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Tournoi des morceaux de musique classique célèbres [Victoire de Tchaïkovski]


Silesius
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[Rimski-Korsakov] "Le Vol du bourdon", interlude orchestral du troisième acte de l'opéra Le Conte du tsar Saltan : énorme. C'est quand même du génie de trouver une idée pareille. 8) En plus, le morceau en lui-même est vraiment bien.

 

[Camille Saint-Saëns] Final de la suite musicale Le Carnaval des animaux : sympatoche. Je crois que c'est le mot qui sied le mieux à ce morceau, dans tous les sens du terme.

 

[Johannes Brahms] Troisième mouvement "Poco allegretto" de la symphonie n°3 en fa majeur, opus 90 : pas mal comme mélodie.

 

[Jean-Philippe Rameau] Rondeau, extrait de l'opéra-ballet Les Indes galantes (quatrième entrée : Les Sauvages) : classe. 8)

 

[Julius Ernest Wilhelm Fučík] Marche militaire L'entrée de gladiateurs, opus 68 : 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) 8) Fucik, l'un des premiers trolls de l'histoire. 8) L'un de mes modèles sans que je ne le sache donc. 8)

 

Je vote pour [Rimski-Korsakov] "Le Vol du bourdon", interlude orchestral du troisième acte de l'opéra Le Conte du tsar Saltan et [Jean-Philippe Rameau] Rondeau, extrait de l'opéra-ballet Les Indes galantes (quatrième entrée : Les Sauvages).

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[Rimski-Korsakov] "Le Vol du bourdon", interlude orchestral du troisième acte de l'opéra Le Conte du tsar Saltan

 

Pièce de caractère assurément très ingénieuse, son identité est d'ailleurs bien plus clairement définie dans cette version originale, orchestrale, que dans

qu'on entend plus souvent de nos jours.

Cela étant il reste, au fond, un compositeur que je connais relativement mal, et qui s'inscrit dans un style qui n'est pas ma musique favorite : le renouveau de l'école Russe de la fin du XIXème siècle avec Tchaïkovski et Moussorgski ...  C'est parfois un petit peu trop martial / puissant à mon goût, comme un héritage de la musique Wagnérienne.

Ici ce n'est pas vraiment le cas cela dit, la chose est inspirée et assez délicate dans sa conception, c'est un moment de musique intéressant, à mettre en parallèle sans doute avec les anciens que peuvent être Beethoven, Haydn ou même Vivaldi dans la musique descriptive.

Après est-ce que ça fait vibrer l'auditeur ? Je dirais que ça attire son attention, que ça peut charmer ses oreilles par sa perspicacité, mais que ça ne le transcendera pas.

 

 

[Camille Saint-Saëns] Final de la suite musicale Le Carnaval des animaux

 

Phénomène fascinant que le Carnaval des animaux ... oeuvre volontairement très peu sérieuse, qui avait d'ailleurs peu de considération de la part du compositeur, c'est devenu un succès planétaire. Si je ne dis pas de bêtise le tout est aussi une sorte de pot-pourris hommage à la musique française.

Ce finale est la synthèse de toute la suite, et c'est assez brillant, pétillant, très léger - sans puérilité et facilité excessive cela dit -, dans un goût au final qui me semble se rapprocher beaucoup de la musique de Strauss II - avec une sonorité au fond assez cartoonesque -.

C'est intéressant de voir le carnaval des animaux et le vol du bourdon dans le même groupe : cela va-t-il tourner à la compétition de musique imagée, descriptive ?

On en vient à opposer des maîtres de l'ambiance, des poèmes symphoniques, de la musique descriptive ... le hasard a bien fait les choses.

Saint-Saëns me semble avoir une approche des choses plus délicates que Korsakov, naturellement cela vient d'une différence assez notable entre la musique française et la musique Russe. A cette époque la France avait retrouvé sa finesse d'antan.

 

 

[Johannes Brahms] Troisième mouvement "Poco allegretto" de la symphonie n°3 en fa majeur, opus 90

 

Oui bon et bien là tout de suite c'est un autre registre et une catégorie ...

