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CTW : Change The World


Quintessence
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Un très bon chapitre !

 

On change encore une fois de lieu et d'ambiance.

 

On revoit le mystérieux forgeron, toujours dans sa construction d'un objet qui jouera un rôle dans le changement du monde, voir pour contrer :P.

 

Tu as su bien décrire le lieu sordide et froid dans lequel se trouvait, notre nouveau personnage. Qui n'est autre qu'un prisonnier, un homme se trouvant comme simple objet de spectacle dans cet arène. Il devra survivre pour s'échapper de cet enfer.

 

Je pense même qu'on est déjà dans une ville de Prima avec cet individu, un personnage qui aura un grand rôle aussi dans le changement du monde.

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Mais va-t-on jamais voir Prima un jours ? ;D

 

Cette fois-ci, on est dans une prison où la torture est purement psychologique (sans compter la nourriture), et qui doit vous briser un homme en moins de deux. On suit un homme de 31 ans, ayant visiblement une vraie raison de vivre, et sûrement prêt à tout pour s'en sortir. Par contre, le pauvre se retrouve dans une arène ... deux idées me viennent à l'esprit :

Soit il est déjà un utilisateur d'essence, et va s'en tirer en combattant.

Soit il est dans le même cas que Jiokin et Caméo, et va se faire remarquer par un maître Sapiens qui le prendra sous son aile juste avant de mourir.

 

Comme @Kyojin, j'aimerai bien que la dite ville soit à Prima, même si je n'y crois qu'à moitié. ;D

 

Donc, on suivra plusieurs protagonistes simultanément. On a déjà Jiokin et son copain yeux-blancs, Caméo, et maintenant le prisonnier. Une femme ensuite ? Sans oublier Red Dice, qui sait ce faire désirer. 9_9

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On part sur tout autre chose, cette fois-ci. Mais le moment était bien choisi pour le faire, comme Jiokin et Caméo en sont au même point maintenant. Tu les gardes encore sous le pied.  :)

 

Mais avec ce que tu viens de faire avec ce chapitre, je ne peux que m'incliner. Tu n'aimes pas trop faire trop de descriptions ? Ben là, tu t'es efforcé d'en écrire, et ce fut prenant. Ce fut si bien fait que j'étais vraiment dans la même situation que le prisonnier, et quand il déboule dans l'arène, ça m'a fait aussi un choc. J'étais loins de m'y attendre. Je pense que tout chapitre confondu (Save inclu) c'était le meilleur en terme de littérature pure.

 

Cette prison et arène, je pense aussi qu'elles ont été construites à Prima, mais le monde peut être si vaste que  rien n'est moins sûr.

Je me demande aussi si tu va nous troller sur cette arène car tu peux très bien passer à autre chose, pour qu'à l'avenir se soient Caméo et/ou Jiokin qui endossent ce rôle de prisonnier envoyé comme de la chair à canon. 

 

 

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Un très bon chapitre !

 

Merci !

 

On change encore une fois de lieu et d'ambiance.

 

Une ambiance différente c'est vrai. Plus sombre, plus opaque aussi.

 

On revoit le mystérieux forgeron, toujours dans sa construction d'un objet qui jouera un rôle dans le changement du monde, voir pour contrer :P.

 

Change The World. Ok, ma fiction s'appelle comme ça mais je veux aussi faire passer le message que chaque action qu'on entreprend fait changer le monde. Ça veut pas forcément dire que tous les continents vont se retourner hein ! mais juste que ça peut changer la destiné des gens. Bien évidemment ce titre est révélateur aussi de ce qui va se passer.  :D

 

Tu as su bien décrire le lieu sordide et froid dans lequel se trouvait, notre nouveau personnage. Qui n'est autre qu'un prisonnier, un homme se trouvant comme simple objet de spectacle dans cet arène. Il devra survivre pour s'échapper de cet enfer.

 

Oui c'est ça ! Il va y avoir des choses à raconter sur l'environnement de ce personnage inédit

 

Je pense même qu'on est déjà dans une ville de Prima avec cet individu, un personnage qui aura un grand rôle aussi dans le changement du monde.

 

Maintenant tu vois le changement du monde partout  :o Mais oui son histoire va l'amener à faire changer des choses.

 

Mais va-t-on jamais voir Prima un jours ? ;D

 

J'hésite  :-\

 

Cette fois-ci, on est dans une prison où la torture est purement psychologique (sans compter la nourriture), et qui doit vous briser un homme en moins de deux. On suit un homme de 31 ans, ayant visiblement une vraie raison de vivre, et sûrement prêt à tout pour s'en sortir. Par contre, le pauvre se retrouve dans une arène ... deux idées me viennent à l'esprit :

Soit il est déjà un utilisateur d'essence, et va s'en tirer en combattant.

Soit il est dans le même cas que Jiokin et Caméo, et va se faire remarquer par un maître Sapiens qui le prendra sous son aile juste avant de mourir.

 

Hum ... difficile à dire pour tes suggestions. Personnellement j'en ajouterais d'autres !

Concernant le lieu c'est en effet très sinistre et la souffrance est terrible. Je pense que se retrouver dans une situation pareille doit être dure à soutenir psychologiquement.

 

Comme @Kyojin, j'aimerai bien que la dite ville soit à Prima, même si je n'y crois qu'à moitié. ;D

 

Oui !! Vous allez savoir concrètement au chapitre 17 car je garde un peu le mystère sur le sujet. C'est important ceci mais je vais crescendo pour montrer un peu l'univers de la fiction.

 

Donc, on suivra plusieurs protagonistes simultanément. On a déjà Jiokin et son copain yeux-blancs, Caméo, et maintenant le prisonnier. Une femme ensuite ? Sans oublier Red Dice, qui sait ce faire désirer. 9_9

 

C'est ça mais ne compte pas sur moi pour te dire combien on va en découvrir encore ! Mais tu n'as retenu que les trois principaux, d'autres comme les Sapiens et Sandra alors ? t'en fais quoi ?

 

 

On part sur tout autre chose, cette fois-ci. Mais le moment était bien choisi pour le faire, comme Jiokin et Caméo en sont au même point maintenant. Tu les gardes encore sous le pied.  :)

 

Oui  :)

 

Mais avec ce que tu viens de faire avec ce chapitre, je ne peux que m'incliner. Tu n'aimes pas trop faire trop de descriptions ? Ben là, tu t'es efforcé d'en écrire, et ce fut prenant. Ce fut si bien fait que j'étais vraiment dans la même situation que le prisonnier, et quand il déboule dans l'arène, ça m'a fait aussi un choc. J'étais loins de m'y attendre. Je pense que tout chapitre confondu (Save inclu) c'était le meilleur en terme de littérature pure.

 

Merci ! Je sais pas si c'est le meilleur mais si ça l'est pour toi ça veut dire que je progresse. Pour te faire une confidence, pour ce chapitre je m'étais fixé comme objectif que de faire une description en essayant de faire placer le lecteur dans la même situation que le prisonnier. Je suis content de mon chapitre. Il y a beaucoup de surprises à venir encore sur l'histoire et son déroulement/

 

Cette prison et arène, je pense aussi qu'elles ont été construites à Prima, mais le monde peut être si vaste que  rien n'est moins sûr.

Je me demande aussi si tu va nous troller sur cette arène car tu peux très bien passer à autre chose, pour qu'à l'avenir se soient Caméo et/ou Jiokin qui endossent ce rôle de prisonnier envoyé comme de la chair à canon. 

 

Non ne t'inquiète pas ! Je vais rester sur cette arène. Il y a des choses à dire dessus ! Dès ce soir d'ailleurs.

 

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Change The World

                                                                                                                Change 16 : 801

 

 

La ligue Sapiens est une ligue qui fut créée par son actuel meneur il y a de cela des dizaines d’années dans un but au départ bien précis. Cependant au fil du temps de nouveaux objectifs se sont ajoutés au premier comme filtrer le passage à Prima dans la zone sud ouest, propice à de nombreux décès en raison de la trop grande faiblesse des voyageurs. Le nombre de membre dans cette ligue est flou mais on raconte qu’ils ont tous un niveau extraordinaires, tous capable de faire face aux pires menaces …

 

À l’horizon, seulement des êtres excités et joyeux. Une population gigantesque se tenait là, présente sous leurs yeux dubitatifs, voir effrayés. Chacun comprit que leur présence ici n’était pas anodine et qu’elle avait un seul et unique but, celui de divertir la masse affluée dans les gradins sur élevé. Impossible de tous les compter, ils étaient si nombreux … impossible de tous les décrire ils étaient si différents … toutefois il n’était pas difficile de lire chez les prisonniers leurs ressentis car l’homme aux yeux marrons savait mieux que quiconque ce qu’ils vivaient, lui aussi prit au piège dans cette arène effroyable qui ne sentait que l’odeur du sang. Apeuré, horrifié. Voilà quelles étaient les émotions de cet homme qui ne comprenait pas comment cela avait pu arriver, lui qui vivait sur une paisible île loin de tous ces malheurs, lui qui était heureux et ne voyait qu’un avenir radieux. Comment ? Pourquoi ?

 

De toutes les manières le barbu n’avait pas le temps de cogiter sur quoi que ce soit et le simple bruit de la grille qui tapait le sol derrière lui le ramenait à cette dure réalité. Les soldats ayant refermé le tunnel à l’aide d’un portail solide laissant alors cette trentaine de gens seuls dans l’arène. Toute l’attention était portée vers eux, parfois ils recevaient des objets en pleine figure par la faute des spectateurs. Cependant ceux là se faisaient vite interpeller par les soldats qui les frappaient et les expulsaient du stade. Ils avaient cette impression de n’être que du bétail amené à l’abattoir et prêt à être égorgé afin de servir les prédateurs les plus féroces du monde, les êtres humains.

 

Dans une tribune centrale, isolée du vil peuple et idéalement bien placée, des personnes bien vêtu faisaient leurs entrés suivi par d’autres personnes plus silencieuses et muettes. Ces nobles venaient s’asseoir sur des sièges rembourrées de laine et recouvert d’un cuir rouge. Ces mêmes personnes étaient habillées de tissu rouge orné de quelques décors dorés. Ils avaient autour du cou pour la plupart des bijoux de grandes qualités et aux doigts de grosses bagues faites de pierres précieuses extrêmement rares et chères. Deux de ces hommes, plutôt terni par l’âge s’installaient confortablement en face du terrain. À leurs cotés des bassins débordés par de multiples fruits juteux et des vins d’excellences servis dans des coupes par leurs serviteurs vêtus tout de blanc.

 

 

-Alors, comment se porte Crimaeus ?

-Excellent. Il est prêt à faire soulever la foule.

-J’ai ouïe dire que tes finances étaient mauvaises depuis la dernière saison.

-Que des calomnies ! La maison de mes ancêtres est l’une des plus vieilles et plus riche de Romo et je ne compte pas laisser son histoire et son prestige se faire salir par des rumeurs qui n’ont que pour but de nous fragiliser et nous faire tomber.

-J’espère pour toi Madiadus car il serait dommage de te voir descendre du haut peuple pour rejoindre les barbares que l’on voit plus bas …

 

C’était avec un sourire forcé mais agacé que Madiadus concluait cette courte conversation. Ses finances étaient au plus mal et il avait du mal à payer les taxes et les dettes qu’ils devaient. Son seul espoir résidait dorénavant dans l’efficacité de ses esclaves à triompher des épreuves de l’arène. Le stress se lisait sans difficulté sur son visage et l’impatience de voir les résultats à venir de cette journée de combat grandissait à vue d’œil. Il n’arrêtait pas de tapoter du doigt le bras droit de sa chaise et commençait peu à peu à perdre tout contrôle de soi quand il se fit à nouveau interpeler par son voisin visiblement beaucoup plus détendu. C’était un homme très populaire dans la cité et très riche. Son père avant lui avait réussit à faire monter leur maison au plus haut niveau en entrainant des hommes devenus de véritables légendes. La maison Lalidius était devenue la maison rivale de Madiadus. 

