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The Mutant League


Hank Moody
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Plop ! Déjà, bon retour Kyrnos ! Et ensuite, j'ai bien aimé tes chapitres !

 

Un bon humour, t'es pas en mode gros badass, tu fais intervenir les autres personnages au bon moment, bref, du très bon !

 

Mais j'aimerai, tout comme Jd, un retour rapide sur TML car pour l'instant, ils ont pas été très développé...tout ce qu'on sait sur eux c'est leur pouvoir...mais contrairement à toi qui a eu plein d'aventure, des tourmentes et tout, eux, n'ont presque rien vécu...Je demande pas un arc par personnage mais des petites anecdotes ou quelque chose comme ça pour mieux les connaître...car pour l'instant, Gambit et Morgane sont mieux utilisés alors qu'ils font pas parti de la team --'

 

Cependant, j'ai hâte de voir la suite ! :)

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Je me suis decidée à commenter tes chapitres moi aussi  ;D. Alors que dire...ben les deux derniers sont tres bons, assez drole et les situations bien marrantes aussi. Y a vraiment que le voyager aller sans retour moi qui me derange. C'est tout à fait comprehensible, bien explique et coherent, mais je trouve ca gros quand meme xD. Mais bn, apres c'est sur que ca aurait ete trop facile sinon  :P.

 

Donc voila, on attend tes chapitres!  :)

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Hmmm... Ladies and Gentlemen, nous nous apprêtons à entamer une véritable descente dans le monde du Badass, et la descente aux enfers du pavé pour Erza ;). Il ne reste plus que quelques chapitres avant une longue pause qui durera le temps nécessaire pour que votre Roi ici présent devienne le meilleur. Le meilleur en quoi, aucune idée, mais ça mettra le temps qu'il faudra ! On est parti pour le premier chapitre !

 

 

Chapitre 4 : Molly, Retour vers le Futur IV !

 

Le soir, il y eut un grand repas en l’honneur de ceux qui avaient réussi à détruire une forteresse de bandits. Ils mangèrent et burent à n’en plus pouvoir.

Le lendemain, Math ne se leva pas avant midi. Il n’en avait juste pas envie. La flemme sans doute. Lorsqu’il se leva, il ne se rendit pas à la boulangerie mais au Lac où il resta là à se baigner pendant un bon bout de temps. Lorsqu’il revint au château, il aperçut Morgane qui accourut et lui colla une énorme claque :

- Aucun mot… Ton lit vide… Avec les brigands restants, tu aurais put te faire tuer ! (Devinez ce que je lisais en écrivant ça xD)

- Est-ce que j’ai une tête à me faire agresser par des bandits ? Est-ce que j’ai la tête de celui qui va se laisser voler lorsqu’il peut arrêter le temps ? Voilà, donc je t’en dois une, ta claque était complètement injustifiée…

- C’est quoi ça ? Tu ne t’énerves pas ? Rien d’autre que « je t’en dois une » ? Qu’est-ce qui se passe ?

- Rien. J’ai juste pas le moral. Je vais voir Molly, ne m’attendez pas pour dîner.

Arrivé devant le bourg, il réfléchit, et fit demi-tour lorsque :

- Math ! Attends-moi !

Molly courut jusqu’à lui et Math regretta instantanément de l’avoir écoutée.

- Tu n’es pas venu ce midi. Papa a crut qu’il t’étais arrivé malheur, c’est vrai que perdre son plus fidèle client depuis des semaines, c’est pas très bon pour le business. Math eut un léger sourire et reprit.

- Désolé. Mais je ne viendrais plus.

- Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?

- Ca te dirais de marcher ? Le regard lointain de Math inquiéta Molly qui accepta.

Et ils marchèrent. Ils suivirent la rivière qui se trouvait non loin du petit bourg et parlèrent.

- Je vais bientôt partir. J’ai découvert hier que je pouvais remonter le temps. Donc en faisant la chose inverse, je nous renverrais à notre époque. Je n’ai pas envie de partir, mais je ne peux pas laisser mes amis ici. Ils sont venus me chercher, je dois le ramener. Mais je ne suis pas sûr su tout de pouvoir revenir ensuite.

- Alors c’est un adieu ?

- Ca dépend de toi. Devant le regard interloqué de Molly, il poursuivit. Tu m’as dit que plus tard, tu voudrais voyager. Et bien c’est le moment de prendre une décision. Acceptes-tu de venir avec nous, au 21ème siècle. Ce qui implique de laisser ton père ici.

- Je… Je ne sais pas. Je ne peux laisser papa comme ça, sans aucune aide. Je suis désolé, je ne peux pas. Et elle s’en alla, les larmes aux yeux.

- Alors Gambit avait raison. Je vais devoir laisser la femme de ma vie 1500 ans en arrière. Et ce fut à son tour de pleurer. Pas de grands pleurs du genre le bébé bien chiant qui se met à pleurer au milieu de la nuit afin de réveiller tout le voisinage, non ! Des pleurs silencieux, juste des larmes coulant le long des joues sans qu’aucune autre expression faciale ne montre le chagrin. Les pleurs des durs, voilà ce que c’était !

Cette fois-ci, lorsqu’il rentra, Morgane ne dit rien. Personne ne dit rien devant sa mine maussade.

- Morgane, Gambit. On part demain à l’aube. Préparez vos bagages !

- C’est vrai ? On rentre demain ? S’écria morgane, toute joyeuse.

- Oui, et nous ne seront que trois.

- Oh ! Je suis désolé…

- Pourquoi tu t’excuses ? Ce n’est pas de ta faute. Elle a choisi de rester.

Mais le lendemain ne fut pas le jour du départ. Au petit matin, Math senti comme une odeur de brûlé entrant par sa fenêtre. Il crut d’abord à une des expériences de Merlin, mais vit très vite que de la fumée s’échappait de l’extrémité du bourg, là où vivait Molly.

Il s’habilla, prit le strict minimum et courut. Il courut, toujours plus vite, glissa sur un caillou mais se rattrapa au dernier moment et continua de courir. Arrivé devant la boulangerie, il vit un attroupement de gens, les dépassa et vit. Son cœur s’arrêta de battre un instant, puis il tomba à genoux. Molly avait été tuée. Son cadavre était dans les bras de son père. Lorsqu’il vit Math, il hurla :

- C’est votre faute ! Ils l’ont tuée pour qu’elle serve d’exemple, puis ils ont foutu le feu à mon magasin ! Ils l’ont attrapée pendant qu’elle allait chercher de l’eau à la rivière, l’ont violée et ont ramené son corps ici… POURQUOI ?! Et il éclata de nouveau en sanglots incontrôlables.

Léodagan arriva peu après, faisant s’écarter les petits curieux et vit la scène. Il prit Math à part et le secoua un peu, mais aucune réponse de la part de ce dernier. Puis il le confia à un garde qui le ramena au château. Gambit et Morgane le prirent en charge.

- Ils l’ont tué parce qu’on a réduit le camp en poussière. Ils se sont vengés sur elle parce qu’ils ne pouvaient pas nous atteindre. C’est de notre faute… Math marmonnait ces mots, les larmes aux yeux.

Passé midi, Gambit alla voir le Roi pour lui expliquer qu’ils partaient.

- Et bien, ce fut un plaisir de vous avoir avec nous. Mais on savait tous que ce moment arriverait, hein ? Au fait, j’ai appris pour la fille du boulanger. Comment va Kyrnos ?

- Kyrnos ? Math vous voulez dire. Il a du mal à l’accepter. Mais il fait avec. On fait tous avec.

Morgane rentra dans la salle du trône, toute essoufflée.

- Il est partit ! Math est partit. Je suis sorti deux minutes pour aller lui chercher un truc à manger, et lorsque je suis venu, il n’était plus là. Il a dut sortir par sa fenêtre.

- Merde… Ca pouvait pas plus mal tomber. La plupart des soldats sont à la frontière, Les barbares tentent de nous attaquer, encore. Et les autres sont au bourg ou en vadrouille. Vous allez devoir vous débrouiller tous seuls.

- Où est-ce qu’il a put partir ? Demanda Gambit.

- Se venger sans doute. Suggéra Arthur.

Après un long silence, Morgane et Gambit se ruèrent dehors.

- Il a sûrement dut retourner à la forteresse. S’il veut se venger, c’est là qu’il devra aller.

- Pas forcément, on l’a détruite. Ils ont sûrement dut construire un camp de fortune, non loin d’ici. Et Math peut voir le passé par les objets qu’ils touchent.

- C’est mauvais, il va les retrouver avant nous.

*

Pendant ce temps, Math était bien en train de pister les bandits qui avaient tué propablement Molly. Il prenait tout son temps, tel le chasseur. Il prenait souvent des poses, car pister des individus grâce aux souvenirs de la nature était très vite épuisant. Il finit par trouver le camp. Tous les rescapés étaient là. Ils avaient apparemment reçus l’aide d’autres groupes, car il y en avait qui n’étaient pas le moins du monde blessés et plutôt bien armés. Il pensait se faufiler et les attaquer par derrière, mais les rires de buveurs sur la jeune rousse qu’ils s’étaient tapés le matin lui fit perdre son calme. Il se redressa, et marcha, tête haute, jusqu’en plein milieu du camp. Où toutes les têtes se tournèrent vers lui :

- Ce matin, certains d’entre vous ont commis la pire erreur de leur vie tuant la fille que le tauroïdes avait kidnappée. Qu’ils se montrent maintenant, où je tue tout le monde ici en guise de dédommagement. Aucune réponse. Personne ?

Soudain, un soldat poussa un grand cri et se jeta sur lui. Mat stoppa le temps, retourna son épée contre lui, et l’enfonça aussi profondément qu’il put. Lorsque le temps reprit son cours, la seule chose que les gens virent fut le soldat, son épée enfoncée dans son estomac.

- Un autre volontaire où les coupables se montrent d’eux même ?

Cette fois-ci, ce fut toute une ribambelle de guerriers qui se jetèrent sur lui, toutes armes sorties. Math arrêta de nouveau le temps et recommença le même stratagème. Mais cette fois, il plaça les guerriers les uns en face des autres, ce qui eut pour effet une énorme mutinerie. Tous les guerriers enfoncèrent leurs fourches, haches et épées dans le corps de leurs amis.

- Je suppose que les coupables ne se trouvent pas parmi ceux-là non plus, je me trompe ? Alors, vont-ils enfin décider à se montrer où vont-ils me laissé tuer les femmes et les enfants ?

- Vous ne le feriez pas ! Hurla un des guerriers qui s’était pris une fourche dans le bide.

- Vous, vous n’avez pas hésité à me dérober la mienne. Je n’aurais donc aucune pitié pour les vôtres ! Lança-t-il avec un regard froid et haineux au guerrier qui détourna le regard.

- D’accord, d’accord. Ce sont eux ! Lança un jeune garçon à Math en indiquant deux homme qui tenaient une bouteille d’alcool et pleurnichaient dans un coin.

- Enfin quelqu’un de raisonnable ici ! Mais c’est vrai. Tu avais raison, je ne l’aurais pas fait. En venant ici, je me suis mis dans la tête que seules quelques personnes étaient coupables. Les autres n’ont rien à voir, vous par contre, vous avez essayé de me tuer.  Bien, allons donc voir ces deux pourritures.

Il marcha, lentement, jusqu’aux côtés des deux hommes. Il les prit par les vêtements, les traîna jusqu’au centre du camp, là où il se trouvait quelques instants auparavant, et déclara haut et fort :

- Aujourd’hui, j’aurais perdu un être cher. Mais vous, vous avez perdu tous vos guerriers. Les seules personnes à blâmer sont ces deux là, qui ont tué Molly et m’ont fait me déplacer. La prochaine fois, je jure que vous mourrez tous. Mais pour aujourd’hui, seuls les coupables mourront dans d’atroces souffrances.  

