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Shigatsu wa Kimi no Uso (Terminé)


Sayli
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Épisode que j'ai trouvé très riche.

 

Kosei ne surmonte pas tout d'un coup son traumatisme, je trouve ça normal. Kaori n'a pas choisi le morceau le plus facile pour lui en plus, il est trop chargé affectivement. Mais Kosei est cependant sur la bonne pente. À part au début de l'épisode où il éprouve encore quelques difficulté, je l'ai trouvé plus positif, plus lumineux. Intéressant aussi la transformation que sa prof cherche à opérer en lui concernant sa "surdité" : elle serait une chance, la capacité de retranscrire les sons de son paysage intérieur. S'il parvient à intégrer cette idée, alors il sera complètement délivré de la stricte partition si douloureusement attachée au souvenir de sa mère.

 

À ce titre, j'ai trouvé saisissante la scène où Kosei est dans la piscine. L'eau représente souvent la mère, et jusqu'à présent on nous montrait toujours Kosei dans l'eau, n'entendant plus rien et jouant difficilement du piano, lorsqu'il se rappelait d'elle. L'eau est dans cet épisode devenu un espace beaucoup plus positif, un espace de liberté, comme le montre la lumière de la surface que Kosei regarde, et surtout ses mains qui commencent à jouer doucement, avec souplesse. J'interprète ça comme une libération progressive du mauvais souvenir de sa mère, au profit d'un plus doux. J'aurais juste aimé que la mère de Kosei, qui apparaît petit à petit sous un jour meilleur, soit représentée avec ses yeux. Représenter un personnage sans ses yeux, c'est le déshumaniser. Ça allait lorsqu'elle n'était pour Kosei qu'une mère fouettarde, mais maintenant ce n'est plus vraiment le cas, il renoue petit à petit avec son souvenir, celui d'une mère aimante.

 

Sinon, on a toujours ces petites allusions au malheur de Kaori. Le visage sombre de ses parents, lorsqu'elle raccompagne Kosei sur une partie du chemin, m'a intrigué. Peut-être attendent-il quelque chose de lui pour leur fille, va savoir quoi exactement si c'est le cas. Mais surtout, directement liée à Kaori on retrouve la même métaphore de la lumière qui brille intensément mais ne dure pas. Dans l'épisode 11 c'était avec les lucioles, ici c'est avec les feux d'artifice. Avec en plus Kaori qui dit ne pas penser à l'avenir, comme si s'y projeter n'avait aucun sens pour elle... Puis son retard à la fin de l'épisode est également inquiétant. On voit bien aussi, dans les couloirs de sa maison, les rampes sur les murs.

 

Et l'ending est affreusement saisissant aussi. Kaori qui pleure, le visage figé pendant de longues secondes... Heureusement qu'elle a fini par cligner des yeux, parce qu'elle me semblait morte. :'(

 

Concernant le petit Miike Mouse, il m'a tout de suite fait penser à Kosei enfant physiquement. Et c'est en effet le même genre de personnage, le petit violoniste semble accorder une importance extrême à la partition, bien qu'avec plus de conscience que le petit Kosei. Miike sera peut-être l'image de la revanche de Kosei sur son passé. Kosei a bien fait savoir qu'il voulait, avec Kaori, être la star du gala, c'est-à-dire mettre à l'honneur le jeu libre et expressif plutôt que le jeu mécanique. Reste à voir maintenant si Kaori arrivera ou pas. Que ce soit le cas ou non, la preview du prochain épisode semble présager de beaux moments en musique pour Kosei.

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Mon Dieu l'accent anglais qu'ils ont quand ils se mettent à chanter.  ;D

 

D'ailleurs quelle plaie se changement d'opening, il est absolument pas au niveau.. au contraire de l'ending que je trouve très beau.

 

Comme l'a dis Silesius, même si c'est pas fini, Kosei est sur la bonne voie malgré tout. D'ailleurs on voit la différence entre le début de l'épisode où il éprouve encore de nombreux doutes et sa marche déterminé sur la scène à la fin. Il a d'ailleurs bien décrit la suite (notamment à la piscine) j'ai pas grand chose à ajouté.

 

Juste au niveau de la gamine, elle m'a fait plus rire que tout le reste des personnages depuis le début de l'animé avec le coup des pommes d'amour mais surtout quand elle imite Kosei énervé, j'ai trouvé le passage magique. ^^

 

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Shigatsu Wa Kimi No Uso 04-12

 

- Quelques épisodes inintéressants.