 

-On dirait que ça va commencer. Que dirais-tu de faire un pari Madiadus ?

-Que veux-tu parier ?

-Deux cent pièces d’or ! Dit-il avec un sourire au coin.

 

Cette somme était importante, beaucoup trop grosse pour Madiadus mais refuser aurait été une humiliation pour lui et conclu l’affaire avec un sourire de façade. Toutefois il savait très bien ce qu’il encourait s’il venait à perdre … une faillite !

 

-Je parie qu’aucun de ces esclaves ne sorte vivant du vestibulum, déclara Madiadus plein d’entrain souhaitant à tout prix prendre l’initiative.

-J’étais sur que tu dirais cela, répondit Lalidius. C’est pourquoi je pari qu’il y ai au minimum un survivant.

-Tu sembles sur de toi mais as-tu oublié que seulement un pour cent des prisonniers ressortent vivant du vestibulum ? Aucune chance que ces esclaves arrivent ne serait-ce qu’à l’égratigner.

 

Soudain Lalidius se mit à rire, l’air visiblement décontracté et de bonne humeur ce jour là.

 

-C’est bien parce qu’ils n’ont aucune chance que je mise sur eux !

 

Dans l’arène les perdus étaient dans l’attente. Ils étaient tiraillés entre deux choix. Celui de continuer à ne rien voir arriver de peur de voir le pire venir mais dans ce cas rester dans un stress permanent insoutenable ou alors espérer voir le plus vite possible l’événement qui allait peut être changer leur destiné afin de sortir de ce moment terrible. Mais qui les rassurerait ? Personne … Qui les aiderait ? Personne … Qui étaient-ils dans cette arène ? Personne ! Ils n’étaient rien ni personne, comme enlevé de leur identité, comme enlevé de leur vie avant même qu’ils ne puissent la défendre en combat. Ils étaient déjà morts pour ceux qui étaient venus voir et apprécier ce qu’ils appelaient fête ! La vérité était dure à accepter mais elle était malheureusement belle et bien réelle ! Aucun sauveur, aucun être sensé dans cette foule, que des personnes avides et assoiffés de sangs. Un monde irréel que n’aurait jamais souhaité voir aucun d’entre eux et encore moins en être les acteurs principaux.

Quelle humiliation terrible pour ces pauvres hommes déshabillés et maltraités, on ne leur reconnaissait plus aucune once d’humanité pour des raisons purement sociologique et économique. Aucun en ces lieux n’avaient la moindre pitié souhaitant plus que jamais que la porte du second tunnel s’ouvre enfin ce qui ne tarda pas à se passer …

 

Devant les esclaves, un tunnel beaucoup plus grand en hauteur s’ouvrit devant leurs yeux et sortit de ces ténèbres un loup gigantesque ! Un canidé pas comme les autres. Celui-ci avait une cuirasse naturelle sur son corps et des griffes monstrueusement longues. Ses poils quand ils étaient visibles étaient gris foncé, proche du noir et ses cuisses étaient énormes, deux fois l’épaisseur d’un homme bien conçu. Ceci lui valait le nom de loup cuirassier, une espèce de Prima capturée pour l’occasion. Son rugissement était effrayant, il semblait affamé et prêt à sauter sur ses proies dès lors que la grille qui le séparait des autres serait relevée entièrement. À ce moment là, l’homme aux yeux marron et à la chevelure autrefois noire et soyeuse vit deux mouvements. Le premier, celui qui semblait naturel et logique révélait que plusieurs d’entre eux reculaient de petits pas au point d’atteindre le tunnel fermé qui les avaient amené ici. Cependant ceux là se faisait frappé dessus grâce aux lances et javelots portés par les soldats qui les poussaient à aller devant. Le second mouvement initié par six personnes était plus surprenant car ceux là courraient rapidement en direction de la bête quand l’homme comprit enfin leur raison. En réalité il accourait vers leur seule lueur d’espoir, une des trois épées enfoncées dans la terre en plein milieu du terrain. Seules ces armes allaient pouvoir les aider à se sortir de cette situation affreuse. Le barbu se rendit compte trop tard de la chose et ne trouva rien d’autre à faire que d’exécuter les mêmes actions que ses compères de derrière. Il était apeuré, sentant son cœur battre à deux milles à l’heure il en venait à supplier de toutes ses forces les soldats d’ouvrir le portail. Il tapait et tapait encore et toujours contre les barreaux afin d’attirer l’attention des soldats totalement ignares de ses demandes.

 

« À l’aide ! S’il vous plait aidez-nous !! » Disait-il larme à l’œil. Mais qui voulait l’écouter ? Croyait-il réellement que ses bourreaux, ceux qui l’avaient amené à son triste sort allaient être de concert pour lui donner grâce ? Non !! Il n’y croyait pas, pas plus que les autres mais avait-il d’autres choix que d’implorer une exemption ? Non !! Non !! Non !!

 

Cette volonté de vouloir trouver espoir dans une situation désespérée était humaine et compréhensible mais au lieu de faire appel à la pitié et à la bonté des gens elles n’avaient fait qu’accroître le plaisir des spectateurs qui n’attendaient qu’une seule et unique chose : les voir mourir. Mais mourir dans d’atroces souffrances, déchiquetées et arrachés des membres de leurs corps. Cette simple pensée, cette simple réalité qui se précipitait les amener à continuer d’implorer la bénédiction des gardes dans le seul espoir de faire perdurer leur espoir. Paradoxal mais ô combien humain.

Et quand les premiers hommes, ceux qui s’étaient hâté vers les épées virent que leurs armes n’égratignaient même pas la cuirasse de leur prédateur tous virent leur vie défilée devant eux, symptôme d’une mort prochaine. Et ce fut ainsi qu’un à un ils moururent entre les dents fortes du loup. Certains essayaient de fuir la créature mais c’était peine perdue, elle était beaucoup plus rapide et féroce qu’eux tous réunies. Ils se firent tous sauvagement charcuter sans pouvoir inquiéter le loup qui festoyait sa liberté temporaire par un repas consistant. Cela émerveillait les spectateurs pris dans le spectacle de sang qui en demandait toujours plus, appréciant chaque viande ingurgitée et savourant la souffrance des esclaves. Toutefois, dans cette panique quelques personnes sortaient du lot et cherchaient à survivre. Récupérant les épées abandonnées ils attaquaient quand la bête leur tournait le dos, souvent parce qu’elle tardait à finir d’avaler ses proies. Ils avaient su trouver le point faible de la bête, la tête n’était en effet pas protégée comme le reste du corps et plusieurs des prisonniers avaient joints leurs forces pour décapiter la gueule du loup. Deux des trois qui portaient une épée avaient réussit à atteindre leur but faisant mal à la créature, trop confiante. Mais cette rébellion avait nourri la rage chez l’animal qui ne prêtait alors aucune sympathie à leur égard. Un coup de patte suffisait à les faire voler à l’autre bout de l’arène. Puis le loup vit notre homme, celui aux yeux marron. Il avait si peur qu’il n’arrivait plus à bouger, son visage seul changeait devant ce qui allait lui arriver. Mais ce moment d’inattention du loup fut son erreur fatale récoltant un violent coup d’épée qui traversa sa gueule grande ouverte. L’animal arrêta sa course criant de douleur et cherchant désespérément à retirer l’arme de son corps.

Ce retournement de situation avait fait bondir tous les spectateurs qui n’en croyaient pas leurs yeux, y compris les hauts nobles dont Madiadus qui perdit son sourire confiant. Il voyait en cet échec du loup cuirassier son échec, sa faillite. Au fond de lui il ne voulait pas croire à l’impossible, il ne voulait pas croire en la défaite du monstre qui n’avait jamais perdu jusque là.

 

À ce moment là, seules quatre personnes étaient encore debout et vivantes dans l’arène dont notre homme effrayé en larme. Les trois autres commençaient à croire en leur bonne étoile et reprenaient les glaives tombés pour donner le coup de grâce au monstre. Mais cet excès de confiance leur fit défaut et l’un d’eux fut estoqué par une des griffes du loup. Malgré ce dernier coup, les autres ne perdirent pas leur courage et achevèrent le loup fébrile qui tomba à terre, devant le barbu aux yeux marron.

Cet assaut final fit lever les spectateurs de leurs sièges et des applaudissements tombèrent d’en haut des tribunes. Lalidius  applaudissait et appréciait avec satisfaction le dénouement tandis que son voisin avait la mine des mauvais jours, terriblement énervé au plus profond de lui.

 

En quelques minutes, ces prisonniers passèrent d’êtres rejetés et conspués à des gladiateurs félicités et admirés.

 

« Voilà ce qu’offrait l’arène de combat, la gloire ! »

 

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Nous nous trouvons vraiment dans un Colisée, où tous les éléments sont présents, les spectateurs avides de sang, les nobles dans leur tribune de privilégiés, l'arène et la bête féroce qui fait un massacre chez les prisonniers. De bonnes descriptions soit dit en passant !  :)

Tu pousses même le vice jusqu'à Romo qui ressemble à s'y méprendre à Rome.

 

Donc trois survivants dont le chanceux aux yeux marrons. Ils s'en sont sortis, alors qu'ils était contre un loup cuirassé de Prima. Honnêtement, je me dis que Lalidius était vraiment trop à l'aise. Il a dû tricher en se servant de l'essence ou autre chose, mais cette épée salvatrice qui transperce la gueule du loup géant est venu vraiment au bon moment.

 

J'attends de pouvoir situer Romo sur la carte, on parle de prisonniers originaires des îles par exemple, donc à voir si cette ville antique se trouve en pleine mer. 

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La dure loi du Colisée !

 

Tout nous montre tout le décor et l'ambiance qui se dégage en ce début de spectacle mortuaire qui démarre dans cet arène et c'est bien amené. Entre la foule hystérique, ivre de voir le sang de personnes coulés, tu nous montres que tout cela ne vient que des hommes puissants et ayant beaucoup d'influence comme les nobles. J'y ai vraiment vu Spartacus dedans.

 

En tout cas, on peut dire que le personnage principal de ce moment, bien que peureux, ce qui compréhensible à une bonne étoile sur sa tête, car grâce à ses confrères qui se sont battus, il a survécu. Il va devoir vraiment changer, car il ne pourra pas compter que sur les autres.

 

Bref, il aura une vie très dure et j'attends de voir si c'est la gloire qui le sortira de ce mauvais pas.

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Nous nous trouvons vraiment dans un Colisée, où tous les éléments sont présents, les spectateurs avides de sang, les nobles dans leur tribune de privilégiés, l'arène et la bête féroce qui fait un massacre chez les prisonniers. De bonnes descriptions soit dit en passant !  :)

Tu pousses même le vice jusqu'à Romo qui ressemble à s'y méprendre à Rome.

 

Oui je ne cache pas que Romo est l'équivalent de Rome et de son empire. Et comme le dis Kyojin un peu plus bas je m'inspire beaucoup d'une histoire que j'ai adoré, celle de Spartacus.

 

Donc trois survivants dont le chanceux aux yeux marrons. Ils s'en sont sortis, alors qu'ils était contre un loup cuirassé de Prima. Honnêtement, je me dis que Lalidius était vraiment trop à l'aise. Il a dû tricher en se servant de l'essence ou autre chose, mais cette épée salvatrice qui transperce la gueule du loup géant est venu vraiment au bon moment.

 

C'est possible en effet que Lalidius soit coupable de quelque chose dans cette victoire inespérée mais il a peut être eu de la chance également !

 

J'attends de pouvoir situer Romo sur la carte, on parle de prisonniers originaires des îles par exemple, donc à voir si cette ville antique se trouve en pleine mer.

 

Vous saurez bientôt où se trouve Romo et ses habitants.

 

La dure loi du Colisée !