Pendant qu’il parlait, il avait réuni de quoi torturer les deux hommes. De l’eau bouillante, puis des torches qu’il embrasa. Il leur mit d’abord le feu, les deux étant trop bourrés pour bouger, puis l’éteignit avec l’eau bouillante. La peau toute cloquée,  ils en ressortirent agonisants et supplièrent pour que quelqu’un abrège leur souffrance.

- Oh ne vous en faites pas. Dans quelques instants, vous n’aurez plus aucun souvenir de cette scène, ni aucun d’entre vous. Rien de tout cela ne sera jamais arrivé, et vous continuerez de vivre. Adieu.

Et alors que Morgane et Gambit arrivait, alertés par les cris des brigands, Math joignit ses mains, puis tout s’arrêta. Le temps se mit à défiler en arrière. Le monde autour de Math bougeait. Le décor, le Soleil qui retournait se coucher. Puis il revint à l’aube. Il tomba à genoux, se releva péniblement, et se traîna jusqu’aux écuries, où il se mit sur un cheval et le fit partir au galop. Il arriva devant la rivière de la veille. Molly n’allait pas tarder à arriver. Il cacha le cheval dans un pré à côté et reprit son souffle. Elle ne tarda pas à montrer le bout de son nez, remplit ses deux seaux d’eau et s’apprêtait à repartir lorsque les deux affreux se montrèrent :

- Et bah ma jolie, on peut t’aider ? Commença le premier

- Non merci, ça va aller. L’inquiétude perçait dans sa voix. Elle avait entendu parler des voleurs dans leur genre, et les histoires se terminaient toujours mal pour la fille.

- Ca doit être lourd pour une petite minette dans ton genre. Reprit le second.

- Laissez-moi passer ! Dit-elle d’une petite voix aigue.

- Ca, c’est pas dans nos plans ! Nous, on a plutôt prévu de bien s’amuser. Et en plus, personne pour nous déranger. Quel pied ! Oh mais attends ! Je te reconnais, eh Bill c’est celle que le boss avait pris et que l’autre était venu récupérer.

- Alors c’est sa faute si on plus de forteresse ? Moi j’dis, faisons la payer ! Lança ce fameux Bill.

Molly se mit à appeler au secours, mais personne ne lui répondit. Elle était seule face à ces deux monstres. Ils commencèrent à déchirer ses vêtements, elle à pleurer. Et alors que le premier allait déchirer son bas pendant que Bill tenait ses bras, Math sortit de sa cachette. Une dernière fois, il stoppa le temps, la sueur coulant sur son front comme d’une fontaine, et accourut planter son épée dans la poitrine du brigand. Un moulinet plus tard, l’épée était de nouveau prête à l’emploi et il décapita Bill. Il tomba, épuisé, laissant Molly complètement paumée, ses vêtements déchirés, ses assaillants morts, et Math assommé à côté d’elle.

Lorsqu’il se réveilla, il faisait nuit noire, et il se rendormit. Il se réveilla de nouveau, mais cette fois-ci, en plein jour. De l’eau et du pain l’attendaient. Il les engloutit, se reposa un moment puis se rendormit.

Durant son sommeil, il entendit des voix. Une femme se réjouissait qu’il ait mangé tandis que l’homme qui l’accompagnait  se plaignait que ça faisait déjà 2 jours entiers qu’il dormait. La femme expliquait qu’elle avait le sentiment que Math avait réussi à voyager dans le temps, elle ne savait comment l’expliquer, mais elle le savait. Il fallait juste lui laisser le temps. Puis les voit s’éteignirent. Il fit ce qu’il pense être un cauchemar, il était poursuivi, sans pouvoirs, par une ombre qui riait. Elle riait d’un grand rire froid et aigue de celui qui sait qu’il va gagner. Math courait, courait, mais il finit par atteindre une ruelle et se retrouva coincé. Plus d’échappatoires. Juste l’ombre et une lumière verte. Il se réveilla, trempé de sueur. Il avait encore l’estomac noué à cause de son cauchemar dont il se souvenait de chaque détail. Il se leva, enfila des affaires propres et sortit prendre l’air. Il vit le Roi qui faisait quelques exercices.

- Bonjour ! Alors, comment vous sentez-vous ? Lança Arthur.

- Plutôt bien. Combien de temps est-ce que j’ai dormi ?

- Au moins 3 jours. Vos amis étaient souvent à votre chevet. Merlin s’est surpassé cette fois pour tenter de mettre au point une potion de rétablissement. Je ne sais pas ce que vous lui avez dit, mais il vous apprécie.

- Il vous apprécie aussi, ne vous en faites pas. Vous devriez jeter un coup d’œil à l’œuvre qu’il écrit, il y regroupe tous les renseignements utiles des autres livres avec quelques touches personnelles. On fait quelques échanges ?

Munis d’une épée, il fit face au roi, qui, il le réalisa très vite, se retenait.

- Dites-moi, comment avez-vous put vous mettre derrière ces deux hommes et les avoir de cette façon sans qu’ils puissent faire quoi que ce soit ? Sans compter que vous avez l’air de savoir qu’ils seraient là.

- Histoire de timing…

- Mouais. Quand est-ce que vous partez ?

- Demain, s’il n’y a aucun problème. A notre époque, il semblerait que le temps passe deux fois plus vite. Donc pour eux, nous seront partis plus de deux mois ! Il a dut s’en passer des choses durant notre absence.

Le reste de la journée se déroula sous le signe des festivités. A la plus incroyable et mystérieuse des interventions.  Aux héros venus du futur ! La nuit se passa sans accroche et le rêve de Math lui était sorti de la tête.

Au petit matin, ils se rendirent sur la place du village, et elle les attendait.

- Comment tu te sens ? Demanda Math, un peu mal à l’aise.

- Plutôt bien, comparé à ce qui aurait put arriver.

- C’est vrai. Ce qui aurait put arriver… Je suppose que c’est ici que nos chemins se séparent.

- Je dirais plutôt que c’est ici que commence une nouvelle aventure. J’ai demandé ce qu’il en pensait à mon père, et il m’a dit que si c’était ce que je voulais, je pouvais venir avec vous.

- Alors ? Est-ce que tu es prête à tout laisser derrière et à nous accompagner dans le monde du 21ème siècle ?

Il y eut un silence, puis avec un grand sourire, Molly déclara : - Oui !

Ils s’embrassèrent. Et alors que tout le monde applaudissait, oui, il y a toujours des gens pour applaudir à ça, Morgane se jeta sur Gambit et l’embrassa à son tour.

- Mesdames et monsieur, ici votre commandant de bord, je vous informe que notre vol en direction du 21ème siècle va décoller. Nous vous prions de bien vouloir attacher vos ceintures. 5, 4, 3… Molly regardait son père et ils pleuraient tous les deux. Merlin aussi pleurait, et Arthur faisait de grands signes en guise d’au revoir pendant que Leodagan regardait de loin et que Perceval et Caradoc prenaient leurs petits déjeuners en plein air.

- 2,1, 0 !! Que tout le monde me tienne la main, et c’est parti ! Les yeux de Math s’illuminèrent et ils s’en allèrent.

Ils atterrirent dans la cuisine de l’Institut Xavier où Kitty qui prenait son petit déjeuner poussa un grand cri qui ameuta toute la tribu. Des retrouvailles chaleureuses, voilà ce qui les attendait. Lorsqu’ils le virent, les membres de la Mutant League se jetèrent sur lui.

*

- On fait quoi maintenant ? Demanda Merlin.

- Bah on fait comme on faisait. Je ne vois pas pourquoi leur départ devrait changer quoi que ce soit. D’ailleurs, j’ai entendu parler d’un livre que vous écrivez qui m’a l’air passionnant, et j’aimerais bien y jeter un coup d’œil.

- Ce serait avec plaisir si je n’y avais pas foutu le feu par accident.

- QUOI ?!

- Du calme, je plaisante.

 

 

Chapitre 5 : Retrouvailles mouvementés.

 

Math allait finir par croire que les fêtes étaient devenues banales. Une nouvelle fête fut organisée pour son retour à l’Institut et l’arrivée de Molly dedans. Car bien qu’elle n’ait aucun pouvoir spécial, elle venait de 15 siècles auparavant, ce qui lui offrit une place d’honneur. Morgane et Gambit retournèrent auprès des Brotherhood mais Math préféra rester à l’Institut. Son dernier message pour Magneto était : « A la revoyure ! » et bien évidemment un salut à ses deux amis qui ne restèrent pas pour la fête. La soirée fut plutôt mouvementée, et pour cause, Math eut droit à un récapitulatif des principaux évènements durant son absence de deux mois. Il ne s’était pas déroulé grand-chose, à part quelques agressions par un mutant non-identifié dont ils allaient devoir s’occuper. Le professeur leur avait demandé de s’intégrer dans la société. Chuww avait fait un stage dans une boucherie, Jd était devenu livreur Express. Smilou croupier dans un Casino, Fify travaillait dans le bâtiment, où elle pouvait déplacer de lourdes charges grâce à son pouvoir. Kévin avait trouvé un job dans une usine de recyclage pour les métaux usagés. Entre les fils de cuivre, les objets métalliques jetés, Kévin s’éclatait. Max, avait subi entre temps une seconde mutation. (Les secondes mutations peuvent arriver à n’importe quel mutant, elle lui offre un second pouvoir mais il faut faire très attention car elles entrainent souvent des pertes de contrôle). Sa seconde mutation lui offrait un contrôle non seulement sur le sable, mais aussi sur les plantes. Il travaillait donc dans un jardin de botanique. Restait Erza, qui n’avait pas vraiment d’emploi (légal) dans lequel s’intégrer, trouva pour quelques temps une place dans un Horror Show, où il jouait le rôle de l’esprit frappeur capable de se cacher dans les ténèbres.

Du coup, le professeur demanda à Math de trouver un boulot à son tour.

- Euuuh… Je ne me vois pas trop travailler dans une horlogerie, si vous voyez ce que je veux dire. En plus, depuis mon retour, je ne peux plus rien faire. C’est comme si mon pouvoir s’était… Envoler.

- Alors trouve quelque chose qui soit dans tes compétences naturelles. Répondit Xavier.

- Rappelez-moi pourquoi on fait ça.

- Pour que la société porte un autre regard sur nous.

- Mais vous savez que ça ne sert à rien professeur… Ceux qui nous voient comme des monstres trouveront toujours un prétexte pour nous pourrir la vie. Enfin bon… Si je dois vraiment trouver un job dans mes compétences… Molly, tu devrais aller voir pour un travail dans une boulangerie, je crois que c’est le domaine où tu excelles.

- C’est vrai que je voyais mon père réalisé le pain de temps à autre. Mais ça ne fait pas de moi une boulangère. Répondit Molly, gênée de l’attention qui lui était soudain portée.

- Alors tu n’as plus qu’à t’exercer avec nous. C’est toi qui nous feras notre pain maintenant, qu’est-ce que vous en dîtes, professeur ?

- Je ne sui spas contre. Mais et ton travail à toi ?

- Oh, ne vous en faites pas, c’est tout trouvé !

*

*Mesdames et Messieurs, le combat de ce soir sera entre deux combattants féroces, dans le coin bleu le premier combattant est notre champion junior de combat libre, j’ai nommé Yéti-Boy ! Dans le coin rouge, il nous offre ce soir sa première performance dans le monde du combat libre, KYRNOS !!!*

Pour l’occasion, Math portait un  short noir orné de flammes rouges. KYRNOS était écrit au dos du short en rouge. Une huée phénoménale accueillie le nom de ring de Math, excepté la Mutant League, venu assister à son premier combat.