- On tente en vain d'approfondir les amis du héros.

- De nouveaux personnages avec du talent.

- Cool quand le héros avait envoyé chier sa mère !

- De jolis morceaux.

- J'attends toujours que le héros joue du piano.

- Kaori doit être malade.

- Et un 2e opening moins joli que le 1er.

 

 

Bilan : A part le héros et Kaori, les autres personnages sont assez fades.

Et je veux plus de musique !

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Episode 12 vus !

 

Plutôt satisfaisant mais on a vu mieux. Le coup de la piscine m'a marqué mais pas forcément dans le bon sens du terme. C'est vrai qu'on a l'impression d'un constant retour en arrière chez Kosei ; un doute s'en va et un autre arrive au galop... Ça en devient presque lassant.

 

Par contre le cliff est génial  ;D

J'aimerais tellement qu'il se mette à jouer tout seul devant le public et qu'il leur fasse oublier que Kaori n'est pas là, même si quelque chose me dit qu'elle va apparaître sous peu.

 

Je suis aussi fan du passage d'Emi  8)

 

A contrario, Tsubaki commence de plus en plus à m'énerver  :-*

(pauvre Watari, il peut dire adieu à sa descendance  9_9 ))

 

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J'aime beaucoup tes analyses Silesius.

 

Comme attendu Seto se pose en mentor. Elle dépasse même mes espérances en contribuant de façon significative à retisser le lien avec feu la mère, c'est un début très prometteur.

Le problème, même si je partage l'idée que Kosei ne peut pas aller plus vite que la musique dans ses progrès, c'est qu'il confine à l'autisme dès qu'il a Kaori à côté. On dirait qu'elle l'éteint et du coup il n'est capable de rien pour elle en retour. Il va falloir qu'à moment donné il soit plus clair, qu'il parvienne par des phrases simples à la rassurer/la remettre en place/lui espliquer l'essentiel.

C'est compliqué de dire "ce morceau représente une lourde charge émotionnelle pour moi" ?

Là son cinéma lui a tout bonnement pompé la lumière intérieure de Kaori. Elle a beau donner le change, ça n'ôte pas le fait que si elle croit Kosei démotivé, réticent, ce pourquoi elle se lève le matin n'est plus aussi efficace. Ce gala était important pour elle. Et ce morceau, elle ne l'avait sans doute pas choisi au hasard.

Le jeu des vases communiquant entre eux ne me rassure pas. Il ne la comprend pas. Même la scène de la piscine il est à côté de la plaque. La jalousie l'égare ?

De plus, il sait pourtant qu'elle a eu la santé fragile. Pourquoi là il fait comme si ce n'était pas grave ? Pourquoi il ne fait jamais tilt ? Il prend il ne donne rien.

 

Kaori va mourir, je n'en doute pas une seconde. La tête grave de ses parents, la porte close, la symbolique de la mèche qui s'éteint quand elle dit "et moi ? " [au sujet de l'avenir], tout encore aujourd'hui converge vers une issue fatale à plus ou moins long terme. Et si Kosei ne se reveille pas, ça va lui tomber dessus comme un couperet pire que pour sa mère, puisque là il aime profondément.

 

 

 

 

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Emi s'est faite griller en moins de temps qu'il n'en faut pour l'écrire.

 

Vous avez bien joliment et précisément dressé le portrait de l'épisode. Une bonne reprise après la petite pause.

 

"L’impertinence de la jeunesse !" : on sent du Gaï-sensei là-dessous ! Les parents de Kaori ont l'air bien ; ils sont sans doute au courant de ce qui va arriver à leur fille, de ce qu'elle a mais ils ne lui empêchent pas de faire ce qu'elle veut.

 

Le petit bonhomme ressemble à une version d'Arima petit, avec une certaine idée de la musique en tête. Je ne sais pas s'ils vont se retrouver mais derrière cette confrontation se joue aussi l'évolution d'Arima : le petit lui offre un miroir (déformant) ?

 

Arima arrive seul sur scène. Par sa musique il espère faire venir Kaori ?