La chose est difficilement comparable aux deux du dessus, oh oui ils ont de l'intérêt, mais la musique reste dans une superficialité de ton - par sa nature descriptive - comparativement à la profondeur exceptionnelle de ce mouvement symphonique de génie qui se fait un digne héritier des meilleures oeuvres de Haydn, Mozart et Beethoven.

Brahms atteint enfin une forme de maturité symphonique qui le hisse définitivement au niveau des grands avec ce troisième opus, et en particulier ce mouvement marquant. On peine d'ailleurs à croire que Brahms, d'une musique si sensible ait pu être en compétition terrible avec Wagner ...

Brahms a ceci de merveilleux qu'il masque la difficulté, il masque l'artificiel et le technique, pour au final mieux faire ressortir un sentiment très fin, une essence du romantisme encore emprunte d'un énorme héritage classique que, loin de travestir, il pousse vers ce que j'aurais tendance à considérer comme sa finalité logique. Brahms se montre ici en héritier direct de Mozart et Haydn, peut-être est-il le seul romantique - enfin en tout cas je le perçois comme ça à titre personnel - à avoir vraiment compris le testament de ces deux compositeurs en matière de traitement symphonique. Parfois le romantisme devient mièvre, excessif, à force de faire trop dans le sentimental ça perd totalement en saveur : ce n'est pas le cas de Brahms, non, lui est bien au-dessus de ça.

Ce mouvement est un chef-d'oeuvre à écouter sans modération, car on y trouvera toujours quelque chose de nouveau, la musique de Brahms étant d'une immense richesse dissimulée.

 

 

[Jean-Philippe Rameau] Rondeau, extrait de l'opéra-ballet Les Indes galantes (quatrième entrée : Les Sauvages)

 

Le retour de Rameau. 8)

Compositeur pour lequel j'ai un amour fou, passionnel, et ce depuis longtemps déjà ... il nous montre ici une facette très importante de l'identité musicale française baroque : la musique de ballet, avec une rythmique très marquée.

Les Indes galantes est certainement l'opéra-ballet le plus remarquable, d'une richesse musicale qu'on pourrait qualifier d'extrême - comme souvent dans les opéras de Rameau, dès Hippolyte et Aricie, son premier opéra, on lui fit remarqué qu'il y avait là "assez de musique pour faire 10 opéras" -, l'entrée des sauvages étant la plus connue. Je trouve dommage cela dit de couper la chose en plein milieu : on ressent dans ce rondeau le caractère dansant de la pièce, mais il ne faut pas oublier qu'

. Accessoirement, face au succès de cette mélodie - qui visiblement est toujours d'actualité - Rameau a pris le temps d'arranger la scène dans ses
, le tout conservant un charme très français incroyablement plaisant.

Si on devait mettre le doigt sur ce qui fait la qualité de cette oeuvre, son côté mémorable, je dirais que c'est sa fougue et puissance bien baroque, son rythme marqué et dansant, son côté populaire par la forme du rondeau - qui comme une chanson moderne fonctionne sur un refrain - et sa mélodie qui a un côté Tambourin mais aussi et surtout sa basse : je trouve la ligne de basse absolument phénoménale, doublée avec les percussions c'est vraiment ce qui donne une saveur et un caractère très marqué à la musique, un élan.

Rameau frappe encore comme maître de la théorie musicale et des effets orchestraux, toujours dans la recherche et dans un traitement très habile.

Quintessence du goût français, on a là un témoignage sublime de la façon dont le baroque français se démarquait du goût italien.

De toute façon Rameau déçoit-il jamais ?

 

 

[Julius Ernest Wilhelm Fučík] Marche militaire L'entrée de gladiateurs, opus 68

 

Un brin trop superficiel à mon goût, et excessif dans son côté fanfare.

J'entends que c'est le but recherché, et qu'ainsi la chose est réussie à bien des égards, mais ce n'est pas vraiment une musique que j'écouterais pour sa qualité musicale intrinsèque. C'est plus une oeuvre d'accompagnement, de fond sonore pour un divertissement.

Pas franchement quelque chose qui me transcende malgré des qualités notables, toujours de traitement mélodique, d'efficacité etc...

 

 

Bon, sans surprise : +1 Brahms et Rameau, évidemment, encore et toujours.

