Shōwa Genroku Rakugo Shinjū [Studio DEEN]

[Shizao]

Très bon épisode 8. Yakumo s'adoucit un peu quand même, son explication au sujet de sa relation avec sa copine dont j'oublie toujours le nom est compréhensible en quelque sorte. Là pour le coup c'est Sukeroku qui fait un peu salaud.

 

J'aime bien l'idée d'une séparation, même si je suis pas convaincu qu'elle durera longtemps (genre jusqu'au dernier épisode), ou alors une ellipse temporelle. Autre bon point, l'avenir du rakugo que dessine Sukeroku. Chacun son style, chacun sa tâche, pourquoi pas. L'aspect rebelle de Sukeroku est bien mis en avant aussi, là encore ça tranche avec Yakumo qui est très attentif aux directives de son institution. Enfin je comprends mieux pourquoi Sukeroku est pas très proche de son maître, vu que Sukeroku I semble avoir un caractère bien différent et compatible avec Sukeroku II. Même si on l'a vaguement aperçu, je trouve qu'il dégage de la bienveillance contrairement au prédécesseur de Kikuhiko qui est très sérieux.

 

Au passage, le concert de jazz était excellent, superbe ambiance.

[Zeodrake]

Bon j'ai rattrapé un peu mon retard ( il me reste 2 épisodes à voir ) mais je dois dire que je suis assez soufflé par la qualité de l'anime pour l'instant c'est vraiment impressionnant limite l'on prend une mini-claque à chaque épisodes.

Concernant le duo j'ai une préférence pour Yakumo dans le sens où le personnage me parle un peu plus, c'est assez bizarre car j'avais plus tendance à penser qu'il s'agirai de Sukeroku mais non, j'ai vraiment de l'affection pour ce personnage, j'irai même jusqu'à dire que c'est le plus humain des deux malgré sa froideur apparente.

 

Par contre la route de Sukeroku semble toute tracée et nul doute que notre chère Geisha sera mêlé d'une manière ou d'une autre au drame.

[Shizao]

Je suis à jour et j'ai de moins en moins de doute sur l'implication de Miyokichi dans la disparition de Sukeroku. Son égoïsme et son pragmatisme ne vont pas du tout avec Sukeroku d'ailleurs, pas étonnant que leur liaison soit un échec, c'était couru d'avance même. Konatsu en revanche, ressemble bien plus à son père.

 

Kikuhiko se lâche un peu plus, il m'est un peu plus sympathique qu'au début ou milieu de la série. Malgré sa froideur et son égoïsme, on voit bien qu'il n'est pas aussi mauvais que Miyokichi par exemple. A moins que l'on voit un autre visage d'elle d'ici les deux derniers épisodes, mais c'est mal parti. Je vois bien Sukeroku mourir au prochain épisode avant un retour au présent pour le dernier épisode.

[Haar]

Une deuxième saison vient d'être annoncée, sans date par contre. 

[Crimson Rain Papy]

C'est bon, c'est fini :'(

 

Que dire, que dire... ça va être dur d'en parler, car après l'épisode de la semaine dernière, j'ai immédiatement été lire les scans, car je ne pouvais attendre, et car cette mort de Sukeroku je la trouvais bien trop bizarre. Et j'ai eu mes réponses. Et n'ait fait qu'aimer d'autant plus cet anime. La saison 2 devrait être énorme, bien glaçante, comme le présage déjà cet épisode, avec le spectre de Sukeroku, et les mots de Kiku qui laissent présager qu'on a pas eu le fin mot de l'histoire. Limite je suis contente de m'être "spoilée" tant ça a remis en question tout mon visionnage, et m'a fait bien plus apprécier la série.

 

Enfin, une très belle histoire qui est contée ici, bien qu'elle ne soit pas terminée, au contraire. On doit désormais voir ce qui va advenir de Yotaro et Konatsu (bon sang qu'elle est belle cette femme), ainsi que savoir ce que Kiku ne nous a pas confié dans son récit.

 

Je retiendrais deux choses tout particulièrement. D'abord la réalisation. Juste à couper le souffle, on nous a permis d'être transportés rien qu'en écoutant un type qui raconte une histoire sans bouger. C'est vivant, c'est prenant, la couleur est magnifique, l'animation aussi, le dessin j'adore. Et la musique est elle est particulièrement bien trouvée, ainsi que le montage/effets sonores très bons. Sérieux, rien à redire, il y a des scènes vraiment poignantes dont je me souviendrais longtemps : Miyokichi qui promets à Kiku qu'elle le "reverra en enfer", le moment où Kiku s'accroche au dos de Sukeroku en le suppliant de ne pas arrêter le rakugo, et évidemment cette dernière scène dans le cimetière, tellement puissante.

