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CTW : Change The World


Quintessence
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Bon, Hägel Catania est vraiment pris de cours par les événements, obligé de se plier aux exigences de Spartak. En plus il est obligé d'accélérer sa formation pour se concentrer sur l'essence et sa première nature, la terre. On a eu magicis, mais en plus on a des explications sur les couleurs des auras.

 

Madiadus a bien une attitude de noble qui laisse à d'autres le soin de bosser à sa place. Il n'a vraiment aucune considération envers ses hommes. Heureusement pour lui que Spartak était fidèle à son père.

 

En terme d'aura et de nature d'essence, on fait rapidement le lien avec Jiokin et Caméo, ils seraient pour l'un le feu et pour l'autre l'eau. Crimaeus arriverait à manipuler le vent. Plus on avance dans les péripéties du Catania, plus je me demande comment il va survivre. Est-ce qu'il prendra aussi du muscle en 17 jours ? La formation va être rude, ça c'est sûr. 

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Bon chapitre !

 

Merci !

 

On continue à suivre Hagel en tant que futur gladiateur.

 

Dans ce chapitre, on remarque qu'entre Crimaeus et Spartak semble lié d'une forte amitié, ça ne me surprendrais pas qu'ils étaient maître et élève avant, mais je dirai plus rivaux et qu'un c'est tourné vers les combats dans les arènes et l'autre est devenu professeur de combats.

 

En fait Spartak apprécie beaucoup Crimaeus parce que c'est un grand gladiateur capable de faire de grandes choses. Il est fier de lui

 

Madiadus lui n'importe que peu d'attention à ses esclaves, ce qui compte pour lui c'est qu'il devienne juste de bon gladiateurs...Il en paiera le prix tôt ou tard.

 

Il a une affaire à tourner ! Quoi que tu penses il a en fait un grand intérêt à ses gladiateurs car c'est ce qui lui rapporte de l'argent donc il ne souhaite pas leur mort.

 

Tu nous dévoile aussi, un peu plus le système de l'essence et comme je m'en doutais, chaque couleur d'aura est lié à un élément, ce n'était pas difficile d'y voir cela, bien que je m'attendais à autre chose, en tout cas j'ai bien aimé la façon dont tu as expliqué, comment atteindre chaque palier des éléments.

 

Oui. J'avais dis à ce sujet que j'allais pas innover sur les combats mais il y a des éléments qui s'ajoutent comme le magicis. Et puis il y a autre chose qu'on découvrira très bientôt.

 

Hagel maîtrise donc la terre 8), Jiokin le feu 8) et Caméo l'eau si je me trompe pas. Ça présage déjà le fait qu'on aura droit à des personnages maîtrisant tous les éléments, et de plus avec la fusion de chaque élément, ça en donnera d'autre :P.

 

Alors non, à moins d'une erreur de ma part Caméo a une aura de couleur violet. Il est donc affilié au ciel.

 

Bref j'attends la suite !

 

C'est maintenant !

 

 

Bon, Hägel Catania est vraiment pris de cours par les événements, obligé de se plier aux exigences de Spartak. En plus il est obligé d'accélérer sa formation pour se concentrer sur l'essence et sa première nature, la terre. On a eu magicis, mais en plus on a des explications sur les couleurs des auras.

 

Les gladiateurs n'ont pas le temps en fait. Les combats les empêchent de progresser car peu arrivent à survivre de longues semaines dans l'arène.

 

Madiadus a bien une attitude de noble qui laisse à d'autres le soin de bosser à sa place. Il n'a vraiment aucune considération envers ses hommes. Heureusement pour lui que Spartak était fidèle à son père.

 

Madiadus c'est un bon dirigeant dans la mesure où il est plutôt malin même si en ce moment les affaires sont dures pour lui. Mais ce n'est pas dans son intérêt que ses hommes meurent c'est pourquoi il met toutes leurs chances de coté. Mais oui, il va pas pleurer si l'un d'eux meurt sauf si c'est Crimaeus ou Spartak.

 

En terme d'aura et de nature d'essence, on fait rapidement le lien avec Jiokin et Caméo, ils seraient pour l'un le feu et pour l'autre l'eau. Crimaeus arriverait à manipuler le vent. Plus on avance dans les péripéties du Catania, plus je me demande comment il va survivre. Est-ce qu'il prendra aussi du muscle en 17 jours ? La formation va être rude, ça c'est sûr. 

 

Non, Caméo est lié au ciel. Hägel n'est pas un super héros qui va devenir une référence dans l'arène en 17 jours. Il ne prendra pas beaucoup de muscles en 17 jours non plus  :D

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Change The World

                                                                                                                Change 21 : 760

 

 

L’essence dispose de sept éléments qui caractérisent le monde et dont tous sont équivalent en force cependant elles sont sujets aux mêmes avantages et faiblesses que peuvent l’être les éléments de la nature. Les techniques qui découlent de ces éléments sont appelées grâce un chiffrement unique puisant alors la magie vitale de l’individu pour les créer. L’art de la transformation est essentiel dans les combats mais peu de gens dans le monde savent en user.

 

Au colisée, le peuple de Romo était bruyant car impatient. Impatient de voir les acteurs entrés sur le terrain pour les impressionnés et les soulagés de cet horrible sentiment d’attente. Ils attendaient de voir un spectacle immense et unique, un feu d’artifice de sang et un scénario époustouflant comme en avait l’habitude d’offrir l’arène. Mais plus que tout, ils étaient impatient de voir Crimaeus et Spartak ensemble sur la même surface de combat car aujourd’hui ces deux là allaient combattre pour la maison Madiadus, ensemble dans un affrontement qui s’annonçait glorieux pour ces deux hommes mais périlleux pour d’autres dont un qui sentait son cœur battre tellement fort qu’il était obligé de tenir sa main contre sa chair de peur que son organe ne s’échappe. Armé seulement d’un glaive, il était horrifié par ce qui allait l’attendre sur le terrain de combat, lui qui n’avait plus mis les pieds là bas depuis plusieurs semaines. Hägel était envahit d’un stress important qui le paralysait presque. Il n’avait qu’une envie c’était de fuir, loin très loin ! Mais impossible. Piégé dans l’antre de l’enfer, il savait ce qu’il attendait si il osait ne serait-ce que faire un pas en arrière, les gardes étaient tous prêts à enfoncer leurs lances dans le cœur de ces esclaves sans importance car leur seule utilité était de pouvoir divertir le peuple.

 

« Bats toi pour ta vie ou meurs pour celle des autres »

 

Hägel commençait à imaginer ici ses derniers instants de vie dans ce monde, pressés d’en finir une bonne fois pour toute mais ce jour là comme les jours précédents un souvenir, des souvenirs venaient lui rappeler pourquoi il était ici, pourquoi il luttait, pourquoi il vivait. Impossible de fuir mais impossible de mourir. Hägel sentait tout de même avoir ses chances compte tenu du déroulement du combat car Spartak les avais briefés sur ce qu’ils allaient devoir affronter cet après-midi. Les gladiateurs de la maison Madiadus allaient affronter les gladiateurs d’une autre maison, celle des Pontius. Une maison redoutable selon les rumeurs mais dont Spartak n’en dit pas un mot, persuadé de gagner avec ou sans ses autres compagnons. Mais ce qui effrayait peut être davantage Hägel est que ce combat allait offrir un troisième camp neutre, des animaux sauvages venus de Prima. Cette simple chose suffisait pour effrayait Hägel qui se souvenait du loup cuirassier qui avait faillit le croquer.

 

Soudain, le soldat de Romo donna son aval pour que les gladiateurs entrent dans l’arène sous les cris du vil peuple venus jouir de ce qu’il espérait un moment inoubliable. Les noms de Crimaeus et Spartak résonnaient fortement dans les tribunes cassant les tympans de Hägel prit entre la peur et la fascination. Ils étaient une vingtaine à combattre ce jour là pour Madiadus qui semblait stressé par les enjeux alors que lui était à l’écart de tout danger de mort, là assis sur des sièges luxueux et pourvus de nourriture exquises. Le doigt sur la bouche, Madiadus s’enfermait dans un silence afin de ne rien échapper au combat, pris d’angoisse de perdre tout ce qu’il lui restait. Mais au fond de lui il était aussi confiant car il savait qu’avec Spartak et Crimaeus les chances de victoires étaient grandes pour ne pas dire infaillibles. L’entré des gladiateurs de Pontius se fit également sous les ovations des spectateurs appréciant grandement l’un d’eux au nom de Contus. Barbu et grand de plus de deux mètres il faisait peur à quiconque s’imaginait combattre contre lui. Pour Hägel il était hors de question de se mesurer à un tel homme, nul doute que pour lui c’était à Spartak de s’en défaire.

Puis, de grandes grilles se levèrent pour faire entrer à ce qui s’apparentais à des canidés mais rien à voir avec le loup cuirassier de la fois dernière car ici ils étaient plusieurs et plus petits mais non moins dangereux. Ils avaient un long museau et un regard de tueur, ils n’arrêtaient pas d’hurler et de glacer le sang des gladiateurs avec leurs yeux démoniaques. Leurs peaux lisses étaient noires tout comme leurs dents dont personne ne voulait approcher sans doute. Avec leurs pattes, ces bêtes cherchaient à avancer vers leurs proies mais toutefois retenus par des dizaines de soldats à l’aide de solides chaines. Pourtant, malgré leur nombre ils semblaient lutter pour ne pas céder et continuer à les garder en laisse.

 

Avant que le gong résonne, Tiendo vint à coté de Hägel pour lui adresser quelques mots.

 

-Hägel. Reste à-à-à coté de-de-de moi.

 

Cette aide venue de Tiendo ne pouvait être refusé, il était prêt à faire tout ce que lui disait son ami pour gagner sa vie sachant qu’il était le seul à le soutenir depuis ses débuts, le seul en qui il avait confiance.

 

Puis… le gong de départ sonna et lança alors le combat !!

 

Immédiatement les gladiateurs des deux camps se ruèrent entre eux criant de toutes leurs forces pour se donner du courage sur ce moment crucial. La course de chacun d’entre eux était forte et intense, glaive en main ils étaient prêts à égorger leurs ennemis quand tout à coup du sol jaillit un mur de terre venant stopper l’élan des Pontius. Les hommes de Madiadus traversèrent alors de tout leur poids la paroi pour surprendre leurs adversaires. Spartak et Crimaeus étaient les hommes de tête et donnaient l’exemple en coupant la tête de deux hommes du camp adverse et cela sans trop d’efforts. D’autres vinrent à leur rencontre mais tous se firent rejeter vers l’arrière, la force de ces deux puissants guerriers étaient sans communes mesures. Spartak frappa fortement sa paume de main contre terre faisant apparaître de multiples pylônes de terre qui firent soulever dans le ciel les hommes de mains de Pontius. Certains d’entre eux eurent le bon reflexe de sauter avant qu’il ne soit trop tard car arrivé à une certaine hauteur, les grands piliers se disloquèrent faisant des hommes suspendus à leurs bout des  oiseaux sans ailes.