 

 

 

PS : waw, Rameau obtiendrait désormais un soutien "populaire" visible ? Je crois que je vais verser une larme. :'(

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J'aime bien le vol du bourdon, et quand je vois l'autre au piano, ça a l'air tendu à jouer.

L'idée est quand même bien sympa !

 

J'aime bien sans plus la suite du carnaval des animaux.

La musique des Brahms est pas mal, j'aime pas trop celle de Fucik peut être trop démonstrative pour moi.

 

Par contre celle de Rameau me plait bien donc ça sera +1 Rameau et va pour Korsakov aussi.

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J'ai voté pour le troisième mouvement de la symphonie n°3 de Brahms et pour le rondeau des Sauvages de Rameau.

 

Du Carnaval des animaux de Saint-Saëns, ce n'est pas le final que j'apprécie le plus. Je préfère les morceaux

(dans le tournoi),
ou
.

 

"Le vol du bourdon" est assez sympa à écouter. Une pièce descriptive très virtuose.

 

Fučík... Ce qu'est devenue cette musique me fait bien marrer en fait. ;D

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Les morceaux suivants se qualifient pour le prochain tour :

- [Jean-Philippe Rameau] Rondeau, extrait de l'opéra-ballet Les Indes galantes (quatrième entrée : Les Sauvages)

- [Rimski-Korsakov] "Le Vol du bourdon", interlude orchestral du troisième acte de l'opéra Le Conte du tsar Saltan

 

Les morceaux suivants sont éliminés et quittent la compétition :

- [Camille Saint-Saëns] Final de la suite musicale Le Carnaval des animaux

- [Johannes Brahms] Troisième mouvement "Poco allegretto" de la symphonie n°3 en fa majeur, opus 90

- [Julius Ernest Wilhelm Fučík] Marche militaire L'entrée de gladiateurs, opus 68

 

Groupe n°17

9 (37.5%) [Jean-Philippe Rameau]

(9 commentaires)

5 (20.8%) [Rimski-Korsakov]

(4 commentaires)

3 (12.5%) [Julius Ernest Wilhelm Fučík]

(1 commentaire)

3 (12.5%) [Camille Saint-Saëns]

(0 commentaire)

2 (8.3%) [Johannes Brahms]

(2 commentaires)

2 (8.3%) Votes blancs (0 commentaire)

Nombre de votants : 14

 

 

On enchaîne avec le groupe n°18.

 

Groupe n°18

[Antonín Dvořák]

[Wolfgang Amadeus Mozart]

[Gioacchino Rossini]

(5:17)

[Johann Sebastian Bach]

[Paul Dukas]

(2:17)

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Vraiment une belle musique de Dvorak, au passage je trouve le tableau de fond magnifique.

Lacrimosa est pas mal non plus. La Barbier de Séville j'aime moins.

Bon gros classique de Bach que j'apprécie, bien qu'il soit plus répétitif que les autres sur la longueur.

La dernière mouais, ça sera uniquement Dvorak.

 

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Groupe tendu ... entre l'estime passionnée des grands "classiques" de la musique, les ancêtres fondateurs (Bach et Mozart), l'amour de la musique Tchèque (avec l'immense Dvorak ...) et le goût de l'opéra rarement aussi bien défendu qu'à travers Rossini ... Ah le hasard fait mal les choses pour le coup, car nous avons eu droit à quelques groupes faibles alors qu'ici nous allons sacrifier des oeuvres remarquables ...

 

Dans un premier temps j'exclus malheureusement Bach, qui apparaît ici dans un prélude certes très appréciable mais qui est loin d'être l'un des meilleurs des deux volumes du Clavier bien Tempéré. C'est une oeuvre très moderne à bien des égards - presque jazzie - avec une richesse dans la progression harmonique qui est remarquable. Au fond la chose est très choral, mais le tout n'atteint pas le niveau de raffinement et lyrisme de l'Aria des variations de Goldberg, tout en n'ayant pas la fougue de certains autres préludes. Le tout semble aussi, peut être, un petit peu court, avec une fin qui aurait peut être méritée d'être plus travaillée. L'oeuvre est très bonne, mais je crois qu'ici nous avons mieux dans le groupe.