 

La deuxième chose à retenir sera les seiyuus, et leur boulot magistral. Il fallait de très bons acteurs pour jouer des acteurs de rakugo, sans surprise. Encore plus, savoir jouer des acteurs en apprentissage. L'interprétation d'Akira Ishida, qu'il soit jeune, vieux, m'a mise au sol, je l'aimais ainsi que l'admirais déjà beaucoup (il a un de ces panels de personnages, il est juste impressionnant), là il détrône sans souci Daisuke Ono qui jusque-là était mon dieu perso du doublage.

Sukeroku aussi, avec la voix du grand Koichi Yamadera, autre homme qui progressivement gagne mon respect. Megumi Hayashibara en Miyokichi est elle aussi parfaite. Enfin, Kobayashi Yuu, que je connais surtout en Sacchan, montre à nouveau son talent en jouant Konatsu, qu'elle soit petiote ou bien adulte. Je remarque d'ailleurs que la majorité des doubleurs étaient dans Evangelion, c'est amusant (Ishida = Kaworu, Hayashibara = Rei, Yamadera = Kaji).

 

Avec cela un scénario solide, à nouveau encore plus en sachant la vérité derrière toute cette affaire, c'est sans aucun souci l'anime de l'hiver 2016. Très très hâte de voir la suite animée, et sachant qu'on a déjà des images previews, j'imagine que ça ne devrait pas être long, peut-être automne 2016? Seul l'avenir nous le dira. En tout cas ça va être dément, et très très beau, ainsi que malheureusement bien douloureux, comme on peut déjà le pressentir avec ce dernier épisode, encore Kiku qui paraît très vieux (surtout à côté de Matsuda!) et ce spectre de Sukeroku qui, déjà, le poursuivait dans l'épisode 1...

[Shizao]

Très belle première saison. Finalement Miyokichi est pas aussi mauvaise que je le pensais. Même si elle a bien failli tuer Yakumo. Dans ce triangle amoureux, ça restera toujours ambigüe finalement. Yakumo aime Miyokichi mais son côté un peu carriériste à ce moment là a tout gâché, Sukeroku aime Miyokichi aussi mais Miyokichi ne l'aime pas et préfère Yakumo. A la fin on se rend quand même compte qu'elle avait de l'affection pour Sukeroku et que son amour pour Yakumo s'était juste transformé en désespoir. J'ai bien aimé la gestion de ce triangle.

 

J'ai hâte de voir la progression de Yotaro, vu que j'aime le style de Sukeroku. Je pense pas qu'il soit le père de l'enfant de Konatsu cependant, même si il y a toujours le bon vieux "on a trop bu, c'était un accident".

[Zeodrake]

Un excellent final pour clore une excellente première saison.

De loin l'anime de la saison hivernale et pourtant j'ai à peu près tout suivie, un triangle amoureux qui aura été intéressant jusqu'au bout, je me suis vraiment pris d'affection pour Kikuhiko ( ou plutôt Yakumo ) durant l'histoire et le voir aussi hanté par ses vieux démons dans le dernier épisode était assez poignant, c'est vrai sur cette scène en particulier il parait bien vieux.

La réalisation était absolument géniale, j'ai rarement vu une série animé aussi régulière autant dans l'animation que dans le découpage, les arrières plans qui tenait la dragée haute à ceux de Grimgar et cette mise en scène du Rakugo qui réussissait à transmettre les émotions de fort belle façon.

Bref c'était génial de bout en bout et j'ai même hésité à mettre 10.

 

 

[Silesius]

Visionnage terminé. Shôwa Genroku Rakugo Shinjû était un excellent anime.

 

Bon, je n'ai pas aimé la fin de l'épisode 12. Le comportement de Sukeroku m'a semblé contraire à tout ce qu'il avait montré de lui auparavant, mais il faut bien se rappeler que ce flashback est une narration de Kikuhiko. La narration n'est pas objective, elle est connoté par son regard. Il faut dire aussi que l'on n'a pas vu les années de vie ensemble de Sukeroku, Miyokichi et Konatsu, donc on n'a pas pu voir ces personnages évoluer pendant ce temps.

 

C'est étonnant de voir comment la gestion des personnages dans cet anime peut être aussi bonne alors qu'elle est pourtant extrêmement conventionnelle. Nous avons un triangle amoureux très classique entre deux hommes et une femme, et les deux personnages masculins sont construits dans un jeu d'opposition et de complémentarité tant dans leurs personnalités respectives que dans leurs chemins de vie. Tous les deux m'évoquent l'image d'une vieille balance donc chacun serait un des plateaux : ils s'opposent mais fonctionnent ensemble. Même si je n'ai pas aimé le fin de l'épisode 12, j'ai trouvé intéressant le paradoxe entre Sukeroku qui dit que "le rakugo n'est pas quelque chose que l'on peut faire seul" au moment où il décide d'abandonner sa pratique afin de se consacrer à Miyokichi et Konatsu et donc pour ne pas être seul, et la situation de Kikuhiko après la mort de Sukeroku et Miyokichi qui se retrouve à continuer de pratiquer le rakugo, désormais seul.

 

Mention spéciale dans cet anime au travail des seiyû bien sûr, qui a été formidable.