Hägel était fasciné par les exploits de Spartak et voyait des choses qu’il n’aurait jamais imaginé dans un temps passé mais son admiration pour cet homme prit fin quand il vit arriver à pleine vitesse les bêtes féroces. Celles-ci se jetèrent sauvagement contre toute proie à portée de pattes, arrachant avec leurs dents la chaire dure de ces humains. Hägel suivait à la lettre le conseil de son ami Tiendo et restait à quelques mètres de lui. Il ne faisait qu’observer l’incroyable combat qu’était en train de se livrer ces guerriers devant faire face aux ennemis qui pouvaient arriver de tous les angles. Il ne pouvait pas tout suivre et se contentait de protéger l’arrière garde et avertit Tiendo dès qu’un ennemi s’approchait. Ce fut le cas quand une des bêtes s’élança rapidement à la rencontre de Hägel qui prévint Tiendo malheureusement occupé avec un gladiateur. Voyant que son protecteur était dans l’incapacité de faire quoi que ce soit, il s’éloigna de lui afin d’éviter l’animal mais se rendit compte rapidement que cela pouvait mettre en péril Tiendo. Il se saisit alors d’un caillou et le projeta vers la bête pour que celle-ci ne s’intéresse qu’à lui et le suive. Il ne savait pas pourquoi il fit cela car cette intervention qui ne lui ressemblait pas le mettait dorénavant en danger de mort, à la merci d’un prédateur sans sentiments. Victime de son geste, il se mit à courir de toutes ses forces à travers les duels qui s’entretenaient au milieu de la cour. Certains gladiateurs se firent propulsés violemment contre les parois par le canidé en colère. L’animal ne cherchait qu’à atteindre sa proie qui l’avait contrarié et ce fut presque fait compte tenu de sa vitesse de course mais au moment où le canidé pensait emporter dans sa gueule Hägel, un glaive vint perforer sa gorge qui coupa net son élan. C’était l’épée de Crimaeus car ce dernier vint rapidement plonger sur le cadavre de la bête pour récupérer son arme. Des pointes de flammes fusaient dans sa direction et grâce à son glaive il pu les contrer aisément. Cet être au physique étrange riposta alors avec un courroux que tout le monde reconnaissait. Il inspira un grand bol d’air qui fit amincir son ventre et grossir ses poumons et voilà qu’arriva la technique du géant de l’arène, celle qu’on appelait le big bang.

 

Un canon d’air de deux mètres de diamètre se dirigea à la vitesse du son  vers les guerriers de Pontius et les emportèrent dans le ciel avant d’exploser quelques mètres au dessus des gradins. Les spectateurs reçurent alors ce qu’ils étaient venu chercher, le sang des combattants qui tombaient au dessus de leurs têtes telle une pluie d’hiver.

Cette attaque impressionnante avait subjugué Hägel qui en perdit sa concentration. Un gladiateur ennemi arriva par son dos et fit traverser son épée dans le corps du malheureux Catania qui hurla de douleur. L’agresseur retira son glaive prêt à l’achever d’un coup mortel quand Hägel se souvint des dernières semaines d’exercices qu’il avait du enduré pour pouvoir être capable d’utiliser son élément. Il recouvra alors son corps de son essence qui vint comme une seconde peau sur lui et l’aida à perdurer sa vie. En effet le coup d’épée qui le toucha à nouveau ne lui fit aucun mal, comme s’il était muni d’une armure invisible …

 

« Écoutes moi bien, dit Spartak. Chaque élément à ses propres caractéristiques, ses forces et faiblesses mais tu dois savoir que quand ton aura te recouvre tu bénéficie de base d’une faculté. Ainsi le feu te rend brûlant pour quiconque essaye de toucher, l’eau fait mouillé, le vent fait souffler une brise, le ciel t’électrifie. Le bois, le métal et la terre te rendent plus dur comme ces matériaux. En te recouvrant de ta base la terre tu solidifies ton corps comme si tu portais une armure de pierre. Cependant ne crois pas que cela suffise pour te faire gagner les combats car face aux techniques d’éléments ces choses deviennent futiles car trop faibles par contre face à des armes conventionnelles elles te permettront de supporter des attaques le temps de quelques secondes … »

 

Ainsi donc Hägel supportait difficilement les attaques de plus en plus féroces de son ennemi et quand vint le moment de faillir, faiblit et épuisé du fait de la perte progressive de son essence, Tiendo vint le sauver une fois encore. Ce dernier coupa le bras qui portait l’épée avant de couper la jambe de son opposant. Puis il le finit en plantant son épée dans le front du gladiateur.

 

Il ne restait plus beaucoup d’ennemis sur le terrain tant la domination de la maison Madiadus était grande. Crimaeus avait éteint la quasi totalité des membres du camp adverse et ne s’arrêta pas à cet exploit et essaya d’atteindre le plus fort des Pontius, Contus. Ce dernier muni de son épée avait ôté la vie à une poignée de gladiateur depuis le départ de l’affrontement et il ne faisait preuve d’aucune pitié à leur égard. Il était le seul chez eux à savoir manier la transformation et l’expulsion, son élément était d’ailleurs puissant. Le feu qu’il créait brûlait les corps inanimé de ses victimes et quand vint l’heure du duel face à Crimaeus, Contus ne passa pas par quatre chemins et utilisa sa meilleure technique pour le tuer.

Il profita de la course de son adversaire pour lui envoyer un jet de flamme qui s’étendait jusqu’à dix mètres, assez pour toucher Crimaeus qui ne changeait guère sa trajectoire pour éviter l’assaut, au contraire il cherchait comme à s’entrechoquer avec elle. Toutefois, quelle fut la surprise des spectateurs quand ils aperçurent que Crimaeus aspira le jet de flamme dans bouche faisant disparaître alors tout signe de flamme sur le terrain. Son corps avait grossit depuis son inhalation. Il sauta alors en l’air faisant croire à son ennemis qu’il allait venait l’attaquer au corps à corps quand il ouvrit la bouche pour rejeter le vent qui retenait prisonnier le feu de Contus. En quelques millièmes de secondes, le souffle atteignit le dernier homme debout des Pontius qui mourut immanquablement faisant alors la maison Madiadus grande vainqueur de ce combat terrible.

 

La foule acclama les survivants et témoigna de son admiration pour ces gladiateurs impressionnants. L’ovation était énorme et venait comme récompense à ce pourquoi ils luttaient dans l’arène, pour la gloire … Une gloire qu’un seul refusait à accepter car son seul souhait résidait en tout autre chose, oui Hägel avait comprit une chose, c’est que s’il voulait atteindre son but il devait nécessairement passer par l’arène et atteindre ce que tout gladiateur souhaitait, la reconnaissance !

 

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C'est un bon chapitre !

 

Un nouveau spectacle au Colisée à lieu mais ce coup-ci nous avions Spartak et Crimaeus dans la team Madiadus face à une autre équipe tout aussi redoutable.

 

Devant la puissance des deux grands hommes de la maison Madiadus, Hagel ne pouvait que être admirateur et époustoufler par leur forces. Tu nous dévoiles, le maniement du pouvoir de chacun, même si c'est Crimaeus qui a le plus brillé avec ses techniques de vent, le feu de Contus n'a rien pu faire.

 

Hagel a aussi montré des progrès, même si il n'a tué aucun adversaire, il a réussi à survivre grâce à une maîtrise de son essence et de son aura de Terre, cependant il peut dire merci à son ami qui l'a sauvé à plusieurs reprises.

 

En tout cas, on peut dire une chose, une nouvelle volonté est né dans le coeur de notre héros. Maintenant il faut qu'il tienne jusqu'au bout. 

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Très bonne suite !

 

On passe directement à une bataille d'arène, nous voyons ainsi les minces progrès de Hägel. En terme de défense, il s'est montré plus costaud grâce à la terre. Que l'on passe soudainement de l'entrainement chez Madiadus à cette cruelle lutte dans ce Colisée m'a fait vraiment ressentir ce qu'est un gladiateur, un homme qui risque sa vie du jour au lendemain. Hägel n'est pas comme les autres, déjà il n'a pas suivi le même cursus. Il a directement été formé sur l'élément terre, ce qui va faire de lui un combattant atypique.

 

L'arène a été remplie de violence et de sang, c'est dans la veine de tout ce qui peut bien se passer dans ce lieu de divertissement.

 

Crimaeus s'est montré digne de son rang, et c'est vrai que si un pilier comme lui venait à disparaitre, la famille de Madiadus perdrait beaucoup de son prestige.

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C'est un bon chapitre !

 

Merci !

 

Un nouveau spectacle au Colisée à lieu mais ce coup-ci nous avions Spartak et Crimaeus dans la team Madiadus face à une autre équipe tout aussi redoutable.

 

Devant la puissance des deux grands hommes de la maison Madiadus, Hagel ne pouvait que être admirateur et époustoufler par leur forces. Tu nous dévoiles, le maniement du pouvoir de chacun, même si c'est Crimaeus qui a le plus brillé avec ses techniques de vent, le feu de Contus n'a rien pu faire.

 

Oui il y avait juste une différence de niveau criante entre les deux gladiateurs. De plus Crimaeus a quelque chose en plus que son adversaire et ses compagnons d'ailleurs non pas.

 

Hagel a aussi montré des progrès, même si il n'a tué aucun adversaire, il a réussi à survivre grâce à une maîtrise de son essence et de son aura de Terre, cependant il peut dire merci à son ami qui l'a sauvé à plusieurs reprises.

 

Je ne le voulais pas inutile mais je ne voulais pas en tant que héros dans cet affrontement. Heureusement pour lui que Crimaeus et Tiendo l'ont sauvé mais le deuxième peut le remercier également d'avoir éloigner la bête de son périmètre.

 

En tout cas, on peut dire une chose, une nouvelle volonté est né dans le coeur de notre héros. Maintenant il faut qu'il tienne jusqu'au bout.

 

Il faut qu'il tienne jusqu'au bout !!!!

 

Très bonne suite !

 

Merci !

 

On passe directement à une bataille d'arène, nous voyons ainsi les minces progrès de Hägel. En terme de défense, il s'est montré plus costaud grâce à la terre. Que l'on passe soudainement de l'entrainement chez Madiadus à cette cruelle lutte dans ce Colisée m'a fait vraiment ressentir ce qu'est un gladiateur, un homme qui risque sa vie du jour au lendemain. Hägel n'est pas comme les autres, déjà il n'a pas suivi le même cursus. Il a directement été formé sur l'élément terre, ce qui va faire de lui un combattant atypique.

 

Oui, être gladiateur c'est savoir qu'on peut perdre la vie à tout moment et que chaque instant est un moment qu'il faut savourer au risque de le regretter. Avec ce qu'il a commencé à apprendre Hägel poursuit sa montée lentement et même s'il n'aime pas les combats il sait qu'il n'a pas d'autres choix que de survivre

 

L'arène a été remplie de violence et de sang, c'est dans la veine de tout ce qui peut bien se passer dans ce lieu de divertissement.

 

C'est un enfer pour Hägel en tout cas !

 

Crimaeus s'est montré digne de son rang, et c'est vrai que si un pilier comme lui venait à disparaitre, la famille de Madiadus perdrait beaucoup de son prestige.

 

En effet, Madiadus compte énormément sur lui notamment dans un évènement qui se rapproche.