 

Dans un second temps au premier regard j'ai tout de suite que quoi qu'il arrive je défendrais Mozart : le choix ne porte donc que sur le deuxième morceau.

Lors de l'écriture de son requiem Mozart a laissé pas mal d'instructions, de choses inachevées mais avec des directives harmoniques etc... Globalement il est admis que sa dernière réalisation presque complète est le Lacrimosa du Requiem - disons qu'à ce stade les compositeurs successifs qui ont terminé la chose, dont Eybler et Süßmayr, n'ont pas pu changer grand chose à ce que Mozart avait en tête pour ce passage précis -, qui est l'un des grands sommets de l'oeuvre. Demeure cependant qu'originellement il semblerait que Mozart avait

qui aurait dû, semble-t-il, suivre le Lacriomsa mais qui a été soit abandonné soit oublié par les successeurs.

Enfin bref, nous avons là un sommet de la musique religieuse, un sommet de la musique mortuaire, un sommet d'expressivité musicale ... c'est une oeuvre bouleversante tout droit sorti d'un esprit fantastique alors pour ainsi dire sur son lit de mort. Anecdote amusante au demeurant, Mozart pour son requiem s'est énormément inspiré notamment du Messiah de Handel - qu'il avait arrangé pour orchestre classique, avec plus d'instruments à vent, quelques temps auparavant - et du

de Michael Haydn - qu'il avait entendu à Salzbourg dans sa jeunesse et qui l'avait marqué, l'oeuvre est splendide, digne du requiem de Mozart, c'est un scandale que ce ne soit pas plus joué -, or, ce même Michael Haydn est mort, comme Mozart,
.

Dans tous les cas à ce stade Mozart relève de l'évidence.

 

La question est donc de savoir si je suis d'humeur à soutenir Dvorak ou Rossini ... c'est une sorte de déchirement.

En ce moment j'écoute énormément de Rossini, je pense donc que je pencherais en sa faveur. Il y a beaucoup à dire à son sujet : un homme très flemmard - qui a pris sa retraite à 38 ans, quittant le monde de l'opéra, alors qu'il mourût à 76 ans, cela ne l'a pas empêché de laisser derrière lui de nombreux chef-d'oeuvres ... durant cette période il écrivait simplement quelques pièces pour le plaisir, souvent pour le piano, pour des comités réduits, des amis, bref, comme un passe-temps et non pour en vivre, malgré tout

est un véritable bijou - connu, selon une célèbre anecdote, pour par exemple, alors qu'il écrivait une pièce pour piano dans son lit qu'il laissa tomber au sol commencer à écrire une nouvelle pièce que d'aller ramasser ce qui venait de lui échapper des mains ... L'homme est un esprit musical fulgurant : ses opéras sont prenants du début à la fin, dès l'ouverture c'est un spectacle magistral. Il a un sens de la scène extraordinaire, peut être inégalé sinon par Mozart, une capacité à captiver spontanément par sa musique qui est fascinant. Il n'y a jamais de moment d'ennui avec Rossini, sa musique est percutante, très nuancée - parfois de façon extrême -, avec un renouvellement mélodique infini qui donne des frissons. Et pourtant dieu sait que c'est un homme qui aimait prendre le temps de bien vivre et qui ne cherchait pas à se tuer au travail, on est loin du caractère de Beethoven ou Brahms retouchant leurs partitions sans cesse, pendant longtemps, pour obtenir une forme de perfection, Brahms ira même jusqu'à brûler tout ce dont il n'était pas pleinement satisfait - ne laissant que ce qu'il jugeait comme réussi à la postérité -  : Rossini est plutôt dans une écriture instinctive, laissant s'exprimer sa musique au naturel. On le sait fin gourmet - inventeur (ou orchestrateur) de quelques recettes de cuisine dont le tournedos Rossini, presque critique gastronomique à ses heures perdues, mondialement connu à l'époque pour sa cave à vin - et il me semble littéralement composer comme un homme qui s'amuse spontanément derrière ses fourneaux - peut être fera-t-on de cette facilité d'écriture une analogie entre Rossini et les deux grands classiques que sont Mozart et Haydn -. Il a totalement révolutionné le monde de l'opéra, unifiant le chant de l'opéra buffa et l'opéra seria, développant une virtuosité vocale assez impressionnante, n'hésitant pas à utiliser la voix comme un instrument s'intégrant dans un orchestre, mettant en place les dits morceaux fermés pour donner un rythme soutenu à l'opéra et cesser d'interrompre à accès les arias avec des récitatifs ... clairement il a apporté sa pierre à l'édifice, et l'opéra romantique ne saurait exister sans lui. Stendhal disait de lui que s'il était nouveau dans la forme, avec toutes ses réformes, Rossini restait classique dans le fond - cela ne tient pas compte de ses derniers opéras clairement romantiques dans leur style cela dit -, avec un traitement musical qu'il assimilait à Mozart et Cimarosa (voilà pourquoi il était le seul compositeur d'opéra du début du XIXème siècle qu'il appréciait): je suis d'accord avec ce constat, car Rossini ne sombre pas dans vraiment dans le romantisme de prime abord et semble conserver ce charme, cette évidence mélodique que Mozart ou Cimarosa peuvent dégager dans leurs oeuvres.