 

Un des meilleurs anime de la saison, donc. Je lui ai mis un 8/10. J'aurais juste aimé une gestion moins "carrée" des personnages, car c'est la seule chose qui nuit au réalisme de cette histoire. Je lui aurais alors peut-être décerné un 9 voire un 10. Je ne mets de note supérieure à 8 qu'à un anime que je pense regarder plusieurs fois, et je ne pense pas revoir une nouvelle cette saison 1 même si je ne manquerai pas de regarder la deuxième.

[Shizao]

Le comportement de Sukeroku m'a semblé contraire à tout ce qu'il avait montré de lui auparavant

Tu trouves ? Certes il montrait un certain égoïsme mais ça se manifestait souvent dans des situations où tout le monde était détendu. Au fond, on l'a vu à travers son rakugo que c'est un personnage attaché à l'être humain.

 

Tu le précise bien après, il s'en est passé des choses depuis. Mais même par rapport au Sukeroku qu'on avait vu jusque là, ça m'a pas surprit.

[Silesius]

Tu trouves ? Certes il montrait un certain égoïsme mais ça se manifestait souvent dans des situations où tout le monde était détendu. Au fond, on l'a vu à travers son rakugo que c'est un personnage attaché à l'être humain.

 

Tu le précise bien après, il s'en est passé des choses depuis. Mais même par rapport au Sukeroku qu'on avait vu jusque là, ça m'a pas surprit.

C'est-à-dire qu'avec sa première performance sur scène depuis longtemps et la joie qu'il a ressentie en voyant rire Konatsu (il dit qu'il ne l'avait jamais vue rire comme ça auparavant), et vu son caractère passionné et l'amour pour le rakugo qu'il a toujours montré auparavant, je me suis dit que c'était bon, il allait reprendre le rakugo. L'allusion à Konatsu surtout me faisait penser ça, c'est pourquoi j'ai trouvé très étrange quelques instants plus tard qu'il dise vouloir abandonner définitivement le rakugo.

[Crimson Rain Papy]

Ayant lu le manga, je confirme les dires de Silesius. Il y a des moments où il est normal de trouver des incohérences, telles que celle-ci (par exemple, revoyez l'épisode 1, et comparez l'image de la mort de Sukeroku via les souvenirs de Konatsu, et la version de Kiku...).

 

Vingt minutes plus tôt, Sukeroku expliquait à Kiku qu'il avait eu une réalisation en jouant, et on sent/sait qu'il ne veut que continuer à jouer. Et juste après, il explique qu'il va complètement arrêter : même si cela suit l'histoire qu'il a contée, il y a quelque chose qui cloche. De plus, il n'a jamais semblé tant être amoureux Miyokichi, et cette déclaration prend par surprise. Moi aussi en regardant l'avant-dernier épisode, j'avais été déçue que cela finisse "comme ça".

 

Mais il y a une explication C'est en partie pour cela qu'il y aura une saison 2.

*badum tss*

[Makishima]

La saison 2 arrive en janvier : http://www.animenewsnetwork.com/news/2016-08-05/showa-genroku-rakugo-shinju-anime-season-2-premieres-in-january/.105044

 

Infos aussi concernant le 10ème volume qui contiendra une histoire de 20 pages nous plongeant à l'époque où Konatsu et Yakumo étaient jeunes et vivaient ensemble et sortira aussi en édition limitée avec des character designs de Kumoto pour la saison 2 de l'animé.

[Crimson Rain Papy]

Premier trailer pour la saison 2 :

 

Kikuhiko :-*

 

Et avec cela un visuel :

 

[Crimson Rain Papy]

Episode 1 de la saison 2 vu

 

Fiouuuuu... quel bonheur, bon sang, quel bonheur.

 

Déjà, le début. Super idée pour récapituler l'histoire et où on en est. Ce qui est excellent, en plus de montrer encore une fois à quel point les doubleurs sont géniaux, c'est qu'on voit à quel point l'histoire de la série peut être comparable à une histoire de Rakugo. Une histoire façon rakugo, sur le rakugo, avec des passages de rakugo qui sont très clairement des parallèles avec l'histoire en cours. Rha, du génie.

 

Bref, on retrouve ce petit monde, avec quelques nouveaux persos qui sont introduits au compte-goutte, deux dans cet épisode : le salaryman nouveau-riche, qui profite de la bulle économique des années 60-70; et l'écrivain fan d'art et notamment de rakugo, qui souhaite rénover cet art, et qui a déjà rencontré Kiku par le passé. J'ai d'ailleurs bien fait de me refaire la saison 1, je me disais que ce petit gars qui surgit un jour pour demander à Kiku d'être son maître semblait sortir de nulle part, j'avais oublié que c'était en fait ce même écrivain qui parle à Yotaro, 30-40 ans plus tard.