 

Tout nous montre tout le décor et l'ambiance qui se dégage en ce début de spectacle mortuaire qui démarre dans cet arène et c'est bien amené. Entre la foule hystérique, ivre de voir le sang de personnes coulés, tu nous montres que tout cela ne vient que des hommes puissants et ayant beaucoup d'influence comme les nobles. J'y ai vraiment vu Spartacus dedans.

 

Oui ! J'espérais que quelqu'un reconnaisse Spartacus mais c'est arrivé plus vite que prévu. C'est ça car comme je le disais je me suis beaucoup inspiré de lui et de son mythe. Mais n'allez pas croire à une histoire semblable en tout point.

 

En tout cas, on peut dire que le personnage principal de ce moment, bien que peureux, ce qui compréhensible à une bonne étoile sur sa tête, car grâce à ses confrères qui se sont battus, il a survécu. Il va devoir vraiment changer, car il ne pourra pas compter que sur les autres.

 

Ouais il a beaucoup de chance  :) Il est certain que s'il est amené à combattre en arène il faudra qu'il puisse au moins tenir une épée pour s'en sortir vivant.

 

Bref, il aura une vie très dure et j'attends de voir si c'est la gloire qui le sortira de ce mauvais pas.

 

C'est surtout son histoire qui fera sa réussite ou son échec.

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Change The World

                                                                                                                    Change 17 : 801

 

 

Les loups cuirassiers sont des loups féroces qui vivent au sud est de Prima, dans la forêt antique. Plusieurs spécimens de loups cuirassiers y sont répertoriés ainsi on peut y retrouver les loups cuirassiers de bas niveau, vient ensuite les loups cuirassiers de bronze, d’argent, d’or et de diamant. Les plus forts dominent les troupes et sont impitoyables dès lors qu’un intrus entre dans leur territoire.

 

Quand le loup cuirassier tomba par terre, gisant dans son sang, foudroyé par des attaques mortelles, les soldats ouvrirent à nouveau les grilles et prirent de force les prisonniers vivants afin de les amener hors de l’arène de combat. D’autres s’occupèrent d’enlever les nombreux cadavres qui trainaient et ceci le plus rapidement possible afin de laisser place aux combats suivants.

 

Dans les gradins la ferveur était immense. Jamais ils n’avaient pensé voir de faibles esclaves sortir vivant dans ce qui semblait être un massacre. Ils étaient comme pris de sympathie pour ces héros nés d’un combat qui paraissait perdu d’avance. Ces retournements de situation faisaient partie de la magie des affrontements dans l’arène, un engouement très important accompagnait chaque jour de combat dans le seul but d’assister à des histoires aussi fascinantes que celle proposée à l’instant. Ces histoires pouvaient être suivis qu’à un seul endroit, le pays de Romo !

 

Romo, pays de plusieurs millions d’habitants et d’une superficie gigantesque, il était à ce jour le territoire le plus fort du sud est. Aucun autre royaume ou pays venant des mers du sud ne pouvait se comparer à Romo en terme de puissance militaire ou économique. Il était également l’un des rares pays à ne pas avoir aboli l’esclavage, force de son économie et de sa notoriété. Ce pays était gouverné par un conseil d’une centaine de membre et nullement choisi à la volée ou par voie démocratique. Ses seuls membres étaient choisis en fonction de leur influence. Le pouvoir, voilà ce qu’il fallait pour accéder au pouvoir. Et ce pouvoir ne s’obtenait que d’une seule et unique façon, par le biais de l’argent et l’un des moyens pour y accéder était de concourir à l’arène ou chaque grande victoire était récompensée de la plus belle des manières. C’est ainsi que depuis des générations et une loi ancestrale, des familles ont construis des établissements afin de bâtir ceux qui combattront pour leur nom, ceux là même qui en contrepartie de leur vie gagneront la gloire et un nom !

Cette loi indélébile faisait de l’esclavage une nécessité afin de perpétuer les traditions du pays mais pas seulement, elle contribuait à développer la puissance de Romo au delà des mers et parfois même d’atteindre une influence à Prima même si elle restait encore minime face aux grandes puissances du continent. Ses troupes qui formaient sa force étaient nombreuses et bien armées. À l’instar d’un autre grand peuple de Prima son armée arborait des armures d’or afin d’afficher sa grande puissance à ses voisins mais cela ne s’arrêtait pas seulement aux militaires du pays, il en allait de même pour les nobles qui s’affichaient tous avec des joyaux plus sublimes les uns que les autres. Cette manie de vouloir s’afficher comme un territoire dominé par la richesse à n’en plus savoir quoi faire faisait la cible de critiques acerbes de la part de plusieurs îles qui détestaient cette arrogance outrageuse. Mais leurs impressions à l’égard de Romo devaient rester que rumeur et officieuses au risque de subir comme d’autres par le passé le courroux de Romo.

 

Sans même comprendre ce qu’il se passait, l’homme aux yeux marron ainsi que ses compères vivants furent embarqués de force dans le tunnel sous les applaudissements intenses des spectateurs. Les soldats les emmenèrent dans une grande pièce où les attendaient des soigneurs qui vinrent panser leurs plaies. Sans même qu’on leur demande comment ils allaient, ils furent accrochés sur des lits où ils ne pouvaient plus bouger pendant qu’on leur administrer les premiers secours. Au premier abord, notre homme était comme en panique, presque autant que quand il avait du faire face à la gueule effrayante du loup plus tôt mais quand il vit les gens soulager leurs blessures il commençait à retrouver son sang froid. Pendant les longues minutes où ils furent internés dans la salle ils avaient pu entendre les cris des spectateurs à l’extérieur qui semblait s’enthousiasmés sur quelque chose quand ils entendirent les gens scandaient inlassablement le même nom « Crimaeus ! Crimaeus ! Crimaeus ! ». Le cœur battant de l’homme allait en s’affaiblissant au fil des minutes mais le fait même d’entendre à nouveau ces cris résonnés à travers les murs le terrifiait. Il ne souhaitait plus jamais se trouver au milieu de ces gens assoiffés de mort et qui ne comblaient leur temps que par le désir de voir le sang giclé.

 

Après une heure passée au même endroit, les rescapés furent déplacé à la sortie du colisée et attachés à des poteaux sur une estrade. C’était comme se retrouver sur une pendaison après avoir commis une faute grave. La peine de mort. Avaient-ils commis un crime pour être traité ainsi ? Non. Ils n’étaient pas accrochés à ces barres de bois pour être exécuté dans l’immédiat mais pour être vendus aux gens désirant obtenir des esclaves. Ils étaient comme des objets placés aux vitrines des magasins et qui attendaient qu’on vienne les chercher. D’ailleurs, un groupement de gens étaient là pour les voir, comme reconnaissant du spectacle qui leur avait été offert et quand les combats dans l’arène furent terminés, la place fut entièrement remplis de gens tous plus curieux les uns que les autres de voir le devenir de ces vainqueurs. Les prisonniers étaient eux à la recherche de regards complices, cherchant à attirer la compassion des gens afin de les extraire de leurs situations affreuses et retrouver pourquoi pas le goût de la liberté. Mais aucun ne cherchait une telle chose. Aucun n’avait la moindre compassion pour ces individus perdus. Certes, ils étaient contents d’avoir vu leur détermination face au loup cuirassier mais une fois sortis de l’arène, ils ne revêtaient pas une plus grande importance que quand ils étaient au centre de l’amphithéâtre. Leur salut ne pouvait venir que des hommes les plus influents du pouvoir et ceux là ne tardèrent pas à se manifester. Lalidius acheta deux des trois survivants, ceux qui avaient réussis à briser le loup dans son attaque. Il ne prit cependant pas la peine de récupérer l’homme brun qui observa dépité le départ de ses compagnons qu’ils lui avaient sauvé la vie. Il souhaitait les suivre mais un soldat le rappela à l’ordre d’un coup de fouet qui le fit atrocement souffrir. Cela signifiait « Reste assis. ». Les minutes passaient et personne n’apparaissait pour sauver notre homme. De plus, il n’était pas bien accueillis par les observateurs qui voyait en lui le parfait intrus, lui qui n’avait rien fait du combat à part pleurer et crier à l’aide. Cet homme ne méritait pas de vivre et cela se manifestait par des insultes et ensuite par des jets de pierre qui faisaient saigner le prisonnier. Heureusement pour lui, des soldats venaient s’interposer mais au fond d’eux même ils étaient comme les habitants, enrager de voir une telle personne ressortir vivante en ayant rien fait excepté d’en appeler au secours des militaires.

 

À l’écart, Madiadus et son serviteur observait la scène. Le premier était furieux d’avoir perdu son pari et voyait sa déchéance à l’horizon. Sa bourse était presque vide et seul le résultat de son gladiateur populaire lui permettait de continuer à souffler.

 

-Trois de nos quatre gladiateurs sont morts aujourd’hui. Satané Lalidius !

-Grâce à la victoire de Crimaeus nous pouvons toujours payer nos dettes, dit son serviteur.

 

Il était petit et chauve. Il avait un gros ventre et un regard malicieux, à la limite du pervers mais ce qu’appréciait son maître chez lui était sa clairvoyance et ses conseils très sages.

 

-Ce n’est pas suffisant. Il nous faut plus d’hommes pour pouvoir triompher de Lalidius et des autres et avec encore ces pertes nous perdons davantage de force. Qu’en est-il des esclaves ?

-Lalidius vient d’acheter deux esclaves qui ont vaincu au vestibulum.

-Enfoiré de Lalidius. Il ne perd jamais un instant de mettre main basse sur tout ce qu’il trouve d’intéressant.

-Il reste cependant l’un des vainqueurs, désigna t-il du doigt plus loin en direction du seul prisonnier restant à l’estrade.

-Lui … , dit-il avec un ton de mépris et de rejet. Je suppose que nous n’avons pas le choix.

 

Madiadus donna une bourse de pièces d’or à son serviteur et s’en alla en direction de son carrosse qui l’attendait.

Sa voiture était surveillée pas de nombreux soldats qui garantissait sa sécurité dans le pays et l’accompagnait où qu’il aille tant qu’il en avait l’envie. C’était un des privilèges d’avoir un siège au sein du conseil.

Pour le dernier prisonnier, il fut libéré de ses chaines pour être remplacés par de nouvelles. Dorénavant il était un esclave de la maison Madiadus, mais cela il n’en savait rien encore. Tel un cerf que l’on ramenait de sa chasse, il fut attaché par une corde et conduit par son guide à la maison de son nouveau maitre. Fatigué et dépité, il suivait fébrilement les pas du chauve à travers des chemins de sables, à l’extérieur de la grande ville, au milieu d’arbres et de prairies. Quand ils arrivèrent enfin au but, une maison immense entourée de murs blancs, une large porte s’ouvrit afin de laisser entrer les nouveaux venus. Dès son entré il vit alors de multiples hommes torse nu et musclé de la tête aux pieds s’entrainaient dans des combats physiques. À coté d’eux il avait l’impression d’être un enfant. Il traversa la cour et s’arrêta devant un homme, plus grand et plus musclé que tout ceux qu’ils avaient pu voir encore. Son charisme et son aura étaient effrayants ! Devant lui, il ne pouvait que baisser les yeux, croiser son regard fût comme croiser les yeux du diable. Il était chauve et balafré de toute part. Il ne pouvait même plus compter ses cicatrices tant elles étaient nombreuses. Celui-ci était assis et nettoyait à l’aide d’un chiffon son glaive.

Les autres gladiateurs qui s’entrainaient s’arrêtèrent alors et observèrent avec attention la rencontre.

 

-Spartak, je t’amène un nouveau gladiateur, dit le chauve.

 

Spartak leva alors les yeux en direction du prisonnier et l’observa attentivement. Puis, au bout de quelques secondes il se remit à sa tâche en dévisageant l’hôte aux yeux marron et demanda.

 

-C’est lui qui a battu le loup cuirassier dont m’a parlé maitre Madiadus ?

-C’est l’un d’entre eux.

-Pourtant il n’a rien d’un vainqueur. Regarde le. Ses bras, ses mollets, ses cuisses, son torse … sa tête. Il a plus l’air d’un vieux sorti de retraite qu’à un gladiateur.