- Et c’est le début du combat, je suis Jesse Jordan, et je serais votre commentateur. Oh ! Yéti-Boy vient de se jeter sur Kyrnos qui a esquivé et contre avec un coup de pied sur le tibia gauche, puis le droit, Y-B se met à genoux et Kyrnos en profite pour lui asséner un coup de genoux sur la face en s’emparant de sa tête. Il se projette dans les cordes, et vient placer un saut chassé esquivé par Yéti-Boy qui contre en plaçant un coup de poing sur la cuisse. Voilà une magnifique béquille improvisée. Il se pavane auprès du public mais Kyrnos ne l’entend pas de cette oreille. Il attrape la cheville de son adversaire et ne la lâche plus. Je n’ose même pas imaginer la pression qu’il doit exercer sur la cheville de son adversaire. Aller Yéti ! Il ne reste plus que 20 secondes pour le premier Round, 15 secondes, 10 secondes ! Tiens bon, tiens bon ! Et non, il abandonne, il a vraiment dut souffrir, un deuxième Round ne l’aurait pas aidé. Belle victoire de Kyrnos soutenu par un groupe d’amis, même porté en triomphe sur le ring, alors que les parieurs, dégoûtés, s’en vont. C’est tout pour ce soir, mais on se revoit demain !

Pendant ce temps, dans les vestiaires, Math célèbre sa première victoire :

- Vous avez vu comment j’ai choppé sa cheville ?

- On aurait dit un pitbull, tu ne la lâchais plus, c’était énorme, mais il pouvait plus rien faire, le Anckle Lock, ça a toujours été ta spécialité.

- Belle victoire, mais ce n’était pas vraiment ce que j’entendais par « travail ». Lança la voix du professeur.

- Vous avez vu ? Demanda Math.

- Grâce à la télévision, oui. Mais je ne vous appelle pas que pour ça, il semblerait que notre mutant ait encore frappé cette nuit. Je voudrais que vous alliez jeter un coup d’œil.

- Pas de problèmes. Jd, tu peux ramener Molly à l’Institut s’il te plaît. Je ne veux pas qu’elle se retrouve face à ça.

- Ok, pas de problème !

- Comment ça moi je rentre et pas toi ? Tu n’as plus de pouvoirs je te rappelle.

- C’est vrai, mais j’ai mes amis et je ne veux pas que tu cours de risques. D’ailleurs, qui sait, je retrouverais peut-être mes pouvoirs en cours de route.

Molly se résigna à retourner à l’Institut et la TML partit en avant sans attendre Jd qui les rejoindrait plus loin. Ils se retrouvèrent donc dans une petite ruelle où un humain avait été éventré, et son sang avait servi à un message : « Ennemis des mutants, prenez garde, vous serez les prochains ! »  :-X

- Et bah, on dirait qu’il a eu des petits problèmes avec des humains lui… Fit remarquer Jd qui venait de les rejoindre grâce à leur GPS.

- Ouais. Le problème, ce n’est pas tant les siens, c’est surtout que c’est à cause de gens comme lui que les humains font des généralités. Et c’est nous qui en prenons plein la gueule. Au fait, Molly a râlé ?

- Juste un peu… Mentit Jd. En effet, à peine rentrée, elle avait claqué la porte de sa chambre tellement fort qu’un tableau accroché au mur d’en face était tombé. Elle était ressortie, l’avait raccroché, puis était retournée dans sa chambre, les joues toutes rouges.

- Il est encore chaud, on l’a manqué de peu ! Constata Fify.

Ils entendirent alors un bruit qui leur indiqua la position du mutant. Il s’enfuyait par les toits.

- Bordel, il s’échappe. Jd, porte nous là haut, vite !

Ils se retrouvèrent sur les toits et une course poursuite s’ensuivit. Jd, qui pouvait se téléporter, n’arrivait pourtant pas à l’atteindre. Dès qu’il s’approchait un peu trop, il se faisait taillader par des lames invisibles.

Chuww, elle, tenait tête aux lames grâce aux siennes. Néanmoins, elle ne pouvait pas l’approcher.  Fify, réussissait à le faire léviter, mais pas à le toucher. Math, n’en parlons même pas, restait à bonne distance. Smilou, Kévin et Erza ne pouvaient pas faire grand-chose, mais Max plaça du sable sur le chemin du mutant, ce qui le fit glisser et il tomba dans un immeuble désaffecté dont le toit avait pourri et cédé sous la chute. Ils se retrouvèrent dans 8 vs 1 indiscutable. Le mutant faisait ce qu’il pouvait, mais la combinaison des pouvoirs l’empêchait de les atteindre, et il ne pouvait plus s’enfuir.

- Allez, parle ! Pourquoi est-ce que tu fais ça ? Lança Math, bien en retrait.

- Laissez-moi ! Hurla-t-il. Allez-vous-en ! Beugla le mutant d’une voix rauque.

- Mauvaise réponse ! Dit Chuww.

Elle s’élança et tenta de lui trancher les jambes pour qu’il ne s’enfuit pas, mais toujours les mêmes lames invisibles qui empêchaient toute approche.

Math se sentit alors pousser des ailes, c’est une expression bien sûr, et il put arrêter le temps. Plus personne ne bougeait. Il s’avança, lentement, vers le mutant. Lorsqu’il s’approcha, il sentit le contact des lames sur sa peau. Il tenta de les contourner mais elles formaient comme un bouclier autour de lui. Oui, c’est ce que c’était, un bouclier. Ce n’était pas un pouvoir d’attaque, mais de défense. Math remit le temps en route et déclara :

- Ce n’est pas lui qui les a tués. On s’en va.

- Attends, tu nous fais quoi là ? Demanda Erza.

- J’ai mes raisons, et on ne fera rien de plus ce soir. Il ne les a pas tués, du moins, pas volontairement.

- Comment ça ? Fify s’était jointe à la conversation.

- Ce que vous ressentez, ce ne sont pas des lames, mais une sorte de bouclier qui découpe tout ce qui tente de passer. Lorsque les gens ont dut s’en prendre à lui, le bouclier a fait effet, et ils sont se fait tranchés. Ca explique les blessures mais pas l’éventrement. Et on sait que ça a été fait avec un pouvoir, donc ce n’est pas lui. Regardez-le, il se pisse dessus.

Il montra du doigt le mutant qui s’était recroquevillé.

- Allez, on s’en va.

Et ils se préparent à partir. Lorsqu’il sentit un léger changement, Math stoppa de nouveau le temps et se précipita sur le mutant qui avait baissé sa garde et l’endormit grâce à un tranquillisant.

- Et voilà. Ca, c’est réglé.

- C’était quoi ce bordel, comment t’es passé d’ici à là-bas ?

- Le temps Jd. Le temps. Au fait, pas mal le coup de bluff, hein ? Je savais que j’avais des dons de comédiens, mais là, ça dépasse l’entendement.

- Quoi ? J’ai cru que t’étais sérieux moi ! Se plaignit Smilou.

Mais alors que Jd effectuait deux voyages, un pour le prisonnier, un autre pour la TML, Math vit une ombre se faufiler hors du bâtiment.

- Eh ! Vous !

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Voilà à quoi tu t'exposes en postant plein de chapitres mais en ne me laissant pas les lire et les commenter entre temps !

Il est possible que je fasse un post aussi long, voire plus, que celui dans le topic de Max quand j'avais aussi raté plusieurs chapitres.

J'espère au moins que tu le liras en entier, sinon c'est pas drôle ;D

 

Chapitre 1 : Kaamelott

Etonnament compréhensif les chevaliers^^

Ils emmènent Math sans broncher chez Merlin, mais bon, j'imagine qu'ils pensent que c'est un hérétique, et un vrai de vrai !

Je sens que t'as dû prendre plaisir à utiliser l'expression culte "continuum espace-temps" xD

Bon par contre, le gros coup de fan service Fify/Doctor... Bof, même si c'est tout à fait ce que j'imaginais pour le moment comique où ils se mettent ensemble^^

Sinon, j'adore le vieux fan d'Excalibur qui veut à tout prix essayer l'épée xD Un rêve de gosse...

La fin ne rassure pas tellement non plus ;D

Pour finir avec ce dernier chapitre, t'aurais dû respecter peut-être un peu plus le langage des chevaliers, parce qu'à l'époque c'était pas tellement ça. Plusieurs mots voire phrases que t'utilises, ils ne les auraient jamais dites... Exigeant ? Moi ? Noooon... 9_9

 

Chapitre 2 : Time Machine

Il a pas peur Forge au début du chapitre^^

Au fait, arrête de leur mentir. Tout le monde sait que le Graal a été trouvé dans un trou plein de breloques et qu'en fait c'est en bois et pas en or comme tout le monde croyait ! 9_9

Bon, petit coup de chance bien tombé pour Gambit et Morgane qui se retrouvent au bon endroit, mais là, j'avoue que ça aurait été difficile autrement^^

La fin, encore une fois, ne rassure pas xD

 

PS : quand je parlais du langage, je ne crois pas que Merlin dirait ce genre de choses : "Mais qu’est-ce que vous foutez là ?" :P

PS 2 : tu restes quand même un héros qui fait tout bien et qui sait tout faire dans n'importe quel continuum espace-temps qui existe mouahahah !

 

Chapitre 3 : Les Sables du Temps

Alors qu’une biche passait par là, il se rendit compte qu’il avait réussi à voyager quelques instants dans le passé lorsqu’il vit la même biche réapparaître de la même façon.

C'est pas pour te décourager, mais je pense que c'est plutôt une modification de la matrice 9_9

 

Bref, coup classique de l'enlèvement de l'amie qu'on vient de rencontrer.

Mais ensuite c'est bien géré. J'ai bien aimé la petite escapade à la forteresse.

 

- Je doute dort que quoi que vous ayez fait l’ai fait dormir. Léon est expert dans plusieurs arts de combats à mains nues. Et un très bon escrimeur en plus.

Math, interloqué, se retourna et se prit le poing du fameux Léon en pleine tronche.

Enorme ce passage^^

 

Ensuite, gaillarde la Molly. Puis comme si l'épée dans le torse ne suffisait pas, le pauvre type se fait enchaîner. Je le plains ;D

 

Molly tremblait de tous ses membres mais s’était résignée à ne rien laissé paraître.

Petite contradiction, non ?

 

Chapitre 4 : Molly, Retour vers le Futur IV !

Les pleurs des durs, voilà ce que c’était !

Forcément, c'est Kyrnos le grand badass toutes catégories confondues :P

 

Par contre, je pensais pas que t'oserais pour Molly :o J'avoue que j'ai été choqué, mais je suis sûr qu'il y a un truc là-dessous, et qu'il va trouver un moyen de la faire revenir. Enfin, on verra bien.

 

Mais c’est vrai. Tu avais raison, je ne l’aurais pas fait.

Faux, mauvaise réponse, il fallait pas dire ça, et il aurait fallu le faire si nécessaire. Ça, c'est une vraie vengeance.

 

J'avais raison, pourquoi ne pas remonter le temps pour sauver quelqu'un qu'on aime quand on en a la possibilité ?^^

Bon par contre, comme par hasard ça l'a fait changer d'avis au sujet de partir au XXIème siècle. Bon ça passe, mais son père est quand même étonnamment compréhensif sachant qu'il ne la reverrait peut-être jamais.

 

Morgane se jeta sur Gambit et l’embrassa à son tour.