 

Deux nouvelles figures intéressantes, surtout le premier qui sert pas mal à situer la période (et qui me parle bien perso vu que cette période est dans mes cours) : en gros, ces années 50-60 sont les années où le Japon a vécu une immense croissance, notamment grâce aux USA qui importait du Japon toutes les armes dont ils avaient besoin pour leur guerre contre la Corée. Du coup, c'est une période où, les importations touchant aussi énormément le Japon, les japonais ont commencé à énormément consommer, car ils étaient très bien payés, que le yen était stable, et que le système de primes dans les entreprises était très fonctionnel. D'où la richesse soudaine de Mangetsu, qui s'habille donc à l'Occidentale, et a énormément d'argent (sûrement des primes).

 

Encore très plaisant donc dans sa qualité d'oeuvre "documentaire", sans non plus en faire un cours d'histoire, avec de petites choses disséminées ici et là qui permettent au japonais moyen de situer l'oeuvre et surtout où on en est dans l'histoire sans même avoir de chronologie précise (l'anime abordera aussi sûrement l'éclatement de la bulle de 85 d'ailleurs, aka la récession qui a touché le Japon après ses années de "gloire"; ce sera intéressant à voir).

 

Sinon, pour les personnages que l'on connaît déjà : on en a pas vu beaucoup de Konatsu, mais j'apprécie toujours son côté franc bien que boudeur, qui n'en fait pas non plus une tsundere, juste une fille un peu dure à faire s'ouvrir (et c'est compréhensible vu son histoire). Yota est toujours aussi fun à suivre, en même temps j'ai ce faible pour les idiots qui l'assument, et son rakugo est très plaisant à écouter. C'est toujours aussi impressionnant le souci du détail, je ne sais pas pour les autres, mais si on sent évidemment la ressemblance avec Sukeroku, on sent aussi que ce n'est pas un copié-collé. Yotaro joue beaucoup plus sur l'idiotie, les mimiques, là où l'arme la plus puissante de Shin-san était sa voix (encore bravo à Yamadera Kouichi).

 

Enfin le vrai héros de SGRS, y a pas à en douter, il est au centre de l'opening (dont je parlerai après), au centre même de l'épisode même si on ne le voit pas forcément beaucoup, et sera au centre de l'histoire, toujours, car après tout le thème central de la série reste le 心中, shinjuu, le double-suicide, aka le souhait de Kiku d'emporter le rakugo dans la tombe. J'en dis pas plus (car j'ai lu le manga en japonais), mais Kikuhiko n'a pas fini de briller et d'être magnifique dans son évolution qui oui, n'est pas finie, car SGRS, c'est l'histoire de la vie de Kiku et du Rakugo, entremêlées, et indissociables.

 

Niveau réalisation, ohlala. Deen est vraiment impeccable avec cette série. On sent que le budget n'est pas énorme, et que l'équipe n'a pas d'animateurs de grand talent (c'est pas Mob Psycho 100 quoi); mais l'ambiance, et le souci de la mise en scène est toujours bluffant. Rien n'est mis au hasard, y a pas de "trop" pour "faire mouche", tout est très bien choisi, et ce qui l'exprime le mieux, c'est l'opening, dont

vu que cette semaine, il n'y avait ni ED ni OP.

 

Cet opening, wow. Je l'ai réécouté en boucle toute la journée. Déjà, la chanson est sublime, Megumi Hayashibara (qui, je le rappelle, doublait Miyokichi), est géniale, et chante de ce ton mélancolique et sombre qui correspondra parfaitement à cette saison de SGRS. Et puis visuellement, si on est pas sur de l'aussi original que le premier, y a quand même un rythme qui fonctionne parfaitement bien, et des métaphores qui illustrent très bien la série. Je ne pourrai pas en parler car je risque de spoiler la série, mais quand je vous dit que cet opening est la représentation parfaite de ce que sera cette saison, avec Kiku au centre, les "plus jeunes" qui tendent la main vers lui, mais celui-ci qui est toujours rattrapé par son propre Shinigami... gah, ça va être magnifique.

 

Bref, un premier épisode parfait, pour remettre en place, pour avancer l'intrigue, et j'ai hâte qu'on aborde les scènes que je veux voir adaptées (j'en ai un paquet, d'ici trois-quatre épisodes, chaque semaine risque d'être une torture pour attendre le prochain épisode).

[CCXLL]

J'ai pas lu le pavé pour pas me faire spoil mais où l'a tu vu, sur ADN il est payant ?

[Crimson Rain Papy]

En vosta, illégalement. D'ordinaire, je passe par le légal, et j'aimerais bien le faire pour SGRS que j'adore, mais je ne me vois pas payer pour ADN dont le simulcast ne me plaît pas (qualité de vidéo, de traduction, et surtout lenteur à faire diffuser ses séries).

 

Il est clair cependant que le jour où un coffret DVD/BR sort, je me jette dessus.

[CCXLL]

A ok, j'aime pas la vosta je ne suis pas assez bonne en anglais, je vais comprendre que 60% de l'épisode lol, et comme j'ai trop envie de le suivre dans de bonnes conditions je vais pas succomber à la tentation. 