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                                                                                                                  Change 22 : 331

 

 

Il tapait vigoureusement une plaque métallique avec un marteau très ancien pour lui modeler très exactement la forme qu’il souhaitait lui appliquer. L’individu silencieux se saisit alors d’un des parchemins disposés sur sa table et l’observa attentivement avant de reprendre le bricolage qu’il semblait maitrisé à la perfection …

 

« Je me suis toujours demandé quelle était la raison de ce silence chez les plus grands, pourquoi ils ne disaient rien à propos du passé. Pourquoi gardaient-ils toujours secret l’héritage qui leur avait été confié par leurs ancêtres sans même donner des comptes aux autres ? Mais ici tous étaient unanimes pour partager l’idée que c’était par leurs biais que le monde était tel quel au jour d’aujourd’hui, dans un semblant de paix. On pouvait alors dire que leurs actions passées portaient leurs fruits à cet instant. Oui, grâce à eux la terre était en paix, loin des menaces graves d’il y a quelques siècles. Dorénavant Prima et le monde n’était plus foudroyés par des guerres abruptes, par des querelles enfantines qui détruisirent une grande majorité des êtres sur cette terre. Non, maintenant les feuilles des arbres n’étaient plus dérangées par les secousses et tremblements, elles ne tombaient plus à la moindre brise qui se soulevait à des kilomètres. Les feuilles qui naquirent aujourd’hui étaient protégées des conflits du passé, protégées de tout malheur que d’autres semblables avaient du endurés, sacrifiés pour leur confort et leur survie. J’en suis la preuve et si je pourrais aller de l’avant vers un futur paisible j’ai décidé d’en faire autrement car je suis ainsi.

Dans ma vie, je n’ai jamais été bon nulle part, mes parents disaient que je ne savais pas me servir de mes mains pour construire le monde toutefois j’avais deux choses que les autres n’avaient pas, la curiosité et l’obstination. C’est pourquoi je m’étais lancé dans l’archéologie, la recherche et l’histoire afin de découvrir par moi même les évènements de l’histoire du monde.

 

Qui je suis ? Laissez moi vous racontez une chose avant.

 

Prima était un lieu habité par de nombreuses personnes qui s’étaient rassemblés en pays de par leurs races singulières et leurs mentalités propres. Chacun disposait de spécificité qui lui était unique et lui permettait en conséquent de s’adapter à la nature difficile mais généreuse de Prima. Faisant face à la richesse de cette terre chaque peuple essaya d’imposer sa loi et d’agrandir son territoire au dépend des autres formant alors des grandes puissances en ces lieux cristallisant quelques fois l’admiration mais très souvent la haine des victimes. Ces rancoeurs s’étaient manifestées par des guerres qui vinrent ravagées les civilisations et parfois les exterminées mais comme toute chose elles prirent fin par la grâce de héros puissants dans les bras mais également dans le cœur. Bien qu’il existent de nombreux pays à Prima, seuls quelques uns se sont démarqués en son sein. Aujourd’hui seul cinq d’entre eux dominent le grand continent où chacun d’eux a hérité de leurs illustres ainés de lourds héritages qu’ils doivent à leur tour protégé et délégués pour se souvenir des histoires du passé que bon nombre à l’extérieur considéraient dorénavant comme légendes. Cinq qui monopolisent les décisions et l’avenir de la planète dans leurs mains. Pour comprendre pourquoi ce sont ceux là qui sont présents actuellement il faudrait remonter des siècles plus tôt, plus d’un millénaire d’évènements importants et un nombre incalculable de personnes qui par leurs actions changèrent le déroulement du monde.

Pour expliquer ceci dans les moindres détails il me faudrait du temps, un temps que malheureusement je ne peux vous consacré mais ne soyez pas malheureux car je vais vous conté l’essentiel qui en leur conclusion vous fera comprendre certainement la raison de mon existence et de mes actions … »

 

Prima, un nom, un continent, une légende. À l’évocation de cette terre immense le cœur s’emballe et les jambes fléchissent, la peur et l’angoisse mais aussi la curiosité et les rêves grandissent. Prima, comme une pièce elle se compose de deux cotés, comme la lune elle comporte une partie obscure et mystérieuse et de l’autre, une partie lumineuse et merveilleuse. Comme le yin et le yang, elle se complète dans l’équilibre de deux forces, comme un livre elle est l’assemblage d’histoires et de héros, comme l’eau elle est l’origine du monde, comme l’or elle est convoitée, comme la terre elle est le centre du monde, comme la mort elle est redoutée, comme le paradis elle est désirée, comme le temps elle change. Prima, cet endroit connu de tous mais pourtant visité que par quelques uns, cet endroit colossal que nul parcouru dans son ensemble, cet endroit emplit de mystères et trésors, cet endroit où le rêve n’est pas interdit mais une nécessité, cet endroit où l’imagination n’est plus restreint mais contraint, cet endroit discuté de tous mais exploré par aucun. Elle est source d’interrogation pour tous les habitants hors de celle-ci et catalyse bon nombre de débats mais à chacun qui la parcourt découvre alors une autre planète, un univers inégalable et singulier qui harmonie avec brio des espèces de tout genre et de toute taille. Savaient-ils seulement ces gens là, ces ignorants que par delà les mers, par delà les îles il y avait un capital que pendant des générations des peuples avaient essayés de conquérir à leur tour ? Savaient-ils seulement que par delà les montagnes il y avait des terres plus fertiles que ne le seront jamais les leurs ? Savaient-ils seulement quelle était réellement l’histoire de Prima et de ses guerres légendaires qui façonnèrent le monde ?

Savaient-ils seulement à qui ils devaient leur vie sur leur paisible ville ? Savaient-ils seulement que le futur du monde allait une fois encore se jouer sur le plus prestigieux continent ? Savaient-ils seulement quel avenir leur était réservé ? Savaient-ils seulement …

 

L’enfer dit-on, le paradis disent d’autres mais que disent les héros de ce monde ?

 

Change The World.

 

Dans l’union sacrée des cinq grands pays du monde d’aujourd’hui, le Royaume d’Echelstein en est une figure importante de par son histoire immense et de ses combattants de légendes qui jouèrent un rôle primordial dans la conquête de Prima. Ce Royaume est dirigé par un roi qui n’obtient pas ce statut par les liens du sang mais par le sang laissé au combat. Ainsi, ses successeurs doivent nécessairement passer par un duel avec sa majesté pour lui prendre le trône. Cette culture primaire où plus fort faisait loi était une mentalité qui ne pouvait être changée car les Echelstein étaient fait pour le combat et les batailles. Ils avaient de base une force et une vitesse dix fois plus grande que celle d’un humain normal alors que d’un portrait physique ils ressemblaient quasiment en tout point à leurs voisins. Quasiment car ils avaient deux choses qui les identifiaient. D’une part, tout les Echelstein étaient blonds, une chevelure dorée qui accompagnait harmonieusement les édifices du royaume construit en or massif récolté grâce à leur triomphe du passé. Mais plus encore, c’était ces oreilles triangulaires liées entre elles par une peau molle passant sous leur menton qui permettaient aux gens de les différencier des humains. Le peuple d’Echelstein était une grande civilisation dans l’histoire de Prima et aujourd’hui ils disposent du plus grand territoire sur le continent qui s’étend du centre jusqu’à la mer du sud. Par leur conquête du passé ils ont récolté trésors et terre, admiration et peur de leurs voisins. Ces choses là lui ont permit d’atteindre la place d’une des cinq grandes puissances de Prima et de construire un royaume d’or. Tout ce qui était construit dans la cité du roi était fait de cette pierre précieuse et ce rendu donnait là une des merveilles du monde que nul ne pouvait nier.

Le château de sa majesté était en haut d’une montagne recouverte d’or duquel une centaine de marche de deux mètres de largeur était l’unique moyen d’y accéder. Le château disposait sur ses parois des portraits d’autres Echelstein qui étaient des hommes importants dans l’histoire du peuple. Le portail pour y entrer était comme le reste tout fait de jaune et la poussée pour avoir accès à l’intérieur était cruellement difficile pour tout humain car elle avait un poids de plus de deux cent kilos. Une fois entré, on ne pouvait qu’admirer devant l’architecture de cet antre réservé à la famille du Roi. Un sol et un plafond brillant de luminosité qui rendaient à eux deux tout non initié aveugle devant tant de beauté. Au bout on pouvait apercevoir le gigantesque trône du Roi qui se démarquait avec des pierres précieuses autres que l’or. Excepté le hall, toutes les pièces étaient décorées de tissu d’une rareté extrême et d’une douceur au toucher exceptionnelle. On pouvait remarquer au plafond de toutes les pièces des glaives réelles incrustés verticalement au centre. Chaque pièce était dédiée à un ancien grand Roi Echelstein et le glaive présent dans chacune d’elle appartenait à ce défunt roi.

Si le château était un lieu majestueux, le reste de la cité n’était pas en reste. Ainsi chaque chose, chaque objet, chaque décoration était enrobé de tissu rare et d’or afin de faire briller tout ceux qui les portaient. Même les chevaux utilisés disposaient de scelles conçu entièrement en pierre précieuses.

 

Cité du roi Echelstein …

 

Un Echelstein poussa le grand portail pour faire face au trône surmonté au dessus d’une estrade à l’autre bout du hall. Il posa un genou à terre et baissa la tête en guise de dévouement et de respect à sa majesté.

 

-Majesté. Je viens vous faire part d’une information.

 

Le roi était un homme de cinquante sept-ans. Il avait des cheveux mi- long et des yeux verts. Son nez était fin comme ses lèvres. Il disposait d’une cicatrice sur la tempe droite qui se terminait à coté de son œil droit. Autrement, aucun de ses habits ne montrait qu’il était différent de l’homme venu à sa rencontre. Comme lui il avait un short doré et une coté de maille dorée et marchait avec des sandales.

 

-Relève toi. Tu sais bien que ces choses là me dérangent Mendor.

-Je fais que respecter ta personne Nestor, toi qui as conquis de nombreuses victoires.

-Comparé aux plus grands je ne suis qu’une mouche dans un ciel d’aigles. Là n’est pas la raison de ta venue. Qu’y a t-il d’urgent qui vienne à te pousser à poser genou à terre ?

-Nous avons découvert que des Mensaroth se sont installés sur nos terres tout au nord.

-Des Mensaroth ? Pour quelles raisons ?

-Je l’ignore mais Dissidor est partit pour les tuer.

 

Cette dernière phrase avait dérangé le roi qui avait l’air un peu agacé.

 

-Envois mon fils Apollon l’arrêter et dit à tout le monde que personne ne doit les toucher avant que je comprenne la raison de cette invasion.

 

Sur les terres du nord du royaume d’Echelstein des centaines de petits êtres déployaient des abris confectionnés avec les matériaux de la terre. Ils étaient très poilus et excepté leurs grands yeux blancs il était difficile de les différencier. À peine plus d’un mètre, ces petits hommes étranges avaient la forme d’un grand champignon de par leur crâne atypique. Alors qu’ils s’installaient paisiblement l’un des leurs sauta de partout en parlant avec des sons indescriptibles. Il désigna avec son petit doit la direction du sud montrant l’arrivé d’une cavalerie.

Un grand homme musclé aux très longs cheveux dorés arriva sur sa monture blanche. Il avait une barbe d’une semaine et de plusieurs cicatrices sur le corps. Il était accompagné de plusieurs dizaines d’hommes.

 

Il se saisit de son épée délicatement et la brandit vers le ciel prêt à lever une attaque !

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Un chapitre fort agréable !