Lol, l'acte de jalousie par excellence.

Bref, bonne fin de périple chez les chevaliers de la table ronde. C'était quand même sympa ce petit passage 1500 ans en arrière^^

 

Chapitre 5 : Retrouvailles mouvementés.

Le vieux métier de merde que j'ai xD

Sinon, je HAIS le catch ! Ce sport merdique sans intérêts ! Mais ça osef :P

Je ne pouvais pas m'empêcher de réagir, heureusement que c'est quasiment pas présent dans ta fic 9_9

 

La petite course poursuite est sympa aussi. Et à la suite, on revient à un Kyrnos badass (fallait pas me mettre ce mot dans la tête) qui reprend ses fonctions de chef, qui prend toutes les choses en main, et en percevant l'ennemi avant tous les autres. Pourtant, vu que c'est une ombre, ça aurait pu être moi qui le perçoit avant tout le monde (ce n'est qu'un exemple hein). En fait c'est vrai que c'est plus centré sur toi que sur TML quand même, dommage^^

Hâte de lire la suite et de savoir qui est cet intrus !

 

Pfiou, j'ai enfin réussi.

Après des heures de lecture, de pauses, d'écriture, de réflexion, de pauses et encore de lectures, j'ai fini ! ;D

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Je vous l'avais dit, le monde du Badass.

 

Mais ça va être plus centré sur la TML que sur moi à partir du prochain chapitre ;)

Pour le langage, j'ai préféré utiliser celui de Kaamelott, plus drôle x)

Petite contradiction, non ?

Pour la phrase où Molly elle tremble, c'était plus du genre, je tremble mais je fais genre que y a rien. C'est plus au niveau du visage, enfin je me comprends.

Sinon, je HAIS le catch ! Ce sport merdique sans intérêts ! Mais ça osef :P

Au fait, ce n'est pas du catch, mais du Free Fight !! Le catch, c'est pas pour moi, moi je me fight, je joue pas. D'ailleurs, je pense devoir m'attendre à une grosse branlée très bientôt.

 

Pourtant, vu que c'est une ombre, ça aurait pu être moi qui le perçoit avant tout le monde

Mais ce que j'ai pas dit c'est qu'au moment où l'ombre passait, tu étais très attiré par un pigeon qui passait par là ^^

 

D'ailleurs, tu m'as donné une idée de petit message perso  8)

 

 

PS : Les deux derniers chapitres ce soir !

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And now, it's time for the Maiiiiiiiiiiin Event ! The Mutant League se retrouve face aux yeux jaunes ! Mais que va-t-il arriver à The Badass One alors qu'il poursuit la fameuse ombre, tandis qu'Erza se retrouve à admirer un pigeon ! La réponse, maintenant !

 

 

Chapitre 6 : Deux grands yeux jaunes

Math se lança à la poursuite de l’ombre, suivit de près par Smilou qui l’avait vu détalé à toute vitesse. Il courut comme ça durant plusieurs ruelles, puis il se retrouva dans une impasse, une silhouette encapuchonnée à l’autre bout de cette dernière.

- Montrez votre visage ! Maintenant ! Hurla Math, en pointant un doigt accusateur vers la silhouette.

Mais la silhouette ne bougea pas. Elle avait l’air très absorbée par le mur qui se trouvait en face d’elle. Math relança son ordre, et cette fois-ci, la personne se retourna, comme si elle venait tout juste de s’apercevoir de sa présence.

Tout se passa en un éclair, la silhouette redressa sa tête, mais la nuit et l’ombre de la ruelle ne laissèrent rien paraître de son visage. Excepté… Deux grands yeux jaunes ! A peine Math les eut-il vu qu’il se figea, aucun muscle de son corps ne répondait.  Il avait encore conscience de son corps, mais il ne lui répondait plus. La silhouette sortit un shuriken de sa cape et le lança. Lorsque Smilou arriva, soufflant comme un bœuf, il ne vit que le dos de Math.

- Eh dis-donc toi ! Ca va pas  de te mettre à courir comme ça ?! Oh, tu pourrais me répondre…

Smilou s’avança prudemment, et retenu son souffle à la vue du spectacle qui s’offrait à lui. Le shuriken lancé se trouvait à quelques centimètres de la poitrine de Math, mais semblait bloqué par quelque chose, et aucune trace du lanceur. Ce dernier suait comme un porc, ne pouvant pas siller des yeux, et tentait d’empêcher que le shuriken ne lui transperce la poitrine. Lorsque Smilou comprit ce qu’il était en train de faire, il prit le shuriken qu’il envoya balader.

Grâce à leur communicateur, Smilou appela les autres membres de la TML à la rescousse. Ils s’amusèrent quelques temps à foutre des pichenettes à Math, lui écrasant le pied, toutes sortes de mini-tortures. Mais il ne bronchait pas. Alors ils décidèrent de le ramener à l’Institut pour voir ce que le professeur pourrait faire pour lui.

A peine arriver, Math fut transporté dans une pièce où il fut examiné par Xavier. Il rentra dans son esprit où il vit tout ce qui s’était passé, et réprimanda ses amis pour l’avoir torturé dans sa position. Ils apprirent aussi qu’il avait été pétrifié, mais qu’il semblait avoir en partie conscience de ce qui se passait à l’extérieur. Le mutant l’ayant agressé ne put être identifié, et aucun des pouvoirs répertoriés ne ressemblaient au sien.

- Il y aurait bien la gorgone, mais Math serait mort dans ce cas-là… Dit Fify.

- La Gorgone ? Demanda Molly, qui avait accouru dès qu’elle avait appris la nouvelle.

- C’est une créature mythologique, on dit que quiconque croise le regard de la gorgone se retrouve prisonnier de la pierre, et meurt bien évidemment.

- Mais, il n’est pas mort, non ? Demanda Molly en réprimant une exclamation.

- Non, mais ses pouvoirs ont peut-être quelques chose à voir avec ça. Mais bon, j’avouerais qu’affronter la gorgone n’est pas franchement ce qui me réjouirait le plus. Parce que pour l’affronter, deux possibilités : lui crever les yeux, où se battre sans la regarder.

- Mais c’est possible pour nous. Lança Jean Grey, qui venait d’apparaître. Avec un télépathe, on peut le faire. Le télépathe envoi des images de la scène au combattant qui a les yeux fermés. Du coup, il peut affronter la gorgone sans avoir à la regarder.

- Et si c’était le Basilic ! Vous vous souvenez ? Ce monstre, dans Harry Potter. Il pouvait tuer d’un seul regard. Lança Jd.

- Le problème serait le même… Quoi que. Si jamais le mutant se retrouvait avoir des gènes de Basilic dans le sang, ce qui en soi est impossible, le chant d’un coq suffirait pour le tuer. Mais je ne m’enflammerais pas pour cette option. Répondit Erza.

Ils cogitèrent jusqu’au point où leurs têtes se mirent à fumer et où ils durent aller se coucher. Math avait été placé dans sa chambre, qu’il partageait avec Molly. Les jambes tendues, un bras à demi plié avec l’index pointé et l’autre à peine courbé, il avait été disposé sur son lit. Molly se décida à lui raconter des histoires que son père lui racontait avant d’aller se coucher. Elle lui conta notamment l’histoire du chevalier au dragon. C’était l’histoire d’un chevalier, amoureux d’une princesse, qui avait été enlevé par un dragon. Jusque là, du classique me direz-vous. Mais alors qu’il se lançait à l’assaut de la créature, le dragon lui arracha son épée et lui posa un choix : mourir et laisser sa belle vivre et se marier avec l’homme que son père avait choisi pour elle, ou alors vivre en sachant que cela aurait causé sa mort. Alors que le chevalier allait répondre, la princesse avait prit l’épée et se l’était enfoncé si profondément dans la poitrine qu’elle était ressortie par son dos. Mourante, elle avoua ne pas pouvoir vivre sans son grand amour et préférait mourir que de suivre le chemin que son père avait décidé pour elle.

A la fin de l’histoire, elle baisa le front de math et alla se coucher. Et dans le noir le plus total, une larme coula le long de la joue de Math.

*

Plusieurs jours plus tard, le mutant avait été relâché car son innocence avait été prouvée par le professeur X. Il s’était juste retrouvé là au mauvais moment et avait paniqué à cause des gens qui lui en voulaient. Math ne bougeait pas, et n’avait apparemment pas l’intention de bouger de si tôt. Chaque soir, il avait droit à une autre histoire, jusqu’au jour où Molly se retrouva à court, et commença à lui raconter ses journées. Elle prenait des cours grâce à McCoy qui lui enseignait tout ce dont elle avait besoin sur le monde moderne. Les premiers tests avec le pain avaient été peu concluants. La première fournée avait brûlée car Molly avait mal réglé le minuteur. La seconde fournée n’avait carrément pas cuit, le four étant resté éteint. Elle avait donc fini par accepter d’aller à l’école. Elle commencerait après les vacances de Noël, et rattrapait tout son retard aussi vite qu’elle pouvait. Elle avait d’ailleurs une excellente mémoire, tout ce qui rentrait dedans y restait.

Noël arriva très vite pour Math, qui ne voyait pas le temps passer, qui ne voyait rien du tout d’ailleurs. Les recherches sur la Gorgone, c’est comme ça qu’ils l’avaient baptisé, continuaient. Mais aucune autre agression depuis celle de Math. Du moins, aucune signalée. Le professeur avait mis hors de cause Fury, qui avait bien entendu été interrogé à ce sujet. Weapon X ayant été fermé, ça ne pouvaient pas être eux. Il ne restait plus que…

- Bonjour Erik. Ca faisait longtemps.

- Charles. Que me vaut ton appel ? Je n’ai pas encore attaqué la maison blanche que je sache…

- Non ne t’inquiètes pas.  Math a été agressé il y a peu par un mutant dont les yeux jaunes pétrifient. Tu n’aurais pas ça chez toi, dis-moi ?

- Hmmm… Laisse-moi réfléchir. Je crois que nous avons essayé de le recruter. Mais ses yeux étaient rouges et il a désintégré un de mes mutants en le regardant. Du coup, on n’a pas insisté. Je me souviens vaguement d’un « je travaille en solo » ou un truc dans le genre.

- Et comment vont Morgane et Gambit ? Math s’était attaché à eux.

- Mais eux aussi. D’ailleurs, ils sont partis. Juste après leur retour, ils ont fait leurs bagages et sont partis. Ils m’ont dit qu’ils allaient s’acheter une maison ou un truc dans le genre. J’ai essayé de les retenir mais il semblerait que Math leur ai ouvert les yeux quant aux humains. J’ai cru comprendre qu’il fricotait avec l’un d’eux.

- C’est vrai. Elle s’appelle Molly et vient du 5ème siècle. Tu comprendras que je tiens à elle, et que j’aimerais bien que tu grades tes mains dans tes poches cette fois.

- Oh ne t’inquiète donc pas, Charles. Je ne m’intéresse pas aux humains, juste aux mutants.

Et sur ceux, il coupa la connexion. Charles retourna auprès de ses élèves, impatients d’aller foutre une raclée à Magneto pour récupérer la Gorgone et lui foutre une branlée en la faisant parler. La déception fut à son comble lorsque le professeur X leur apprit qu’un raid jusque chez Magneto serait inutile. Pour Noël, ils étaient toujours au point mort quant à la façon de ramener Math à son état normal, lorsque…

- Professeur ! On signale une agression sur Chicago ! Et cette fois-ci, c’est en masse, dans un centre commercial. Il a pétrifié tous les clients. Hurla Cyclops.