 

Tant pis je vais attendre, y a bien quelques fans qui auront la gentillesse de le traduire.

Personnellement je suis pour la légalisation, mais le jour où on te proposeras une plateforme complète là je serais prête à payer à la limite sinon c'est pas 5 euros par mois que tu paye...

 

Ce que je trouves pas cool en revanche c'est de ne pas laisser le choix aux gens.

Pour la première saison celle-ci était gratuite maintenant tu n'as plus le choix il faut casquer...

Ils pourraient au moins te laisser le choix d'avoir des pubs si tu veux la voir gratuitement.

 

Sinon pareil que toi, si elle est un jour disponible en Blu-ray je l'achèterais j'ai trop aimé la première saison en espérant que la deuxième soit aussi bonne.

 

[Crimson Rain Papy]

Je suis la seule à commenter, ça m'attriste, mais peu importe, je continuerai, cette série le vaut.

 

Surtout avec un tel second épisode. Wow. La pure claque. Et tellement de choses à dire, ces épisodes vont à une vitesse folle, et sont pourtant bourrés d'informations.

 

Déjà, Yotaro, son passé qui le rattrape. Très sympa de faire ça, et d'autant plus sympa j'ai trouvé de mentionner ce en quoi consiste vraiment son travail : il est pas qu'au théâtre, sinon il en vivrait pas, et en fait il est aussi à la télé (joli moyen de montrer comment le rakugo a pu tant bien que mal s'intégrer dans la société contemporaine), et a carrément un agent, ça rigole pas.

Aussi cool d'ajouter à cela les critiques, qui existent aussi en rakugo, avec là un Kappei Yamaguchi au sommet de sa forme pour nous faire un trans bien comme il faut

Bref, le passage de récitation était d'une intensité rare, on avait déjà eu quelques pièces ratées la saison précédente, mais celle-ci était tellement longue, lancinante, et pourtant fascinante, woah, j'en étais retournée. Et cette chute, bordel, Yota qui ose se lever et enlever son kimono, génial. J'attendais de voir la réaction que pouvaient avoir les gens à un rakugoka qui oserait briser les règles sacrées de ce théâtre, et on a là Yotaro qui, clairement, ne peut pas résister, et c'est vrai que passer ces règles vieillottes pourraient vraiment servir à moderniser cet art (on sent dans sa première représentation, au théâtre, qu'il a envie de répondre aux gens qui parlent pendant qu'il conte, encore une fois, le dosage est parfait).

 

Autre point majeur de l'épisode, c'était évidemment, encore une fois, Kikuhiko. Il est toujours au centre de l'histoire, même si évidemment Yotaro est aussi un perso principal, mais il demeure étroitement lié à Kiku. J'aime d'ailleurs ce moment où on le voit l'entraîner, c'est intéressant de voir sa manière d'enseigner, et le fait, il est vrai, qu'il n'est pas pédagogue, et c'est compréhensible.

 

Mais bon, la scène de cet épisode, c'est ce moment entre Konatsu et Kiku. Wow. Tellement de choses qui en émanent. Tellement de sentiments, et c'est tellement dingue, ces échanges de menaces, Kiku aux envies clairement suicidaires; alors qu'un enfant joue au milieu, innocent. Avec cela l'animation, la réa au top du top, bordel on a 5min de chef d'oeuvre. Et encore une fois, je me répète, mais on a PAS fini d'en avoir, des scènes du genre. Préparez vous, la preview annonce la couleur.

 

Et la scène finale, évidemment, miam. Ce retour de manivelle, avec quelques mots seulement sur Miyokichi, dont l'âme vengeresse continue de planer sur la série, ahhh, magique.

 

Un dernier mot sur quelque chose qui a fait ma semaine : Akira Ishida (le doubleur de Kiku, que j'adule déjà), qui chante. Mieux, qui chante comme un homme âgé d'une certaine époque chanterait. C'était brillant. Cet acteur est doué, à un point, je sais même plus le décrire là, c'est juste... époustouflant. Wow.

 

Voilà ce que je retiens de cet épisode. Wow. De l'opening à l'ending (on en a toujours pas un officiel, d'ailleurs, en aura-t-on un un jour?? ), bluffée. Et c'est pas fini, c'est ça qui est génial.

[Haar]

Plus grand monde commente faut dire, je me sens seul sur mes topics à éditer sans arrêt.

 

Bon du coup j'ai fini la saison un en m'enchaînant un bon paquet d'épisode cette nuit.

C'est assez amusant à constaté d'ailleurs, j'avais du mal à enchaîné sur les 7-8 premiers épisodes. Ils étaient bien sympa, sans être très bon et surtout ne me donnaient pas envie d'enchaîner directement.

Mais après ça devient encore plus intéressant ce qui m'a fait finir l'anime d'une traite.

 

Un travail graphique surprenant de la part de Deen à été effectué. C'est très loin d'être un studio que j'affectionne donc ça me surprend beaucoup, en terme d'ambiance c'était très bien reproduit, les jeu de couleurs étaient excellents.