 

Cette sortie cinglante avait fait rire l’ensemble des autres gladiateurs tous moqueurs à l’égard du nouveau qui resta muet devant cette insulte. Malgré ce fou rire général, Spartak gardait un air tout à fait sérieux et ne comprenait pas pourquoi un tel homme les avait rejoins.

Ce bruit avait attiré l’attention du maitre des lieux, Madiadus lui même, qui sortit de sa somptueuse maison et vint apporter sa contribution.

 

-Qu’est ce que c’est que tout ce raffut ?

-Spartak n’est pas content au sujet de notre nouveau gladiateur, dit le chauve.

-Il n’a rien d’un gladiateur, je n’en veux pas, surenchérit Spartak.

-Je ne te demande pas ton avis. C’est un ordre.

-Le prendre c’est risqué la vie des autres gladiateurs.

-C’est pourquoi tu vas l’entrainer afin qu’il devienne gladiateur.

 

Spartak lâcha un léger rictus et dit.

 

-Pour qu’il devienne un gladiateur il lui faudrait toute une vie.

-Fais en sorte qu’il le devienne le plus vite possible. La discussion est terminée.

 

Madiadus rentra à nouveau dans sa villa accompagné de son fidèle serviteur laissant les gladiateurs livrés à eux même.

 

Bon, par ou commencer …

 

 

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Bon chapitre !

 

Le calvaire de notre mystérieux personnage continue l'enfer est loin d'être fini pour lui. Ce coup-ci, tu nous présentes la ville de Romo sur toutes ses coutures et angles, on apprend qu'il est le pays le plus puissant au niveau militaire et qu'il est dirigé par des nobles peu scrupuleux et avide d'argent.

 

Le pauvre esclave est vendu à Madiadus qui a perdu son pari plutôt, mais on peut dire que son choix fera de lui, une grande célébrité à l'avenir avec l'arrivé du personnage, un nouveau destin s'est dessiné depuis. Cependant la tâche, ne sera pas facile pour faire de lui, un vrai combattant.

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Par manque de temps, je l'ai lu en deux fois ! Désolé d'avoir été si long pour déposer un com ! ^^'

 

On retombe complètement dans l'ambiance de la Rome antique. L'organisation politique y est très ressemblante aussi. Les hommes influents sont au pouvoir, et je me dis qu'une rébellion pourrait se profiler à l'avenir. Après qu'elle aille au bout ou qu'elle avorte, c'est autre chose.

 

Fait très étrange aussi, c'est que notre gladiateur en devenir ( il y a du boulot avant) n'a pas de nom, ou plutôt on ne le connait pas encore. Jusque là, il est anonyme, donc s'il parvient à se faire connaitre au sein du Colisée, il en aura forcément un. C'est ce que je me dis. Puis, comme tu nous as affirmé que les choix de tes personnages influeront plus ou moins sur le monde, il se pourrait que lui aussi ait un rôle à jouer. 

 

Pour l'instant il est sous le joug du terrible Madiadus et Spartak n'est pas du genre à ménager les nouveaux...

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Bon chapitre !

 

Merci!

 

Le calvaire de notre mystérieux personnage continue l'enfer est loin d'être fini pour lui. Ce coup-ci, tu nous présentes la ville de Romo sur toutes ses coutures et angles, on apprend qu'il est le pays le plus puissant au niveau militaire et qu'il est dirigé par des nobles peu scrupuleux et avide d'argent.

 

Oui. Comme je le disais c'est Rome dans son ensemble. En fait je veux démarquer les pays hors de Prima et les comparer au monde que l'on connait nous. Mais le plus intéressant à suivre pour le moment c'est bien notre homme

 

Le pauvre esclave est vendu à Madiadus qui a perdu son pari plutôt, mais on peut dire que son choix fera de lui, une grande célébrité à l'avenir avec l'arrivé du personnage, un nouveau destin s'est dessiné depuis. Cependant la tâche, ne sera pas facile pour faire de lui, un vrai combattant.

 

Tu lui vois déjà une gloire retentissante ! Peut être que tu as raison Kyojin toutefois tu ne devrais pas me sous estimé !!!

En tout cas un des mes objectifs en écrivant l'histoire de CTW et de surprendre les lecteurs, encore plus que quand vous apprenez la traitrise du personnage de Save dont je spoil pas ici. Je pense au vu de vos commentaires que je suis bien parti pour  :D

 

Par manque de temps, je l'ai lu en deux fois ! Désolé d'avoir été si long pour déposer un com ! ^^'

 

Pas de problème. Prend le temps que tu veux  ;). Pardon de répondre que maintenant aussi  ;D

 

On retombe complètement dans l'ambiance de la Rome antique. L'organisation politique y est très ressemblante aussi. Les hommes influents sont au pouvoir, et je me dis qu'une rébellion pourrait se profiler à l'avenir. Après qu'elle aille au bout ou qu'elle avorte, c'est autre chose.

 

Une rebellion est envisageable comme tout. Je peux comprendre que vous soyez un peu dans le flou depuis le début de la fic et que vous envisagiez tout évènement. C'est vrai que vous ne connaissez même pas l'objectif de l'histoire si ce n'est à travers son nom mais patience ...

 

Fait très étrange aussi, c'est que notre gladiateur en devenir ( il y a du boulot avant) n'a pas de nom, ou plutôt on ne le connait pas encore. Jusque là, il est anonyme, donc s'il parvient à se faire connaitre au sein du Colisée, il en aura forcément un. C'est ce que je me dis. Puis, comme tu nous as affirmé que les choix de tes personnages influeront plus ou moins sur le monde, il se pourrait que lui aussi ait un rôle à jouer. 

 

Non! Mais tu as vu juste quand même pour un autre personnage. Le nom du personnage qui souffre actuellement sera connu dès le début du prochain chapitre.

Pour l'influence, en effet chaque personnage aura une influence sur le monde, comme toi tu en as également.

 

Pour l'instant il est sous le joug du terrible Madiadus et Spartak n'est pas du genre à ménager les nouveaux...

 

Non il ne l'est pas mais il a reçu des ordres et ils sont clairs!

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Change The World

                                                                                                                      Change 18 : 801

 

 

Romo est un territoire qui se situe sur les mers du sud Est et est le plus proche du grand continent Prima. Sa présence, proche des grands pays du monde l’avaient beaucoup influencés par le passé où  aujourd’hui elle dispose de coutumes et traditions qui ont été repris des pays originaires de Prima. En ce sens, elle souhaitait acquérir une renommée aussi grande si ce n’est plus que ses modèles.

 

Il pensait avoir quitté le colisée une bonne fois pour toute mais lors de son arrivé il comprit quel avenir lui était réservé, lui qui n’avait plus aucun contrôle sur son futur, mené d’une main de maître par Madiadus. L’enfer des combats était proche et ses jours étaient comptés. Il perdait espoir en ses rêves car ses seules options étaient mourir en combat ou mourir sous les coups de ses geôliers.

À l’intérieur de la résidence, Madiadus et une autre personne discutaient. Ce dernier était vraisemblablement un gladiateur de par son physique imposant et de ses habits primaires mais le plus étrange avec ce blond était son visage atypique et peu ordinaire différant des autres. En effet, ses oreilles de formes triangulaires étaient rattachées par une peau naturelle divisée en deux liens et qui passait sous son menton. Excepté ce détail, il apparaissait comme parfaitement humain avec sa chevelure dorée et ses yeux bleus clairs.

Dans cette gigantesque pièce où se tenaient de multitudes poteries et tableaux de portraits, un bassin d’eau se situait au centre de la pièce et faisait office de piscine de salon. De nombreuses femmes se détendaient dedans, toutes dénudées. D’autres serviteurs se tenaient à l’écart et attendaient qu’on vienne les demander.

 

-Tu as bien combattus Crimaeus.

-Merci.

-Tu deviens chaque jour plus fort. C’est bien … j’attends avec impatience ce moment où tu découperas sa tête !

-J’espère que ce moment arrivera bientôt aussi.

-Va te reposer, tu l’as bien mérité.

-Merci, conclu t-il d’un sourire ravi.

 

Tandis qu’il s’en allait, Madiadus se déshabillait et partit rejoindre les filles qui s’amusaient dans l’eau.

 

Dans la grande cour où travaillaient les gladiateurs, Spartak qui était toujours assis et de mauvaise humeur s’adressa à son nouvel élève d’un ton autoritaire. Toujours en train d’entretenir son glaive argenté il demanda.

 

-Ton nom ?

-Hägel Catania.

-Jamais entendu ce nom de ma vie. Tu n’es pas du coin.

-Non.

 

Cherchant inlassablement à déguerpir de ce trou, Hägel changea de sujet et osa récupérer la parole afin de demander grâce.

 

-S’il vous plait, laissez moi partir. Je vous en prie, laissez moi m’en aller, tomba à terre Hägel qui perdait tout ses moyens devant ce périple épuisant et sans fin.

 

Il pleurait une averse de larmes. Le prisonnier n’en pouvait plus de ce calvaire et implorait de toutes ses forces Spartak à le relâcher. Les deux genoux à terre, il réclamait sa libération sans même penser à sa fierté. Cette démarche qui partait du fond de son cœur était toute sauf la solution adaptée à son problème. Comment pouvait-on perdre son honneur dans une culture où celle-ci était justement la valeur à gagner ? Comment pouvait-on se courber et perdre toute crédibilité devant un homme qui jouait sa vie chaque jour de combat pour récolter la gloire de tout un peuple ?

Ceci était minable, plus que cela c’était insultant et les autres ne se privèrent pas de se moquer de lui. Mais comme plus tôt, le seul qui ne souriait pas de cette demande malvenue était l’imposant Spartak qui était davantage vexé. Cela ne faisait que le rassurer de ses premières impressions concernant ce pauvre homme qui n’arrivait même plus à tenir sur ce qui lui servait de jambes.

 

-Lèves toi ! Ordonna t-il avec un regard tueur.

 

Quand il entendit ces mots, Hägel ne se fit pas prier pour se relever, toujours larme à l’œil. Il espérait au plus profond de lui obtenir la sympathie de ses ravisseurs mais ce fut ne pas connaître Romo et ses règles. Un gladiateur ne pouvait obtenir sa libération qu’en échange de victoires. Voilà quelle était la règle impériale du colisée.

 

« Bats toi pour gagner, pour ta fierté, pour ta liberté ou meurs dans l’indifférence et dans la souffrance. »

 

-Crokius, appela Spartak.

 

Un gladiateur de la foule s’avança et attendit les ordres de celui qui était le chef de troupe.

 

-Montre lui ce que c’est qu’un gladiateur.

 

Hägel observa alors cet homme brun et affublés de cicatrices comme ses comparses. Il vit alors de quoi étaient capables ces êtres qui sortaient de l’ordinaire. Crokius s’enfonça un glaive dans sa chaire sans même montrer un signe de faiblesse. Il se plantait une lame dans le bras droit sans même broncher.

Catania était comme abasourdi devant ce geste suicidaire. Comment pouvait-il ainsi se blesser ? Dans quel monde vivaient-ils ?

Puis, pris de court, il entendit Spartak dire des mots qu’il ne reconnaissait pas, comme si il était tombé dans l’inconscience le temps d’une seconde. Puis il entendit à nouveau ces mots. Il comprit alors qu’en réalité il les avaient parfaitement entendu mais que son esprit l’avait considéré comme erroné par le simple fait qu’il était tout bonnement impossible pour lui d’exécuter ce que lui demandait son geôlier.

 

-J’ai dis à ton tour.

 

Impossible ! Impossible ! Impossible ! Voilà que ce que répétait sans cesse Hägel dans sa tête. Comment pourrais-je faire cela ? Ces mots sortirent alors de sa bouche comme cherchant à convaincre l’assistance sourde.

 

-Non ! Non, s’il vous plait ! Je vous en prie ne faites pas ça ! Pleurait-il.