- Très bien ! Il est grand temps d’agir. Scott, tu embarques Logan, Jean, Ororo, Kitty, et toute la TML avec toi. Et dépêchez-vous ! Je vous veux parti dans 5 minutes !

Cyclops lança l’alerte. Et tous les mutants appelés se rendirent dans le hangar, dans leurs tenues.

- Ok, c’est dans un centre commercial. Tenez ! Dit-il en lançant une paire de lunettes de soleil à tous. Il peut être n’importe où. Myst, voilà un plan 3D de l’endroit pour que tu puisses nous y emmener. Et faites attention, un regard des yeux jaunes, vous êtes pétrifiés, un regard de la part des yeux rouges, vous êtes mort ! Aller, Jump !

Ils se retrouvèrent instantanément dans le centre commercial. Tous les clients étaient figés, la tête en l’air, vers un écran qui ne transmettait que de la neige :

- C’est grâce aux écrans qu’il a dut leur montrer ses yeux en même temps. Ils ont tous levés la tête et se sont fait avoir. Faites attention à eux aussi ! Lança-t-il aux mutants qui se dispersaient.

Jd se jumpait un peu partout et finit par crier du haut du troisième étage :

- Y a personne !

Juste avant de se faire happer par quelque chose et de finir dans un hurlement de peur. Tous les mutants se jetèrent alors au troisième étage où ils ne retrouvèrent que la paire de lunettes de soleil.

- Il est encore là. Déclara Logan au bout d’un certain temps. Je le sens.

- Ok, on se sépare. Wolverine, Black Rose et Lawliet, vous fouillez le premier. Marvel Girl, Shadow Cat et moi, on fouille le second. Storm, Smilou, Desertio, Jyn et Fify, vous fouillez le troisième. On reste toujours en groupe. Jamais de un contre un avec lui !

- C’est quoi le groupe de 5 que tu nous as mis ? Fais gaffe Cyclops, tu pourrais t’en prendre plein la gueule juste parce que t’as pas voulu prendre assez de gens avec toi. Lança Smilou pour déconner.

Chaque groupe fouilla son étage. Alors que Smilou soulevait un carton et le reposait, il le vit, lui et ses deux yeux jaunes, juste devant lui. Il poussa un long hurlement qui aurait put être pris pour celui d’une jeune fille en détresse tellement il était aigue. Lorsque les autres arrivèrent, ils le virent, pétrifié aussi, les mains sur le côté du visage.

- J’avais dit qu’on restait en groupe ! Hurla Cyclops.

- Mais on était dans la même pièce que lui ! Rechigna Fify. A peine s’est-il mis à crié qu’on s’est retourné et il n’y avait plus rien !

- Mais c’est quoi ce mutant ? Il peut se rendre invisible ou… Mais c’est bien sûr ! Lança Marvel Girl. Je sais maintenant !

- De quoi ? Demanda Wolverine.

- Comment il a fait pour nous échapper ! Il peut se fondre dans les ombres ! Jd a regardé dans le magasin, mais il n’a pas put le voir a cause du noir dans lequel était plongé l’endroit. Regardez cette partie de la pièce, en plein ombre ! Smilou a vu les yeux jaunes du mutant, parce que c’était la seule partie éclairé de son corps. Et en fermant les yeux, on ne le voyait plus.  Donc, il est peut-être encore là ! Cyclops, tire en plein dans l’angle.

Cyclops s’exécuta et tira en plein dans l’angle de la réserve de la boutique d’où une ombre sauta et se mit à courir dans tout le centre commercial.

- Mettez tous vos lunettes, et tirez, démolissez, fait tout ce que vous voulez aux zones d’ombres mais je n’en veux plus une dans ce centre commercial. Hurla Wolverine.

Chuww, allant plus vite que tout le monde, trouva le boitier d’alimentation et vit que quelqu’un l’avait fait exploser.

- Il a détruit le boitier. Pas moyen d’illuminer plus l’endroit !

- Attendez, j’ai un moyen. Lança Marvel Girl. 

Elle s’éleva dans les airs, prit sa forme de Phoenix et illumina tout l’endroit de ses flammes. Le mutant, qui était en train d’essayer de s’enfuit, fut éclairé par les flammes et Cyclops lui tira dessus afin de l’assommer. Mais ses yeux devinrent rouges et le rayon laser de Scott se désintégra. Les flammes du Phoenix par contre, le brûlèrent sévèrement. Puis, Shadowcat lui attrapa une jambe qu’elle fit glisser dans le sol pour empêcher toute évasion. Storm récupéra fit tomber la foudre et la redirigea sur le mutant. Puis Black Rose et Wolverine exécutèrent leur dans des lames. Un enchevêtrement de lames qui se mirent à trancher le mutant de part en part. Jyn l’écrabouilla avec deux distributeurs, Max lui mit des claques avec des lianes récupérées sur les plantes du centre commercial. Lawliet s’apprêtait à lancer un rayon laser lorsque Cyclops l’en empêcha. Fify récupéra ce qui restait du mutant, créa deux mains d’énergie et le referma comme sur une mouche, puis le lança avec une avant de l’écrabouiller avec l’autre.

- Pourquoi je n’ai pas le droit de balancer un coup moi aussi ? Demanda Lawliet, vexé.

- Je me suis dit que vu qu’il aimait l’ombre, lui balancé un rayon chargé en énergie noire ne serait pas la meilleure chose à faire… Soupira Cyclops.

- Ah oui, c’est pas faux ! Lança Lawliet avant de mettre un shoot dans la tête du mutant déjà agonisant.

Il était maintenant inconscient. Ils le retournèrent sur le ventre et virent une puce sur sa nuque.

- Et merde… Souffla Wolverine.

- Quoi ? Demanda Fify.

- Ce mec, il était contrôlé à distance. Putain, j’en ai marre des mecs qui se servent des mutants pour foutre la merde dans le monde ! S’écria Wolverine.

Il vit alors une petite caméra sur la puce et déclara : - Qui que vous soyez, on vient pour vous ! Avant d’écrabouiller la puce.

Ils allèrent chercher Smilou qui venait de se réveiller.  Jd revint plus tard, il avait été enfermé aux toilettes.

- Les gars, vous ne trouvez pas qu’on en a fait un peu trop ? Demanda Marvel Girl.

- Pourquoi tu dis çaaaaaa… S’écria Cyclops lorsqu’il vit que tout l’étage tombait en ruines et menaçait de s’écrouler. Tout le monde dehors. Evacuez le bâtiment ! Tout le monde ! Lança-t-il à l’adresse des gens qui reprenaient leurs esprits.

A l’institut, Molly venait de pousser une exclamation et s’était jeté sur lui en voyant Math qui s’était redressé et avait sourit en la voyant.

- Alors, comme ça tu vas aller à l’école ? Je pense que ça va être l’occasion pour moi aussi d’aller y faire un tour. Au fait, je tiens à m’excuser. T’avais raison, j’aurais dut être plus prudent.

- JOYEUX NOËL !!!! Hurla Logan en ramenant le corps du Mutant. Voyant que Math s’était rétabli, la TML explosa de joie et ce fut l’un des plus beaux noëls qu’ils vécurent.

Le repas fut festif, Math stoppait le temps et saupoudrait certains plats d’une importante surcharge de poivre. D’autres avec plus de sels qu’il n’en faudrait. Bien sûr, il ne toucha pas au dessert. Non, le dessert c’est sacré. La fête qui suivit dura jusqu’à deux heures du mat’. Bras de fer, démonstrations de pouvoirs, et bien entendu la distribution des cadeaux. Math, profitant de son avantage, avait été cherché le cadeau de Molly en prétextant aller aux toilettes. Il lui avait prit un collier où se trouvait, suspendu par un demi globe, un saphir. Pas très gros, il semblait avoir été taillé sur un morceau beaucoup plus gros. Chuww reçut un guide sur les arts du kendo, Jd un python, parce qu’il pouvait se bouger, mais pas attaquer. Smilou reçut un jeu de cartes fait sur mesure, avec sur le dos de chaque carte, une photo de lui tenant une carte entre l’index et le majeur. Bien d’autres cadeaux durent distribués ce soir là. Et la soirée fut exceptionnelle. Surtout grâce au projectile de Max sur Math qui, pensant se couvrir le visage, créa un trou dimensionnel qui aspira le projectile de Max et lui renvoya.

- YATA ! Hurla Math, les bras en l’air.

*

- Kyrnos, hein ? Je me demande lequel d’entre eux est celui qui s’est rendu dans le passé… Lança une voix en refermant un vieux grimoire sur lequel les lettres du titre s’écorchaient. Mais on pouvait tout de même y lire : Sortilèges par Merlin l’Enchanteur.

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Encore un tres bon chapitre  :)!! Le combat est bien raconte, tout le monde participe c'est bien agreable. Agreable aussi de revoir Logan, Jean, Scott et cie.

Certaines repliques sont excellentes xD. en revanche j'ai toujours du mal quand le professeur X parle :-\.

 

Je sais plus trop ce que je voulais dire d'autres en lisant ...la fin, je comprends pas trop avec Merlin....mais sinon rien d'autres à redire. La rencontre Erik/Prof, le combat, le Noel, c'est tres sympa tout ca  ;).

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la fin, je comprends pas trop avec Merlin....mais sinon rien d'autres à redire.

 

Ouais, j'avoue que ça sortait mieux sur Word ^^

 

En fait, si tu regardes dans le chapitre un ou deux du second LIVRE, Merlin écrivait un Livre avec tous pleins de sortilèges utiles et certaines notes personnelles. Et là, il y a une personne (Le méchant ?) qui semblerait-il, le détient.

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Chapitre lu.

 

Enfin du TML et pas que du Kyrnos, c'est mieux déjà.

 

Donc le chapitre est sympa, bien raconté. La fin s'annonce bien avec un clin c'oeil au bon dans le temps de Kyrnos, à voir ce qui se passera plus tard. Mais petit doute, méchant ou gentil ce fameux bonhomme avec le livre de Merlin ? Mystère et boule de gum les enfants. En attente du prochain chapitre pour voir.

 

Voyant que Math s’était rétabli, la TML explosa de joie et ce fut l’un des plus beaux noëls qu’ils vécurent.

 

Non, c'est pas vrai. Tu peux crever je m'en tape. :D

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Bouuuh méchant !

 

And noooow... The last chapter before a looong period rest, ladies and gentlemen, the H.S nuuuummmmbeeeerr 2 !!!

Petite dédicasse au Doctor, à qui j'ai demandé de le lire avant pour avoir une idée du délire, et n'a même pas pris la peine de le lire...

 

 

Chapitre H.S 2 : Un Noël pas comme les autres

 

Il me semble avoir parlé d’une fête de noël il y a peu. Et bien, je pense que c’est le meilleur pour vous raconter en quoi elle fut et est encore aujourd’hui mémorable.