Une bonne surprise du coup !

 

Plus évident vu le sujet de l'anime mais qui aurait très bien pu être bien moins qu'on que ce que l'on a eu, c'est au niveau du doublage.

Les seiyuus on fait un excellent travail, surtout du côté des compteurs. Je ne peux que les féliciter de leurs performances.

 

Pour ce qui est des personnages je rejoins ce qu'avait dit Silesius l'an dernier, c'était très intéressant des les suivre et eux leurs parcours.

Leur relation a été excellente, assez ambiguë parfois, tout comme le triangle amoureux qui a prit une tournure inattendue sur la fin.

A ce propos, forcément je me pose plein de questions, je verrais bien si la saison 2 répondra à celle-ci.

En tout cas la réaction de Sukeroku ne m'a pas spécialement étonné personnellement, je ne sais pas ce qu'ils ont vécu entre temps du coup je n'ai pas ressenti de réelle incohérence.

Comme dit plus haut l'histoire est racontée du point de vue de Kikuhiko après tout.

 

J'ai eu un peu de mal avec Miyokichi que j'ai trouvé un peu trop égoïste mais quand on y pense Kikuhiki n'a pas été mieux, je devrais lui laisser le bénéfice du doute, la pauvre.

Dans le lot si je préfère le rakugo de Sukeroku, je préfère de loin Kikuhiko en tant que personnage, j'y suis plus attaché.

Alors qu'en terme de comportement j'aurais pu penser l'inverse de prime abord..

Kikihuko à quelque chose de touchant malgré sa froideur en fait.

Big up à la tête de chibi-Konatsu. Une vraie peste d'ailleurs. Bien jolie adulte, ça me fait me poser des questions sur le père, Yotaro j'y crois pas mais ça expliquerais les réactions de la mère. Et je vois pas quel autre personnage ça pourrait être.

On ne connaît personne d'environ son âge après tout. Si y'a bien le frère de Yotaro mais ça serait louche. 

J'aurais tendance à pencher pour un illustre inconnu mais j'ai du mal à y croire en fait !

 

Je me demande ce qu'est devenu le gars qu'a refoulé Kikuhiko plus jeune, qui a été montré à l'écran tient.

 

 

 

Bon j'ai un peu mélangé mon avis et mes attentes, mais voila SGRS aura été une très bonne expérience dans cette saison 1 et ça va me faire plaisir d'y replonger si vite !

[Crimson Rain Papy]

Bon sang ce qu'ils passent vite ces épisodes... et pourtant y a ni OP ni ED... normal d'un côté dites-vous que cet épisode adapte 70 pages! (après, les scènes de rakugo sont évidemment rapides à adapter).

 

Ici, on reste presque totalement centré sur Yotaro (jusqu'aux dernières minutes), et aussi Konatsu, et on introduit les yakuzas, qui demeurent étroitement liés à l'histoire. Déjà à cause du passé de Yotaro, mais on l'apprend, aussi, via Konatsu.

 

Le romancier continue de traîner et d'espionner un peu tout ça, et notamment d'en apprendre plus sur Kiku. On se demande vraiment son vrai but : souhaite-il sincèrement écrire de nouvelles pièces de rakugo, ou juste écrire un livre sur Kiku? Il connaît déjà Miyokichi, désormais il veut aussi savoir ce qui l'a conduit à devenir le maître de Yota, et a au passage espionné toute la conversation entre yakuzas.

 

En parlant de celle-ci, ohlala, la tension, la crainte qui traverse tout le monde alors que Yota, imbécile heureux qu'il est, accepte de se faire de gros gros ennemis pour protéger Konatsu. Ca donne lieu à une scène tout bonne extraordinaire niveau réa; ce rant de bien une minute de Yota, qui crie, trempé, wow, c'était bon!

 

Mais bon, encore une fois, Kiku vole un peu la vedette en fin d'épisode Il a toujours une présence aussi imposante, je dirais même mystique, et c'est à la fois dû à son apparence presque fantomatique qu'à Akira Ishida qui continue d'être absolument impressionnant dans son rôle. Et c'est encore plus le cas dans cet épisode, où, cette fois, il ne chante pas, mais joue Sukeroku, qui fait du rakugo. Bon sang, mais quel mec! Je l'admirais déjà depuis longtemps grâce à son panel de voix extrêmement variées, mais il souffrait de ne doubler que des seconds rôles (Gaara, Zura, Kaworu); et je suis très heureuse qu'il ait enfin de quoi obtenir les projecteurs qu'il mérite.

 

Enfin, épisode un peu plus posé malgré tout, pas de scène aussi marquante dans sa noirceur que la semaine dernière, mais du très bon malgré tout. J'ai été revoir le manga histoire de me préparer, et c'est officiel, dans deux semaines, je meurs J'ai hâte!

[Haar]

Il est sensé y avoir 2 ou 3 épisodes ?

Sur mon site de téléchargement très légal (  ), le second a pop en fin de semaine.

 

Episode 1 vu !