-Fais le.

-Non ! Non ! Je vous en prie NON ! Quémanda t-il.

-Fais le.

-Non … je ne peux pas. S’il vous plait ! S’il vous plait !

 

Puis, d’un simple regard, Spartak se fit comprendre par des gladiateurs qui vinrent prendre Hägel aux bras afin de bien le tenir le temps qu’un troisième homme puisse se placer en face du nouveau à qui il ne restait plus que la force de faire bouger ses lèvres. Désemparé, il criait et criait encore et encore ! Dans ce qui s’apparentait comme ses derniers instants il cherchait par dessus tout à atteindre ce cœur inutilisé de ces hommes pour les implorer de le laisser libre mais quelle parole, quel mots étaient plus important qu’une coutume de plusieurs siècles ?

 

« NOOOOOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNN ! »

 

Dans une prison glaciale, Hägel Catania était assis, les yeux ouverts et comme coupés de la réalité. Il était comme un homme à qui on lui avait soutiré son âme, un homme qui n’était plus celui qu’il était auparavant, un homme changé. Voilà ce qu’il était, un homme changé …  Cela faisait plusieurs heures qu’il était enfermé entre ces barreaux atypique, presque transparent. D’ailleurs, ces chaines qui le retenaient prisonniers étaient de la même teinte. Il avait un énorme pansement en dessous de l’épaule droite, une plaie due à ce glaive immonde qui causait cette douleur insupportable et qui le faisait atrocement mal. Sa patience prit fin quand Spartak suivis de quelques soldats vint le chercher dans sa cellule. Les soldats le firent sortir sans ménagement, le poussant à suivre Spartak.

Une fois sortit du tunnel il arriva dans la grande cour où s’entrainaient encore les gladiateurs. Des exercices extrêmement calme en apparence car chacun d’entre eux était debout, les yeux clos et parfaitement silencieux. Étrange pour des combattants barbares de faire de la méditation. Une fois arrivé en bonne place, les soldats poussèrent violemment par terre Hägel et lui retirèrent ses chaines qui l’entravaient. Ils s’en allèrent ensuite laissant Spartak s’occuper du reste.

 

-Prépare toi.

 

Hägel ne comprenait pas. Il restait médusé devant ces paroles incompréhensibles.

 

-Tu as quatre heures. Passé ce délai, je te tuerais.

 

De quoi parlait-il ? Que devait-il faire ? C’était le néant dans l’esprit de Catania mais  quand il trouva réponses à ses interrogations  de nouvelles questions embarrassaient son esprit torturé.

 

-Je vais injecter mon essence dans ton corps durant quatre heures. Pas une seconde de plus. Passé ce délai je ne me retiendrais plus et propagerais sans limitation mon essence pour te tuer.

 

Le brun aux yeux marron ne comprenait pas un mot de ce que Spartak lui racontait mais il comprit une chose, c’est que ses souffrances allaient peut être prendre fin dans une mort tragique.

 

-Si tu veux vivre, tu dois te concentrer sur cette énergie qui te fait vivre au fond de toi. Quand tu la sentiras, fais la surgir à travers ton corps.

 

À peine eut-il le temps de comprendre les explications qu’il se fit toucher le front par Spartak. Effrayé par ces hommes aux grands muscles il ne cherchait même pas à faire opposition et se contentait d’attendre une événement, un déclencheur qui lui ferait comprendre quelle était l’utilité de tout ceci. Après plusieurs minutes de patience, il commença à retrouver ses esprits et à réfléchir sur les derniers mots prononcés par Spartak. Il pensait qu’en accomplissant ce qu’il voulait il pourrait obtenir une crédibilité et une aide de sa part. De plus, attendre patiemment sa mort était tout sauf possible. Il se rappela de ce qu’il devait à tout prix faire, abandonner maintenant aurait été un échec impardonnable dont il ne voulait absolument pas. C’est ainsi qu’il se concentra sur une quelconque énergie dont parlait Spartak afin de le satisfaire mais étant inculte sur le sujet il ne savait pas comment s’y prendre. Que devait-il chercher exactement ? Comment devait-il procéder ? Surtout, il ne semblait pas croire à ce que lui disait le gladiateur. Il ne comprenait rien de toute cette affaire et cela commençait à le stresser, voir lui faire perdre tout contrôle. Cette impatience était grandissante, menaçante ! Il était à deux doigts de tout abandonner et jeter ses dernières forces dans une fuite suicidaire, perdue d’avance. Mais si cette envie était présente, sa peur était bien plus envahissante. Croiser le regard du grand homme devant lui suffisait à rompre toute détermination et tout désir de fuite. Il était comme un chiot au pied d’un éléphant, bien en dessous de tout !!

Les minutes défilaient, les heures passaient, la vie se terminait … il était bientôt l’heure, l’heure de dire adieu à ce monde cruel et impitoyable mais aussi magnifique et extraordinaire. Il était l’heure de cesser tout partage d’essence, l’heure de finir cet exercice, l’heure d’avoir des regrets … Le délai arrivait à son terme et jusque là Hägel était comme incapable d’extraire toute manifestation de magie vitale comme s’en doutait déjà Spartak mais qui par obéissance et principe allait jusqu’au bout de son travail. Il allait en finir avec cet intrus sans charisme, sans volonté, sans force de vaincre. Il allait, comme il en a souvent fait, prendre la vie d’un énième homme durant cet exercice préliminaire fastidieux puis soudain …

 

Alors qu’un silence de mort régnait en maître quelques secondes plus tôt, le corps de Hägel commença à trembler fortement. Ses pupilles commençaient à gigoter de partout et ses dents claquaient durement. Il était comme dans un état critique à la rupture du décès. Puis, après ces quelques secondes d’intenses vibrations, le pauvre homme tomba par terre dans un sommeil assurément profond.

Cette fin était attendue par Spartak depuis le début mais il était comme perplexe devant ce surprenant état. Il regardait alors une dernière fois Catania comme pour se souvenir de cet être faible qui le répugne au plus haut point quand tout à coup …

 

« CAT… !!!!!!!!!!! »

 

 

 

 

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Bon chapitre !

 

L'enfer de Hagel continue !

 

On connait finalement son nom et prénom, il semble venir d'un pays pas commun vu son style de nom. On découvre aussi durant ce chapitre peut être le meilleur guerrier de Madiadus, qui est Crimaeus, ce dernier semble appartenir à une espèce non-humaine, je suppose que c'est une des premières espèces qu'on découvre dans ton univers, reste à connaitre le nom de son peuple et leur particularité.

 

Quand Hagel, on le fait souffrir son maître ne rigole du tout pas, avec lui. Il n'en a que faire des faibles et lâches, lui ne veut que des hommes et futur machines de guerre, mais le pauvre Hagel en est encore loin de ce stade...Cependant je pense qu'à force, il sera brisé mentalement et deviendra aussi un guerrier ne connaissant ni la peur et la douleur.

 

A la fin, on remarque que notre héros, semble avoir réussi à éveiller son essence avant l'échéance finale, mais ce qui suit après est intriguant...Hagel a changé de personnalité ? Ca serait pas impossible, que l'éveil de son essence l'aide à se réfugier à travers une seconde personnalité qui l'aidera à supporter cet enfer, en étant complètement démentiel :P.

 

Bref j'attends la suite !

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Ah oui, quand même !

Le pauvre Hägel a mangé bien sévère !

 

C'est sûrement le mec le plus humain vu pour l'instant. Pas de force, pas d'honneur, visiblement pas de but spécial à part rester en vie ... Il est vraiment tomber dans le pire enfer possible ! Sans compter les mutilations forcés et le future entraînement spartiate. Et bien sûr, son maître est un crétin pourri. What else  ? 9_9

 

Par contre, son éveil à l'essence va-t-il le changer pour en faire une machine de guerre ?

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Bon chapitre !

 

Mercii !

 

L'enfer de Hagel continue !

 

On connait finalement son nom et prénom, il semble venir d'un pays pas commun vu son style de nom. On découvre aussi durant ce chapitre peut être le meilleur guerrier de Madiadus, qui est Crimaeus, ce dernier semble appartenir à une espèce non-humaine, je suppose que c'est une des premières espèces qu'on découvre dans ton univers, reste à connaitre le nom de son peuple et leur particularité.

 

Hägel ne vient pas de romo ou de ses environs mais de bien plus loin en effet. Pour Crimaeus c'est exactement ce que tu dis, une espèce différente des humains ordinaires et on apprendra à le découvrir lors des prochains chapitres.

 

Quand Hagel, on le fait souffrir son maître ne rigole du tout pas, avec lui. Il n'en a que faire des faibles et lâches, lui ne veut que des hommes et futur machines de guerre, mais le pauvre Hagel en est encore loin de ce stade...Cependant je pense qu'à force, il sera brisé mentalement et deviendra aussi un guerrier ne connaissant ni la peur et la douleur.

 

C'est plausible. Mais il est vrai qu'il n'a pas l'âme d'un combattant, essentiel s'il veut survivre au colilsé.

 

A la fin, on remarque que notre héros, semble avoir réussi à éveiller son essence avant l'échéance finale, mais ce qui suit après est intriguant...Hagel a changé de personnalité ? Ca serait pas impossible, que l'éveil de son essence l'aide à se réfugier à travers une seconde personnalité qui l'aidera à supporter cet enfer, en étant complètement démentiel :P.

 

:D Non non ! Pas de seconde personnalité. Il s'est juste souvenu de quelque chose d'important à réaliser ce qui la maintenu en vie et fait découvrir son essence.

 

Bref j'attends la suite !

 

 

Ah oui, quand même !

Le pauvre Hägel a mangé bien sévère !

 

Oui je le martyrise, j'aime ça.

 

C'est sûrement le mec le plus humain vu pour l'instant. Pas de force, pas d'honneur, visiblement pas de but spécial à part rester en vie ... Il est vraiment tomber dans le pire enfer possible ! Sans compter les mutilations forcés et le future entraînement spartiate. Et bien sûr, son maître est un crétin pourri. What else  ? 9_9

 

Nespresso ?

C'est sans aucun doute le personnage qui souffre le plus dans ceux que j'ai montré et c'est pas par hasard.

 

Par contre, son éveil à l'essence va-t-il le changer pour en faire une machine de guerre ?

 

Un dur entrainement l'attend !!

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Chapitre intéressant parce que l'on ne sait pas où tu vas nous emmener avec Hägel, et qu'à chaque fois, il est au bord du gouffre, prêt à crever.

Le côté barbare des gladiateurs est bien mis par écrit, ils ne recule pas devant la douleur physique. Forcément en côtoyant ses brutes épaisses, cet étranger va être complètement modelé, il ne sera plus le même. Pour avoir un tel désir de vivre, Hägel doit bien avoir un but qui lui est cher, il me semble que tu le sous-entend.

On a en outre un lien avec tout le reste de l'univers, à Romo aussi on manipule l'essence vitale. Les meilleurs gladiateurs doivent très bien s'en servir, Crimaeus par exemple. 

 

 

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Chapitre intéressant parce que l'on ne sait pas où tu vas nous emmener avec Hägel, et qu'à chaque fois, il est au bord du gouffre, prêt à crever.

 

J'ai envie de croire que à cette époque et quand on est gladiateur, notre vie ne tient qu'à un fil ! Il a beaucoup de chances certainement de s'en sortir face à des situations pourtant mortelles et cette chance va peut être l'aider.

 

Le côté barbare des gladiateurs est bien mis par écrit, ils ne recule pas devant la douleur physique. Forcément en côtoyant ses brutes épaisses, cet étranger va être complètement modelé, il ne sera plus le même. Pour avoir un tel désir de vivre, Hägel doit bien avoir un but qui lui est cher, il me semble que tu le sous-entend.

 

Oui, il a un objectif comme tous les autres personnages. Malheureusement, je n'en parlerais pas avant quelques temps.