 

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Bon bah c'est pas cette fois qu'on aura des poils spoils utiles, avec juste Kosei, qui j'espère va pas faire de connerie en se bloquant de je ne sais quelle manière. On voit la gamine qui regarde Arima, rien d'étonnant non plus, j'aurais préféré voir la tête d'Emi camouflée dans le public! :P

Par contre c'est fou ce que j'ai du mal à attendre les épisodes avec Shigatsu, de loin l'animé qui m'aura le plus enthousiasmé la saison précédente. ^^

 

 

Edit: Ce correcteur d'orthographe en mousse.  :-\

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:o :o :o

 

C'est comme ça que tu me remercies ?!  :-\

Je t'ai laissé l'opportunité de te rattraper de ta faute sans que personne ne s'en aperçoive et toi tu me taquines...  :'(

 

Mais n'importe quoi toi, j'ai juste posté sur le Mac de mon beau-père qui avait modifié "spoil" en "poil". Mais je l'avais pas remarqué moi même. :o

 


 

 

Alors cet épisode 13 fut très intense.

Rien que les dernière phrases m'ont fait revenir en arrière parce que j'étais tellement pris, que je me suis mis à regarder les images et écouter sans lire.

 

Alors déjà l'opening, je commence à l'apprécier, le plus gros problème c'est de devoir succéder à un opening juste énorme contre lequel il fait pâle figure.

Après j'aime pas comment elle dit "symphony", cet accent moisi, mais passons. L'ending lui est juste magique comme dis précédement.

 

L'épisode comme dis plus haut était vraiment intense, plein d'émotion et on retrouve un Kosei qui va se transformer une nouvelle fois en cours de jeu, après avoir martelé les touches il se met à jouer comme sa mère le faisait à l'époque et apparemment il a fait carton plein, vu la réaction du public, alors que son arrivé seul en tant qu'accompagnateur à surpris tout le monde! Si c'est pas beau ça, on continu avec de l'évolution!

 

Et du coup voila le gros point de l'épisode, l'image qu'on a de Saki, la maman de Kosei se modifie. On en apprend plus sur l'époque et sur ses raisons. Si en soit ses gestes restent impardonnable, d'ailleurs elle le sait elle même, elle fait pitié dans cet épisode. Sur son lit d'hôpital à pleurer pour avoir été une mauvaise mère.

J'avoue même avoir eu envie d'aller me brosser les dents après ce qu'elle à dit.  ;D (n'ayant pas pu le faire à midi au lycée  9_9 )

Bref content qu'on n'en soit pas resté uniquement sur la maman méchante, et que Kosei ai pu dire un dernière au revoir à celle ci en lui rendant hommage avec la chanson qu'elle jouait le plus, c'est un peu ce qu'il fallait qu'il fasse depuis tout ce temps.

D'ailleurs j'y repense j'adore vraiment la gamine.  :D

 

Côté performance musicale, de mon côté j'ai apprécié le piano, mais ça ne m'a pas transcendé, ça aurait été mieux en duo avec Kaori.  :(

 

J'ai apprécié aussi de voir Mini-Kosei le prétentieux à ce point touche par la prestation qu'il va carrément le voir une fois ce dernier tombé et jusqu'à adoucir son style de jeu. On a la forcément un futur cador du violon.  8)

J'aime toujours autant les interventions de la petite passionnée d'Emi aussi, elle m'a fait rire avec sa dernière réplique.

 

Tsubaki revient elle aussi un peu au devant de la scène mais à quoi va t-elle réellement servir sur ce point, avec ses doutes un peu étranges, j'ai du mal à la suivre totalement.

 

Enfin, Kaori qui est malade, on va avoir un Kosei qui tombe des nues et qui risque de l'engueuler pour lui avoir cacher si jamais il réfléchis pas assez pour oublier qu'elle est dans un lit d'hôpital et qu'il ne faut pas brusquer les malades.  ;D

Dernière phrase lourde de sens de la coach d'Emi, ça fait deux fois avec l'épisode 11 quand même qu'on a un énorme indice comme ça.

 

Quel avenir pour Kaori? Zhat iz zhe queztion!

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C'est un contre-pied par rapport à ce que j'attendais cette semaine. Ca devient un classique, la prestation de Kousei est très forte une fois de plus. Je ne sais pas ce qu'il en est du manga mais je pense qu'il y a un gros boulot d'adaptation derrière ça.

Je voyais un épisode bourré de références à Kaori, résultat elle n'apparait quasiment pas. On a Kousei seul face à sa mère, cassant complètement l'image que l'on a construite d'elle dans les précédents épisodes.

 

Je croyais que le blocage de Kousei en rapport avec sa mère était réglée il y a quelques épisodes mais ça n'a pas été le cas, pour cette fois ci j'y crois encore plus fort.