C'est un digne héritier de transformateur de l'opéra classique, il aura lui-même de bien bons héritiers en Bellini et Donizetti.

En s'attardant sur la musique du Barbier de Séville en elle-même il est clair que cette ouverture est génialissime : c'est incroyablement inventif et moderne, c'est très dramatique, théâtral, parfait pour introduire un opéra où, comme souvent chez Rossini, règne une grande confusion comique. Comme souvent le traitement mélodique y est très fin puisque la chose reste facilement en tête, mais ne cesse de se renouveler, sans jamais perdre en qualité. Les effets orchestraux sont magiques, donnent un caractère vivant, humain à la musique : l'ouverture chante et nous raconte l'histoire comme si un chateur nous narrait ce qu'il allait arriver. Il a capturé l'essence de Beaumarchais dès les premières secondes de musique.

Bref, un opéra sublime, et ce dès les premières notes, marquant de A à Z ... Rossini est vraiment une figure centrale de l'histoire de la musique à mes yeux, ayant orienté le monde de l'opéra vers de nouveaux horizons, avec une influence qui a duré jusqu'à Verdi / Puccini, et un succès qui ne s'est jamais amoindri, qui perdure encore à juste titre aujourd'hui.

 

+1 Mozart et Rossini, un duo magnifique de compositeurs qu'il est intéressant de mettre en parallèle.

 

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Les morceaux suivants se qualifient pour le prochain tour :

- [Wolfgang Amadeus Mozart] "Lacrimosa", extrait de la messe de Requiem en ré mineur KV 626

- [Antonín Dvořák] Deuxième mouvement "Tempo di valse" de la sérénade pour cordes en mi majeur, opus 22

 

Le morceau suivant rentre dans le classement des pourcentages de votes :

- [Johann Sebastian Bach] Prélude n°1 en do majeur BWV 846 du Clavier bien tempéré

 

Les morceaux suivants sont éliminés et quittent la compétition :

- [Gioacchino Rossini] Ouverture de l'opéra Le Barbier de Séville

- [Paul Dukas] Poème symphonique L'Apprenti sorcier

 

Groupe n°18

7 (30.4%) [Wolfgang Amadeus Mozart]

(2 commentaires)

6 (26.1%) [Antonín Dvořák]

(5 commentaires)

6 (26.1%) [Johann Sebastian Bach]

(2 commentaires)

2 (8.7%) [Paul Dukas]

(2:17) (1 commentaire)

1 (4.3%) [Gioacchino Rossini]

(5:17) (1 commentaire)

1 (4.3%) Vote blanc (0 commentaire)

Nombre de votants : 14

 

Le morceau suivant passe dans le classement des commentaires :

- [Gabriel Fauré] Pavane en fa dièse mineur pour orchestre, opus 50

 

Le morceau suivant sort du classement des commentaires et de ce fait quitte la compétition :

- [Giuseppe Verdi] Air avec choeur "Libiamo ne'lieti calici", extrait de l'opéra La traviata (acte I)

 


 

On enchaîne avec le groupe n°19.