 

On a en outre un lien avec tout le reste de l'univers, à Romo aussi on manipule l'essence vitale. Les meilleurs gladiateurs doivent très bien s'en servir, Crimaeus par exemple.

 

Oui, un des rares pays hors Prima où plusieurs de ses habitants maîtrisent l'essence. En fait ça se limite beaucoup aux gladiateurs.

 

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                                                                                                                Change 19 : 801

 

 

La famille Madiadus était célèbre dans tout le pays pour une raison bien précise. Ce fut en raison de Babiatus Madiadus, un ancêtre de la famille qui avait réussit à se faire un nom dans Romo grâce à son premier esclave et gladiateur. En effet, celui qui fut connu sous le nom de Gladus triompha de tous ses combats à l’arène en enchainant un total de sept cent soixante dix-sept victoires en autant de combat. Il est à ce jour le meilleur gladiateur de toute l’histoire de Romo.

 

« CAT !!!!!!!!!!!!! »

 

Incroyable !!

 

Cette résurrection venue de nulle part, ce soudain revirement de situation inattendue surprit Spartak comme rarement. En effet, celui qu’il pensait encore mort était en train de crier de toutes ses forces ce mot étrange comme s’il venait tout juste de sortir d’un cauchemar. Il était comme revenu à la vie par la seule raison d’avoir échoué dans son but, comme s’il lui restait encore quelque chose à s’accrocher dans ce monde. Ses yeux étaient grands ouverts, comme conscient mais également ailleurs. Ce soudain rappel de ses rêves était comme plus fort que tout, il n’avait pas le droit de mourir maintenant ! De ce surprenant réveil une aura commençait à l’entourer, une énergie pressante et de couleur marron.

 

-Comment est-ce possible !? Se demanda Spartak.

 

Hägel tomba dans l’inconscience, épuisé par toutes ces péripéties qui avaient puisés dans ses plus profondes réserves d’énergies. Il fut transporté d’urgence dans l’atelier de soin où il fut prit en charge par un vieil homme cultivé. Durant plusieurs jours Hägel séjourna dans cette pièce remplit de livres de médecines et d’histoires de combats. Il récupéra ses forces pendant ce laps de temps où il ne fit la rencontre de personne et en profita pour penser et envisager l’avenir. Ce retour in extremis à la vie devait être un signe encourageant et motivant afin de persévérer dans sa quête, cela il en était conscient et il était prêt à faire les efforts pour.  Une fois son passage aux soins terminés il fut renvoyé dans sa cellule où il côtoyait d’autres gladiateurs peu bavards avec lui. Un petit matin il se fit embarquer comme ses compagnons de prison dans la grande cour d’entrainement. Tous s’étaient mirent en rang de plusieurs lignes en face de Spartak. Hägel avait suivi les autres et se tenaient bien droit en deuxième ligne. Il ne savait pas avec exactitude ce qui allait se passer pour lui dorénavant mais il en avait idée. Un entrainement dur allait se profiler à l’horizon pour lui où pour augmenter les gains de son maître il allait risquer sa vie et ôter celle d’un autre. N’allait pas croire un seul instant qu’il était d’accord avec ce traitement inhumain et qu’il s’y attacherait avec plaisir, non il était parfaitement contre ces combats, ces libertés restreintes et cette culture datant de l’antiquité qui n’avait pas su progresser avec le temps comme les autres îles. Chaque jour depuis son arrivé il pensait à fuir, chaque jour il ne pensait qu’à retrouver ce bonheur d’autrefois et aujourd’hui perdu, chaque jour il ne pensait qu’au passé radieux et à l’avenir qu’il voulait identique au passé. Chaque jour il n’avait qu’une idée en tête, accomplir ce pourquoi il avait quitté sa terre natale et entamé cet incroyable voyage. Cependant il était parfaitement conscient qu’à cet instant il n’avait aucune chance de semer ses ravisseurs et seul écouter les ordres lui donnaient un espoir de trouver une lumière dans ce chemin obscur.

Ce jour là c’était un entrainement physique à l’épée qui devait être réalisé. Étant un amateur dans le maniement d’arme il échoua lamentablement durant toute la journée face à ses partenaires subissant alors une multitudes de moqueries plus insultantes les unes que les autres. Une humiliation qui lui faisait du tort et qui blessait sa fierté mais il ne démontrait aucune rancunes à leur encontre. À vrai dire il n’avait pas forcément envie d’affronter d’autres hommes et surtout tuer. C’était un homme bon, pas forcément craintif mais qui cherchait à éviter tout affrontement. Un individu calme et réservé qui aimait la routine et la quiétude vouant une parfaite ataraxie. Se trouver au beau milieu d’épée et de poings était une totale contradiction à ses valeurs et à sa vie passée mais il effectuait l’entrainement avec vigueur et rigueur car il n’avait d’autres choix que celle imposée par Madiadus et Spartak. Cette sortie qu’il désirait tant ne pouvait qu’être obtenue qu’en suivant les ordres de ses supérieurs, la seule qui lui garantissait la vie et la seule qui pouvait lui permettre de s’échapper de ces murs de sangs.

 

Après des heures d’efforts et des litres de transpirations, ces hommes de combats eurent le repos mérité autour d’un déjeuner consistant. Un esclave tenait la cantine de la résidence et servait avec minutie les plats aux gladiateurs. Chacun avait une portion bien précise et Hägel se rendit compte que son assiette était bien moins remplit que d’autres. Il ne comprenait pas trop pour quelle raison mais sa nature timide l’incitait à ne pas poser de questions. Il chercha alors une place dans cette cantine étroite, trop pour autant de personnes. Ils étaient une vingtaine dans ce petit espace et les tables n’étaient pas assez grandes pour accueillir tout le monde. Il partit s’asseoir près d’un mur à l’écart des autres. Ils étaient particulièrement bruyant et n’arrêtaient pas de rigoler. Ils étaient comme des mômes qui s’amusaient à faire des choses que des enfants faisaient à l’âge de huit ans. L’un d’eux étaient à part en raison de son apparence troublante. Il ne semblait pas humain et pour cause il avait des oreilles triangulaires qui étaient reliées entre elles par deux liens sous le menton. Il semblait également être un leader dans le groupe et tous semblait le respecter.

Hägel se sentait comme un intrus dans la masse car au delà du physique et de l’apparence il apparaissait être le seul à ne pas apprécier sa situation, retenu prisonnier et éduqué comme un esclave. Il ne comprenait pas pourquoi aucun d’entre eux ne manifestait une rébellion alors qu’à eux tous et aussi bien formé il y avait de quoi retrouver la liberté. Il rêvait chaque instant que tous les gladiateurs se dressent contre leur maître et prennent d’assaut la résidence pour lui permettre de s’échapper de cet enfer mais ceci restait qu’une simple illusion qui n’était pas prêt d’intervenir d’après les grands sourires affichés de ces hommes.

 

Aussi étrange que cela puisse paraître et alors que jusqu’à présent aucun de ses compères ne lui avait adressé la parole depuis son arrivé un des leurs vint à la rencontre de Hägel. Il était de taille moyenne mais très bien sculpté. Un colosse qui avec de grosses lèvres et un gros nez. Il vint s’asseoir à coté de lui avec un sourire amical.

 

-Salut. Tu-tu-tu es Häg-Häg-Hägel c’est ça ? Demanda t-il.

 

Au premier contact il avait l’air d’être un homme sympathique et celle-ci était renforcée par sa façon de parler, pleines d’écorchures car il était atteint du bégaiement, un trouble de la parole que n’imaginait pas Catania dans cette structure. Quoi que à bien y réfléchir il s’était toujours fait à l’idée que des hommes aux grands muscles étaient souvent synonyme à personne au petit cerveau.

D’un geste de la tête il confirma cette question. Il n’était pas rassuré en ces lieux et avait peur de se faire violenté par les gladiateurs c’est pourquoi il restait muet.

 

-Je-je-je suis Tiendo Sturring, dit-il en tendant sa main vers Hägel.

 

Après un moment d’hésitation, le nouveau venu serra la main de son nouvel ami. Tiendo était sans aucun doute différent des autres personnes, il affichait régulièrement un large sourire qui faisait presque oublier son malheur et il dégageait une aura chaleureuse et accueillante qui ne pouvait pas être rejeté.

 

-Je-je-je viens de-de Cu-Cuta. Tu-tu-tu co-connais ?

 

Hägel répondit par la négative d’un balancement de la tête. Il n’avait aucune idée de quel endroit cela pouvait être.

 

-C’est une-une petite île de l’est. I-i-il y a les mei-meileurs crustacés du mon-monde là-là bas. Ma-ma famille est un-un spécialiste de la-la pêche de-de cru-crustacés.

 

Sans complexe, Tiendo racontait son histoire à Hägel qui écoutait pendant de longues minutes la vie passée de son nouveau compagnon. Il parlait beaucoup mais ce trait humain était agréable car cela faisait longtemps qu’il n’avait plus sentit la chaleur humaine au contraire il pensait être définitivement passé dans un monde où la seule loi était celle du plus fort et du plus puissant quitte à trainer dans la boue et le sang les plus faibles. Alors Hägel écoutait son ami, le seul qu’il comprenait dans sa misérable vie de prisonnier.

 

-Et toi-toi tu-tu viens d’où ? Co-comment tu-tu es arrivé i-ici ?

 

Cette fois il ne pouvait plus se contenter d’être muet pour répondre à la question. Cette question avait le mérite de faire appeler aux souvenirs récents mais ô combien lointain pour Hägel. Une histoire semé d’embuches qu’était prêt à raconter Hägel Catania.

 

Quelques jours plus tôt …

 

Sur une place de marché bondé de monde, un homme vêtu d’habits sales et mal entretenus déambulait dans les rues minces de la ville de Betambourg sur l’île Gameria, une terre situé à bonne distance de Prima.  Elle était animée et disposait de bâtiments à l’architecture récente bénéficiant très probablement de la richesse qu’offrait l’environnement et de sa position proche avec de grands autres pays. Les gens qui y habitaient étaient des gens de bon âge mais pas foncièrement cultivé laissant le soin à quelques hommes la direction de Gameria afin de renforcer l’économie et la sécurité de l’île. Cet homme qui cherchait à garder son visage caché sous sa capuche n’était autre que Hägel Catania. Il avait déjà une barbe grosse de quelques semaines et son ventre était déjà plat. Devant la nourriture proposée aux stands son appétit avait du mal à ne pas se faire entendre et il souhaitait plus que quiconque trouver remède à ce mal grandissant. Alors quand un des marchands jetait des fruits pourris un grand nombre de sans abris et sans sous sautèrent sur le trésor abandonné au milieu des déchets d’une ruelle sombre. C’était un véritable champ de bataille où chacun luttait pour sa pomme et dont quelques coups pouvaient fusés devant l’acharnement de certains. Hägel restait à l’écart des plus agressifs et allait à l’endroit où il y avait moins de problèmes. Cette stratégie était celle qui lui offrait le moins de ressources mais en contrepartie il évitait une altercation avec les autres, ce qu’il redoutait le plus en l’occurrence.