 

On revoit toujours le mystérieux forgeron/archéologue, ce dernier se prépare depuis des lustres pour un grand événement à venir, qu'a t'il bien pu voir dans ses voyages et recherches pour en arriver là ? Une force endormi reviendra prendre possession de Prima ?

 

En tout cas, j'ai bien aimé le passé qu'on apprend sur Prima et tout ce qui l'a forgé, ainsi que tous les peuples qui y sont nés et qui se sont fait un nom dans le monde par leur puissances.

 

Je verrais ce que donnera les 4 autres puissances, celle des Echelstein est particulièrement brillante avec tous les matériaux nobles et riches qui constituent leur royaume. Ils me font penser aux hommes poissons, du fait qu'ils sont plus rapides et fort que les hommes naturellement et j'ai remarqué que leur noms se terminent le plus souvent par "Or", ils sont fous d'or :P.

 

A peine présenter, on passe directe à un futur grand combat entre deux races, la raison de la venue de ces Toad est intriguant, comme le Roi, il faut en connaitre la raison, une force supérieur a dû les chasser de leur terre. On sait aussi que Crimaeus vient de ce peuple, mais comment un mec venant d'une race aussi puissante, a t'il pu se retrouver parmi des gladiateurs ?

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Chapitre très bon en effet, on s'immisce cette fois à l'intérieur de Prima, ce dont je ne me serai jamais douté puisque je pensais qu'on allait découvrir les lieux en même temps que Jiokin, Caméo et Hägel. Après comme tu l'as formidablement bien écrit, nous n'avons encore rien vu de Prima, et dans ce chapitre ce n'est tout petit bout tout au plus.

 

Alors à propos du forgeron du début, je ne sais pas si c'est aussi l'archéologue. Je ne doute pas que tu vas nous éclairer @Magiic Mind.

 

On se dit aussi que ce qui peut se jouer à Prima peut chambouler le monde, c'est la plaque tournante. On se rend compte de l'impact géopolitique qu'a ce continent sur le monde entier.

 

Après, changement de décor, chez les Echelstein où ça en jette et brille de partout. On dirait que cette nation a atteinte son apogée Nestor a une renommée de guerrier un peu inférieure à celle de ses prédécesseurs. Je trouve que tu as ajouté un aspect fantasy en plus de l'Antiquité. Je dirai que cet univers rassemble tout ce que tu aimes...

Crimaeus serait donc un Echelstein, mais différent. Il s'est retrouvé esclave. A-t-il une dette à payer à Madiadus ? Est-ce par choix qu'il aurait pu quitter son peuple ? Serait-il banni, un fugitif ? En tout cas, vu comment tu nous présentes les Echelstein, il est à Romo de son plein gré. 

 

Je suis en train de réfléchir sur les origines de Jiokin, comme on ne connait pas son nom, il pourrait très bien appartenir à un clan autrefois reconnu à Prima. Et pour les Aventis, ils avaient peut-être leur civilisation sur le continent avant de se faire pulvériser par d'autres puissances. Des petites théories en passant... ^^

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On en donc finit avec Hägel ... Méchant, alors que ça devenait le plus intéressent ! :'(

 

J'ai l'impression qu'avec les sept éléments différents, on en a finit avec l'initiation à l'essence. Impression renforcée par le fait qu'on est cette fois plongé directement dans l'un des 5 grands royaumes de Prima, où la maîtrise de l'essence doit être chose aisée. D'ailleurs, cela veut-il dire que tu as finit de nous présenter les protagonistes (si c'est le cas, triste qu'il n'y ai pas de présence féminine ?

 

Pour en revenir sur Hägel, on peut dire qu'il ne s'est pas trop mal sortit de son premier combat en arène. Certes il a eu besoin de l'aide de ses compagnons, mais il n'a pas été totalement inutile. Quand à Crimaeus, il a été monstrueux. Je me dis qu'un homme comme lui est devenu esclave de son plein grès, car tel qu'il est présenté, il pourrait presque détruire Romo à lui seul !

 

Enfin, je ne sais pas vraiment quoi dire pour les Echelstein. Va-t-on se concentrer sur Nestor comme protagoniste ? Ou alors sur l'un des trois héros (Jiokin ? Caméo ?) qui aurait enfin posé pied à Pirma ? Ou alors ni l'un ni l’autre, et cette partie ne servira qu'a nous présenter Prima ?

 

En tout cas, ça donne envie ! :)

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Un chapitre fort agréable !

 

Cool !

 

On revoit toujours le mystérieux forgeron/archéologue, ce dernier se prépare depuis des lustres pour un grand événement à venir, qu'a t'il bien pu voir dans ses voyages et recherches pour en arriver là ? Une force endormi reviendra prendre possession de Prima ?

 

Alors aucune relation voulue de ma part de lier celui que tu appelles forgeron et celui que tu appelles archéologue. Les deux paragraphes sont distincts et n'ont pas lieu au même moment dans la chronologie. Ensuite pour les questions on trouvera les réponses lors de ses prochaines interventions dans les chapitres.

 

En tout cas, j'ai bien aimé le passé qu'on apprend sur Prima et tout ce qui l'a forgé, ainsi que tous les peuples qui y sont nés et qui se sont fait un nom dans le monde par leur puissances.

 

Tu verras que tout ceci est essentiel pour comprendre l'histoire de CTW et que avec tous les chapitres déjà lu tu peux être capable de trouver d'énormes choses, notamment deviner la suite grâce aux indices dissimulés un peu partout. Le passé de chacun des pays est primordial pour comprendre la suite !

 

Je verrais ce que donnera les 4 autres puissances, celle des Echelstein est particulièrement brillante avec tous les matériaux nobles et riches qui constituent leur royaume. Ils me font penser aux hommes poissons, du fait qu'ils sont plus rapides et fort que les hommes naturellement et j'ai remarqué que leur noms se terminent le plus souvent par "Or", ils sont fous d'or :P.

 

Il est clair que si on souhaite pousser la comparaison avec un autre manga les hommes poissons s'y portent bien par rapport à la force et à la vitesse toutefois ça s'arrête là car le passé des Echelstein et le rayonnement de leur peuple au sein de Prima est immense. Ensuite pour le nom c'est voulu pour les noms en Or et pour le faire je me suis inspiré des grecs de l'antiquité. Pour les autres pays, leur civilisation est toute aussi grande et particulière et bien évidemment on les découvrira  ;)

 

A peine présenter, on passe directe à un futur grand combat entre deux races, la raison de la venue de ces Toad est intriguant, comme le Roi, il faut en connaitre la raison, une force supérieur a dû les chasser de leur terre. On sait aussi que Crimaeus vient de ce peuple, mais comment un mec venant d'une race aussi puissante, a t'il pu se retrouver parmi des gladiateurs ?

 

Ahh ! Ça c'est une grande question qui trouvera peut être réponse bientôt (ou dans longtemps) mais c'est bien de s'interroger sur Crimaeus et c'est ce que je voulais. Pour l'évènement avec les Mensaroth tu t'avances peut être un peu trop vite en voyant une guerre éclatée immédiatemment.

 

Chapitre très bon en effet, on s'immisce cette fois à l'intérieur de Prima, ce dont je ne me serai jamais douté puisque je pensais qu'on allait découvrir les lieux en même temps que Jiokin, Caméo et Hägel. Après comme tu l'as formidablement bien écrit, nous n'avons encore rien vu de Prima, et dans ce chapitre ce n'est tout petit bout tout au plus.

 

Merci !! J'aime bien surprendre et je me doutais bien que vous vous attendiez à ça (car j'aurais pensé la même chose) mais si je montre Prima que maintenant c'est parce que nous devons découvrir des personnages qui existent et se situent à Prima. Comme les trois autres ils ont une importance dans la suite de l'intrigue.

 

Alors à propos du forgeron du début, je ne sais pas si c'est aussi l'archéologue. Je ne doute pas que tu vas nous éclairer @Magiic Mind.

 

Ce n'était pas dans mon intention non.

 

On se dit aussi que ce qui peut se jouer à Prima peut chambouler le monde, c'est la plaque tournante. On se rend compte de l'impact géopolitique qu'a ce continent sur le monde entier.

 

C'est clair que c'est un lieu incontournable et déterminant. Je vous cache pas que une grande suite des évènements se déroulera là bas car tous les personnages montrés s'y dirigent.

 

Après, changement de décor, chez les Echelstein où ça en jette et brille de partout. On dirait que cette nation a atteinte son apogée Nestor a une renommée de guerrier un peu inférieure à celle de ses prédécesseurs. Je trouve que tu as ajouté un aspect fantasy en plus de l'Antiquité. Je dirai que cet univers rassemble tout ce que tu aimes...

Crimaeus serait donc un Echelstein, mais différent. Il s'est retrouvé esclave. A-t-il une dette à payer à Madiadus ? Est-ce par choix qu'il aurait pu quitter son peuple ? Serait-il banni, un fugitif ? En tout cas, vu comment tu nous présentes les Echelstein, il est à Romo de son plein gré. 

 

Alors oui tu as bien cerner ce que j'aime bien. antiquité et Fantasy et comme je le disais plus haut je me suis inspiré des grecs un peu. comme eux ils aiment le sport et les combats, ils ont de formidables stratégies de combat et une énorme expérience des affrontements. Toutefois je te rassure que nous verrons un endroit qui fera plus penser au Moyen-âge !

Crimaeus est une interrogation et vous aurez probablement une réponse plus tard le concernant avec la suite de l'histoire. Je vais pas dire plus à son sujet.

 

Je suis en train de réfléchir sur les origines de Jiokin, comme on ne connait pas son nom, il pourrait très bien appartenir à un clan autrefois reconnu à Prima. Et pour les Aventis, ils avaient peut-être leur civilisation sur le continent avant de se faire pulvériser par d'autres puissances. Des petites théories en passant... ^^

 

Génial !! Tu as remarqué que c'est le seul dont je n'ai pas donné son nom ... Tes théories sont bonnes mais je te rassure il a bien un nom et j'ai bien fais exprès de ne pas le dévoilé !!!

 

On en donc finit avec Hägel ... Méchant, alors que ça devenait le plus intéressent ! :'(

 

Je coupe toujours quand ça devient intéressant  :D Mais bon on le retrouvera je te le promet.

 

J'ai l'impression qu'avec les sept éléments différents, on en a finit avec l'initiation à l'essence. Impression renforcée par le fait qu'on est cette fois plongé directement dans l'un des 5 grands royaumes de Prima, où la maîtrise de l'essence doit être chose aisée. D'ailleurs, cela veut-il dire que tu as finit de nous présenter les protagonistes (si c'est le cas, triste qu'il n'y ai pas de présence féminine ?

 

Alors pour l'essence pas tout à fait, il reste des mystères à propos de celui-ci mais on n'aura pas forcément les réponses maintenant. Au sujet des protagonistes, si tu entends par là des "héros" comme le sont Jiokin et les autres c'est possible mais pas sur (oui en fait je réponds pas à la question ;)). S'il n'y a pas de filles pour l'instant c'est en raison du scénario mais cela ne veut pas dire qu'on en verra pas.

 

Pour en revenir sur Hägel, on peut dire qu'il ne s'est pas trop mal sortit de son premier combat en arène. Certes il a eu besoin de l'aide de ses compagnons, mais il n'a pas été totalement inutile. Quand à Crimaeus, il a été monstrueux. Je me dis qu'un homme comme lui est devenu esclave de son plein grès, car tel qu'il est présenté, il pourrait presque détruire Romo à lui seul !

