! 

:)

 

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Je me demandais ce qu'il avait en tête pour Shirayuki : limite je pensais qu'il allait vouloir l'enlever (car cheveux rouges donc rares etc.) mais finalement non, il voulait un coup de pub' pour sa troupe. Zen lui l'aura peut-être apporté avec son duel à l'épée.

 

Cette journée "portes ouvertes" au château était agréable à suivre.

 

J'espère qu'en janvier il y aura moins de rouge sur les joues et que Shirayuki arrivera quand même à proposer une trajectoire intéressante parce qu'elle rentre malgré tout quelque peu dans le rang. Heureusement il y a Obi et ses petits cadeaux !

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Clap de fin en attendant la S2.

 

Pas de cliffhanger de fou, on termine vraiment sur une note positive, avec un Zen plus confiant que jamais, entouré de sa garde rapprochée et de sa nouvelle petite-amie si on peut le dire comme ça.

 

Le festival est vraiment anecdotique, tout comme ce mini-incident avec la troupe de spectacle qui n'a été provoqué que pour, j'imagine, tirer tout le monde de la relative torpeur de cet épisode final qui n'avait pas beaucoup de choses à raconter, tout ayant déjà été dit (et fait).

 

J'ai relativement peur pour la S2, je vois pas trop comment elle va bien pouvoir m'intéresser mais bon, j'étais déjà pas super enthousiaste au début de la S1 et je me suis bien planté, ça m'avait plu en définitive, donc bénéfice du doute.

 

De manière générale, la grosse satisfaction aura été le début de la série, on retrouvera jamais la Shirayuki qui se démerde toute seule dans la vie, c'est le revers de la médaille mais ça fait parti du jeu, le gros souci, c'est ce mini-trou d'air en milieu de saison avec l'arrivée du prince Izana et machin chouette, qui a, certes, accéléré les choses pour la naissance du couple mais c'était vraiment l'arbre qui cache la forêt, l'histoire n'avait plus grand chose à livrer.

 

Sur la fin, il y a eu un léger mieux (ne jamais sous-estimer le pouvoir des déclarations d'amour), c'était bien fait, beaucoup de séries tombent dans l'écueil de faire traîner les choses et de fabriquer artificiellement du drame au lieu de laisser certains couples se former, content que Shirayuki et Zen ne soient pas tombés dans ce panneau-là.

 

La route jusqu'au mariage princier s'annonce longue, de quoi va être composée la route d'obstacles qui va se dresser devant nos jeunes héros ? Réponse en Janvier (et croisons les doigts pour qu'ils se baladent un peu plus hors du palais à l'avenir quand même  :D ).

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