Je l'avais dit qu'on le reverrais le random qui s'était fait rejeté, qu'il avait pas laissé ça au hasard l'auteur !

GG moi. 

Un épisode plutôt sympa pour lancer la seconde saison mais sans réel plus.

 

J'ai eu du mal avec le deuxième épisode que j'ai trouvé assez ennuyant puisque je n'ai pas aimé les représentations.

Le nouveau personnage de l'écrivain est intéressant mine de rien, effrayant aussi.

Yota est pas dans la meilleure des situations mais ce genre de couillon il leur faut un rien pour redémarrer. 

La fin a bien joué son rôle, je suis vraiment intrigué pour le coup.

Où est allé traîner Chinatsu ? J'imagine qu'on voit le père et peut être le grand père du bébé ? 

 

[Crimson Rain Papy]

Cet épisode 4 :') Il était excellent

 

Un épisode ultra feel-good, notamment grâce à Shin-chan, qui apporte beaucoup de fraîcheur grâce à son interaction avec les adultes. Ce passage dans les coulisses, où tout le monde s'éclate, et où même Kiku finit par se laisser aller, c'était vraiment sympa à voir. Aussi, évidemment, cela permet cette super scène de Konatsu enfin sur scène, bien que ce soit face à des maternelles, depuis le temps qu'on sait qu'elle en rêve mais se retient à cause de la misogynie de milieu, ça me fait encore plus aimer Yotaro, qui est vraiment en voie de changer les choses dans le milieu.

 

Mais à côté, il y a encore Kiku, encore plus déterminé qu'avant à détruire le rakugo avec sa mort; alors qu'il est désormais clair que les choses ne vont pas se passer ainsi. Des enfants en arrivent à connaître par coeur une ligne de rakugo, c'est déjà la prochaine génération qui se prépare, encore plus avec Shin-chan déjà très doué.

 

D'ailleurs, magnifique scène finale avec Kiku, seul, avec l'éventail de feu Sukeroku, toujours hanté par son ombre derrière lui... encore une fois, même si l'anim est pas parfaite, la réa est au top.

 

Et puis bien fun l'histoire de Jugem, qui va permettre à pas mal de fans de Gintama de faire "ahhh ça vient de là!"

 

Enfin, malgré tout, la semaine prochaine aborde enfin le gros de la seconde partie de SGRS, et adapter les scènes que j'attends le plus Hâte!

[Crimson Rain Papy]

C'est parti

 

Cet épisode 5, une vraie transition de l'histoire de Yotaro, vers la suite de l'histoire de Kiku, ainsi que sa conclusion. Yotaro est presque au sommet de son art, a quasiment maîtrisé Inokori, Konatsu est assez épanouie, Shin-chan incarne le futur du rakugo, l'auteur a des contacts et s'en sort bien. Il ne reste plus que la question de Kiku à régler, notamment avec ses fantômes qui n'ont jamais cessé de le poursuivre, dans son ombre à chaque épisode depuis la reprise, qui maintenant reviennent s'exprimer.

 

Ainsi, le plus gros de cet épisode est évidemment cette représentation finale, sur cette grande scène de Kabuki, avec Kiku qui s'effondre après avoir aperçu le fantôme de Miyokichi, qui avait après tout promis de le revoir en enfer. Et enfin ce passage, qui fait directement référence à l'histoire du Shinigami (on va rapidement voir à quel point l'histoire du Shinigami est importante), avec les bougies, Sukeroku face à Kiku désemparé.

 

J'attendais tellement cette scène, et bon sang ce qu'elle ne m'a pas déçue. L'adaptation de Deen est magique, toute la scène de rakugo est prenante alors que lentement on sent qu'il y a un problème, l'effet de l'encens et de la musique hypnotisants, et puis cette lourdeur dans les dernières minutes, cette pure violence dans les gestes de Sukeroku...  Magnifique, Deen, toujours aussi magnifique.

 

La descente aux enfers débute, et tous les épisodes jusqu'à la fin seront intenses, j'ai vraiment hâte.

 

EDIT : Je partage une interview traduite des doubleurs de Kiku et Miyokichi (Akira Ishida & Megumi Hayashibara), qui est très intéressante sur leur point de vue des personnages et la manière dont ils ont abordé leurs rôles, ainsi que les liens entre eux : https://karice.wordpress.com/2017/01/07/p554/

[Haar]

Et puis bien fun l'histoire de Jugem, qui va permettre à pas mal de fans de Gintama de faire "ahhh ça vient de là!"

 

Cette histoire était bien sympa, ce nom à rallonge ça m'a fait rire.

Mais je dois pas être assez loin dans Gintama pour avoir vu l'inspiration prise directement du milieu du Rakugo. 

 

Du coup j'ai vu les épisodes 3-4 qui étaient bien cool. Surtout le quatrième du coup.

Je me demandais quelle connerie allait faire Sukeroku dans les troisième au final il s'en sort plutôt bien.