 

Oui Crimaeus est puissant indéniablement mais d'autres le sont également à Romo. Faut savoir que ce pays dispose d'énormément de soldats et qu'il n'est pas possible pour un seul homme de s'en défaire. Quand à Hägel il fait ce qu'il peut avec les moyens qu'il a mais je ne cache pas qu'il va progressé.

 

Enfin, je ne sais pas vraiment quoi dire pour les Echelstein. Va-t-on se concentrer sur Nestor comme protagoniste ? Ou alors sur l'un des trois héros (Jiokin ? Caméo ?) qui aurait enfin posé pied à Pirma ? Ou alors ni l'un ni l’autre, et cette partie ne servira qu'a nous présenter Prima ?

 

En fait, si vous devinez, mon scénario repose sur une série linéaire et que donc la réponse à ta question est donnée dans les chapitres. Sinon faudra attendre la suite !

 

En tout cas, ça donne envie ! :)

 

Ça change radicalement de Save ou il y avait pas mal de combat mais si j'arrive à entretenir l'intérêt autour de l'intrigue c'est génial !

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                                                                                                                Change 23 : 330

 

 

Les Echelstein sont des être dotés d’une force naturelle très élevée faisant de ce peuple une race destinée au combat et surtout à la victoire. Pour prouver leurs forces ils organisent très souvent des combats et ceux qui obtiennent de nombreux succès lors des batailles notamment portent une cape bleue symbole d’une habilité supérieure.

 

Sur son cheval blanc, l’homme de près de quarante ans semblait décidé à abattre tous les Mensaroth qui se trouvaient sur son chemin. Comme ses semblables ils portaient le costume des Echelstein avec également une cape bleue volant dans le ciel quand il chevauchait. L’épée levée vers le ciel, il lançait l’assaut contre des centaines de Mensaroth affolés et craintifs pour leur vie. Tous lâchèrent ceux qu’ils avaient en main et fuirent à toute vitesse pour échapper à leurs poursuivants déterminés. Toutefois, malgré l’envie certaine d’éviter le glaive des chasseurs, les chevaux étaient bien plus rapides qu’eux courant sur leurs petites jambes et l’Echelstein à la cape bleue n’eut guère de mal à atteindre l’un d’eux qui voyait déjà sa fin venir quand soudain une épée vint s’interposer avec le trentenaire.

 

Le visage du grand homme changea radicalement d’expression quand il aperçut que les Mensaroth, ennemis de son peuple fut sauvé par l’un des siens qui plus est par le fils du Roi.

 

-Apollon … dit-il avec une rage contenue. Que fais-tu ici ?

 

Apollon était un jeune Echelstein de dix-neuf ans et aux cheveux longs dorées comme ses compatriotes. Déjà à son âge il était bien taillé même s’il était loin des gros muscles de son opposant cependant il avait un charme certain qui devait plaire aux jeunes demoiselles. De plus ses beaux yeux verts et son nez petit contrastaient avec l’homme vêtu d’une cape qui lui avait un nez aquilin et des yeux froids.

 

-Je suis venu pour t’arrêter Dissidor, répondit-il avec aplomb.

 

En levant la tête, Dissidor observa médusé une cinquantaine d’Echelstein accompagnant Apollon, spécialement débarqués pour l’interrompre dans ce qu’il croyait être une tâche éligible.

 

-M’arrêter … Penses-tu être capable de me stopper Apollon ? Demanda t-il en dégageant férocement la lame de son adversaire.

 

-Ce sont les ordres du Roi. Il m’a ordonné de t’arrêter alors si tu ne me laisses pas le choix je m’engagerais à te freiner dans tes efforts qui vont contre les ordres de sa majesté.

 

-Les ordres du Roi hein ? La loi est claire, quiconque entre sur le territoire des Echelstein doit être chassé. Je ne fais qu’appliquer les règles du pays.

 

-Le Roi en a décidé autrement. Aurait-tu oublié à qui tu dois te soumettre Dissidor ?

 

Il était clair que dans le regard d’Apollon il n’était nullement envisagé d’abandonner sa mission et cela Dissidor l’avait parfaitement comprit. Contraint il aliéna mais non sans exprimer son mécontentement d’un crachat à coté du Mensaroth qu’il devait trancher en deux. Il fit demi-tour avec son cheval et engagea la retraite vers la cité du Roi suivi de ses compagnons.

Apollon rangea son arme dans son étui et descendit de son cheval brun afin de faire face au Mensaroth qui faillit perdre la vie. Celui-ci avait un trait d’apparence qui le différenciait de ses autres congénères, il était marqué par un œil blessé de longue date auquel le petit être avait du perdre une grande partie de son acuité visuel.

 

-Désolé de vous avoir fait subir pareil frayeur.

 

Les Mensaroth commencèrent alors à sauter partout visiblement content de voir une menace s’évanouir puis l’un des leurs, un aux poils teintés de blanc par quelques endroits, prit l’initiative de venir parler à leur sauveur. Il exclamait alors des sons de différentes tonalités et longueurs qu’il était impossible pour le jeune fils du Roi de comprendre. C’est alors qu’un des soldats avança aux cotés d’Apollon afin de lui faire part de ses connaissances sur la langue que parlent les Mensaroth. Il s’appelait Pondor et avait déjà bien vécue sur terre d’après ses rides qui restaient mineures tout de même.

 

-Comment connais-tu leur langue ? Demanda Apollon surprit qu’un Echelstein puisse discuter avec ces êtres pourtant reconnus comme très timides.

-Lors de mes explorations par le passé il m’a déjà été amené à les croiser et c’est par ces occasions qu’il m’a été donné la grâce de communiquer avec eux après apprentissage.

-Je vois. Peux-tu leur demander  quelle est la raison de leur venue dans notre pays ?

-Ils comprennent ce que vous dites messire. Ils ne peuvent simplement pas parler notre langue par la faute d’une bouche qui leur est propre.

 

Tout à coup, le chef aux quelques poils blanc enchaina pendant de longues secondes des séquences de sons causant pour quelques Echelstein des envies de meurtres tant les ondes émises étaient grinçantes et donc insupportables. À la conclusion du monologue Pondor traduisit les dires de son visiteur avec une facilité presque déconcertante.

 

-Il raconte qu’ils ont subi des attaques diverses qui les ont poussés à s’enfuir de leur habitat et qu’ils n’avaient pas d’autres choix que de s’installer ici le temps que tout cela cesse.

-Qui les attaque ?

 

À nouveau, le Mensaroth émit des sons pour répondre à son homologue qui restait très attentif malgré le fait qu’il ne comprenait pas un seul mot, ou plutôt un seul son de ce que lui disait son interlocuteur.

 

-Il dit qu’ils ne savent pas de qui proviennent ces attaques. Il raconte aussi qu’il n’avait jamais vu pareille chose de toute sa longue vie …

 

-Quelle chose ? Questionna apollon curieux et surtout très inquiet.

 

Cité du Roi Echelstein, un jour après les évènements au nord du pays …

 

La cavalerie menée par Dissidor revenait de son périple plus au nord. Des soldats étaient présents pour les accueillir et récupérer les chevaux pour les faire reposer après ce long voyage épuisant. Sans même dire un mot, le grand homme se retira vers le château afin de rencontrer en personne le Roi Nestor. Il poussa sauvagement le grand portail comme si de rien n’était et appela de vive voix sa majesté afin d’attirer son attention assis sur son trône affairé à répondre aux demandes de civils venus réclamer aides à leurs problèmes. Cette intervention soudaine mais aussi malvenue mit mal à l’aise l’ensemble des personnes présentes dans les lieux et vint au Roi de demander pourquoi telle interruption.

 

-Que t’arrive t-il Dissidor ? Demanda Nestor perplexe.

-Ne faites pas comme si vous n’étiez pas au courant, après tout c’est vous qui avez envoyé votre fils me stopper et m’humilier par la même occasion.

 

Comprenant enfin la situation, le Roi invita les civils à quitter la pièce le temps qu’il règle cette affaire. Après que tout le monde soit parti à l’exception de quelques soldats dont Mendor, le Roi expliqua sa position face à cet événement.

 

-Si mon fils t’a arrêté c’est uniquement parce que tu as entrepris seul l’initiative de résoudre une situation qui ne peut pas trouver solution dans l’effusion de sang.

 

-Ne vous êtes pas rendu compte que les Mensaroth ont enfreint une des règles les plus importantes de notre pays ? Jamais auparavant un Roi n’a laissé telle impunité sans sanctions !

 

-Il y aura sanction une fois que nous aurons comprit la raison de ce déplacement sur nos terres mais les Mensaroth n’ont jamais été un peuple hostile, ils vivent cachés dans leur labyrinthe illusoire toute leur vie et précipitamment voilà qu’ils veulent nous envahir ? Je ne crois pas à une telle chose et il en va de notre peuple et de sa souveraineté de connaître les détails précis de cette immigration.

 

-Vous êtes inconscient de votre geste mon Roi, cette faiblesse de votre part est le premier pas vers la chute de notre peuple s’il en reste ainsi. Il vous faut retrouver la raison au plus vite car croyez moi les Echelstein ne resteront pas les bras croisé longtemps pendant que des étrangers viennent les envahir lentement.

 

Ce fut en ces mots que Dissidor abrégea la conversation emplit de colère envers son Roi qui dont il était sur prenait les mauvais choix et craignait pour l’avenir de son pays. Il s’en alla rejoindre sa demeure avec précipitation souhaitant au plus vite trouver refus dans un abri où il pourrait oublier telle mésaventure. Sa maison n’avait rien d’exceptionnel, rien d’extravagant malgré le prestige qu’il incarnait et portait sur son dos, une demeure comme les autres qui ne reflétait pas sa personne et son nom. Toutefois celui-ci se contentait parfaitement de ce qu’il avait, tout ce qu’il l’intéressait était l’intégrité de son peuple et le combat, comme tout ses compagnons et le peuple d’Echelstein. Une consécration qui lui prenait tout son temps et lui enlevait tout désir de collection de richesses pourtant autre lubie de cette race unique. Alors qu’il retrouver son cocon il fut surprit de voir un homme qui l’attendait sur un fauteuil …

 

Dans une salle du château, le bureau du Roi plus exactement, Nestor et son fidèle ami Mendor discutaient des derniers évènements quand des coups se firent entendre sur la porte. Sa majesté pria le visiteur d’entrer et s’aperçut quand la porte s’ouvrit qu’il s’agissait de son fils, de retour de mission.

 

-Apollon, tu es de retour !

-Père, se présenta t-il en s’inclinant. J’ai d’importantes nouvelles à vous confier.

-De quelles nouvelles s’agit-il ?

 

Il semblerait que des forces obscures nous menace …

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Bonne suite !

 

Apollon est arrivé à temps, si je puis dire. Dissidor est un peu trop arrogant, et pas assez ouvert d'esprit avec ses lois, je comprends qu'il veut du bien à son peuple mais de là à tuer des créatures pacifiques venues sur leur terre sans en connaitre la raison, c'est un peu fort, ce genre de personnage je ne les apprécie pas trop.