 

Le passage où Kousei apprend l'état de Kaori torché en quelques secondes, j'aime quand on va aussi vite à l'essentiel. Please, pas de basculement dans l'excès de scènes faussement larmoyantes.

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Enfin, ça y est ! Kosei s'est libéré du souvenir de sa mère, et pour de bon cette fois-ci. Son jeu s'en est trouvé transformé, reste à savoir s'il va se stabiliser dans le très bon ou de nouveau faire face à des difficultés avec les épreuves auxquelles le jeune pianiste va devoir faire face (je pense au sort de Kaori bien sûr). Je me dis qu'on est jamais sûr de rien après avoir vu tous les hauts et les bas de Kosei jusqu'à à présent. 9_9

 

J'ai d'abord été étonné de voir que Kaori était à ce point "absente" de sa prestation. Cette dernière était vraiment centrée sur la relation entre Kosei et sa mère. Et c'est vrai après tout que Kaori n'a pas vraiment sa place dans cette relation. C'est une relation du passé, bien qu'elle ait encore des ramifications dans le présent comme Arima l'exprime lui-même en disant que sa mère est partout en lui, dans son jeu pianistique comme dans ses habitudes et ses goûts au quotidien.

 

J'ai trouvé très touchante la scène où il éclate en sanglots, sans pouvoir rien retenir. On sent que maintenant il peut passer à autre chose, un énorme poids a été retiré de ses épaules.

 

Mais ma plus grande satisfaction de l'épisode, c'est de voir que Saki a non seulement un nez et une bouche, mais aussi et surtout deux yeux. :o Oui, ça a l'air ridicule, mais j'y tenais. ;D

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Shigatsu Wa Kimi No Uso 13

Kousei était correct au piano, mais il doit se surpasser, j'en veux plus et en mieux !

Par contre, le parallèle avec le gamin était bof et pour la mère de Kousei, zéro émotion.

Mais au moins, Kousei en a fini avec elle, donc ça va.

En plus, je suppose qu'on en a fini avec l'effet de l'eau genre "Je me noie ou je revis".

Juste un détail, ce serait bien que la gamine de Hiroko ait un vrai visage.

Et Kaori est bien malade.

 

Bilan : bon épisode, surtout si Kousei arrête de nous gonfler avec sa mère.

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OMG les gros spoils sur Nagi dans l'opening, j'avais pas fait gaffe la semaine dernière  :-X

 

 

pour en revenir à l'épisode :

 

Etant lecteur du manga avant tout, je ne sais pas si mon avis est objectif ou non mais j'ai trouvé l'épisode assez mauvais au niveau "adaptation". Je ne parle pas techniquement évidemment.

 

C'est censé être un des passages les plus importants du manga, mais c'est rushé et assez plat au final. Ce passage aurait du s'étaler au minimum sur 2 épisodes pour être correctement adapté. Certaines phrases de Seto Hiroko passent pratiquement inaperçu alors que dans les chapitres correspondants ce sont les planches les plus importantes.

 

Après c'est certainement la comparaison avec le manga qui fait vraiment très mal.

 

Perso j'attendais l'adaptation de ce passage mais quelle déception! Emotionnellement la version papier et la version animée ne jouent clairement pas dans la même dimension. C'est même le jour et la nuit.

 

Dommage, jusque-là j'étais plutôt satisfait mais j'imagine que le rythme va encore s'accélérer comme cela pendant quelques épisodes puis ralentir de nouveau pour donner plus d'envergure et d'épaisseur pour l'adaptation de la fin du manga.

 

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J'interprète la chose comme ca :

 

Jusque-là Saki avait été montré comme une espèce de personnification des peurs et des craintes de Kousei et non en tant qu'être humain décédé. Personnification justement "sans-visage" pour rajouter à la symbolique.

 

Là c'est la première fois que Kousei revoit sa mère en tant que personne et parent, il a quelque part été obligé de faire cette visualisation pour se remémorer la manière dont sa mère lui jouait le fameux morceau Liebesleid.

 

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Cet épisode qui a même pris Yuuan à contre-pied est là pour dé-démoniser Saki. (Haar. Inventeur de verbe depuis 1995.  8) )

Comme tu dis le sans-visage rajoute à la symbolique.