Quand il eut finit de chercher dans les poubelles ce qui pouvait rassasié son estomac il se rendit au port où il espérait trouver une embarcation pour l’amener à Prima. Gameria était le dernier point de passage pour Prima dans son voyage et ce simple fait d’avancer dans sa quête le motivait à persévérer dans cette voie. Malheureusement, il déchanta rapidement quand il vit sur tous les panneaux et toutes les affiches qu’aucun bateau n’allait en destination de Prima. Il avait la mine des mauvais jours, très surpris de cette nouvelle alors qu’il était sur que cette île offrait des transports vers le grand continent. Il partit voir un marin afin de demander davantage d’informations, pensait-il que ceci n’était que temporaire et que peut être de nouveaux voyages vers Prima seraient disponible mais ses désirs n’étaient qu’illusions et la réalisation de son objectif se compliquait sérieusement. Il partit voir alors tous les autres marins et ce malgré sa nature réserviste et alors qu’il n’était pas familier de l’initiative. Cependant, chacun d’entre eux disait exactement la même chose. Aucun bateau ne prendrait la mer vers sa destination et cela pour une raison très simple, c’était que c’était trop dangereux. Hägel n’arrivait pas y croire, si près de son but … Il commençait à désespérer, il était désemparé, en colère et triste, il ne supportait pas cet échec après tant de souffrances, luttant contre vents et marrés pour arriver jusqu’ici, il ne pouvait pas seulement abandonner à l’approche de sa destination. Face à ce destin cruel il prit une décision qu’il n’aurait jamais prit quelques mois auparavant, il allait tout simplement faire ce qu’il s’était interdit par fierté et par honneur à ses parents qui l’avaient éduqué de telle façon à respecter autrui. Mais ce jour là il n’avait d’autres solutions que de voler un petit bateau pour se rendre par lui même de l’autre coté de la mer. Ce vol il ne l’aurait jamais imaginé quelques semaines plus tôt, c’était un acte qui le faisait atrocement souffrir, comme si depuis cet instant Hägel Catania disparut pour laisser un nouvel homme dénué de valeurs le remplacer. Il avait presque du mal à assurer son geste se posant une multitude de questions à son sujet.

 

« Est ce que j’ai changé ? Est ce que je fais le bon choix ? Que penseraient ceux qui me connaissent ? Qui suis-je ? ».

 

Après une recherche rapide, il trouva un petit voilier dont il s’assurait que personne n’y était. Il leva l’ancre et sortit les voiles afin de commencer son périple en mer mais il eut la désagréable surprise d’être interrompu par un homme qui se jeta férocement sur lui par derrière. Le marin, qui était le propriétaire du bateau donna quelques légers coups au voleur avant de cesser quand il aperçut que ce dernier ne ripostait pas.

 

-Qu’est ce que tu faisais avec mon voilier vieil homme !!?

-Pardon … pardon … pleura Hägel qui expulsa alors toute son émotion répétant sans cesse la même chose « pardon, pardon, pardon ».

 

Sensible et honnête Hägel n’avait pas la force de retenir ses larmes et ses émotions, en vérité il était humilié et il savait mieux que quiconque que ce qu’il faisait était impardonnable mais il savait aussi qu’il était obligé de le faire, seulement obliger à le faire …

 

-Où est ce que tu comptais aller comme ça hein ?

-S’il vous plait ! Aidez moi !! Aidez moi !!! Accrocha t-il de toutes ses forces les deux bras de l’homme afin d’implorer son aide.

-Pourquoi est ce que tu pleures ? Arrête c’est bon je vais pas te faire de mal.

-Aidez moi je vous en prie !!

 

L’homme ne comprenait pas le voleur qui pleurait toutes ses larmes et ses interrogations prirent fin quand Hägel avoua la raison de ce geste.

 

-Aidez moi à rejoindre Prima ! Je vous en prie …

-Tu veux rejoindre Prima ? Toi ? Est ce que tu es fou ? Est ce que tu es au courant de ce qui t’attends la bas si tu y mets un pied ?

-S’il vous plait ! Emmenez moi juste là bas. Je ne vous demande rien d’autre.

-J’ai pas envie de risquer ma vie moi. On raconte que tout ceux qui se sont embarqué vers Prima ne sont jamais revenus. Je ne veux pas être le prochain.

-Je vous en prie, je vous donnerais tout ce que vous voulez, je ferais tout ce que vous voudrez mais s’il vous plait, emmenez moi à PRIMA !!!!!

 

Devant cette détermination et ces pleurs le marin faiblit et réfléchit plusieurs secondes. Cet homme qui insistait pour rejoindre le grand continent ne l’avait pas laissé insensible et par compassion il finit par céder.

 

-Ok, c’est bon je t’y emmène mais arrête de pleurer.

 

Hägel retrouvait enfin le sourire, il reprenait espoir dans la conquête de son rêve. Il remercia mille fois son sauveur et l’aida à démarrer le bateau. Pour les besoins du voyage, le marin lui demanda de rester dans la soute afin de ne pas attirer l’attention car les traversées étaient réglementées dans les cotes de Gameria.

De plus le risque était encore plus grand car la nuit tombait sur les îles et la navigation était donc plus difficile.

Après deux heures de voyage Hägel entendit des cris venir du pont, au dessus de lui. Il commençait à stresser puis se souvint de ce qui lui avait dit le capitaine, de rester silencieux.

Il exécuta. Ce silence lui permit d’entendre et d’écouter ce qui se disait sur le pont et sa surprise fut grande quand il apprit ce qui se tramait au dessus de lui.

 

-Tu nous a amené des gens ?

-Il y en a un en bas.

 

Puis Hägel entendit de grands pas déterminés sur le pont s’amenaient vers la cale, là où se réfugiait Catania.

 

-Eh ! Attendez !! Mon argent.

 

Des bruits de pièces se firent entendre et l’instant d’après des soldats de Romo entrèrent sauvagement pour prendre de force Hägel qui se débattait comme il pouvait mais c’était en vain, il venait d’être trahit par celui qui lui avait vendu du rêve, il venait de se vendre lui même aux infâmes soldats de Romo !

 

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Bon chapitre !

 

La vie de gladiateur de Hagel continue. Tu restes mystérieux, sur la soudaine reprise de volonté d'Hagel, mais vu sa réaction, ce but qui l'anime doit être fort. Je me demande bien ce que c'est ?

 

Depuis cela, il s'intègre légèrement mieux à sa nouvelle vie, et se fait même un nouveau compagnon. Il se peut qu'il devienne son futur adversaire de combat :P.

 

Tu nous as aussi montré comment le pauvre Hagel s'en est retrouvé ici. À cause d'un grand connard... Mais encore une fois sa volonté d'aller à Prima est forte.

 

Décidément ils veulent tous y aller, Prima c'est le one piece, ou le pays de tous les rêves et espoirs lol.

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Hägel continu sa petite vie d'étudient gladiateur, et a la chance de se faire un copain (visiblement pas très malin).

 

Et on a enfin une partie du passé du pauvre homme. Et bien spur, comme les deux autre il veut aller à Prima. Mais en quoi un monde meurtrier et plein de danger peut-il donner aussi envie ? 9_9

Je remarque aussi qu'Hägal n'est pas super malin lui non plus ... au lieu de voler, pourquoi ne pas simplement aller voire à une autre île, comme celles où étaient Jiokin et Caméo ? :P Certes c'est un peu plus long, mais ça lui aurait évité bien des ennuis.

Il est aussi bien naïf de croire qu'en faisant le pauvre petit bonhomme, un mec qu'il venait d'essayer de voler accepterait de l'aider.

 

Bref, pas malin le Hägal ! ;D

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Chapitre vraiment bon !

 

Hägel est loin du combattant sanguinaire qu'il doit être, mais cette aura marron lui aura sauvé la vie. Tiendo apparaît, et il a l'air vraiment sympa, chaleureux. Pour un gladiateur c'est plus que bizarre. Il m'a fait tout de suite penser dans son approche amicale à Booba dans Forest Gump, avec en plus le rapport crevettes/crustacés.

 

On a en plus la suite des événements qui l'ont conduit dans la gueule du loup Romo. Son but est toujours caché, mais comme pour Jiokin, il se peut que les objectifs flous soient d'une importance capitale. Surtout que je sais pas du tout ce qui pourrait motiver à ce point Hägel, il nous manque une partie de sa vie avant celle de débauche. 

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Bon chapitre !

 

Merci

 

La vie de gladiateur de Hagel continue. Tu restes mystérieux, sur la soudaine reprise de volonté d'Hagel, mais vu sa réaction, ce but qui l'anime doit être fort. Je me demande bien ce que c'est ?

 

C'est un mystère  :-X

 

Depuis cela, il s'intègre légèrement mieux à sa nouvelle vie, et se fait même un nouveau compagnon. Il se peut qu'il devienne son futur adversaire de combat :P.

 

Ah ouais ! pas bête ça. Il va y avoir des combats pour Hägel, en tout cas au moins 1. Contre qui ? Hum ..

 

Tu nous as aussi montré comment le pauvre Hagel s'en est retrouvé ici. À cause d'un grand connard... Mais encore une fois sa volonté d'aller à Prima est forte.

 

Eh oui ! monde atroce où l'argent fait loi. Être trahit est chose commune dans le monde et c'est aussi vrai dans ma fiction  ;)

 

Décidément ils veulent tous y aller, Prima c'est le one piece, ou le pays de tous les rêves et espoirs lol.

 

Tu m'as bien fais rire avec ta phrase. C'est vrai qu'on peut dire ça comme ça. Ils veulent tous aller là bas mais peut être pas pour les mêmes raisons.Ou peut être que si.  :P

 

 

Hägel continu sa petite vie d'étudient gladiateur, et a la chance de se faire un copain (visiblement pas très malin).

 

Quel jugement hâtif ! Tu mérite la sentence suprême !!

 

Et on a enfin une partie du passé du pauvre homme. Et bien spur, comme les deux autre il veut aller à Prima. Mais en quoi un monde meurtrier et plein de danger peut-il donner aussi envie ? 9_9

 

C'est une bonne question Foene. Par contre peut être que j'exagère un peu mais Prima n'est pas qu'un monde de danger.

 

Je remarque aussi qu'Hägal n'est pas super malin lui non plus ... au lieu de voler, pourquoi ne pas simplement aller voire à une autre île, comme celles où étaient Jiokin et Caméo ? :P Certes c'est un peu plus long, mais ça lui aurait évité bien des ennuis.

Il est aussi bien naïf de croire qu'en faisant le pauvre petit bonhomme, un mec qu'il venait d'essayer de voler accepterait de l'aider.

 

Pour le coup non. Il est à l'extrême est de la mer du sud quand Jiokin et Caméo par exemple sont à l'extrême ouest presque. C'est comme te dire que le premier est en inde et les autres en amérique du sud. Pas d'avions ou de bateaux super rapides :)

 

Bref, pas malin le Hägal ! ;D

 

Ce n'est pas le gars super malin mais il est pas con non plus ^^

 

Chapitre vraiment bon !

 

Merci !

 

Hägel est loin du combattant sanguinaire qu'il doit être, mais cette aura marron lui aura sauvé la vie. Tiendo apparaît, et il a l'air vraiment sympa, chaleureux. Pour un gladiateur c'est plus que bizarre. Il m'a fait tout de suite penser dans son approche amicale à Booba dans Forest Gump, avec en plus le rapport crevettes/crustacés.

 

Oui bah d'ailleurs tu peux comparer Tiendo et Booba. C'est pas mal ça. La relation qu'il aura avec Tiendo sera particulière et unique dans son parcours et j'espère bien la décrire.

 

On a en plus la suite des événements qui l'ont conduit dans la gueule du loup Romo. Son but est toujours caché, mais comme pour Jiokin, il se peut que les objectifs flous soient d'une importance capitale. Surtout que je sais pas du tout ce qui pourrait motiver à ce point Hägel, il nous manque une partie de sa vie avant celle de débauche. 

 

Oui ! C'est pour ça que j'aime bien mettre des flashback courts avant ou après l'évènement qui basculera leur vie. Ça décrit davantage le personnage et maintient le suspens et le mystère tout autour également.

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Change The World

                                                                                                                        Change 20 : 777

 

 

Il existe cinq différentes classes dans la société de Romo. La première et la plus influente se compose des personnes membres de l’assemblée du pays. Ce sont les personnes qui décident des directions que doit prendre la nation et qui ont tout les pouvoirs. Les nobles du pays, ceux qui ont de l’argent et des ateliers de grandes influences composent la seconde classe. La troisième est associée aux soldats de Romo. La quatrième, celle qui comporte le plus grand nombre appartient aux habitants de l’île mais qui n’ont pas de propriétés et de biens. Enfin la dernière est assemblée d’esclaves. Seuls les membres des deux premières classent peuvent disposer d’esclaves.