 

Cependant, comme je l'avais deviné, une force inconnu à pousser les Mensaroth à se replier sur les terres des Echelstein. Mais qui est cette force mystérieuse ? Une nouvelle menace oubliée ? Ou peut être un des 5 royaumes qui veut étendre ses terres ? Bref il semble que les choses vont recommencer à bouger de nouveau à Prima...

 

Pour Dissidor, je le sens de plus en plus, ce dernier n'hésitera pas à tuer le Roi pour prendre le pouvoir et faire régner les lois de son pays, comme il se doit...

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Bonne suite !

 

Merci !

 

Apollon est arrivé à temps, si je puis dire. Dissidor est un peu trop arrogant, et pas assez ouvert d'esprit avec ses lois, je comprends qu'il veut du bien à son peuple mais de là à tuer des créatures pacifiques venues sur leur terre sans en connaitre la raison, c'est un peu fort, ce genre de personnage je ne les apprécie pas trop.

 

S'il agit comme ça c'est qu'il est conscient des conséquences d'un tel acte de générosité de son Roi. Il sait bien que cette loi n'a pas été mise en place par hasard et qu'elle prévient de tout danger c'est pourquoi il cherche à l'appliquer.

 

Cependant, comme je l'avais deviné, une force inconnu à pousser les Mensaroth à se replier sur les terres des Echelstein. Mais qui est cette force mystérieuse ? Une nouvelle menace oubliée ? Ou peut être un des 5 royaumes qui veut étendre ses terres ? Bref il semble que les choses vont recommencer à bouger de nouveau à Prima...

 

Ce que je peux dire c'est que cette menace qui sévit plus au nord du pays peut mettre en péril les Echelstein. quand à sa nature il faudra patienter !

 

Pour Dissidor, je le sens de plus en plus, ce dernier n'hésitera pas à tuer le Roi pour prendre le pouvoir et faire régner les lois de son pays, comme il se doit...

 

C'est possible en effet mais beaucoup de cas de figures peuvent se présenter d'ici là !

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Tu poursuis avec l'attaque sur les Mensaroths, et l'effusion de sang fut stoppée à temps. Apollon a été prompt à intervenir devant un Dissidor plus impulsif qui correspond plus au caractère des Echelsteins lorsqu'ils menaient guerre sur guerre avec brio. En plus, on découvre d'autres personnages secondaires pour le moment, comme le traducteur Pondor ou l'homme de main du roi, Mendor. Ces noms qui se ressemblent me donnent le tournis ! ^^ J'ai peur de les confondre à force lol.

 

On en apprend plus sur la venue soudaine des Mensaroths, et cette nouvelle n'est vraiment pas bonne. Une force inconnue est apparue et sévit à Prima. La menace est à prendre au sérieux, et surtout il faudrait voir de quoi il en retourne exactement.

 

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Tu poursuis avec l'attaque sur les Mensaroths, et l'effusion de sang fut stoppée à temps. Apollon a été prompt à intervenir devant un Dissidor plus impulsif qui correspond plus au caractère des Echelsteins lorsqu'ils menaient guerre sur guerre avec brio. En plus, on découvre d'autres personnages secondaires pour le moment, comme le traducteur Pondor ou l'homme de main du roi, Mendor. Ces noms qui se ressemblent me donnent le tournis ! ^^ J'ai peur de les confondre à force lol.

 

:D Heureusement tous les personnages ne finissent pas par or mais je pense qu'avec le temps ça sera plus un problème.

 

On en apprend plus sur la venue soudaine des Mensaroths, et cette nouvelle n'est vraiment pas bonne. Une force inconnue est apparue et sévit à Prima. La menace est à prendre au sérieux, et surtout il faudrait voir de quoi il en retourne exactement.

 

Ce sera justement le sujet du prochain chapitre.

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                                                                                                                      Change 24 : 329

 

 

Les Mensaroth sont des gens très discrets et peu courageux vivants dans des labyrinthes complexes construis par leurs mains et conçu pour n’être emprunté que par eux afin d’éviter tout danger du monde extérieur. Cet habitat original fut construit à l’aide de plantes multiples qui mélangées rigoureusement détachent des particules qui perturbent la vision des visiteurs donnant ainsi le nom de labyrinthe illusoire. On raconte que ceux qui osent s’engouffrer dedans ne finissent par jamais en ressortir …

 

-De quelles forces parles-tu ? Demanda Le Roi Nestor à Apollon.

-J’ai parlé aux Mensaroth et leur chef m’a indiqué qu’ils ont été chassé par des serpents aussi noirs que de la houille.

-Des serpents noirs dis-tu …

 

La stupeur était grande chez Nestor et Mendor comme touchés de plein fouet par un poing dont on a du mal à s’en remettre. Mendor regardait comme l’air inquiet vers son Roi qui lui adressait le même regard se demandant si l’un et l’autre pensaient la même chose que lui.

Ce regard donnait également les instructions à son plus fidèle homme Mendor de prendre les devants et faire la lumière sur cette mystérieuse affaire. D’un pas pressé, Mendor sortit de la pièce sans un mot prêt à exécuter la demande muette de sa majesté.

 

-Majesté, dit Apollon. Qu’est ce que sont ces serpents ? Je n’en ai jamais entendu par le passé.

-Ce sont des bêtes, répondit-il en faisant appel à ses vieux souvenirs qui semblaient lui faire froid dans le dos, des bêtes qui ne jurent que par le sang. Si ce que dit le Mensaroth est vrai alors il faut prendre des dispositions pour le peuple.

-Elles sont si féroces que vous le prétendez ?

-Par le passé, j’ai rarement vu des créatures de cette envergure et crois moi j’en ai vu des choses ignobles.

-Dans ce cas, laissez moi accompagner Mendor !

-Non fils, tu es encore trop jeune pour de telles aventures.

-À mon âge vous étiez déjà hors de nos terres à sillonner le monde, comment pouvez-vous dire que je suis trop jeune ?

-Nous ne sommes pas à la même époque. Un jour tu comprendras ta chance d’être né dans pareil monde, dans pareil calme quand autrefois ce fut le chaos. Apprend la patience et tu découvriras tout ce que tu voudras.

-Oui majesté, dit-il en baissant la tête.

 

Il était terriblement déçu de ne pas pouvoir explorer et découvrir les terres du nord, là où l’inconnu réside selon les contes et légendes du pays. Cependant les ordres étaient absolus et ils ne pouvaient être discutés. Nestor quitta la pièce en tapant l’épaule de son fils pour lui dire qu’il s’en remettra claquant la porte derrière lui comme passé à autre chose et sans avoir une once de regret.

Il traversa des couloirs longs et larges pour arriver dans une sublime chambre de velours en soies bleues et or. Pas un seul tissu dans la pièce n’étincelait pas à la lumière du soleil qui pénétrait à travers le seul espace vers l’intérieur. Un vent léger et chaud provenait de l’extérieur et faisait soulever les soyeux cheveux d’une femme belle et élégante. Malgré ses cinquante années passées elle gardait toujours un charme qui grandissait aux yeux de son fidèle mari.

 

-Pénélope, appela Nestor avec un grand sourire.

 

Il vint l’enlacer autour de ses bras et la tint fortement contre son corps comme si cela faisait des siècles qu’ils ne s’étaient pas revus faisant décrocher un sourire ravi de sa belle conjointe.

 

-Nestor … Dit-elle pour le stopper dans son élan affectif qu’elle jugeait exagéré.

-Oui ? Feint-il comme s’il ne comprenait pas.

-Je range notre chambre … Si tu continues de m’accrocher ainsi je ne pourrais pas terminer.

-Pourquoi ne laisses-tu pas ces tâches aux soubrettes ?

-Parce que j’aime le faire moi même.

-C’est parce que tu aimes faire des choses improbables que je t’adore.

-Et c’est parce que tu es un bon Roi que tu vas me lâcher, sourit-elle à nouveau.

 

Nestor relâcha sa dulcinée et s’en alla reprendre ses devoirs en rejoignant la ville accompagnée de deux soldats vêtus de cape bleue. L’un avait des yeux en amandes noirs ainsi qu’un chignon de même couleur qui attachaient ses cheveux longs. L’autre portait un collier en rubis et des bracelets en pics métal. Il avait également de longs cils dessinés de telle sorte qu’on pouvait légitimement penser qu’il se maquillait.

 

Dans la cité du Roi, voir sa majesté lui même parcourir les rues était de quelque chose de tout à fait normal, il paraissait être comme un autre Echelstein, un habitant comme un autre et si les deux soldats le suivait ce n’était pas vraiment pour assurer sa sécurité mais pour l’aider dans sa tâche de Roi. En effet, à fortiori le Roi Echelstein était un soldat puissant qui ne craignait pas l’affrontement mais se promener seul était une erreur dans le cas où il aurait besoin de confier une mission rapidement. S’accompagner de soldats était donc un moyen pour lui de déléguer des besognes sans perdre de temps et pour une efficacité optimale car ils faisaient partis des meilleurs du peuple.

C’était vers le coucher du soleil qu’il s’était permit de sortir de son château afin de se rendre compte par lui même de l’ambiance générale des citoyens de la cité. Comme à l’habitude c’était festif et dans tous les coins de rues des combats se tenaient sous les encouragements sans failles des spectateurs. Certains pariaient de grosses sommes pour la victoire de leur poulain et cela n’était pas rare de voir quelques uns repartir sans un sou mais fort heureusement sans que cela devienne permanant. Le pays vivait dans une telle masse de richesse que n’importe qui prenait place dans ces terres devenaient quoi qu’il arrive un homme riche. L’or était comme des cailloux en dehors de Prima, un précieux important pour les Echelstein mais un précieux omniprésent de part leur amour inconditionnel de cette pierre. On pourrait alors penser que moins rare il est plus il perd de sa valeur. Cela serait sans doute vrai si c’était le cas partout or cela n’était vrai que chez les Echelstein. Combien par de là rêvent de passer chez les Echelstein ? Des millions !! Le rêve Echelstein certains le surnommaient. Ce désir de franchir cette frontière fermée par les lois des blonds. En étant l’une des choses que tout le monde souhaite avoir, ce peuple s’est enfermé par lui même dans une paranoïa sans nom, prêt à sacrifier parfois femmes et enfants pour garder ses coffres pleins. L’or, quelque chose qui les attire sans qu’ils ne puissent l’expliquer, quelque chose qui les rend cupides à tel point qu’ils entament des guerres pour cette seule raison.

Cet accord donné par le Roi aux Mensaroth n’était pas encore parvenu aux oreilles du peuple mais qu’arriverait-il si c’était le cas ? Cette question Nestor voulait en trouver la réponse.

 

Après plusieurs minutes de marche il rentra dans une petite maison isolée de l’activité des gens où il laissa ses deux gardes du corps à l’entrée. À l’intérieur c’était sombre et l’odeur était nauséabonde. Une fumée verdâtre imprégnait les lieux sans avoir la moindre chance de s’échapper car prisonnière d’un voile sombre qui fermait la seule issue. De multiples fioles et livres trainaient dans l’étroite pièce d’entrer, un vrai bazar qui semble t-il ne dérangeait pas le locataire alors même que ses visiteurs étaient obligés de marcher dessus pour pénétrer plus loin dans la résidence. Nestor vit alors celle qu’il cherchait, une très vielle dame qui avait un œil blanc, perdu sans doute après un incident, des ongles jaunes et tranchants ainsi que de cheveux gras qui tombaient par terre. Elle était naine et elle était assise sur un grand tabouret derrière une table en train de fumer une substance à l’origine de la fumée qui hantait l’endroit.