 

Groupe n°19

[Edvard Grieg] Quatrième mouvement "Dans l'antre du roi de la montagne" de la suite "Peer Gynt" n°1, opus 46

[Johann Strauss fils]

(0:37)

[sergueï Rachmaninov]

[Frédéric Chopin]

[Frédéric Chopin]

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Je l'attendais ce groupe!

Un vote uniquement, pour appuyer mon coup de cœur , pour le morceau de Chopin qui me fait frissonner depuis mon plus jeune âge, que je rêve secrètement de maitriser un jour... 9_9Valse en do dièse mineur, opus 64 n°2,

Cette mélodie! :-*

 

J'ai hésité a apporter un second vote à la nocturne de Chopin, mais bien que sympathique, elle reste en deçà pour moi de l'Opus 64n°2. 8)

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J'ai voté pour les deux morceaux de Chopin.

 

Je risque de ne pas être chez moi ce soir à l'heure du changement de groupes. Auquel cas, le changement aura lieu demain (mais les votes seront bloqués ce soir comme d'habitude, et je rappelle que les commentaires faits après la clôture des votes ne sont pas comptabilisés ^^).

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Je fais rapide :

 

[Edvard Grieg] Quatrième mouvement "Dans l'antre du roi de la montagne" de la suite "Peer Gynt" n°1, opus 46

Archi connue. Elle a un côté comique.

 

[Johann Strauss fils] Valse de l'empereur, opus 437 (0:37)

Connaissais pas. Ca ne m'a pas accroché.

 

[sergueï Rachmaninov] "Vocalise" n°14 pour voix et piano des Quatorze Romances, opus 34

Pas mal pour un chant.

 

[Frédéric Chopin] Nocturne n°2 en mi bémol majeur, opus 9

Oui, celle là est bien.

 

[Frédéric Chopin] Valse en do dièse mineur, opus 64 n°2

Tiens, elle a certains rythmes qui ressemblent à la précédente. En moins bien.

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Les morceaux suivants se qualifient pour le prochain tour :

- [Frédéric Chopin] Nocturne n°2 en mi bémol majeur, opus 9

- [Frédéric Chopin] Valse en do dièse mineur, opus 64 n°2

 

Le morceau suivant rentre dans le classement des pourcentages de votes :

- [Edvard Grieg] Quatrième mouvement "Dans l'antre du roi de la montagne" de la suite "Peer Gynt" n°1, opus 46

 

Les morceaux suivants sont éliminés et quittent la compétition :

- [Johann Strauss fils] Valse de l'empereur, opus 437

- [sergueï Rachmaninov] "Vocalise" n°14 pour voix et piano des Quatorze Romances, opus 34

 

Groupe n°19

6 (31.6%) [Frédéric Chopin]

(5 commentaires)

6 (31.6%) [Frédéric Chopin]

(5 commentaires)

4 (21.1%) [Edvard Grieg] Quatrième mouvement "Dans l'antre du roi de la montagne" de la suite "Peer Gynt" n°1, opus 46 (1 commentaire)

2 (10.5%) [Johann Strauss fils]

(0:37) (2 commentaires)

0 (0%) [sergueï Rachmaninov]

(0 commentaire)

1 (5.3%) Vote blanc (0 commentaire)

Nombre de votants : 11

 

Le morceau suivant passe dans le classement des commentaires :

- [Claude Debussy] "Clair de Lune", extrait de la Suite bergamasque

 

Le morceau suivant sort du classement des commentaires et de ce fait quitte la compétition :

- [Jean-Philippe Rameau] "Entrée de Polymnie", extrait de la tragédie lyrique Les Boréades

 


 

On poursuit avec le groupe n°20.

 

 

Groupe n°20

[Jean-Baptiste Lully] "Marche pour la cérémonie des Turcs", extrait de la comédie-ballet Le Bourgeois gentilhomme

[Johann Sebastian Bach] Prélude de la suite pour violoncelle n°1 en sol majeur BWV 1007

[Félix Mendelssohn]

[Antonín Dvořák]

(0:49)

[Franz Liszt]

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