 

Spartak entra sauvagement dans la pièce où déjeunaient les gladiateurs. Il avait la mine d’un homme irrité, visiblement furieux contre ses hommes.

 

-Qu’est ce que vous faites encore là ! Bougez vos fesses de là et rendez vous immédiatement dans la cour.

 

Personne n’osait contester les ordres de Spartak et ce fut dans un silence de mort que tous partirent s’entrainer à nouveau à l’exception d’un privilégié qui continuait de manger à table comme si de rien n’était. Cette personne fut vite rejointe par Spartak dont l’expression du visage avait changé suite à cette rencontre.

 

-Crimaeus !

 

Les deux hommes se saluèrent vigoureusement avec un sourire et un plaisir sincère de se retrouver. Jamais jusqu’ici Spartak n’avait démontré une attitude aussi amicale.

 

-On m’a raconté ton affrontement à l’arène. Il paraît que tu as terminé le combat en moins de sept secondes, dit-il émerveillé.

 

-Ils ne savent pas compter. En six secondes j’avais eu le temps de couper sa tête et l’offrir à la foule.

 

Tout deux se mirent à rire. Ils se vouaient une véritable admiration l’un pour l’autre et un respect unique. Il était difficile de décrire l’origine de cette amitié alors que ces deux hommes paraissaient solitaires et insociables. Toutefois certains considéraient que leur caractère presque commun pouvait justement être la cause de ce lien.

 

-Tu es prêt pour le grand combat. J’ai hâte de voir ton triomphe et voir notre maison retrouver les sommets de Romo.

-Je ne te décevrais pas Spartak.

 

Dans la cour l’entraînement avait repris avec des combats au corps à corps dans une atmosphère travailleuse et rigoureuse. Hägel poursuivit ses exercices avec son nouvel ami, le dénommé Tiendo Sturring. Ce dernier était très compatissant et empathique et n’allait pas à fond à l’encontre de son compagnon qu’il jugeait fragile mais cette gentillesse n’était pas du goût de Spartak qui en arrivant trouvait cela pathétique.

Il interrompu sans un mot le duel que se prêtait les deux hommes en poussant sur le coté Tiendo faisant alors face à Hägel qui restait perplexe.

 

-Viens ! Dit Spartak.

 

Ce mot sortis de Spartak était difficile à cerner pour Catania qui ne savait pas quoi faire. Provocation ou ordre ? L’hésitation prit le contrôle de son corps et de son esprit. Des questions par dizaines s’invitaient dans ses pensées et lui torturaient l’esprit comme s’il devait résoudre un casse tête extrêmement complexe. Pourtant il n’était ni mathématicien ni physicien, il était seulement un homme perdu dans un milieu irréel, un milieu à l’extérieur du monde, de son monde. Mais à force de s’interroger sur ce qu’il devait faire, il épuisait la patience de Spartak alors il couru tête baissée sur son adversaire sachant pertinemment que ses chances de victoires étaient nulles mais qu’importe, il ne devait pas faire l’impasse sur le commandement de Spartak, la peur de souffrir était omniprésente.

Le haut de son crâne percuta le ventre de Spartak qui restait stoïque face à cette attaque minable. Il prit par les cheveux Hägel et le souleva avant de le tenir bien fermement à la gorge. Le nouveau n’avait plus pied à terre et il ne pouvait plus respirer. Il essayait désespérément de s’échapper de cette étreinte féroce qui lui coupait tout souffle de vie mais cette libération vint de la part de Spartak qui le jeta sans effort contre terre.

 

-Ridicule. Ta vie … ta vie ne tient qu’à un combat, celui que tu devras effectué dans dix-sept jours.

 

Sur ces mots Spartak sortit de la cour pour rejoindre la villa tandis que Crimaeus arrivait avec détermination et charisme sur les lieux. Sa prestance était immense et sa puissance parvenait jusque chez les gladiateurs qui immanquablement devaient interrompre leurs efforts. L’aura que dégageait Crimaeus était clairement visible à Hägel qui ne comprenait pas d’où venait cette teinte grise.

 

-Ouvrez la grande cour, dit Crimaeus.

 

Dans la villa Madiadus discutait avec son fidèle bras droit jusqu’à l’intervention de Spartak qui se courba en guise de respect à son maître.

 

-Qu’est ce qu’il y a Spartak dit Madiadus qui se déplaça vers la salle de repos.

-C’est au sujet de Hägel Catania, dit le guerrier qui suivit son supérieur.

-Qui est Hägel Catania ?

-Eh bien c’est le nouveau gladiateur, dit-il surpris que son maître ne connaisse pas son nom.

-Qu’est ce qui se passe avec lui, demanda t-il en prenant un raisin avant de s’asseoir.

-Il n’a pas les capacités pour triompher des combats dans l’arène. Il ne dispose pas d’un physique suffisant pour faire face à quoi que ce soit.

-Je croyais qu’il avait découvert son essence.

-En effet mais …

-Alors quel est le problème ? Les gladiateurs ne se battent pas qu’avec des muscles mais aussi avec leur magie vitale.

-Oui l’essence est importante mais …

-Alors apprend lui à développer ses capacités.

-C’est ce que je souhaitais vous dire. Sans capacité physique il ne peut pas …

-Écoute Spartak. Je ne t’ai pas engagé pour te plaindre mais pour entrainer les esclaves. Tu as été recueilli par mon père alors que tu n’étais qu’un bébé et aujourd’hui tu es un des meilleurs gladiateurs du pays. Ce que j’attends de toi c’est de faire de ces esclaves dont ce Hägel Catania un gladiateur qui peut triompher des affrontements, c’est tout.

 

Madiadus se rendit dans sa chambre où l’attendaient quelques hommes bien vêtus et avant de refermer la porte Madiadus adressa un dernier mot à son esclave.

 

-Apprend lui l’art du combat et de la transformation de l’essence. Je ne veux pas perdre un esclave inutilement.

 

Hägel fut impressionné de voir qu’une énorme cour était présente derrière. Elle faisait la taille du colisée du pays avec les tribunes en moins. Tout était présent. Les parois, le sable … en réalité ils avaient une parfaite copie du théâtre des combats pour un maximum de réussite. Cependant Hägel n’était pas au bout de ses surprises quand il aperçut que les gladiateurs faisaient usage d’auras multiples et surtout de techniques sortant de l’ordinaire rendant les affrontements encore plus spectaculaires et dangereux !

 

-Qu’est.. ce que .. ?

 

Soudain il se fit surprendre par Spartak qui l’appela avec autorité. Hägel se retourna et s’enferma dans un mutisme prêt à écouter les ordres.

 

-Nous allons passer à la vitesse supérieure. Je vais t’enseigner l’art de la transformation d’essence.

Si tu arrives à maîtriser ce magicis, tu pourras peut être sortir vainqueur de ton prochain combat.

 

Hägel ne comprenait rien de ce que lui racontait Spartak. Comme la première fois, son professeur ne se montrait pas très efficace dans la pédagogie et suivre les instructions sans des explications précises ne l’aidait pas à progresser et accomplir ce qu’on attendait de lui.

Toutefois, et ce pour la première fois, Spartak changea sa manière d’expliquer les choses afin de maximiser les chances de réussite du nouveau.

 

-Écoute moi bien parce que je ne répéterais pas deux fois la même chose.

 

Il existe cinq magicis courants qui sont des arts de manipulation de l’essence. L’expulsion, l’émotion, la prémonition, l’intuition et la transformation. En temps normal tu aurais appris l’expulsion en premier mais ici les gladiateurs n’ont pas le temps car la vie ne tient qu’à un fil.

La transformation est un art complexe mais ô combien important dans les affrontements car à haut niveau il est celui qui fait gagner. Elle permet d’utiliser l’essence et la transformer en puissantes techniques. Tu as du remarquer depuis ton éveil que tu étais capable de voir les auras autour des personnes, tu as pu observer que chaque individu a une couleur associée. Eh bien cette couleur est la manifestation de ton essence et de son élément dominateur.

 

Chaque personne dispose de l’essence et la magie vitale est un mélange de sept éléments :

 

• Le feu (rouge)

• L’eau (bleu)

• La terre (marron)

• Le ciel (violet)

• Le vent (gris)

• Le métal (métal)

• Le bois (vert)

 

Chacun de nous dispose de ces sept éléments seulement nous n’avons pas le même pourcentage de ces éléments dans notre essence. Ainsi pour ma part mon élément dominant est le feu symbolisé par la couleur rouge et toi ton élément dominant est la terre caractérisée par la couleur marron. Toutefois cela ne veut pas dire que je ne suis pas capable d’utiliser les autres éléments. En théorie tout le monde peut utiliser chacun des éléments mais cela demande effort et talent ce que je doute que ce soit des choses dont tu sois capable.

Pour faire simple, tu dois imaginer un immeuble de plusieurs étages.

Le rez-de-chaussée est ton élément dominateur, celui qu’on appelle la base. C’est celui qui t’es le plus naturel et dont tu auras le plus de facilité pour le manier. Le premier étage appelé phase est un complément important à ta base, il sera le second élément que tu maîtriseras le mieux après ta base. Plus tu montes en étage et moins tu maîtriseras les autres éléments.

Chacun de nous à son propre immeuble avec un ordre précis qu’on peut connaître qu’en mélangeant sa magie vitale à de l’essence de cascades vitales, la plus pure qui soit. Comme un arc en ciel, il te donne l’ordre de maîtrise de chacun des éléments. Cette étape tu la passeras plus tard car le plus important aujourd’hui est de t’apprendre à utiliser ta base, la terre.

 

Il y a encore plein de choses que tu dois connaître à propos de l’essence et du magicis de la transformation mais une des choses importantes à savoir c’est que pour créer une technique avec un élément cela demande trois choses. Une combinaison aussi appelée chiffrement. Cela est primordial est unique à chaque technique. C’est comme une clé nécessaire pour débloquer la technique et qui est un calcul complexe de l’élément que tu essayes de transformer. La deuxième chose c’est que pour maîtriser parfaitement une seule technique cela peut demander parfois des décennies alors ne va pas croire que tu pourras maîtriser à la perfection dix techniques. La troisième chose c’est que chaque technique consomme ton essence et que plus tu l’utilises en quantité dans tes techniques plus ces dernières voient leurs forces croître. Toutefois tu prends le risque de perdre son équilibre et donc échouer dans ta tentative de transformation.

 

Cela fait beaucoup d’informations à emmagasiner mais je ne te demande pas de tout comprendre. Ce que je veux c’est que tu maîtrises la première technique que je vais t’enseigner. Par chance, ma phase est l’élément terre et il va de soit que je disposes de techniques en rapport avec.

 

Hägel Catania, prépares toi à t’entrainer nuits et jours car notre futur en dépend et en cela, nous ne pouvons pas échouer !

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Bon chapitre !

 

On continue à suivre Hagel en tant que futur gladiateur.

 

Dans ce chapitre, on remarque qu'entre Crimaeus et Spartak semble lié d'une forte amitié, ça ne me surprendrais pas qu'ils étaient maître et élève avant, mais je dirai plus rivaux et qu'un c'est tourné vers les combats dans les arènes et l'autre est devenu professeur de combats.

 

Madiadus lui n'importe que peu d'attention à ses esclaves, ce qui compte pour lui c'est qu'il devienne juste de bon gladiateurs...Il en paiera le prix tôt ou tard.

 

Tu nous dévoile aussi, un peu plus le système de l'essence et comme je m'en doutais, chaque couleur d'aura est lié à un élément, ce n'était pas difficile d'y voir cela, bien que je m'attendais à autre chose, en tout cas j'ai bien aimé la façon dont tu as expliqué, comment atteindre chaque palier des éléments.

 

Hagel maîtrise donc la terre 8), Jiokin le feu 8) et Caméo l'eau si je me trompe pas. Ça présage déjà le fait qu'on aura droit à des personnages maîtrisant tous les éléments, et de plus avec la fusion de chaque élément, ça en donnera d'autre :P.

 

Bref j'attends la suite !

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