 

Elle avait commencé de façon assez étrange. Logan était rentré avec le corps de la Gorgone, comme l’avait appelé les X-Men, surnom qui était dut à son pouvoir de pétrifier les gens ou de les tuer en les regardant dans les yeux. Après un combat acharné et un passage à tabac dans un centre commercial, le mutant avait été ramené à l’Institut, agonisant. Vers 20 heures, les convives s’étaient mis à table. Le repas était composé des traditions de noël tel que la dinde, ou encore la bûche de noël. Durant le repas, tout le monde s’était servi de son pouvoir afin d’embêter son voisin. Fify faisait bouger les aliments, qui esquivaient les bouches, ou bien faisait flotter les boissons. Difficile de boire du soda qui flotte deux mètres au dessus de votre tête. Quand on s’appelle Jd, et que l’on peut se jumper où l’on veut sur la planète, c’est déjà plus facile. Bien d’autres avaient réalisé de petites farces, mais le record de sadisme revenait à…. Math ! Qui s’était amusé à vidé le sel sur des plats ou alors mettait du poivre sur les serviettes. Pratique de faire des farces lorsque l’on a la capacité de stopper le temps, aucune preuve matérielle de notre culpabilité. Excepté bien sûr le regard avide que l’on porte sur la personne victime de notre farce.  Après le repas. Il y avait eu le moment des cadeaux. Math s’était éclipsé quelques instants pour aller aux toilettes, mais Fify qui surveillait les cadeaux en vit un apparaître lors d’un mouvement de cils. Math sortit des toilettes, juste après en sifflotant, néanmoins le haut du crâne couvert de neige. L’heure de la distribution avait sonnée. Chuww avait reçu un guide du kendo.

- Comme ça tu pourras apprendre quelques techniques supplémentaires que tu pourras performer à ta façon. Avait lancé Smilou. Chuww était tellement touchée qu’elle n’avait rien put dire et avait seulement lancé un grand sourire en direction de Smilou qui s’était mis à rougir.

Jd avait reçu un Python, le même style de revolver utilisé dans les westerns.

- C’est moi qui l’ai fait ! Avait dit Kévin. Parce que j’ai remarqué que tu bougeais beaucoup mais que tu ne frappais pas des masses. Et bah maintenant, plus d’excuses !

Ce fut au tour de Smilou, qui regarda avec des yeux ronds son cadeau. Il le sortit de sa boîte et tout le monde put l’admirer. Un jeu de cartes fait sur mesure pour lui. La preuve, sur le dos de chaque carte se trouvait un Smilou en tenue de combat, une carte de Roi de cœur entre ses mains. Personne n’avoua avoir fait ce cadeau.  Lorsque Kévin ouvra son cadeau, il ne vit que son nom de code « Jyn » sur un livre à la reliure de cuivre.

- Laisse-moi t’expliquer. A l’intérieur, tu as plein d’exemple d’armure sophistiquée dont les données ont été empruntées à des gouvernements, provenant pour la plupart de mangas ou autre source imaginaire. Du coup, tu pourras nous créer de superbes armures, avec plein de gadgets à l’intérieur ! Expliqua Max, une lueur démente dans les yeux.

Erza et Fify ouvrirent leur cadeau respectif en même temps. Erza avait obtenu une cape de voyage d’un noir de jais, et Fify son propre uniforme, où était néanmoins marqué au dos: Fify, The Real One.

- The Real One quoi ? Demanda-t-elle alors ?

- Bah, The Real Mentalist ! Avait répondu Math, comme si c’était tout ce qu’il y avait de plus évident.

- La cape de voyage est de moi. Déclara McCoy. Tes vêtements, bien que noir, ressortent lorsque tu veux te cacher dans les ombres. La cape te couvrira entièrement et tu n’auras plus de  problème pour te fondre dans le décor.

Une fois tous les cadeaux distribués, il en restait néanmoins un.

- Il est adressé à «Celle qui a fait battre mon coeur comme aucune autre». Avait commenté Jd.

Math, qui s’était rapproché du feu de la cheminée afin de se réchauffer de sa petite escapade, se mit à rougir.

- Je crois qu’il t’est adressé. Avait repris Fify, en tendant le cadeau à Molly et en faisant des allers-retours du cadeau jusqu’à Math avec ses yeux. Molly sourit et l’ouvrit. Il s’agissait d’un collier. Une fine chaîne d’argent, au bout de laquelle pendait un semi-globe de métal qui tenait en son creux une pierre bleue. Une exclamation arriva à la découverte du bijou.

- Il s’agit-d’un saphir. Prélevé d’un des plus-gros filons jamais vu. La pierre n’a pas été traitée, elle est pure. La couleur-est naturelle, contrairement a beaucoup d’autres pierres. Grelotta-t-il en expliquant la provenance du cadeau. Fabriqué en Afrique. Avait-il ajouté. Je leur ai demandé ce qu’ils avaient de mieux et ils me l’ont sorti. J’espère qu’il te plait.

Elle se l’était fait passé autour du cou, s’était approché en silence de la cheminée, avait basculé sa tête en arrière et l’avait embrassé comme jamais elle ne l’avait fait. Un chuchotement parcouru l’assemblée. Jd les regardait, béat. Max, contrôlant également les plantes grâce à sa seconde mutation. Avait fait pousser une racine jusque sur le plafond, au dessus de Jd et Fify, et y avait fait pousser du gui. Fify, ayant  compris la manœuvre, s’était jetée sur Jd.

La fête se poursuivit jusqu’à deux heures. Smilou, en bon croupier, avait commencé à balancer des paris. Celui de Math consistait à traverser une carte portail pouvant mener n’importe où, n’importe quelle dimension, n’importe quel univers, et en revenir vivant après avoir passé cinq minutes dedans.

Le pari consistait en, où Math atterrirait-il, terre ferme ou planète gazeuse, système solaire où autre ? Et surtout… Remporterait-il le défi !

Une fois les mises closes, Math s’avança, prudent, puis sauta dans le trou dimensionnel.

Il s’écrasa au milieu d’une piste de danse, dans une grande salle. Plusieurs centaines de jeunes s’y trouvaient, et presque tous avaient une baguette pointée sur lui. Un grand homme s’approcha. Il semblait vieux, avait les cheveux et une longue barbe blanche :

- Puis-je-vous demander votre nom Mr ? Demanda l’homme.

- Math ! Math Kyrn. A mon tour maintenant, où est-ce que j’ai atterri précisément ?

- A Poudlard (OMG ! Le correcteur n’a pas reconnu le nom de Poudlard, c’est un outrage !!). En plein milieu du bal de Noël.

- Ah. Donc je suis bien sur Terre, dans le système solaire ?

- C’est ça. Et d’où est-ce que vous venez ?

- D’Amérique. Un ami a la faculté d’ouvrir des passages dimensionnels avec des cartes. Il en a ouvert un sans destination réelle et il semblerait qu’elle ait atterri ici. Je dois rester cinq minutes, et après je repartirais. Désolé du dérangement. Reprit-il à l’adresse des élèves, qu’il avait dérangé en pleine danse.

Il avait clos le passage, récupérer la carte et s’était rendu dans le parc, prendre l’air. Il y faisait agréablement bon, malgré la période. Les élèves s‘étaient écartés sur son passage, sûrement par peur. Après tout, seules les personnes invitées connaissaient Poudlard. Qu’est-ce qu’un étranger venait y faire.

- Excusez-moi. Je ne me suis pas présenté. Albus Dumbledore. Serait-il possible de discuter autour d’une bonne assiette.

- Excusez-moi, mais je sors de table. Par contre, je ne serais pas contre un petit verre.

Ils s’assirent et se mirent à parler. De leurs mondes respectifs, de leurs différences, de leurs similitudes.

- Je pense pouvoir dire que la seule grande différence est l’époque, et la dimension. Dans chaque dimension différente, il y a un Terre, et ses habitants sont différents et semblables les uns des autres.

Près d’un quart d’heure plus tard, il fut rejoins par les autres.

- Et bah qu’est-ce que tu foutais ? On t’a cru mort, nous ! Se mit à hurler Smilou. En plus, comme c’est moi qui t’ai fait venir… Mais il s’arrêta et se mit à contempler l’endroit.

- Attends ! On est où je pense qu’on est ? Avait demandé Jd.

- Ouep !

- On est dans Poudlard !! BOOYASHAKA !

- Tu l’a dis. Give me five! Désolé professeur, mais on ne peut pas rester longtemps. On va juste faire quelques photos et on s’éclipsera après.

Math se rapprocha de Ginny qui dansait avec Neville, lui tapota l’épaule, et prit la photo pendant qu’elle se retournait.

- Merci beaucoup ! Avait-il lancé en s’éclipsant.

Il rejoignit Fred et George. Il prit des photos avec les jumeaux, Harry, Ron, Krum et Hermione, et enfin une grande photo de groupe. La Mutant League, Molly, Harry, Ron, Hermione, Ginny, Albus Dumbledore, Minerva McGonagall, Severus Rogue, qui n’y avait consenti que parce que Dumbledore le lui avait demandé avec insistance, Fleur Delacour, ravie de poser pour des français, et Cedric Diggory, destiné à mourir quelques mois plus tard.

Avant de partir, Math laissa à Fleur les données de Bill Weasley pour être sûr qu’elle le trouve une fois ses études terminées. Il avait laissé un petit mot au dos du papier, "A n'utiliser qu'une fois diplômée ;)".

- Pour nous il est temps de rentrer, on fera développer les photos plus tard. Encore merci pour l’accueil. Au fait Hermione, je pense que le mot « Scarabée » pourra t’aider d’ici quelque temps.

- Math ! Avait soufflé Jd entre ses dents.

- Je file juste un petit coup de pouce au destin. Et il avait lancé un clin d’œil à Fleur qui les écoutait.

Ils reprirent le chemin en sens inverse et vit qu’il était déjà 23 heures.

- On fait quoi maintenant ? Demanda Chuww.

- Smilou commence par me payer. Ensuite on verra. Non je plaisante, mais je te le rappellerais demain. Ce soir, pas besoin. Avait-il ajouté devant le regard de Smilou, qui disait que l’argent était caché quelque part pour que personne à part lui ne le trouve. Ils partirent alors dans des batailles à la con, genre bras de fer, démonstrations de pouvoirs. Ah tiens, tant qu’on en parle. Petit combat entre Math et Max. Le principe étant de faire une démonstration de ses talents devant tout le monde, pour être ensuite noté. Max s’était servi de son gui pour créer d’autres plantes, puis avait réalisé des statues de sable.

Math avait gardé les bras croisés, puis, lorsqu’il les avait rouverts, Max avait le pantalon baissé, le soutien gorge de Fify à en juger par son ri en se tâtant la poitrine, les lunettes de Smilou et le cigare de Logan dans la bouche.

- Et voilà le travail. Dit-il, en soufflant sur son doigt comme s’il venait de tirer avec.

Bien qu’il y eut de grands éclats de rire, Max fut déclaré vainqueur et Math en ressortit avec un hématome, un regard assassin de Wolverine et en se trébuchant sur une des racines de Max, accidentellement bien sûr.

Puis, en guise de revanche, Max tenta d’envoyer sur Math des projectiles de sables, projectiles qui furent absorbés par un trou dimensionnel à la grande surprise de tout le monde. Math eut un instant de surprise, puis un grand « YATA ! » sortit de sa bouche.

Ce fut sur ce coup d’éclat que se termina la fête.

- C’est marrant, j’ai l’impression d’avoir oublié quelque chose…  Lança Math en allant se coucher.

Dans une autre dimension, à Poudlard, le professeur Dumbledore regarde un appareil photo laissé sur une chaise :

- Ah. Il semblerait que notre jeune ami a oublié quelque chose. Je vais faire développer ces photos puis vous les mettrez dans la salle commune de Gryffondor. Déclara-t-il au professeur McGonagall, alors qu’ils allaient sortir de la grande salle.

- Pourquoi pas ? Ca fera un souvenir de cette soirée. Personnellement professeur, je les ai trouvé vraiment sympathique ces jeunes gens.

- Oui. Vraiment sympathiques. Je me demande juste ce qu’il voulait dire par : « Scarabée ».

- Je suis sûre que Miss Granger saura se débrouiller avec.

Bon, petit délire à la Harry Potter, j'ai bien fais gaffe à

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Chapitre lu.