 

Sans parler de l'obligation de sa visualisation pour rejouer de la même façon qu'elle ce morceau, cela permet de nous mettre en tête à nous lecteur autre chose que l'image de la femme sans visage, et renforcer le changement d'avis vis à vis du personnage que nous faire l'épisode. Du moins c'est ce que je pense. :)

 

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Moi je veux bien le changement d'opinion par rapport au personnage de Saki; mais à le rendre trop humain on oublierait presque la maltraitance qu'à subit Kousei.

Après les raisons de l'acharnement de Saki sont compréhensibles mais la forme est horrible.

 

L'animé a renforcé cet effet "mère aimante désespérée" en montrant son visage, contrairement au manga où la nuance est bien moins manichéenne et la situation bien plus dramatique et obscure je trouve.

 

Perso c'est ce que je préfère dans le manga, que l'auteur présente son titre comme une histoire sur la musique alors qu'il y a une seconde lecture très obscure à en faire avec des thèmes abordés bien plus matures qu'il n'y parait.

 

Au fur et à mesure de l'avancée, je me suis même demander comment un magazine "shonen" a pu accepter de le publier d'ailleurs. (et je ne parle même pas de la situation de Kaori ici qui restera certainement indéterminée jusqu'à la fin).

 

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Attention, je sais pas pour les autres, mais mon opinion n'a que peu changer. Il m'a juste servi à comprendre les raisons de ses actes et par conséquent la prendre un peu en pitié, mais en aucun cas, ça ne justifie ces actes à mes yeux.

J'exagère un peu, mais c'est un peu comme montré le passé d'un criminel (violeur ou autre) et de nous faire comprendre pourquoi il agit comme ça maintenant. On peut le prendre en pitié pour son passé, sans pour autant avoir un bon avis sur ce dernier, et même tout le contraire!

 

Même si je vois où tu veux en venir sur le côté qui serait plus sombre dans le manga, ce qui me donne d'ailleurs hâte d'être en Avril pour sa sortie en France.

En parlant de ça, je sais pas si je suis stupide, mais je viens de comprendre que le manga sortait en Avril et que ça concordait avec le titre du manga.

"Your Lie in April", je crois que je suis un cas désespéré.  ;D

 

@Juju: Dis moi que toi aussi t'avais pas remarqué.  :-X

 

 

Edit:

@Choi: Je dois commencé à devenir gâteux, à 19 ans, ça fait peur.  :o

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En parlant de ça, je sais pas si je suis stupide, mais je viens de comprendre que le manga sortait en Avril et que ça concordait avec le titre du manga.

"Your Lie in April", je crois que je suis un cas désespéré.  ;D

Ca a été dit mais sur les topics du manga et des sorties France je crois bien. Mais ca tient plus de la coïncidence qu'autre chose.

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Le 13ème épisode.

 

Une question avant tout : Arima termine et retrouve les autres. Là il dit qu'il a bien envie d'aller voir Kaori qui l'a planté. Ok. Le hic, pour moi, c'est qu'après on semble avoir une petite coupure : Arima est en train de jouer du piano et il faut que ce soit Tsubaki qui le prévienne qu'un truc pas cool a dû se passer et après... retrouvailles à l'hôpital. Donc Arima n'est pas allé voir Kaori, il a attendu que Tsubaki soit prévenue/aille aux nouvelles ? (Elle ne demandait sûrement pas mieux en plus...)

 

L'épisode en lui-même passe bien même si le côté "dé-démonisation" (© Haar) était attendu, comme (trop ?) souvent. J'espère qu'on aura quand même deux-trois infos sur le père de Arima avant la fin.

 

Pour la suite, Ochiai a tout dit.

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Encore du spoil pas très intéressant.  9_9

 

On s'en doutait qu'on allait revoir Kaori a l'hôpital. C'est plus Tsubaki dont je demande qu'elle sera le rôle dans l'épisode.

Sinon on revoit encore Saki? On avait pas fini, va falloir allé de l'avant après 14 épisodes.  9_9

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Les spoils montrent clairement qu'il y va y avoir une sorte de comparaison entre les situations de Saki et Kaori à l'hôpital. Les deux images du bas sont quasi identiques, la chambre semble être exactement la même. La différence majeure se trouve dans l'atmosphère qui s'en dégage : l'image de Saki est grise et déprimante, celle de Kaori est beaucoup plus lumineuse. Je ne sais pas si ça évoque quelque chose de positif pour cette dernière ou pas, ou si c'est juste par rapport à Kosei par contre (pour nous montrer que fort de l'expérience avec sa mère il ne se laissera pas démonter par la situation dans laquelle de trouve Kaori).

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