 

-Te voilà vielle folle, dit le Roi avec décontraction et sans humour.

 

Il poussa ce qu’il y avait sur le tabouret en face de la vieille personne et vint s’asseoir sans même qu’elle ne bronche un seul instant comme si elle était ailleurs.

 

-J’ai besoin que tu m’informes.

-Hein ? Le Roi ici ? Il fallait me prévenir, je t’aurais mieux accueillis haha haha, ria t-elle avec une voix grinçante.

-Dis moi plutôt ce qu’il en est de l’avenir des Echelstein.

-L’avenir ? L’avenir l’avenir … dit-elle en prenant une bouffée de sa substance mystérieuse puis soudain des lettres se formèrent avec la fumée relâchée formant un écrit que Nestor lit attentivement.

 

« Une nuit parmi d’autres, zigzagant entre les feuilles secs et fanées, attentiste et minutieux, naquit un arbre mâle, accompagnant la levée des nuages sous ce temps maussade.

Guetté par un petit nombre, attendu par ses compères, kidnappé par les plus anciens, avança ce jeune être vers les sommets, rapidement à l’aise dans un monde qu’il apprend à découvrir et, absolument conquis de sa réussite. »

 

-Qu’est ce que cela veut dire ? Demanda Nestor perplexe.

-Seul toi le sais. Le changement, le changement approche mon Roi ! Hahahaha !!!

 

« Dans un monde qui change tout le temps et à chaque instant, il est toujours question de faire des choix qui ont leur importance et vite. À travers les livres que j’ai pu lire j’ai souvent remarqué que les plus grands tournants du monde ont été pris par des gens qui par seulement leur charisme et leur haut rang dans la société ont influencé le monde. C’est quand même fou de voir qu’un seul d’entre nous peut changer la vie des millions d’entre nous n’est ce pas ? Et vous, que feriez-vous si une poignée d’hommes décidaient de la destinée du monde ? »

 

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Bon chapitre !

 

Le Roi Nestor semble connaître la menace à qui il aura à faire et vu la crainte chez Nestor et Mendor cela annonce un danger redoutable.

 

Tu continues à nous dévoiler un peu plus la vie Echelstein, on découvre même la Reine qui semble bien douce et gentille. Le peuple quand a lui est animé par les combats, ils ont vraiment ça dans le sang, encore un peu ils auraient eu de l'or à place du sang lol.

 

La fin est très énigmatique avec la phrase de la vieille dame, il semble que le texte fait référence à un seul homme. Et je pense que c'est l'un de nos héros, mais lequel est ce ?

 

Bref une intrigue se lance et j'attends la suite.

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C'est la reine qui retrouve ce dissident de Dissidor ! 8) Elle, dès que je l'ai vu toute gentille et attentive, je l'ai trouvée louche. Elle va faire de Dissidor un bon gros antagoniste. Quand on voix que le peuple ne semble vire que pour l'or, j'ai l'impression que l’incorruptible Dissidor va passer du mauvais côté ...

 

Sinon, on avance doucement. Je ne pense pas que Nestor sera l'un des CTW, trop ancré dans son petit monde pour vouloir le changer. Par contre, Apollon me semble être un bon candidat : jeune, vigoureux, et surtout, en quête d’aventure/changement ! S'il doit y avoir l'apparition d'un nouveau héro dans cet arc, je pari sur lui. Et puis, indice peut-être important, il est pour l'instant le seul à ne pas avoir un nom se finissant en "or".

Ainsi, à la fin, la vieille lui parle en fait de son fils.

 

Par contre, pour que les serpents fassent peur à des habitants de Prima, ils doivent être sacrément dangereux ...

 

Pour finir, je veux qu'il arrive une bricole à Nestor ! 8) Les rois bons et généreux, ça apporte jamais rien de bon. :D

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Bon chapitre !

 

Merci. ;)

 

Le Roi Nestor semble connaître la menace à qui il aura à faire et vu la crainte chez Nestor et Mendor cela annonce un danger redoutable.

 

En effet, c'est le cas de ces serpents !

 

Tu continues à nous dévoiler un peu plus la vie Echelstein, on découvre même la Reine qui semble bien douce et gentille. Le peuple quand a lui est animé par les combats, ils ont vraiment ça dans le sang, encore un peu ils auraient eu de l'or à place du sang lol.

 

C'est une bonne idée ! Mais ce serait exagéré quand même. Les combats sont les meilleurs divertissements de ce peuple, de ce coté là ça ne va jamais changé.

 

La fin est très énigmatique avec la phrase de la vieille dame, il semble que le texte fait référence à un seul homme. Et je pense que c'est l'un de nos héros, mais lequel est ce ?

 

Alors ce texte est super important. Il l'est parce que non seulement il comporte des indices mais que parmi ces indices justement il y en a caché sous forme de code (ultra simple) qui une fois décodé donne quelque chose d'essentiel sur la suite de la fic. Bon je sais je parle avec des mystères mais c'est parce que je veux pas spoiler.

 

Bref une intrigue se lance et j'attends la suite.

 

La suite c'est tout à l'heure. Le suivant est mon deuxième préféré de l'arc. (Le premier, c'est celui qui conclura l'arc  ;D)

 

C'est la reine qui retrouve ce dissident de Dissidor ! 8) Elle, dès que je l'ai vu toute gentille et attentive, je l'ai trouvée louche. Elle va faire de Dissidor un bon gros antagoniste. Quand on voix que le peuple ne semble vire que pour l'or, j'ai l'impression que l’incorruptible Dissidor va passer du mauvais côté ...

 

Alors j'ai pas compris ta première phrase  ;D Mais je trouve là dans ton paragraphe ton coté suspicieux envers les filles. Pourtant je fais des efforts pour qu'elles apparaissent comme tout à fait normal ! Pour Dissidor, je vois que tu penses comme Kyojin, une révolte de Dissidor ! C'est possible ...

 

Sinon, on avance doucement. Je ne pense pas que Nestor sera l'un des CTW, trop ancré dans son petit monde pour vouloir le changer. Par contre, Apollon me semble être un bon candidat : jeune, vigoureux, et surtout, en quête d’aventure/changement ! S'il doit y avoir l'apparition d'un nouveau héro dans cet arc, je pari sur lui. Et puis, indice peut-être important, il est pour l'instant le seul à ne pas avoir un nom se finissant en "or".

Ainsi, à la fin, la vieille lui parle en fait de son fils.

 

C'est intéressant ce que tu dis. C'est en tout cas vrai que Apollon correspond plus aux héros shonen, celui qui veut découvrir le monde et donc se prête forcément bien à l'histoire. Toutefois ce n'est pas une base solide pour déterminer du personnage principal même si au final tu as peut être raison. Surtout que Apollon n'a pour l'instant pas d'objectif réel. Pour les noms avec or dedans, c'est pas un argument !!  ;D

Pour la vieille, aucun mot de ma part. En fait juste que c'est sans aucun doute l'un des plus gros indices que je vous fournis.

 

Par contre, pour que les serpents fassent peur à des habitants de Prima, ils doivent être sacrément dangereux ...

 

En effet, ils le sont mais pas forcément pour les raisons que vous imaginez.

 

Pour finir, je veux qu'il arrive une bricole à Nestor ! 8) Les rois bons et généreux, ça apporte jamais rien de bon. :D

 

Moi aussi ! Quoi ? C'est moi qui décide de son avenir ? Ah beh ...

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Ah ! Cette fois, on voit Pénélope et une vieille naine qui fait dans la prédiction. Tiens, elle me ferait presque penser à un personnage de l'oeuvre d'Eragon, si tu connais. Ce qu'elle dit au roi, j'ai l'impression que Nestor sera remplacé sur le trône par son fils.

C'est quand même intrigant cette apparition de serpents noirs. Un peu comme si les ténèbres se répandaient sur le monde.

Tu as mis un peu plus l'accent sur l'avidité des Echelsteins. Ce travers a fait qu'ils ont mené des guerres, et il se pourrait que ça leur joue de vilains tours.

 

C'est vrai qu'au fur à mesure, le cas Dissidor pourrait se compliquer, c'est à voir bien sûr. 

 

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Ah ! Cette fois, on voit Pénélope et une vieille naine qui fait dans la prédiction. Tiens, elle me ferait presque penser à un personnage de l'oeuvre d'Eragon, si tu connais. Ce qu'elle dit au roi, j'ai l'impression que Nestor sera remplacé sur le trône par son fils.

 

Je connais le film mais je me souviens pas d'une naine voyante. En tous cas je vois qu'au moins vous êtes tous d'accord pour dire que le Roi perdra son trône alors que je pensais que vous auriez pensé à tout autre chose. Enfin soit.

 

C'est quand même intrigant cette apparition de serpents noirs. Un peu comme si les ténèbres se répandaient sur le monde.

Tu as mis un peu plus l'accent sur l'avidité des Echelsteins. Ce travers a fait qu'ils ont mené des guerres, et il se pourrait que ça leur joue de vilains tours.

 

Ah ces serpents ! Ils menacent peut être les Echelstein mais ces derniers sont redoutables donc pas de panique !

 

C'est vrai qu'au fur à mesure, le cas Dissidor pourrait se compliquer, c'est à voir bien sûr.

 

Et encore, il n'a pas encore dévoilé toutes ses facettes.

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                                                                                                                    Change 25 : 329

 

 

Les Echelstein ont conquis de nombreuses terres dans le passé leur donnant aujourd’hui un territoire immense découpé en plusieurs parties. Ainsi, la cité du Roi se trouvant à l’Est du royaume et près de la frontière d’un autre pays est entièrement dirigé par le Roi cependant les terres plus loin sont léguées à des chefs qui gèrent eux même les autres villes. Cette organisation permet au souverain de mieux diriger le royaume et les villages plus lointains où il reçoit chaque mois la visite des chefs des autres cités pour lui rendre compte.

 

Au cœur même de sa résidence un homme qu’il n’avait jamais vu auparavant se détendait bien assis faisant comme chez lui sous les yeux interrogateurs de Dissidor. Il avait la tenue d’un habitant et non pas celui d’un soldat. Il avait des tresses soigneusement bien entrelacées et des boucles d’oreilles ayant la forme d’anneau et qui pouvait être aussi bien porté autour du poignet. À en juger uniquement au physique, il semblait être un homme soucieux de son apparence et avait là un air extrêmement confiant alors qu’il faisait à l’instant quelque chose que Dissidor détestait par dessus tout, l’intrusion.

Le visage du soldat se crispa et puis, furieux qu’un intrus soit entré chez lui, il s’élança déterminé vers l’homme qui en perdait son sourire effrayé par le changement soudain de comportement du locataire. Avec ses deux mains il faisait signe à Dissidor de s’arrêter et de se calmer mais rien n’y faisait, le géant à la cape bleue le prit au col et le souleva dans les airs. Le visiteur était en panique et tentait par tous les moyens de raisonner son agresseur qui ne semblait pas broncher.

 

-Calmez-vous ! Je n’ai rien fais je vous jure !! Je vous en prie lâchez-moi !!!

-Qui t’as fais entrer dans ma demeure ?

-Personne. Personne je vous le jure ! Je suis entré tout seul.