 

Un très bon HS, et c'est clair que avec ou sans pouvoirs de toute façon, un Noël avec nous tous, c'est pas comme les autres... Puis désolé de pas l'avoir lu, j'avais d'autres choses à faire puis le lire sur le chat Facebook, vu la longueur, j'en avais pour la nuit, pas mon trip de trop tarder des fois, 'fin bon je l'ai lu maintenant !

 

Max, contrôlant également les plantes grâce à sa seconde mutation. Avait fait pousser une racine jusque sur le plafond, au dessus de Jd et Fify, et y avait fait pousser du gui. Fify, ayant  compris la manœuvre, s’était jetée sur Jd.

 

Toujours là pour m'aider dans mes plans drague le Max, c'est si beau l'amitié. cryanim2cn6.gif

 

BOOYASHAKA !

 

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Bouyachaka*. Inculte.

 

La fin était marrante, la réplique classique du : "Tiens j'ai l'impression d'avoir oublié un truc" et là forcément y a un truc qui va pas, la classe.

 

Donc bravo pour ce chapitre. :)

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Chapitre 6 : Deux grands yeux jaunes

Est-ce qu'il n'y a que moi qui n'ait pas vu le rapport avec le chant du coq dans ma réplique ? xD

Soit je suis pas assez calé en mythologie, soit tu m'as mis cette phrase de merde volontairement à moi 9_9

J'ai pas non plus compris le "quelque jours plus tard, le mutant avait été relâché" ? Tu veux dire qu'un mutant a été suspecté puis relâché parce que c'était pas lui ? Et que tout ça tu nous le dis pas ? ;D

 

dans leurs tenues.

Ça me rappelle un certain dessin qu'un certain membre du forum devait certainement dessiner tout ça 9_9

 

Sinon cool, je suis avec le pseudo le plus classe et "l'ancien" (c'est-à-dire pas TML quoi^^) mutant le plus classe 8)

Mais comme par hasard je peux pas lancer de sorts moi... T'as une dent contre moi avoue ? :P

C'était l'ennemi parfait quant à son pouvoir mais j'ai servi à rien xD

 

Ce mec, il était contrôlé à distance. Putain, j’en ai marre des mecs qui se servent des mutants pour foutre la merde dans le monde ! S’écria Wolverine

Décidément, j'aime ce type même dans les fics^^

 

Mais comme Myst, tu peux crever je m'en fous 9_9

Bref, toujours centré sur toi, mais on voit bien TML et même les autres mutants cette fois, donc c'est cool ! La course poursuite dans le centre commercial est sympa.

Et la fin est juste excellente ! Un super cliffangher digne de ce nom. C'était peut-être pas difficile à imaginer, mais c'est une très bonne idée qui relance l'histoire. C'est pas près de se terminer^^

 

Hâte de lire la suite directe de ça vu que le chapitre d'après est HS. D'ailleurs, je le lirai tout à l'heure ce chapitre :)

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Bah pour le Cliffangher était prévu depuis un bout de temps celui-là :P

 

Sinon, l'histoire s'arrête là pour l'instant, les prochains chapitres qui sortiront seront toutes des petites histoires sur les membres de la TML. Le premier s'intitulera :"Le Jd Express" et paraîtra prochainement chez votre marchand de journaux :P

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Ouai mais alors dépêche toi, je veux la suite moi ! Commence dès ce soir à balancer les HS^^

 

Chapitre H.S 2 : Un Noël pas comme les autres :

 

mais le record de sadisme revenait à…. Math

Sans blagues... 9_9

 

Jd avait reçu un Python

Lol, n'étant pas un expert des armes, je croyais que c'était un vrai python moi xD C'est pour ça aussi que j'avais pas compris quand t'as dit "il pouvait bouger, mais pas attaquer"...

 

Les cadeaux sont sympas. Bien entendu, Kyrnos le lover a offert un cadeau romantique qui a abouti au meilleur baiser de tous les temps (forcément). Comme on aurait pu s'en douter :P

Le reste est sympa, même si c'est toujours centré sur Math qui fait tous les trucs dans la soirée^^

Je me rappelle pas de "scarabée" non plus :P Bon, j'ai pas lu les livres, c'est peut-être pour ça, ne me huez pas.

Bande de fans fous d'Harry Potter^^

 

Allez, grouille-toi de nous amener les autres HS ! 9_9

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Oh ! Calm Down little boy ! Ils sont pas encore écrits et j'ai plein de trucs à faire. Alors on va y aller molo... Ils seront là demain.

 

Par contre pour Jd et le Python, c'est ce que je me suis dis aussi au début, pour ceux qui savent pas, d'où l'explication après ;)

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@Jd : t'as intérêt à m'aider plus tard pour t'avoir concrétiser un plan drague ;) (d'ailleurs, ça te tente un déplacement à Nantes pour quelqu'un qui est tombé en love devant ta photo FB en regardant mon profil ? xD)

 

Bref, je viens de tout rattraper car j'avais que ça à faire ! J'ai hâte de voir les TML plus développés come tu l'avais promis ! Et par contre, j'ai pas eu de cadeau pour nöel :'( ou alors j'ai le choix ! ;D Si c'est le cas, j'aimerai avoir des graines de toutes sortes de végétaux dangereux :D Comme ça, je pourrais créer des ronces toxiques, des fleurs puantes, des spores paralysant et tout ça pour me battre !

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Minis Séries : le Jd Express

 

Vous vous souvenez sans doute de la tentative du professeur X a intégré les mutants dans la société. La bonne blague ! Voici l’histoire Jd, rebaptisée plus tard, le Jd Express.

Une matinée pas comme les autres pour Jd et les autres membres de la TML. Ils commençaient tous leur nouveau boulot. Et celui de Jd était on ne peut plus simple. Il était livreur. Facile, vous me direz. Il pouvait se téléporter où il voulait et y être en un instant. Et bah, c’est pas si simple que ça.

- Comment ça mes employeurs ne savent pas que je suis un mutant ?! S’exclama Jd au petit déjeuner.

- Oui… J’ai comme qui dirais oublier de t’en parler. Assez ironique pour un télépathe. Mais, tu ne dois pas te faire découvrir. Votre travail repose sur le fait que votre identité soit cachée.

Jd ayant rendez-vous à 9h, il partit à 8h58, et atterri dans les toilettes de l’entreprise. Maintenant, il fallait trouver le bureau.

- Vous devez êtres Jd. C’est ça ? Demanda un homme, portant un badge avec marqué Paul dessus.

- C’est ça. Pile à l’heure en plus !

- Ouais. Je suis Paul. Mais pour vous, c’est Mr. Hendré. Je suis votre patron. Je peux savoir ce que vous foutiez aux toilettes ?

- Euh… J’ai dut y aller précipitamment en arrivant. Mais je suis là à l’heure, non ?

- Ouais, ça passe pour cette fois. On est en sous effectif, vous partez directement. Vous devez livrer votre colis au 568, sur la 7ème.  Et on leur a dit qu’ils seraient livrés à 9h15.

- Mais… Il est 9h02 et c’est à l’autre bout de la ville !

- Ca, ce n’est pas mon problème ! Dépêchez-vous !! Se mit-il à beugler en tendant un paquet à Jd, qui se précipita dehors à toute vitesse, tourna à la première à droite, se remit un coup de peigne, remit son costard en place, et se jumpa dans les toilettes du bâtiment. Une fois sortit, il chercha dans l’accueil mais finit par trouver des bureaux et tomba sur un vieillard qui crachait sur tous les employés à sa portée.

- Excusez-moi… Lança Jd. Mais aucune réponse ne lui parvint. Excusez- moi ! Reprit-il, plus fort. Mais toujours rien, c’était comme s’il n’était pas là. Et de nulle part, un hurlement sortit de sa bouche. OH ! JE VOUS APPELLE LA ! VOUS ÊTES SOURD OU QUOI ?!

Le vieillard se retourna, le scruta de la tête au pied, et lança d’un ton méprisant :

- Si c’est pour un emploi, vous pouvez aller vous faire voir mal poli !

- Et si c’est pour un colis, je me le fourre dans le cul ?

- Ah ! Le livreur, vous êtes en retard !

- Non… Je suis en avance, il est 9h10. Le colis devait être là à9h15.

- Et bah alors sortez faire un tour et revenez dans 5 minutes.

Jd le regarda, ahuri. Il prit un stylo et se dirigea vers la sortie (indiquée par un panneau). Il déposa le colis à l’accueil après avoir marqué « FUCK OFF ! » dessus, et s’en alla.

Il alla se prendre un café, et revint au travail 20 minutes plus tard.

-Jd !! Dans mon bureau, maintenant !! C’était quoi ça ? Demanda son patron.

- De quoi vous parlez ?

- De toi, et du client ! Il m’a appelé pour me dire que tu étais arrivé en retard et avait gribouillé sur le paquet. Et en plus, il parait que tu l’as insulté. Mais t’es pas bien ? Un livreur, ça s’écrase.

- Parce que vous croyez que je vais m’écraser ? Je suis arrivé 5 minutes en avance et il m’a demandé d’aller faire un tour ! J’ai déposé le paquet à l’accueil après avoir laissé un message dessus pour lui, et si vous n’êtes pas content c’est la même, parce que son colis, il l’a ! A chaque phrase, il s’était rapproché un peu plus de son employeur maintenant collé à son bureau.

- Euh… Oui, oui… Euh… Vous avez bien fait, s’il- s’il vous plaît, ne me collé pas comme ça…

- Bon, on est d’accord là-dessus. Prochain Colis.

- Déjà ?

- Je veux ma prime de Noël.

- Ah. Très bien. Puisqu’on peut vous faire confiance pour arriver dans les temps, vous allez avoir plusieurs colis à livrer avant 10h.

- Ok.

Et Jd repartit comme si de rien n’était, ses colis sous son bras. Un autre livreur avait écouté la conversation et avait très envie de savoir comment faisait Jd pour traverser la ville en 7 minutes.

A 10h15, Jd était de retour, plus aucun colis, toutes les signatures nécessaires présentes, et il avait un magasine avec lui.

- Oui, je me suis arrêté sur le chemin du retour. C’est tout bon ? Non, parce que j’ai droit à ma pause café là.

- Pause café ? Eh ! Y a des colis à livrer !

- Je ne suis pas le seul livreur, si ?

- En fait là vous êtes trois, ne me regardez pas comme ça, je vous ai dit que nous étions en sous effectif. Et il y a plus de colis que d’habitude.

Jd reprit un bon nombre de colis, qu’il mit dans un sac à dos et se mit à courir de nouveau. Cette fois-ci, l’autre livreur le suivit, et lorsque Jd tourna dans une ruelle, quelques secondes plus tard, il n’y était plus.

10 jours plus tard, vers la fin de la journée, il fit part de ses soupçons au patron :

- Comment est-ce qu’il peut faire ça ? A tous les coups, c’est un alien ! C’est ça !! Il se déplace en vaisseau, c’est comme ça qu’il évite les bouchons ! Et c’est là qu’il dort. On ne sait jamais où il va ! Il part toujours à pied ! Et l’autre fois, je l’ai suivi, et passé une ruelle, il disparait. Il avait caché son vaisseau dans la ruelle je vous dis !

- Tu ne crois pas que tu délires un peu ? C’est juste un très bon livreur, il fait deux fois plus de livraisons que les autres, voir trois fois plus quand il ne s’arrête pas à chaque fois sur le retour.

- On parle de moi ? Lança Jd, qui venait de passer la porte du bureau pour déposer le bilan de sa journée.

- Oui. Jean-Claude ici présent pense que tu es un extraterrestre parce que tu es meilleur que lui.