Ce que j'ai aimé dans le quatrième c'est qu'on ait encore un petit bon en avant dans le temps, mine de rien ils vont se faire vieux. 

Surprenant de voir à quel point il est devenu populaire d'ailleurs, avec sa tête de débile (peut être propice au métier ?) on aurait pu se poser des questions mais il remplit les salles.

 

J'ai bien kiffé le passage avec Konatsu aussi, je suis content qu'elle ait enfin pu montrer son Rakugo, a des enfants, mais c'est limite mieux en fait. Elle a une sacrée voix de daronne. 

[Crimson Rain Papy]

L'épisode 7 m'a officiellement détruite, et je savais que ça allait arriver :'(

 

Plusieurs choses à dire, d'abord sur Kiku qui souhaite prendre sa retraite : ce n'est même pas étonnant, au fond, surtout que Yotaro a bien prouvé qu'il était capable de prendre le relais. On sait qu'il n'est pas et ne sera jamais au niveau de Kiku (et en même temps, dur de les comparer), mais c'est aussi là toute la volonté du Yakumo : faire mourir le rakugo avec lui; et en s'étant déjà évanoui une fois, il sent que l'heure approche.

 

Sa discussion avec Konatsu est d'autant plus puissante qu'on sent son désir d'en finir, car il sait qu'il n'a plus rien à offrir et ne souhaite que cela depuis des années, et car il ne peut littéralement plus vivre sans rakugo, il n'a rien d'autre. Plus de meilleur ami, pas de descendance de sang ni de compagne, et Yotaro peut vivre sans lui. Konatsu, quant à elle, assume son égoïsme, car elle veut garder son rakugo jusqu'au bout, pour Shinnosuke, mais aussi car elle aime l'art; et de l'autre côté ne peut s'empêcher de penser qu'il n'a que ce qu'il mérite, après toutes ces années d'isolation et ce qu'elle pense toujours qu'il a commis.

 

Et là on en vient à l'immense révélation de cet épisode, qui fait voir absolument toute la saison 1 d'un nouvel oeil, et c'est fort tous les indices énormes qui étaient disséminés. Cette mort de Sukeroku et de Miyokichi, qui avait fait tiquer, moi y comprit, qui semblait trop "belle", trop "rakugo-esque"... et bien elle était fausse. Cela pousse à se demander sur quels autres sujets Kiku a bien pu mentir, pour tous ces épisodes de la saison 1 qu'on pensait être un simple flash-back, mais qui ne sont, au fond, que des paroles rapportées, et en aucun cas la vérité pure.

 

On pouvait déjà le voir avec l'image qui demeurait dans l'esprit de Konatsu, ce Sukeroku couvert de sang, seul souvenir qu'elle a de cette soirée fatidique. Alors que pourtant, dans l'histoire de Kiku, les deux meurent en tombant de l'étage. Même la force visiblement surhumaine de Kiku qui arrivait à soutenir deux adultes dans le vide prend sens. Encore plus quand le concept de "shinjuu", suicide amoureux, était introduit plus tôt dans la série. Kiku a utilisé cela pour confectionner son histoire, et accepter toute la responsabilité.

 

Avec cela, on voit plein d'autres choses qui laissent penser "mais et si ça, aussi, était faux?", comme la séparation de Kiku et Miyokichi; et tout ce qui a attrait à elle. Tout ce qui pourrait le faire passer comme fautif, en fait. C'est bien de savoir cela, d'ailleurs, qui me fait revoir en boucle la saison 1; il y a énormément de petits moments où, vraiment, on se demande si on peut faire confiance au narrateur.

 

On peut aussi se poser la question de la relation entre Sukeroku et Kiku On va me traiter de fujoshi, mais je connais Kumota Haruko, je connais ses BL, et ces deux-là rentrent parfaitement dans ses personnages types (le dragueur de femmes qui vire sans problème homo (avec sa bouclette sur le nez) et le brun sérieux un peu sarcastique), du coup je pense pas me tromper en me disant qu'elle écrivait en imaginant la même chose que moi, et l'a laissé totalement sous-entendu car #Japan, ou par plaisir du sous-entendu. Que ce soit vrai ou faux, en tout cas, je m'en fiche, l'intérêt de SGRS, c'est pas le triangle amoureux, peu importe la direction des flèches; mais la relation passionnelle (au sens littéraire) entre Kiku et le Rakugo.

 

Bref, beaucoup d'émotions dans cet épisode, via les films de ce vieux spectacle de rakugo, toujours aussi magnifiquement bien mis en scène; et surtout très intéressant à voir du point de vue de Yotaro. Et la scène finale, évidemment, avec Yota qui ne peut que fondre en larmes en comprenant ce qui est arrivé à son épouse, et qui est incapable de lui en parler, pour la protéger.

 

La semaine prochaine aussi sera très intense, tout comme celle d'après... pour mieux sauvagement poignarder mon coeur pour l'épisode 10 :'D Jusqu'à la fin, il ne reste plus que du vrai, gros lourd, et j'ai hâte