-Pourquoi t’es-tu introduis chez moi ?

-C’était seulement pour vous parler ! Je ne pensais pas que cela vous mettrait dans un tel état de colère sinon croyez moi j’aurais réfléchis à deux fois avant d’entrer sans votre autorisation.

-Réfléchis trois fois avant d’oser troubler ma tranquillité et mon intimité, dit Dissidor avant de cracher au visage de son visiteur.

 

Il le relâcha violemment en l’envoyant au sol puis partit prendre une coupe dans un grand saladier fournit en glaçon.

 

-Sors immédiatement de chez moi où je coupe ta tête sur le champ.

 

L’homme qui peinait à retrouver la confiance qui l’habitait au tout début se releva en s’essuyant le visage avec un tissu blanc qu’il avait sortit de sa poche. Il était très énervé de cet incident mais ne disait rien et surtout ne montrait rien à Dissidor qui lui tournait le dos pendant qu’il buvait de sa boisson. Il remettait en place ses habits, froissé par la force incroyable de Dissidor et entama alors un discours qu’il espérait entendu.

 

-Dissidor, vous êtes assurément un homme de grande valeur, je vous prie de m’excuser pour cette … intrusion malséante disons cela comme ça.

 

Soudain sans même qu’il ne puisse comprendre ce qu’il se passait un verra vola à un centimètre de son visage pour s’écraser contre le mur derrière lui augmentant sensiblement son rythme cardiaque.

 

-Je t’ai dis de sortir de chez moi ! Éleva la voix Dissidor.

 

L’homme se sentait en danger, très en danger. C’était comme s’il sentait que sa vie ne tenait qu’à un mot, un seul mot de plus pouvait lui ôter la vie. Cependant, il était comme déterminé à faire entendre raison à Dissidor car il souhaitait lui parler d’une chose importante. Il prit son courage à deux mains et tenta une nouvelle tentative alors que son hôte ne le regardait toujours pas.

 

-Je me nomme Alcibiade et je vous admire terriblement Dissidor. J’ai entendu votre déconvenue au nord face à l’armée du Roi. Je sais bien que nous ne nous connaissons pas mais j’aimerais vous aider car je pense que nous avons la même vision de ce que doit être Echelstein et de son intégrité.

 

Il scrutait attentivement le grand homme, tremblant comme une feuille de sa réaction mais après plusieurs secondes de silence il ne dit et ne fit rien. Cela contribuait à davantage le faire peur et son instinct l’amena à conclure au plus vite sa visite s’il ne voulait pas voir sa tête rejoindre ceux des nombreux cadavres de Dissidor.

 

-Je … Je crois que vous souhaitez être seul alors … alors je vais vous laisser. Sachez juste que je ne suis pas loin et que j’espère qu’on se reverra à nouveau dans de meilleures circonstances.

 

Alcibiade s’en alla précipitamment en ayant les yeux rivés vers l’Echelstein qui le terrifiait pour s’assurer de sa survie lors de sa fuite.

 

Au château Apollon s’entrainait dur au maniement de l’épée. Il frappait de toutes ses forces un tronc en or dessiné spécialement pour cette pratique faisant penser à la partie haute du corps d’un homme. Il transpirait absolument partout et gardait sa main solidement attaché à la poignée de son glaive grâce à un bandeau pour ne pas voir son arme lui glissait entre les doigts. Sa mère, la reine Pénélope était à l’étage en haut en train d’observer son fils. Elle sentait chez lui une colère qu’il expulsait dans ses puissants coups. Elle revoyait en lui les traits de son mari plus jeune et cela la faisait sourire. Elle interpella le jeune Echelstein.

 

-Apollon, tu devrais te reposer.

-Je ne suis pas fatigué dit-il en enchainant les frappes.

-Viens au moins rejoindre ta mère pour manger un peu.

-Je n’ai pas faim.

-Attrape ! S’exclama la Reine en balançant une pomme plus bas.

 

Apollon attrapa d’une main le fruit et observa sa mère avec un léger rictus puis il croqua à pleine dent la juteuse pomme.

 

-Veux-tu me dire pourquoi tu es plein de fougue aujourd’hui ?

-C’est à cause de père. Il ne veut pas que j’aille au delà des frontières accompagné Mendor.

-Sais-tu pourquoi il t’a refusé pareille requête ?

-Il a avancé mon jeune âge comme raison. Comprenez-vous mère une raison aussi futile et stupide ?

-Surveille ton langage Apollon, rappela à l’ordre la Reine.

-Veuillez m’excuser mère.

-Ton père pense pour ton bien et pour celui de son peuple. S’il a jugé que tu étais trop jeune pour servir lors de cette mission c’est que cela est vrai. Ne remets jamais en doute les raisons de ton père.

-Oui mère.

-Ton heure ne saura tarder. Tu dois apprendre la patience. C’est une vertu difficile à s’imprégner mais c’est une vertu qui te rendra sage comme ton père l’est aujourd’hui.

-Oui mère.

-Allez reprends ton entraînement, conclut-elle d’un sourire.

 

Le Roi rentrait dans son fort après sa visite expéditive chez la voyante du royaume. Ce passage ne l’avait pas beaucoup apprit quand à l’avenir de son pays et l’inquiétude grandissait dans son esprit. Elle était tellement grande que cela occupait toute sa pensée au point de plus faire attention aux passants. Il bouscula par mégarde un garçon qui lors de sa chute cassa une relique. Le Roi s’excusa de son erreur et l’aida à se relever en lui donnant une jolie bourse pour compenser sa perte.

La mine du petit lui ravivait de vieux souvenirs …

 

Quelques années plus tôt …

 

Dans une cour jaune qui éclairait tous les alentours un jeune garçon aux cheveux mi- long courrait pour essayer d’attraper un animal petit et vif. Malgré la rapidité précoce du gamin, la petite bête réussissait toujours à esquiver les tentatives de l’enfant qui ne se désistait pas malgré ses échecs. Ses parents, prestigieux et forts amoureux le regardaient avec tendresse et espoir voyant en lui une succession de leur propre sang par delà les âges et époques. Nestor et Pénélope étaient assis confortablement sur une nappe au dessus d’une herbe verte et sec. Il profitaient du beau temps pour pratiquer un pique nique préparé par la jeune mère.

 

-Tu es resplendissante, confia Nestor avec sincérité.

-Ne me fais pas des confidences comme celles-ci. Tu sais bien que cela me met mal à l’aise.

-Vous m’en voyez navré demoiselle ! Répond t-il ironiquement. Mais des fois mon cœur parle tout seul.

-Cesses ce jeu d’acteur ridicule.

-Que dis-tu alors ? Demanda t-il avec un ton cette fois moins plaisantin mais beaucoup plus sérieux.

-Tu sais bien ce que j’en pense. Je ne veux pas te voir risquer ta vie pour obtenir un trône.

-Est-ce que tu t’inquiètes pour moi ? Ria t-il.

-Quelle femme ne s’inquiéterait pas pour son mari ? Bien sur que je m’inquiète. Le Roi Argos est un homme puissant et fort, te confronter à lui n’est pas sans risques. La vie que nous possédons aujourd’hui me satisfait amplement, je n’ai pas besoin de te voir Roi pour être heureuse.

-Tu connais la situation du royaume depuis quelques années. Ce Roi nous emmène vers des chemins dangereux qui desserviront surement le peuple d’Echelstein. Rester sans rien faire c’est laisser notre peuple s’éteindre comme d’autres ont disparus par le passé.

-Même si c’est le cas, expliques moi pourquoi ce serait à toi de l’affronter ? Pourquoi toi ? Demanda t-elle en larme, sentant que son mari était déterminé malgré ses avertissements.

-Je sais que tu as peur mais tu ne dois pas l’être. Je ne suis pas imprudent et je ne le serais jamais. Les autres comptent sur moi, le peuple doit compter sur quelqu’un pour changer notre royaume.

-Il y a tant d’hommes forts et puissants dans le royaume contre sa majesté, pourquoi aucun d’entre eux ne se propose pour affronter Argos.

-Tu sais bien que je suis le plus fort parmi tout ceux que tu penses. Le Roi n’est pas faible et diminué d’esprit. S’il ressort vainqueur du combat il comprendra que plusieurs soldats sont contre lui et alors il entamera un massacre pour annihiler toute révolte et il ne cherchera pas seulement à tuer les soldats mais également leur famille. Ce combat, c’est notre seul espoir.

-Tu es encore jeune, tu es père, continua t-elle en larme. Ne penses-tu pas à nous ? Que deviendrons-nous si tu meurs en l’affrontant ? Pense à nous !! Implora t-elle.

 

Nestor regardait sans un mot Pénélope, il ne savait pas quoi dire, il n’avait pas les mots pour convaincre sa femme car il n’avait aucune assurance lui même de ses bonnes paroles. Il était là, observant sans rien pouvoir faire sa femme pleurer comme jamais auparavant. Il était tiraillé entre ses valeurs et convictions et son amour pour sa jeune famille. Quel choix faire entre son peuple et sa famille ? Il n’en savait rien lui même mais il devait faire un choix, une décision qui il savait allait changer la face du monde. Puis, alors qu’il observait toujours sa dulcinée en pleur, quelqu’un vint les interrompre. Ils furent choqués par ce qu’ils voyaient.

 

-Mère, père ! Regardez, dit-il tout sourire.

 

Dans sa main coulait abondamment du sang salissant ses beaux habits. La bête qu’il pourchassait était déchiquetée en plusieurs morceaux, morte sous la torture immonde de l’enfant qui avait prit un malin plaisir à la faire souffrir.

 

Je l’ai attrapé.

 

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C'est un bon chapitre, comme d'habitude.

 

On découvre le mystérieux personnage qui attendait Dissidor dans la demeure de ce dernier, mais cet individu semble vouloir s'allier à sa force pour renverser le Roi, un personnage à surveiller...

 

Apollon, quand à lui, est sur les nerfs. Heureusement que ça mère, a su le calmer, elle joue bien son rôle de mère. Cependant je crois qu'il enfreindra l'interdiction de son côté père.

 

J'ai bien aimé le passé sur Nestor avant qu'il devienne Roi et la fin avec Apollon qui a tué le petit animal est inquiétant, il a une partie sombre en lui, je me demande si cette noirceur en lui ne pas ressurgir...

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Celle d'Eragon, n'est pas naine, mais surtout voyante. Disons que tu ne la vois pas dans le film comme on devrait la voir dans l'oeuvre. J'ai trouvé que dans la personnalité de cette mamie à l'oeil blanc, elle avait ce même côté fou.

 

A propos du dernier chapitre, on découvre Alcibiade  et qu'il est prêt à offrir ses services au roi. Pas convaincu par les bonnes intentions d'Alcibiade, il a l'air vraiment filou. La réaction impulsive de Nestor face à l'intrusion me fait dire que c'est possible que lorsque il a pris le pouvoir, il s'est introduis chez Argos.

 

Ce petit retour sur le passé est tout autant réussi avec le final sur la possible cruauté cachée au fond d'Apollon. C'est assez prenant. Je n'en suis pas certain, mais tu pourrais nous la faire à la Star Wars : le jeune homme fougueux avec une noirceur dans l'âme, Apollon (Anakin) qui renverse la royauté de son père sous les paroles venimeuses d'un Dissidor ou Alcibiade ( Palpatine). 

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