Jd resta bouché bée, puis il referma lentement la bouche, sortit du bureau, ferma la porte et explosa de rire. Puis il revint dans le bureau en ayant récupéré un peu de son sérieux.

- Excusez-moi, j’ai eu comme qui dirais du mal à le retenir celui-là. Un alien ? Moi ? Et puis quoi, je vais t’emmener dans mon vaisseau pour t’examiner J-C ? J-C… Ca me rappelle un gars au collège. Un jour, lui aussi il a cru que j’étais un alien, et quelques jours plus tard il a disparut. On n’a plus jamais entendu parler de lui.

Jean-Claude eut soudain une zone précise de son pantalon qui commença à s’assombrir. Et à s’humidifier aussi.

- Jean, je pense que vous devriez rentrer chez vous, maintenant. On se revoit demain.

Une fois rentré à l’Institut, Jd raconta sa journée et le coup du camarade de classe disparu :

- Bien sûr, je ne lui ai pas dit qu’il avait déménagé et que vu qu’on ne l’aimait pas, on se contrefichait complètement de ce qu’il devenait. Conta-t-il avant d’éclater de rire avec tout el monde.

CA ! C'est du Jd ! ;D

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Alors là... Juste ÉNORME.

 

Franchement, c'est tout moi ça ! Surtout à la fin quand je sors pour exploser de rire. XD2.png

 

Un très bon chapitre, le pro des livraisons en action. Je retiens surtout le début avec le vieillard qui me dit d'aller faire un tour. C'est bien raconté, j'arrive bien a imaginer les scènes et c'est vraiment drôle. Et la classe pour le clin d’œil au p'tit Jean-Claude... Aaaaah que de bons souvenirs ça. Hâte de voir les prochaines minis séries en tout cas.

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Enorme!  ;D Le livreur qui fait "le colis je me le foure dans le c**?!". Tres professionnel, tout a fait du JD  :D!!

 

Et le patron est excellent aussi. Franchement, si toutes les minis-histoires sont de cette qualite ca va etre cool. A quand la prochaine?! T'as interet de vite la poste  ;)!

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Minis-Séries : Max le Jardinier.

 

Tout comme les autres, Max avait dut se trouver un travail afin de mieux s’intégrer à la société. Et pour quelqu’un contrôlant le Sable et les Plantes que de faire de la botanique. Il finit, après plusieurs refus, par trouver un travail de jardinier dans une maison, c’est comme ça qu’on appellera les deux pâtés de maison que fait la bâtisse, de riches. Un énorme château divisé en plusieurs bâtiments, le tout entouré d’arbres et d’allées.

- Je pense que vous avez compris en quoi consistera votre travail. Avait déclaré le majordome après un tour du propriétaire..

- Je dois tailler des arbres ?

- Et vous occuper des allées. Lorsque vous voyez que les branches des arbres penchent dangereusement, vous les taillés. Mr. Vous dira si jamais il veut des formes particulières.

- Très bien, et je commence quand ?

- Maintenant ce serait bien. Vous allez dans votre atelier, prenez des repaires, et ce sera tout pour aujourd’hui. Soyez là demain à 9h30.

- Ok merci.

Merci…. Quelle erreur ! Max réalisa très vite que son atelier allait avoir besoin de réparation, et vu le bordel à l’intérieur laissé par le dernier jardinier, la fin de la journée n’arriverait pas de si vite. Il commença par tout vider, et lorsqu’il eut enfin mis la dernière pelle dehors, un bruit étrange lui parvint aux oreilles. Comme un crissement de planches, et Max réalisa au dernier moment mais il était trop tard. Le plafond pourri lui tomba dessus. Dans un cri de rage, mais aussi parce qu’il allait se retrouver avec une bosse énorme, Max sortit des débris et sortit tant bien que mal de l’atelier. Une fois dehors, il vit à quel point l’atelier qui était maintenant le sien n’avait pas été entretenu. Toutes les planches semblaient cassées en un endroit, et le tout avait décidé qu’il soit à l’intérieur pour s’effondrer :

- P’tain… Pourquoi je contrôle les plantes et pas le bois. Souffla Max à voix basse.

- Si vous voulez, il y a du bois dans la réserve. Dit une petite voix.

Max se retourna et vit une fillette à moitié cachée par un coin de la bâtisse.

- Ah… Merci. Et, tu es ?

- Je m’appelle Eve. Tout ça c’est à mes parents.

- Oh, et bien, ça veut dire que tu es mon employeuse, entre autres. Ca va, t’as pas reçu d’éclats.

La petite fille fit non de la tête et se sauva. Max retira ses vêtements déchirés et alla se fourra la tête dans un seau d’eau. A peine avait-il redressé la tête qu’une vive douleur lui brûla le bras gauche. Il regarda et vit une entaille qui saignait. Il avait dut se la faire lors de la chute du plafond.

- Et merde… Si en plus je chope le tétanos alors là je démissionne. Il se servit de son T-shirt déchiré et  pansa comme il put l’entaille en pensant à répétition « Pas le tétanos, pas le tétanos. »

Il se rendit dans la réserve, récupéra du bois et revint devant les restes de son atelier. Il leva la tête et vit une jeune personne, ressemblant un peu à Eve, mais en plus âgée. Elle devait avoir environ 17 ans et s’enfuit lorsqu’elle se rendit compte que Max l’observait. Max s’empara de clous neufs, et entama les réparations. Il n’eut fini que vers 18h, et oui tout seul, c’est pas facile. Il balança ses outils à l’intérieur et s’en alla. Afin de ne pas trop se taper la honte et être arrêté pour nudisme sur la voie publique, il appela Jd qui vint le chercher après le travail.

Il revint le lendemain. A sa grande surprise, il était maintenant le propriétaire d’une petite maisonnette se trouvant à la lisière des « bois » entourant la maison. Il s’y installa le lendemain. Pour première tâche, il devait s’occuper des arbres qu’il faudrait abattre.  En fin de journée, Max avait abattu tous les arbres qui devaient l’être. Excepté un. Très vieux, il avait tenu le coup et n’était pas tombé. Max était persuadé qu’il ne tomberait pas avant quelques années. Bien évidemment, les arbres coupés l’avaient été grâce au pouvoir de Max. Il leur avait demandé de se ceindre en deux au niveau de la base. En cours de journée, il avait revu la même fille qu’hier par une autre fenêtre cette fois-ci.

Le lendemain, Jd avait déposé ses affaires devant chez lui et était reparti au boulot, si on peut appeler ça comme ça. Heureusement pour lui, la blessure de Max avait été désinfectée et il ne chopperait pas le tétanos. Oui, je sais… Bah je peux pas faire plaisir à tout le monde !

Une fois installé, il eut droit à sa première visite. Le majordome lui apportait les premiers ordres du maître concernant les haies. Après une rapide lecture, Max vit que les haies ne devaient pas avoir de forme extravagante, et que simplement les tailler irait très bien. Tandis qu’ils marchaient tous deux en direction de la maison, ils la revirent encore une fois.

- Euuh… Alfred, c’est qui cette jeune demoiselle ?

- Alfred ? Enfin bref… C’est mademoiselle Lindsy. La première fille de monsieur. Sa mère est morte alors qu’elle était jeune et le second mariage de monsieur  nous a offert mademoiselle Eve.

- Aaaah… Lindsy, hein ? Et elle ne va pas au lycée ?

- Des cours à domicile voyons… Comme si l’école pouvait lui apporter quelque chose.

- Ouais. Enfin bref, comme vous dîtes.

Max retourna passa par son atelier, prit de quoi tailler, ou du moins faire semblant, et repartit. Arrivé devant les haies, il posa son escabeau, grimpa, et commença à mettre des petits coups sur la haie qui se tailla toute seule. Après une trentaine de minutes, il aperçut Eve qui le regardait avec des yeux fixes et le surprise le fit tomber de son escabeau. Le cul par terre, il lui demanda ce qu’elle faisait et elle répondit en trainant les pieds par terre :

- Qu’est-ce que vous faîtes avec les fleurs ?

- Comment ça ? Demanda Max, mi interloqué, mi inquiet.

- Les fleurs, vous leur parlez et elle se coupe toutes seules.

- Et merrrcredi !

- Mais non voyons, on est jeudi. Hihi, vous êtes bêtes !

Max se redressa, prit la petite dans ses bras et retourna dans la maison. En la voyant, ce qu’il supposa alors être sa mère se jeta sur lui comme s’il avait voulu la tuer et la lui arracha des bras. Elle se mit à lui hurler dessus sur ce qu’elle pensait des enlèvements et une voix sèche la fit taire :

- Enfin, Marguerite ! C’est notre nouveau jardinier, Max. Il n’a jamais voulu de mal à notre petite Eve. N’est-ce pas ?

- Bien sûr que non, elle est venue me voir travailler et je l’ai ramené. Maintenant, j’i mal aux oreilles. La prochaine fois Mme. Demandez avant de crier…

Il y eut un petit rire derrière le maître de maison et Max la vit enfin entièrement. « Mademoiselle Lindsy » comme se bornait à l’appeler Alfred, était une magnifique demoiselle. Brune, les yeux verts, elle portait une robe blanche qui n’était pas sans rappeler une de ces robes haute couture. Lorsqu’elle l’aperçut, elle s’arrêta net et avala de travers. Max lui sourit et elle rougit.

- Ah ! Lindsy ! Ne rentre pas trop tard s’il te plaît, il parait qu’il y a des voyous qui sévissent non loin d’ici.

- Si tu veux, je peux emmener le jardinier avec moi afin qu’il me serve de garde du corps.

- Non, voyons. On ne va pas l’embêter avec ça.

A ce moment, ils entendirent une personne se mettre à hurler :

- EEEEH OOOH ! Y A QUELQU’UN ICI ??

- C’est qui ? Demanda Max à la voix.

- C’est le facteur connard ! Ca fait un quart d’heure que je tourne en rond pour essayer de trouver quelqu’un. Oh Max, j’avais pas reconnu ta voix.

- C’est ça, et prends moi en plus pour un pigeon. Qu’est-ce que tu veux Jd ?

- Colis Express. On m’a demandé de remettre ça à Mr. Andersen.

- C’est moi Mr. Andersen. Déclara le patron de Max. Qui est-ce qui me l’envoi.

- Aucune idée. C’était devant la boîte au petit matin avec l’adresse et une liasse de billets. Que mon patron a bien sûr jugé utile de garder pour lui.

- Et bien, vous me l’avez donné. Vous pouvez partir.

- Ok, merci… A plus Max.

- Ouais, ouais. Et sonne la prochaine fois !

- J’y manquerais pas ! Et il disparut à un tournant. Max sut qu’il avait jumpé dès qu’il fut hors de vue.

- Charmant votre ami. Dit Alfred.

- Oh ça va Alfred, retournez travailler, tiens. Ca vous occupera. Désolé Mr. Et ça ne me dérangerais pas d’aller avec Mademoiselle Lindsy. Je l’attendrais dans la voiture pour la ramener en un seul morceau.

- Merci beaucoup. Et, euuh… Vous avez un costume ?

- J’ai bien un uniforme, mais je doute que ce soit de ça que vous parler.

- Pas grave, je suis sûr que ça ira.

Lindsy arriva à sa fête avec pour garde du corps un homme plutôt musclé, dans un habit de cuir noir et portant un X sur le torse. L’effet fut immédiat. Les regards se tournèrent vers elle pour essayer de deviner qui était son accompagnateur.

La partie 2 arrive ce soir ;)

 

PS : Il lui ai arrivé quoi au PR Blanc ? Tu l'as Pew Pew ? xD

Désolé, le manque de sommeil...

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